Changement climatique
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1 heure pour mieux comprendre les causes des échecs répétés de l’écologie, envisager les pistes pour inverser la tendance et enfin conduire à des victoires écologiques.
En présence de Marine Calmet, avocate activiste de l’environnement, co-auteure de « Justice pour l’étoile de mer » (éditions Actes Sud), Dominique Méda, professeure de sociologie à Paris Dauphine-PSL, directrice de l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (IRISSO), auteure de « Une société désirable » (éd. Flammarion), Clément Sénéchal, diplômé de sociologie et de philosophie politique, expert des enjeux climatiques, auteur « Pourquoi l’écologie perd toujours » (éd. Le Seuil)
🌈 Cette conférence a eu lieu lors de notre week-end "Comment résister au backlash écologique et démocratique ?" le 25 et 26 mai 2025
💪 Ce week-end a eu pour ambition de dresser un état des lieux lucide de la situation, tout en ouvrant des chemins de résistance, d’espoir et d’action avec des expert·es, scientifiques, artistes, chercheurs, journalistes… et vous !
🪴Organisée en collaboration avec le Nouvel Obs, la Fondation Jean Jaurès, le collectif média Le Moment, la Fondation Edgar Morin, la Chaire d’excellence τ-co.re, le Cent-Quatre Paris, le Greenwashing Comedy Club, les Effilochés, Nos vies bas carbone et la Fresque de la rénovation.
49 commentaires
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@jeromegarnier1298 il y a 2 semaines (modifié)
Notes :
Trajectoire intermédiaire 2,5 à 2,9 °C, +76 cm de montée des eaux. Contraction du PIB d environ 10%
3:03 cadre juridique actuel (droit, loi, règle), le droit est écrit sur mesure pour protéger les intérêts industriels
3:56 EPR de Flamanville
6:45 rapport IPBES, 3 blocages, rupture nature culture, concentration des richesses, court terme et profit.
7:42 autre mouvement, droit dr la nature, sujet à part entière
9:39 ecologie du spectacle, greenpeace, détaché de la question sociale, vedette bourgeois, ONG verticale avec relation de pouvoir et division du travail et aliénation. Recrutement de personnel encadrant.
14:26 detaché de la lutte des classes, non violence. Dépolilitisation.
15:59 Meda, marchands de doutes. Nordhauss.
17:06 chantage à l emploi. Trump croisade anti science.
24:42 reconversion écologique, co bénéfices, reconversion et conversion de nos cadres cognitifs, moins sévère que Clément car cest difficile.
29:55 règle juridique, droit de la nature. Cest un bullshit job député européen.
Sumplifier les normes environnementales ca veut dire enlever, CNDP
35:50 Il faut complexifier le droit, faire de la permaculture du droit. Ndla : risque de totalitarisme bureaucratique ?
38:35 ceux qui décident pas le savoir ceux qui ont le savoir ne décident pas heureusement c'est ça la démocratie montre il faut savoir écouter
39:52 le politique n'a qu'une délégation de pouvoir
40:00 Pierre Rosanvallon, né à Blois le 1er janvier 1948, est un historien et sociologue français. Pierre Rosanvallon en 2024. Ses travaux portent principalement sur l'histoire de la démocratie et du modèle politique français, et sur le rôle de l'État et la question de la justice sociale dans les sociétés contemporaines.
41:30 les imaginaires ne suffisent pas il faut l incarner dans les territoires. Il faut un signifiant après ce mot sinon il est vide. Peur de l anticapitaliste. Sinon l ecologie appartient a tous et meme au RN. Racisme, Bolloré. Libertaire.
45:59 arrêter les primaires populaires. Arrêter les petits candidats et intérêts boutiquiers. Arrêter d appeler au vote du cœur. LFI.
50:05 il faut un assentiment général donc ca ca se prépare !!!
52:20 un programme ca se prépare a l avance
53:48 gilet jaune : mouvement preinsurectionnel
54:38 l avenir de l ecologie cest la lutte des classes !!!!
...
Connue / https://x.com/ClemSenechal/status/1948766954438729904
"
Clément Sénéchal @ClemSenechal · 1h
Mon intervention à l'Académie du climat sur le « backlash écologique
"
Jean-Luc Mélenchon a reposté
Andy Kerbrat🔻 @AndyKerbrat · 9 min
Sollicité, je relaie l’appel de Amal Abu-Hajar et de Samah Hamdan, les deux dernières professeures de français à Gaza.
Elles interpellent @EmmanuelMacron
pour les sauver avec leurs familles de cette attente lente et macabre de la mort, par une bombe ou par la faim.
Elles l’appellent à mettre fin au génocide et à joindre les paroles aux actes.
2:49
Qui sommes-nous ?
Un média expert, sans pub et sans ciblage
Next est un service de presse en ligne, animé par une rédaction indépendante, dont la mission est d’éclairer l’actualité générale sous l’angle du numérique.
Né au tournant des années 2000, Next se donne pour mission de découvrir, comprendre, analyser et investiguer la façon dont le numérique et les technologies de l’information influencent et transforment la société.
Notre rédaction est composée de journalistes qui, tous - chacun, chacune, à sa façon - ont développé une connaissance experte des technologies et des problématiques qui sous-tendent notre ligne éditoriale. Notre modèle économique repose aujourd’hui sur les abonnements souscrits par nos lecteurs. C’est, pour l’équipe comme pour les dizaines de milliers d’internautes qui consultent chaque jour notre média, la garantie d’une information indépendante, équilibrée et vérifiée.
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Un modèle unique dans le paysage des médias Web
Fondé en 2000 et professionnalisé à partir de 2003 sous sa forme historique, Next, notre média autrefois connu sous les noms de INpact Hardware, PC INpact et Next INpact, a connu de nombreuses vies et de multiples difficultés qui n’ont pu être surmontées qu’avec le soutien d’une communauté de lecteurs aussi fidèles qu’exigeants. Depuis septembre 2023, Next bénéficie du soutien d’un nouvel actionnaire majoritaire : oui.do, holding de moji, un opérateur d'infrastructure et de services IT & télécoms pour entreprises.
Cette reprise, les chantiers techniques qui ont suivi et les synergies qui ont émergé entre Next et moji permettent aujourd’hui aux sept membres de la rédaction de se concentrer exclusivement sur leur mission d’information, d’analyse et d’éclairage. Avec rigueur et honnêteté, mais pas sans une once de légèreté ou de second degré. Après tout, nous sommes probablement le seul média en ligne à consonance tech au monde à pouvoir nous targuer d’employer à plein temps un dessinateur de presse…
L’équipe Next
Sébastien Gavois (rédacteur en chef)
- Mathilde Saliou : Formée à Sciences Po, j’ai développé un tropisme pour les enjeux sociopolitiques de la tech, que j’ai traités pour des médias tantôt généralistes (RFI, 20 Minutes, The Guardian), tantôt spécialisés (mind Fintech… ou Next). En 2023, j’ai publié mon premier livre : Technoféminisme, comment le numérique aggrave les inégalités (Grasset). »
- Vincent Hermann
- Martin Clavey
- Jean-Marc Manach
Journaliste d'investigation sur Internet, en mode OSINT et fact-checking, depuis 1999 ... a aussi beaucoup travaillé avec WikiLeaks ... a également écrit un livre (La vie privée, un problème de vieux cons ?), une BD (Grandes oreilles et bras cassés) et un ebook (Au pays de Candy) au sujet d'une PME française, Amesys, qui avait conçu et vendu un système de surveillance de masse pour Abdallah Senoussi, beau-frère et chef du service de renseignements militaires de Mouammar Kadhafi. - Flock
« Dessinateur de presse, illustrateur et dessinateur BD depuis 2006 aussi bien sur internet que dans la presse papier. J’ai contribué à de nombreux journaux, tels Psikopat Bandes dessinées, Fluide Glacial, L’Echo des Savanes, Zélium…
C’est sur Next que se situe le cœur de mon office : à coup d’humour noir et de dérision sur les illustrations d’articles ou par le biais de ma rubrique ». - Alexandre Laurent (directeur de la rédaction)
- Ferd (lecteur assidu)
... avons racheté Next INpact en Octobre 2023 en l'extirpant in extremis d'un dépôt de bilan annoncé, et avons réinvesti dans le nouveau Next pour l'amener vers toujours plus d'excellence journalistique en toute éthique, de succès d'audience et de gloire numérique internationale.
Maintenant que c'est fait, il ne nous reste plus qu'à atteindre l'équilibre financier ...
Un peu d'histoire
... page perso lancée par un passionné ... INpact Hardware a été créé par Christophe Neau (Teuf) un jour de juillet 2000 ... Nil Sanyas commence à y écrire en décembre 2001, David Legrand en juin 2002. Le 5 mai 2003, INpact-Hardware devenait une SARL de presse, changeait de nom pour PC INpact ... En 2005 arrivent Marc Rees et Vincent Hermann ... septembre 2009, Teuf annonce des difficultés financières ... en octobre 2011, PC Inpact annonce être bénéficiaire en 2012, avec... 1 000 abonnés environ ... Le 1er avril 2014, PC Inpact annonce la nomination de Jérémie Zimmermann à la tête de la Hadopi, mais également son nouveau nom (de domaine) : Next INpact ... En février 2015, Next INpact dénombre plus de 4 400 abonnés ou membres Premium, & travaille au lancement de La presse libre, un portail visant à permettre de bénéficier de réductions pour ceux qui s'abonneraient à plusieurs médias indépendants. ... 2015 ... recrutement de Guénaël Pépin ... 2018 ... relance INpact Hardware ... 2019 ... recrute JMManach ... Qwant ayant mené Christophe Neau en bateau ... En Janvier 2022, David Legrand quitte la rédaction. En juillet, Christophe Neau annonce que "Next INpact est en réel danger de mort" ... En septembre, Marc Rees annonce qu'il a été débauché par L'Informé, La Presse Libre ferme définitivement ses portes. ... recruter Mathilde Saliou ... puis Martin Clavey ... En juin 2023, Christophe Neau déclare que "Next INpact vit ses dernières semaines ... en septembre, qu'il revend ses parts à Ferdinand, par l'intermédiaire du groupe IT et télécoms piloté par ce dernier, au sein duquel figure l'opérateur B2B moji. ... assurer que Next continue à être le média de référence du Web francophone en matière de tech, de numérique et d'enjeux associés ...
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- permettre la ré-utilisation sans trahir les propos des intervenants.
Graphisme, messagerie, cloud… des acteurs du logiciel libre offrent des alternatives aux Gafam
Alternatives –Technologies libres
Des associations proposent des services pour dire au revoir à Google ; des entreprises choisissent de ne travailler qu’avec des logiciels libres. L’écosystème du numérique libre se développe en France. Focus sur des initiatives bretonnes.
par Rachel Knaebel
23 juillet 2025 à 09h30 Temps de lecture : 8 min.
Deux hommes regardent des écrans d'ordinateur portable, ils sont vu de trois-quarts dos, sur un fonds bleu sur lequel on distingue des logos de dizaines de logiciels libres.
Montage ©Nathalie Quiroga
« C’était la première fois que je voyais des informaticiens de gauche. » Aurore Denis est développeuse informatique. Avant, le logiciel libre, elle ne connaissait que « de loin ». Tout cet univers fait de logiciels au code ouvert, que les utilisateurs ont la liberté d’utiliser, de copier, de modifier et de distribuer, n’était pas vraiment au programme dans sa formation. « Dans mes études d’informatiques, j’ai travaillé un peu sur Linux [un système d’exploitation open source, ndlr], mais pas beaucoup plus. »
... a rejoint le collectif breton Kaz, une association qui propose des services numériques basés sur des logiciels libres et hébergés en Bretagne. À Kaz, « la moitié de gens sont des informaticiens du logiciel libre, l’autre moitié ne viennent ni de l’informatique ni du logiciel libre, mais plutôt du monde militant, et ont des années d’engagement derrière eux, explique Fañch, un autre bénévole de l’association. Kaz, c’est la rencontre de ces deux mondes, qui résonnent vachement bien ensemble. » Bruno Perera, par exemple, n’est pas informaticien. Il est entré à Kaz, « pour le projet politique », celui d’un numérique libéré de Google et des autres multinationales qui ont installé un oligopole sur les outils numériques.
« On a commencé à se réunir pour réfléchir à comment résister aux Gafam », résume Alain Rivat, ancien responsable informatique dans l’Éducation nationale, aujourd’hui retraité. C’est comme ça que Kaz est né en 2020 à Vannes (Morbihan), sur la promesse de proposer à prix réduit du « numérique sobre, libre, éthique et local ».
Alternative à Google Drive
... BigBlueButton, une solution de visioconférence ... des services d’hébergement de sites web, comme celui du média breton Splann !, de messageries mails, d’espaces de travail en commun en ligne (alternatifs aux Google Doc et Drive), de messageries instantanées d’équipe (sur Mattermost, solution alternative à Slack notamment), de formulaires en ligne… « On offre aussi de nouveaux services quand les associations expriment un besoin, par exemple PeerTube [alternative à YouTube, ndlr]
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de très petites entreprises, des syndicats, des associations.
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une solution alternative à Google Drive et Google Doc avec Nextcloud », un logiciel libre, précise François Merciol, qui est enseignant-chercheur en informatique ... Mattermost
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Le sens de la sobriété
... si vous n’utilisez pas certains services, on les désactive, et on les réactive à la demande ... la messagerie, ce n’était pas un lieu de stockage
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Chez les indés
La revue de presse du journalisme engagé : une sélection d’enquêtes, de récits, et d’alternatives parues dans la presse indépendante, directement dans votre boîte mail.
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une mise à jour de Windows peut obliger les utilisateurs à acheter un nouvel ordinateur.
... cinq serveursindispensables pour les services proposés. « Nous n’avons pas l’objectif de multiplier les utilisateurs. Quand on arrivera à nos limites, d’autres devront prendre le relais », souligne Didier, in
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« C’est local »
... Framasoft ... dizaines de structures proposant des services en ligne « libres, éthiques et décentralisés » qui permettent de trouver rapidement des alternatives aux Gafam respectueuses de nos données et de la vie privée ... « chatons » pour « collectif des hébergeurs alternatifs, transparents, ouverts, neutres et solidaires ».
Sur le même sujet « Faire quelque chose, le partager », sans visée commerciale : le combat du logiciel libre n’est pas mort
...
Infini ... existe depuis… 1995 ... des gens qui viennent chez nous, car c’est local. Nos serveurs sont à Brest, et nos services sont gratuits contre une adhésion à prix libre. On a une bonne réputation, plein de sites brestois sont hébergés en infini.fr. »
Des logiciels d’animation 3D à zéro euro
... des entreprises privées lucratives engagées pour le logiciel libre. À Rennes, Activ Design, créée en 2011, est un centre de formation au graphisme et un studio graphique qui ne travaille qu’avec des logiciels libres ... valoriser professionnellement ces outils, dit Elisa de Castro, l’une des fondatrices ... le CMS Wordpress [Un CMS, Content Management System, est un logiciel qui permet de créer, gérer et modifier le contenu d’un site web
Sur le même sujet Profs, parents d’élèves et activistes se bougent pour libérer l’école de l’emprise de Google et Microsoft
Dans le domaine du graphisme, Activ Design utilise et forme par exemple aux logiciels libres Blender, pour l’animation en 3D, à Krita pour la peinture numérique, Gimp pour la retouche d’images, Scribus pour la mise en page, Godot Engine, pour créer des médias interactifs en 3D ou en réalité virtuelle, ou encore Inkscape, pour le dessin vectoriel, réaliser des illustrations ou schémas.
« Inkscape est beaucoup utilisé dans l’industrie ... réaliser des plans de vol, explique Cédric Gémy, développeur 3D et chef de projet ... Utiliser le logiciel d’animation 3D Blender coûte zéro euro, alors pour que l’outil Autodesk Maya, la licence coûte plus de 2200 euros par an. ... des graphistes viennent se former à ces logiciels libres souvent ignorés dans les écoles, et des non-graphistes s’initient aux bases du métier avec des outils accessibles.
...
« Où veut-on mettre son argent ? »
Un autre modèle pour une entreprise active dans le logiciel libre peut être d’accompagner les utilisateurs dans la mise en place des outils. Toujours à Rennes, une coopérative, la Scop Ézéo, s’est créée en 2023 pour aider associations et petites entreprises à passer à des solutions libres, comme l’espace de travail collaboratif Nextcloud.
« Le secteur des logiciels d’espaces de travail est dominé par le duopole de Microsoft, avec Office 365, et Google avec sa suite », pointe Samuel Louvel, fondateur d’Ézéo ... des personnes qui ont souvent une vision politique de ce qu’est le numérique et veulent que leurs usages s’accordent avec leurs valeurs ... Nextcloud propose certes une version gratuite pour les particuliers, mais payante pour les entreprises
...
Boîte noire
À Basta!, on utilise aussi les services de Netxcloud pour nos documents partagés et pour nos travaux collaboratifs en ligne, jamais Google Drive. Et le système sur lequel repose notre site Internet (CMS) est également un logiciel libre, Spip.
Mots-clés : Technologies libres , Travailler autrement, Economie partagée
Nature Climat Luttes Alternatives Monde
Reportages Enquêtes Idées
Édito — Vie de Reporterre
Mis à jour le 18 juillet 2025 à 15h50 - Durée de lecture : 2 minutes
Vie de Reporterre Médias Le Monde d’après
L’histoire de Reporterre est intimement liée à celle de Hervé Kempf, son fondateur. À l’occasion de son départ à la retraite, il revient sur son parcours, raconte la création du média et nous fait revivre les temps forts de l’écologie dans un podcast en 4 épisodes.
Pour comprendre un journal, il est bon de connaître son fondateur. L’histoire de Reporterre est intimement liée à celle de Hervé Kempf. Au micro de Rémi Dybowski-Douat, le journaliste livre, à l’occasion de son départ en retraite, un récit intime et politique qui dessine les contours du quotidien de l’écologie.
Sous l’impulsion et la direction de Hervé Kempf, le journal a connu plusieurs vies. La première a démarré en 1989. Un mensuel du nom de Reporterre, en format papier, tiré à 26 000 exemplaires, accompagnait le réveil de l’écologie. Le titre — dont la parution avait été interrompue pour des raisons financières — a fait son retour en 2007, avec le lancement sur internet d’un blog lancé par Hervé Kempf pour accompagner son livre Comment les riches détruisent la planète. En 2012, la troisième vie de Reporterre a commencé avec son départ du Monde et la professionnalisation d’un journal parti de rien et qui a rapidement grandi.
Treize ans plus tard, Reporterre compte 31 salariés dont 26 journalistes qui alimentent deux lettres d’info, un podcast, des vidéos et un site qui compte chaque année plus de 32 millions de visites. En ce mois de juin 2025, alors que le journal est en pleine santé financière et que les lecteurs et lectrices sont au rendez-vous, une nouvelle page se tourne avec le départ de Hervé Kempf.
Il a posé les fondations de ce qu’est aujourd’hui Reporterre :
- Un site en accès libre parce que l’écologie nous concerne tous et toutes ;
- un média indépendant grâce aux 46 000 donateurs et donatrices qui lui donnent les moyens de produire chaque jour une information de qualité ;
- un journal animé par la conviction que l’écologie est la question du XXIe siècle. Et, par la certitude que cette écologie ne peut être que politique, indissociable de la justice sociale ;
- un collectif soudé qui, dans sa production comme dans son fonctionnement, refuse les rapports de domination.
Ces ingrédients qui font la force et la singularité de Reporterre trouvent leur origine dans l’histoire et l’énergie de son fondateur. Des radios libres à la rédaction du Monde, des manifestations étudiantes contre la loi Debré à Notre-Dame-des-Landes, du choc de Tchernobyl au journalisme scientifique, Hervé Kempf raconte, dans un podcast en quatre épisodes, un parcours au service de l’écologie et du journalisme.
Épisode 1 : De l’agitation étudiante au journalisme
Épisode 2 : Du choc de Tchernobyl à la fin du Monde
Épisode 3 : De la zad à la critique du capitalisme et des élites
Épisode 4 : Reporterre, le combat de l’indépendance
Connue / https://ciret.hypotheses.org/le-ciret/sites-des-membres-et-contacts
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Ethnologue, chercheure associée au Laboratoire Environnement Ville Société (UMR 5600 CNRS), Université de Lyon https://umr5600.cnrs.fr/fr/lequipe/name/edith-planche/, ainsi qu’artiste et aquarelliste, mon travail anthropologique cherche à montrer comment la rupture entre science et art est de même souche que la rupture entre nature et culture. C’est ce clivage que je vise à réconcilier à travers la structure SeA, Science et Art que j’ai fondée en 2000 et dirigée pendant 20 ans, avec la conception de supports d’éducation à l’environnement par l’art et l’ethnologie, rassemblés dans « La mallette des merveilles du fleuve » http://science-et-art.com/Mallette-Pedagogique. Ces supports pédagogiques dont je suis auteur et pour certains illustratrice, ont été conçus en faisant le départ avec le réflexe artistique mais aussi en posant l’anthropologie comme possibilité subversive de renversement de paradigme, dans une démarche transdisciplinaire. Les entrées pédagogiques considèrent l’art comme un outil de cognition autant qu’un outil de médiation et médiatisation, favorisant l’éducation au territoire s’intéressant au patrimoine naturel aussi bien que culturel. Mon ouvrage de référence Eduquer à l’environnement par l’approche sensible. Art, ethnologie et écologie, publié en juin 2018, est préfacé par Allain Bougrain-Dubourg et postfacé par Jean Malaurie. Ce livre établit des ponts entre théorie et pratique, puis entre « science » et « art » pour forger une éducation à l’environnement par le sensible. https://www.youtube.com/watch?v=KfCM_jjJKHg (Conférence à 18mn)
edith.planche@orange.fr
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289 000 personnes ont signé - Photo: Ricardo Stuckert / PR - Publié le 18 juillet 2025
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À l’attention du président Lula et du gouvernement brésilien:
Le futur de l’humanité et la santé de notre planète sont en jeu. Les citoyens du monde entier vous demandent de faire tout votre possible pour préserver l’Amazonie et l’ensemble des écosystèmes du Brésil. Voici ce que nous voulons:
- Mettez votre veto au «projet de la dévastation» et à tout autre texte antiécologique adopté par le Congrès;
- Demandez des comptes aux entreprises privées pour avoir empiété sur terres protégées.
3000 territoires - plus d’un tiers de toutes les terres autochtones - sont sur le point de perdre les protections juridiques qui leur permettaient d’échapper à une exploitation massive depuis des décennies.
L’Amazonie est dans le collimateur, et la ministre de l’Environnement elle-même a parlé d’un «coup mortel» porté aux ambitions environnementales du Brésil. Le président Lula pourrait mettre son veto à cette «loi de devastation», mais il n’a que quelques jours pour agir.
Connue / https://bsky.app/profile/greubelinux.bsky.social/post/3lunostlekc24
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GREUBE HUMAINE @greubelinux.bsky.social · 2 h
Bonjour @LulaOficial – vous voulez être un vrai leader et tenir vos promesses? Commencez par poser votre véto sur le "projet de la dévastation" #VetoItLula #NoToTheDevastationBill
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Des hommes portent des sacs de farine, à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 22 juillet 2025 ©AFP
Hier, l’ONU a accusé Israël d’avoir tué plus de 1000 personnes venant chercher de l’aide humanitaire à Gaza en deux mois.
Gaza est devenu un territoire où la guerre se mène aussi par la privation. Plus de deux millions de civils y vivent sans électricité, sans accès régulier à l’eau potable, et avec moins de 10 % du volume humanitaire nécessaire pour survivre, selon l’ONU. La famine fait rage. Les hôpitaux, ciblés ou débordés, s’effondrent. Les ONG, entravées par les deux camps, sont à bout.
En plus des frappes, le gouvernement israélien verrouille tout avec un blocus renforcé, soumettant chaque convoi humanitaire à une série de contrôles qui transforment l’urgence en labyrinthe bureaucratique, et la survie en négociation. Le Hamas, de son côté, oriente la distribution de l’aide à des fins politiques. Cette double emprise transforme l’action humanitaire en instrument de guerre. L’aide devient un levier de pression ; son absence, une stratégie.
Le droit humanitaire mis à mal depuis 2008
Sommes-nous en train d’assister à un tournant ? Ce n’est pas nouveau à Gaza. Depuis 2008, les conflits successifs ont mis à mal le droit humanitaire. Mais cet été marque une rupture. Les Nations unies, l’Organisation mondiale de la Santé, le Comité international de la Croix-Rouge ou encore Médecins sans frontières ne parlent plus seulement de difficultés, mais d’obstruction systématique. Et ce glissement n’est pas cantonné à l’enclave palestinienne.
De l’Éthiopie au Yémen, de l’Ukraine à la Syrie, l’aide humanitaire est de plus en plus soumise à des logiques de guerre. Même les principes du droit humanitaire – la neutralité, l’impartialité, l’accès inconditionnel – semblent remis en cause. Les ONG sont perçues comme suspectes, les journalistes comme indésirables.
À Gaza, la presse internationale est bannie. Lundi, des journalistes de l’AFP ont publié une lettre pour alerter sur la situation de leurs collègues privés, entre autres, d’eau et de nourriture. Cette alerte, lancée après la mort de plus de 200 journalistes depuis octobre, montre que l’information, elle aussi, est devenue un champ de bataille. Ces évolutions traduisent une tendance lourde : la guerre ne se limite plus aux combats sur le terrain, elle s’exerce aussi dans la gestion ou le blocage de l’aide, et transforme la misère en arme.
Inaction générale
Comment réagissent les grandes puissances ? Leurs réactions sont révélatrices. Hier, la France a appelé à un “cessez-le-feu immédiat” à Gaza, et exigé – je cite – un « accès de la presse pour montrer ce qu’il s’y passe ». Mais son alignement diplomatique avec Israël limite sa capacité d’action. L’Union européenne en appelle au droit international, mais reste sans leviers. Les États-Unis, alliés d’Israël, déplorent la situation humanitaire tout en continuant leurs livraisons d’armes. L’ONU, paralysée par les divisions du Conseil de sécurité, assiste impuissante à l’érosion de ses propres principes fondateurs. Et dans cette inaction générale, les acteurs humanitaires doivent naviguer entre menaces armées, sanctions financières et surveillance numérique. À Gaza comme ailleurs, ils deviennent les prisonniers d’un monde où la souffrance des civils n’est plus un scandale absolu, mais un outil.
L’interrogation est donc majeure : sommes-nous en train d’assister à une bascule historique où le droit humanitaire, formalisé au 20e siècle pour limiter les souffrances en temps de guerre, devient dépassé ? En tout cas, dans les ruines de Rafah, dans les hôpitaux sans morphine, dans les appels à l’aide restés sans réponse, c’est une certaine idée de la guerre – et de l’humanité – qui vacille. Gaza n’est plus seulement une tragédie. C’est une ignominie. Celle d’un monde où l’on tue en silence, en coupant l’eau, l’aide, l’image. Et où sauver des vies devient plus que jamais un acte de résistance morale et politique.
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Clés : Monde Info Géopolitique Bande de Gaza Conflit israélo-palestinien Hamas Benyamin Nétanyahou
François Ruffin, invité de la Matinale de France Inter ©Radio France - Grégoire Nicolet
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François Ruffin, député Debout ! de la 1ʳᵉ circonscription de la Somme, était l'invité de France Inter ce mercredi pour évoquer le budget, la loi Duplomb et le renvoi en correctionnelle de Rachida Dati.
Avec François Ruffin, homme politique français
"Le rôle du gouvernement est de protéger les agriculteurs contre le dumping, mais surtout de protéger la santé des Français", estime ce mercredi sur France Inter le député de la Somme François Ruffin, interrogé sur le débat suscité par la loi Duplomb, qui réintroduit sous conditions l'acétamipride. Cet insecticide de la famille des néonicotinoïdes est utilisé notamment pour la culture de la betterave.
Pour François Ruffin, plusieurs problématiques se retrouvent dans ce débat, à commencer par le revenu des agriculteurs. "L'Union européenne a dérégulé complètement le secteur de la betterave. Elle a fait exploser les quotas de production et d'importation", regrette le député Debout! de la Somme, dénonçant un "dumping". François Ruffin dit aussi comprendre les agriculteurs français qui dénoncent une concurrence déloyale avec l'interdiction de l'acétamipride en France et pas dans les autres pays européens. "Mais quelle doit être notre attitude à nous ? Elle ne doit pas être une attitude de venir baisser les normes environnementales, les normes de protection de la santé des Français. Ça doit être de tout faire pour qu'en Europe, on relève ces normes", observe le député.
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"Ce dont on parle, c'est de la santé des gens. Quel est le rôle d'un gouvernement ? C'est de protéger. De protéger les agriculteurs contre le dumping, mais surtout de protéger la santé des Français", insiste-t-il.
Il appelle aussi à "protéger la démocratie". Sur la loi Duplomb, "on a quand même eu, dans un premier temps, un vote sans débat. Là, ce qu'on nous promet pour la rentrée, c'est un débat sans vote. C'est pas possible que ça fonctionne comme ça !", dénonce François Ruffin. Ainsi, évoquant les signataires de la pétition contre la loi Duplomb, il dit souhaiter que "quand il y a un million de personnes qui prennent leur carte d'identité, qui font cet effort-là en ligne, il doit y avoir un référendum d'initiative citoyenne".
Par ailleurs, face aux économies annoncées par le gouvernement dans le prochain budget et notamment la suppression de jours fériés, et face au débat suscité par la loi Duplomb, François Ruffin appelle à une "censure populaire". "Il y a un désaccord avec l'orientation choisie pour notre pays, et moi ce que je souhaite, c'est qu'avant une censure parlementaire, il y ait une censure populaire, il y ait les gens qui viennent exprimer dans la rue leur colère", lance-t-il.
"Quand on va avoir un passage pour corruption devant le tribunal correctionnel, la décence voudrait qu'on se mette en retrait de la vie publique"
Interrogé également sur le renvoi en correctionnelle de la ministre de la Culture Rachida Dati pour corruption dans l'affaire Carlos Ghosn, François Ruffin estime que "la décence voudrait qu'elle se mette en retrait de la vie publique". La ministre a fait appel de cette décision.
"Il y a un grand souci de rapport des gens à la politique et quand il y a une mise en cause judiciaire, cela participe à la désagrégation du lien avec les politiques", regrette le député Debout! de la Somme, anciennement à LFI. "Irréprochable, personne ne l'est. Mais quand on est ministre, on a une responsabilité particulière, on représente une partie du pays et des citoyens et à ce titre-là, quand on est mis en cause, mis en examen, quand on va avoir un passage pour corruption devant le tribunal correctionnel, la décence voudrait qu'on se mette en retrait de la vie publique pendant ce temps-là", affirme François Ruffin.
Rachida Dati a indiqué mardi soir sur LCI qu'elle ne "renoncerait sur rien", ni à son poste de ministre, ni à ses ambitions pour la mairie de Paris. Elle a reçu le soutien du ministre de la Justice, Gérald Darmanin, et va rester au gouvernement, a indiqué l'entourage d'Emmanuel Macron.
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Or, face au sérieux des déficits publics, il existe des solutions qui intègrent les plus hauts revenus comme la contribution des entreprises.
Il est temps de reposer la question :
- des entreprises qui continuent à percevoir chaque année 211 milliards d'euros d'aides publiques, sans transparence, ni évaluation, et surtout sans conditionner ces aides à l’atteinte de quelconques objectifs en matière d’emploi, de qualité de l’emploi, ni de respect d’ambitions sociales ou environnementales.
- des dividendes records, surtout, en cas de licenciements ou délocalisations,
- de la justice fiscale concernant les hauts revenus qui échappent à toute contribution réelle.
Et tout cela alors que des rapports récents montrent l’indécence de cette situation au vu de l’explosion des inégalités et du nombre dramatique de personnes basculant en dessous du seuil de pauvreté.
Le problème de la dette, c’est d’abord le manque de recettes. Il est temps d’accepter d’ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale !
Pas question que ce soient encore les travailleuses et travailleurs, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraité·es qui payent la facture, à la fois financièrement, mais aussi dans une flexibilité encore intensifiée !
L'ensemble des organisations syndicales appelle à refuser ce musée des horreurs, à défendre ensemble notre modèle social et la dignité au travail.
Ce que nous attendons, c'est un projet respectueux pour le Pays, porteur d’espoir et de justice.
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Connu / TG le 20/07/25 à 16:50
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La pétition à signer contre la Loi Duplomb : https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014
On compte sur vous pour partager un max ! (à l'heure où je publie on est plus de 400.000 à avoir signé la pétition ! C'est énorme ! )
00:00 - Introduction
01:15 - C'est quoi en fait la Loi Duplomb ? Menace ou Chance ?
02:03 : Le faux argument de la compétitivité
04:13 : Dangereux ou pas les néonicotinoïdes
05:54 : Qui se cache derrière la Loi Duplomb (les lobbies ?...)
08:45 : VOUS POUVEZ AGIR !
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Présentation, Réalisation, Montage : Noé Michas
Musique : Prinzly
Personnes mentionnées
1 personne Laurent Duplomb
Connu / TG le 20/07/25 à 00:03
Connu / TG le 20/07/25 à 18:15
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ici, le média de la vie locale
Dans le cadre du festival « Haro » organisé ce week-end par le collectif Piscines nucléaires stop à Vauville, près de 800
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Connu / TG le 11/07/25 à 12:45
Connu / TG le 21/07/25 à 14:08
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FNE a une campagne en direction des préfets contre la présence des pesticides dans l'eau. Leur objectif est l'interdiction des pesticides dans les aires de captages, objectif qui fait directement écho à la mesure 3 de notre Manifeste (même si nous, nous visons plutôt les mairies).
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