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La pétition à signer contre la Loi Duplomb : https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014
On compte sur vous pour partager un max ! (à l'heure où je publie on est plus de 400.000 à avoir signé la pétition ! C'est énorme ! )
00:00 - Introduction
01:15 - C'est quoi en fait la Loi Duplomb ? Menace ou Chance ?
02:03 : Le faux argument de la compétitivité
04:13 : Dangereux ou pas les néonicotinoïdes
05:54 : Qui se cache derrière la Loi Duplomb (les lobbies ?...)
08:45 : VOUS POUVEZ AGIR !
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Présentation, Réalisation, Montage : Noé Michas
Musique : Prinzly
Personnes mentionnées
1 personne Laurent Duplomb
Connu / TG le 20/07/25 à 00:03
Alors que la population vieillit et que les naissances sont en baisse, le think tank Terra Nova estime que la France ne pourra pas se passer des travailleurs immigrés pour maintenir son économie à flot. Une idée qui se heurte au durcissement prôné par le ministre de l'intérieur Bruno Retailleau.
Avec
- Sabrina Agresti-Roubache, femme politique, Ex-secrétaire d'État chargée de la Ville et de la Citoyenneté depuis juillet 2023
- Hakim El Karoui, essayiste et consultant, co-fondateur du "Club du XXIe siècle"
- Nicolas Pouvreau-Monti, co-fondateur et directeur de l'Observatoire de l'Immigration et de la Démographie
"L'immigration n'est pas une chance", répète à l'envi l'actuel locataire de la place Beauvau, Bruno Retailleau. Mais avec une population de plus en plus âgée et une courbe des naissances en baisse, la survie de l'économie française dépend-elle de la main-d'œuvre étrangère ? C'est ce qui ressort d'un rapport intitulé "Les travailleurs immigrés : avec ou sans eux ?" publié par le centre de réflexion Terra Nova, le 12 mai dernier. Selon le laboratoire d'idées, pour préserver son modèle social, la France devra accueillir entre 250 000 et 310 000 travailleurs étrangers par an à l'horizon 2040-2050.
L'immigration de travail, un impensé ?
Aujourd'hui, les immigrés occupent majoritairement des postes que les employeurs peinent à pourvoir. Ces derniers représentent 39 % des employés de maison, 28 % des agents de sécurité et 22 % des cuisiniers. De l'autre côté des Alpes, même la première ministre d'extrême droite Giorgia Meloni, a ouvert les portes à 500 000 travailleurs étrangers supplémentaires pour répondre aux pénuries de main-d'œuvre. Pourtant, du côté de la droite française, rares sont les voix qui plaident en faveur de
Faut-il accueillir davantage de travailleurs immigrés ?
La France peut-elle vraiment se passer de main-d'œuvre étrangère ?
Hakim El-Kahoui est directeur du cabinet de conseil Volentia, chercheur associé au think-tank progressiste Terra Nova, qui est proche du Parti Socialiste. Il explique que les partis politiques sont très mal à l'aise avec la question de l'immigration, notamment depuis que la question est devenus l'apanage du Front National, petit à petit plus personne n'en a parlé. "Au début, la gauche disait que c'était formidable l'immigration, c'était l'ouverture, etc. Et puis, quand il y a un certain nombre de problèmes qui sont apparus et quand le Front National s'en est emparé, en fait, tout le monde s'est tu." Il est l'auteur pour Terra Nova d'une note qui dit qu'il faut 300.000 entrées d'immigrés en France la France veut pérenniser son modèle social, qu'il s'agisse de travailleurs ou de familles.
Il précise que ce travail n'est pas un encouragement à l'immigration plutôt une observation, il ne faut pas se méprendre, l'immigration va continuer. 300.000 entrées correspondent en réalité à environs à 150.000 travailleurs. "C'est très bien si on peut en parler, c'est encore mieux si on peut effectivement regarder l'ensemble du spectre, les problèmes, c'est très important de parler des problèmes, mais aussi les solutions, et puis ce que doivent faire les immigrés, mais aussi ce que doit faire la communauté nationale, notamment la politique d'intégration qui est très très faible."
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Nicolas Pouvreau-Monti est co-fondateur et directeur de l'Observatoire de l'Immigration et de la Démographie, qui est financé, entre autres, par le milliardaire et mécène Pierre-Edouard Sterrin, très conservateur. Il écrivait dans une tribune dans Le Figaro que l'immigration coûterait 3,4% du PIB à la France. Il y a pour lui deux lectures : tout d'abord la question reste en effet politiquement très marquée mais il remarque que les partis du centre et de la droite s'emparent de plus en plus de la question, avec des points de vue restrictionnistes notamment. Des partis de gauche en Europe s'emparent aussi de cette question. "Et dans le contexte français, il faut dire qu'il y a un décalage assez sidérant entre, d'une part, le caractère effectivement très marqué, très clivant, de la question dans le débat public, dans le débat politique, dans le commentaire médiatique, d'une part, et d'autre part, les aspirations globalement consensuelles de l'opinion telle que mesurée par les enquêtes qui ont lieu à peu près maintenant tous les mois sur le sujet."
Sabrina Agristi-Roubache était en charge de l'accueil des réfugiés au sein du gouvernement précédent François Bayrou, elle déplore qu'on oublie un élément dans le débat : que pensent les immigrés eux-mêmes de l'immigration et de la politique de l'immigration ? Elle se rappelle avoir pris une volée de critique lorsqu'elle avait soulevé cette question. "Je m'étais faite évidemment massacrer, mais je pense qu'il y a un sujet de perception face à la réalité." Elle poursuit sur le fait qu'un travailleur immigré peut désormais lui-m^me déposer son dossier de régularisation, sans attendre la démarche de son employeur. "Tout ça, ce sont des avancées. Mais on a oublié de parler d'une chose, l'apprentissage du français ? Et c'est quoi être français ? Comment on devient citoyen ? Comment on en fait des citoyens à part entière ?"
Le chercheur de la fondation Terra Nova explique qu'il y a un fantasme derrière l'immigration, celui qui dit "ils ont quelque chose qu'on n'a pas", idée qui a pris toute la place du débat sur l'AME. L'idée est de soigner les gens avant que les cas deviennent graves, pour des raisons de santé publique, hors le débat s'est déporté sur le coût de la prise en charge, et sur ce qui y était autorisé. Il réaffirme que l'immigration ne coûte pas du tout 100 milliards à l'État, "ça, c'est complètement faux".
Fantasmes et chiffres autour de l'immigration, ses apports et ses coûts, écoutez la suite de ce Débat de midi
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Clés : Société Immigration Débats d'actualité Intégration sociale Parlement Démographie Bruno Retailleau
08.07.2025
Après le Sénat, l'Assemblée nationale vient d'adopter définitivement la proposition de loi Duplomb contre l'avis d'une grande partie du monde agricole et de la société civile. Ce texte entérine des régressions agricoles, sanitaires et écologiques d'une très grande gravité, taillées sur mesure pour l'agro-industrie et portées par les dirigeants de la FNSEA, déconnectés de leur base.
Favoriser l'agrandissement des exploitations destinées à la production animale industrielle, l'accaparement de l'eau par la construction de méga-bassines et réintroduire l'acétamipride sont une fuite en avant mortifère et de très court-terme. Les enjeux sont tout autre : garantir un revenu paysan par la mise en place de prix minimums garantis et l'installation de fermes partout sur le territoire.
Or, la coalition « centristes, LR, macronistes et RN » refuse de s'attaquer à cette question du revenu agricole et affaiblit les outils de la transition agro-écologique comme jamais, alors que plus de 80% des agriculteur·rices y sont favorables.
Chaque parlementaire devra donc assumer son vote en faveur d'un texte déconnecté des préoccupations de la majorité des paysan·nes qui subissent de plus en plus violemment la succession de crises sanitaires et climatiques.
Contacts :
Thomas GIBERT - porte-parole national - tél: 06 65 24 66 44
Fanny MÉTRAT - porte-parole nationale - tél: 06 16 60 25 03
Caroline NUGUES - Chargée de communication - tél: 06 95 29 80 78
Connu / AP le 12/07/25
Le député macroniste Jean Laussucq avait été élu député de la 2e circonscription de Paris en juillet 2024 © AFP - Magali Cohen / Hans Lucas
Émilie Defay
Trois députés, dont Jean Laussucq, élu à Paris, ont été déclarés inéligibles par le Conseil constitutionnel vendredi, en raison d'irrégularités dans leurs comptes de campagne.
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ainsi que Brigitte Barèges, députée du Tarn-et-Garonne, et Stéphane Vojetta, député pour les Français établis hors de France, ont été déclarés inéligibles "pour une durée d'un an" et "démissionnaires d'office" de leurs mandats, a annoncé le Conseil constitutionnel.
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Connu / TG le 18/07/25 à 14:06
Entretien — Idées - Mis à jour le 16 juillet 2025 à 09h00 - Durée de lecture : 7 minutes
Photo Anna Tsing, anthropologue étasunienne, professeure à l'université de Californie, à Santa Cruz. - © Cha Gonzalez / Reporterre
L’ouvrage « Notre nouvelle nature » propose un guide pour comprendre, à l’échelle microlocale, les ravages de l’Anthropocène. Ce que l’anthropologue Anna Tsing, que nous avons rencontrée, appelle les « écologies férales ».
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nous plonge dans les recoins inexplorés des désastres écologiques
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codirige depuis 2020 un projet de recherche collective nommé le Feral Atlas.
Cette cartographie interactive explore les petites et grandes histoires des perturbations écologiques
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guide Notre nouvelle nature qu’elle signe avec trois coautrices, Jennifer Deger, Alder Keleman Saxena et Feifei Zhou.
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les écologies « férales ». Habituellement, le terme se réfère plutôt à des animaux domestiques qui seraient retournés à l’état sauvage. De notre côté, nous l’avons étendu et réinventé de manière à désigner des phénomènes naturels provoqués par les grands projets industriels, mais qui ont totalement échappé au contrôle humain.
Notre atlas, dont est tiré ce guide, propose d’explorer dans le détail ces effets féraux afin de rendre compte autrement de la nature terrestre. Un exemple est celui de la maladie de la « mort subite du chêne », qui a fait d’immenses ravages dans les forêts de Californie et d’Oregon dans les années 1990 et 2000. Elle est causée par un agent pathogène, la phytophthora, [un genre de champignons] qui s’attaque spécifiquement aux arbres. Les pathologistes forestiers ont été capables de retrouver que cette maladie avait été importée par le transport industriel de pépinières de plantes infectées qui ont été envoyées par camions tout le long de la côte ouest des États-Unis.
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L’ouvrage est présenté comme un « guide de terrain » pour analyser l’Anthropocène depuis ses « patchs » (« patchy Anthropocene », en anglais). Un concept au cœur de votre approche
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Nous avons emprunté ce terme à l’écologie de paysage. Il désigne un lieu de dynamiques homogènes parmi toutes celles qui composent un paysage. Il n’y a pas vraiment de définition du patch, puisqu’il dépend de ce que vous recherchez et de ce que vous souhaitez regarder. Si vous vous intéressez à un champignon, le patch sera là où il pousse. Il s’agit plutôt d’une unité d’action, le fait de regarder quelque chose qui se passe à un endroit précis, à un moment particulier. Cela implique un art d’observer en prêtant attention au granulaire, au particulier, à travers différentes échelles de temps et d’espaces.
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Ils forment une mosaïque permettant de voir les multiples dynamiques de perturbations qui sont à l’œuvre — comme les extinctions, les toxicités, les radiations et les maladies — et de ne pas se limiter à de grandes modélisations planétaires abstraites.
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nous nous intéressons à l’emprise des infrastructures humaines sur les cinq derniers siècles, c’est-à-dire à partir de la colonisation européenne, et non pas de la Révolution industrielle. Puisque c’est à ce moment-là que les destructions et les bouleversements d’ampleur ont commencé, avec l’asservissement des peuples et de leurs terres. Nous le montrons dans le livre à travers l’exemple des plantations.
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nous accueillons différents types de savoirs, d’observateurs et de témoignages, émanant d’autres cultures et expériences locales
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caractéristique des approches féministes en sciences. Ce sont des démarches plurielles, qui partent du terrain en engageant un travail à la fois social et culturel avec les personnes et les milieux concernés, plutôt que d’appliquer une méthode unique.
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il est impossible d’étudier les êtres humains comme s’ils vivaient de manière séparée des non-humains, et inversement. On le voit avec l’alimentation, les terres ou… les maladies. D’où viennent-elles ? L’un des projets que nous avons intégré à l’atlas est celui de l’anthropologue Paulla Ebron, qui s’est intéressée aux espèces présentes à bord des navires négriers.
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C’est là qu’est née une nouvelle souche de moustiques, dont la lignée est encore aujourd’hui responsable de la dengue, de zika et de la fièvre jaune. Les patchs de l’Anthropocène aident justement à visibiliser les croisements entre injustices sociales et les catastrophes environnementales.
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L’histoire naturelle n’est pas quelque chose de révolu, avec des espèces figées qui se reproduisent de façon linéaire. Toutes ne cessent d’évoluer au cours du temps, et cette évolution est en partie due aux activités humaines. Nous devons considérer les non-humains comme des acteurs à part entière de notre histoire
...
apprendre à faire attention à cette nouvelle nature qui est partout autour de nous, avec ses facettes les plus incroyables, comme les plus abominables.
...
Comment la prise en considération de cette nouvelle nature peut-elle nous aider à forger de nouvelles formes de résistances face au capitalisme ?
En aidant à construire des coalitions de toutes sortes, entre communautés humaines et non humaines, et pas juste un seul grand mouvement. Cette analyse de terrain par les patchs est aussi un outil permettant de voir plus précisément où nous pouvons travailler les uns avec les autres, qui sont nos alliés et comment agir face à toutes ces agressions simultanées. Elles invitent à une politique par la coalition, plutôt que par l’héroïsme.
Décrypter - Économie
Depuis toujours, l’extrême droite française met en avant un discours aussi simple que redoutable : “vous payez trop”. Trop d’impôts, trop de taxes, trop de “charges”, trop pour les autres. Aujourd’hui, ce récit se propage de plus en plus, relayé par les réseaux sociaux, les médias de droite et l’univers brun des influenceurs réactionnaires. Il transforme la colère sociale en ressentiment fiscal. Et cette colère, au lieu de viser les vrais profiteurs — les actionnaires, les grandes fortunes, les fraudeurs fiscaux, les multinationales — est soigneusement redirigée vers un bouc émissaire commode : l’État et ceux qui vivent, prétendument, à ses crochets. Ce discours repose sur une série de confusions entretenues, de manipulations économiques grossières, et surtout, d’un projet politique inavoué : démanteler les droits sociaux au nom du “bon sens”.
...
Le jour où Nicolas demandera non plus combien il paie, mais à qui cela profite réellement, le piège se refermera sur ceux qui l’ont construit. Ce jour-là, Nicolas cessera d’être un hashtag au service des puissants : il deviendra une conscience politique.
Guillaume Étievant, Responsable éditorial
Connu / https://bsky.app/profile/frustrationmag.bsky.social/post/3ltp6derzrk2y
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Frustration Magazine @frustrationmag.bsky.social
Face au chiffre monstrueux de 211 milliards d'aide annuelle aux entreprises, les chroniqueurs de plateaux TV, les think tanks patronaux et les politiciens droitiers nous bombardent d’arguments tous plus mensongers les uns que les autres.
@etievant_g les liste ici et y répond👇
11 juillet 2025 à 17:36
67 reposts 5 citations 110 ont aimé
- 1-“Ce ne sont pas des aides, c’est juste qu’on leur prend moins !” Cet argument oublie que les exonérations de cotisations sociales n’annulent pas les besoins qu’elles couvrent : elles sont compensées par l’État. Autrement dit, par l’impôt, c'est à dire nous tous.
- 2-“Mais 80% de ces aides vont aux entreprises publiques” Cette intox provient de l’IFRAP, un “think tank” présenté comme “indépendant”, mais financé par les entreprises. Pour calculer ce chiffre, il ne prend en compte que 28 milliards d’aides budgétaires sur les 211 milliards.
- 3-"C’est trop hétérogène pour qu’on parle d’1 seul système”Le rapport souligne justement cette fragmentation : 2 200 dispositifs. Cela nourrit l’illusion qu’il ne s’agirait pas d’un système cohérent.Or il l’est : c’est celui de la captation de la richesse par les intérêts privés
- 4-Le groupe Auchan a annoncé le 4 novembre son intention de procéder à un PSE concernant 2 384 salariés employés en France. Le groupe a bénéficié entre 2013 et 2023 de 636 millions d’euros d’aides fiscales et de 1,3 milliard d’euros d’allègements de cotisations sociales.
- 5-En novembre, Michelin a annoncé un PSE concernant 1 254 salariés. Le groupe a bénéficié de 32,4 millions d’exonérations de cotisations sociales en 2023 et 40,4 millions d’euros de CIR en 2024, tout en versant 1,4 milliard d’euros de dividendes la même année.
- 6-ArcelorMittal a annoncé en avril 2025 la mise en place d'un PSE concernant 600 salariés. Le groupe a versé en moyenne 200 millions d’euros de dividendes chaque année depuis dix ans, alors qu’il a bénéficié en 2023 en France de 298 millions d’euros d’aides
- 7-Osons une exigence : supprimer toutes les aides publiques qui ne sont pas strictement vitales à la survie financière des entreprises. Et quand l’État investit des millions dans une entreprise, il doit entrer au capital. Lire l'analyse de @etievant_g :
https://frustrationmagazine.fr/comment-les-bourgeois-camouflent-les-211-milliards-daides-aux-entreprises
Comment les bourgeois camouflent les 211 milliards d’aides aux entreprises
Frustration Magazine, média indépendant et offensif qui relate la guerre des classes.
"
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Jean-Luc Mélenchon est intervenu à l'occasion d'une conférence sur le moment politique, le 9 juillet 2025.
Tr.: ... local prêté par le POI ... signale députés présents dont Pilato ... Gaza plus de 100 000 morts selon une étude académique dt >50% de femmes et enfants, caractère génocidaire ... réchauffement climatique ... ère de l'incertitude ... l'organisation de la société capable d'y faire face ... les incendies dans le sud de la Fr ... 9 blessés parmi les sapeurs-pompiers, 10 maisons ont brûlé ... de plus en plus fréquents ... gel des dépenses ... achat de canaders ... nucléaire, effet falaise ... la mer se réchauffe ... l'atlantique aussi ... extinction des espèces ... pl ..uies intenses ... construire une société collectiviste, on règle les pb en commun ... loi grémillet / nucléaire, loi duplomb viennent de passer ex mégabassines, pesticides partout ... modèle agricole condamné ... ya un intérêt général humain ... des prix plancher pour la souveraineté alimentaire ... annuler la dette ... Aurélie Trouvé ... un métier praticable pour les nouveaux jeune paysans ... la nouvelle france ... ILB : les maladies politiques : cancers, etc ... de moins de 30 ans ... les pb de fécondité ... mis sur la table pour les municipales ... marché garanti ... reste 400 000 paysans ... l'actu : économie monde en panne ex Allemagne en récession (automobile etc) ; Trump force et violence ... déficit commercial ... effet récessif, économie de guerre ... OTAN, 5% ! ... autres déséquilibres UE ne marche que si égalité ...
Ndlr : trop d'approximations sur le nucléaire.
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Le mercredi 9 juillet 2025, Eric Coquerel auditionnait le président d’ArcelorMittal France. Il révèle que :
👉L’avenir d’un seul four électrique à Dunkerque dépend des décisions européennes sur les quotas d’importation. Sans décision d’ici fin 2025, ce projet sera abandonné.
👉Même en cas de décision européenne positive, il n’y aura pas le lancement d'un DRP (partie amont) et de deux fours électriques (partie aval).‼️Donc le contrat de décarbonation avec l’Etat paraît bien caduc.
De quoi redonner toute sa crédibilité à l’option nationalisation.
mercredi 9 juillet 2025, par Attac France
Webinaire d’Attac avec Benjamin Bürbaumer, économiste, auteur de Chine/États-Unis, le capitalisme contre la mondialisation et Nicolas Roux, spécialiste du commerce international.
La vidéo sera diffusée le 9 juillet à 19h puis disponible à la rediffusion.
Depuis l’élection de Donald Trump, la guerre commerciale fait rage entre les États-Unis et son concurrent chinois. Comment la Chine a pu devenir un adversaire économique aussi puissant ? En quoi cette concurrence menace la mondialisation sous hégémonie états-unienne ? Comment envisager les conséquences de la politique Trump et les réactions de l’État chinois ? Quelle place pour l’Europe et le reste du monde ?
Nous répondrons à ces questions avec Benjamin Bürbaumer, économiste, auteur de Chine/États-Unis, le capitalisme contre la mondialisation et Nicolas Roux, spécialiste du commerce international, mercredi 9 juillet à 19h.
Avec Benjamin Bürbaumer, économiste, auteur de l’ouvrage Chine/États-Unis, le capitalisme contre la mondialisation et Nicolas Roux, spécialiste du commerce international.
Tr.: ... 90% encore système dollar, 10% pris par la chine ... l'UE se plie aux exigences de Trump/USA ... les pays les plus pauvres payent :-( ... les BRICS restent hétérogènes, la chine écrase tout ... nouvelle monnaie internationale abandonnée par la Chine au profit de sa propre monnaie le Yuan (renminbi, la monnaie du peuple) ... l'avenir : chine et usa affirment leur centralité ... hégémonie USA baisse ... acteur dominant mais plus hégémonie ... la Chine tente, politisation de l'économie mondiale, accroissement des tensions, conflits.
Ndlr : débute à 2:00
valoriser ACT
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Aurélien Le Coq, député LFI-NFP, était l’invité de BFMTV ce lundi 7 juillet 2025 pour débattre en plateau des questions de sécurité et du rôle de la police municipale, face à plusieurs intervenants issus de la droite et des syndicats de police.
M. Le Coq a réagi à la "polémique" déclenchée par les propos de Mathilde Panot concernant le désarmement de la police municipale et la suppression des caméras de vidéosurveillance en cas de victoire de LFI aux municipales. Il a dénoncé la récupération politique de la droite, accusant ses adversaires de caricaturer la position de la France Insoumise et de refuser tout débat de fond sur la sécurité.
Le député a rappelé que la proposition de LFI vise à renforcer la police nationale et à recentrer la police municipale sur des missions de proximité, tout en dénonçant l’abandon des collectivités locales par l’État. Il a insisté sur la nécessité d’investir dans le renseignement et la prévention, plutôt que dans la surenchère sécuritaire.
Face aux attaques sur la question de l’armement, M. Le Coq a défendu un programme de recrutement massif dans la police nationale, la titularisation des agents contractuels et le renforcement des effectifs administratifs pour remettre des policiers sur le terrain. Il a également souligné que la sécurité doit rester une priorité nationale, loin des logiques électoralistes et des divisions entretenues par la droite.
M. Le Coq a conclu en affirmant que la France Insoumise est le parti de la sûreté et de la tranquillité publique, prônant l’apaisement, la désescalade et le retour à une police de proximité au service des citoyens.
Ndlr : Mr Le Coq pouvait à peine terminer une phrase et encore moins développer ses idées, confronté à une alliance entre journaliste et autres invités de droite. Dénoncer ACT
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#LCP #assembleenationale
Conférence de presse du groupe LFI à l’Assemblée nationale le mardi 8 juillet 2025 :
Décès d'Olivier Marleix : Mathilde Panot exprime à nouveau les condoléances de son groupe "aux proches, aux équipes et à la famille politique" du député, avant de "saluer celui qui était profondément attaché à la souveraineté industrielle de la France".
Vote final sur la loi "Duplomb" : Aurélie Trouvé dénonce "une loi trumpiste par excellence", "une loi poison", "contraire à la Constitution et au principe de non-régression environnementale". Elle annonce un recours de son groupe devant le Conseil constitutionnel.
Tr.: ...
100 000 palestiniens auraient été tués à Gaza selon une étude anglaise ... la moitié de la population est des enfants ...
Ndlr : sérieux, précision, fier d'être insoumis. Valoriser ACT
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Eric Coquerel était l'invité du face à face d’Apolline de Malherbe, sur BFM et RMC le mardi 8 juillet 2025. Au lendemain de son rendez-vous à Bercy avec le ministre de l'économie, sur le budget 2026 : "la copie n'est pas prête !".
Eric Coquerel indique que "La France doit être à la pointe de la bataille pour la bifurcation écologique" l'ultime urgence planétaire, plutôt que d'investir dans l'armement.
Ndlr : Mr Coquerel réussit à dire calmement et avec la plus grande clarté son point de vue sur le budget prévu par le gouvernement Bayrou malgré le fait que la journaliste lui coupe sans arrêt la parole, ne donnant pas le temps pour que l'invité développe sa pensée suffisament pour la rentre intelligible au plus grand nombre :-(
Valoriser tout de même ACT
Pétition - 50.235 signatures
Destinataire(s) : La direction de Radio France et de France inter
Nous venons de l’apprendre : la Terre au carré, le rendez-vous quotidien de l'écologie de Mathieu Vidard sur France inter, sera amputé de dix minutes, sur moins d’une heure de programme, à la rentrée prochaine.
Et ce n’est pas n’importe quel passage de l’émission qui disparait.
Il s’agit du dernier segment, dans lequel vous pouviez écouter : des chroniques de militant·es (Cyril Dion, Claire Nouvian, Féris Barkat, etc.) et de la journaliste Camille Crosnier sur les luttes écologistes ; les témoignages et avis des auditeur·ices (le répondeur) ; les chroniques de médias invités : Vert, Reporterre, Epsiloon et Libération.
Une amputation qui survient sans explication rationnelle de la direction de France Inter. Celle-ci le justifie par un «manque de lisibilité» de cette partie de l’émission et soutient que la place de l’écologie est conservée avec une nouvelle chronique de Camille Crosnier tous les jours à 6h45.
Les audiences de la Terre au carré sont pourtant excellentes, avec plus de 850 000 auditeur·ices par jour entre 14h et 15h. C’est une année record pour ce programme, qui est le plus écouté de toute la France à cette heure-là.
De surcroît, l’émission ne démarrera plus juste après les infos de 14h, mais à 14h15 après un «rendez-vous» sur l’Histoire, ce qui représente un risque élevé de perdre des auditeurs à ce moment charnière de la journée.
La Terre au Carré est la seule émission quotidienne consacrée à l’écologie de tout le groupe Radio France. Une décision annoncée… en pleine canicule.
Horaire moins porteur, moins de personnalités, moins de médias invités (qui donnaient de la visibilité à l’émission sur leurs supports) : tous les ingrédients sont réunis pour que les audiences baissent l’année prochaine. Cela présage aussi du pire : cette émission de référence pourrait disparaître rapidement.
Cette décision est annoncée en pleine canicule, au moment-même où les reculs environnementaux se multiplient au niveau politique.
Si les changements de grille sont habituels dans la vie des chaînes de radio et de télévision, le service public ne peut justifier de diminuer l’espace médiatique alloué à l’écologie alors que nous venons de connaître l’année la plus chaude de l’histoire de l’humanité et que la biodiversité s’effondre à un rythme sans précédent.
Sur Radio France, l’amputation de la Terre au carré n’est pas un cas isolé.
L’an passé, les trois heures hebdomadaires de Planète Bleu, l’émission de Benoît Prospero sur France Bleu (Radio Ici), ont laissé place à une simple chronique quotidienne à 5h55. Cet été, Radio France supprime aussi Mouv’, la radio des jeunes, des ondes FM, et son rendez-vous «Demain le monde», animé par Valentin Després.
Il y a trois ans, après l’été 2022, un collectif de journalistes lançait la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique. Au même moment, Radio France annonçait son «tournant environnemental» et mettait en place des formations pour les journalistes sur le climat. Trois ans plus tard, force est de constater que l’écologie y perd du terrain.
Nous citoyen·nes, journalistes, scientifiques, militant·es, médias invités de la Terre au carré, demandons que l’émission de la Terre au carré soit maintenue telle quelle sur France Inter et que la place de l’environnement à Radio France soit assurée, pour continuer à porter les voix plurielles de l’écologie sur le service public, toucher le plus de monde possible et garantir à nos enfants une planète habitable.
Premiers signataires :
Loup Espargilière, rédacteur en chef, Vert le média
Juliette Quef, directrice, Vert le média
Olivier Monod, journaliste, Libération
Hervé Poirier, corédacteur en chef, Epsiloon
Amélie Mougey, directrice, Reporterre
Lorène Lavocat, journaliste, Reporterre
Cyril Dion, réalisateur, écrivain et chroniqueur
Claire Nouvian, directrice de Bloom
Valérie Masson-Delmotte, climatologue
Christophe Cassou, climatologue
Heidi Sevestre, glaciologue
Philippe Grandcolas, écologue, directeur de recherche au CNRS
Féris Barkat, cofondateur de Banlieues Climat
Karine Jacquemart, directrice de Foodwatch
...
La ministre de la Culture Rachida Dati, le 30 juin 2025 à l'Assemblée nationale ©AFP - Ludovic Marin
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Surtout ne pas l’enterrer trop vite. Ni la ministre, ni la loi audiovisuelle qu’elle porte et qu’elle rêve de brandir en trophée.
Disons-le crûment : le rejet de ce texte hier par les députés, n’est qu’un trompe-l'œil, une opération d’évitement qui permet à la ministre de la Culture de sauter la case Assemblée nationale, en s’épargnant de longs et incertains débats, et de rebondir directement au Sénat, où la loi devrait revenir dès lundi prochain, en commission de la Culture. Les opposants à la réforme de l’audiovisuel public auraient grand tort de crier victoire. La gauche n’a rien compris, elle n’a pas vu le coup venir : c’était un coup monté.
Rachida Dati souhaitait l’adoption de cette motion de rejet. Elle a tout fait pour, c’était son plan !
Faire une "Duplomb"
L’inflation des amendements déposés par les groupes de gauche, 1150, n’aurait pas permis d’achever l’examen du texte dans les délais prévus, c’est-à-dire avant demain soir. Et pas plus en rajoutant deux jours de débats, ce qu’elle avait obtenu, jeudi et vendredi, c’était trop court. La loi serait restée en plan.
D’où l’idée de se servir de la motion de rejet défendue par la gauche, pour faire une « Duplomb », expression désormais en vogue au Palais-Bourbon. Du nom de la loi Duplomb, qui avait été rejetée par ses propres défenseurs. Rejetée par le bloc central, dans le but de faire échec à l’obstruction de la gauche et de propulser cette loi directement en Commission mixte paritaire.
Ici, j'ouvre une parenthèse : la clarté et la sincérité des débats parlementaires étant considérées comme un principe constitutionnel, on est curieux de savoir ce qu’en dira le Conseil du même nom. Manœuvre astucieuse ou dévoiement irrégulier ? Je referme la parenthèse. Et je reviens à cette nouvelle « Duplomb », exécutée hier de façon moins voyante, plus subtile, mais tout aussi efficace. Simplement cette fois en laissant gagner la gauche.
Comment ? En désertant l’hémicycle. La gauche a eu la surprise hier de découvrir une Assemblée dont le centre était fort dégarni. C’était prévu ! 31 députés présents sur 163.
Deals avec l’extrême-droite
Et puis deuxième surprise : le RN jusque-là bienveillant pour cette loi, qui vote avec la gauche, pour le rejet du texte. Là aussi, théâtre d’ombres. Les marinistes se sont laissé convaincre que leur programme de privatisation de l’audiovisuel serait plus facile avec une seule entité – la holding – plutôt que deux ou trois. Et que l’accélération du changement de loi valait bien ce coup de billard à trois bandes.
Note pour plus tard : penser à interroger Rachida Dati sur ses deals avec l’extrême-droite.
Et maintenant ? Examen au Sénat la semaine prochaine. L’agenda y est plein comme un œuf. Mais Rachida Dati est prête, dit-on, à se rouler par terre pour obtenir un créneau. Là-bas, le débat ne sera qu’une formalité.
Et retour à l’Assemblée nationale le 23 septembre, avant le Budget. Si les débats ne s’enlisent pas, si le RN inverse son vote, la loi Dati aura toutes ses chances.
Ici me revient le titre d’une de ses premières biographies il y a une dizaine d’années : Rachida ne meurt jamais.
Clés : Politique Société Médias Rachida Dati Audiovisuel public
Publié il y a 10 min • 0 vues
Le Sénégal se lance dans un bras de fer avec le plus important exploitant pétrolier du pays, l’australien Woodside Energy. “L’administration fiscale réclame 62,5 millions d’euros au groupe australien, qui exploite le champ de Sangomar. Contestant tout arriéré d’impôt, celui-ci a lancé une procédure d’arbitrage international.” explique Le Monde. Le journal ajoute que “Le cœur du litige serait dû à des évolutions dans le régime fiscal sénégalais. Le groupe pétrolier considère que les exigences sénégalaises contreviennent à des clauses contractuelles censées protéger les investisseurs en cas de changements fiscaux ou légaux. Or entre la signature du contrat de Sangomar, en 2004, qui s’appuyait sur le code pétrolier de 1998, et les revendications des contrôleurs d’impôts, le texte régissant le secteur des hydrocarbures a changé, en 2019.” Souvent, nous avons parlé dans l’Instant Porcher de ces grands groupes qui exploitent les ressources dans les pays africains. De cette relation d’interdépendance mais aussi de la mainmise de l’Occident sur le continent africain.
La procédure lancée par le groupe pétrolier peut durer des années. Et Le Monde rappelle : “l’Etat (sénégalais) est engagé dans une course contre la montre. Surendettement, note souveraine dégradée, gel du financement du Fonds monétaire international (FMI) à hauteur de 1,8 milliard de dollars ayant pour effet de suspendre d’autres financements comme ceux de l’Union européenne (UE)… Les marges de manœuvre du Sénégal, extrêmement limitées, contraignent les autorités à multiplier audits et redressements. Du français Eiffage au turc Summa, beaucoup de grands groupes passent sous les fourches caudines des inspecteurs des impôts.” Cela démontre dans quel étau l’Occident a placé les pays africains avec des ressources.
Le fameux “conclave” sur la réforme des retraites par François Bayrou a fini sur un échec… assez prévisible me direz vous. On l’avait dit ici. Le Premier Ministre voulaient laisser syndicats et patronat discuter, mais a mis des contours : ne pas revenir sur les 62 ans par exemple. La CGT comme d’autres avaient alors quitté la table des négociations. En dernière ligne, les “partenaires sociaux” restants ne se sont pas mis d’accord sur la pénibilité. François Bayrou a tenté de sauver les restes, et avance que le “travail s’est déroulé dans un climat de coopération”.
Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c’est l’Instant Porcher !
Visibilité Publique
Publié originellement 30/06/2025
Catégorie Inconnu
Langue Français Étiquettes
Durée 19min 52sec
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Tr.: ...
la CFDT a lâché sur l'âge ... c'est une mascarade ...
Manuel Bompard, député LFI des Bouches-du-Rhône - Coordinateur Nationale de la France Insoumise est l'invité de Questions politiques ce dimanche.
Clés : Politique
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Dans ce 4ème épisode de notre série sur les coulisses de la Commission d'enquête parlementaire sur les modalités du contrôle par l'État et la prévention des violences dans les établissements scolaires, je reviens avec vous sur l'audition du Premier ministre François Bayrou le 14 mai 2025.
Préparation de l'audition, pressions politiques et médiatiques, mensonges, violences, je vous explique tout de cette audition de plus de 5h30, de son contexte, et de ce que j'en retiens.
Tr.: ...
parjure ... souhaite que la justice soit saisie ... culture de la violence / giffle ... geste "éducatif" ... le parlement fait vivre notre démocratie ... traitement médiatique pour disqualifier la commission ... rapport adopté par la commission d'enquête parlementaire ... projet de loi pour protéger les enfants
Ndlr :
- se procurer et lire ce rapport ACT
- suivre le projet de loi pour protéger les enfants ACT
- Continuer à valoriser la démocratie parlementaire ACT
- et dénoncer les mensonges et manipulations de Mr Bayrou, du gouvernement et même du pdt de la république ACT
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#EdouardPhilippe #Enquête #politique
Suite à une plainte déposée en septembre 2023 par une directrice générale adjointe de la métropole du Havre, le parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire pour prise illégale d’intérêts, favoritisme, détournement de fonds publics et harcèlement moral. Maire du Havre et président de la communauté urbaine, Édouard Philippe et une de ses maires adjointes sont au cœur des investigations. La plaignante vient de déposer une nouvelle plainte avec constitution de partie civile pour obtenir la nomination d’un juge d’instruction et avoir accès à la procédure judiciaire. L’ex-Premier ministre et candidat à la présidentielle se défend de « toute irrégularité. » État des lieux et témoignages exclusifs de la plaignante.
Lire l'enquête : https://www.blast-info.fr/articles/2025/detournement-de-fonds-publics-edouard-philippe-dans-le-collimateur-de-la-justice-zydU1nbqRZy5J-YQSPLHpQ
Journaliste : Thierry Gadault
Tr.: ... Stéphanie de Bazelaire, Maire adjointe en charge du numérique, déléguée communautaire, Fondatrice et présidente de l'association LH FRENCH TECH, proche d'Édouard philippe.
... convention signée alors qu'elle était des deux côtés du contrat ... plus de 2 M€ sur 4 ans ... pas rompus à l'accompagnement des startup ... ventilation des coûts (différentes charges de fonctionnement ... mettre en place un comité de suivi n'était pas prévu dans la convention ... yavait pas de réponse sur la trajectoire financière ... l'association est restée domiciliée à son domicile ... 2021, accord d'EP pour mettre fin à la convention ... malaise de plus en plus grand, sauver l'association à tout prix ... injecter des centaines de milliers d'€ ... elle me met directement en cause ...école 42 ... était terriblement vide ... risque pénal énorme ... cumul des fonctions ... alertes pas prises en compte ... ne pas laisser de traces ... mon assistante voit que je ments ... je m'effondre fin nov 2022 ... porter l'alerte plus haut, saisit le défenseur des droits ... qu'a fait la chambre régionale des comptes ? pourquoi tout ça ?
Judith a porté plainte une première fois en sept 2023. Puis a déposé mi-juin 2025 une seconde plainte avec constitution de partie civile. ...
Jérôme Karsenti, avocat de Judith ... atteintes à la probité ... nous n'avons pas accès au dossier ... faire nommer un juge d'instruction pour orienter l'enquête ... faire un appel au don pour financer la procédure, c'est grave.
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#bayrou #macron #retraites
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Après l’échec du conclave sur les retraites, François Bayrou a convoqué dans la précipitation les partenaires sociaux … pour conclure qu’il n’y avait pas d’accord. Ayant, encore une fois, trahi sa parole, le Premier ministre s’expose à une censure de la gauche, en particulier portée par le PS. La crise parlementaire approche avec des conséquences imprévisibles. Aura-t-elle lieu ? Pour quelles conséquences ? Et sinon, pourquoi n’aurait-elle pas lieu ? C’est ce qu’on va avoir dans ce nouveau numéro de Dissolution.
On en profitera aussi pour revenir sur la séquence médiatique qui a vu Rachida Dati s’attaquer violemment à un journaliste parce qu’il posait des questions qui la gênaient.
Journaliste : Camille Chastrusse, Victor-Ulysse Sultra, doctorant en droit public
Réalisation : Camille Chastrusse
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Tr.: ... une ministre menace de poursuites un journaliste pour une question d'intérêt public ... Arnaque de France Médias, réforme de l'audiovisuel public
Ndlr : DÉNONCER ACT