Proposition envoyée par France Travail
Offre d'emploi
Offre n°195BYLX
Médiateur (H/F)
16 - ANGOULEME
Publié le 10 juillet 2025
Logélia assure les missions de construction, réhabilitation et gestion de plus de 8 000 logements sociaux.
Nous recherchons un(e) Médiateur(trice) afin d'intégrer l'Agence de l'Angoumois. Rattaché(e) à la Directrice d'Agence, il (elle) intervient afin d'assurer la médiation avec les locataires. Il (Elle) participe à la politique qualité de service de l'Office.
VOS MISSIONS
- Apporter son expertise aux équipes de proximité en les conseillant sur la façon d'appréhender des relations conflictuelles
- Intervenir dès lors qu'un locataire refuse tout contact avec Logélia afin de tenter une mobilisation de sa part avant une judiciarisation du dossier
- Participer à la définition, à l'élaboration et au suivi des politiques concernant la gestion des troubles et incivilités pour des publics spécifiques en intégrant et participant à l'animation du réseau de partenaires
- Mener à bien des enquêtes de voisinages et intervenir à domicile en appliquant les méthodes d'intervention adéquates et en mobilisant si besoin le(s) partenaire(s) pour une approche globale de la situation
- Réaliser de la médiation entre locataires pour réguler les tensions et renouer le dialogue
- Superviser les réponses aux pétitions et aux réclamations faisant état d'un différend entre locataires
- Créer et animer des relations étroites avec l'ensemble des partenaires institutionnels et associatifs engagés en matière de prévention, médiation et tranquillité résidentielle pour résoudre les difficultés rencontrées par les locataires
- Intervenir auprès de locataires présentant des troubles de comportement en lien avec les tuteurs et les curateurs
- Créer des conditions de dialogue entre les habitants et les institutions pour faciliter les concertations entre locataires et institutions
- Lancer et suivre les procédures d'expulsion en matière de troubles du voisinage
VOTRE PROFIL
- Formation supérieure (dès niveau Bac+3) en métiers de la cohésion sociale, ou équivalent
- Expérience : A partir de 5 ans sur un poste similaire
- Bonne capacité rédactionnelle
- Bon relationnel avec les équipes, les prestataires et les locataires
- Capacités d'observation, d'analyse et de préconisations relatives aux situations rencontrées dans son activité (veille sociale, diagnostic de situation, .)
- Adapter son mode relationnel au public concerné et savoir communiquer dans un contexte d'interculturalité
- Maitrise des outils informatiques
NOS CONDITIONS DE TRAVAIL
- 13ème mois
- Titres Restaurant
- Mutuelle
- Prévoyance
- Transports
- Télétravail possible à partir d'un an d'ancienneté
Type de contrat CDI Contrat travail
Durée de travail 39H/semaine Travail en journée
Salaire Salaire brut : Mensuel de 2100.0 Euros sur 12.0 mois Chèque repas Mutuelle
Profil souhaité
Expérience 5 An(s)Cette expérience est indispensable
Compétences
- Entrer en contact avec la population et promouvoir les initiatives (réunions de concertation, consultations, …) Cette compétence est indispensable
- Organiser une médiation sociale Cette compétence est indispensable
Savoir-être professionnels
- Avoir l'esprit d'équipe
- Etre à l'écoute, faire preuve d'empathie
- Organiser son travail selon les priorités et les objectifs
Informations complémentaires
- Qualification : Employé qualifié
- Secteur d'activité : Location de logements
Employeur
LOGELIA CHARENTE
Ndlr : le médiateur est une fonction de non-pouvoir afin de garantir l'impartialité. Comment lui demander de sanctionner en lançant les procédures d'expulsion ? Dénoncer ACT
L'essayiste Jean-Louis André est notre invité du grand entretien ce dimanche. - FPA
Jean-Louis André : "Il va falloir trouver des formes de logement qui sont entre le collectif et l'individuel" - Dimanche 15 juin 2025 - L'invité de 8h20
L'invité du grand entretien de ce dimanche est Jean-Louis André, réalisateur de documentaires et essayiste, auteur de “Notre chez-soi. La maison des Français depuis les Trente Glorieuses” (Odile Jacob).
La France connaît une pénurie de logements, constate Jean-Louis André qui constate une contradiction "qui crée des tensions chez les gens" entre "l'injonction" à faire de son logement un "showroom personnel" et "en même temps, beaucoup de choses standardisées. En plus, il
il y a une inflation sur les prix qui fait qu'on a de moins en moins accès au logement qu'on voudrait", note le réalisateur.
L'arrivée des grands ensembles
Jean-Louis André retrace l'évolution du logement en France depuis les Trente Glorieuses avec l'apparition des grands ensembles dans les années 1960. À l'époque, il y a "une vraie concurrence" entre les "vrais mal logés", issus des bidonvilles "qui regardent pousser ces bâtiments-là avec envie" et "la classe moyenne qui est toujours logée dans les centres-villes dans des appartements où les toilettes sont sur le balcon". "Ces deux publics se font concurrence pour le HLM de l'époque qui passe pour une promotion", rappelle l'auteur de “Notre chez-soi. La maison des Français depuis les Trente Glorieuses” (Odile Jacob).
Au début des années 1980, la France va "se pavilloniser", relate encore Jean-Louis André. Mais le rêve de maison individuelle n'est pas sans conséquences. "Ça prend beaucoup plus de place donc ça prend plus de services publics, plus de routes", liste l'essayiste. Ce modèle est "écologiquement, difficilement soutenable donc il va falloir trouver des formes qui sont entre le collectif et l'individuel".
Clés : Arts et Divertissement Livres Arts visuels Essais – Livres d'art Architecture
Lecture : 7 minutes
Le DPE, pour « diagnostic de performance énergétique », est un incontournable pour qui souhaite vendre ou louer un bien immobilier. Cet outil permet d’estimer la consommation d’énergie d’un logement ou d’un bâtiment, et d’évaluer ainsi son impact écologique
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document de référence
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créé en 2006. Cet outil de mesure sert à renseigner sur la performance énergétique d’un logement ou d’un bâtiment, en évaluant sa consommation d’énergie et son impact en termes d’émission de gaz à effet de serre.
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L’association d’HAbitants de Logements Ephémères ou Mobiles a été créée afin de répondre aux besoins de la population qui choisit ce mode d’habiter, quelle qu’en soit la raison.
HALEM c’est quoi ? C’est une association d’habitants et de sympathisants qui participe et qui s’active pour défendre les droits de ces habitants et de leurs modes de vie. C’est la force de penser et de faire ensemble.
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Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?CrnCbQ
Clés : Environnement Interviews Mode de vie Ressources naturelles
Publication : 23/08/2023 - Mis à jour : 04/01/2024
Picture of Thomas Wagner
Dans La ville stationnaire, un livre clair, bien illustré et abordable, Sophie Jeantet, Clémence De Selva et Philippe Bihouix passent au peigne fin la croissance des villes qui est devenue insoutenable. Au menu : étalement urbain, déconstruction de la smart city, la Zéro Artificialisation Nette, et une tonne de solutions.
L’étalement urbain accélère l’érosion de la biodiversité et contribue au changement climatique. Votre ouvrage rappelle que la définition d’un sol artificialisé n’est pas aussi simple que nous pourrions le penser…
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Parmi les solutions, vous proposez de passer de la Zéro Artificialisation Nette à la Zéro Artificialisation Brute…
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promesse de la smart city ... vole en éclats ... L’abandon par SidewalkLabs (filiale du groupe Alphabet, la maison-mère de Google) du projet de la friche Quayside à Toronto au printemps 2020 a fait l’effet d’une douche froide (officiellement, le projet, qui avait provoqué l’enthousiasme à son lancement, a été abandonné pour des raisons financières, mais de vraies difficultés avaient surgi sur la possible marchandisation des données personnelles des futurs habitants). Il y a des effets de mode, comme partout : en ce moment, c’est l’IA qui tient la dragée haute, après le long-feu du métavers de Zuckerberg… Mais l’idée reste très implantée en Asie et au Moyen-Orient ; les projets délirants comme The Line, en Arabie Saoudite, sont obligatoirement smart, cela va sans dire (et forcément green, bien évidemment).
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matériaux biosourcés, qui représentent une belle opportunité pour décarboner nos bâtiments ... des limites dans l’application de passage à l’échelle
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l’inversion de la tendance de la décohabitation ... divorce ... c’est multi factoriel, que les luttes féministes, l’émancipation des femmes ... la taille moyenne des foyers français est passée de 3,1 personnes dans les années 1960 à 2,2 personnes aujourd’hui ... La séparation des conjoints n’est qu’un facteur de décohabitation parmi d’autres, aux côtés du vieillissement de la population ou de bonnes nouvelles comme l’augmentation du nombre d’étudiants ... le parc de logements vacants augmente – aujourd’hui plus de 8% du parc total, soit 3 millions de logements, dont 1,1 million depuis plus de deux ans. On « fabrique » des dizaines de milliers de logements vacants par an, parce qu’ils sont situés dans des régions ou des zones moins attractives, que leur taille, leur prix, leur localisation, leur contexte urbain, leur ancienneté (voire leur état d’insalubrité nécessitant des travaux que le propriétaire ne peut ou ne souhaite pas prendre en charge) ne conviennent pas aux ménages qui veulent s’installer ... la métropolisation participe à ce phénomène. 15% des communes françaises n’ont jamais été aussi peu peuplées ... depuis 1876.
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pour contrer l’étalement urbain est ce que cela voudrait dire « concrètement, vieillir à plusieurs, garder ses enfants ou parents à la maison » ... On voit apparaître de très belles innovations, tout un continuum de “solutions” qui s’expérimentent ou se développent, qui demandent plus ou moins d’engagement personnel et de socialisation : le béguinage, la cohabitation intergénérationnelle, l’accueil d’étudiants dans les familles ou chez les retraités, les programmes d’habitat partagé dans le petit collectif, qui permettent de mutualiser des pièces comme la buanderie, une salle de jeux pour les enfants, une chambre supplémentaire pour accueillir les visiteurs, les espaces extérieurs…
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Vous rappelez en citant Sophie Divry que le rêve de la maison individuelle et du grand jardin est avant tout une construction sociale ... sujets délicats ... Ce n’est pas tant les maisons individuelles qui posent problème, que le fait que beaucoup d’entre elles sont sous-occupées, qu’on ne sait pas les adapter aux situations familiales évolutives, que les « parcours résidentiels », comme on dit, sont très peu fluides, dans le parc privé comme dans le parc social.
L’une des propositions centrales de votre livre est que « pour construire mieux, nous n’aurons d’autres choix que de construire moins » ... Construire moins (de neuf) permettrait en outre de mobiliser les moyens humains, organisationnels et financiers sur la rénovation thermique, la réhabilitation et la transformation du parc existant.Nous sommes pour le moment très, très loin du rythme de croisière à atteindre: pour « tenir » la trajectoire de neutralité carbone, selon les scénarios, il faudrait rénover 800 000 à 1 million de logements par an, parallèlement à 3% du parc tertiaire et de bâtiments publics, sans fléchir pendant une trentaine d’années. Cela signifie au bas mot une multiplication par vingt du rythme actuel.
Plus d’un tiers de votre livre offre des solutions concrètes. Comme les synthèses du rapport du GIEC, nous avons déjà les solutions ... mieux utiliser, intensifier l’usage du bâti existant, on l’a évoqué avec les logements vacants ou sous-occupés. Mais c’est vrai aussi des bâtiments publics, des bureaux, des locaux commerciaux ou d’activité : on peut agir sur la multifonctionnalité, l’usage en fonction des horaires ou des périodes (le gymnase qui sert aussi de marché couvert, l’école de lieu d’accueil des clubs et associations le soir et le week-end, la salle de classe qui se transforme l’été en logement touristique – il y a déjà des exemples ! – etc.), la mutualisation (particulièrement pertinente dans les zones d’activités qui ont été construites à une époque où le foncier n’était pas un sujet de préoccupation). ... mener des projets urbains, faire de la densification « douce » dans le tissu pavillonnaire et les centres-villes, transformer intelligemment les formes bâties (élévations sur l’existant, découpage de logements…). Comparées à la production « classique », c’est évidemment de l’épicerie fine, de la haute-couture, plus complexe à mettre en œuvre… ... la métropolisation, la concentration des populations autour de « locomotives économiques » a été favorisée, amplifiée, accompagnée par les politiques publiques ... Mais la croissance des grandes villes révèle désormais sa face sombre : effets contre-productifs d’une croissance trop rapide, saturation des équipements et des infrastructures de transport, relégation des plus modestes à la périphérie avec l’augmentation du prix du foncier, perte d’identité progressive avec une « standardisation » des constructions neuves et des offres adaptées aux visiteurs touristiques… et une plus grande vulnérabilité aux crises potentielles et aux effets de changement climatique (îlots de chaleur urbain, etc.).
Si nous voulons gagner en résilience, les métropoles ne doivent plus grandir, mais essaimer
...
ces nouvelles orientations d’aménagement du territoire ne doivent pas être perçues comme une difficulté supplémentaire, qui viendrait s’empiler sur toutes les autres « transitions » à mener dans les décennies qui viennent, mais comme une « pièce du puzzle », car elles pourraient particulièrement bien s’articuler avec d’autres enjeux de la transition énergétique et environnementale, comme celui d’une nécessaire démobilité, en diminuant nos besoins de déplacements quotidiens, en rapprochant les zones d’emploi et d’activité des logements, en favorisant le maillage pour les mobilités actives ou celui de la mutation du système agricole vers des pratiques respectueuses du sol et du vivant, forcément plus intensives en travail humain. Les villes « idéales » sont déjà là, ce sont celles que nous avons sous les yeux, qu’il faut « réparer », entretenir, réinvestir, adapter aux enjeux futurs.
Connu / https://mamot.fr/@bonpoteofficiel/113412925266068037
Ndlr : terminer d'indexer, valoriser ACT
Conversation
- Cemil Şanlı @Cemil · 17 août
Encore une journée à Paris.
Nord, sud, centre, pas un endroit sans croiser le regard d'une personne à la rue.
Un homme par ici, une femme par là, parfois des groupes entiers. Des silhouettes discrètes, allongées sur un banc, sur le sol, dans un recoin, avec quelques affaires à leurs pieds.
Parfois au contraire, extrêmement visibles, en plein milieu d'un large trottoir, un corps abandonné comme un déchet jonchant le sol.
Et des tentes plantées à perte de vue dans tant de quartiers d'une ville qui compte tant de logements vides.
Ce soir, en scooter Porte de Vanves, une famille avec deux jeunes enfants. Là, dans la nuit, au seuil d'une tente déchirée, coincée entre le périph et la bretelle d'autoroute que j'empruntais alors.
La vue de ces deux fillettes d'à peine 4-5 ans peut-être, là dans le noir, sans rien, avec leurs pauvres parents, m'a déchiré le coeur.
Me voici à la maison, en sécurité chez moi, seul à taper ces quelques mots ici devant vous. Nous sortons d'une séquence politico-médiatique hors normes : les JO. Des milliards ont été dépensé, d'autres vont être encaissés par les mêmes sociétés voyous, et nos dirigeants osent nous parler "héritage social" sans honte. Alors que dans le même temps, c'est la répression qui est organisée.
Vivre ici, dans la capitale de la 7e puissance mondiale, et ouvrir les yeux sur cette violente réalité est absolument vertigineux.
1:37 AM · 17 août 2024 · 178,7 k vues
- 🧹 Niplumalin 🐢 @Niplumalin
Un bref retour au 27 juillet 2017 nous permet de mesurer, avec 7 ans de recul, toute la DIGNITÉ, toute l’HUMANITÉ, et toute l’EFFICACITÉ d’@EmmanuelMacron
0:08 / 0:25 10:08 AM · 17 août 2024 · 274 vues
Tr.: ... loger tout le monde dignement je ne veux plus d'ici la fin de l'année avoir des femmes et des hommes dans les rues, dans les bois ou perdus.
Un bâtiment de logements sociaux en cours d'isolation à Montreuil (Seine-Saint-Denis). ©AFP - Arnaud Paillard
47:00 mn
Dès l'an prochain, les logements classés en catégorie G devront avoir été rénovés pour pouvoir être loués. Suivront ceux classés F, qui devront avoir été mis aux normes avant 2028. Mais l'évolution et les incertitudes autour du dispositif MaPrimRénov' inquiètent une partie des propriétaires.
C’est un défi immense. Il ne reste que 9 mois pour respecter le calendrier de la loi Climat en matière de rénovation énergétique, et tout ou presque reste a faire: au premier janvier 2025, près de 600.000 maisons d’appartements , classés en catégorie G, devront avoir été rénovés ou inscrits dans un programme prévisionnel de travaux. Les logements classés en catégorie F, a peine mieux isolés, mal chauffés, mal entretenus, devront avoir été mis aux normes avant 2028. Au total, si rien n’est fait, près de 5 millions de passoires thermiques pourraient sortir du parc privé. Interdits a la location, avec à la clé, une aggravation de la crise du logement.
Les propriétaires et copropriétaires, ont souvent repoussé les travaux à faire aux calendes grecques, Pour éviter d’avoir de trop gros montants à investir. Ils découvrent aujourd’hui une montagne de devis, un Everest de la rénovation. Le projet global, il est a 1 million 200 mille, pour moi 50.000 c’est énorme.
Avec l’évolution de MaPrimeRénov', les ménages vont sans doute être mieux armés, mieux aidés dans les années qui viennent, mais le gouvernement hésite encore. Après avoir pris la décision ambitieuse de privilégier les projets de rénovation globale des passoires thermiques, les dernières annonces de l'exécutif autorisent finalement les propriétaires de bâtiments mal isolés à ne changer que leur système de chauffage, pour remplacer par exemple une vieille chaudière au fioul, sans toucher au reste.
A ces incertitudes, a ces inquiétudes, s’ajoutent une myriade de cas particuliers. Bâtiments trop fragiles, trop anciens, classés au patrimoine, avec de gigantesques chantiers de rénovation -longs et couteux- et un seul arbitre, le DPE, le diagnostic de performance énergétique. C’est cet indicateur qui classe les logements de la lettre A à la lettre G en fonction de leur performances et les fait basculer -lorsqu’ils sont trop mal isolés ou consomment trop-, dans la catégorie des passoires thermiques. Pour faire le calcul, plus question de prendre en compte les factures de travaux réalisés par les propriétaires, le diagnostic repose désormais uniquement sur les caractéristiques techniques des bâtiments.
Passoires thermiques, le grand chantier de la rénovation, un reportage de Claire Chaudière
Prise de son: Romain Luquens et Raymond Albouy
Réalisation: Jérôme Chélius, assisté de Martine Meyssonnier
Mixage: Bruno Mourlan
Clés : Environnement Arts et Divertissement Développement durable Arts visuels Architecture Logement - Habitation Urbanisme
L'équipe Aurélien Colly Production
Avec :
- Robin Rivaton, économiste, membre du conseil scientifique de la Fondapol
- Sandra Hoibian, directrice générale du CRÉDOC
- Henri Buzy-Cazaux, présidente fondateur de l'Institut du Management des Services immobilisers
- Corinne Jolly, Présidente de PAP - Particulier à Particulier
57% de propriétaires, ce taux n'a pas changé ... sentiment de déclassement, manque de fludité, manque de mobilité résidentielle, précarisation ... plan de 1 milliard d'€ pour l'habitat intermédiaire pour les classes moyennes ... mobil-home ... secteur victime d'injonctions contradictoires ... inventer de nouvelles solutions que les taux ... 6000 normes (avant 4000) ... recours, attitude des maires ... contrainte environnementales ... 150 000 logements en moins ... dégradation des conditions de logements en vue comme en Grande-Bretagne ... changement du rapport au travail pour meilleure qualité de vie, baisse d'attractivité de l'ile-de-France ... au profit des villes moyennes proches de la mer ... 3,6 millions de résidences secondaires en augmentation ... 3 millions de logements en ruine ... le niveau des impayés n'est que de 2%. Les relations propriétaire-locataire se passent bien ... déconcentrer ... l'Oise 2ème plus fort taux de chômage de France ... les naissances dans les zones urbaines ... développer les réseaux de transport ... clé des inégalités 50% des fr possèdent 95% du patrimoine, 2 fois plus élevé que les revenus ... le DPE de la loi ... et résilience ... changement de mode de calcul ... les diagnostics ne sont pas fiables ... en refaire un ... revoir formation et certification ...
Entre des zones rurales qui n'intéressent pas les promoteurs, des logements sociaux inexistants, des logements vacants que les propriétaires
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Connu / TG le 2/12/23 à 12:26
102 k abonnés - 80+ - 700 vues - 11 commentaires #NUPES #logement #Politique #franceinsoumise #Amfis2023 #Amfis #Melenchon #NUPES #France
(Re)Découvrez l'atelier "Droit au logement : passons à l'action !", tournée aux Amfis 2023, avec :
- William Martinet, député LFI-NUPES
- Diangou Traoré, militante des quartiers populaire et co-animatrice du pôle Auto-organisation et luttes
- Delphine Bouet, Collectif tous·tes un toit (TUT) Lorient
- Fatouma Camara, Alliance Citoyenne Seine-Saint-Denis
Tr.: ... Indice de référence des loyers (IRL) ... augmentation des loyers ... a eu plus de conséquences que la suppression de l'ISF ! ... passoires thermiques et bouilloires énergétiques ... changement en faveur des propriétaires ... rénovation thermique des logements ...
Connu /* TG le 18/10/23 à 23:21
Connu / mel du 20/6/23 à 13:14
En France, un logement sur dix est une résidence secondaire au sens fiscal.
Connu / TG le 19/01/23 à 11:28
Des associations de locataires réjouies, des propriétaires mécontents. Depuis le 1er janvier, les quelque 190 000 locations les ...
Connu / TG le 15/01/23 à 12:03
Il est temps de relancer un véritable service public du bâtiment et de réduire le reste à charge pour les plus modestes plaide Hendrik Davi.
...
Connu / TG 09/01/23 à 19:53
Logements pour parents solos : Ève, mère célibataire de 28 ans, est emballée par le projet
Ève, mère d’un garçon de 2 ans, veut s’installer dans un appartement pour parents célibataires afin de sortir de son isolement ...
Connu / TG 06/01/23 à 08:19
Que vont devenir les logements énergivores, qui ne peuvent désormais plus être loués ? / Le Monde.fr
Que vont devenir les logements énergivores, qui ne peuvent désormais plus être loués ?
Depuis le 1er janvier, les biens immobiliers classés G en fonction de leur consommation d’énergie sont considérés comme indécents.
Connu / TG le 7/01/23 à 20:37
Les logements inoccupés et non meublés situés en zone tendue sont soumis à la taxe sur les logements vacants, à payer en décembre, explique Laurent Chatel, avocat associé chez CMS Francis ...
Connue / TG le 11/12/22 à 23:03
Connu / MEL du projet EVS dans le doc "Outil Internet pour EVS"
"
Des informations susceptibles d’être utiles dans le cadre du projet EVS de Javerlhac et la Chapelle Saint Robert sont hébergées sur le site du Château di Logis
"
L’argent existe. Débloquons-le
Alors que les factures augmentent, que la planète se réchauffe et que la guerre en Ukraine, alimentée par les exportations de gaz et de pétrole russes, fait rage, il est clair que nous ne pouvons pas continuer à brûler des combustibles fossiles comme nous le faisons actuellement.
Nous devons prendre des mesures pour réduire drastiquement la consommation d’énergie dans les foyers partout en France. Si nous voulons atteindre nos objectifs de neutralité carbone d’ici à 2050, nous devons isoler 500 000 logements par an. Nous restons en retard sur ces objectifs.
Le déblocage des fonds dont nous avons besoin permettra de diminuer jusqu’à 90 % la facture énergétique des ménages et de créer plus de 100 000 emplois au cours de cette décennie. Nous ne pouvons plus nous permettre de retarder la transition écologique.
Interpellons le Ministre de l’Économie et le Président de la Banque de France. Signez la pétition pour les inciter à débloquer les financements pour la rénovation énergétique de nos logements.