Samedi 12 juillet 2025 / Le Courrier de l'Ouest
Clés : Accueil Environnement Pesticides
VIDÉO. "Pas de phyto dans mon verre d'eau" : une usine de pesticides bloquée en Anjou
Plusieurs collectifs de défense de l'environnement et des agriculteurs bloquent le site Phyteurop, situé à Montreuil-Bellay, près de Saumur (Maine-et-Loire). Cette usine élabore des produits phytosanitaires.
Courrier de l'Ouest
Yvan GEORGET, Camille RIVIECCIO
Publié le 27/06/2025 à 11h05
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Tôt ce vendredi 27 juin, une centaine de personnes ont mis en place un blocus de l'entreprise Phyteurop. L'usine située à Montreuil-Bellay est spécialisée dans la formulation et le conditionnement de produits agrochimiques.
Contre la loi Duplomb
Cette action vise à protester contre la loi Duplomb qui prévoit notamment la réintroduction d'un néonicotinoïde interdit depuis 2018. Sont présents des victimes et proches de victimes de pesticides, Extinction Rebellion les Soulèvements de la Terre ou encore la Confédération Paysanne.
À LIRE AUSSI : Rejet de la loi Duplomb : « Une vision réactionnaire de l’agriculture » dénonce le sénateur Blanc
En fin de matinée, les autorités tentaient d'évacuer le site mais les militants ont prévu de bloquer le site toute la journée.
Clés : Pesticides Écologie Agriculture Agriculture biologique Saumur Manifestation Industrie Montreuil-Bellay
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Connu / TG le 13/07/25 à 11:34
1 923 signatures
Pétition lancée le 9 novembre 2024
Le problème
NON au site de MÉGA-BATTERIES LITHIUM-ION en Seine-et-Marne !
108 containers de batteries lithium-ion implantés par la société NEOEN sur la commune de Vernou-la-Celle sur-Seine
Un précédent national est en train de s'établir ! Nous sommes tous concernés par le projet d’installation d’un site de stockage d’électricité par méga-batteries au lithium-ion sur la commune de Vernou-la-Celle-sur-Seine (Seine-et-Marne, à 63 km de Paris et à proximité de Fontainebleau). Au-delà de ce dossier local qui suscite une vive opposition des habitants de la commune, venez soutenir à l’échelle nationale une approche réfléchie de notre transition énergétique, qui ne s’assoit pas sur la sécurité des citoyens riverains et qui respecte la voix des territoires !
Envie d'une vidéo plutôt que de lire ? --> Regardez le reportage réalisé par France 3 Ile-de-France le 10/03/2025
[VERSION COURTE ,version longue ci-après]
Risques d’incendies non maîtrisables et de fumées toxiques
...
à Vernou, elles seront implantées à proximité immédiate de deux lignes haute tension de 400 000 et 250 000 volts (poste RTE du Chesnoy qui a d’ailleurs connu un incendie en juin 2023, qui fut difficile à contrôler pour les pompiers et qui a obligé la population à se confiner) !
Impacts environnementaux délétères
...
Un projet soutenu par l’État CONTRE les citoyens :
Le projet a été autorisé par l’État malgré un avis défavorable du conseil municipal et bafoue ou tord la réglementation en vigueur pour faire passer le projet aux forceps : (1) la réglementation environnementale est inadaptée ou abusée ; (2) l’objectif « zéro artificialisation nette » de la loi Climat et résilience est enterré ; (3) le Plan Local d’Urbanisme est modifié de manière injustifiée et abusive. Le projet de Vernou représente donc un précédent dangereux pour de futurs projets similaires en France.
La valeur foncière des terres et des maisons plombée par la proximité d’un site industriel dangereux
...
Pour une transition énergétique réfléchie, respectueuse des citoyens et de l’environnement
...
[VERSION LONGUE]
LES TERMES DU PROBLÈME
La société NEOEN est en train de développer ce qui sera l’un des deux plus gros sites de stockage d’électricité par méga-batteries au lithium-ion de France, installé sur la commune de Vernou-la-Celle-sur-Seine en Seine-et-Marne, à proximité de hameaux résidentiels et d’un centre pour personnes polyhandicapées (Les Amis de Karen). En effet, notre petit village se voit demandé par des géants de l’industrie pour leurs profits, mais au détriment de la sécurité de ses habitants et de la qualité de leur environnement (la raison en est la présence du poste RTE du Chesnoy). La société NEOEN (cotée en bourse et rachetée depuis mars 2025 par la holding canadienne Brookfield) est le second à se présenter au village pour ce projet et le propriétaire du terrain attend sa généreuse indemnisation avec impatience (contrairement aux 2 700 vernoucellois qui rient jaune devant les 37€/an/personne vendus par NEOEN… même si les motifs de la mobilisation ne résident pas là) !
Le projet proposé stockerait 203 MWh d’énergie dans 108 méga-batteries et 54 postes de transformation (à ce jour, mais les chiffres donnés ont été bien fluctuants !) installées sur 5,37 ha durant un bail de 20 ans renouvelable. En théorie, il s'agit d'une solution vertueuse pour contribuer à la fiabilisation du transport d’électricité en Île-de-France dans le contexte d'une demande accrue et du développement des énergies renouvelables dont la production est par nature intermittente. Pourtant, à Vernou, les batteries seront reliées au poste RTE du Chesnoy qui est alimenté quasi-exclusivement par de l‘énergie nucléaire et fonctionne très bien depuis des années...
...
Ndlr : consulter les documents adverses, chercher d'autres infos ACT
Pétition lancée le 30 juin 2025 - 552 signatures
Le problème
Non à l’implantation d’une usine de combustible nucléaire à partir d’uranium et de plutonium dans la vallée de la Seine, entre les villages de Pont-sur-Seine et Marnay-sur-Seine (10400), dans le département de l’Aube, en lisière de la fragile et précieuse zone humide de la Bassée auboise.
NOTRE SANTÉ EST EN JEU !
Refusons la pollution de l’air, de l’eau, des sols, les nuisances sonores et visuelles, les risques d’explosion, la multiplication des transports de matières radioactives, à quelques centaines de mètres des habitations.
Rappelons que selon l’Autorité de Sûreté Nucléaire, « la mise en oeuvre du plutonium, élément très radiotoxique et pouvant présenter des risques de criticité, nécessite des précautions particulières, notamment en termes de radioprotection des travailleurs, dans la fabrication du combustible MOX, son transport et son utilisation en réacteur. »
Sauvegardons la vitalité des sols et la biodiversité pour nos enfants et les générations futures.
Ne laissons pas ceux que nous avons élus nous imposer des projets comportant des risques significatifs pour notre santé et notre environnement, qui transformeront durablement notre cadre de vie sans notre consentement, au mépris des habitants et des principes de la démocratie.
Est-il bien raisonnable de confier la maitrise de l'énergie nucléaire et la manipulation de matières dangereuses à une jeune start-up du secteur privé,ce qui représente d'énormes risques en matière de sûreté et de sécurité ?
Refusons la fuite éperdue en avant vers le tout nucléaire que le gouvernement s’acharne à mettre en place en modifiant les règlementations censées protéger les citoyens pour faciliter l’implantation des installations nucléaires et leur multiplication sur tout le territoire.
10 094 signatures
Destinataire(s) : Préfet du Jura et les conseillers communautaires de Coeur du Jura Arbois-Poligny-Salins
Campagne lancée par Pays de Salins Environnement Association il y a 3 semaines
La société EO2 veut créer une des plus grandes usines à pellets (granulés de bois broyé) de France dans le Jura. Ce grand projet inutile risque de détruire la forêt et de mettre en péril tout un territoire, celui de Salins-les-Bains. Alors que d’autres industries du même type ravagent déjà la forêt, il est temps de dire STOP !
Oui à une gestion raisonnée qui valorise la forêt ;
Non à une méga-usine polluante et prédatrice
...
L’activité repose sur un tissu économique fragile, principalement constitué de petites et moyennes entreprises, du secteur touristique grâce à la Grande Saline classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, ainsi que du thermalisme. L'implantation de cette usine va non seulement déstabiliser ces secteurs mais aussi fragiliser la filière bois locale en mettant en péril les forêts du massif jurassien.
Un impact environnemental certain
Ce projet détruira plusieurs zones humides et impactera durablement la biodiversité à proximité du site. Il prévoit l'artificialisation de 8 hectares de terres agricoles et, de plus, menace une exploitation agricole locale de Comté AOC biologique, une filière emblématique de notre région.
Surtout, ce projet, pour être cohérent et vertueux, devrait s'inscrire dans le tissu local de la filière bois. Or, l’entreprise prévoit de prélever directement du bois dans nos forêts, sur une surface d’exploitation de 65 000 hectares annuels, générant une pression supplémentaire sur des ressources naturelles déjà fragilisées. Ainsi, EO2 ne s’inscrit pas dans un cycle vertueux de l'économie circulaire.
Les services de l’État ont d’ores et déjà alerté sur l’insuffisance de l’approvisionnement en bois ...
Publié le mercredi 1 janvier 2025 (première diffusion le vendredi 11 octobre 2024)
...
Tr.: ... messages d'auditeurs : tiers-lieu l'usine végétale ...
lundi 7 octobre 2024, par Christophe Noisette
3000 personnes ont déambulé dans les rues de Guéret, samedi 5 octobre 2024 pour dire non à l’implantation de l’usine Biosyl. Biosyl est une usine de pellets (granulés bois) qui, selon les associations qui s’opposent à son implantation, risque d’augmenter la déforestation, de détruire de nombreuses petites scieries locales. Le site prévu est riche en biodiversité. Etaient présents des associations environnementalistes (France Nature Environnement, Greenpeace), des syndicats (CGT, Confédération paysanne), des députés (Mathilde Panot et Berenger Cernon - LFI), une euro-députée (Marie Toussaint - Les écologistes), des conseillers régionaux (Jean-Lous Pagès et Amandine Dewaele - Les Ecologistes), des élus locaux dont Marie-Françoise Fournier, la maire de Guéret, etc...
896 k abonnés - 2,2k+ - 196 584 vues - 902 commentaires Lenglet-Co : chronique de François Lenglet sur RTL
L'édito de François Lenglet dans #RTLMatin avec Amandine Bégot et Thomas Sotto
*Connu / https://www.facebook.com/stopmine03 21 septembre à 12:05
/ Jean-Sébastien Thomas - 27 septembre 2024 \ 17h00 - 1 min. de lecture Éco - social Social Papier - Carton
Douze ans après sa création, la start-up drômoise Dracula Technologies, spécialisée dans l’impression de cellules photovoltaïques organiques, change de dimension. L’inauguration le 12 septembre de sa «Green Micro Power Factory», basée à Valence, l’a fait entrer de plein pied dans l’ère industrielle avec une capacité annuelle de production de 150 millions de cm².
Réservé aux abonnés - 1 min. de lecture
...
’impression par jet d’encre de cellules photovoltaïques organiques sur un film en PET de quelques microns d’épaisseur est enfin opérationnelle
...
sous sa marque Layer (acronyme signifiant Light As Your Energetic Response) ... à partir de la lumière ambiante d’intérieur de quelques lux seulement ... Brice Cruchon (PDG) ... 25 brevets ...
Une alternative à la pile
... vise les 40 millions d’euros de chiffre d’affaires à l’horizon 2026 avec un effectif de cent personnes puis, après avoir installé de nouvelles lignes de production, les 130 millions d’euros à l’horizon 2030 avec un effectif de 250 salariés, ce qui lui conférera alors le statut de leader européen sur ce marché ... remplacer durablement chaque année 600 millions de piles, ce qui représente 1740 tonnes de déchets et 300 tonnes de lithium
...
SUR LE MÊME SUJET
- Le CINAM en partenariat avec l’entreprise Dracula Technologies, a reçu le prix coup de cœur du jury du Prix FIEEC-Bpifrance de la Recherche appliquée 2023.
- Dracula Technologies transforme la lumière en énergie
Actu Normandie Seine-Maritime Port-Jérôme-sur-Seine #Ecologie #Environnement
Une usine de bioplastique en projet à Port-Jérôme-sur-Seine : 250 emplois à la clé - Par Eloïse Aubé Publié le 9 Déc 22 à 12:29
Du côté de Port-Jérôme-sur-Seine, à plusieurs kilomètres du Havre, une bioraffinerie pourrait voir le jour. Son intérêt : remplacer les plastiques faits à base de pétrole.
Une bioraffinerie, portée par l'entreprise Futerro, devrait voir le jour sur la zone industrielle de Port-Jérôme-sur-Seine.
Un pas de plus vers l’économie verte en Normandie. Après l’implantation de « la plus grande usine au monde de recyclage de plastique« , c’est au tour de la société Futerro (originaire de Belgique) d’entrer dans la place.
Un projet de bioraffinerie
Elle souhaite édifier une bioraffinerie à Port-Jérôme-sur-Seine, avec une capacité de production annuelle de 75 000 tonnes de PLA [un bio-plastique, NDLR].
Concrètement, si ce projet devait voir le jour, l’usine serait composée d’une unité d’acide lactique transformant des matières premières d’origine agricole, d’une unité de conversion en PLA (production d’acide polylactique) ainsi qu’une unité dédiée à son recyclage moléculaire.
Comprenez que cette entreprise souhaite développer le bioplastique, capable de remplacer les produits faits à base de pétrole.
À la clé ? Potentiellement 250 emplois directs ainsi que 900 emplois dans les secteurs adjacents.
Un plastique « bio-renouvelable »
Pour atteindre des objectifs, Futerro mise sur le PLA, un biopolymère capable de remplacer un grand nombre de plastiques traditionnellement réalisés à partir de pétrole.
Ce que détaille Frédéric Van Gansberghe, CEO de Futerro : Nous décrivons notre polymère comme le premier plastique « bio-renouvelable ». Issu d’un carbone d’origine végétale, il est facilement et écologiquement recyclable et permet d’obtenir un nouveau polymère vierge d’une qualité identique à son premier cycle de vie : c’est une caractéristique unique.
C'est quoi une bioraffinerie ?
Contrairement à une raffinerie "classique" qui fonctionne avec des énergies fossiles, les bioraffineries utilisent des biomasses pour produire de l'énergie verte, des biomatériaux et parfois des produits à destination de l'alimentation humaine ou animale.
"Le concept de bioraffinerie est d’optimiser la valorisation de toutes les composantes des agro-ressources. Il s’agit d’une transformation durable de la biomasse en énergie et une gamme de produits", résume l'Institut méditerranéen de Biodiversité et d'écologie
Aussi, il est possible de générer de l’électricité grâce à la chaleur dégagée par les processus de transformation.
Où l’usine va-t-elle se situer ?
Futerro a mis une option sur un terrain d’environ 26,5 hectares situé sur la commune de Saint- Jean-de-Folleville, dans la zone industrielle de Port-Jérôme. Les analyses écologiques et environnementales des lieux ont démarré.
L’année prochaine, une concertation sera lancée sur ce projet.
Installée jeudi 21 mars 2024, cette micro-turbine doit produire 50 000 kW par an en utilisant le débit de restitution du captage de Ribou, à Cholet (Maine-et-Loire). Une première en France dans une usine d’eau potable, signée par une entreprise vendéenne.
Connu / TG le 30/03/24 à 16:27
Le soissonnais se soulève pour préserver le vivant ! - paru dans lundimatin#411, le 15 janvier 2024
Sur le plateau de Soissons, dans l’Aisne, l’entreprise danoise Rockwell?? souhaite installer une usine de laine de roche. Au programme : 950 tonnes de polluants toxiques et 22 000 tonnes de CO2 à l’année et en bonus, 200 poids lourds en rotation au quotidien. Étonnement, les riverains se mobilisent pour empêcher que ce projet n’aboutisse. Le comité des Soulèvements de la Terre de Laon, nous a transmis un point d’étape quant à cette mobilisation locale. On y apprend notamment que le terrain sur lequel souhaite s’installer le géant danois se nomme : Le bras de fer !
...
Lutter contre Rockwool, c’est aussi être l’eau qui se défend !
...
la Terre qui se défend !
...
préserver le vivant !
...
[1] C’est fou mais sur les cartes le terrain de Rockwool sur le plateau de Courmelles se nomme : Le bras de fer !
[2] A l’heure actuelle, les travaux consistent a installer la base de vie et le cloturage du site.
[3] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/12/10/la-publicite-mensongere-de-rockwool/
[4] https://reporterre.net/Rockwool-Comment-l-Etat-peut-il-soutenir-des-multinationales-financant-Poutine
[5] Les cailloux utilisés c’est du basalte.
[6] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/05/15/synthese-du-projet-rockwool-a-soissons/
[7] https://stoprockwool.wordpress.com/2022/11/10/rockwool-dans-le-top-10-des-industries-francaises-les-plus-polluantes/#comments
[8] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/11/23/dossier-de-presse-de-novembre-2023/
[9] La commune de Courmelles
[10] Le village contre la multinationale, Arnaud Svreck et David Breger, Seuil, novembre 2022.
[11] https://reporterre.net/Les-enquetes-d-utilite-publique-sont-faites-pour-etre-inutiles
[12] Voir dossier de presse, stop rock wool, novembre 2023.
[13] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/08/30/rockwool-et-la-secheresse/
[14] Aisne nouvelle du 11 novembre 2023.
[15] Préservons le vivant, Manifeste d’agriculteurs du Soissonnais, opposés à la construction d’une usine de laine minérale Rockwool sur les hauteurs de Soissons.
Connu / TG le 15/01/24 à 15:17
réalisé par Marianne LERE
Connu par AES
Voir aussi https://vimeo.com/874847619/99a8b67d25
"
Un film de Marianne Lère Laffitte
Produit par Joparige Films et Schuch Productions
Synopsis : Chapelle-Darblay est la dernière et unique usine à fabriquer du papier journal 100% recyclé en France. Fermée depuis septembre 2019 sur décision de son propriétaire finlandais, la papeterie centenaire est désormais menacée de démantèlement. A sa place, un site de production d'hydrogène est prévu. Alors que les 217 salariés, les « pap-chap », ont perdu leur emploi, trois délégués du personnel, deux ouvriers syndiqués et un cadre dans étiquette, toujours présents sur le site, se battent pour sauver la papeterie de la fermeture. Vont-ils réussir à sauver leur usine ?
"
10 abonnés - 9+ - 383 vues - 1 commentaire
L'entreprise CHARIER veut implanter une usine à bitume toxique dans notre commune. Cette vidéo aérienne, enrichie de graphiques, révèle une incompatibilité manifeste entre l'usine et le territoire, avec ses nombreuses habitations proches, ses fermes BIO, ses vignes de COGNAC, les élevages, les 5 zones NATURA 2000, et bien d'autres activités.
Même avec des filtres, cette usine émettra des substances hautement cancérigènes, pour certaines non biodégradables qui s'accumuleront pendant les 30 ans de l'usine (durée estimée).
Or nos villages ont déjà lourdement contribué à l'effort collectif de nuisances subies :
- LGV (train Paris-Bordeaux, une véritable saignée dans nos paysages agricoles et naturelles et, pour certains, dans leurs vies)
- usine à bitume temporaire de 2019 (au même endroit, qui fut extrêmement problématique avec des odeurs insupportables, des maux de tête, des irritations de peau, ... et très polluante).
STOP, c'est trop !
Rejoignez-nous via notre pétition, notre cagnotte en ligne, ou notre facebook. Nos communes se mobilisent : 3 communes ont déjà pris une délibération contre l'usine et préparent des actions.
16 753 signatures
Destinataire(s) : La Première Ministre en charge de la planification écologique, le ministère de la Transition écologique
Campagne lancée par le Dollectif Stop Rockwool
Le projet d’usine de laine de roche de l’entreprise danoise Rockwool à Soissons est une aberration sur le plan de la santé publique, sur le plan climatique et un déni de démocratie : l’usine émettra 950 tonnes de polluants toxiques par an, 22 000 tonnes de CO2 par an, et 200 poids lourds seront en rotation chaque jour..
Refusons la construction de cette usine tant qu’il est encore temps !
...
l'énergie nécessaire à l'extraction, au transport et à la transformation de la roche est 20 fois plus importante que celle qui est nécessaire pour produire un matériau écologique et local comme le lin ou la paille.
...
Mais…
✅ Oui, les matériaux écologiques issus de l'agriculture ou de la sylviculture locales existent, et il est possible de construire sainement et durablement avec des matériaux peu transformés tels que le bois, les fibres végétales, la terre ou ceux issus du réemploi. Utilisons-les que ce soit pour les logements, pour les usines, les commerces ou encore les équipements publics. Cela redynamisera les filières locales !
Exigeons des pouvoirs publics que leurs actes soient alignés avec leurs déclarations sur la transition écologique ...
Catégories : Climat, Énergies Fossiles & Industries, Pollutions & Déchets
Le 10 décembre 2022, à Bouc-Bel-Air dans la périphérie marseillaise, 150 personnes en combinaisons blanches s’introduisent sur un vaste site Lafarge, le plus gros producteur mondial de ciment [1].
En un bref laps de temps elles mettent le site hors de fonctionnement à l’aide d’outils en tout genre puis repartent au soleil couchant. L’usine, classée comme l’une des 50 plus polluantes du pays – 17 sont des cimenteries – restera à l’arrêt plusieurs jours. Elle faisait l’objet de plaintes des riverains – regroupés en association - depuis de nombreuses années [2].
Si les auteurs des faits s’évanouissent alors dans la nature, les photos de l’action feront le tour des médias français et internationaux. Elles sont alors emblématiques de la montée en puissance d’une écologie conséquente et de nouvelles formes d’interventions collectives face au ravage environnemental et aux criminels climatiques. Cette action se verra relayée, entre autres, par les Soulèvements de la Terre. 6 mois plus tard, le 5 juin, 15 personnes sont interpellées dans diverses villes du pays, notamment par la sous-direction antiterroriste (SDAT). Placées 96 heures en garde à vue pour leur participation présumée à cette action, elles seront relâchées sans mise en examen. Le 20 juin 2023 un nouvelle vague d’arrestation débute. L’une des personnes interpellées nous raconte cette plongée soudaine au 4e sous-sol de la sous-direction antiterroriste.
...
[1] Le béton représente 8% des émissions de Co2 mondiales. Quant au secteur du BTP c’est 39 % des émissions de CO2 au niveau mondial et de 33% des émissions françaises. L’entreprise Lafarge-Holcim semble cumuler les scandales environnementaux dans ses carrières, centrales à béton et cimenteries. C’est bien aussi Lafarge-Holcim qui a financé Daesh en Syrie, avec l’accord tacite de la DGSE et de l’État. L’entreprise a d’ailleurs été condamnée pour financement du terrorisme par la justice américaine en octobre 2022.
[2] Grâce à des dérogations préfectorales, l’usine dépassait largement les seuils fixés par l’Europe en matière d’oxyde de soufre. L’association, les zones d’habitation et commerçantes autour de l’usine ont longuement témoigné et lutté pour prouver qu’elles ne pouvaient plus respirer correctement, par le biais d’articles, enquêtes, reportages, photographies de l’usine et des nuages de pollution. L’usine brûlait et brûle toujours des milliers de pneus pour alimenter ses fours.
[3] Merci à ce sujet au retour écrit sur les gardes à vue de Montreuil dans l’affaire de l’usine Lafarge.
[4] Juge chargé de l’instruction de l’affaire de Tarnac qui finira par se dessaisir de du dossier après une suite de mises en causes publiques et d’erreurs de procédure.
[5] Le procès faisant suite à cette garde à vue et impliquant 8 autres prévenus a démarré le vendredi 8 septembre. Fourre-tout fiasco pour le parquet, il a été suspendu après 7h de débats et se poursuivra le 28 novembre prochain. Voici la déclaration faite par l’auteur de ce texte au tribunal ce jour là : https://lessoulevementsdelaterre.org/blog/declaration-benoit-feuillu
[6] Sa déclaration complète est disponible ici : https://lessoulevementsdelaterre.org/blog/affaire-lafarge-une-personne-convoquee-nous-parle
Connu / TG le 13/09/23 à 17:48
L'association malouine Osons ! s'est rapprochée de deux structures citoyennes engagées, ailleurs en France, contre les nuisances d'une usine Timac Agro.
...
Connu / TG le 15/07/23 à 17:49
Réservé aux abonnés - Lecture 2 min - Accueil Charente-Maritime Rochefort - 30 Commentaires
Le site de la Timac fabrique des engrais à proximité de la Charente. © Crédit photo : Jean-Christophe Sounalet/archives « SUD OUEST »
Dans une enquête, le média d’investigation lancé par le journaliste Hugo Clément montre que l’usine d’engrais rejette des quantités anormales d’arsenic dans la Charente. L’association Pays Rochefortais alert’ a porté plainte jeudi 13 juillet, en parallèle de la diffusion de l’enquête
La Timac de Tonnay-Charente est cernée. Trois associations citoyennes (1) se sont unies au début de l’année 2023 pour mener la bataille contre l’usine d’engrais, avec Pays Rochefortais alert’ aux avant-postes. Elles accusent la filiale du groupe Roullier de polluer l’air, les sols et l’eau. Jusqu’à attirer l’attention du média d’investigation Vakita, dont l’enquête a été mise en ligne jeudi 13 juillet.
Sur le même sujet
Tonnay-Charente : fera-t-on enfin la lumière sur les rejets de la Timac ?
La première commission de suivi de site de la Timac à Tonnay-Charente a eu lieu ce lundi 15 mai. À défaut de régler tous les problèmes de pollution, elle devrait apporter plus de transparence
Le 5 mai 2023, une équipe de Vakita se rend aux abords de l’usine en Zodiac. Guidés par Gérard Garder, membre fondateur de Pays Rochefortais alert’, les journalistes découvrent que de l’eau s’écoule dans un fossé partant de l’usine. Le ruissellement se jette dans la Charente. De retour sur terre, l’eau prélevée dans le fossé est analysée par le laboratoire indépendant Eurofins.
De l’arsenic dans l’eau
Les résultats sont sans appel. « Dans les échantillons, nous avons trouvé de l’arsenic à des taux quatre fois supérieurs au seuil prévu par la réglementation : 93,8 microgrammes par litre, alors que la norme stipule 25 microgrammes par litre », révèle Allan Henry, journaliste en charge de l’investigation. L’enquête n’identifie pas les risques pour la santé et l’environnement. « Il faudrait des études, notamment épidémiologiques, plus poussées, déclare-t-il. Notre travail est une photographie à un instant T. »
Dans un long mail adressé à l’équipe de Vakita, la préfecture de Charente-Maritime indique que lors des dernières inspections, réalisées en novembre 2022 et en avril 2023, le fossé était « presque à sec ». Elle n’a donc pas pu faire les mêmes constatations. Elle cite également un courrier de l’entreprise Timac qui assure que « depuis l’arrêt des activités de fabrication, début mars 2023, […] le site n’a pas rejeté d’eau ni dans les fossés ni dans la Charente ».
Cependant, en avril 2023 toujours, la Dreal (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) a constaté un nouveau débordement des lagunes. Ce qui a entraîné la signature par le préfet d’une dernière mise en demeure le 5 juin. Il prescrit « d’éviter le déversement accidentel des eaux industrielles collectées dans les lagunes vers le milieu naturel ».
Contacté par Vakita, ni Timac ni Roullier n’ont donné suite.
(1) Pays Rochefortais alert’ (Rochefort), « Osons ! » (Saint-Malo), « Respir ! » (Tarnos).
Deux plaintes de PRA
Jeudi 13 juillet, Pays Rochefortais alert’ a porté plainte contre la filiale du groupe Roullier pour neuf infractions au code de l’environnement. « On veut que la Timac se mette en conformité avec la loi, que le code de l’environnement prime sur les pratiques industrielles », martèle Christian Laporte, coprésident de l’association.
Il compte « s’appuyer sur les conclusions de l’enquête de Vakita » pour déposer une seconde plainte auprès de l’Office français de la biodiversité, à partir du 17 juillet. « Elle sera spécifique à la pollution des eaux », indique Christian Laporte. La peine encourue est plus importante car « c’est un délit, passible du tribunal correctionnel ». L’association se réserve la possibilité de se porter partie civile et pourrait demander le versement de dommages et intérêts.
Connu / TG le 15/07/23 à 08:56