Pétition lancée le 30 juin 2025 - 552 signatures
Le problème
Non à l’implantation d’une usine de combustible nucléaire à partir d’uranium et de plutonium dans la vallée de la Seine, entre les villages de Pont-sur-Seine et Marnay-sur-Seine (10400), dans le département de l’Aube, en lisière de la fragile et précieuse zone humide de la Bassée auboise.
NOTRE SANTÉ EST EN JEU !
Refusons la pollution de l’air, de l’eau, des sols, les nuisances sonores et visuelles, les risques d’explosion, la multiplication des transports de matières radioactives, à quelques centaines de mètres des habitations.
Rappelons que selon l’Autorité de Sûreté Nucléaire, « la mise en oeuvre du plutonium, élément très radiotoxique et pouvant présenter des risques de criticité, nécessite des précautions particulières, notamment en termes de radioprotection des travailleurs, dans la fabrication du combustible MOX, son transport et son utilisation en réacteur. »
Sauvegardons la vitalité des sols et la biodiversité pour nos enfants et les générations futures.
Ne laissons pas ceux que nous avons élus nous imposer des projets comportant des risques significatifs pour notre santé et notre environnement, qui transformeront durablement notre cadre de vie sans notre consentement, au mépris des habitants et des principes de la démocratie.
Est-il bien raisonnable de confier la maitrise de l'énergie nucléaire et la manipulation de matières dangereuses à une jeune start-up du secteur privé,ce qui représente d'énormes risques en matière de sûreté et de sécurité ?
Refusons la fuite éperdue en avant vers le tout nucléaire que le gouvernement s’acharne à mettre en place en modifiant les règlementations censées protéger les citoyens pour faciliter l’implantation des installations nucléaires et leur multiplication sur tout le territoire.
Officiellement, le chargement du combustible sur l'EPR de Flamanville (Manche) est toujours prévu par EDF avant la fin ...
Connu / TG le 20/03/24 à 23:43
a indiqué dans une interview à la Tribune Dimanche la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher, à quelques semaines de la présentation du projet de loi relatif à la souveraineté énergétique.
Depuis le discours de Belfort de février 2022, dans lequel Emmanuel Macron avait acté la relance du nucléaire, le gouvernement porte un programme de six nouveaux réacteurs EPR et huit en option. Le chef de l'Etat avait déjà ouvert la porte en décembre à une annonce sur ces huit réacteurs supplémentaires "dans les prochains mois".
La ministre enfonce ainsi le clou, près d'un mois après cette sortie: "Il faut du nucléaire au-delà des six premiers EPR puisque le parc historique ne sera pas éternel", a-t-elle déclaré à l'hebdomadaire, selon lequel le texte qui sera présenté en Conseil des ministres acte ces huit réacteurs mais ne donne pas d'objectifs précis de développement des énergies renouvelables d'ici à 2030.
La rédaction du texte "reste neutre technologiquement", a assuré Mme Pannier-Runacher, selon qui, pour faire passer en France de plus de 60% à 40% en 2035 la part des énergies fossiles dans le mix énergétique, "il s'agit d'engager, après 2026, +des constructions supplémentaires représentant 13 gigawatts+".
... "rompt avec la précédente loi de programmation, qui réduisait à 50% la part du nucléaire dans le mix électrique d'ici à 2025"
... deux volet consacrés à la "régulation des prix" et à la "protection des consommateurs", qui prévoient notamment l'obligation pour les fournisseurs de "transmettre un échéancier mensuel et une estimation annuelle à chaque changement de contrat", ainsi que des sanctions plus rapides pour "les fournisseurs voyous".
Par ailleurs, la ministre a indiqué que la question des infrastructures de recyclage des combustibles nucléaires serait au menu du prochain Conseil de politique nucléaire (CPN), prévu en janvier, n'excluant pas de "construire de nouvelles capacités".
Connu / http://phplist.amisdelaterremp.fr/lists/?m=16862&uid=5b2727fbbd0a8039239380e41efb8d71&p=view&pi=ViewBrowserPlugin
Connu / TG le 07/01/24 à 14:28
Le démarrage de l’EPR de Flamanville (Manche) est attendu en 2024. Une partie du combustible initialement prévu repart chez Framatome, sans raison clairement explicitée.
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Connu / TG le 27/10/23 à 09:56
Le degré de dépendance du combustible des centrales nucléaires françaises concerne tant la provenance de la ...
Connu / TG le 01/06/23 à 10:22