« Manifestons contre l’extrême droite, pour la paix, les libertés et la justice sociale ». C’est l’appel lancé par l’intersyndicale ...
759 Signatures (1953 au 2/6)
Julien TROCCAZ 17/04/2025 19:35
Pour la sauvegarde et le développement des petites lignes ferroviaires, véritables lignes de vie de nos territoires !
Depuis une décennie, de nombreuses petites lignes ferroviaires ferment en France, symbolisant l’abandon progressif des territoires ruraux. Environ 3 000 kilomètres de voies ont ainsi disparu, accentuant la désertification rurale, freinant le développement économique local, renforçant l’isolement des habitants, les inégalités d’accès aux services publics et la dépendance à la voiture.
Pourtant, des réouvertures réussies, comme celle de la ligne Pont-Saint-Esprit – Nîmes, prouvent qu’un avenir ferroviaire pour tous les territoires est possible. Ces lignes de proximité sont essentielles pour engager une transition écologique socialement juste !
Nous demandons au Conseil économique, social et environnemental (CESE), assemblée représentative de la société civile, forte de 82 organisations et de 175 conseillers, de se saisir de cette question cruciale. Le CESE dispose de la capacité d’organiser une réflexion nationale, de mobiliser des expertises multiples, et de formuler des préconisations concrètes pour que l’action des responsables politiques et des collectivités contribue activement à la revitalisation des petites lignes ferroviaires et des territoires qu’elles desservent.
Si cette pétition atteint 150 000 signatures, le CESE se saisira officiellement du sujet et ouvrira ce débat public indispensable.
Nous appelons toutes et tous à signer cette pétition pour exiger un plan national ambitieux de sauvegarde et de développement du réseau ferroviaire de proximité. Pour refuser l’abandon de nos campagnes et défendre un train accessible et écologique pour tous, chaque voix compte !
Connue / https://bsky.app/profile/simon.duteil.solidaires.org/post/3ln5yfjqyok2z
entreleslignesentrelesmots dit :
17 mars 2025 à 9 h 49 min
Hanna Perekhoda :
La gauche doit rejeter le faux dilemme entre justice sociale et sécurité nationale
L’armement militaire et l’armement social ne doivent pas être opposés, mais il faut que la gauche présente des revendications offensives pour la production d’armes à la demande, l’abolition des paradis fiscaux et l’obligation pour les milliardaires de payer.
L'urine, ce nouvel or jaune - Publié le lundi 3 mars 2025 / La terre au carré
L'urine, ce nouvel or jaune ©Getty - karetoria
"Notre fumier est or" écrivait Victor Hugo dans les Misérables, regrettant que l'on "balaye à l'abîme" les urines. Un siècle et demi plus tard, le tout-à-l'égout et les stations d'épuration ont banalisé le rejet de nos déjections. Pourtant, l'or jaune pourrait bien devenir l'engrais de demain...
Avec Fabien Esculier, Chercheur à l’Ecole des ponts et Chaussées, ingénieur des Ponts, des Eaux et des Forêts, coordonnateur du programme de recherche et action OCAPI (sur les systèmes alimentation/excrétion et la gestion des urines et matières fécales humaines).
Le plus avantageux des fertilisants
L’urine est composée à 95% d’eau. Dans le résidu d’urée restant, on trouve environ 46% d’azote. L’azote est un facteur de croissance très important pour les plantes. Également riche en phosphore, potassium, fer, magnésium, calcium, zinc, cuivre, l’urine est ainsi un fertilisant particulièrement équilibré.
Pour Fabien Esculier, l'intérêt principal est que cette matière permet une circularité presque totale : la nature se nourrit de l’azote du sol, produit des protéines dont nous avons besoin et, une fois ingérées, nous les évacuons et elles peuvent enrichir les sols à nouveau. Sur une année, on peut fertiliser l’équivalent de 500 m carrés de cultures avec l’urine d’une seule personne !
C'est pour cela que, de l'Antiquité jusqu'au XIXe siècle, les déjections humaines et animales sont collectées puis revalorisées en retournant au champ. Les paysans se rendent dans les villes non seulement pour vendre leur production mais aussi pour récupérer les précieux engrais produits par les habitants ! C'est une économie vertueuse à part entière.
À écouter
Quand la laine de brebis devient engrais
L'esprit d'initiative
2 min
L'urine devient déchet au nom du progrès
Mais, au cours du XXe siècle, le paradigme change et la valorisation des excrétions ne représente plus qu'une simple alternative voire une méthode ancestrale désuète. Le progrès s'installe, prenant la forme de chasses d'eau et de réseaux de canalisations. La linéarité du processus s’impose, écrasant la circularité d’un modèle traditionnel vertueux.
En 1913, le procédé chimique Haber Bosch qui permet de synthétiser artificiellement l'azote est mis au point. On commence alors à se détourner des engrais naturels. En assurant désormais la fabrication d’engrais à partir de ressources fossiles, les urines deviennent inutiles, voire une véritable contrainte à gérer pour les collectivités.
Les eaux usées, ainsi déversées dans les rivières entraînent la dégradation de la qualité de l’eau. Des stations d’épuration sont alors conçues et déployées pour traiter ces eaux usées et limiter la pollution des cours d'eau. Mais, dans ces usines, les matières intéressantes sont trop diluées et il devient impossible de récupérer les nutriments qu’elles contiennent à ce stade de la chaîne.
Indépendance et sobriété
Le réemploi des urines humaines est un sujet de souveraineté très fort du point de vue agricole et alimentaire mais également au regard de notre indépendance face aux énergies fossiles. L’autonomie de la France en azote est d’à peine de 10%, le pays importe énormément et, depuis l’éclatement de la guerre en Ukraine en 2022, les prix de l’azote ont été multipliés par trois ou quatre et fragilisent les fermes installées en conventionnel.
Il y a également urgence pour le phosphore dont la pénurie est annoncée d’ici 2030. Enfin, les économies d’eau et d’énergie seraient indéniables car le coût du traitement des eaux usées est considérable.
À écouter
Les derniers "écureuils" de l'A69 et la révolution en marche du pipi
La Terre au carré
11 min
La recherche réhabilite cet engrais naturel
Notre invité Fabien Esculier est le coordinateur d'Ocapi (Optimisation des cycles Carbone, Azote et Phosphore en ville), un programme de recherche porté par le laboratoire LEESU (Laboratoire Eau Environnement et Systèmes Urbains) de l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées. Lancé en 2015, Ocapi, est l’un des premiers programmes académiques dédié à la valorisation des matières fécales et des urines pour en faire de l’engrais. Ce programme expérimente la fertilisation au lisain sur des parcelles de blé, à Champs-sur-Marne (77) et travaille en lien avec une boulangerie qui produit du pain et des biscuits “Biscodors” avec leurs récoltes.
Les techniques de collecte des urines - à l'instar des toilettes à séparation d'urine - existent déjà et se répandent progressivement :
"La séparation à la source dans la gestion des excrétions humaines a connu un important développement ces dernières années. Elle se déploie à de multiples échelles et dans des contextes très variés, depuis les microfilières citoyennes jusqu’à l’échelle de quartiers entiers, comme dans l’opération Saint-Vincent-de-Paul en construction à Paris, où la collecte de l’urine de l’intégralité du quartier, et sa transformation en engrais, est prévue. Ce déploiement à plus grande échelle rencontre encore de nombreux freins : d’abord, une méconnaissance du problème et des alternatives ; ensuite, des coûts d’apprentissage, et organisationnels et un déplacement des légitimités. Ces freins seront d’autant plus facilement levés que nous saurons engager, à grande échelle, une transformation de l’organisation de notre société pour le respect des limites planétaires et de la justice sociale. Au moment où nous sommes collectivement au pied du mur, créons les conditions pour que puissent s’épanouir les tentatives de recherche-action transdisciplinaire, et que se réalisent effectivement une transformation culturelle de nos interdépendances et une authentique transition socio-écologique." Ecrit Fabien Esculier, profondément engagé sur le sujet.
Ressources
Pour retrouver un panorama des initiatives, dispositifs et filières qui permettent un retour à la terre des nutriments issus de l’excrétion humaine en vue de leur valorisation agricole, c'est ici.
Fabien Esculier est co-auteur avec Emmanuel Adler du livre Des immondices aux biodéchets, Presses des Ponts, 2024.
Il travaille avec le RAE (Réseau de l’Assainissement Écologique), l’ARCEAU (Association Recherche-Collectivités dans le domaine de l'eau en Ile-de-France) et avec l’association Circulus dont la création du spectacle Humus Humains fait" découvrir de façon originale le circuit des nutriments à travers l’espace et le temps."
Vous pouvez aussi vous informer sur le sujet avec le livre Ne tirons plus la chasse ! Nos déjections au secours des sols publié par l'agronome Christophe Gatineau aux éditions Ulmer.
Clés : Environnement Écologie Biodiversité Gestion et accès à l'eau Innovation Recyclage - Gestion des déchets
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L’extrême droite : le pire choix pour l’écologie, le climat et les citoyen.ne.s
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Appel à un front uni, déterminé et solidaire
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proposer une vision d’avenir en s’attaquant sérieusement aux causes profondes des inégalités et de la crise climatique, lutter contre les discours de haine et la désinformation. Le défi est immense et notre responsabilité commune encore davantage.
Our Mission:
350VT is building a people-powered and people-led climate justice movement in Vermont for a just, thriving world.
We are guided by the voices, experiences, and solutions of those most impacted by the global climate crisis. We strive to work at the intersections of the climate crisis and social justice to address the climate crisis equitably and effectively.
We are building collective power for climate justice.
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Connu /mel
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Sujet : An Update from Families Rise Up!
Date : Fri, 17 May 2024 18:55:15 +0000 (UTC)
De : Families Rise Up, 350Vermont organizers@350vt.org
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145 recommandés, 24 commentaires
Ruffin François, Député de la Somme
« Tous les surprofits ont été repris. » C’est Emmanuel Macron qui déclare ça, dans Le Parisien. Eh, oh, les « factcheckers », vous roupillez ? Y a une démission collective ? Vous avez fermé boutique ?
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Pourquoi prendre le contre-pied de la vérité ? Pourquoi réécrire l’histoire, de façon aussi grotesque ?
Parce que, lui le sait : c’est plus que son talon d’Achille, c’est une béance, une plaie ouverte, ce sentiment d’injustice. Et pas seulement pour lui, pour son image, d’un évident « président de ses amis les riches », mais pour la France : le pays en est miné.
Pourquoi nous, nous devrions payer ?
Pourquoi nous accepterions des efforts, des sacrifices, si les « gros » en haut n’en font pas ?
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plus que jamais, nous avons besoin de justice : le défi climatique réclame, à tout le pays, et à vrai dire à tous les pays, des changements gigantesques. Ils ne seront pas acceptés, car pas acceptables, si une partie de nos concitoyens y échappent, s’ils ne participent pas à l’effort commun : tous, alors, toutes, voudront y échapper, demanderont une « dérogation », grugeront dans leur coin.
La justice, sociale, fiscale, environnementale, est impérative pour l’unité de la Nation. Sans cela, nous n’affronterons rien ensemble.
Voilà qui me rappelle un échange avec Pablo Servigne, à propos de son livre (à lire absolument) L’Entraide, l’autre loi de la jungle
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Nous vivons ce temps, sans sanction, où les tricheurs, loin d’être punis, sont célébrés, récompensés. D’où le dégoût qui se répand dans les cœurs. D’où les refus de participer au « pot commun », par son argent, ou par son temps.
Contre les égoïsmes, il faut des sanctions.
Pour surmonter, ensemble, de formidables défis.
Pour refaire société.
Où alors, le chacun pour soi l’emportera. Qui mènera à la défaite de tous.
La France et l’Europe dans son ensemble sont aujourd’hui au cœur d’une crise énergétique mondiale majeure. Le conflit ukrainien mais aussi plusieurs décennies d’inaction face à la dépendance vis-à-vis des énergies fossiles et la surconsommation rendent la situation particulièrement tendue. Au-delà des risques de coupures ou de pénuries, le continent européen est aujourd’hui confronté à des défis sociaux, économiques, géopolitiques et environnementaux immenses. Les réponses qui y seront apportées auront un impact très concret sur notre quotidien et notre avenir. Voici plusieurs pistes pour y faire face, de toute urgence.
1 - Économiser l’énergie dans les bâtiments et l’industrie
2 - Économiser l’énergie dans les transports
3 - Aider les ménages vulnérables à mieux se loger, se nourrir et se chauffer
4 -Taxer les pollueurs et cesser de financer la guerre
Clés : #Changement climatique #Climat #Conflits sociaux #Dividendes climaticides #Energies fossiles #inégalités #ISF climatique #Justice sociale #Paix #Plus jamais ça #Sobriété #Sobriété énergétique #Superprofits
Connu / TG le 04/02/23 à 11:07
12:25 - 224 k abonnés - 2,6k+ - 58 582 vues - 550 commentaires
"Pour les auxiliaires de vie, les ouvriers du bâtiment, les caristes, les femmes de ménage, c'est la double peine : les salaires qui ne suivent pas l’inflation, et maintenant la retraite à 64 ans. Le CAC40 vient de verser 80 milliards à ses actionnaires. Alors jeudi, c'est l'heure des comptes : où est la justice ?"
Connu / TG du 28/11/22 à 08:23 - Andris Piebalgs /Stock.Adobe.com
Mots-clés
crise énergétique ; sufficiency ; modération ; Consommation ; modèle du « Donut » ; Démocratie ; Inégalités ; transports ; justice sociale ; abondance ; Transition énergétique ; changement climatique ; gouvernements
Sophie Dubuisson-Quellier, sociologue, membre du Haut conseil pour le climat, revient pour CNRS Le Journal sur le concept de sobriété, ses objectifs et ses verrous.
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Il y a quelques mois encore, le terme était considéré comme tabou car il évoquait l’écologie punitive. La sobriété à laquelle les Français sont appelés aujourd’hui, et les Européens plus largement, s’est imposée dans un contexte particulier, qui est un contexte de crise énergétique lié à la guerre en Ukraine ; il s’agit d’une modération des consommations d’énergie, qui vise surtout le consommateur final et repose sur la responsabilisation des individus.
Mais en réalité, la notion de sobriété existe dans la recherche en sciences sociales depuis une vingtaine d’années déjà. Elle a fait l’objet de nombreux travaux, principalement chez les chercheurs anglo-saxons, sous le terme de « sufficiency » – un concept repris par le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) pour la toute première fois en 2022, et qu’on pourrait traduire par « ce qui est suffisant », « ce qui suffit ».
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la modération de la consommation, mais aussi, plus en amont, de nouvelles orientations de la production et des services. Elle pose la question de la soutenabilité de notre mode de vie, de ce qui est « suffisant » ou « assez » (« enough »), et suggère l’introduction de limites. Plusieurs modèles ont été développés en ce sens, comme le modèle du « Donut » proposé par l’économiste Kate Raworth. Avec des limites basses, qui sont le socle minimum correspondant à la satisfaction des besoins de l’individu et à une vie décente, et des limites hautes, qui figurent le plafond à ne pas dépasser afin de préserver les ressources et l’habitabilité de notre planète (voir schéma ci-dessous). Le « suffisant » se trouverait entre ces deux limites.
Le modèle du « Donut », avec sa forme de beignet, désigne l'espace dans lequel l'économie peut se déployer sans nuire à la planète, ni au bien-être des individus.
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redéfinir les niveaux de besoins et de bien-être, et pose la question des modalités à utiliser pour décider de ce qui est suffisant et de ce qui est de l’ordre du « trop ». Les questions de sobriété, on le voit, relèvent d’un problème d’organisation sociale avant tout – une notion absente de la réflexion actuelle en France. Elles posent aussi un vrai problème de démocratie : derrière, se profile la question de la juste répartition de ressources limitées, dans des sociétés déjà profondément inégalitaires.
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la recherche en sociologie montre bien que les contraintes qui pèsent sur chacun d’entre nous sont très inégales, et conditionnent fortement notre capacité à agir. C’est pourquoi les travaux sur la sufficiency insistent sur le fait que les dimensions de justice sociale doivent être au cœur des politiques de sobriété. Cela implique d’engager des actions structurelles comme la rénovation énergétique des bâtiments, notamment, afin que les changements de comportements soient véritablement accessibles à tous.
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... comment atteindre la sobriété dans nos sociétés dites « de consommation » ?
S. D.-Q. C’est ce qui s’appelle une injonction contradictoire : on nous demande d’être sobres dans une société qui est tout entière organisée autour de l’abondance.
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C’est le collectif qui mettra en mouvement les individus, en se donnant des objectifs clairs et des moyens pour les atteindre, pas l’inverse.
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Quel est le bon niveau collectif pour agir selon vous ?
S. D.-Q. Les autorités publiques – gouvernement, collectivités territoriales – ont un rôle crucial à jouer, en agissant sur le cadre réglementaire et en montrant une direction, en planifiant et en organisant la transition. Mais d’autres niveaux d’action sont possibles, dans les entreprises et les organisations professionnelles, dans les associations de quartier, les copropriétés, etc. Chacun de ces collectifs peut réfléchir à ses usages et produire de nouvelles normes.
Dans le monde de la recherche, par exemple, nous sommes amenés à prendre régulièrement l’avion, pour assister à des colloques internationaux notamment. Est-ce à chaque chercheur de s’interroger sur ses pratiques, ou bien ne pourrait-on pas en discuter tous ensemble ? Réfléchir au niveau collectif ne signifie pas forcément édicter une règle unique pour tous : on pourrait ainsi considérer que de jeunes chercheurs en début de carrière ont davantage besoin de voyager pour rencontrer leurs pairs.
La société ne bougera que si nous sommes sur une trajectoire collective, dans laquelle chacun prend sa juste part. Aujourd’hui, les autorités peuvent avoir l’impression que les contraintes qu’exige le changement climatique sont trop lourdes pour les individus ; mais en réalité, certains groupes sociaux, comme les agriculteurs, sont déjà dans des situations difficiles et ont besoin dès maintenant de ce changement collectif.
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Les sciences du climat ont permis de comprendre les mécanismes et les impacts du changement climatique, mais ce changement climatique est dû aux formes matérielles et institutionnelles qu’ont prises nos organisations économiques : au caractère central qu’y tient le recours aux énergies fossiles, à la façon dont sont organisés les circuits financiers, aux choix d’aménagement des villes et des systèmes de transport, ou encore au mode de définition de nos objectifs de prospérité.
La transition passe par des changements profonds de nos organisations économiques, politiques et sociales, et nous avons besoin des sciences sociales – sociologie, science politique, économie, anthropologie... – pour la faire. ♦
Notes
- Directrice de recherche au CNRS, au Centre de sociologie des organisations (CNRS/Sciences Po Paris).
211 k abonnés - 2,5 k - 48 260 vues - 413 commentaires
J'aurais aimé qu'entre les raffineurs, les pompistes et le grand gavage des dirigeants de Total, l'Etat instaure de la justice sociale. Il est aux abonnés absents. Il laisse le fort écraser le faible. Quand le faible se réveille, je suis du côté du faible.
Commentaires
philippe brehier Pour rappel🌍: Combien d'avancées sociales à l'échelle de TOUTE la France ont été obtenues par des grèves et des manifestations (comme en 36 avec le Front Populaire (congés payés, semaine de 40 h, soutien des prix payés aux agriculteurs) ou en 68, grâce aux "événements de Mai" (30% d'augmentation du SMIC et 10% en moyenne pour les autres salaires)) ? La majorité d'entre elles. (Oui, encore. il faut que cela s'incruste dans les mémoires)
Interview Article réservé aux abonnés
Élections législatives 2022 dossier
Le député européen Place publique, qui soutient la Nupes, explique les raisons de son ralliement et souligne un problème de méconnaissance de l’Europe et de ses évolutions dans la gauche française.
Raphaël Glucksmann durant une manifestation en soutien à l'Ukraine au Parlement européen à Strasbourg, le 10 mars. (Roses Nicolas /ABACA)
Raphaël Glucksmann, député européen Place publique, a appelé à voter pour la Nupes à la surprise générale, la France insoumise défendant des positions sur l’Europe, la Russie, l’Ukraine ou la Chine à l’opposé des siennes. Pour la première fois, il explique les raisons de ce ralliement qui lui vaut de nombreuses critiques.
Comment un pro-européen peut-il se rallier à la Nupes alors que son programme est une reprise des positions anti-européennes de LFI ?
Je ne me suis rallié à personne, n’ai signé aucun accord et n’ai négocié aucune circonscription. J’ai simplement appelé à faire élire le maximum de députés de gauche et écolos à l’Assemblée parce qu’il est urgent que le Parlement vive, vibre à nouveau et qu’y soient défendues la justice sociale et la lutte pour le climat. Les élites dirigeantes, politiques et médiatiques, sous-estiment l’impatience qui monte dans la société en général et la jeunesse en particulier. Impatience sur le climat, impatience sur l’explosion des inégalités, impatience face au verrouillage de la démocratie aussi. Nous ne pouvons pas repartir pour cinq années de plus avec une Assemblée de godillots, une chambre d’enregistrement des projets concoctés par le Président et son équipe de technocrates. Vu les positions de Jean-Luc Mélenchon sur la Russie, la Chine ou l’Europe, cette décision a été dure à prendre. Je savais bien que mon soutien, même critique, allait me valoir une levée de boucliers. Mais comment rester sourd à ces impatiences lég…
Il vous reste 78% de l’article à lire.
7 861 signatures Campagne lancée par Résistance Climatique
Destinataire(s) : Les Atterristes
Nous, Atterristes, prenons l’engagement de nous déplacer et de voyager sans avion.
Conscient·es de l’urgence climatique, nous choisissons d’aligner notre mode de vie avec ce que nous disent les scientifiques.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
C’est un engagement nécessaire.
Nous savons que nos choix individuels seuls sont insuffisants pour limiter suffisamment le réchauffement climatique. L’État, les collectivités territoriales, les entreprises ont aussi un rôle primordial à jouer. Notre engagement est pourtant nécessaire : un aller-retour à Bangkok pour une personne est responsable de 3 tonnes de CO2e à lui tout seul, soit l'intégralité du budget carbone individuel à horizon 2030[1]. Renoncer à l’avion (ou ne pas commencer à le prendre) est un préalable pour inventer des vies bas carbone[2].
Engagement juste
Le transport aérien est le plus polluant, le plus inégalitaire, et le moins essentiel. Il cause des dommages irréversibles pour la majorité, à l’usage d’une minorité. 80 % des humains ne sont jamais montés dans un avion. 50% des émissions du secteur sont le fait de seulement 1% de la population mondiale[3]. A quoi bon partir à Bali si notre voyage contribue à rendre l’île inhabitable ? A quoi bon plonger dans la Grande Barrière de corail australienne si cela la fragilise, voire la condamne ?
Engagement joyeux
Quelle satisfaction de nous sentir aligné·es avec les valeurs que nous portons au quotidien ! Nous redécouvrons la beauté et la richesse des territoires qui nous entourent. Quand nous voyageons, nous expérimentons de nouvelles aventures, à pied, à vélo, en kayak, à la voile, en train (de nuit) [4]. Ce tourisme à portée de train est plus lent, c’est indéniable. Pour nous, il est surtout plus épanouissant, plus varié. Pour les habitant·es des territoires, il est plus durable et plus résilient. La fin de l’avion, ce n’est pas la fin du voyage ou des vacances, et c'est le début d'un autre rapport au monde.
Rejoignez-nous dans cette aventure, devenez Atterriste ! Nous sommes convaincu·es que si nous sommes des milliers à affirmer haut et fort que la science climatique nous oblige, au-delà de nos opinions politiques, nous pouvons amener un changement beaucoup plus large.
Ensemble, atterrissons.
[1] https://www.unep.org/resources/emissions-gap-report-2021
[2] https://www.resistanceclimatique.org/inventons_nos_vies_bas_carbone
[3] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0959378020307779
[4] https://www.resistanceclimatique.org/vacances_et_voyage_bas_carbone
Catégories Climat ; Justice sociale & environnementale ; Transports & Urbanisme
Connu / https://twitter.com/advocnar/status/1521461137681887235
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Oui au train de nuit !🚃🌙 a retweeté Association ADVOCNAR @advocnar · 9h
🌄🌠Arrêter de prendre l’avion, ils sont des milliers à faire ce choix en raison de l’urgence climatique❗️ ... Et tout va bien😎
👉Découvrez leur appel #lookup #JeSuisAtterriste - 0 - 8 - 12
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"Ma France 2022" : "Une demande de justice sociale et territoriale", analyse le sociologue Jérémie Peltier
L'Agenda citoyen reflète les douze priorités issues de la consultation "Ma France 2022", menée par France Bleu en partenariat
Enquête — Alternatives - Durée de lecture : 11 minutes
[1/4] Le débat sur la politique énergétique se focalise en France sur une question secondaire : nucléaire ou renouvelables ? Car l’enjeu crucial est celui de la consommation énergétique. Et on ne pourra pas enrayer le changement climatique sans une politique déterminée pour économiser l’énergie et transformer nos modes de vie.
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Sans sobriété, « on n’y arrivera pas », avertissait pourtant en juillet dernier Jean Jouzel, paléoclimatologue et ancien vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec).
Le concept de sobriété, prisé des philosophes antiques qui l’associaient au bonheur et à la sagesse, connaît aujourd’hui un regain d’intérêt. Un nombre croissant d’intellectuels, d’associations et d’institutions (comme l’Ademe, l’Agence de la transition écologique) y voient l’un des éléments centraux d’une transition énergétique réussie, permettant de rompre avec « l’ébriété » de nos sociétés de surabondance.
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réduire notre consommation d’énergie et de biens matériels par un changement en profondeur de nos comportements et de nos modes de vie. Elle s’inscrit dans une démarche collective, dans la mesure où elle remet en cause les habitudes de consommation qui « structurent » aujourd’hui nos sociétés industrialisées, comme l’écrit Luc Semal dans Sobriété énergétique — Contraintes matérielles, équité sociale et perspectives institutionnelles (éd. Quae). En nous affranchissant de désirs superflus, nous limiterions la pression que nous exerçons sur l’atmosphère et le vivant.
« Évidemment, elle s’adresse à ceux qui ont des modes de consommation irraisonnés et peuvent les réduire » , précise Anne Bringault, coordinatrice des opérations au Réseau Action Climat (RAC). Alors que 3,8 millions de personnes en France sont en situation de précarité énergétique, la sobriété est une affaire d’équité sociale, selon Barbara Nicoloso, directrice de l’association Virage Énergie et autrice du Petit traité de sobriété énergétique (éd. Charles Léopold Mayer). « L’idée, c’est de rééquilibrer les choses, d’arriver à une juste consommation : que les personnes consommant trop arrêtent de le faire, et que celles étant dans une situation délicate puissent satisfaire leurs besoins essentiels, dit-elle à Reporterre. Il faut penser l’énergie comme une ressource vitale devant être accessible à l’ensemble de la population. »
L’ingénieur énergéticien Thierry Salomon, également vice-président de l’association Négawatt, définit la sobriété comme une « intelligence de l’usage ». Il distingue quatre leviers d’économies d’énergie. La sobriété structurelle consiste à réorganiser nos activités et l’espace de manière à favoriser des usages peu énergivores (comme en réduisant la distance entre les lieux de travail, les commerces et les habitations). La sobriété dimensionnelle vise à réduire autant que possible la taille de nos équipements — faire ses courses avec un véhicule d’une tonne n’est par exemple pas indispensable, dans la mesure où un vélo cargo peut souvent faire l’affaire. La sobriété d’usage, elle, invite à modérer notre utilisation desdits équipements — éteindre les écrans publicitaires, limiter la vitesse sur la route ou réparer son téléphone plutôt que de le jeter sont autant de manières de réduire notre consommation, explique-t-il. La sobriété conviviale, enfin, relève d’une logique de « mutualisation des équipements et de leur utilisation » : partager sa tondeuse avec ses voisins, par exemple, permet de diviser par deux les nuisances environnementales que sa production génère.
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Clés : Économie ; Gouvernement ; Inégalités ; Politique
Au programme de L’instant Porcher cette semaine : la dernière enquête IFOP/L’Humanité qui met en lumière les attentes des Français en matière de justice sociale, le sommet sur l’avenir des finances africaines, et enfin la conférence sur l’avenir de l’UE.
À quoi aspirent les Français ? Cette question est évidemment centrale dans une démocratie mais elle l’est d’autant plus que les élections présidentielles auront lieu dans moins d’un an. C’est une question simple posée par le journal l’Humanité et l’institut de sondage de l’IFOP à un panel de Français. Et la réponse pourrait en étonner : les Français aspirent à de la justice sociale.
Quel destin pour l’Afrique ? Ce continent a particulièrement souffert de la crise sanitaire sur le plan économique. C’est sur ce constat que s’est tenu un sommet en France sur l’avenir des finances africaines. Mais quel chemin va être imposé par l’Occident en Afrique ?
Jusqu’en janvier 2022, va se tenir la conférence sur l’avenir de l’Union européenne. Au lendemain de la crise sanitaire, qui s’ajoute aux crises de la Grèce, des dettes souveraines entre autres, un tel événement n’est pas sans arrière-pensée. Comment redorer l’Union européenne, elle qui est toujours remise en cause : pas démocratique, puissance financière, contre les modèles sociaux des pays ? Coup de comm’ ? Quel est le véritable avenir de l’Union européenne ?
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1396888727427837954
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Le Média @LeMediaTV · 8h
POURQUOI L’UNION EUROPÉENNE NE SERA JAMAIS DÉMOCRATIQUE
Jusqu’en janvier 2022, va se tenir la conférence sur l’avenir de l’UE. @ElsaMargueritat et @PorcherThomas nous expliquent pourquoi il ne faut rien attendre de cette conférence.
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Loi «climat», à contresens de l’urgence (1/11) - 133 commentaires
Mots-clés assemblée Barbara Pompili Climat Emmanuel Macron justice sociale loi climat parlement
Trois semaines de débats à l’Assemblée autour du projet de loi « climat » ont abouti à un texte très loin d’être à la hauteur de l’urgence climatique. Alors que nous entrons dans la décennie fatidique pour limiter le réchauffement planétaire, le gouvernement porte, en actant cette loi, une lourde responsabilité historique.
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Grandes absentes de ce paysage législatif désolé, les grandes entreprises ne sont aucunement affectées par la loi « climat ».
Oxfam révélait https://www.oxfamfrance.org/rapports/climat-cac-degres-de-trop/ encore début mars que les activités industrielles des multinationales du CAC 40 nous conduisent vers un réchauffement planétaire de +3,5 °C d’ici à 2100 – soit 2 °C de plus que l’objectif inscrit dans l’accord de Paris. Le même mois, une étude dévoilait que les banques françaises étaient les plus gros financeurs européens des énergies fossiles https://reclaimfinance.org/site/2021/03/24/rapport-les-banques-francaises-plus-grands-financeurs-europeens-des-energies-fossiles-en-2020/.
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Pis, certaines multinationales ont reçu un blanc-seing de la part du gouvernement, à l’instar des plateformes d’e-commerce comme Amazon ou Alibaba. Si l’article 52 de la loi précise la fin de l’implantation de nouvelles zones commerciales de plus de 10 000 m² – un plafond trop élevé, 80 % des projets se situant en dessous de ce seuil –, le commerce en ligne n’est pas concerné par ces contraintes. Il sera ainsi permis à Amazon de bétonner jusqu’à 200 000 m² de terres agricoles ou naturelles pour ériger un entrepôt.
Les plus riches ont été également ménagés, alors que, comme le souligne l'économiste et codirecteur du Laboratoire sur les inégalités mondiales Lucas Chancel, « 1 % des plus riches ont une empreinte carbone huit fois supérieure à la moitié la plus pauvre des Français » (lire notre entretien ici https://www.mediapart.fr/journal/france/220421/la-justice-sociale-est-la-grande-absente-de-la-loi-climat).
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« Le refus du reste à charge “zéro” est très idéologique : le gouvernement veut que les plus pauvres paient un minimum leurs travaux de rénovation pour ne pas être dans “l’assistanat” . Mais quelques milliers d’euros à avancer peuvent être vite rédhibitoires pour ceux qui sont au RSA ou au SMIC », témoigne Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation Abbé-Pierre.
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Malgré le fait que des députés LREM aient défendu l’impératif climatique de baisser le malus « poids » pour les voitures les plus polluantes telles que les SUV (sport utility vehicle), Barbara Pompili a maintenu un seuil de malus qui touche moins de 3 % des automobiles vendues en arguant : « Il me semble être un peu tôt pour modifier les seuils. Attendons encore un peu. »
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Le directeur du Haut Conseil pour le climat (HCC) , Olivier Fontan, Valérie Masson-Delmotte, coprésidente du GIEC, ou des climatologues français qui ont participé aux rapports du GIEC, telle Céline Guivarch, ont tous été consternés par l’auto-satisfecit du gouvernement en dépit du vide abyssal de la loi « climat ».
Rappelant le rôle scientifique et l’indépendance du HCC, le climatologue et membre du GIEC Christophe Cassou a ainsi dénoncé sur les réseaux sociaux le 7 avril : « Quand on préfère citer à l’Assemblée nationale le rapport du MIT Technology Review plutôt que celui du Haut Conseil pour le climat, je trouve que c’est très grave pour les valeurs démocratiques et le fonctionnement de nos institutions. »
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Connu / https://twitter.com/MickaCorreia/status/1385160517484953603
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Mickaël Correia @MickaCorreia · 22 avr.
En réponse à @MickaCorreia
Alors que nous entrons dans la décennie fatidique pour limiter le réchauffement planétaire, la majorité vient d'acter une #LoiClimat à contresens de l'urgence climatique.
« Nous voyons à travers cette loi le séparatisme de classe » commente @ClemSenechal
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521 signataires
Destinataire(s) : M. GUIN (PRESIDENT GRAND AVIGNON), M. MUSELIER (Région PACA) , M. VERGIER (CCI 84), MME POMPILI (MINISTRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE), M. DJEBBARI (MINISTRE CHARGÉ DES TRANSPORTS)
Campagne lancée par Wo Con ! Réduisons le trafic aérien !
L’aéroport d’Avignon n’accueille plus une seule ligne commerciale, il est voué à l’aviation privée. Et pourtant la Région y a injecté plusieurs millions d’euros publics sans que rien ne montre la moindre retombée économique. Autant d’argent qui ne servira malheureusement pas à financer la transition écologique et sociale dont nous avons tant besoin. Il est nécessaire de prévoir au plus vite son arrêt définitif et son démantèlement, puis de rendre ces terres à l’agriculture ou aménager des logements ou des parcs comme à Quito ou Berlin. Et il y a suffisamment d’alternatives de transport! La gare TGV et les aéroports voisins sont très proches.
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En savoir plus Site web de la campagne https://youtu.be/J16wob1FrlU
Categories : Climat ; Énergies Fossiles & industries ; Justice Sociale & Environnement ; Pollutiions & Déchets ; Sobriété ; Transport & Urbanisme
1 307 signataires
Destinataire(s) : Alain Rousset: président de la région Nouvelle-Aquitaine; Alain Anzianni: président de Bordeaux Métropole et maire de Mérignac; Patrick Seguin: président de la CCI Bordeaux Gironde; Fabienne Buccio: préfète de la Nouvelle Aquitaine
Stop à la croissance du trafic aérien à Bordeaux-Mérignac
Campagne lancée par anvcop21 g. Réduisons le trafic aérien !
Alors que le secteur aérien représente déjà plus de 7% de l’empreinte carbone nationale, que le trafic aérien a presque doublé à l’échelle de la France ces vingt dernières années, que prendre l’avion est au moins 40 fois plus polluant qu’utiliser le train sur des trajets nationaux, et que l'avion “vert” reste à ce jour une illusion, il est urgent de réduire le trafic aérien et d’opérer la transition du secteur pour avoir une chance de contenir le réchauffement climatique sous la barre des +1,5°C.
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Signez et partagez cette campagne, merci !
Sources :
(1) https://www.sudouest.fr/2020/05/07/fin-de-la-navette-bordeaux-orly-le-maire-de-merignac-interpelle-l-etat-sur-l-impact-economique-7466202-2780.php
(2) https://objectifaquitaine.latribune.fr/politique/2021-01-12/merignac-reste-attractive-et-investira-davantage-en-2021-871332.html
(3) https://www.ouest-france.fr/nouvelle-aquitaine/bordeaux-33000/coronavirus-l-aeroport-de-bordeaux-touche-par-la-crise-reporte-ses-projets-d-extension-6881122
Catégories : Climat ; Justice sociale & Environnementale ; Transport & Urbanisme
3 011 signatures (4 656 au 27/8/22)
Destinataire(s) : Jacques WITKOWSKI (Préfet Hérault), André DELJARRY (CCI Montpellier), Carole DELGA (Région Occitanie), Kléber MESQUIDA (Département Hérault), Stéphan ROSSIGNOL (Pays de l’Or), Michaël DELAFOSSE (Montpellier Méditerranée Métropole) [1]
Campagne lancée par Alternatiba Montpellier et Greenpeace Montpellier
Réduisons le trafic aérien !
... stopper le projet d'extension de l’aéroport de Montpellier. Ce projet permettrait d’accueillir jusqu'à 3,5 millions de passagers/an : une véritable bombe climatique et sanitaire.
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Atterrissons d’urgence pour une justice sociale, économique et climatique !
Soutiens : Alternatiba Montpellier, Anv COP21 Montpellier, Collectif Erma Selva, La Carmagnole, Extinction Rebellion Montpellier, Greenpeace Montpellier.
[1] Actionnaires de l’aéroport : État 60% ; CCI 25% ; Région 12,5% ; Département 1% ; Agglo Pays de l’Or 1% ; Montpellier Méditerranée Métropole 0,5%.
[2] Quand le lobby aérien plane sur le conseil de la métropole ( https://www.greenpeace.fr/montpellier/aerien/ )
Source : "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf )
Catégories : Climat ; Justice sociale ; Transport et Urbanisme