11 | 2025
Sobriété numérique – Varia
Entretiens
La permacomputation est une littératie écologique · Entretien avec Aymeric Mansoux
Permacomputing Is Ecological Literacy · Interview with Aymeric Mansoux
Aymeric Mansoux et Servanne Monjour
Résumés
Qu’est-ce que la permacomputation, ce mouvement artistique et académique qui rassemble une large communauté de pratique, à la croisée des arts visuels, du jeu vidéo, de l’édition ? Dans cet entretien, Aymeric Mansoux revient sur les origines de la communauté permacomputationnelle et explique les mutations ainsi que les enjeux du concept de permacomputing, dans le cadre d’une pensée écologique de l’informatique.
Mots-clés : sobriété numérique, littératie numérique, communauté
Keywords: digital sufficiency, digital literacy, community
-> https://permacomputing.net/
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une prise de conscience politique ... un déplacement de nos pratiques qui s’est opéré, vers des approches intersectionnelles et de justice environnementale ... Pour beaucoup de collectifs de hackers et artistes, ce qui était le plus intéressant, c’était d’explorer comment vivre et travailler différemment, plus que l’objet artistique en lui-même
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critique des obsolescences programmées ... on travaillait surtout sur des ordinateurs réparés et récupérés dans des poubelles ou achetés en lot auprès de sociétés qui se débarrassaient de leur vieux matériel parce qu’il était impossible de l’utiliser avec des versions plus récentes de Windows. Cela présentait un avantage économique mais c’était aussi un choix conscient de refuser l’accélération de la consommation informatique ... forte préférence pour les logiciels et les langages de programmation qui n’étaient pas mémorivores, énergivores, etc. Le travail d’Access Space (Sheffield https://access-space.org/) sur ce sujet nous inspirait toutes et tous à l’époque, non seulement pour penser la question de la récupération, mais aussi celle de l’utilité sociale de cette pratique du bricolage libre qui permettait de fournir des outils informatiques aux groupes les plus exclus et démunis.
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dont la mise en valeur de la technologie – le logiciel libre – comme caractéristique centrale de leur pratique a été progressivement remplacée par des positionnements politiques plus explicites et pratiqués de manière de plus en plus consciente, au point pour certaines et certains d’en venir à questionner leur dogmatisme même au sujet des écosystèmes libres
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principe de « résilience » ... La permaculture désigne une philosophie et un ensemble de principes de conception conçus pour l’agriculture, la gestion des terres ainsi que pour la création de communautés résilientes ... affirmer que la nature offre déjà un système écologique diversifié et résilient. Les humains auraient tout intérêt à travailler avec ce système plutôt que d’œuvrer contre lui. ... repenser la gestion des terres et des ressources naturelles depuis une perspective culturelle et sociétale
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la permacomputation s’inspire du concept de permaculture tout en élargissant la notion d’écosystème pour y inclure la technologie informatique. C’est à la fois une provocation et une piste de réflexion sérieuse. À propos des déchets électroniques, par exemple, nous défendons l’idée que la diversité des technologies informatiques multigénérationnelles dont nous disposons, combinée à nos capacités de maintenance, de réparation et de réutilisation créative de la technologie, recèle un potentiel inexploité. ... questionner profondément le technosolutionnisme et le techno-optimisme, ainsi que le sens d’une vie passée à participer à une chaîne de montage conçue pour profiter aux plus privilégiés, à n’importe quel prix – culturel, environnemental, social. Finalement, nous voulons promouvoir une transition entre un système dans lequel on privilégie l’usage des outils et des médias numériques les plus récents, sans tenir compte de leurs externalités, à un système plus régénératif dans lequel les outils et médias numériques de toutes les générations sont soigneusement combinés, élaborés et (ré)utilisés, tout en encourageant un autre rapport à l’informatique.
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implique également des principes de conception des logiciels et du hardware destinés à réduire dommages et préjudices, et répondre aux usages dysfonctionnels et toxiques de la technique.
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si oui ou non une place peut être accordée à l’informatique et aux technologies des réseaux dans un monde où les humains contribuent au bien-être de la biosphère plutôt qu’à sa destruction https://permacomputing.net/permacomputing/ ». La permacomputation n’est ni une critique anarcho-primitiviste de l’informatique ni un technosolutionnisme pour la durabilité environnementale. Il cherche à savoir quand, comment et si l’informatique peut renforcer de manière positive les systèmes sociaux, culturels et écologiques.
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une approche plus durable, qui maximise la durée de vie du matériel, minimise la consommation d’énergie et se concentre sur l’utilisation des ressources informatiques déjà disponible
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La permacomputation plaide pour « une approche plus durable, qui maximise la durée de vie du matériel, minimise la consommation d’énergie et se concentre sur l’utilisation des ressources informatiques déjà disponibles6 ». Il remet ainsi au centre du jeu le hardware (« care for the chips », « prenons soin des puces » ... restreints par les industries (Kittler 2015) ... stratégie de réappropriation des « communs négatifs », comme le préconisent, par exemple, Emmanuel Bonnet, Diego Landivar et Alexandre Monnin (2021) dans leurs travaux sur la redirection écologique ?
... The Institute for Technology in the Public Interest (TITiPI https://titipi.org/) qui appelle à « rêver dans les ruines de la big tech ». J’imagine que l’on peut rapprocher cela des idées d’Alexandre Monnin et de sa typologie des ruines en relation avec la définition des communs négatifs. ... utile pour décrire la situation dans laquelle nous faisons l’expérience d’un mode de vie de plus en plus déterminé par différentes formes de déchets, des objets cassés, des ruines et d’autres choses de ce genre, qui sont totalement incompatibles avec la notion d’externalités pouvant être atténuées ou intégrées à un quelconque cycle biogéochimique terrestre connu. ... trouver ce qu’il faut faire de toutes ces matières, infrastructures et cultures toxiques accumulées ... savoir s’il est possible ou pas de donner à l’humanité le temps de s’émanciper des systèmes économiques générateurs de communs négatifs. Le contexte économique et politique ne doit pas être négligé. Malheureusement, on l’occulte souvent quand on envisage le problème dans la perspective de l’Anthropocène. La critique est bien connue, et c’est personnellement la raison pour laquelle il me semble plus utile d’employer des concepts qui ne cherchent pas à se distancier et n’ont pas peur d’afficher leur position partisane ou militante, comme l’expression de « puces complices » (complicit chips) employée par TITiPI8, le lien entre la pollution et le colonialisme (Liboiron 2021) ou la conception des data centers comme complexes industriels (Hogan 2021), etc.
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choisir précisément ses mots pour parler des injustices, des dommages et de l’impact climatique qui sont liés à l’informatique – et, par extension, à l’ensemble des activités humaines extractives ou axées sur la croissance qui ont été grandement facilitées et accélérées par les TIC. Ne pas le faire risque de découpler l’ensemble des actions collectives de réparation, recyclage, réutilisation et réappropriation de leur ambition de construire un nouveau projet de société. Tout n’est pas réparable ou recyclable. C’est pourquoi, tout en insistant sur l’importance de prolonger le cycle de vie des produits électroniques par toutes sortes de techniques, la permacomputation promeut également la décroissance informatique et propose des principes de conception pour limiter les dommages causés par les nouveaux logiciels et matériels informatiques, que ceux-ci soient totalement neufs ou résultent d’un bricolage à partir de vieux objets. En fin de compte, c’est aussi la raison pour laquelle la communauté du permacomputing aspire de plus en plus à relier ces pratiques à des luttes concrètes et à soutenir les communautés engagées dans l’action politique.
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appétence pour la culture du logiciel libre et du partage ... tension entre ces utopies du Web et la matérialité inhérente au souci de sobriété numérique ?
... exacerbé par l’appropriation complète des communs numériques pour alimenter ce qui allait devenir la Big Tech. Ce qui avait d’abord peut-être été perçu comme un moyen de vivre autrement s’est finalement transformé en un problème en soi, dans la mesure où cela a essentiellement servi divers programmes cyberlibertariens et technopositivistes, avec leurs nombreuses ambitions illibérales, autoritaires et fascistes, implicites ou explicites.
Tant que les privilèges et le capital pourront déterminer la façon dont une personne peut tirer profit des communs numériques et y participer, il y a peu d’espoir que la situation s’améliore. Je suggérerais même qu’il serait plus judicieux de commencer à définir dès que possible le paysage actuel comme une ère post-logiciel libre, post-open source ou post-communs, ne serait-ce que pour marquer cette nouvelle étape, ce point de non-retour, et de deuil.
Il est très alarmant de constater à quel point les initiatives en faveur des technologies alternatives – leurs pratiques, leurs discours et leur critique – continuent d’opter pour le logiciel libre et l’open source par défaut, comme s’il s’agissait d’une vertu définitivement acquise, d’un moyen éprouvé de créer un monde meilleur ou, plus particulièrement, comme vous le soulignez, d’être en meilleure position pour traiter la dimension écologique des problèmes qu’ils ont activement contribué à façonner.
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la priorité devrait être de rétablir la nuance et d’encourager une pensée tactique dans nos relations avec les nombreux acteurs de l’espace numérique. Ces acteurs sont profondément intriqués et interdépendants. L’analogie de la boîte noire et le paradigme fermé-ouvert des années 1990 sont beaucoup trop simplistes et trompeurs. Une fois de plus, il s’agit non pas de choisir un camp mais plutôt de comprendre que nous sommes à un moment où formuler la chose comme un choix, c’est passer complètement à côté de l’essentiel.
C’est la raison pour laquelle, dans le champ de la permacomputation, on développe et on utilise des logiciels libres et ouverts, mais également des licences alternatives non libres (de la classique Peer Production License à des documents plus situés comme les CC4r * Collective Conditions For Re-Use). Plus généralement, on travaillera avec tout ce qui est disponible et a du sens, y compris si cela implique des méthodes plus opaques et une circulation limitée des outils et des connaissances. En d’autres termes, le dogmatisme autour des biens communs numériques a été remplacé par une politique des technologies de tous les jours, mieux située et plus pertinente pour mener les luttes contemporaines.
Plusieurs démarches engagées en sobriété numérique (low-tech, permacomputation) revendiquent le recours – certains parleront de « retour » – à des formats ou encore à des pratiques numériques rudimentaires, dont certaines sont issues du « Web 1.0 » : sites statiques, etc.
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Les outils et les techniques perçus comme rudimentaires, primitifs ou datés peuvent se révéler plus accessibles, créatifs et amusants que ceux utilisés dans le design Web contemporain. Je ne parle pas seulement du rôle des contraintes en art, en design et dans le champ de la production culturelle. Le développement des applications Web et des plateformes de médias sociaux a grandement réduit le potentiel d’expression du Web. Ce qui s’est produit il y a quelques années avec les systèmes d’exploitation et les applications de bureau (desktop) s’observe désormais du côté des navigateurs. Un déplacement s’est opéré de la créativité individuelle et de l’expérimentation vers la productivité et l’industrialisation. Il s’agit non pas d’un tournant radical mais d’une optimisation et d’une intensification de cette tendance à considérer le software comme un outil de contrôle et de surveillance au service de la compétition et du profit économiques.
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les outils comme les workflows continuent d’être (ré-)inventés avec des chaînes de dépendance toujours plus complexes. Cependant, les composants de base sont parfois encore présents et ne sont pas si difficiles à utiliser. Des projets comme Tilde Town9 ou l’écriture from scratch en HTML et CSS restent accessibles à tous les usagers, quels que soient leur âge ou leur formation. Une compréhension élémentaire des réseaux, un usage régulier des protocoles de transfert de fichiers simples et quelques heures de travail dans un éditeur de texte peuvent suffire pour se lancer dans la publication en ligne. Bon courage en revanche pour faire de même avec les outils de développement Web modernes ! Pour moi, cela montre clairement combien l’affirmation selon laquelle le Web moderne serait, de facto, plus accessible que l’ancien est fausse. ... promouvoir en permanence de nouveaux protocoles, de nouveaux formats et de nouveaux médias perturbe fortement la temporalité des travaux de maintenance et du soin nécessaires pour que les normes d’accessibilité soient rigoureusement testées, prises en charge et correctement mises en œuvre.
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effort pour revaloriser certains éléments du passé qui peuvent alimenter avec pertinence la réflexion critique menée sur les outils contemporains. Dans le domaine du développement logiciel, le terme « régression » est souvent utilisé pour qualifier un bogue à l’origine d’un problème qui va dégrader ou casser quelque chose qui fonctionnait bien jusque-là. C’est un schéma bien connu et, pourtant, l’industrie des TIC et les passionnés d’informatique l’utilisent rarement pour mener un examen critique de l’évolution générale de leurs propres pratiques.
C’est pour cela qu’on doit également employer avec prudence la notion de littératie numérique. Cette approche de la culture computationnelle a en effet éclipsé le besoin plus terre à terre d’acquérir des compétences techniques de base afin de pouvoir intervenir significativement dans les couches logicielles et matérielles de l’espace technologique. Bien sûr, tout le monde n’a pas à en passer par là – je ne plaide pas pour une nouvelle utopie pseudo-émancipatrice du type « Apprenez à coder ». Au sein des communautés permacomputationnelles, la reconnaissance de ses privilèges et de sa capacité à consacrer du temps et des ressources à l’apprentissage technique est perçue comme une étape nécessaire pour favoriser plus d’inclusivité et de diversité. La production logicielle et matérielle devrait ainsi être abordée dans une perspective culturelle davantage holistique et située.
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critique et rejette le maximalisme de la techno-esthétique informatique – ou, pour le dire plus simplement, de l’équipement informatique logiciel et matériel. Bien que certains adeptes de la permacomputation ou du low-tech privilégient le minimalisme, cela ne signifie pas que le maximalisme, en tant que choix esthétique, soit impossible ou doive être rejeté. Ce serait une erreur et même un non-sens, considérant l’extraordinaire complexité audiovisuelle que peuvent produire des moyens computationnels très simples. Pour le dire franchement, la critique permacomputationnelle des œuvres numériques ne porte pas sur leurs qualités visuelles, textuelles ou sonores mais bien sur leurs modes de production et de distribution.
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l’éléphant dans la pièce, c’est avant tout l’écosystème. Le design Web « bas carbone » risque de livrer à l’industrie des TIC des stratégies d’écoblanchiment. Un site « bas carbone » tournant sur une machine virtuelle sophistiquée, hébergé dans un centre de données lui-même alimenté par de l’énergie verte achetée avec des crédits ou des conventio d’achat, puis consulté grâce à l’un des quelques moteurs de rendu surdimensionnés des géants du numérique, le tout depuis un ordinateur ou un téléphone puissant, mais économe en énergie, n’apporte aucun changement significatif à long terme.
On ne résoudra pas les problèmes liés à la culture automobile avec des SUV électriques respectant les limitations de vitesse. C’est exactement la même logique qui s’applique ici.
Connu / https://mamot.fr/@320x200@post.lurk.org/114795117328012047
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ultrageranium @320x200@post.lurk.org
La permacomputation est une littératie écologique · Entretien avec Aymeric Mansoux, par Servanne Monjour (2025)
Un peu plus tôt cette année j'ai eu le plaisir d'être invité par @Servanne_m pour un entretien publié par la revue Humanités numériques @RevueHN
Un grand merci pour cette opportunité, sa patience (!), ainsi que le travail éditorial et de traduction.
Cette publication numéro 11 intitulée « Sobriété numérique – Varia » contient également un entretien avec @antoinentl sur l'édition numérique: Prendre soin de nos dispositifs techniques est une approche militante de l’édition.
La permacomputation est une littératie écologique · Entretien avec ...
Servanne Monjour. À la croisée de la recherche et de la création, vos réalisations embrassent un panel de pratiques très large, entre jeu vidéo et art numérique (comme vous l’avez proposé récemment...
#permacomputing
#permapublishing
#lowtech
#humanités
#edition
#écologie
#sobrieté
#numérique
04 juil. 2025, 15:07
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Temps de lecture : 4 minutes
Contrairement à une idée trop largement répandue, nous ne disposons pas encore aujourd’hui de toutes les technologies nécessaires à la transition énergétique. Et même dans le domaine de la production électrique, qui est pourtant le plus facile à décarboner mais représente à peine plus d’un cinquième de la consommation d’énergie dans le monde. Voilà pourquoi trois développements technologiques en cours méritent qu’on s’y attarde. Les panneaux photovoltaïques de nouvelle génération utilisant de la pérovskite. La promesse de matériaux supraconducteurs fonctionnant à température ambiante ou presque. Et des progrès améliorant fortement l’efficacité énergétique des électrolyseurs qui permettent de produire de l’hydrogène vert. Tour d’horizon.
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(nécessite abonnement)
le 18 juin 2025
Vallourec vient d’annoncer une avancée majeure : sa solution de stockage d’hydrogène, Delphy, a obtenu la certification technique de DNV. Ce système modulaire, conçu pour une implantation souterraine, permet de conserver jusqu’à 100 tonnes d’hydrogène comprimé tout en réduisant au maximum l’emprise au sol. Dans cet entretien, Vincent Designolle, Directeur de la solution Delphy, présente les atouts de cette technologie innovante, revient sur le processus de qualification mené avec DNV, et expose les perspectives de déploiement de Delphy en France comme à l’international.
Delphy vient d’obtenir sa qualification technique, une première mondiale.
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Notre système innovant s’appuie sur de longs réservoirs installés dans une cavité souterraine dédiée, dans lesquels l’hydrogène est stocké à des pressions allant de 200 à 500 bar. L’objectif de cette solution est de répondre aux défis liés à l’intermittence de la production d’hydrogène vert, en assurant un stockage tampon pour compenser les variations de la production. Elle permet également de faire face aux contraintes foncières et réglementaires rencontrées par les développeurs de projets d’hydrogène et de ses dérivés. Verticale et souterraine, la solution Delphy permet d’optimiser la sécurité et de minimiser l’emprise au sol.
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méthodologie RP A-203 de DNV
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construction en 2023 d’un démonstrateur sur notre site historique d’Aulnoye-Aymeries (59), où se trouvent le centre mondial de R&D, ainsi que deux usines du Groupe
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outil de flexibilité du réseau électrique et en encourageant par exemple les producteurs à s’inscrire dans des mécanismes d’effacement. Cet impératif vient confirmer la nécessité d’un stockage au plus près des sites de production et d’utilisation d’hydrogène bas carbone, et dans des proportions très significatives. A titre d’illustration, quelques heures de production d’un électrolyseur de 100 ou 200 MW représentent des volumes de stockage se comptant en dizaines de tonnes. Le développement d’infrastructures de transport, connectées à des stockages souterrains, est envisagé à long terme, mais cela prendra du temps et ne concernera pas tous les sites. Avec Delphy, nous apportons une solution clé-en-main adaptée au stockage « sur site »
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lancer sa commercialisation et de nous engager sur des projets industriels. La prochaine étape est donc de déployer Delphy auprès de nos clients, pour des applications aussi variées que la décarbonation des raffineries, la production d’ammoniac vert ou de carburants de synthèse, voire pour des stations hydrogène (HRS) de grande capacité. La France et l’Europe seront des marchés clés pour Vallourec, mais notre ambition est mondiale, au gré de l’essor de la filière.
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2 protocoles d’accord, avec H2V, notamment dans le cadre du projet H4 Marseille Fos, et NextChem
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fait partie intégrante de la stratégie de Vallourec de soutenir la transition énergétique. Le groupe a d’ailleurs annoncé que les solutions pour les industries bas carbone, à commencer par le stockage d’hydrogène, devraient représenter au moins 10% de son résultat brut d’exploitation, d’ici à 2030.
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Electronique - Informatique Semi-conducteurs Télécoms Informatique Cloud computing
Clés : Stmicroelectronics Isère STMICROELECTRONICS, CROLLES (38190)
La restructuration de STMicroelectronics se précise. Jeudi 10 avril, le fabricant franco-italien de semi-conducteurs a annoncé prévoir jusqu’à 2800 départs volontaires dans les trois ans, auxquels viendront s’ajouter d'éventuels départs en retraite non remplacés. Le plan dévoilé confirme la stratégie d’accélérer sur la production en 300 mm et le carbure de silicium.
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Mis à jour 10 Avril 2025 - 5 min. de lecture
© STMicroelectronics
Vue extérieure du site de Crolles de STMicroelectronics.
On savait le groupe en pleine restructuration et négociations avec les syndicats. Jeudi 10 avril, STMicroelectronics a révélé que son plan de transformation, décidé à l’automne dans un contexte de mauvais résultats financiers, pourrait signifier jusqu’à 2800 départs volontaires dans les trois ans, à travers le monde, sur un total de 50000 salariés. Viendront s’ajouter d’éventuels départs en retraite non remplacés.
«Il n’y aura aucun départ contraint», a insisté, auprès de L’Usine Nouvelle, la direction du fabricant franco-italien de semi-conducteurs, qui indique que le gros des départs se fera en 2026 et 2027. Si la direction ne chiffre pas officiellement les départs en retraite non remplacés, les syndicats sont catégoriques. «On nous a annoncé un remplacement pour trois départs», rapporte Henri Errico, secrétaire CGT du comité de groupe européen de STMicroelectronics.
Le projet confirme que les investissements se concentreront désormais sur «les infrastructures de fabrication de pointe en silicium 300 mm, en carbure de silicium 200 mm, ainsi que sur la R&D technologique». Les trois projets de mégafabs – en France avec l’extension du site de fabrication en 300 mm de Crolles (Isère), et en Italie à Agrate Brianza (toujours pour du 300 mm) et à Catane (sur le carbure de silicium) – sont confirmés. STMicroelectronics tient pour l’instant son engagement de ne fermer aucun site. Mais le plan, dit «de remodelage de [l’]empreinte industrielle» du groupe afin, selon la direction, de «préserver la compétitivité de ST», contient bien d’importantes restructurations, en particulier pour les sites français de Crolles (Isère), Rousset (Bouches-du-Rhône) et Tours (Indre-et-Loire).
A Crolles, un changement de métier pour 1000 salariés
A Crolles, la montée en puissance de la production en 300 mm est confirmée. «Le plan est d’augmenter la capacité à 14000 plaquettes par semaine d’ici 2027» et peut-être «jusqu’à 20000 plaquettes par semaine, en fonction des conditions de marché», peut-on lire dans le communiqué. La production en 200 mm est, elle, arrêtée. Cette partie du site est réorientée vers deux nouvelles activité : le tri des plaquettes – une étape de test où l’on vérifie que chaque puce sur chaque plaquette fonctionne correctement avant de découper, selon ST – et l’encapsulation selon des technologies avancées. «Deux activités qui n’existent pas aujourd’hui en Europe», fait valoir la direction du groupe.
Mais les syndicats restent interrogatifs. «On ne sait pas aujourd’hui quels investissements sont prévus pour accompagner cette transformation», s’inquiète Henri Errico, qui précise que cette inconnue vaut pour toutes les annonces, aucun montant d’investissement n’étant indiqué par site. «Sachant que pour les 1000 personnes travaillant aujourd’hui sur la production en 200 mm à Crolles, c’est un changement complet de métier : ils vont passer d’une usine de production à une usine de tri. C’est comme passer de boulanger à garagiste. Ca ne se fait pas en deux semaines. Et cela suppose d’enlever tous les équipements et d’en installer d’autres, donc d’investir.»
Les syndicats italiens inquiets pour l’usine d’Agrate
STMicroelectronics va donc concentrer sa production en silicium 200 mm sur le site français de Rousset – en plus des sites asiatiques. Il accueillera «des volumes additionnels réalloués depuis d’autres sites, permettant d’assurer la pleine saturation de la capacité de fabrication existante pour une efficacité optimisée», selon le communiqué publié par le groupe. Le site de Tours continuera aussi son activité destinée à des marchés de niche, qui fonctionne bien d’après les syndicats. Elle sera complétée par une nouvelle activité dite de «panel-level-packaging», une technique d’encapsulation des puces sur de grandes plaquettes, qui permet de produire davantage de puces en une seule fois selon le fabricant de semi-conducteurs.
Du côté de l’Italie, c’est l’avenir du site d’Agrate qui continue d’inquiéter. Le plan dévoilé prévoit pourtant une montée en puissance de la ligne de production en 300 mm, avec pour objectif «de doubler sa capacité actuelle à 4000 plaquettes par semaine d’ici 2027 », et en se donnant la possibilité de monter «la capacité jusqu’à 14000 plaquettes par semaine, en fonction des conditions de marché». La ligne de production en 200 mm d’Agrate se recentrera sur les Mems, ces dispositifs électromécaniques miniaturisés. «On n’a plus de technologie compétitive sur les Mems, un segment sur lequel on a perdu beaucoup de parts de marché», objecte Henri Errico, rapportant que les syndicalistes italiens ne voient là que des déclarations d’intention.
Le représentant CGT questionne plus globalement la stratégie dessinée par la direction : «Ils veulent recentrer toute la production sur les trois mégafabs, quitte à y faire produire des vieilles technologies pour les saturer et réduire les coûts de fabrication. Sauf que c’est une vision de court terme, qui réduit la bande passante pour le R&D».
Rome retire sa confiance au PDG
Ces annonces interviennent dans un contexte de forte tension avec Rome : la veille, selon Bloomberg, le gouvernement italien aurait retiré son soutien au PDG Jean-Marc Chéry. Une réaction à la décision du conseil de surveillance de rejeter la nomination de l’un de ses deux candidats, proposés pour occuper les deux postes vacants au sein de cet organe de contrôle. Un épisode très politique. La candidature rejetée – en vue d’un vote à la prochaine Assemblée générale des actionnaires le 25 mai – est celle de Marcello Sala, le directeur général du département économique du ministère des Finances italien, présenté comme un proche de la Première ministre Giorgia Meloni.
Le président du conseil de surveillance, Nicolas Dufourcq – également à la tête de la banque française d'investissement Bpifrance – a tenté d’apaiser le gouvernement italien. Dans une note citée par Reuters, il renvoie la responsabilité de ce rejet aux administrateurs indépendants de l'entreprise, qui partagent les huit postes du conseil de surveillance avec les représentants français et italiens. Car la holding que détiennent, chacun pour moitié, la France et l’Italie, ne possède que 27,5% du capital de STMicroeletronics.
300 à 360 millions de dollars d'économies en 3 ans
Mais la colère du gouvernement italien ne date pas que de cet épisode politique. Mi-mars déjà, la presse italienne révélait la décision prise par Rome d’utiliser, le moment venu, son droit de véto au conseil d’administration, empêchant ainsi la direction de ST de prendre des décisions stratégiques. De quoi manifester son désaccord avec la politique menée, le gouvernement italien reprochant à Jean-Marc Chéry de favoriser la France dans ses décisions et investissements.
Il faudra donc voir dans le détail comment les usines françaises et italiennes seront affectées par la réduction des effectifs à venir. A l’automne, ST avait déjà dit sa volonté d’économiser entre 300 et 360 millions de dollars d’ici à la fin 2027. Une anticipation des mauvais résultats financiers dévoilés en janvier, avec un chiffre d’affaires 2024, en baisse de 23% par rapport à l’année précédente. L’ambition d’atteindre les 20 milliards de dollars de chiffre d’affaires entre 2025 et 2027 a, elle, été repoussée à 2030.
Alors qu’une partie du secteur des semi-conducteurs se porte bien, tirée par la demande pour les datacenters et l’intelligence artificielle, STMicroelectronics est lui plongé dans un bas de cycle qui se prolonge douloureusement. En raison d’une demande qui ne repart pas sur ses marchés séculaires, l’automobile et l’industrie.
aut
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Connu / courrier de Grand-Poitiers
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Le décret BACS, décret de moyen car il impose la mise en place de GTB (Gestion Technique du Bâtiment – un système de pilotage des installations énergétiques) en fonction de la puissance des installations techniques d'un bâtiment.
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Le 14 mars 2025, l’Institut La Boétie publie avec les éditions Amsterdam le livre de Cédric Durand « Faut-il se passer du numérique pour sauver la planète ? ». Ce livre, issu des trois cours donnés par Cédric Durand dans le cadre de l’Institut La Boétie, présente la thèse selon laquelle l’ère numérique du capitalisme provoque une mutation du mode de production vers un « techno-féodalisme », c’est-à-dire où le profit est basée sur la conquête de monopoles, le contrôle de l’extraction des données numériques et la prédation.
Il dévoile avec pédagogie les rouages des processus de monopolisation intellectuelle à l'œuvre dans le capitalisme numérique. Mais il va aussi plus loin que cela en proposant des pistes pour une appropriation progressiste du numérique à travers un « cyber-écosocialisme » et ouvre une discussion sur les stratégies à mettre en place pour contrer ces nouveaux pouvoirs mondiaux.
L’émission 100 % ILB invitait Cédric Durand le 12 mars, deux jours avant la parution du livre. Elle a été l’occasion de présenter les principales thèses du livre pour donner envie aux spectateurs d’aller plus loin et de se former intellectuellement sur la question du capitalisme numérique, de ses conséquences sociales, politiques et écologiques. En effet, cet effort d’éducation populaire est urgent alors que la nature inquiétante des seigneurs féodaux de la tech apparaît de façon de plus en plus spectaculaire, notamment avec la figure caricaturale mais signifiante d’Elon Musk.
Il s’agissait donc aussi de lier le livre de Cédric Durand avec l’actualité et, avec des interlocuteurs de qualité, de le confronter à différents sujets comme l’apparition d’un « techno-fascisme » comme conséquence politique (ou non?) du techno-féodalisme, les limites écologiques substantielles du numérique et notamment de l’IA ou encore la construction d’une riposte politique.
Programme de l'émission :
00:00:00 Big Tech : une nouvelle lutte des classes ?
Avec Cédric Durand, économiste et auteur de « Faut-il se passer du numérique pour sauver la planète ? » et Jean-Luc Mélenchon, co-président de l'Institut La Boétie
00:28:52 Du techno-féodalisme au techno-fascisme ?
Avec Cédric Durand et Sylvie Laurent, historienne et spécialiste des États-Unis
01:15:12 Cyber-écosocialisme : une voie étroite ou sans issue ?
Avec Cédric Durand
Tr.: BIG TECH : UNE NOUVELLE LUTTE DES CLASSES
dépendance politique avec Musk, désintégration du débat public ... cloud ... dimension économique ...logique des communs ... moins marchandisé ... la guerre perdue (données en temps réel), la lutte contre le changement climatique (réseau de capteurs météo) ... USA : évolution progressive depuis 30 ans ... imposture de la sensée croissance par la tech ... imposture de Tesla, recherche spatiale par les deniers publics, twitter échec commercial ... compatible avec la théorie libérale ... désir autoritaire ... Biden a commencé à réguler (kripto-monnaie, etc) ... inverse de la CHine (porté par la puissance publique / porté par les privés) ... à long terme, Californie, illusion du progressisme ... emprise autoritaire et réactionnaire ex ia dans le paiement des retraites ... géopolitique autoritaire et homme augmenté ... le capitalisme tient sur la domination raciale ... pensée eugéniste, qi, amélioration de la race ... la machine, apendice ... la performance raciale, biométrie ... grand renouveau de la pensée raciale ... trumpisme, nouvel impérialisme, conquête de nouveaux territoires ... 2 facteurs : le dollar, les terres rares ... 2eme : pression contre les normes de Bruxelles ... moment bonapartiste, dév / l'ind de la surveillance (drones, ia, etc) les usa sont en catastrophe climatique ... appel à l'empire pour faire oublier au peuple la catastrophe sociale ... effets de prédiction puissants ex JO ... YOUTUBE comme facebook, facteurs de déstabilisation ... désir de conformisme, perversion lente ... alliance d'extrême droite transatlantique ... terrain piégé ... le RN n'a pas encore pensé ça ... grande vigueur de l'ED en ligne ... volonté d'occuper le terrain massivement
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Cyber-écosocialisme : voie étroite ou sans issue ?
nouveaux agents méta ... tendance mais échec monnaie de ms (libra?) ... le capitalisme est un moment de l'histoire, le mode de production ... voies de sortie : le numérique, intéressant pour le socialisme, la planification ex satellites ... dépend des moyens d'information ... rationnement ... ex. de la bande passante ... déploiement anthropologique, réponse démocratique ... marxistes décroissants / éco-marxistes ... la tech n'est pas neutre ex mocn (mach à cde num) c'est la socialisation ... dilemme ... low tech, communs, différents espaces émancipateurs ... espaces libres ... la place de l'ia et de ses usages : réguler ... effet de course folle à l'énergie etc ... l'ia, c'est la médiocrité qui reproduit du passé moyen ... empilement numérique, souveraineté, infrastructure contrôlée par la puissance publique ... satellites, cables, centres de données ... la donnée est notre commun ex mobilité ... organiser un accès à ces données ... niveau application, marché ... internationalisme tech ... garantie collective, pas menace ... mvt des non-alignés du numérique ... Brésil x suspendu ! Suisse, cloud public ... mise en commun ... données, logiciels ... rgpd, oui mais pas alternative ... idéologie marchande, non ... moteurs de recherche à mieux sélectionner ... souveraineté num à 3 niveaux ++
J.R. Dos Santos, présentateur vedette de la chaîne de télévision publique portugaise depuis plus de 25 ans et auteur du best-seller La Formule de Dieu, s’est penché sur le futur de l’humanité dans son nouveau livre, Immortel. Le roman addictif, basé sur des recherches scientifiques, raconte comment l’humanité telle que nous la connaissons se dirige vers l’immortalité.
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/mediationpourtous?C-fpVQ
Politique
Par François Luxembourg le 10 février 2025 • ( Poster un commentaire )
Roland Gori est professeur honoraire de psychopathologie clinique à l’université d’Aix-Marseille. Psychanalyste engagé, il lutte à travers ses ouvrages contre les conformismes qui nous menacent. Dans « La Fabrique de nos servitudes » (LLL, 2023), l’essayiste analyse avec rigueur les mécanismes qui nous astreignent à un monde étouffant : il s’agit de repenser nos catégories et notre langage afin de les ouvrir aux utopies. Un ouvrage magistral.
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?ItD_YA
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"Percutant et précis, "La fabrique de nos servitudes" met à la lumière les différentes stratégies du néolibéralisme afin de modeler un Homme froid et standardisé dont la langue a été simplifiée par une technique envahissante. À l’aide d’une érudition foisonnante, Roland Gori nous invite à plonger notre esprit dans les découvertes les plus récentes, littéraires et scientifiques, dans le but de l’ensemencer d’utopies réjouissantes. Au moment où tout semble perdre de sa couleur, (re)lire cet ouvrage est capital."
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Connue / https://diaspora-fr.org/posts/10803554
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Emmanuel Florac - il y a environ une heure
#politique #techoféodalisme #technologie #IA
https://yewtu.be/watch?v=0Mi4_-PtLMM
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tR.:... pharmakon (ni poison, ni remède) ... ambivalence de l'écriture ... effort d'individuer le savoir ...
*Terminer >5:00 ACT
Asma Mhalla et Gérard Araud, invités de la Matinale de France Inter le samedi 11 janvier 2025 ©Radio France - Grégoire Nicolet
8h20 - Baddou - L'hour
Comment la Tech s'est-elle hissée à ce niveau de toute-puissance dans la politique internationale ? Entretien avec Gérard Araud, ancien ambassadeur de France aux États-Unis, et la politologue et essayiste Asma Mhalla.
Avec
- Asma Mhalla Docteure en sciences politiques, chercheure associée au Laboratoire d’Anthropologie Politique de l'EHESS, spécialiste de Géopolitique de la Tech et enseignante à SciencesPo et Polytechnique
- Gérard Araud Diplomate français, ancien ambassadeur de France en Israël et aux Etats-Unis, ancien représentant de la France au Conseil de sécurité de l’ONU
Gérard Araud est un ancien ambassadeur de France aux États-Unis, et ancien représentant permanent de la France auprès de l'ONU. Asma Mhalla est politologue, essayiste, et enseignante à Sciences po. Elle a écrit “Technopolitique : comment la technologie fait de nous des soldats” (février 2024, le Seuil). Ensemble, il reviennent sur l'alliance Trump-Musk, avant l'investiture du président américain, le 20 janvier prochain.
Clés : États-Unis Société Monde
TOUS LES DÉTAILS À EXPLOITER À https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?VezRkg
Connu / https://mastodon.top/@gomli@piaille.fr/113763769561571354
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brume ⏚ 😡 ⛵ 🐧 ☮️ 🇵🇸 a partagé
6 h *
gomli@piaille.fr brume@piaille.fr gomli @gomli@piaille.fr
Très belle reflexion d'une jeune diplômée #ingénieure déserteuse, à écouter jusqu'au bout, bravo !
"Si tu es #ingénieur et qu'on t'a dit que tu allais sauver le monde, arrête déjà de le détruire, arrête d'être le problème !"
(merci @Khrys pour la mise à disposition du lien peertube :)
Une ingénieure déchire son diplôme en pleine cérémonie et détaille les raisons de son geste dans une vidéo explicative
Par Mini vidéos que je mets dans le Khrys'presso
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Tr.: ... la recherche, la technologie, ne sont pas neutres ... annecdote : le cours d'éthique est délivré par le CEA, organisme qui a délivré la bombe atomique ... Les Désert'Heureuses ... le blocage n'est pas financier, il est mental ... L'Atelier Paysan ... On s'organise pour que tout le monde puisse déserter ... s'informer, lire, rencontrer, se confronter à la réalité ... carte Médias français ... travailler sur soi, prendre soin de soi, ... 100% de mon temps va dans le bon sens ... habiter des lieux sans propriété ...
À propos
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France
Mis en avant ce jour :
Grand Paris Express, le Nouveau Métro Innovant et Durable !
9:33 - 21 602 vues il y a 3 mois
Avez-vous déjà entendu parler du Grand Paris Express ?
Il s’agit d’un projet de transport en commun sobre en carbone, qui participe à l’aménagement du territoire au service des Franciliens. Au-delà d’être un projet de grande envergure, c’est aussi un atout pour l’environnement qui facilitera les déplacements quotidiens de plusieurs millions de personnes grâce à un meilleur maillage du territoire. Il permettra de réduire les modes de transports les plus polluants et consommateurs en énergie.
En outre, il va permettre de relever des défis environnementaux adaptés à notre époque. C’est aussi un levier efficace pour mettre en œuvre des nouvelles technologies particulièrement innovantes. Le développement d’un béton ultra bas carbone, l’utilisation de rails bas carbone, mais aussi la mise en place de voussoirs en béton fibré sont au cœur du projet en matière d’innovation technique et environnementale. L’impact sur le long terme du Grand Paris Express sera donc bénéfique pour l’ensemble des Franciliens !
📌 En savoir plus :
Lien vers le site du Grand Paris Express : https://www.grandparisexpress.fr
Lien vers le site de la Société des grands projets : https://www.societedesgrandsprojets.fr
Chaîne YouTube : https://www.youtube.com/@Societedesgr...
ℹ️ Cette vidéo est sponsorisée par la Société des grands projets.
© Une production ClapNetwork - aTech
✍️ Documentaire produit par Arthur Parfait
Journalistes : Amandine Durand, Elsa Gobert
Cadreur : Théophile Cataldo
Voix Off : Willy Amann
Monteur Vidéo : Carl Maminiaina
🙏 Remerciements :
Société des grands projets
Lumera
Julie Saubebelle
Reda Belmajdoub
Céline Cadet
Clément Petit
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Ndlr : vérifier ces chiffres et si média fiable ACT
et aussi :
- https://www.youtube.com/watch?v=9H23o03yrp0 Ces Armées Asiatiques sont Plus Puissantes qu'on le Pense 80 112 vues 3 oct. 2024
Connu par https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?0GK8Zw
Entretien — Idées - Durée de lecture : 11 minutes - Mis à jour le 22 avril 2024 à 13h33
Idées Numérique Grands entretiens
L’écrivain Alain Damasio sort Vallée du silicium, chroniques inspirées d’un voyage dans la Silicon Valley californienne. « Les technocapitalistes visent la libération individuelle, ils vivent dans un élitisme absolu », dit-il.
Alain Damasio, écrivain, publie Vallée du silicium (Seuil), des chroniques et une nouvelle science-fiction inspirées de son séjour dans la Silicon Valley, aux États-Unis. « La matérialité du monde est une mélancolie désormais », annonce le bandeau du livre.
...
Alain Damasio — Un avenir où l’innovation technologique continuera à constituer la norme, quel que soit son impact sur nos ressources terrestres. Un avenir où le désirable pour l’humain serait son augmentation (cognitive, physique) au sens du transhumanisme. Un avenir où l’épanouissement individuel par la technologie doit primer sur les liens aux autres et aux vivants.
Ton livre se présente comme une démarche anthropologique. Pourquoi ?
À l’origine, je ne l’ai pas intentionnellement construit comme ça mais dès que tu t’interroges sur ce que la technologie fait à l’homme, tu déploies nécessairement des réflexions sur l’espèce humaine et son évolution, sur la manière dont le numérique nous transforme et dont la Silicon Valley nous façonne. Un champ crucial reste celui du corps. Les transhumanistes ont ce mot terrible pour le désigner : meat. La viande. C’est une chair morte, non irriguée. Seul le système nerveux central compte. Le reste, la chair frissonnante, les muscles, toutes nos sensations, notre sensualité fine, ne les intéressent pas, parce que cela ne véhicule pas d’information exploitable dans le régime de la trace. Ce corps est maintenu en forme par le fitness ou la course dans le seul but que le cerveau et le système d’informations puissent fonctionner.
Le corps est conçu et vécu comme une machine. La nourriture est énergie. Le sport est une hygiène. Le cerveau s’optimise. Le bien-être s’algorithme. Ce corps est désaffecté, désinvesti. C’est un corps qu’on ne sent plus, qui n’a plus d’existence et qui ne te sollicite plus parce qu’il est maintenu dans un environnement climatisé, souvent assis, et dans une absence de mobilisation émotionnelle et affective.
Cette vision machinique du corps peut être reliée à celle de la planète. Quelle conception les gens de la Silicon Valley ont-ils de la planète Terre ?
La façon dont ils traitent les corps fait écho à la façon dont ils traitent la planète. Dans les deux cas, ils se vivent comme maître et possesseur de la nature — de ma nature pour le corps. Leur degré de conscience écologique très faible m’a frappé : le peu de magasins bios par rapport à la France, par exemple. L’alimentation reste un sujet dépolitisé chez eux. La prise de conscience de l’élevage, de ce qu’il faut pour produire la malbouffe m’a semblé inexistante. Les Californiens vivent sous une climatisation constante, et ne supportent plus que le corps sorte d’une fourchette entre 20 et 25 °C, ce qui devient aussi la norme en Europe. Maintenir un corps humain à ces températures en permanence représente une dépense énergétique énorme. Pour que ce corps n’ait plus besoin de faire le moindre effort, le climat a été domestiqué. Autant, en France, nous sommes en retard de dix ans sur leurs usages quotidiens de la technologie, autant, dans cette Californie techie [passionnée de technologie], la prise de conscience écologique m’a paru très « arriérée ».
« Il faut sortir de la peur de l’autre : se confronter à l’altérité entraîne forcément de l’imprévisibilité, de l’inattendu, de la menace. » © Patrice Normand / Reporterre
Dans « Homo deus », Yuval Noah Harari parle de « surhommes » et de « castes inférieures », à propos de la société future créée par le développement des technologies. Penses-tu que cela décrit la vision des technocapitalistes ?
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vision de sociopathe.
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l’impact de la Tech est d’abord anthropologique et « souple » avant d’être militaire ou sécuritaire.
« La logique immunitaire hygiéniste appliquée au corps aboutit à la sensation que tout devient dangereux. » © Patrice Normand / Reporterre
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tension entre peur et liberté
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les logiques sécuritaires l’ont emporté, ce qui explique ce grave décalage du spectre politique vers la droite, en Europe et ailleurs. Selon moi, ce phénomène a aussi une origine anthropotechnique : la logique immunitaire hygiéniste appliquée au corps aboutit à la sensation que tout devient dangereux. Plus tu es protégé et plus tu te protèges, plus le technococon devient épais et plus tu filtres tes rapports aux autres, si bien que la moindre intrusion, agression, harcèlement ou confrontation à l’altérité te paraît problématique et difficile. Et donc, tu vas demander encore plus de sécurité et de protection. Ce cercle vicieux tend vers quelque chose qu’il faut appeler l’immunité. Mais immunité partout, humanité nulle part !
...
se confronter à l’altérité entraîne forcément de se confronter à l’inattendu, à l’imprévisible, à ce qui peut te déstabiliser. La principale critique que je forme envers nos technologies quotidiennes est qu’elles conjurent l’altérité. Elles sont construites pour fabriquer de l’identique. Home est son biotope : le petit chez-moi, familier, le cocooné, le confortable, le cajolé. Sauf que cette vision, et les pratiques de rejet qui l’accompagnent nécessairement, sont d’une grande violence pour les gens qui n’ont pas la possibilité de bénéficier de ce technococon égocentré.
Dans Le ministère du futur, Kim Stanley Robinson décrit la situation écologique et inégalitaire actuelle et imagine des écologistes tuer, prendre des milliardaires en otage, faire exploser des avions. Qu’en penses-tu ?
C’est la bonne solution aussi, à mes yeux. Je suis un partisan de l’action directe. On subit de façon trop molle et complaisante des actes d’une violence et d’une agressivité absolues. Les technocapitalistes ne se posent pas la question de ce que leur vision du monde produit sur nos vies ordinaires. Les actions directes, comme le sabotage, le brouillage, le piratage des chaînes de production, le boycott des produits, me semblent très souhaitables. Lorsqu’on dit ça, on donne l’impression d’être radical et hystérique alors qu’on énonce une banalité lucide. Ce qui est radical est ce que la Tech fait : ne pas s’interroger sur l’impact de la production d’une voiture électrique sur le travail des enfants en Afrique, par exemple, ou le pillage minier. Il faut stopper, invalider et inverser cette violence, la retourner. Et utiliser tous les moyens dont on dispose : le hacking [pénétrer illégalement dans un système informatique], les blocages, les occupations, la lutte des imaginaires, l’artivisme, les zad, etc. Il y a toujours des failles et il faut les utiliser. Mais aujourd’hui, très peu de militants sont prêts à prendre des risques parce que…
Parce qu’en face, il y a des appareils de répression de plus en plus élaborés et sophistiqués…
Complétement. C’est très intéressant de revoir l’histoire du mouvement Action directe dans les années 1970-1980. Ils pouvaient faire dix ou quinze actions avant que la police se mobilise ou qu’ils soient mis en prison. Aujourd’hui, des gens taguent une usine Lafarge et ils subissent une surveillance colossale, des peines de prison disproportionnées, quatre-vingt-seize heures de garde à vue. Le système répressif est d’autant plus féroce que les actions sont rares et modestes, c’est un paradoxe qui traduit un étouffement dans l’œuf de toute contestation. À nous d’être fins.
Lire aussi : Dans les sous-sols de l’antiterrorisme, l’enfer de militants écologistes
Cette surveillance est permise par l’intelligence artificielle et les instruments numériques.
On ne parle pas assez du couplage entre le régime de contrôle et le régime numérique.
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Je n’aime pas le terme de résistance parce qu’il revient à considérer que malgré tout, le système va continuer à opérer, qu’il sera toujours dominant et que notre capacité est seulement d’en limiter les effets négatifs. Je pense qu’il faut construire des alternatives, proposer d’autres façons d’exister, de s’alimenter, d’habiter. Puis de montrer que ça marche et surtout que ça nous rend heureux et libre. Il faut battre le capitalisme sur le terrain du désir.
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la paresse plaisante, le pouvoir octroyé, la conjuration des peurs et des incertitudes et l’imaginaire du transhumain, cet antique désir « d’être dieu », d’échapper à notre finitude. Il faut ressusciter un désir qui fasse pièce à cette économie de désir qu’accomplit magistralement la consommation numérique. C’est un sacré défi, c’est un sacré combat.
...
plutôt dans les zones rurales : campagnes, montagnes. Il y a un vrai retour à la terre, à l’image des années 1970. Beaucoup de communautés, d’oasis, de tiers lieux, de quarts lieux, de zones d’expérimentation, de zad se développent. Ça se passe sous les radars des médias urbains qui constituent la majorité des médias. Mais ça existe et ça résonne très au-delà des sites où ça naît, comme la zad de Notre-Dame l’a fait. ... par ces expériences : maraîchage de montagne, économie du gratuit, intelligence collective, renouement aux forces du vivant, techniques de subsistance, fluidité de genres.
Je trouve l’idée de « zone » très forte. Il ne s’agit ni d’un domaine clos, ni d’une communauté autarcique, ni seulement d’un habitat partagé. C’est plus ouvert, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de frontières, ça rayonne et s’étend. On ne changera pas ce monde fondé sur les désirs individualisés et les échanges immatériels sans expérimenter en collectif, éprouver d’autres modes de vie qui destituent les effets de pouvoir, s’alimenter en bio, local et frais, trouver une autonomie énergétique, pratiquer le low-tech qui t’empuissante dans ton rapport à la techno, etc. Et surtout sans réactiver des liens au monde, au vivant et aux autres, qui te rendent plus vaste, plus joyeux et plus vif. On a besoin de lieux, d’espaces concrets pour ça et de pratiques incarnées, on a besoin de créer aussi, sans cesse, pour déjouer les machines de pouvoir qui nous pilotent.
...
Le texte de l’entretien écrit a été repris par Alain Damasio, il est donc adapté de l’entretien oral.
l''avenir des batteries est peut être ailleurs que dans la technologie Lithium Ion.
et
https://www.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/batteries-sodium-ion-une-premiere-mondiale-dont-nous-sommes-tres-fiers
Après avoir livré le premier prototype de batterie sodium-ion, le réseau français RS2E ...
Connu / TG le 22/02/24 à 17:32
L’Union européenne prévoit des assouplissements réglementaires et des facilités de financement pour ces filières décarbonées.
269 k abonnés - 1,7k+ - 56 616 vues - Commentaires désactivés
Aurélien barrau Pablo Servigne écologie
Tr.: ... chat gpt ... la puissance d'être ... étiologique plutôt que symptomatique ...
NDLR: En médecine, l'étiologie (ou étiopathogénie) est l'étude des causes et des facteurs d'une maladie. Ce terme est aussi utilisé dans le domaine de la psychiatrie et de la psychologie pour l'étude des causes des maladies mentales .
Depuis 2008, Frandroid a une mission : informer sur l’innovation et accompagner son lectorat avant, pendant et après l’achat d’un produit technologique
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Frandroid est fier d’être un média de recommandation
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Attestation des services accomplis (service militaire ou service national) - Aide technique, coopération ou objecteur de conscience
Votre situation
Aide technique, coopération ou objecteur de conscience
Votre lieu de recensement : la métropole
"
&
Lettre envoyée à partir de https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R41470
ATT rép
Cet essai est le fruit du travail de plus d’un an du groupe d’écriture de l’Atelier paysan composé de sociétaires. Il vient éclairer plus d’une décennie d’explorations collectives en technologies paysannes, période jalonnée de nos cheminements techniques, politiques. Il situe la question des technologies agricoles dans le champ agricole et alimentaire de la famee** « ferme France »…
Aux éditions du Seuil
Reprendre la terre aux machines – Manifeste pour une autonomie paysanne et alimentaire, l’Atelier Paysan, mai 2021.
👉 https://www.seuil.com/ouvrage/reprendre-la-terre-aux-machines-l-atelier-paysan/9782021478174
Ndlr : connue par la conférence organisée lors de la descente du clain fin juin 2023++ valoriser ACT