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Guillaume F - il y a 2 ans
BD
Le monde sans fin de Jean-Marc Jancovici et Christophe Blain
La rencontre entre un auteur majeur de la bande dessinée et un éminent spécialiste des questions énergétiques et de l’impact sur le climat a abouti à ce projet, comme une évidence, une nécessité de témoigner sur des sujets qui nous concernent tous. Intelligent, limpide, non dénué d’humour, cet ouvrage explique sous forme de chapitres les changements profonds que notre planète vit actuellement et quelles conséquences, déjà observées, ces changements parfois radicaux signifient. Jean-Marc Jancovici étaye sa vision remarquablement argumentée en plaçant la question de l’énergie et du changement climatique au coeur de sa réflexion tout en évoquant les enjeux économiques (la course à la croissance à tout prix est-elle un leurre ?), écologiques et sociétaux. Ce témoignage éclairé s’avère précieux, passionnant et invite à la réflexion sur des sujets parfois clivants, notamment celui de la transition énergétique. Christophe Blain se place dans le rôle du candide, à la façon de son livre “En cuisine avec Alain Passard” et de “Quai d’Orsay” signé avec l’expertise d’un coauteur : un pavé de 120 pages indispensable pour mieux comprendre notre monde, tout simplement !
Et ses critiques :
- par François-Xavier Martin
- par Stephane His
- par Antoine de Ravignan
En gros, Jean-Marc Jancovici est critiqué :
- pour enjoliver un peu trop le nucléaire (problème des déchets minorés, confiance dans la possibilité de réalisation rapide d’un nouveau parc de réacteurs types EPR)
- pour présenter certaines choses de façon simpliste toujours au détriment des EnR : les courbes de production/consommation d’énergies sont exprimées en énergie brute. Or, pour les combustibles fossiles, on perd environ 60% dans le process de transformation en énergie mécanique (moteur thermique). L’électricité qui sort d’une éolienne ou d’un panneau PV est utilisable avec très peu perte de transformation vers une énergie mécanique.
En deuxième partie de BD, je trouve le chapitre “climat” très bien fait.
#energie #climat #changementClimatique #energiesFosssiles #gaz #petrole #charbon #eolien #eoliennes #panneauxPhotovoltaiques #photovoltaique #panneauxPV #EnR #energiesRenouvelables #nucleaire #ecologie #decroissance #bandeDessinnee #avenir #agriculture #alimentation #transports #mobilite #sante #societe #politique #Jancovici #JMJancovici #JeanMarcJancovici #LeMondeSansFin #progrèsTechnique
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Laurent Espitallier - il y a 2 ans
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Publié le vendredi 25 avril 2025 / La terre au carré
Olivier Norek le 26 octobre 2024 ©Maxppp - Jean-Marc Quinet
Ancien lieutenant de police, aujourd'hui pleinement écrivain, Olivier Norek s'est fait connaître en 2014 avec "Code 93". Il publie une adaptation de son roman "Impact" en BD, un monde pré-apocalyptique radicalement remis en question par son anti-héros Virgil Solal.
Avec Olivier Norek, ecrivain, scénariste
Ancien policier devenu écrivain à succès, Olivier Norek était l'invité de l'émission pour présenter l'adaptation de son roman Impact en bande dessinée, réalisée avec le dessinateur Fred Pantarolo parue aux éditions Michel Lafon. Cette œuvre aborde la question écologique sous l'angle d'un thriller où un ancien militaire kidnappe le PDG d'une grande entreprise.
Une enfance nomade, fils d'un haut fonctionnaire
Né le 2 août 1975 à Toulouse, Olivier Norek est le fils de Claude Norek, un énarque qui a occupé de nombreuses fonctions dont celle de directeur général de Radio France. Son enfance a été marquée par une dizaine de déménagements avant ses 18 ans, sa mère étant directrice d'école. "C'est difficile d'avoir des racines quand on a autant déménagé. Donc, on se crée un monde personnel, un univers privé imaginaire. On me pose souvent la question, "qu'est-ce que vous emmèneriez sur une île déserte ?" Moi, je peux tenir très bien trois ans tout seul sur une île déserte, sans parler à personne, cela ne me pose aucun problème."
Cette vie nomade a nourri son imagination et son goût pour la lecture. "Mes deux parents ont commencé comme enseignants. La culture a toujours été quelque chose de capital à la maison. On ne me donnait pas d'argent de poche, mais j'avais un crédit illimité pour acheter des livres, des 45 tours ou des 33 tours."
À écouter
L'écologie en BD
De flic à écrivain : un parcours marqué par une sensibilité contrôlée
Son métier de policier l'a obligé à mettre de côté sa sensibilité : "Je suis ultra ultra-sensible. Il a fallu que je bloque ma sensibilité quand j'étais policier. Maintenant que je suis auteur, je peux enlever ma carapace et me laisser pénétrer par tous les sentiments. Mais quand on est flic, le concept d'empathie mène parfois à un mauvais jugement."
Olivier Norek a débuté comme gardien de la paix avant de devenir lieutenant, toujours dans l'ombre de son père dont les réformes avaient marqué la police. "En arrivant à l'école de police, je suis convoqué par le directeur qui me dit 'Vous êtes Olivier Norek, le fils de Claude Norek. Savez-vous que grâce à Claude Norek, ceci, ceci, ceci et cela..." Pour les gardiens de la paix, il a changé les méthodes de recrutement, il a ajouté à la dissertation de la culture générale, de l'histoire, de la géographie et du droit."
Le passage à l'écriture d'Olivier s'est fait presque par hasard, alors que rien ne le prédestinait à devenir écrivain : "J'ai eu cinq sur 20 au bac français. Même mes cartes postales étaient illisibles. L'écriture est venue bien après."
À écouter
Où est passée l’écologie ?
Le 18/20 · Le téléphone sonne
37 min
L'écologie, un combat urgent face à l'inaction politique
Olivier Norek expose sa vision de l'urgence écologique avec force : "L'écologie, ce n'est pas un sujet, c'est le sujet qui doit infuser tous les nouveaux sujets, toutes les nouvelles lois, toutes les nouvelles directives, et tous les nouveaux projets. L'écologie, ce n'est pas autre chose que la simple sauvegarde de l'humanité et des générations à venir."
Il évoque son indignation face à l'inaction des gouvernements et justifie la colère qui monte chez certains : "La violence naît qu'en dernier recours, quand on n'écoute pas ces paroles qui, depuis le M.I.T en 1972, nous alertent sur les énergies fossiles. Qu'est-ce qu'il reste aux gens pour se faire entendre ? Le cri, la violence verbale, et même parfois la violence physique que je ne soutiens absolument pas." Le roman puis la bande dessinée Impact lui ont permis, à lui, Olivier Norek d'exprimer cette colère à travers son personnage : "J'ai donc créé un monstre qui choisit la violence."
À écouter
Olivier Norek : "Cette guerre a prouvé à Hitler que la Russie était un colosse aux pieds d'argile"
L'interview de 9h20
21 min
Police et environnement : une défense nécessaire de la nature
Pour Olivier Norek, la police de l'environnement joue un rôle essentiel qu'il compare à des romans policiers :"La police défend les victimes. Aujourd'hui, la planète est une victime. Notre nature est victime. La plupart du temps, moi, je fais des polars, dans lesquels, il faut un assassin, une victime, une scène de crime. Aujourd'hui, pour l'écologie, c'est la même chose. L'assassin, c'est la pollution. La victime, c'est l'humanité. La scène de crime, c'est la planète."
Il défend cette police spécialisée contre les critiques récentes : "Quoi de plus normal avec une nature, avec une forêt qui est en souffrance, de voir naître une police des forêts, une police de la nature, une police de cette protection." Plus généralement, il déplore que le débat public s'attarde sur des questions secondaires au lieu des enjeux majeurs : "Est-ce qu'on parle du fait que dans 20 ans, il n'y aura pas un seul poisson comestible dans l'océan ? Est-ce qu'on parle du fait que dans quinze ou 20 ans, c'est 500, 600, 700 millions de réfugiés climatiques qui vont remonter vers l'Europe et les États-Unis ? Est-ce qu'on parle du fait que dans une trentaine d'années, on aura beau manger à s'en faire exploser le ventre, il n'y aura plus assez d'apports nutritifs dans les aliments et qu'il faudra quand même des compléments alimentaires ?"
À écouter
Olivier Norek
L'invité du 13/14
14 min
La BD Impact d'Olivier Norek avec Fred Pontarolo, chez Michel Lafon, d’après le roman Impact d’Olivier Norek
Clés : Environnement Arts et Divertissement Écologie BD – Manga Bandes dessinées – Romans graphiques
1.480 signatures
Auteur(s) : STAA CNT-SO & MeTooBD
Destinataire(s) : Association du FIBD
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Depuis plusieurs mois, nous, professionnel·les de la bande dessinée, auteur·ices et autres travailleur·euses du milieu, interpellons l’Association du FIBD d’Angoulême sur la nocivité du contrat qui la lie avec la société 9eArt+, depuis près de 20 ans.
Une société dont les pratiques managériales ont été questionnées dans plusieurs articles de presse, dont une enquête de L’Humanité magazine qui révèle notamment le licenciement d’une employée après qu’elle a dénoncé un viol lors de la 51e édition.
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Connue / https://mastodon.top/@STAA@piaille.fr/114358048266575007
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1 j STAA @STAA@piaille.fr
Désertons le FIBD dAngoulême !
À l'initiative du STAA CNT-SO et de MeTooBD, des professionnel•les, collectifs, maisons d'éditions liés au milieu de la BD appellent au boycott du FIBD d'Angoulême.
#petition #boycott #fibd #bd #angouleme #festival
Désertons le FIBD d'Angoulême
... Lors de la dernière réunion de l’ADBDA du 3 avril, l’Association du FIBD a évoqué la possibilité de dénoncer le contrat qui la lie avec la société 9eArt+, mais elle n’a pas manifesté le souhait de soumettre la gestion du festival à un appel à projets impartial. Elle semble au contraire vouloir concrétiser son projet de fusion en SAS avec 9eArt+, qui deviendrait, de fait, gérant illimité du festival. Nous voulons rappeler très fermement à l’Association du FIBD que si en plus de 50 ans d’existence, le festival d’Angoulême est devenu un événement incontournable de la BD, c’est grâce aux acteur·ices qui le font vivre et qui l’animent : travailleur·euses de la BD, auteur·ices,
éditeur·ices, traducteur·ices, journalistes et critiques… et bien entendu les lecteur·ices, par leur fidélité à cet événement. Celui-ci appartient désormais à la collectivité et, à ce titre, il est devenu un événement d’intérêt public pour la survie de notre medium. Il serait donc inadmissible de le corseter d’intérêts personnels ou de choix autoritaires. Il serait inacceptable que la gérance de cet événement soit à nouveau confiée pour une décennie supplémentaire, voire plus, et sans consultation des parties qui font sa vitalité et sa diversité, à une entreprise qui soulève de nombreuses interrogations sur ses prérogatives. Face à cet aveuglement et à cette obstination, face à cette appropriation insupportable et face au mépris affiché à l’égard de nos interpellations répétées, NOUS, travailleur·euses de la BD, informons l’Association du FIBD, ainsi que tous ses partenaires, publics et privés, que si elle ne se décide pas à dénoncer ce contrat en bonne et due forme et à faire un appel à projets pour la gestion du festival, nous appellerons à boycotter massivement la prochaine édition du festival en 2026. Sans nous, cette édition sera une coquille vide !
Signer la pétition.
STAA CNTSO, Article à retrouver également sur notre site : https://staa-cnt-so.org
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Voir aussi https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?OI8kiA
Des auteurs et professionnels du secteur de la bande-dessinée ont signé une pétition menaçant de boycotter à la prochaine édition du festival d'Angoulême.
Article rédigé par franceinfo - Radio France Publié le 18/04/2025 22:33
Marguerite Abouet, à Angoulême, en 2023. (JULIE DESBOIS / MAXPPP)
À lire aussi : Festival de la BD d'Angoulême : le ministère de la Culture s'inquiète de "dysfonctionnements"
Sous l'impulsion de deux collectifs d'auteurs, le Syndicat des travailleurs artistes et auteurs (STAA) et le collectif Metoo BD, le texte vise à demander à l'association propriétaire du festival de mettre un terme à son contrat avec 9e Art +, la société privée qui l'organise. Ils dénoncent un management toxique, une opacité comptable, des soupçons de népotisme et des dérives mercantiles.
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Série « L'écologie en BD » - Publié le mardi 11 mars 2025
Épisode 3/3 : "Nausicaa de la Vallée du Vent" : le manga écologiste d'Hayao Miyazaki
Détail de la couverture de "Ressources. Un défi pour l'humanité", de Philippe Bihouix et Vincent Perriot (Casterman, 2024) - © Casterman
Série « L'écologie en BD »
Épisode 2/4 : Ressources : une bande dessinée écologique, un voyage intersidéral
Publié le mardi 28 janvier 2025 / On se décarbone
À l'occasion du festival d'Angoulême, Raphaël Gerson nous présente une deuxième bande dessinée écologique qui nous emmène dans l'espace.
Nous sommes en 3019, et l’humanité a définitivement conquis l’espace : la lune est devenue notre base arrière industrielle, les astéroïdes nous fournissent les minéraux les plus rares, et l’humanité est divisée en 2 : ceux qui vivent encore sur notre planète, et ceux qui ont choisi de s’exiler dans de gigantesques structures en orbite autour de la Terre...
Non, il ne s’agit pas d’une bande dessinée écrite par Elon Musk ou Jeff Bezos : s’ils sont clairement mis en scène dans l’album, c’est pour mieux les ramener sur terre, et nous montrer que leurs projets relèvent d’un mythe : celui du "Cornucopianisme ».
Les "Cornucopiens" ou le mythe de la corne d'abondance
Le "Cornucopianisme" correspond au mythe de la « corne d'abondance » : les « Cornucopiens » pensent qu’on trouvera toujours de nouvelles ressources et que les progrès technologiques sont LA solution pour résoudre les problèmes rencontrés par l’humanité, notamment le défi écologique ;
Or les auteurs de la BD ont fait les calculs : on risque de consommer davantage de minerai, d’énergies fossiles, d’eau et de ressources naturelles en général dans les trente prochaines années, que depuis l’aube de l’humanité.
Les « Cornucopiens » répondront qu’on disait ça pour le pétrole, alors qu’on continue de trouver de nouveaux gisements,et c’est une BD qui les fera peut-être changer d’avis : car elle montre que ces nouveaux gisements sont toujours plus difficiles d’accès et que nous sommes aujourd’hui dans un cercle vicieux : on a besoin de toujours plus de pétrole... pour aller chercher du pétrole.
La bande dessinée "Ressources" répond aux Cornucopiens par la science
Car la croissance est une fonction « exponentielle » : par exemple, si on continue d’augmenter de 2% la quantité de métaux que l’on extrait chaque année, elle va doubler tous les trente-cinq ans. Et dans quelques centaines d’années, il nous faudra les métaux du système solaire tout entier…
La BD propose donc des pistes de réflexion sur terre. Notamment sur la sobriété : comme pour nos véhicules, qui pèsent souvent près de 2 tonnes pour déplacer moins de 100 kilos de passagers la plupart du temps…
Ensuite sur le « techno-discernement » : qui consiste à renoncer à truffer nos objets du quotidien d’électronique souvent inutile, pour réserver nos ressources à des innovations qui ont une vraie valeur ajoutée, comme en médecine.
Enfin, la BD prône davantage de mutualisation : par exemple dans la téléphonie mobile, si les différents opérateurs mettaient en commun leurs réseaux (comme c’est le cas dans l’électricité) on pourrait diviser notre consommation électrique par deux.
Clés : Environnement Arts et Divertissement Écologie BD – Manga Bandes dessinées – Romans graphiques Festival de la BD d’Angoulême Énergies renouvelables
52,9 k abonnés - 1,2k+ 37 152 vues - 412 commentaires Démocratie
Gestion de Multinationales de plus en plus puissantes, contrôle des Médias et des réseaux sociaux, influence Politique directe : les milliardaires ont un pouvoir bien supérieur à leur simple consommation. D’où cette question : sommes-nous entrés en oligarchie ?
Pour y répondre nous recevons Hervé Kempf, ancien journaliste au Monde, fondateur du journal Reporterre, et auteur de nombreux livres dont la BD “comment les riches ravagent la planète ?”
Interview réalisée par Maxime Thuillez à l'Académie du climat
CHAPITRES
00:00 - Extraits
01:23 - Pourquoi une BD sur les riches ?
03:08 - Qu'est-ce qu'un riche ?
06:06 - Comment expliquer l'accroissement spéctaculaire des inégalités ?
07:02 - La suppression des impôts sur les très riches
08:35 - Le rôle de la mondialisation ?
11:42 - Le rôle des délocalisations ?
14:02 - Théorie de la rivalité ostentatoire
18:09 - Un exemple de rivalité ostentatoire ?
23:08 - Les inégalités conduisent-elles à la guerre ?
33:22 - Les oligarques français
41:15 - Milliardaires & politique
43:02 - La France = une oligarchie
49:34 - La rencontre d'Hervé Kempf et d'un milliardaire
55:22 - Le portrait robot du milliardaire type
57:40 - Les milliardaires s'intéressent-ils au climat ?
01:01:40 - Le capitalisme despotique
01:07:20 - Une augmentation de la répression ?
01:11:27 - Les grands patrons s'accommodent de l'extrême droite ?
Dans cette interview, Hervé Kempf, le fondateur de Reporterre revient sur le rôle des ultra-riches dans la destruction de la planète. Comme il le raconte dans sa BD : "comment les Riches ravagent la planète" Hervé Kempf, montre le rôle joué par la rivalité ostentatoire sur la surconsommation de ressources et d'énergie. Cette démonstration inspirée des travaux de Thorstein Veblen, permet de comprendre, au-delà de leur consommation somptuaire pourquoi les milliardaires jouent un rôle particulièrement moteur dans la destruction de la planète.
Hervé Kempf montre également comme les milliardaires essayent par essence de se constituer en oligarchie, en essayant de réprimer les mouvements contestataires, les mouvements écologistes et tous ceux qui voudraient entraver le développement de leurs activités. Pour Hervé Kempf, les riches constitue, dans les démocraties libérales une véritable oligarchie et ravagent la planète.
1:07:02
#130 - POURQUOI TOUT LE MONDE SE FOUT DU CLIMAT ? ALBERT MOUKHEIBER
de Greenletter Club
1:16:44
#128 - POURQUOI L'ÉCONOMIE MONDIALE VA S'EFFONDRER ? PHILIPPE BIHOUIX
de Greenletter Club
Tr.:
... en mettre plein la vue ... supplément de prestige ... ex. les Yoths de plus en plus longs ... ex. l'avion, le jet privé ... / l'écologie ... moment gravissime de l'humanité ... gaspillage insensé de la part des très très riches ... culture de la surconsommation se répand à l'échelle mondiale ... journaliste, je vérifie les faits et les transcris dans un langage pour tous ... Thomas Piketti ... énorme augmentation des inégalités ... crise ... guerre, depuis 1914 ... les 4 cavaliers de l'apocalypse : la guerre, la révolution, l'effondrement de l'État, les pandémies (peste noire) ...
D'Or et d'oreillers, rue de Sèvres. Extrait de la couverture. - © Mayalen Goust et Flore Vesco, rue de Sèvres.
La dessinatrice Mayalen Goust a adapté D’Or et d’Oreillers, le roman de Flore Vesco paru en 2021. Roman dont elle avait déjà signé la couverture, et l’on est ravi de d’avoir 180 pages supplémentaires pour admirer son trait et son regard enchantés.
C’est somptueux, dès la couverture, sombre et envoûtante… Elle représente une jeune femme vêtue d’une robe rouge, chevelure brune, le regard noir, la bouche entrouverte. Au premier plan, on reconnaît l’ombre inquiétante d’un château. La jeune femme et le château, deux personnages de cette histoire.
D’Or et d’oreillers est une réécriture de la princesse au petit pois, le conte d’Andersen
Je vous le remets en mémoire, c’est l’histoire de cette princesse si sensible qu’elle ne parvient pas à trouver le sommeil à cause d’un petit pois enfoui sous une pile de matelas.
Mais dans notre version, de petit pois…
Il n'y en avait pas ! Pas plus que de citrouille ou de haricot magique. Cette manie de cacher la réalité derrière les légumes ! L'histoire réelle n'est pas pour les enfants. Il est des vérités sur l'amour, les nuits des jeunes filles et ce qu'elles font en leur lit qu'on apprend en grandissant. Ce sont ces secrets que je m'en vais vous révéler…
Voilà la promesse alléchante du roman de Flore Vesco et de la bande dessinée de Mayalen Goust.
Nous sommes dans l’Angleterre du 19e, Madame Watkins veut absolument marier ses trois filles. Imaginez son excitation quand elle apprend que le jeune Lord Handerson, doté de 80 000 livres de rente, cherche une épouse…
Elle va déchanter en discutant avec une amie…
- Avez-vous reçu une invitation de Blenkinsop Castel ?
- Ne me parlez plus de ce lord ! Jamais je ne lui présenterai ma fille. Et surtout, n'envoyez jamais les vôtres là-bas ! Jamais !
- Mais enfin très chère, pourquoi ?
- Si vous saviez ! Oh ! On raconte... qu'il exige de recevoir les prétendantes seul. Seul ! Sans parent ni chaperon... Qu'il les force à passer une nuit au château... et si vous saviez les rumeurs qui circulent à son sujet...
- Hors de question que mes filles participent à une telle goujaterie !
Hors de question… Enfin, Madame Watkins est rusée
Il faut ce qu’il faut pour marier sa progéniture. Telle Mrs Bennett, la peu subtile mère de famille d’Orgueil et préjugés, elle prépare un stratagème pour envoyer ses filles et leur servante Sadima séjourner en tout bien tout honneur chez Lord Handerson.
À leur arrivée, les quatre jeunes femmes ont le souffle coupé par le château immense et richement décoré. Le propriétaire, lui, est joli garçon, pas spécialement aimable. Il leur confirme qu’il cherche épouse… Si elles sont intéressées, il leur faudra passer une nuit, seule, dans une chambre du manoir.
Les trois sœurs tentent leur chance, mais échouent. Au moment de rentrer chez elles, Lord Handerson rappelle qu’il reste encore une candidate : la servante, Sadima ! Malgré l’incrédulité de ses maîtresses, Sadima décide de rester. Et passe la nuit seule dans la fameuse chambre où trône un lit surmonté d’une dizaine de matelas. Elle découvre au matin qu’elle a réussi ce premier test.
Lord Handerson en a prévu d’autres. Sadima reste donc au château, décidément très énigmatique. Il semble n’y avoir qu’un seul serviteur mais tout est parfaitement propre et rangé, la nourriture généreusement servie…
Piquée dans sa curiosité, Sadima va tenter de percer le mystère de la bâtisse et de son occupant, à ses risques et périls.
Une aventure magnifiquement mise en scène dans les dessins de Mayalen Goust. Avec des doubles pages superbes, un travail de la couleur qui souligne cette ambiance fantastique, inquiétante et sensuelle à la fois. Eh oui, pensez à tous les fils qu’on peut tirer d’un conte dont l’héroïne est jaugée sur sa sensibilité, la nuit, dans un lit… Sadima explore le château, explore aussi son corps et son désir. Et c’est raconté avec beaucoup de grâce, dans cette bande dessinée qui se lit comme un roman gothique.
D’Or et d’Oreillers fait partie de la sélection du prix BD Fnac-France Inter, dont le ou la lauréate sera annoncé.e en janvier !
Une bande dessinée de Mayalen Goust, adapté du roman de Flore Vesco, c’est publié aux éditions Rue de Sèvres.
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L'équipe Mahaut de Butler Production
Ghislain Dubois mars 23
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?HnSI9Q
16 min
Figure médiatique du débat sur la transition énergétique, cet ingénieur très critique sur les renouvelables et pronucléaire n’hésite pas à tordre les faits pour défendre ses idées.
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deux idées-forces.
La première est que la menace climatique se double d’une crise plus immédiate des ressources sur lesquelles repose tout notre système économique : les énergies fossiles, en voie avancée d’épuisement. Le déclin de leur production pour des raisons géologiques, dont on observerait déjà les signes, va fatalement entraîner celui du produit intérieur brut (PIB). Donc, soit nous organisons l’inévitable décroissance induite par la déplétion des fossiles, soit nous la subissons et le choc récessif sera violent.
La seconde porte sur les réponses au constat. Il faut, d’une part, organiser la sobriété pour sortir sans trop de casse de l’impasse des fossiles. D’autre part, pour ce qui nous restera de besoins énergétiques à couvrir, un déploiement massif du nucléaire est incontournable, étant donné les limites physiques des autres moyens décarbonés.
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Le nucléaire est, pour Jean-Marc Jancovici, « un amortisseur de la décroissance », illustré dans sa BD (page 162) par la métaphore du parachute ventral : cela « nous permettra de conserver une partie, et une partie seulement, de ce que nous avons aujourd’hui. Et d’amortir une chute trop brutale. »
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trois points centraux de l’argumentaire de Jean-Marc Jancovici, aux implications fortes, sont très discutables.
Le premier est l’idée que le monde va fatalement entrer en récession parce que son principal carburant, l’énergie fossile, va manquer physiquement, et ceci à un horizon très proche.
Le deuxième est que les énergies renouvelables variables ne peuvent jouer qu’un rôle de second plan, ce qui fait du nucléaire un moyen de production de première instance (c’est le « parachute ventral » qui rendra la décroissance soutenable).
Le troisième est que le risque nucléaire fait l’objet de beaucoup d’exagérations.
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Pour Patrick Criqui, comme pour l’immense majorité des experts, un manque physique à l’horizon des contraintes qu’impose le changement climatique est « un non-sujet ». Un article paru dans Nature a récemment évalué que si l’humanité réduisait sa consommation de fossiles à un niveau compatible avec l’objectif 1,5 °C, il resterait, en 2050, 58 % des réserves pétrolières exploitables estimées en 2018, 56 % des réserves gazières et 89 % de celles de charbon.
« Nous sommes peut-être en train de franchir le pic des fossiles, mais c’est un pic de demande, non d’offre », ajoute l’énergéticien Stéphane His, consultant et auteur d’un blog dans lequel il décortique page à page Le monde sans fin pour démêler le vrai du faux.
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« La réalité, rappelle Stéphane His, est que la quantité d’énergie nécessaire pour produire une unité de PIB n’a cessé de décliner depuis une cinquantaine d’années au niveau mondial. »
« De la part de l’ingénieur, cette sous-estimation du progrès technique est fascinante », commente Cédric Philibert, chercheur associé au Centre énergie et climat de l’Ifri.
Il n’y a pas de discussion sur le fait que ce découplage est très insuffisant et Jean-Marc Jancovici a certainement raison d’insister sur la sobriété.
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Selon un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) http://www.iea.org/news/renewable-power-s-growth-is-being-turbocharged-as-countries-seek-to-strengthen-energy-security paru le 6 décembre également, les perspectives de déploiement des renouvelables pour la période 2022-2027 dépassent de 30 % ce qui était anticipé l’an dernier. Et pour cause. Le solaire et l’éolien terrestre sont, dans la grande majorité des pays, les moyens les moins chers de produire de l’électricité. Ils devraient représenter 90 % des capacités électriques installées dans les cinq prochaines années, selon l’AIE.
Mais n’allons-nous pas buter sur les ressources minérales ? « A cause de leur caractère très diffus, le solaire et l’éolien demandent 10 à 100 fois plus de métal au kWh » que le nucléaire, affirme Jean-Marc Jancovici dans sa BD (page 131), sans s’embarrasser de sourcer, ici comme ailleurs.
Sur son blog, Stéphane His repère que les chiffres employés par Jean-Marc Jancovici sont souvent anciens. Dans le cas d’espèce, il s’agirait de données remontant aux années 2010. Or, depuis, la technologie a continué de progresser à toute allure.
Citant un rapport de l’AIE sur les métaux de la transition paru l’an dernier, Stéphane His écrit que le ratio entre le nucléaire et les renouvelables serait de l’ordre de 1,4 à 3 selon les technologies. Surtout, le même rapport montre que l’essentiel de l’accroissement de la demande de minéraux dans son scénario « zéro émissions nettes en 2050 » (où le nucléaire produit près de 10 % de l’électricité mondiale et le solaire et l’éolien, 70 %) provient des véhicules électriques. Rien à voir, donc, avec la nature des capacités électriques, nucléaires ou renouvelables.
...
Ce chiffre repose en effet sur la consommation d’énergie primaire de ces dernieres années, environ 3 000 TWh, mais qui comprend de considérables pertes de chaleur dans les centrales électriques, nucléaires ou fossiles. La France décarbonée de 2050 aura en fait besoin de 930 TWh d’énergie finale, dont 55 % d’électricité (scénario RTE). Une électricité pas seulement fournie par les éoliennes, mais aussi par le solaire photovoltaïque et l’hydraulique.
Dans son scénario électrique 100 % renouvelable, RTE estime leur nombre à environ 30 000 mâts en 2050… comme en Allemagne aujourd’hui. Et RTE se base sur des puissances d’éoliennes (2,5 MW) d’ores et déjà dépassées.
...
sous serment devant les mêmes parlementaires, il déclare à propos des déchets qu’il est prévu d’enfouir qu’« au bout de quelques siècles, les produits de fission reviennent au niveau de radioactivité de l’uranium initial. (…) La partie la plus radiotoxique, c’est pas 100 000 ans, c’est beaucoup plus court. »
Or, dans ces déchets hautement radioactifs, il n’y a pas que ce qu’on appelle les produits de fission (dont au passage certains, comme le césium 135, mettent plus de 2 millions d’années pour perdre la moitié de leur radioactivité). Il y a aussi des produits appelés actinides mineurs dont les durées vont très au-delà de « quelques siècles ».
Plaider en faveur du nucléaire n’autorise pas à en minimiser les risques et badiner sur le nombre de victimes
...
On peut construire des systèmes décarbonés performants avec un peu, beaucoup ou pas de nucléaire. On peut continuer à extraire des fossiles longtemps (et détruire la planète) avant qu’ils ne viennent à manquer pour de vrai.
En fait, nous pouvons faire des choix. Celui d’un monde triste, une longue chute sans fin ralentie par des parachutes pour ceux qui le peuvent. Celui d’un monde désirable, palpitant à construire, plus solidaire, plus juste, plus gai, en considérant les difficultés d’aujourd’hui comme autant d’opportunités pour changer.
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Louis Derrac 🇫🇷 🇬🇧 a partagé 1 h gaetan@piaille.fr louisderrac@mastodon.zaclys.com Gaëtan Le Feuvre @gaetan@piaille.fr
« Jean-Marc Jancovici semble en définitive penser le monde comme si la réalité des ressources physiques imposait des choix très restreints à l’humanité. Des choix nécessaires que l’expert-pédagogue révèle aux hommes, de même que le prêtre se fait l’interprète d’un ordre divin immuable pour régler le désordre du monde. »
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Connu / https://blogs.mediapart.fr/andre-gunthert/blog/281222/bastien-vives-la-morale-de-la-polemique/commentaires#comment-11598281
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28/12/2022 14:25 Par IDclaire en réponse au commentaire de JLMFI le 28/12/2022 14:01
Un angle mort de cette affaire est effectivement le profit des éditeurs mais pas seulement.
J’ai fait des recherches concernant le financement du festival d’Angouleme et j’ai découvert que c’est une société privée 9eme Art, qui gère 2 millions d’euros composés pour moitié de subventions publiques.
Par conséquent, la Région Nouvelle Aquitaine, le département des Charentes et la ville d’Angoulême octroient à une société privée un budget conséquent provenant des deniers publics, autrement dit les impôts.
La Chambre régionale des comptes, en 2021, a dénoncé la gestion calamiteuse, et opaque, de ce festival de BD.
Le ministère de la Culture pourrait parfaitement intervenir pour rappeler les collectivités territoriales à leurs obligations de protection de l’enfance.
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Connu / https://twitter.com/MelakaBD/status/1493179215507775488
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Mélaka@MelakaBD
Voici la version 2022 de la BD de vulgarisation du programme "l'avenir en commun" faites par Reno, Olivier Tonneau et moi-même. Faites tourner ! #laec #UnionPopulaire #Melenchon2022 #Presidentielle2022 #gauche #LFI
12:04 PM · 14 févr. 2022·Twitter Web App651 Retweets51 Tweets cités1 050 J'aime
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en pdf : http://melaka.free.fr/JLM2017/LAECBD2022.pdf
ou façon "livre" en https://cloud.fiat-tux.fr/s/laec2022
Connu / wegreen.fr/ ... pedagogiques-accidents-majeurs ... / centrale du Bugey
MNCP @Federation_MNCP · 12h
| DECRYPTAGE | Super BD 4 pages pour comprendre comment la réforme du gouvernement détruit l'assurance chômage ! - Travail réalisé au Théâtre de l'Union occupé à Limoges
Applaudissements
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BD: le prix Tournesol de l’écologie politique pour "L’eau vive" chez Futuropolis - Charente Libre.fr
Le prix Tournesol a été remis ce samedi matin dans le local d'EELV à Angoulême. Le conseiller régional écolo Nicolas Thierry présidait le jury.
Photo CL
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Par charentelibre.fr, publié le 30 janvier 2021 à 12h05.
Les Fauves de la bande dessinée remis hier au théâtre d’Angoulême ne sont pas les seules distinctions du week-end. En marge du festival officiel, le 25e Prix Tournesol qui récompense une BD pour ses valeurs d’écologie politique a été remis ce samedi matin à 11h, dans le local d’Europe écologie les verts d’Angoulême (EELV). Le parti avait créé ce prix en 1997.
Les lauréats sont Alain Bujak (scénario) et Damien Roudeau (dessin) pour L’eau vive (Futuropolis). L’album raconte un grand combat écologique gagné en France il y a 30 ans dans la vallée de la Haute Loire, qui opposait des citoyens aux grands lobbies et à la puissance politique et publique pour préserver le site naturel de Serre de la Fare.
Huit albums étaient finalistes du prix. Le jury était composé de la maire de Poitiers Léonore Moncond’huy (absente ce samedi matin), du conseiller régional EELV Nicolas Thierry, des auteurs de BD Tom Tirabosco et Jean-Luc Loyer, de la journaliste de Sud Ouest Hélène Rietsch et de la responsable de l’association angoumoisine Cyclofficine, Marion Courjaud.
"Ça me fait plaisir pour tous ceux qui se sont battus contre le barrage", a réagi Alain Bujak, joint par téléphone. Le scénariste et photographe a rencontré les protagonistes de ce combat écologique et a réalisé un vrai travail documentaire.
Bande Dessinée Environnement Social Actualité
Par un miracle de la pensée moderne, le nucléaire, jadis ennemi numéro un des combats écologistes, a changé de statut. Vantant avec ferveur son côté vert et bas-carbone, la filière doit malgré tout faire avec un point noir de taille : l’insolvable question des déchets dangereux qu’elle produit en masse.
A Bure, dans la Meuse, un projet au long cours d’enfouissement ne cesse d’alimenter les débats. Depuis des années, et malgré des moyens colossaux (tant politiques qu’économiques, policiers ou de communication) déployés par l’industrie, la résistance au projet tient bon, s’organise, tente de maintenir en vie l’une des plus anciennes luttes environnementales de notre pays.
Une BD raconte aujourd’hui les coulisses de ce bras-de-fer inégal. Thomas Rozec interroge Cécile Guillard, Gaspard d’Allens et Pierre Bonneau, auteur·ice·s de la bande dessinée « Cent Mille Ans » (La Revue Dessinée / Seuil).
CRÉDITS
Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Cet épisode a été produit en décembre 2020. Réalisation : Geoffrey Puig. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.
Connu / https://twitter.com/LaRevueDessinee/status/1339497651595862017
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La Revue Dessinée @LaRevueDessinee
« Cent mille ans » c'est notre dernier livre d'enquête qui déterre le projet titanesque d'enfouissement des déchets nucléaires à #Bure. Microphone de studio
Les trois auteur·ice·s sont au micro de @thomrozec pour vous dévoiler les dessous de ce bras-de-fer inégal.
10:08 AM · 17 déc. 2020·- 12 Retweets 1 Tweet cité 18 J'aime
Greenpeace Poitiers @86Greenpeace · 5 min
En réponse à @LaRevueDessinee et @thomrozec
intéressant car met en avant la #SobriétéÉnergétique à cause des délais trop longs -> FAUSSE solution de l'#ÉnergieNucléaire pour faire face à l'#UrgenceClimatique++
(dommage / la pub au début du reportage :-(
#Bure #Cigeo #SociétéMilitaire #Écologie #ChangementClimatique #Climat
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Ndlr : intéressant car met en avant la sobriété à cause des délais, donc fausse solution de l'énergie nucléaire pour faire face à l'urgence climatique ++
(dommage qu'il y a de la pub au début et à la fin du reportage :-(
Connue / https://twitter.com/86Greenpeace/status/1352061658638786562
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Greenpeace Poitiers @86Greenpeace · 7 min
Inès Léraud a enquêté et coréalisé une #BD #BandeDessinée pour nous aider à sortir du déni des #AlguesVertes dûes à 1 #AgricultureIntensive+#AgroAlimentaire
Symbole de la #LibertéDinformation à défendre à tout prix en signant
@ileraud #Déni @Bastamag
Citer le Tweet Daniel Ibanez @ContactIbanez · 18 janv. Soutien à @ileraud et @Bastamag Le communiqué de presse
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