1h28:23 - 24 k abonnés - 737+ - 6 317 vues - 40 commentaires
Le samedi 28 juin, Jean-Luc Mélenchon était invité par Historical Materialism Paris pour une discussion autour de son livre « Faites mieux ! Vers la révolution citoyenne ».
Retrouvez cet échange exceptionnel autour des grandes thèses de l'ère du peuple avec la sociologue spécialiste de la logistique Carlotta Benvegnù et le chercheur spécialiste des communs Carlo Vercellone !
00:02:02 Intervention de Carlotta Benvegnù
00:17:24 Intervention de Jean-Luc Mélenchon
00:41:53 Intervention de Carlo Vercellone
01:01:47 Intervention de Jean-Luc Mélenchon
Tr.: ...
la géographie est une production sociale ... la politique est un art de réalisation ... l'osmose, pas de différence etre le parti et les masses ... les ouvriers étaient minoritaires ... le parti n'est pas ?? lfi polymorphe et à facettes ... éducation populaire ... repeindre une école ... réaliser une valeur sociale ...
Carlo : un bémol pas de partie conclusive dans l'introduction afin de mieux guider le lecteur ... approche du matérialisme historique ...espace-temps ... le travail, permettre la reproduction de la vie ... planification écologique démocratique et décentralisée ... 3 dimensions : tendances longue, luttes, alternatives ... anthropocène/capitalocène nommer les coupables ... l'écologie est foncièrement anticapitaliste ... AMAP ... les réseaux numériques : free digital labours ... collaboration des usagers ... capitalisme cognitif informationnel ... contradictions /chine monte en puissance ... non-alignés ... capitalisme d'état ? capitalisme tout court ? société en transition ? régulation de l'économie mondiale ...
JLM : la théorie est centrale ... distinguer, discerner ... pour penser ... la foi, phénomène cognitif ... /Laurent Binet pas assez voltérien ... toute pensée sur un objet produit des affects ...nos idées sont des reflets ... métaphysique et langage sur le réel ... qui domine le temps ? ex 17h tous les jours, ambouteillage, flux tendu ... régularité ... pas de sphère numérique, pas d'échange ... vous êtes d'abord vos besoins ... le champ clos des /actions 2 secondes n'a rien à voir avec la production ... taux de profit moyen 3/4% maintenant 12% ... durée de vie biologique ... espèce humaine, droit ?? ... marchandisation des brevets ex vaccin? ... systèmes critiques autoorganisés noosphère, sphère globalisée numérisée ... les biens communs ne peuvent pas être appropriés ... révolution tunisienne sur whatsapp ... /chine : ... probabiliste ... perplexe, société en transition ... ne sait pas, ne veut pas en discuter ... l'empire c'est les autres ... l'impérialisme, la force armée ... ni naïveté, stratégie cognitive ... augm de la culture cumulative, le pivot de la puissance est l'autonomie ...
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Ce samedi 29 mars, l’Institut La Boétie organisait le colloque « L’intelligence artificielle, un nouveau champ de batailles ».
Jean-Luc Mélenchon, co-président de l’Institut La Boétie, a ouvert le colloque avec un mot d'introduction.
La première table ronde proposait de souligner la situation de "colonie numérique" de la France dans le contexte de déploiement de l'intelligence artificielle.
L'économie numérique est structurée par des monopoles privés essentiellement états-uniens et chinois, qui sont les plus importants de l’histoire du capitalisme.
Cette table ronde a permis de décrire les moyens d’établir une stratégie pour sortir de cet état de dépendance dans laquelle se trouve les pays européens, la France y compris.
00:00:00 Introduction de Jean-Luc Mélenchon
00:22:27 Présentation de la table ronde par Cécile Germain
00:31:37 Intervention de Zako Sapey-Triomphe
00:50:19 Intervention de Cecilia Rikap
01:08:34 Intervention d'Arnaud Le Gall
01:30:51 Intervention de Corinne Vercher-Chaptal
01:45:23 Echanges entre les intervenant.es
Avec :
• Arnaud Le Gall, député LFI et membre de la commission des affaires étrangères
• Cecilia Rikap, économiste, co-autrice du rapport « Reclaiming digital sovereignty »
• Corinne Vercher-Chaptal, professeur de science de gestion
• Zako Sapey-Triomphe, membre de l’association X-Alternative et co-auteur du rapport « Intelligence artificielle : pour l’émergence d’alternatives »
Animation par Cécile Germain, chercheuse en informatique
Tr.: ...
JLM : La sociabilité et le social transformé par des êtres humains ...
25:00 TERMINER ACT
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Mercredi 9 avril, l'Institut La Boétie organisait une conférence exceptionnelle à Sciences Po Paris autour de son nouveau livre, « Faut-il se passer du numérique pour sauver la planète ? », en présence de l'auteur Cédric Durand.
Les grandes multinationales du numérique nous font-elles entrer dans une nouvelle ère du capitalisme, le « technoféodalisme » ? Comment ces Big Tech ont-elles pu acquérir un pouvoir économique et désormais politique aussi puissant ? Et quelles en sont les conséquences pour nos démocraties ?
Sommes-nous condamné·es à vivre sous leur domination, ou bien pouvons nous construire un usage alternatif du numérique, plus démocratique et écologique ?
C'est toutes ces questions que Cédric Durand a abordé à l'occasion de cette conférence !
13:00 terminer ACT
Je n'épouserai pas mon ordinateur - Penser la pensée artificielle - 29 mars 2025 / JEAN-LUC MÉLENCHON
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Jean-Luc Mélenchon est intervenu à l'occasion d'un colloque intitulée « L’intelligence artificielle, un nouveau champ de batailles » de l'Institut La Boétie, le 29 mars 2025.
Retrouvez l'intégralité du colloque sur : / @institutlaboetie
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Le 14 mars 2025, l’Institut La Boétie publie avec les éditions Amsterdam le livre de Cédric Durand « Faut-il se passer du numérique pour sauver la planète ? ». Ce livre, issu des trois cours donnés par Cédric Durand dans le cadre de l’Institut La Boétie, présente la thèse selon laquelle l’ère numérique du capitalisme provoque une mutation du mode de production vers un « techno-féodalisme », c’est-à-dire où le profit est basée sur la conquête de monopoles, le contrôle de l’extraction des données numériques et la prédation.
Il dévoile avec pédagogie les rouages des processus de monopolisation intellectuelle à l'œuvre dans le capitalisme numérique. Mais il va aussi plus loin que cela en proposant des pistes pour une appropriation progressiste du numérique à travers un « cyber-écosocialisme » et ouvre une discussion sur les stratégies à mettre en place pour contrer ces nouveaux pouvoirs mondiaux.
L’émission 100 % ILB invitait Cédric Durand le 12 mars, deux jours avant la parution du livre. Elle a été l’occasion de présenter les principales thèses du livre pour donner envie aux spectateurs d’aller plus loin et de se former intellectuellement sur la question du capitalisme numérique, de ses conséquences sociales, politiques et écologiques. En effet, cet effort d’éducation populaire est urgent alors que la nature inquiétante des seigneurs féodaux de la tech apparaît de façon de plus en plus spectaculaire, notamment avec la figure caricaturale mais signifiante d’Elon Musk.
Il s’agissait donc aussi de lier le livre de Cédric Durand avec l’actualité et, avec des interlocuteurs de qualité, de le confronter à différents sujets comme l’apparition d’un « techno-fascisme » comme conséquence politique (ou non?) du techno-féodalisme, les limites écologiques substantielles du numérique et notamment de l’IA ou encore la construction d’une riposte politique.
Programme de l'émission :
00:00:00 Big Tech : une nouvelle lutte des classes ?
Avec Cédric Durand, économiste et auteur de « Faut-il se passer du numérique pour sauver la planète ? » et Jean-Luc Mélenchon, co-président de l'Institut La Boétie
00:28:52 Du techno-féodalisme au techno-fascisme ?
Avec Cédric Durand et Sylvie Laurent, historienne et spécialiste des États-Unis
01:15:12 Cyber-écosocialisme : une voie étroite ou sans issue ?
Avec Cédric Durand
Tr.: BIG TECH : UNE NOUVELLE LUTTE DES CLASSES
dépendance politique avec Musk, désintégration du débat public ... cloud ... dimension économique ...logique des communs ... moins marchandisé ... la guerre perdue (données en temps réel), la lutte contre le changement climatique (réseau de capteurs météo) ... USA : évolution progressive depuis 30 ans ... imposture de la sensée croissance par la tech ... imposture de Tesla, recherche spatiale par les deniers publics, twitter échec commercial ... compatible avec la théorie libérale ... désir autoritaire ... Biden a commencé à réguler (kripto-monnaie, etc) ... inverse de la CHine (porté par la puissance publique / porté par les privés) ... à long terme, Californie, illusion du progressisme ... emprise autoritaire et réactionnaire ex ia dans le paiement des retraites ... géopolitique autoritaire et homme augmenté ... le capitalisme tient sur la domination raciale ... pensée eugéniste, qi, amélioration de la race ... la machine, apendice ... la performance raciale, biométrie ... grand renouveau de la pensée raciale ... trumpisme, nouvel impérialisme, conquête de nouveaux territoires ... 2 facteurs : le dollar, les terres rares ... 2eme : pression contre les normes de Bruxelles ... moment bonapartiste, dév / l'ind de la surveillance (drones, ia, etc) les usa sont en catastrophe climatique ... appel à l'empire pour faire oublier au peuple la catastrophe sociale ... effets de prédiction puissants ex JO ... YOUTUBE comme facebook, facteurs de déstabilisation ... désir de conformisme, perversion lente ... alliance d'extrême droite transatlantique ... terrain piégé ... le RN n'a pas encore pensé ça ... grande vigueur de l'ED en ligne ... volonté d'occuper le terrain massivement
...
Cyber-écosocialisme : voie étroite ou sans issue ?
nouveaux agents méta ... tendance mais échec monnaie de ms (libra?) ... le capitalisme est un moment de l'histoire, le mode de production ... voies de sortie : le numérique, intéressant pour le socialisme, la planification ex satellites ... dépend des moyens d'information ... rationnement ... ex. de la bande passante ... déploiement anthropologique, réponse démocratique ... marxistes décroissants / éco-marxistes ... la tech n'est pas neutre ex mocn (mach à cde num) c'est la socialisation ... dilemme ... low tech, communs, différents espaces émancipateurs ... espaces libres ... la place de l'ia et de ses usages : réguler ... effet de course folle à l'énergie etc ... l'ia, c'est la médiocrité qui reproduit du passé moyen ... empilement numérique, souveraineté, infrastructure contrôlée par la puissance publique ... satellites, cables, centres de données ... la donnée est notre commun ex mobilité ... organiser un accès à ces données ... niveau application, marché ... internationalisme tech ... garantie collective, pas menace ... mvt des non-alignés du numérique ... Brésil x suspendu ! Suisse, cloud public ... mise en commun ... données, logiciels ... rgpd, oui mais pas alternative ... idéologie marchande, non ... moteurs de recherche à mieux sélectionner ... souveraineté num à 3 niveaux ++
Luttes politiques, luttes syndicales : quelles perspectives communes ? - Diffusée en direct le 8 févr. 2025 / Institut La Boétie
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Le samedi 8 février, le département de sociologie de l’Institut La Boétie organisait un colloque exceptionnel « Syndicalisme : que faire ? », à l’Espace conférence à Paris 11e.
Cette table ronde conclusive interrogeait le lien entre luttes syndicales et politiques.
Les luttes syndicales et politiques se rejoignent en effet sur de nombreux terrains. L’articulation entre ces deux modes d’action est donc une question centrale du combat pour les droits des travailleurs : quel est le rôle du syndicalisme dans la lutte politique et, inversement, quel est le rôle des organisations politiques dans la construction du mouvement social ? Quel périmètre, quel horizon de l’action syndicale ?
Cette table ronde approfondiit les débats stratégiques à gauche sur le rôle respectifs des syndicats et des partis politiques dans la lutte, et à proposer des pistes de coopération autour de combats communs concrets et offensifs face au néolibéralisme autoritaire.
00:00:00 Présentation de la table ronde par Maxime Quijoux
00:04:44 Intervention de Karel Yon
00:26:54 Intervention de Thomas Vacheron
00:47:20 Intervention de Murielle Guilbert
01:07:15 Intervention d'Aurélie Trouvé
Avec :
• Murielle Guilbert, co-déléguée générale à l’Union syndicale Solidaires
• Aurélie Trouvé, députée LFI, présidente de la commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale et ancienne porte-parole d’Attac
• Thomas Vacheron, secrétaire confédéral de la CGT, en charge de l’intersyndicale
• Karel Yon, sociologue spécialiste du syndicalisme et de la démocratie sociale, co-auteur de la note « Que peut l’État pour renforcer le syndicalisme ? Réhabiliter les syndicats dans leur rôle de contre-pouvoir » (Intérêt Général, 2023)
Animée par Maxime Quijoux, sociologue et politiste spécialiste du syndicalisme
Tr.: ...
Karel Yon : ... autonomisation ... logique de professionnalisation, coupures, syndicaliste d'entreprise micro-corporation libérale ... symptôme de dépolitisation ... enjeu de luttes ... subalterne de l'employeur ... FO, CFDT, varient dans le temps ... jouit de sa pleine autonomie stratégique ... importance des structures interprofessionnelles ... espace public commun de débats ... enjeu de l'unité, enjeu des actes performatifs ex sophie binet ... Thomas Vacheron : se connaître pour se comprendre ... 90% de salariés en fr, 80% en CDI, entre éclatées, 1000 grosses entreprises ... smicarisation des salaires ... recul du droit du trav ... concentration du droit de l'entreprise, discrimination, lutte des classes dans les entreprises ... la force du nombre, le quotidien, contre-pouvoir social dans les entreprises ... luttes, drames, trahisions, divisions, que 600 000 adh à la cgt ... des besoins des salariés aux revendications ... rapport de forces sociales ... rassembler la population ex retraites 70% popul soutenaient les grèves ... él législ résultat différé ... pas de majo progressiste, sans mob pas d'avancées ... mettre en mouvement les masses ...
39:29 Terminer ACT
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Le samedi 8 février, le département de sociologie de l’Institut La Boétie organisait un colloque exceptionnel « Syndicalisme : que faire ? », à l’Espace conférence à Paris 11e.
Cette deuxième table ronde explorait le renouveau des pratiques syndicales pour faire face aux conséquences sur l’organisation du travail des mutations du capitalisme néolibéral.
Face à ces nouveaux défis, la défense des salariés se transforme en effet : elle imagine de nouvelles formes de luttes et intègre de nouvelles problématiques (LGBTI, antiracisme, féminisme…). Si certains parlent de dépassement du syndicalisme au profit de luttes plus éparses, ces nouvelles pratiques dessinent plutôt les contours d’un renouvellement de la pratique syndicale.
Cette table ronde analyse ainsi ces nouvelles pratiques de luttes et ce qu’elles nous disent du syndicalisme contemporain.
00:00:00 Présentation de la table ronde par Marlène Benquet
00:03:54 Intervention de Baptiste Giraud
00:25:13 Intervention de Jean-Marie Pernot
00:43:51 Intervention d'Adèle Tellez
01:02:52 Intervention de Fanny Gallot
01:17:15 Intervention de Caroline Blanchot
Avec :
• Caroline Blanchot, secrétaire générale de l’Ugict CGT
• Fanny Gallot, co-responsable du département d’histoire de l’Institut La Boétie, spécialiste des mouvements sociaux et du féminisme
• Baptiste Giraud, maître de conférences en science politique, auteur de « Réapprendre à faire grève »
• Jean-Marie Pernot, politologue, chercheur à l’IRES, auteur de « Le syndicalisme d’après : ce qui ne peut plus durer »
• Adèle Tellez, secrétaire générale de l’Union Locale CGT Paris 19e
Animée par Marlène Benquet, co-responsable du département de sociologie de l'Institut La Boétie
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Le samedi 8 février prochain, le département de sociologie de l’Institut La Boétie organisait un colloque exceptionnel « Syndicalisme : que faire ? », à l’Espace conférence à Paris 11e.
Cette table ronde revient sur l'opposition souvent artificielle entre mobilisation syndicale et mobilisation écologiste, notamment à cause de la tension entre réduction de l’empreinte carbone et préservation des emplois dans les secteurs à fort impact environnemental. La question de la production est en effet au cœur de toute discussion sur la bifurcation écologique, tout comme la question des conditions matérielles d’existence est au cœur de l’idée de justice sociale et climatique.
Dépassant ces clivages artificiels, de nombreuses mobilisations passées et actuelles montrent la convergence objective d’intérêts des travailleurs mobilisés pour leurs droits et des revendications écologistes.
Cette table ronde discute ainsi de la force de ces liens, mettant en lumière le rôle clé que peut et doit jouer le syndicalisme dans la planification écologique.
00:00:00 Présentation de la table ronde par Marion Beauvalet
00:03:55 Intervention d'Adrien Thomas
00:21:44 Intervention de Benedetta Celati
00:37:53 Intervention de Paul-Arthur Chevauchez
00:56:10 Intervention d'Alma Dufour
Avec :
• Benedetta Celati, docteure en droit public et en économie
• Paul-Arthur Chevauchez, militant de Solidaires 93 en charge du suivi des questions écologiques
• Alma Dufour, députée LFI et militante écologiste
• Adrien Thomas, politiste, chargé de recherche au Luxembourg Institute of Socio-Economic Research (LISER)
Animée par Marion Beauvalet, doctorante, spécialiste du travail
*TR.:
... Charte d'Amiens ... Benedetta Celati : ... panneaux photovoltaïques, vélos cargos ... loi régionale ... recherche-action, utilité sociale ancré dans la loi ... hiérarchie des valeurs ... Paul-Arthur Chevauchez : méga-entrepôt Greenbock? 700 camions / jour ... proche du lieu le plus pollué de l'idf ... défense des intérêts des salariés ... écologie anticapitaliste ... revenir au ferroviaire ... tensions ... 2 options :1 chacun pour soi 2 construire un système qui partage les coûts de la bifurcation écologique ... assurance solidaire ... stratégie : soulèvements de la terre ... alliances fonctionnent en partie 2000 manifestants ... mobilisera audelà du monde des militants et massifier ... jardins d'Aubervilliers idem ... s'impliquer dans les luttes locales ex terres de Gonesse ... intéresser aux luttes ... perspectives syndicales : dès le début syndicat écolo ... enjeu d'expertises ... échanger ex / zad ... la radicalité ça gagne ex NDDL ... lien avec le travail, forces dans les luttes, communiquer, construire ensemble avec les écolos ... rôle invisible / bataille de l'opinion ...sur le lieu de travail, notre parole porte ... travail bataille culturelle ... cantines, espaces verts ... Alma : rôle du pouvoir politique avec les syndicats : quelle articulation : empeché constr magasins amazon ... automobile : secteur à reconstruire, voiture élec moins intensive en emplois ... a perdu 140 000 emplois en 15 ans ex Cléon : 2600 perte de 500 emplois ... rech de profit resp de la casse sociale ... augm du prix des véhicules ... DACIA élec fabriquée en Chine ! ... écologie et justice sociale vont ensemble ex textile désastre écolo ... empreinte carbone de la fr / ém importées explosent ... relocaliser est cercle vertueux ... justice sociale, partage de la valeur, encadrer les marges, protectionnisme, redistrib de la propriété ... empêcher la réquisition des machines ... usine de masques en Bretagne, ont détruit les mach en partant alors que argent public ... réquisition, garder l'util industriel ex basf ... industrie, clé de la relocalisation, du pouvoir des salariés dans les CA ...
La suite, articulation entre politique et syndicats
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Samedi 8 février, le département de sociologie de l’Institut La Boétie organisait son colloque exceptionnel « Syndicalisme : que faire ? », à l’Espace conférence à Paris 11e.
La journée s'est ouverte avec les mots d'introduction de Clémence Guetté, co-présidente de l'Institut La Boétie, et de Maxime Quijoux, sociologue et politiste spécialiste du syndicalisme.
La première table ronde portait sur les nouvelles conflictualités au travail. Le syndicalisme fait face aux restructurations néolibérales du capitalisme et aux politiques actives des gouvernements en leur faveur, dont un objectif central a été de donner les mains libres au capital face au pouvoir conquis par les salariés organisés. Cette nouvelle donne du capitalisme néolibéral transforme profondément l’expérience du travail et les conflictualités en son sein.
Elle a proposé un tour d’horizon de ces reconfigurations (précarisation, ubérisation, essor du secteur logistique, sous-traitance…) et de leurs effets sur l’organisation des travailleurs aujourd’hui.
00:00:00 Introduction de Clémence Guetté
00:16:01 Introduction de Maxime Quijoux
00:28:50 Présentation de la table ronde par Marion Beauvalet
00:33:58 Intervention de Sophie Bernard
00:52:37 Intervention de Carlotta Benvegnù
01:12:10 Intervention de Hubert Raguin
01:28:20 Intervention de Kamel Brahmi
Intervenant·es :
• Carlotta Benvegnù, sociologue du travail, spécialiste du monde des entrepôts et du capitalisme logistique
• Sophie Bernard, sociologue, spécialiste de la rationalisation au travail et de l'ubérisation, autrice du Nouvel esprit du salariat
• Kamel Brahmi, secrétaire de l'Union Départementale CGT Seine-Saint-Denis
• Hubert Raguin, ancien dirigeant syndical de Force ouvrière
Animée par Marion Beauvalet, doctorante, spécialiste du travail
La France en 2050 - L'émission - Diffusée en direct le 13 janv. 2025 / Institut La Boétie
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Lundi 13 janvier, l'Institut La Boétie vous proposait sa deuxième émission en direct : « La France en 2050 », à l'initiative de son département de géographie !
Après une introduction sur le rôle de la prospective et sur notre rapport au futur, l’émission abordait à travers trois plateaux, trois sujets essentiels pour la France de 2050 :
00:00:00 Le rôle de la prospective
00:12:53 Une France en insécurité écologique ?
00:49:20 Une France sans industrie ?
01:34:14 Une nouvelle France ?
Avec nos invité·es exceptionnel·les :
• Frédéric Gilli, économiste de la ville, professeur à l’école urbaine de Sciences Po Paris, fondateur de la revue en ligne Métropolitiques
• Jean-Luc Mélenchon, co-président de l’Institut La Boétie
• Cécile Gintrac, géographe, co-animatrice du département de géographie de l’Institut La Boétie
• Martine Drozdz, géographe et spécialiste de l’adaptation des villes aux risques climatiques (urbaniste)
• Anaïs Voy-Gillis, géographe spécialiste de l’industrie
Tr.: ...
le rôle de la démocratie, permettre une discussion ... néolibéralisme, privatisation des données ... aménagement du territoire ... PPR (Plan de prévention des risques), PPRI
30:00 terminer ACT
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Jean-Luc Mélenchon est intervenu à l'occasion de la deuxième édition des Journées économiques de l'Institut La Boétie, le 25 janvier 2025.
Retrouvez le direct des Journées économiques de l'Institut La Boétie sur : • Qui dirige l'entreprise ? – Journées ...
Le discours de Jean-Luc Mélenchon est une réflexion approfondie sur le rôle et la nature de l'entreprise dans la société, ainsi qu'une critique du capitalisme contemporain et de ses effets sur les rapports sociaux, l'économie et l'environnement.
Il commence par souligner l'importance de comprendre l'entreprise, un objet quasi "magique" dans la société, pour mieux gouverner et organiser la production. Il dénonce l'idéalisation de l'entreprise, notamment depuis les années 1990, où elle a été érigée en modèle universel (gérer une école comme une entreprise, etc.). Cette vision a occulté les réalités sociales et économiques, en particulier la marchandisation des services publics et la transformation des usagers en clients.
Jean-Luc Mélenchon insiste sur le fait que l'entreprise n'est qu'un outil parmi d'autres dans la condition humaine. Elle soulève autant de questions qu'elle en résout, notamment en termes de rapports sociaux, de propriété du surproduit social (la richesse créée au-delà des besoins immédiats) et de destruction de l'écosystème.
Il critique sévèrement le capitalisme actuel, qui se nourrit des crises qu'il provoque, comme les catastrophes écologiques et qui est incapable de s'autoréguler. Il dénonce également le "ruissellement", une théorie selon laquelle la richesse des uns profiterait automatiquement aux autres. Il souligne que le surproduit social pose la question de sa propriété et de sa répartition, une problématique centrale dans l'analyse marxiste.
Il appelle à repenser la production en fonction des besoins réels de la société, plutôt que de se focaliser sur la maximisation du profit. Il critique l'idée de réindustrialisation sans objectif clair et plaide pour une relocalisation des activités économiques, en lien avec les besoins locaux et globaux.
Il dénonce le sous-investissement chronique du capital, qui privilégie les profits à court terme plutôt que l'investissement dans les infrastructures et les conditions de travail. Il critique également la financiarisation de l'économie, où la vitesse de circulation du capital, parfois en quelques secondes, prime sur la production réelle.
Jean-Luc Mélenchon défend l'idée que la conflictualité est inhérente à la réalité économique et sociale. Nier cette conflictualité, c'est nier la réalité elle-même. Il plaide pour un compromis social, mais sans concession sur les principes fondamentaux de justice et d'égalité.
Il insiste sur l'importance d'améliorer les conditions de travail, en rappelant que les périodes de plus grande productivité ont coïncidé avec l'octroi de plus de droits aux salariés. Il critique la moralisation du discours sur la pauvreté et la maladie, qui culpabilise les travailleurs plutôt que de s'attaquer aux causes structurelles de leurs difficultés.
En conclusion, Jean-Luc Mélenchon plaide pour une économie mixte, où une partie de la production et de la consommation échappe à la logique du marché. Il reconnaît la nécessité d'un compromis avec le capitalisme, mais souligne que ce compromis doit être fondé sur un rapport de force favorable aux travailleurs et à la société dans son ensemble.
🔴 Samedi 25 janvier à partir de 10h30, suivez en direct nos Journées économiques 2025, consacrées cette année à une question cruciale : « Que faire de l'entreprise ? »
Durant toute la journée, économistes de toutes écoles, syndicalistes, politiques, dirigeant·es d'entreprise et acteurs publics discuteront des différentes visions de l’entreprise, de sa manière de fonctionner, de ses objectifs et de sa régulation à l’heure de la planification écologique.
Quatre tables rondes pour ouvrir sans tabou les alternatives existantes et à construire dans le monde de l'entreprise.
Avec : Éric Berr, Mireille Bruyère, CFDT, CGT, Sophia Chikirou, Hadrien Clouet, Thomas Coutrot, Mobilians, Clémence Guetté, Bernard Jullien, Jean-Luc Mélenchon, Éric Monnet, Jean-Hervé Lorenzi, Aurélie Trouvé et d'autres invité·es encore.
- 🔴 La magie de l'entreprise : un mythe à déconstruire
Retrouvez mes interventions :
👉 Introduction : https://youtu.be/8E8HBZ9DEy0
👉 Échange avec Fabrice Le Saché, vice-président du MEDEF : https://youtu.be/1IwOLpQ2CUg
1,16 M d’abonnés - 1,6k+ - 12380 vues - 234 commentaires
Jean-Luc Mélenchon est intervenu à l'occasion de la deuxième édition des Journées économiques de l'Institut La Boétie et a pu échanger avec Fabrice Le Saché, vice-président du MEDEF, le 25 janvier 2025.
Retrouvez l'intégralité des Journées économiques de l'Institut La Boétie sur : • Qui dirige l'entreprise ? – Journées ... https://www.youtube.com/watch?v=IPjJ2h22lqw&t=0s -> https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?bDcANQ
00:00 : Intervention de Fabrice Le Saché, vice-président du MEDEF
08:42 : Réponse et conclusion de Jean-Luc Mélenchon
Personnes mentionnées 3 personnes
Emmanuel Macron
Jean-Luc Mélenchon
Sophia Chikirou
Tr.: ... on a besoin de contradiction frontale ...
2:05:25 - Voir aussi https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?b9BteQ
Jean-Luc Mélenchon a participé le 30 janvier 2024 à une conférence intitulée « La désoccidentalisation du monde est-elle une bonne nouvelle ? », organisée par le département de relations internationales de l'Institut La Boétie et Le Vent Se Lève avec Christophe Ventura (chercheur en relations internationales), Martine Bulard (journaliste à Orient XXI) et Didier Billion (??).
Tr.: ... q de JLM ... chercher des blocs pour gouverner ...
38:00 MB ... Chine ... des capitaux qui s'investissent ... transferts de technologies ... plus personne ne mort de faim ... multinationales ... capitalisme d'état en crise ... satisfaction de sa population difficile ... interdépendance avec les pays occidentaux ... 2ème acheteur de dollards ... en état de dépendance ... pas de remise en cause de l'ordre économique international, alors que les USA prennent des mesures protectionnistes, financent les relocalisation avec l'IRA? ... les BRICS ... droit de véto au SMI, vrai pouvoir de nuisance, mas de changer le système international, la Chine n'a pas d'alliances militaires sauf avec Djibouti ... s'incrit dans un temps long ... perte d'hégémonie des USA ...
1:05:20 DB ... sémantique ... généralisation du capitalisme, l'esclavage ... 1917 ... internationale, congrès des peuples d'orient ... logique des mouvements de décolonisation, le tiers-monde ... le moment unipolaire se termine ... now monde apolaire, volatile, fluctuant ex arabie saoudite ... les alliances n'existent plus chacun défend ses intérêts, sauf l'OTAN contre-courant de l'histoire, moyen de maintenir la vassalisation des USA ... les BRICS rivalités géopolitiques, ... stratégie des causes communes de JLM pertinente ... Lula réélu, la Fr aurait dû envoyer une personne importante ... cour internationale de justice ... Afrique du Sud, basculement du monde, point d'appui important ... imposer aux israëliens ...
1:22:00 CV ... géopolitisation du monde, parent pauvre de la vie politique, médiatique ... divisent ... pas de consensus à gauche ... éducation populaire ... lecture critique de la désoccidentialisation, vue différentes de l'occident ... clivage démocraties/reste illibéral (autocratie, etc, sud global) ... communauté d'intérêts stratégiques de l'OTAN ... 1991 fin du monde bipolaire ... dynamique d'érosion progressive des valeurs, de la puissance, des brevets ... les autres, leur existence, est importante ... dispute au sein du système international capitaliste, pour l'ordre et la hiérarchie dans ce système ... être dans les BRICS et dans le G20, multidimensionnel, enjeux politiques ET économiques ... ni chine ni inde n'ont de projet alternatif ... dispute pour le leadership ... sud global depuis la guerre au vietnam, évolution ... nord global ... les USA se défendent (dollar, industrie) ... l'UE vassalisée des USA ... différence d'approche contre alliés (Trump, démocrates partager le fardeau) ...
1:44:30 JLM ILB instrument de formation ... s'appuie sur CV ... /DB pas de communauté de valeurs ex mines antipersonnelles accord pas signé /USA ... conv BIT sur le travail des enfants idem ... quelle alternative dans ce monde apolaire ? faire vivre un contre-projet changement climatique inéluctable ... non-alignement ... causes communes ex inde, mexique 300 km de frontière commune avec les USA, on parle avec eux ... afrique idem on a besoin de la jeunesse africaine, de leur intelligence ... leur livre démontre++ ... économie de la drogue, 1ère économie du monde ... inquiêt risque liban fragile, fr a 700 militaires ... partir des réalités ... livre aide à penser dans le détail.
Ndlr : Inflation Reduction Act (IRA), acheter et lire le livre (désoccidentalisation du monde de Christophe Ventura et Didier Billion) ACT
cf aussi https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?1bGjSg
colloque
Les samedi 13 et dimanche 14 janvier, l’Institut La Boétie organisait la première édition de ses « Journées économiques : pour une économie au service des besoins ».
La crise du Covid-19 a fait apparaître au grand jour le désastre que représente la destruction et la délocalisation de l’appareil industriel français ayant cours depuis des décennies. Le pays a mis en jeu son indépendance pour entrer dans la course au dumping social et environnemental généralisé. Si un relatif consensus rassemble aujourd’hui les décideurs autour de la nécessité d’une réindustrialisation, les modalités concrètes et les objectifs diffèrent fortement. Quelles filières faut-il investir pour réduire notre empreinte carbone et développer notre autonomie industrielle ? La question des outils se pose également : incitations aux entreprises, mise en concurrence internationale ou protectionnisme écologique ?
date 14 janvier 2024 14h00
lieu Campus Condorcet, Place du Front Populaire, Aubervilliers
intervenants
- Nadine Levratto, directrice du laboratoire EconomiX de l’université Paris Nanterre et économiste spécialiste de l’industrie et de l’innovation
- Matthias Tavel, député LFI-NUPES, membre de la Commission des Affaires économiques
- Christian Saint-Etienne, économiste et professeur émérite au Conservatoire national des arts et métiers
Animée par : Hervé Nathan (Alternatives Économiques)
note
En finir avec les idées reçues sur le coût de l'immigration
par Aurélie Trouvé, Hadrien Clouet
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Connue / https://twitter.com/i_laboetie/status/1734511124899389664
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Institut La Boétie @i_laboetie · 8h
La loi Darmanin rejetée, reste la surenchère autour d'un récit : l'immigration serait un poids pour la France.
... 32 - 181 - 265 - 76k
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Jean-Luc Mélenchon était en conférence “Faîtes mieux !” à Paris le 20 novembre 2023 avec l’Institut La Boétie.
Il commence par décrire la situation à Gaza, l'une des zones les plus densément peuplées au monde. Elle est maintenant exposée à une forme de guerre urbaine totale. L'impact de ce contexte est dévastateur sur la population civile.
Jean-Luc Mélenchon appelle au respect des résolutions de l'ONU pour une solution à deux États. Le non-respect du droit international conduit à la guerre totale. Il critique ainsi les États-Unis pour ne pas avoir signé la convention de la Cour pénale internationale, tout comme Israël.
Il exprime également sa déception quant au délai pris par la France pour appeler à un cessez-le-feu. Il note cependant les réactions positives de certains pays qui ont rompu leurs relations diplomatiques avec le gouvernement israélien et saisissent la CPI sur les crimes de guerre en Palestine. Il appelle à des sanctions financières contre Israël et exhorte la France à saisir le Tribunal pénal international pour mettre fin aux massacres.
Jean-Luc Mélenchon souligne l'importance de rejeter l'antisémitisme et l'islamophobie, appelant à l'unité contre toutes formes de racisme. Il critique le capitalisme pour sa propension à engendrer des conflits, soulignant l'implication de l'appropriation privée des ressources collectives dans l'escalade des guerres et alerte sur la guerre de l’eau déjà commencée.
Pour finir, il appelle à barrer la route à tout ceux qui cherchent à diviser le peuple français et à combattre le racisme et l’extrême droite. Il souligne l’universalité du peuple humain, que la créolisation peut mettre en œuvre.
Tr.: ... le choc des civilisations de Samuel Huntington ... la force doit l'emporter sur le droit ... à la bourse du travail ... coalition "maintenant le peuple" au niveau européen ... lowfare ... constituer un peuple humain pour l'anthropocène ... 256 bassins fluviaux et de lacs en butte à des frontières ... 5 états ont saisi la cour pénale internationale / israël ... demander des sanctions contre le gouvernement israëlien ... il faut arrêter le massacre ... création d'un état de palestine ... refuser l'alignement politique, france indépendante ... l'indépendance, c'est la liberté, souveraineté du peuple ... les BRICS s'élargissent ... nécessite doigté ... nous avons besoin des autres ... les peuples sont capables d'intelligence collective ...
Les 21 et 22 octobre prochains, l’Institut La Boétie vous invite à assister à un colloque exceptionnel « Extrême droite *
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Samedi, de 10h30 à 11h : Introduction par Clémence Guetté, co-présidente de l’Institut La Boétie : « Thèses stratégiques pour vaincre l’extrême droite »
Samedi, de 11h à 12h30 : https://www.youtube.com/watch?v=PFj-2yI5LSU
- Plénière : Médiatisation de l’extrême droite et extrême droitisation des médias
Pauline Perrenot, journaliste, membre d’Acrimed, autrice de « Médias et extrême droite : la grande banalisation »
René Monzat, journaliste, auteur de « Enquêtes sur la droite extrême »
Samuel Bouron, maître de conférences en sociologie, auteur de « Entrer en politique par la bande médiatique ? »
Samedi, de 13h30 à 15h :
- Atelier 1 : Plutôt Hitler que le Front Populaire ? Les dominants et l’extrême droite
Marlène Benquet, co-responsable du département de sociologie, co-autrice de « La finance autoritaire: vers la fin du néolibéralisme »
Ugo Palheta, sociologue, spécialiste de l’extrême droite - Atelier 2 : Groupuscules d’extrême droite : implantation, idéologie, formation
Mathieu Molard, rédacteur en chef de StreetPress
Raphaël Arnault, porte-parole de la Jeune Garde - Atelier 3 : Le programme économique du RN : derrière l’imposture sociale, l’offensive néolibérale
intervenant·e à venir
Samedi, de 15h30 à 17h :
- Atelier 4 : Racisme et fascisme
Ugo Palheta, sociologue, spécialiste de l’extrême droite
Solène Brun, sociologue, co-autrice de Sociologie de la race - Atelier 5 : Sociologie des militants et des cadres du Rassemblement national
Raphaël Challier, sociologue, co-auteur de « S’engager au Front national pour ne plus être des “cassos” »
Safia Dahani, docteure en sociologie, co-autrice de Sociologie politique du Front national, enquêtes de terrain sur l’extrême droite - Atelier 6 : Le style de l’extrême droite : médiévalisme et littérature réactionnaire
Vincent Berthelier, chercheur, auteur de « Le Style réactionnaire. De Maurras à Houellebecq »
Isabelle d’Artagnan, historienne médiéviste
Samedi, de 17h30 à 19h :
- Atelier 7 : Le genre de l’extrême droite : antiféminisme et fémo-nationalisme
Safia Dahani, politiste, EHESS
Fanny Gallot, historienne spécialiste du genre, co-responsable du département d’histoire
Cassandre, streameur spécialisé sur les questions de genre et LGBT - Atelier 8 : Extrême droite, Europe et Monde : visages internationaux de l’extrême droite
Thomas Portes, député LFI-NUPES, créateur de l’Observatoire national de l’extrême droite
Pablo Stefanoni, journaliste, docteur en histoire, auteur de « La rébellion est-elle passée à droite ? »
Marlène Benquet, sociologue, co-autrice de « Alt-Finance: How the City of London Bought Democracy » - Atelier 9 : Une histoire de l’extrême droite en France
Ludivine Bantigny, maîtresse de conférences en histoire
René Monzat, journaliste, auteur de « Enquêtes sur la droite extrême »
Dimanche, de 10h00 à 12h : Plénière : Qui vote pour l’extrême droite ? Structure sociale et motivations électorales du bloc d’extrême droite
Yann Le Lann, maître de conférences en sociologie, collectif Quantité Critique
Safia Dahani, politiste, EHESS
Raphaël Challier, sociologue
Violaine Girard, sociologue, co-autrice de « Le vote FN au village: trajectoires de ménages populaires du périurbain »
Félicien Faury, docteur en sciences politiques, auteur de « Vote FN et implantation partisane dans le Sud-Est de la France : racisme, rapports de classe et politisation »
Dimanche, de 13h00 à 14h30 : Plénière : L’écologie et l’extrême droite : écologie réactionnaire et climato-négationnisme
Antoine Dubiau, chercheur en écologie politique, auteur du livre Écofascismes
Ève Gianoncelli, politiste, autrice de « Des racines du socialisme à la politique chrétienne par la racine : l’union radicale conservatrice et ses limites »
Sylvain Laurens, sociologue, co-auteur de « Les gardiens de la raison. Enquête sur la désinformation scientifique »
Claire Lejeune, co-responsable du département de planification écologique de l’Institut La Boétie
Connu / TG le 22/10/23 à 18:32
1,15 M d’abonnés - 12k+ - 527 307 vues - 319 commentaires - 2h41:06
Jean-Luc Mélenchon: Co-président de l'Institut La Boétie.
Tr.: ... biosphère ... culture cumulative ... le capitalisme est mortel à 10 milliards d'humains ... introduire du sens là où il n'y en a pas ...