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Pétition lancée le 9 novembre 2024
Le problème
NON au site de MÉGA-BATTERIES LITHIUM-ION en Seine-et-Marne !
108 containers de batteries lithium-ion implantés par la société NEOEN sur la commune de Vernou-la-Celle sur-Seine
Un précédent national est en train de s'établir ! Nous sommes tous concernés par le projet d’installation d’un site de stockage d’électricité par méga-batteries au lithium-ion sur la commune de Vernou-la-Celle-sur-Seine (Seine-et-Marne, à 63 km de Paris et à proximité de Fontainebleau). Au-delà de ce dossier local qui suscite une vive opposition des habitants de la commune, venez soutenir à l’échelle nationale une approche réfléchie de notre transition énergétique, qui ne s’assoit pas sur la sécurité des citoyens riverains et qui respecte la voix des territoires !
Envie d'une vidéo plutôt que de lire ? --> Regardez le reportage réalisé par France 3 Ile-de-France le 10/03/2025
[VERSION COURTE ,version longue ci-après]
Risques d’incendies non maîtrisables et de fumées toxiques
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à Vernou, elles seront implantées à proximité immédiate de deux lignes haute tension de 400 000 et 250 000 volts (poste RTE du Chesnoy qui a d’ailleurs connu un incendie en juin 2023, qui fut difficile à contrôler pour les pompiers et qui a obligé la population à se confiner) !
Impacts environnementaux délétères
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Un projet soutenu par l’État CONTRE les citoyens :
Le projet a été autorisé par l’État malgré un avis défavorable du conseil municipal et bafoue ou tord la réglementation en vigueur pour faire passer le projet aux forceps : (1) la réglementation environnementale est inadaptée ou abusée ; (2) l’objectif « zéro artificialisation nette » de la loi Climat et résilience est enterré ; (3) le Plan Local d’Urbanisme est modifié de manière injustifiée et abusive. Le projet de Vernou représente donc un précédent dangereux pour de futurs projets similaires en France.
La valeur foncière des terres et des maisons plombée par la proximité d’un site industriel dangereux
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Pour une transition énergétique réfléchie, respectueuse des citoyens et de l’environnement
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[VERSION LONGUE]
LES TERMES DU PROBLÈME
La société NEOEN est en train de développer ce qui sera l’un des deux plus gros sites de stockage d’électricité par méga-batteries au lithium-ion de France, installé sur la commune de Vernou-la-Celle-sur-Seine en Seine-et-Marne, à proximité de hameaux résidentiels et d’un centre pour personnes polyhandicapées (Les Amis de Karen). En effet, notre petit village se voit demandé par des géants de l’industrie pour leurs profits, mais au détriment de la sécurité de ses habitants et de la qualité de leur environnement (la raison en est la présence du poste RTE du Chesnoy). La société NEOEN (cotée en bourse et rachetée depuis mars 2025 par la holding canadienne Brookfield) est le second à se présenter au village pour ce projet et le propriétaire du terrain attend sa généreuse indemnisation avec impatience (contrairement aux 2 700 vernoucellois qui rient jaune devant les 37€/an/personne vendus par NEOEN… même si les motifs de la mobilisation ne résident pas là) !
Le projet proposé stockerait 203 MWh d’énergie dans 108 méga-batteries et 54 postes de transformation (à ce jour, mais les chiffres donnés ont été bien fluctuants !) installées sur 5,37 ha durant un bail de 20 ans renouvelable. En théorie, il s'agit d'une solution vertueuse pour contribuer à la fiabilisation du transport d’électricité en Île-de-France dans le contexte d'une demande accrue et du développement des énergies renouvelables dont la production est par nature intermittente. Pourtant, à Vernou, les batteries seront reliées au poste RTE du Chesnoy qui est alimenté quasi-exclusivement par de l‘énergie nucléaire et fonctionne très bien depuis des années...
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Ndlr : consulter les documents adverses, chercher d'autres infos ACT
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▶ Claude SERFATI a été enseignant-chercheur en sciences économiques à l’université de Saint-Quentin-en-Yvelines. Il est membre du conseil scientifique d’ATTAC-France. Ses travaux portent en particulier sur les interactions entre l’économie et le militaire dans le monde, en Europe et en France. Il est l'auteur de "L'État radicalisé" et "Un monde en guerres" aux éditions La Fabrique.
Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, Claude Serfati revient sur les dynamiques de la mondialisation armée et la radicalisation de l’État français à l'heure ou les tensions internationales et nationales explosent. Il décrypte les ressorts du capitalisme militarisé et de l’imbrication croissante entre intérêts économiques et impérialismes concurrents. Un échange essentiel pour comprendre comment le capitalisme contemporain, loin de pacifier le monde, engendre au contraire un enchevêtrement de crises de plus en plus graves.
👉 NOTRE ARTICLE POUR TOUT COMPRENDRE SUR LA STRATÉGIE DE TRUMP : https://elucid.media/analyse-graphique/tarifs-douaniers-trump-declare-la-guerre-economique-au-reste-du-monde
⚠️ La zone commentaire doit rester un espace respectueux, de débat ouvert et constructif. Les rares attaques et/ou injures envers les invités qui acceptent bénévolement nos invitations ne seront pas acceptées. Merci pour votre compréhension.
Présentateur : Olivier Berruyer
Productrice : Carla Costantini
Monteur : Xavier de Capèle
Sommaire :
00:00:00 - Zapping
00:01:41 - La situation internationale actuelle
00:03:54 - Le commerce et la mondialisation, vecteurs de paix ?
00:09:52 - L'Europe c'est la paix ?
00:21:44 - Les leviers de puissance de l'Europe
00:26:17 - Une défense européenne ?
00:36:22 - Une guerre entre deux empires ?
00:52:13 - La France, un pays pacifique ?
00:57:48 - Le rôle et les risques posés par l'armée en France
01:05:52 - Une stratégie commerciale française centrée sur l'armement
01:18:39 - Lois sécuritaires et dérive autoritaire
01:25:50 - Question finale
Environnement
Comment Total a fabriqué l’insouciance climatique ces 50 dernières années
Dès 1971, Total savait que ses activités pétrolières auraient des conséquences catastrophiques sur le climat. Des chercheurs révèlent les stratégies mises en place pendant des années par le groupe pour échapper à sa responsabilité écologique.
Publication 28 oct. 2021, 15:36 CEST / De Margot Hinry
Station service Total
PHOTOGRAPHIE DE Unsplash
Trois chercheurs français, Christophe Bonneuil, Pierre-Louis Choquet et Benjamin Franta, ont récemment fait réagir l’opinion publique et la communauté scientifique en publiant leur travail de recherche et d’investigation dans la revue scientifique Global Environnemental Change.
Cette recherche dévoile des faits accablants. Au sein du magazine interne de l’entreprise, Total information, au début des années 1970, on pouvait lire ces mots : « si la consommation de charbon et de pétrole garde le même rythme dans les années à venir, la concentration de gaz carbonique pourrait atteindre 400 parties par million vers 2010 ».
Il y a cinquante ans donc, l’industrie pétrolière Total et Elf, avec qui elle a fusionné en 1999, savait. Elle connaissait les enjeux climatiques liés à son activité et a été mise au courant plus en détail au cours des années 1980 de la gravité de la situation à venir.
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place au pouvoir des lobbies puis du greenwashing.
LA MISE EN PLACE DU DOUTE, UNE STRATÉGIE EXTERNE
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signé par un scientifique et précédé d’un éditorial du PDG de Total d'alors, René de Lilliac. Il y précise que « la défense de l’environnement s’accompagne souvent de critiques assez vives dirigées à l’encontre des grandes industries parmi lesquelles les compagnies pétrolières ». Il ajoute que de son côté, le groupe Total « mesure pleinement » les impacts « négatifs » que peuvent avoir ses activités sur la nature.
En interne, plusieurs études scientifiques sont réalisées et diffusées, d’après les chercheurs, pour comprendre, analyser et répondre au mieux à une situation qui pourrait clairement mettre en péril l’activité pétrolière.
Mais comme le souligne Justine Ripoll de l’association Notre Affaire à Tous, « après l’article de 1971, il faut attendre la fin des années 1980 pour que la question du réchauffement climatique soit de nouveau abordée par les compagnies pétrolières, notamment dans les pages de magazines comme Total information ».
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créer un système de négation et de doute
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Comme le démontre le travail méticuleux des chercheurs, Exxon a alerté le secteur après avoir établi des programmes de recherches internes dès 1970, suivi par Shell en 1981. Dans ces recherches, on découvre que Bernard Tramier, directeur de l'environnement chez Elf de 1983 à 1999 (et plus tard chez TotalFinaElf après la fusion de 2000 à 2003) se souvient avoir été « alerté du sérieux du réchauffement climatique » lors d’une réunion à Houston en 1984. L’ancien directeur explique que l’entreprise avait pris soin d’étudier les enjeux du réchauffement climatique discrètement, à l’abri des regards.
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C’est lors d’un colloque à Baltimore en 1987 que les géants du pétrole se sont réunis pour mettre en place une stratégie de défense ... ce n’est pas une stratégie de précaution qu’ils choisissent, mais vraiment [une stratégie] défensive et agressive » explique Justine Ripoll.
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mettre en échec les politiques visant à réviser la dépendance aux énergies fossiles
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« En 1994, lorsque la Commission européenne relance l’écotaxe dans une version plus modérée, Elf et Total s’y attaquent encore une fois » peut-on lire dans l'étude.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0959378021001655
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2002, deux ans après avoir racheté Elf, que Total tiendra son premier « séminaire interne consacré au développement durable ». À l’époque, le nouveau PDG, Thierry Desmaret aurait pris la parole pour préciser l'engagement du groupe. « Certes, les éléments scientifiques ne sont pas toujours convaincants et sont parfois contestables. Cela dit, je pense que nous avons atteint un stade où un certain niveau de principe de précaution doit être pris en compte. Ainsi, en matière de réchauffement climatique, une certaine modération dans l’émission des polluants est, au stade de nos connaissances, souhaitable ».
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Leur discours c’est de dire que ce n’est pas à eux de changer l’offre mais aux citoyen.ne.s de changer la demande
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Le co-auteur de l’étude, Christophe Bonneuil, le confirme « l’histoire nous vaccine. Il y a une course à la puissance entre les États, à l’accumulation du capital des acteurs économiques, qui font que leurs intérêts ne vont pas forcément dans le sens de la préservation du climat ».
Le chercheur espère que le travail historique fourni servira à « éduquer notre regard de citoyen ... notre esprit critique ...
Pour lire l'étude dans son intégralité : Early warnings and emerging accountability: Total’s responses to global warming, 1971–2021 de Christophe Bonneuil, Pierre-Louis Choquet et Benjamin Franta, 2021.
Clés : Effet de serre Environnement Pollution de l'air Changement climatique Pollution Préoccupations environnementales
Connu / TG le 16/05/25 à 8:59
retrouvé à https://bsky.app/profile/cbeaumont.bsky.social/post/3lcuyb7pw322u
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Coralie Beaumont @cbeaumont.bsky.social · 5 mois
Réponse à Observatoire des délires conspirationnistes du Québec
Je pense qu'il faut aussi considérer les décennies de désinformation sur les changements climatiques depuis au moins les années 1980 qui a fait beaucoup de dégâts et la grande résilience nécessaire pour faire face l'information prouvée scientifiquement
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TchaoMegot, start-up de l’Oise, a créé un système de dépollution du mégot de cigarette vertueux pour l'environnement et qui encourage la collecte. - TchaoMégot
Dépolluer les mégots de cigarettes pour les transformer en matériau isolant pour le bâtiment, sans utiliser d'eau : c'est l'innovation qu'a mise au point TchaoMégot. Egalement au programme de ces Carnets dans l'Oise : les Ovalies UniLaSalle, tournoi de rugby universitaire au profit d'associations.
Tchaomégot : une technologie unique au monde pour recycler les mégots
Tchao Mégot, entreprise à qui les Carnets ont donné la parole il y a deux ans, a bien évolué depuis. Basée à Bresles (Oise), elle s'est fixée une mission importante : recycler les mégots de cigarette. L'entreprise collecte les mégots, les dépollue, et les transforme en matière isolante pour le bâtiment ou en rembourrage textile pour en faire des doudounes.
Julien Paque, président et fondateur de Tchao Mégots, est notre invité
Les Ovalies UniLaSalle : un tournoi de rugby étudiant et solidaire
Un tournoi de rugby au profit de trois associations est organisé du 8 au 10 mai à Beauvais. Cet événement, les Ovalies, est entièrement porté par des étudiants et étudiantes de l’école d'ingénieurs UniLaSalle, et on vient de toute l'Europe pour y participer.
Clarisse Miseray, étudiante en 4ème année à UniLaSalle, est notre invitée.
Clés : Environnement Sports Rugby Écologie Recyclage - Gestion des déchets
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Politique
Par François Luxembourg le 10 février 2025 • ( Poster un commentaire )
Roland Gori est professeur honoraire de psychopathologie clinique à l’université d’Aix-Marseille. Psychanalyste engagé, il lutte à travers ses ouvrages contre les conformismes qui nous menacent. Dans « La Fabrique de nos servitudes » (LLL, 2023), l’essayiste analyse avec rigueur les mécanismes qui nous astreignent à un monde étouffant : il s’agit de repenser nos catégories et notre langage afin de les ouvrir aux utopies. Un ouvrage magistral.
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?ItD_YA
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"Percutant et précis, "La fabrique de nos servitudes" met à la lumière les différentes stratégies du néolibéralisme afin de modeler un Homme froid et standardisé dont la langue a été simplifiée par une technique envahissante. À l’aide d’une érudition foisonnante, Roland Gori nous invite à plonger notre esprit dans les découvertes les plus récentes, littéraires et scientifiques, dans le but de l’ensemencer d’utopies réjouissantes. Au moment où tout semble perdre de sa couleur, (re)lire cet ouvrage est capital."
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Un laboratoire d’idées indépendant de recherche politique collégiale et interdisciplinaire
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initié le 7 mai 2019 par un manifeste appelant à fédérer par les idées afin de fabriquer l'alternative.
En réponse à l’imposture libérale et va-t’en-guerre, ils s’engagent en faveur d’une action publique véritablement progressiste et innovante, au seul service de l’intérêt général. Face aux urgences écologique, démocratique, sociale et internationale, ils proposent des orientations et des scénarios d’action concrets à la hauteur des enjeux de notre temps. Les travaux d’Intérêt général s’inscrivent dans la continuité du travail programmatique de l’Avenir en commun et du Nouveau Front populaire. Ils visent à préparer l’action au pouvoir des organisations se retrouvant dans ces axes programmatiques.
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Origine
Intérêt général prend racine dans le collectif « article 15 », créé pendant la campagne présidentielle de 2017 par Bernard Pignerol, Marie Agam et Boris Bilia, en vue de développer les échanges entre hauts fonctionnaires proches des idées de la France insoumise, autour des propositions du programme L'avenir en commun et de ses livrets.
Avec ce socle programmatique pour point de départ, il s’ouvre aux mondes de la recherche et de l’entreprise et choisit de faire irruption dans le débat public de l’expertise et des idées, dans un paysage français et européen dominé par des « think tanks » sous emprise libérale (voir note #1 d’Intérêt général).
Les publications d'Intérêt général ne reflètent les positions officielles d’aucune organisation politique. En proposant des orientations libres et constructives, il s’adresse à tous les mouvements et à toutes et tous les citoyen·ne·s souhaitant participer à la fabrique d’une alternative écologique, sociale, démocratique, internationale et humaniste.
En 2020, un an après sa création, Intérêt général dévoile la composition de son conseil d’orientation scientifique
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Conseil d'orientation scientifique
1 Déclaration de principes et missions du conseil
texte publié en même temps que la composition du conseil d’orientation scientifique. Elle a vocation à formaliser brièvement ce que signifie la participation à ce conseil.
2 Les membres du conseil d'orientation scientifique.
- Marie Agam, Haute-fonctionnaire
- Hadrien Clouet, Sociologue
- Quentin Deforge, Sociologue
- Charlotte Girard, Juriste
- Anaïs Henneguelle, Économiste
- Camille Herlin-Giret, Politiste
- Jean-Charles Hourcade, Cadre de l'industrie
- Maxime Quijoux, Sociologue
- Raul Sampognaro, Économiste
- Benoît Schneckenburger, Enseignant et philophe
- Hélène Strag, Haute-fonctionnaire et autrice de scénarios
- François Thuillier, Chercheur et policier
Association loi 1901.
La Fabrique est une organisation à but non lucratif, régie par la loi du 1er juillet 1901.
Elle permet à plusieurs personnes de s’unir autour d’un projet commun, sans partager de bénéfices, dans le but de développer les communs.
staff@lafabrique.space
Rejoins nous pour explorer, apprendre, gagner en autonomie et créer ! Découvre un apprentissage numérique adapté à tes besoins, pour discerner le bon du mauvais et mieux comprendre le monde en pleine transformation numérique.
Cessons de subir l’informatique et transformons la en un outil sur mesure à nos besoins !
Nos axes : Recyclage, Transformation, Production, Éducation et Formation numérique.
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Tourné vers l’open source et le recyclage
Connu / mel
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Sujet : crieur-des-sorties Compilation du mar., 29 oct. 2024 ( 1 / 1 )
Date : Tue, 29 Oct 2024 12:12:08 +0100
Invitation à l'inauguration ... du samedi 30 novembre 2024 à 14:00 à 17h
à Champagnac la Rivière
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Itinéraire : https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?MOfSZA
Ndlr : qui porte le projet ? rien d'indiqué :-(
coopération, collaboration, sont employés indifféremment :-(
Marie-Pierre Bouchaudy et Fabrice Lextrait - (Un) abécédaire des friches, laboratoires, fabriques, squats, espaces intermédiaires, tiers-lieux culturels.
Produire du Commun est une condition indispensable à la réussite de la transformation sociétale qui nous incombe. Des artistes, des acteurs culturels,...
22,50 € Neuf
Résumé
Produire du Commun est une condition indispensable à la réussite de la transformation sociétale qui nous incombe. Des artistes, des acteurs culturels, des techniciens, des élus et des populations expérimentent quotidiennement des modes de création et de production artistiques, des démarches collectives et collaboratives et des formes de gouvernance qui contribuent à la réflexion sur cette mutation.
En 2001, le rapport Friches, laboratoires, fabriques, squats, projets pluridisciplinaires... : une nouvelle époque de l'action culturelle, commandé par Michel Duffour, secrétaire d'Etat au patrimoine et à la décentralisation culturelle, avait permis de décrire et de rendre visibles ces espaces intermédiaires, physiques et symboliques, dessinant de nouveaux rapports entre art et société. Depuis, des chercheurs ont documenté ces initiatives et produit de nombreux ouvrages.
Vingt ans après les Rencontres des nouveaux territoires de l'art à La Friche la Belle de Mai, trente d'entre eux – philosophes, économistes, sociologues, architecte, paysagiste – explicitent et précisent, sous la forme d'un abécédaire, le vocabulaire et les concepts initiés ou développés par et autour de ces démarches singulières.
Caractéristiques Date de parution 28/08/2023 Editeur Sens & Tonka Nb. de pages 219 pages
... fabriquer à la fois des vaccins à base d'ARNm (comme le Comirnaty de Pfizer), de protéines recombinantes (comme le Nuvaxovid de Novavax) et d’adénovirus (dit par vecteur, tel le Vaxzevria d’AstraZeneca).
L'accord garantit que les laboratoires soient prêts à répondre à une éventuelle crise sanitaire en maintenant leurs installations à jour et en surveillant leurs chaînes d'approvisionnement
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Manque de transparence
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le déchet, vecteur de collecte de proximité et recyclage et fabrique d'objets utiles https://www.imagotv.fr/emissions/otravia/1
www.imagotv.fr (https://www.imagotv.fr/emissions/otravia/1)
OtraVia
Deux jeunes diplômés d’école de commerce débarquent dans le monde du travail... Portés par l’espoir que de nouveaux ...
Connu / TG le 20/05/23 à 14:33
Réservé aux abonnés - 2 min. de lecture
Poussée par le programme de nouveau nucléaire français, Framatome prévoit 100 millions d’euros d’investissements pour son site du Creusot (Saône-et-Loire). Cette enveloppe comprend notamment un nouveau bâtiment pour réaliser les internes de cuves à partir de l’été 2026 et un centre d’usinage et de soudage. Elle s’accompagnera de 70 nouveaux emplois directs sur le site.
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Laurent Gless, directeur du site Framatome au Creusot (Saône-et-Loire)
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Le site fabriquait déjà les composants carbone et inox des îlots nucléaires pour les générateurs, les pompes ou encore le circuit primaire. Avec les internes de cuves, ensemble d’équipements pour maintenir les éléments combustibles dans la cuve du réacteur, le site du Creusot assurera la chaîne de production d’un bout à l’autre. «Les nouveaux équipements nous amèneront à fabriquer près de 8 000 articles par EPR, à les usiner, les souder, les assembler… depuis le Creusot», détaille le responsable.
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Enquête — Énergie
Détruite sous l’ère Merkel, l’industrie photovoltaïque retrouve des couleurs et rêve d’indépendance vis-à-vis du géant chinois. Reportage au cœur de la « Solar Valley ». [3/4]
Vous lisez la partie 3 de l’enquête « En Allemagne, la transition à tout prix ». Relisez la partie 1, la 2.
Bitterfeld-Wolfen (Allemagne), reportage
Jochen Fritsche craint l’espionnage industriel comme la peste. Dans son usine de cellules pour panneaux solaires, à Bitterfeld-Wolfen, dans l’est de l’Allemagne, les smartphones sont interdits. Pas le droit non plus de faire de larges prises de vue de la chaîne de production ou de certaines machines, protégées par des dizaines de brevets. « Nos concurrents pourraient copier notre façon de procéder », justifie-t-il.
Les concurrents de Jochen Fritsche, ce sont les entreprises chinoises qui concentrent à elles seules 98 % de la fabrication de ces cellules. Le site du groupe Meyer Burger est le seul d’Europe à produire à l’échelle industrielle ces petits carrés de métal bleu, pièce maîtresse des panneaux photovoltaïques.
Il n’en a pourtant pas toujours été ainsi. En 2011, l’industrie solaire allemande était numéro 1 et comptait plus de 150 000 salariés. La première économie d’Europe était à la pointe de la recherche technologique. Une avance considérable. Las, les dirigeants allemands de l’ère Merkel ont délibérément choisi de saborder la filière.
Plus de la moitié des ouvriers et ouvrières de l’usine travaillaient dans l’industrie solaire allemande avant la crise qu’a connu la filière en 2012. © Stefanie Loos / Reporterre
Accusé de faire grimper les prix de l’électricité, le photovoltaïque est devenu à l’époque la cible du parti conservateur de la chancelière. En 2012, il a réduit drastiquement les subventions et a divisé par quatre le plafond autorisé pour de nouvelles installations solaires. « Lever le pied sur la transition énergétique » était l’objectif assumé de Peter Altmaier, le bras droit de la chancelière. Le puissant lobby du charbon l’a encouragé. « Le photovoltaïque en Allemagne, ça a autant de sens que de faire pousser des ananas en Alaska », raillait Jürgen Großmann, le patron de RWE, le plus gros énergéticien du pays, exploitant du bassin minier rhénan.
Les résultats ne se sont pas fait attendre. Les carnets de commandes des usines se sont vidés, les faillites se sont enchaînées. En quatre ans seulement, 100 000 employés se sont retrouvés au chômage. Ce qu’il restait du marché allemand fut récupéré par la Chine, qui a flairé la bonne affaire et a fait du solaire, au contraire, une priorité. L’Allemagne a perdu à la fois une industrie florissante et la dynamique de sa transition énergétique avec des conséquences qui se font encore sentir : dix ans plus tard, le déploiement du solaire dans le pays n’a jamais retrouvé son niveau d’antan.
Jochen Fritsche a connu cette époque. « Il a manqué d’une vision, de la reconnaissance que le solaire est un élément stratégique de notre approvisionnement en énergie, analyse-t-il aujourd’hui. De toute façon, c’était une époque où les politiciens ne voyaient pas le problème de laisser partir des filières clés à l’étranger, comme la pharmacie ou l’électronique. »
Jochen Fritsche, directeur de l’usine de cellules solaires Meyer Burger de Bitterfeld-Wolfen. © Stefanie Loos / Reporterre
« Nous pouvons la faire redémarrer »
Aujourd’hui, les choses ont changé. Angela Merkel a pris sa retraite politique, et la coalition qui dirige l’Allemagne depuis un an a de très grandes ambitions pour l’énergie solaire. Elle doit devenir la première source de production d’électricité avec un objectif de 215 gigawatts en 2030 et 400 gigawatts en 2045 — contre 59 installés début 2022. « Il est incompréhensible pour moi qu’on ait laissé s’effondrer notre industrie, déplore l’écologiste Robert Habeck, l’actuel vice-chancelier allemand. Mais nous pouvons la faire redémarrer. »
L’Allemagne est à la croisée des chemins. Les renouvelables n’ont jamais été aussi populaires, en particulier le solaire, à la fois bon marché et facile à installer. L’invasion russe en Ukraine et la crise des énergies fossiles ont créé un choc dans l’opinion. Au-delà de la nécessité de décarboner l’économie pour protéger le climat, « la guerre en Ukraine montre que ce sont les renouvelables qui permettent à la fois d’assurer notre approvisionnement de façon autonome et de faire baisser les prix », explique le directeur de l’Institut de Wuppertal pour le climat, Manfred Fischedick.
Le solaire doit devenir la première source d’électricité en Allemagne d’ici 2030. © Stefanie Loos / Reporterre
Certains les qualifient même d’« énergies de la liberté ». Mais le sont-elles vraiment, lorsque tout ou presque vient de Chine ? De l’extraction du silicium jusqu’au module, Pékin détient plus de 80 % des étapes nécessaires à la fabrication de panneaux solaires. « Il faut bien voir les conséquences de cette dépendance : les usines chinoises tournent massivement au charbon, et une partie d’entre elles fait appel à du travail forcé », explique Nadine Bethge, ancienne ingénieure dans le solaire, aujourd’hui experte pour l’association environnementale Deutsche Umwelthilfe. L’industrie solaire chinoise se concentre notamment dans la région du Xinjiang, où la communauté ouïghoure est victime d’une violente répression.
Volker Quaschning, de l’Université des sciences appliquées de Berlin, insiste aussi sur les incertitudes géopolitiques, en particulier avec les visées du régime de Xi Jinping sur l’île de Taïwan. « Qui nous garantit que dans cinq ans, on aura encore de bonnes relations avec la Chine ? S’ils cessent de nous fournir en cellules solaires, notre transition énergétique est morte », considère le chercheur.
Éviter de dépendre de la Chine
Ce risque taraude le pouvoir. Le photovoltaïque doit devenir synonyme de « Souveränität » — le mot est emprunté au français —, et donc être relocalisé. Il s’agit d’éviter de passer d’une dépendance à la Russie, avec les énergies fossiles, à une dépendance à la Chine, avec les renouvelables. En visitant cet été l’usine Meyer Burger de Bitterfeld-Wolfen, le vice-chancelier allemand a voulu envoyer un signal. « Je vois l’opportunité d’un retour en force de l’industrie solaire en Allemagne », a assuré Robert Habeck. Il en va, a-t-il dit, de « la sécurité nationale et européenne ».
Chez Meyer Burger justement, on connaît bien la Chine. Jusqu’en 2020, le groupe équipait l’industrie photovoltaïque de l’Empire du Milieu en appareils de découpe et de mesure. « Une machine, c’est facile à copier. Il suffit de la démonter pour comprendre comment elle est faite », dit Annegret Schneider, en charge de la communication de l’entreprise. Ainsi, lorsque les usines chinoises se sont mises à fabriquer leurs propres machines, les ventes de Meyer Burger ont décliné. La société a alors pressenti les risques pour son modèle économique, mais aussi, plus globalement, pour le succès de la transition énergétique. Elle a changé complètement de stratégie : plutôt que vendre sa dernière génération de machines-outils, elle l’a gardée pour elle, et s’est lancée dans la production de cellules et panneaux solaires. En Europe, pour le marché européen.
Son nouveau point de chute est une évidence : ce sera la « Solar Valley » de Bitterfeld-Wolfen, où ont travaillé autrefois Jochen Fritsche, mais aussi son PDG, le physicien allemand Gunter Erfurt. À son zénith en 2011, l’écosystème d’entreprises et de centres de recherche spécialisés comptait 3 500 emplois et promettait un avenir radieux à cette région désindustrialisée d’ex-Allemagne de l’Est.
La Solar Valley employait 3 500 personnes en 2012, à peine quelques centaines aujourd’hui. © Stefanie Loos / Reporterre
« Solar Valley »
Au milieu des herbes hautes et des bâtiments abandonnés, Meyer Burger a réaménagé une ancienne halle de 27 000 m2, inaugurée à l’été 2021. « On est sur un terrain fertile ici », dit Jochen Fritsche, déclinant les avantages : « les locaux adaptés », « le soutien des autorités locales » et surtout « le personnel qualifié ». Plus de la moitié des ouvriers de l’usine travaillaient il y a dix ans dans le solaire. Sous leur contrôle, les bras des robots s’agitent en cadence pour produire 300 000 cellules par jour. Elles rejoignent la deuxième usine du groupe, à 150 kilomètres de là, pour être assemblées en panneaux solaires. À Freiberg, en Saxe, Meyer Burger a, là aussi, fait revivre un ancien site industriel solaire.
En déambulant dans l’usine de Bitterfeld, Jochen Fritsche détaille le processus de fabrication des cellules, de la plaquette de silicium au produit fini, « en quatre étapes au lieu de dix habituellement ». Un nouveau procédé sans plomb, moins gourmand en énergie et en produits chimiques permet, selon les dires du patron, d’obtenir une cellule 20 % plus performante que la concurrence. Une avance technologique « made in Germany » que Meyer Burger, cette fois, ne compte pas dilapider.
La quasi-totalité de la chaîne de production a été automatisée. L’usine emploie 250 salariés. © Stefanie Loos / Reporterre
L’entreprise vend en Allemagne, mais aussi en Autriche, en Suisse, en Belgique ou en France. Le moral est bon et le carnet de commandes plein « au moins jusqu’à mi-2023 ». Depuis l’ouverture, les machines tournent 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Les Allemands seraient-ils prêts à payer un peu plus cher pour soutenir le redémarrage de la production nationale face au low cost chinois ? Oui, répond sans hésiter Kerstin Lopau, qui accompagne les particuliers dans l’installation de panneaux solaires. Son association SoLocal Energy se fournit auprès de Heckert Solar, l’un des rares fabricants qui a survécu à la crise de 2012. « La question des droits de l’Homme est importante pour nous, personne ne doit souffrir pour notre transition énergétique », explique-t-elle.
Chez Enerparc, l’un des plus gros développeurs et exploitants de parcs photovoltaïques, on observe aussi un changement de mentalité. « Nous travaillons directement pour des clients comme Ikea ou Volkswagen, qui veulent maintenant savoir d’où viennent nos installations », dit Stefan Müller, responsable du développement commercial. Il en va de la « réputation » des entreprises, dit-il, alors qu’une loi les contraignant à faire respecter des normes bien plus strictes chez leurs sous-traitants, en matière de protection de l’environnement et des droits de l’Homme, entrera en vigueur en janvier prochain.
La demande est bien là. Mais les obstacles restent nombreux. L’industrie solaire allemande compte trois fois moins d’employés qu’il y a dix ans. La chaîne de production en amont des cellules solaires est quasi inexistante, avec un seul fournisseur de polysilicium pour toute l’Europe. La filière de recyclage est balbutiante.
Or « le temps presse », s’impatiente Nadine Bethge, de la Deutsche Umwelthilfe. « Le risque d’une guerre commerciale est présent », non seulement avec la Chine, mais aussi avec les États-Unis, qui ont débloqué des aides massives pour relocaliser l’industrie solaire sur leur sol. « Ces deux pays ont besoin de panneaux solaires pour remplir leurs propres objectifs, pourquoi nous les vendraient-ils ? s’interroge Nadine Bethge. Il faut absolument inciter les usines à ouvrir en Europe. »
Les cellules de panneaux solaires sont fabriquées à partir de silicium, un matériau semi-conducteur abondamment utilisé dans l’électronique. © Stefanie Loos / Reporterre
À ce stade, seul l’objectif est clair : la Commission européenne veut atteindre 30 GW de capacité de production européenne d’ici 2025, sur l’ensemble de la chaîne de valeur. Les moyens pour y parvenir le sont moins. Lancée le 9 décembre par l’UE, l’Alliance industrielle de l’industrie solaire doit permettre d’encourager les investissements. À Berlin, le gouvernement dit réfléchir à la mise en place de « garanties d’État » pour les investissements dans la production et l’installation d’électricité verte. La proposition d’un « Buy European Act » défendue par la France, qui favoriserait la production « made in Europe », a été accueillie chaleureusement, sans que ses contours n’en soient vraiment définis.
La filière, elle, veut croire en son avenir. Meyer Burger prévoit de tripler sa production d’ici 2024 et mise sur son partenariat avec l’institut Fraunhofer, le plus grand centre de recherche solaire du monde, pour améliorer encore sa technologie. Heckert Solar vient de s’agrandir tout comme Solarwatt, un autre fabricant. En France et en Italie, deux usines géantes sont en projet. « En recherche et développement, l’Europe est toujours leader, souligne le PDG de Meyer Burger, Gunter Erfurt. Les chaînes d’approvisionnement sont petites, mais réactivables et agrandissables. » Il en est convaincu : « C’est maintenant ou jamais ! »
• La suite de notre enquête : L’Allemagne joue l’éolien marin pour sortir du charbon
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BTP - Construction BTP - Construction Bois - Ameublement Matières premières Matériaux Autriche
Le fabricant autrichien de briques et tuiles Wienerberger a annoncé avoir déposé une offre pour l’acquisition de son concurrent français Terreal, pour un montant non communiqué. Objectif affiché, devenir un leader européen des produits dédiés à la toiture en pente.
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Terreal s'est notamment développé dans la fabrication de tuiles en terre cuite.
Mouvement de consolidation dans les matériaux de construction en terre cuite. Mardi 20 décembre, le groupe autrichien Wienerberger a annoncé avoir formulé une offre afin de réaliser l’acquisition "des activités majeures" de son concurrent Terreal en Allemagne, en France, en Italie, en Espagne et aux Etats-Unis. Les filiales basées en Autriche, en Pologne et en Hongrie ne changeraient pas d’actionnaires.
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Sujets associés Matières premières Matériaux Autriche TERREAL, SURESNES (92150) WIENERBERGER, SELTZ (67470)
Des microbots ont été développés par des chercheurs de l'Institut des systèmes intelligents et de robotique du CNRS pour déplacer des cellules biologiques. Imprimés en 3D, ils fonctionnent grâce au principe des pinces optiques. Ils pourraient être utilisés dans la recherche contre le cancer et l'assistance médicale à la procréation.
Clés : Robotique, Impression 3D , Santé
Edison Gerena, docteur en robotique au sein de l'Institut des systèmes intelligents et de robotique (Isir) du Centre nationale de la recherche scientifique (CNRS), a développé des microrobots capables de déplacer des cellules biologiques en suspension dans un liquide. Ils ouvrent de nombreuses perspectives dans le domaine de la biologique.
Le recours à l'impression 3D
Ces robots mesurant une dizaine de micromètres ont été fabriqués grâce à la fabrication additive. C'est l'équipe de l'Institut Franche-Comté électronique mécanique thermique et optique – Sciences et Technologies (FEMTO-ST) qui s'est chargée d'imprimer les robots à l'aide de l'imprimante 3D de l'entreprise Nanoscribe. Celle-ci a été choisie car elle est capable d'imprimer à une résolution de 100 nanomètres.
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société 92 min 2022 tous publics Vidéo sous-titré
En avril 2021, dans les Vosges, Mia, une enfant de 8 ans, disparaît. Il est rapidement établi que la fillette a été enlevée par sa propre mère, Lola Montemaggi, qui en avait perdu la garde, aidée par plusieurs complices tous complotistes. Comme cette mère désocialisée qui a basculé dans une sphère complotiste radicale, certains assimilent aujourd'hui la République à une dictature et veulent faire sécession, derrière des groupes comme One Nation, une nébuleuse qui ne reconnaît plus l'Etat. A sa tête, Alice Pazalmar prône "l'émancipation" des êtres de "toute forme d'autorité illégitime".
renversement du modèle démocratique et républicain ... Rémi Daillet ... complotisme ... terrorisme ...
Doris Henry, correspondante en Lorraine de "Aujourd'hui en France" ...
Lisa Beaujour, journaliste vrai ou fake à France info ... Gilets jaunes ... 2020, confinement ... Christian Gravel, préfet en charge de la lutte contre les radicalisations... Qannon? ...
Sylvain Delouvée, maître de conférence en psychologie sociale ...
Richard Strul, spécialiste du marketing numérique ...
Baptiste Robert, chercheur en cybersécurité et hacker ... adrenochrome, pseudo élixir de jouvence ...
Laurence Bindner, chercheuse spécialiste de l'extrémisme en ligne ... messes sataniques ...
Tristan Mendès-France, observatoire du conspirationnisme ... Les "être souverains", "citoyens souverains" aux USA ... discours sectaire ... agrège fatras de discours complotistes ...
Christine Sarteschi, chercheuse spécialiste des citoyens souverains ... plus soumis aux lois ... souvent adeptes de Qannon? ... visée séparatiste, s'affranchir des lois de la république ... Télégram ... registre de la conversation ... bascule globale ... DU VIRTUEL AU RÉEL ...
Stéphane Giuranna, avocat de Lola Montemaggi ... Bouga ... Opération Lima ... enlever l'enfant ... Pitchoun ... duper la grand-mère ... frontière franco-suisse par les bois ...
Frédéric Berna, avocat d'un des membres du commando ...
Maxime Macé, journaliste Libération, spécialiste des radicalités en ligne ... manipulation ...
Nicolas Boschung, chef de la brigade des mineurs à Fribourg, suisse ... Roméo complice, arrêté ...
Florence Maillard, police cantonale Vaudoise ... enlèvement en bande organisée et association de malfaiteur ... orga complotiste, LE RENVERSEMENT ... Renverser le gouvernement Macron ... Rémi Daillet, ancien commercial, membre du MODEM ... deplus la Malaisie prend la défense de Millat ... grève du froid / ???
Pierre Claret, ancien ami de Rémy Daillet ... en 2015, part en Malaisie ... vidéo repérée et poussée sur les réseaux sociaux ... appel au renversement, coup d'état ... a rencontré un public, gilets jaunes, pro-Poutine ... programme agrégat de théories complotistes comme chemtrails, compteurs linky ... masque ... marché globalisé de la désinformation ... COUP D'ÉTAT SOUS LES TROPIQUES ...
Ian Mcinctyre journaliste THE VIBES MALAISIE ...
Connu / https://wegreen.fr/post/194382
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Il y a 2 heures Public / Sophie M a partagé un post dans le groupe Agriculture, Élevage & Alimentation - 1 like
Numérisation de l'agriculture, quand les machines remplacent progressivement les humains...
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Formé au Japon à la technique du papier washi, un couple de l’Hérault fabrique à la main un papier sans aucun produit chimique. Un savoir-faire minutieux, qui est une réelle alternative à l’industrie papetière peu écologique.
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Benoit Dudognon et Stéphanie Allard fabriquent un papier écologique : le « washi ». Pour cela, ils utilisent le « kozo », nom japonais du mûrier de Chine (Broussonetia papyrifera). « Cette plante a été importée par Pierre Marie Auguste Broussonet, un naturaliste du XIXe siècle. C’est donc une espèce exotique qui pose problème à cause de son caractère envahissant en France », explique Stéphanie Allard.
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Cela donne un papier beaucoup plus résistant et durable dans le temps. Stéphanie nous fait toucher le papier de couleur beige. Il est doux, robuste. « Il dure plus de 400 ans et ne jaunit pas à la lumière, alors que certains papiers industriels jaunissent en seulement trois ans. Au Japon, même sous un climat tropical, il ne moisit pas et n’est pas attaqué par les insectes », précise-t-elle. À ce jour, ce sont les seuls artisans en Europe fabriquant ce papier washi issu du mûrier de Chine. Les applications sont multiples : papier peint, vêtements, art déco, étiquettes, papier photo, isolant [1], etc.
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Connu / https://twitter.com/Reporterre/status/1480071873295749122
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@Reporterre · 9 janv. - 2 - 34 - 63
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SUD INDUSTRIE 16 ... CHEZ SAFT, FILIALE DE TOTAL, LE CADMIUM TUE
POURQUOI perdre sa vie à vouloir la gagner ?
Grace à l'audience, qui s'est bien laissée désirer, le moral des parties civiles et des soutiens, comme nous, est bien remonté.
Leur avocate fut brillante et le journaliste de Ouest France a rapporté fidèlement les faits des intervenants :
https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?js8j5g
Et petite vidéo du camarade de l'UL CGT postée sur un réseau social que j'exècre.
Reste à attendre le délibéré qui sera rendu le 18 avril prochain...
Continuons à les soutenir et à chercher à comprendre ce qui s'est tramé dans cette affaire et ce qui continue sur le site et plus généralement dans ce secteur d'activité important qui touche à l'économie, aux conditions de travail et aux conditions environnementales (mines en amont, consommation d'énergie pendant l'utilisation, recyclage en fin de vie, etc). Aujourd'hui, en Charente, comment sont fabriquées nos batteries d'équipement portables ?
Voici quelques éléments :
SAFT NERSAC devenue Arts Energy https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?searchterm=nersac&searchtags=#MNKWfQ