Le rapport des 16-25 ans au travail est commenté partout. Présentée comme plus fainéante que la génération
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Connu / TG le 30/04/25 à 21:04
L’U.E. et la question migratoire : l’ascension politique des extrêmes droites - Gauche Écosocialiste
Photo Sandor Csudai
Europe extrême droite - 18 mars 2024
À moins de 4 mois d’un scrutin pour renouveler le Parlement européen, les extrêmes droites abordent l’élection en position de force : elles gouvernent déjà dans 6 pays de l’Union – seules ou en coalition – et les sondages les annoncent comme première ou deuxième force dans 9 autres1. Au cœur de leurs discours, et par-delà des divergences entre les diverses formations, l’idéologie anti-immigration les rassemble.
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Derrière les droits des travailleurs exilés, c’est la question des travailleurs sur le territoire national qui est posée. Derrière la question de la surveillance des frontières, c’est la question des libertés fondamentales qui est en jeu. Enfin, derrière la question des droits individuels des étrangers, c’est de la défense de l’État de droit et des contre-pouvoirs de la société civile qu’il s’agit.
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une approche alternative, armée des sciences sociales et basée sur le commun intérêt des populations à renforcer les droits de chacun pour renforcer les droits de toutes et tous reste à construire, et à infuser dans la société. Une approche qui ne saurait être réduite à son pendant moral : il devra s’agir de rendre sensible comment les politiques anti-immigration empêchent de changer matériellement la vie de tout un chacun.
Et de donner force à cette assertion : non, les extrêmes droites ne sont jamais du côté de celles et ceux qui travaillent.
Camille Boulègue
1 https://www.lesechos.fr/monde/europe/a-six-mois-des-europeennes-lue-face-a-une-poussee-de-lextreme-droite-2031138
2 https://european-union.europa.eu/principles-countries-history/principles-and-values/aims-and-values_fr
3 https://missingmigrants.iom.int/fr
4 Chronologie tirée de À qui profite l’exil, T. Tervonen, J. Pourquié, La Revue dessinée, Delcourt, 2023
5 https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX%3A42000A0922%2801%29&qid=1710153426538
6 Chiffres tirés de À qui profite l’exil, T. Tervonen, J. Pourquié, La Revue dessinée, Delcourt, 2023
Les Jardins ouvriers des Vertus à Aubervilliers font face aux aménagements liés aux JO2024 et à la pression foncière. Quand les tractopelles du Grand Paris menacent, la résistance
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Quand les tractopelles du Grand Paris menacent, la résistance s'organise, les expérimentations citoyennes fleurissent. Films impressionniste et politique, La terre des Vertus conte les défis et les espérances de ce jardin-monde.
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Le 4 juin prochain sort sur les écrans le nouveau documentaire de Vincent Lapize, La terre des Vertus. Un film profondément politique et universel, qui narre la lutte d'un collectif contre les grands projets urbains. Entretien. Dans le cadre des aménagements urbains liés aux JO 2024
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Face à la violence des tractopelles, les jardinièr.e.s en lutte inventent un laboratoire du commun, un havre de pensée, un territoire libéré́. Entre conte impressionniste et récit de lutte, La terre des Vertus pose un regard sur ce jardin-monde qui s'épanouit au cœur de la vie urbaine.
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Connu / TG le 28/04/25 à 19:52
Ndlr : avec le volant à joindre ACT
Clés : solidarité , racisme , extrême droite
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il ne suffit pas d’activer le clivage de classe pour que le clivage racial perde, automatiquement, de sa vigueur. Dit autrement : désigner des ennemis de classe (riches, patrons, gouvernants, etc.) peut avoir une vertu stratégique en soi, mais n’empêchera pas nécessairement la constitution, en parallèle, de boucs émissaires racialisés (immigrés, musulmans, minorités, etc.). L’hostilité n’est pas un jeu à somme nulle, et les rapports de pouvoir ne fonctionnent pas comme des vases communicants. Parce qu’ils ont chacun leur part d’autonomie, il apparaît crucial de lutter contre le racisme de front, et non simplement en espérant que (faire) regarder ailleurs suffira.
Le travail comme dignité sociale
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les électeurs du RN ne s’éloignent pas de la gauche uniquement dans leur rapport à l’immigration et aux minorités ethno-raciales. Y compris sur des enjeux plus spécifiquement relatifs aux rapports entre classes sociales, cet électorat présente beaucoup d’attitudes qu’on pourrait qualifier de « workfaristes ». Le terme de workfare, venu des États-Unis, mais qui a essaimé depuis, permet de qualifier la « nouvelle norme de la mise au travail » qui « oblige les allocataires de l’aide sociale à travailler pour percevoir leur allocation » (Simonet, 2020 ; voir aussi Barbier, 2008). Désignant un ensemble de réformes du système d’assistance [6], la notion renvoie plus largement à une rhétorique et à une pensée « habituellement associées au répertoire libéral de protection sociale, qui dénoncent les effets désincitatifs des prestations sociales » (Palier, 2008), accompagnant le tournant rigoriste dans le contrôle des chômeurs et des pauvres (Vivès et al, 2023 ; Duvoux, 2012).
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sentiment que les chômeurs « trouveraient plus facilement du travail s’ils le voulaient vraiment » (Ifop, 2023) et que ceux « n’étant pas dans une recherche active d’emploi devraient perdre leur indemnité » (Haute, Le Lann, Touzet, 2024). Au sein de cet électorat se côtoient ainsi des demandes de politiques sociales et de redistribution (taxation des plus riches par exemple) et des positionnements plutôt « de droite » lorsqu’il s’agit de se prononcer sur le contrôle des prestations sociales, sur la liberté patronale de licencier ou sur l’hostilité aux syndicats (Le Lann, 2024). Là encore, la conscience d’antagonismes vis-à-vis du « haut » de l’espace social n’empêche aucunement l’entretien d’hostilités ou de mises à distance vis-à-vis du « bas » – ce que le sociologue Olivier Schwartz (2009) a justement qualifié de « conscience sociale triangulaire ».
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revers d’une forte valorisation du travail, qui devient d’autant plus vive lorsque les emplois stables se font de plus en plus rares. Le sentiment que l’économie est en déclin et qu’il « n’y en aura pas pour tout le monde » se superpose à des univers symboliques où, comme l’a analysé Benoît Coquard, se répète que celui « qui ne travaille pas ne vaut rien » (Coquard, 2019, p. 66). La mise à distance des « chômeurs » et des « assistés » permet de se placer soi-même du côté, digne socialement, des travailleurs.
Dans certaines parties de l’électorat lepéniste, la question fiscale est aussi particulièrement saillante (Marchand-Lagier, 2017), structurée par la conviction de faire partie des groupes à qui l’on « prend beaucoup » et qui n’ont en retour « droit à rien », quand d’autres reçoivent des aides « sans rien faire ». L’impôt est ainsi perçu comme une aumône (Palheta, 2024, p. 100) faite à des personnes qui ne la méritent pas. Selon les segments électoraux concernés, le chômage peut donc susciter tantôt de la peur (la crainte sourde de se retrouver soi-même sans emploi), tantôt de la colère (vis-à-vis des « profiteurs » du système de redistribution étatique) – et, dans les deux cas, de la défiance vis-à-vis des groupes jugés insuffisamment « productifs » (Feher, 2024) [7].
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concurrences entre les groupes sociaux (notamment populaires) et contribué au développement d’attitudes workfare en leur sein.
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« Workfare chauvinism » : le mérite et l’héritage
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C’est lorsque la critique de l’« assistanat » se racialise qu’elle se politise de la façon la plus intense, augmentant sa propension à se traduire en vote pour l’extrême droite. Cette racialisation de l’assistanat constitue un ressort crucial du vote RN.
Des faits à défaire
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les recherches sur cet électorat montrent aussi que des demandes de redistribution persistent en son sein, s’accompagnant d’un « attachement à l’État » (Spire, 2018) et tout particulièrement aux services publics.
Il n’en reste pas moins que les tendances esquissées ici doivent être regardées en face. La centralité du racisme dans la fabrique des préférences électorales pour l’extrême droite est régulièrement euphémisée, on le sait, dans l’espace public, intellectuel et politique. Mais sa reconnaissance ne doit pas non plus faire oublier qu’y compris sur le versant des rapports de classe, les électeurs du RN sont loin de partager des visions du monde qui les porteraient naturellement vers la gauche.
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analyser avec réalisme une situation politique ne signifie en rien qu’il faille s’y résoudre
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Le racisme et la critique de l’assistanat sont des phénomènes diffus et présents dans toute la société, non réductibles aux seuls électorats de l’extrême droite. La gauche a donc un intérêt plus large – et vital politiquement – à défaire ces visions du monde et les sociodicées qui leur sont rattachées [11].
Dossier(s) :
Ce que l’extrême droite fait au monde
Quels sont les métiers verts ? ©Getty - Malte Mueller
Le sommet CHANGE NOW consacré aux solutions pour la planète ouvre ce matin et Raphaël nous parle des métiers de la transition écologique.
Ils représentent 1 offre d’emploi sur 5 aujourd’hui et leur nombre va considérablement augmenter : la transition écologique devrait créer plus de 300 000 emplois d’ici 2030 et plus de 800 000 d’ici 2050.
Métier "vert" ou "verdissant" ?
On peut classer ces métiers en deux catégories :
- Les métiers dits « verts », qui consistent à travailler directement pour la protection de l’environnement,
- Les métiers dits « verdissants » : Ils existent depuis longtemps, mais évoluent pour prendre en compte les enjeux écologiques
Des parcours inspirants
Il y en a dans tous les métiers comme celui de cuisinier avec l'exemple du Chef Olivier CHAPUT :
Sa vocation lui est venue très jeune et quand on lui demandait à 5 ans ce qu’il voulait faire plus tard, il répondait déjà : « Faire à manger » !
C’est donc en toute logique qu’il créé en 2011 l’association « Les enfants cuisinent » qui réunit aujourd’hui une centaine de chefs et de pâtissiers :
Ils interviennent dans toute la France pour sensibiliser les enfants à une alimentation saine et durable, leur expliquent le savoir-faire des producteurs, la richesse des produits de saison, et leur apprennent des recettes « anti-gaspi ».
On pourrait aussi prendre exemple sur Ines Leonarduzzi :
Elle commence en 2010 une carrière de consultante en stratégie numérique auprès de grands groupes, mais prend rapidement conscience de sa « face cachée » et de son empreinte environnementale...
Elle décide alors de créer l’ONG « Digital for the Planet » et parcourt aujourd’hui le monde pour sensibiliser sur un numérique durable, compatible avec la transition écologique.
Un dernier exemple dans le domaine de la finance avec Lucie Pinson qui a reçu il y a 5 ans le prix Goldman, l’équivalent du prix Nobel de l’environnement :
C’est à la fin de ses études en Afrique du Sud qu’elle découvre les conséquences écologiques et sociales désastreuses de l’exploitation du charbon, et elle décide de s’attaquer au sujet sous l’angle de la finance, qu’elle considère comme « l’angle mort de la lutte contre le réchauffement climatique ».
Elle créé alors l’ONG « Reclaim Finance », qui agit sur l’ensemble des acteurs financiers - fonds privés, banques centrales, agences de notations - pour les convaincre de ne plus accompagner les projets liés au charbon et autres énergies fossiles ;
Finance, Numérique, Alimentation… les exemples sont nombreux : l’écologie n’est pas une discipline à part entière, mais une démarche qui concerne tous les métiers.
À écouter
Le monde du travail face à l'urgence écologique
La Terre au carré
55 min
Le monde du travail face à l'urgence écologique ©Getty - Tom Werner
Où travailler pour contribuer à la transition et avoir un impact sur le climat ? Comment le monde du travail se transforme-t-il au regard des enjeux de transition écologique ?
Dans un monde où 90% de la population tire ses revenus de l’activité de travail (agricole, industriel, de services), engager la réflexion sur une transformation écologique du travail et des emplois soulève des enjeux fondamentaux.
De plus en plus d’étudiant.e.s expriment le souhait de travailler dans un secteur ou une entreprise en accord avec la transition.
Transformer la conviction en engagement
Face à l'ère de la transition écologique et face à l'urgence environnementale, de plus en plus de personnes, étudiants, jeunes diplômés, personnes actives ou en recherche d'emploi cherchent à transformer leur conviction en engagement professionnel. Cette question est au cœur des bouleversements menés pour répondre aux enjeux de demain, pour pouvoir anticiper l'évolution des métiers bas carbone. Pour être écolo, faut-il forcément changer de boulot ? Comment préparer une transition juste sans le faire aux dépens de personnes travaillant dans les secteurs les plus polluants ? Et comment s'orienter ou se reconvertir et quels sont les domaines à privilégier et ceux qui vont décroître ?
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Bonne ambiance, respect, épanouissement : les jeunes redéfinissent le monde du travail
L’emploi, moteur de la transition écologique pour les jeunes ?
Pour Marine Le Lan, membre du collectif Pour un réveil écologique, il y a dans cette nouvelle génération d’étudiants, des gens plus concernés par les problèmes écologiques que d’autres : « Nous avons mené un sondage avec le collectif Harris Interactive. L'idée, c'était d'interroger 2000 jeunes de 18 à 30 ans, de toute catégorie socioprofessionnelle confondues. Un chiffre qui nous a beaucoup alertés, c'est que 70 % des jeunes sont prêts à renoncer à un emploi qui ne prendrait pas en compte ces enjeux de transition écologique. Il y a un réel intérêt de la part des jeunes sur ces questions-là. Un autre élément que nous avons remarqué, c’est que lors des forums d’école ces derniers mois, beaucoup d’étudiants sont intervenus pour dénoncer la présence de certaines entreprises qui menaient des actions climaticides, comme certains grands groupes pétroliers. Les jeunes sont donc de plus en plus mobilisés. »
Un intérêt chez les jeunes pour les emplois verts ?
Liza Baghioni est sociologue et anthropologue du travail au CEREQ, pour elle, il y a deux approches au niveau de la demande des jeunes autour des emplois verts : « Il y a ceux qui visent à protéger l'environnement avec des métiers comme gardes forestiers, agents de déchetterie, agents de la police des eaux, et qui représentent 0,5 % de l'emploi total en 2018. Et une autre approche qui va comptabiliser les métiers dits verdissants qui intègrent des nouveaux blocs de compétences liées aux enjeux environnementaux. Il est à 14 % de l'emploi total en 2018. Ce sont des volumes assez faibles, et qui évoluent peu rapidement ces dernières années. »
À écouter
Laurent Berger (CFDT) : "La question demain est de travailler tous et dans de meilleurs conditions"
L'invité de 8h20 : le grand entretien
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500 0000 emplois en plus liés à la transition énergétique
Selon certaines prospectives, il pourrait y avoir jusqu’à 500 000 emplois liés à la transition énergétique en 2050 si la France applique sa stratégie bas carbone. Pour Antoine Durand, responsable Transition écologique et emplois au Réseau Action Climat : « Dans le scénario le plus favorable qui est présenté aujourd'hui par la stratégie nationale bas carbone, nous sommes dans une fourchette entre 200 000 et 500 000 emplois en 2050. »
Un boom des métiers autour des énergies renouvelables ?
Pour Antoine Durand, on constate qu’il y a une forte augmentation des emplois dans le domaine des énergies renouvelables : « Si on regarde les derniers chiffres, par exemple pour la filière photovoltaïque, la croissance est tout à fait nette. Si on prend le scénario négaWatt associé au développement des énergies renouvelables, on a 130 000 emplois qui pourraient être attendus en France d'ici 2030. Quand on discute avec les professionnels du secteur, ils nous disent qu’ils ont besoin de recruter des techniciens en maintenance notamment. Donc oui, l'offre d'emploi existe. »
Pour en savoir plus, écoutez l'émission...
Avec :
- Liza Baghioni Sociologue et anthropologue du travail au CEREQ - Département Travail Emploi et Professionnalisation (DTEP) du Céreq. Elle a co-publié en 2022 « La transition écologique au travail : emploi et formation face au défi environnemental », Céreq BREF, n°423.
- Antoine Durand Responsable Transition écologique et emplois - Réseau Action Climat.
- Marine Le Lan membre du collectif Pour un réveil écologique, elle a participé à la création du guide pour « l’emploi de demain ».
À écouter
Les salariés s’engagent de plus en plus dans la transition écologique de leur entreprise
Histoires économiques
2 min
Chroniques
- Les tracteurs des agriculteurs sur l'A4 au niveau de Jossigny, à l'est de Paris, ce lundi.
- Que sont les accords de libre-échange au cœur de la crise agricole ?
- La mobilisation des agriculteurs continue partout en Europe, et au cœur de la crise, il y a les accords de libre-échange négociés par l’Union européenne. De quoi s’agit-il exactement et pourquoi posent-ils problème ?
La lutte enchantée 29 janv. 2024 • 5 min
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Le Bureau
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Mail : irts@irts-pc.eu
Éditeur du site : emandarine Poitiers
Hébergeur OVH
Ndlr : pour en savoir plus voir notamment le Livret D’ACCUEIL 2024 - 2025 à
https://tools.immae.eu/Shaarli/mediationpourtous?NKpCxQ
Note
Le sommet de l’IA qui se réunit à Paris met en évidence la rapidité de l’adoption des outils d’intelligence artificielle et notamment de l’IA générative. Plutôt que de céder à un alarmisme spéculatif, ce rapport examine des usages positifs de l’IA générative dans le monde du travail pour lutter contre l’exclusion, favoriser les parcours, faciliter les transitions et enrichir le contenu du travail.
Par Marie Degrand-Guillaud, directrice Générale de Nickel et Administratrice de l’ADIE
Publié le 3 février 2025
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2.4 Placer l’IA Gen au cœur du dialogue social
Recommandation #5
IA Gen et dialogue social
Des travaux récents de l’OCDE ont montré que le déploiement de l’IA est d’autant plus
profitable aux organisations et aux actifs qu’il passe par le dialogue social et le dialogue
professionnel32. Ces médiations permettent en effet de mieux identifier les difficultés et de
les surmonter.
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Article mis en ligne le 3 janvier 2025
Connu / https://diaspora-fr.org/posts/10735526
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Marie-Claude Saliceti - il y a environ 4 heures
Atelier d’Écologie Sociale et Communalisme
Il faut « sortir » du capitalisme mais je ne vous dirais pas comment
https://mcinformactions.net/il-faut-sortir-du-capitalisme-mais-je-ne-vous-dirais-pas-comment
#capitalisme #extremedroite #travail #servicespublics #guerres
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Durée 28:33 - 2 pairs - Publié Il y a 3 semaines • 59 vues - 3+ - 3 Commentaires
Un jour travaillé non rémunéré pour financer la sécurité sociale ? C’est l’idée qu’ont eu les sénateurs dans la nuit de mercredi à jeudi dernier. Dans le budget 2025 de la sécu, les sénateurs de droite ont instauré une “contribution de solidarité”, destinée à financer les dépenses croissantes liées aux personnes âgées dépendantes. C’est 7 heures supplémentaires de travail dans l’année, non rémunérées. Les entreprises verseront 2,5 milliards d’euros à la branche autonomie. Le gouvernement était défavorable à l’amendement, mais considère que « la question du temps de travail doit être posée », raconte Public Sénat. La gauche dénonce un scandale après le refus de leurs amendements pour augmenter les impôts des plus riches. À l’extrême droite, Marine Le Pen réoriente sur les étrangers.
Une mesure qui ne résorbera rien du tout, analyse Thomas Porcher, si ce n’est ajouter une pierre à l’édifice du dégoût de la politique pour les français. L’économiste dénonce la politique de l’offre d’Emmanuel Macron qui a conduit au déficit, et qui veut combler le trou dans la caisse “en tapant toujours sur les mêmes, les français de classes moyennes et pauvres qui en plus sont ceux qui paient le plus d’impôts en proportion”, décrivent Lisa Lap et Thomas Porcher. “L’effort” est très inégal, rappellent-ils.
“Aujourd’hui l’on devrait travailler moins par personnes avec plus de personnes en poste, et dans de meilleurs conditions” explique l’économiste.
Le fameux socle commun, censé rassembler des macronistes contre la loi immigration, à Bruno Retailleau, n’est plus si commun que ça. Un nouveau sujet divise les libéraux. Les impôts. Alors que Michel Barnier porte un budget avec un peu d’effort fiscal pour les grosses fortunes et grandes entreprises, les rangs macronistes font de la résistance. Les impôts, c’est leur ligne rouge. Surtout que le Premier Ministre veut revenir revenir sur une partie des exonérations de charges, œuvre de Macron, qui permettrait à l’État de récupérer 4 milliards d’euros. “Attention à l’impôt de trop ! Les entreprises ne doivent pas être la variable d’ajustement” prévient Antoine Armand, Ministre de l’Economie et des Finances. Le bras de fer est entamé.
“Le ras le bol fiscal est une expression creuse, qui ne veut rien dire” affirme Thomas Porcher. L’économiste explique que les grandes fortunes n’aiment pas la France et son modèle social. Il rappelle, avec Lisa Lap, que la France n’est pas championne des impôts, mais des cotisations, qui font la redistribution et réduisent les inégalités. La France est également championne du nombre de millionnaires… jugée comme un paradis fiscal pour bon nombre d’économistes. Thomas Porcher dénonce la mauvaise orientation des débats sur ce sujet depuis des années.
Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c’est l’Instant Porcher !
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Publié originellement 25/11/2024
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu Langue Français Étiquettes
Publié Il y a 2 jours • 49 vues - 7+
C’est un échange-type que l’on entend souvent, très souvent, en début de semaine. Question : “comment ça va ?” Réponse : “comme un lundi”. Comme un lundi, ça veut dire, bon pas trop. Comme un jour où l’on repart pour une semaine de travail.
Ah le travail. La musique populaire est remplie d’airs sur le travail. “Le travail, c’est la santé”, oui “mais rien faire c’est la conserver”, selon Henri Salvador. Au “je ne veux pas travailler” de Guillaume Appolinaire, mis en chanson par Pink Martini, répond le “Faut que je travaille” de Princess Erika. Pas plus convaincu que ça.
“Vous ne détestez pas le lundi, vous détestez la domination au travail” : c’est le titre du dernier essai de Nicolas Framont, sociologue, rédacteur en chef de Frustration Magazine et auteur de “Parasites”, édité, comme ce dernier ouvrages, par Les liens qui libèrent. Pourquoi le mal-être au travail s’amplifie-t-il ? Jusqu’où le gouvernement et le patronat iront-ils pour décourager les arrêts maladie, les ruptures conventionnelles et les démissions, qui symbolisent une sorte de défiance vis-à-vis du salariat, très perceptible chez les plus jeunes. La valeur travail est-elle vraiment ancrée au sein des classes populaires ? Et le “droit à la paresse” n’est-il pas une revendication de bobos déconnectés ? Entretien avec Théophile Kouamouo.
Visibilité Publique
Publié originellement 26/10/2024 - Catégorie Actualité & Politique
Licence Inconnu - Langue Français
Étiquettes Durée 30min 40sec - 1 Comment
*Tr.: ... souffrance au travail ... typologie du chef ... chef bureaucratique ... obéir ... chef tyranique ... la droite est anti-humaniste ... valeur travail, terme bourgeois ...
Connu / https://framapiaf.org/@frenchhope@mastouille.fr/113298526271869144
"
4 j Laurent Espitallier @frenchhope@mastouille.fr
#philippe_gattet #management #productivité #philippegattet #entreprise #réunionite #bureaucratie #travail #administratif
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Ndlr : va du côté de la performance, pas de la robustesse, quoi que...
1,22 M d’abonnés - 3k+ - 55 848 vues - 375 commentaires #MeToo #Entretien #BernardFriot #Capitalisme
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Et si une vision anticapitaliste du monde était en réalité en train de gagner les esprits sans que l’on ne s’en rende compte ? Cette théorie est celle du dernier livre de l’économiste et sociologue Bernard Friot co écrit avec le philosophe Bernard Vasseur. Ils partent de ce constat : les initiatives remettant en cause le capitalisme fleurissent dans notre pays, et cela laisse présager selon eux une remise en cause totale de ce système, sans que cela ne passe nécessairement par les institutions. À leurs yeux, le début de cette ère post capitaliste se constate dans toutes les explorations d’expériences d’entreprises et d’organisations horizontales ; dans l’exigence grandissante d’un vrai respect de la diversité du vivant ou l’invention en cours d’une agriculture alternative à un agro-business dévastateur et sans paysans. Cela passe par les ZAD et les Soulèvements de la terre, par l’expérimentation de nouvelles manières de lutter, par l’impulsion donnée à une réflexion sur ce que pourrait être une propriété des terres qui ne soit plus une domination des espaces et une exclusion des personnes ; ça passe aussi la détermination à conquérir l’égalité des territoires, tout comme le mouvement #MeToo avec son affirmation ferme d’une égalité hommes femmes, enfin, ce sont aussi les mobilisations contre toutes les résurgences du colonialisme qui les amènent à cette vision du monde. Au vu de la situation politique actuelle, cette analyse n’est pas la plus consensuelle, mais elle a le mérite d’apporter une forme d’espoir à celles et ceux qui pensent que nous sommes condamnés à se faire broyer par un système capitaliste prédateur, une politique de l’intolérance et de la violence sociale. Avec ce livre, les auteurs recensent tout un pan des résistances qui existent bel et bien. À chacun, à la fin du livre, ou de cet entretien, d’imaginer l’avenir qui lui semble le plus probable. Salomé Saqué reçoit Bernard Friot sur le plateau de Blast.
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Tr.: ... "On désignera comme inversion capitaliste de la production cette tripe instrumentalisation : des travailleurs niés à la fois comme décideurs et comme acteurs concret du travail, des produits du travail niés dans leur finalité de réponse à un besoin social, et du travail lui-même nié comme action collective de métabolisme avec la nature.
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le communisme ... le capitalisme, une classe sociale a le monopole du travail ... la fierté de décider du travail ... Conditions :
- ne plus dépendre de l'acte de travail pour avoir des ressources
- être libéré de la fatalité de la dette
... S'appuyer sur les déjà là, la sécurité sociale du soin, on n'a pas besoin de prêteurs ... de 47 à 67, une institution qui a force de loi est gérée par les intéressés eux-mêmes. C'est ce qu'on appelle le dépérissement de l'état, élément décisif du communisme. Nicolas Da Silva dans "La bataille de la Sécu - Une histoire du système de santé, a montré que l'adversaire de l'auto-organisation des travailleurs, c'est l'état ... base du communisme ... 2ème déjà là, le statut de la fonction publique ... le néolibéralisme, contre révolution du travail ... la réponse de la gauche n'est pas à la hauteur car elle n'assume pas ces conflits ... un fonctionnaire, c'est sa personne qui est payée, il perçoit un "traitement" et non pas un salaire, car la qualification est personnelle, c'est pour ça qu'il est payé jusqu'à sa mort. La pension de retraite est la poursuite de son dernier salaire. Ça leur permet de refuser des directives qui ne sont pas au service du bien commun. Il faut actualiser ces déjà-là. Conditions nécessaires mais pas suffisantes. Utiliser le statut pour occuper les lieux fermés et les faire fonctionner contre l'état. C'est tout de suite qu'il faut construire le communisme ... on s'oppose à la fermeture d'une école ... Les SCOP subissent une fureur capitaliste ... une loi pour des conquis ... 1336 SCOP-TI etc ... le système éducatif doit être dirigé sur l'apprentissage de la décision ...
"La lutte pour l'égalité est le feu qui anime la lutte contre la domination bourgeoise ... la mobilisation féministe a brisé des tabous et commence à faire chanceler la domination machiste. C'est sans doute le front de la lutte des classes qui a engrangé le plus de victoires au cour des cinquante dernières années."
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adhésion à l'inégalité des personnes pour créer la survaleur. Diviser pour s'opposer à la conquête de droits ... voyons les déjà-là. idem / racisme ...ex sionisme ... culture coloniale ... Daniel Veron dans un ouvrage très important "Le travail migrant, l'autre délocalisation" ... plaide pour l'intersectionnalité ... enrichir la citoyenneté ... libres et égaux en droit ... le travail a été sorti de la citoyenneté ... est citoyen celui qui est sur le territoire, la sortir de la nationalité ... 3 droits à 18 ans : - droit à la qualification (cf réseau salariat) - droit de propriété (de l'outil) d'usage et patrimoniale ... - droit de création monétaire et des implantations d'entreprises sur le territoire ... un modèle de société ... avoir un point de vue contradictoire, revenir à des textes anciens ... Marx analyse les contradictions du capitalisme ... le taux de chômage des jeunes n'est pas de 25%, mais de 10% ?? ... bossons pour nos conviction, notre déontologie ... que ça devienne la norme ... les partis politiques occupés par l'électoralisme ... ssa ... subventionner les investissement, libérer de l'endettement ... les conventionnés ... 80 milliards ... Barnier à la manoeuvre, marionette, l'abstention est un acte politique, déplacer le conflit sur le travail ... il faut aussi des victoires électorales pour que ça soit durable ... un marché suffisant ... les partis utiles à l'échelle macro-sociale ... ex. les artistes auteurs
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"Le communisme désigne d'abord une poursuite de l'histoire des sociétés humaines dans la visée d'une société sans classes. Il appelle à prolonger la construction d'une authentique émancipation de l'espèce humaine loin de la guerre ou de la folle concurrence de chacun contre tous par l'invention de rapports sociaux inédits fondés sur une mise en commun de réalités essentielles à la vie de chacun et au développement de tous."
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Marx "Critique du programme de Gotha" et Engels se battent contre cette position qui est de d'abord prendre le pouvoir d'état dans le mouvement ouvrier allemand ... du socialisme d'état ... Marx définit le communisme comme le mouvement interne qui fait sortir du capitalisme ... très bien exprimé par Jaurès ... réforme révolutionnaire ... le PCF n'est pas communiste ! ... promouvoir pour généraliser ...
Ndlr : hormis la SSA, il est peu question des "non humains" de communs (qu'en pense BF ?), mais ma conviction est que cela semble compatible et peut-être même cohérent... Aurait-il donc pris le parti de l'anthropocène ainsi ? hYPOTHÈSE que OUI Vérifier
- s'articulerait bien avec https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Q16exQ ! ++
par Pierre-Olivier Monteil Editions Erès, 2023, 416 p., 19,50 €.
Par Christophe Fourel
Pierre-Olivier Monteil n’en est pas à son coup d’essai. Il est déjà l’auteur en 2016 d’un remarqué Ethique et philosophie du management. Mais reconnaissons que cette fois il traite avec beaucoup plus de profondeur son sujet de prédilection. Il s’agit du premier ouvrage d’envergure à traiter du travail, du management et de la démocratie dans un monde dont le commun n’est plus celui de la fabrique d’antan. Car depuis quarante ans, nos sociétés connaissent une crise du travail majeure. Si à l’ouvrier broyé par un travail mécanique et répétitif s’est peu à peu substitué le salarié du tertiaire, les promesses d’épanouissement et d’innovation faites à ce dernier sont devenues « carrément mensongères ». A un premier tryptique « produire-coopérer-innover » qui structure son livre, l’auteur propose un second, « ingratitude-indifférence-insensibilité » qui lui permet de poser son diagnostic. Il condense tous les maux du management à l’ère néolibérale. Pour en sortir, Monteil préconise de substituer au management par les résultats un management centré (enfin) sur le travail et son contenu. Et sa démarche est convaincante.
Se relier à soi, aux autres, et à la nature pour allier espoir actif et lucidité.
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Interrogé sur “comment sauver la planète ? “, la moine vietnamien Thich Nhat Hanh répondit :
“Ce dont nous avons le plus besoin c’est d’écouter en nous les échos de la Terre qui pleure.”
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Jean-Luc Mélenchon s’est exprimé à l’occasion d’une conférence avec Ousmane Sonko, Premier ministre du Sénégal et président du PASTEF, à l’Université Cheikh Anta Diop à Dakar le 16 mai 2024.
Il a tout d’abord salué la solidarité de la jeunesse mondiale avec les Palestiniens de Gaza. Il a remercié le Sénégal pour avoir reconnu l'État de Palestine dès 1989, montrant ainsi son engagement précoce pour cette cause.
Jean-Luc Mélenchon a souligné le rôle essentiel du peuple sénégalais et de Ousmane Sonko, leader du PASTEF, dans la victoire de la révolution citoyenne. Son objectif central est la souveraineté du peuple. Il partage la vision du PASTEF pour une action politique inclusive et auto-organisée.
Il a évoqué le lien historique profond entre l'humanité et l'Afrique, soulignant que comprendre et valoriser ce lien est essentiel pour appréhender l'Histoire. Jean-Luc Mélenchon a également parlé de l'émergence des BRICS+ comme contrepoids aux anciennes puissances mondiales. Il a proposé une collaboration entre le Pastef et La France insoumise pour un forum sur un nouvel altermondialisme. Il a insisté sur la nécessité de libérer le savoir des contraintes financières et impérialistes, affirmant que sans éducation, il n’y a pas de solution à la crise actuelle.
En citant Henri Bergson, il a rappelé que « Le futur n'est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire ». Il a encouragé à vivre cette phrase et à persévérer dans la lutte avec la détermination de Fatou Diome, autrice sénégalaise: “Chaque pas mène vers un résultat escompté ; l’espoir se mesure au degré de combativité ».
Tr.: ... état accepte tous les cultes ... désaccord sur LGBDQI+ ... la question du genre, conditionnalité est inacceptable ... la France interdit la polygamie ... il n'y a jamais eu persécussions contre ces communautés, mais nous le gérons à notre manière ... le monde occidental nous doit respect et tolérance ... le mode de vie ne peut pas être universel ... est optimiste pour l'avenir des relations entre la fr et le sénégal, il faut que des voix comme celle de JLM soient entendues ...
Ndlr : Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité (PASTEF)
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Genre: People & Blogs
Family friendly? Yes
[VIDÉO TÉLÉCHARGÉE]
Le bulletin de salaire, et nos droits, décortiqués pour vous.
Extrait de la Conférence Gesticulée Le Travail :
• Video
Connue / https://mastodon.top/@MadameMollette@piaille.fr/112325792608878748
Date de parution : 07/02/2024 - 224 pages - 15.00 €
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Présentation
Un « nouveau pacte de la vie au travail ». Telle était la promesse, durant le conflit sur les retraites, du président de la République. Un engagement déjà oublié. Pourtant, c’est bien vrai : le travail va mal en France. Il fait mal, mal aux corps, mal aux esprits. Et ce n’est pas qu’un ressenti : c’est pire chez nous qu’ailleurs, que chez nos voisins. Et nullement par hasard : nos élites ont bel et bien noué un « pacte » depuis quarante ans. Mais c’est un pacte contre le travail.
Ce « mal-travail français » a un coût. Sur la santé des salariés, bien sûr. Sur le budget de la Sécu. Sur les entreprises, désorganisées par l’absentéisme, par le turn-over. Sur la société tout entière : ce sont des pans de notre économie, de nos services publics, qui dysfonctionnent, en peine de recrutements, en panne de compétences. Sans compter le coût politique : le ressentiment privé, dans l’entreprise, rejaillit en ressentiment public, dans les urnes.
Il nous faut sortir de ce « mal-travail ». Que, simplement, tous les Français, tous les habitants de ce pays, puissent vivre de leur travail. Bien en vivre. Et bien le vivre. Travailler mieux pour vivre mieux !
Les rapports, j'adore ! Et j'en ai hérité d'un, sur le mal-être au travail, comme rapporteur du budget de la Sécurité sociale...
Découvrez "Que sait-on du travail ?", le dernier livre de Bruno Palier qui vient de sortir aux Presses de Science Po : https://www.pressesdesciencespo.fr
Tr.: ... que changer ? travailler mieux, instaurer de la démocratie dans les entreprises, penser par le bas, dans chaque atelier, chaque bureau, libérer la parole
Ndlr : lien ? ACT
Reprend https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?H1Ub1w
avec
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Julien Delalande, ingénieur, militant pour la redéfinition du travail et de l’emploi, l’invention d’une économie adaptée à la nouvelle ère géologique DÉJÀ ADVENUE – le capitalocène.
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