80 ans après la défaite du nazisme, ses héritiers sont en passe de revenir au pouvoir dans nombre de pays, quand ils n’y sont pas déjà. La victoire de Trump accélère cette évolution catastrophique. On assiste partout dans le monde à un recul de la démocratie et de l’égalité et à un essor de régimes autoritaires, nationalistes, racistes et xénophobes. Une internationale néo-fasciste se met en place et sème déjà la mort et la destruction en Ukraine et à Gaza.
Notre contribution au combat contre le retour du fascisme passe avant tout par la lutte contre l’antisémitisme et tous les racismes, d’où qu’ils viennent, une lutte à laquelle contribue la mémoire de la Shoah et celle de tous les génocides du XXème siècle.
Des mémoires plus nécessaires que jamais car le retour en force du s’appuie également sur un révisionnisme historique systématique. Entre deux saluts nazis, Elon Musk explique qu’Hitler était communiste tout en soutenant l’AFD en Allemagne, dont la politique est héritière du NSDAP. Poutine a agressé l’Ukraine en tentant de faire passer ses volontés impérialistes pour une opération de « dénazification ». Jordan Bardella, président d’un parti fondé par d’ancien Waffen SS et collaborationniste, et Marion Maréchal, proche de l’action française et du GUD, sont invités par le gouvernement israélien pour une conférence sur l’antisémitisme.
Le confusionnisme historique nourrit l’extrême droite et il est également renforcé par la perte de mémoire historique et de réflexe antifasciste au sein d’une partie de la gauche. On a pu le constater une nouvelle fois avec l’affiche de la France Insoumise reprenant des codes antisémites des années 1930 pour appeler à la manifestation antifasciste du 22 mars.
Dans cette situation, il nous semble nécessaire que tous les mouvements qui luttent contre l’extrême droite se rassemblent. Nous proposons aux organisations syndicales, aux associations antiracistes et de défense des droits humains de participer à un meeting antifasciste et internationaliste à la bourse du travail où chaque organisation pourra exprimer sa stratégie de lutte contre l’extrême droite. Nous espérons que cet espace de débat participe à la constitution d’un mouvement large unitaire, antiraciste, antifasciste et internationaliste pour éviter le pire et permettre un avenir désirable.
Jeudi 22 mai – 19h
Bourse du Travail, salle Eugène Henaff
29 boulevard du Temple, Paris
Signataires : Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR), Collectif Golem, Juives et Juifs Révolutionnaires (JJR)
Avec la participation de LDH (Ligue des Droits de l’Homme), SOS Racisme, MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples), CGT, Solidaires, Visa, FSU, Guerrières de la Paix, Union des Ukrainiens de France
https://raar.info/2025/05/80-ans-apres-resister-au-fascisme
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Republié par Jérôme Vallès 🍁φ Punky @punkyetc.bsky.social · 3j
Un immense Merciiii
@arnaultraphael.bsky.social !!!!!
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Politique - 151 commentaires
Par Le Figaro avec AFP
Publié le 23 janvier 2025 à 17h07, mis à jour le 24 janvier 2025 à 16h36
Le ministre de l’Intérieur avait «félicité» la présidente et fondatrice du collectif Némésis, qui lui avait demandé la dissolution du mouvement d’extrême gauche La Jeune Garde antifasciste. Il a aujourd’hui déclaré «ne pas se sentir proche» de l’association.
Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau qui avait récemment salué le «combat» dont il s'était dit «très proche» de la présidente du collectif identitaire Némésis, est finalement revenu sur ses propos. «Je remets les choses au point», a-t-il déclaré au micro d’Europe 1 ce 24 janvier, avant d’expliquer : «Quand ces jeunes femmes m’ont interpellé, elles m’ont interrogé sur leur combat contre l’islamisme et l’antisémitisme». Le ministre a alors assuré «partager ces combats», mais s’être rendu compte, après coup, qu’il s’agissait «d’une association qui avait des positions très radicales, qui avait très brutalement attaqué Valérie Pécresse». «Je ne me sens pas du tout proche de cette association», a-t-il ajouté.
Mardi, lors d'une conférence sur la sécurité intérieure, Bruno Retailleau a voulu «féliciter» Alice Cordier, présidente et fondatrice du collectif Némésis présente dans la salle, qui lui avait demandé la dissolution de La Jeune Garde antifasciste, un mouvement d'extrême gauche. «Bravo pour votre combat. Vous savez que j'en suis très proche», avait déclaré le ministre, des propos que l'intéressée a qualifié d'«immense fierté» sur X, et qui ont été critiqués par plusieurs députés insoumis.
«Alors Bruno Retailleau assume ouvertement être d'extrême droite (si ce n'était déjà pas assez clair) et il faut le combattre comme tel», a posté sur X Raphaël Arnault, député LFI du Vaucluse. «Voilà comment Retailleau, ministre de l'intérieur, s'adresse à un collectif d'extrême droite violent et raciste», a écrit sur le même réseau l'insoumise Clémence Guetté, vice-présidente de l'Assemblée nationale. «Vraiment, comment ne pas censurer ce gouvernement ?», a interpellé la députée LFI de Paris Sarah Legrain.
Bruno Retailleau «répondait à une question sur la lutte contre l'ultra gauche et sur l'explosion de l'antisémitisme. Voilà ce qu'il a dit partager», a rétorqué son entourage, interrogé par l'AFP. «Après des années d'humiliations, de comptes bancaires qui sautent, de réseaux sociaux censurés, de violences par des militants d'extrême gauche, d'articles à charge... Après tout ça j'ai été félicitée par notre ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau», a publié sur X Alice Cordier, à la tête de ce collectif fondé en 2019.
«Vignot complice»
Début janvier, la municipalité de Besançon a annoncé avoir déposé plainte à l'encontre du collectif Némésis pour avoir perturbé une cérémonie des vœux de la maire écologiste Anne Vignot. Selon la municipalité, deux militantes sont allées sur la scène et ont déployé une banderole proclamant «Violeurs étrangers bienvenus». Elles ont ensuite distribué des tracts avec une image d'Anne Vignot, son nom, et le texte «Soutien aux violeurs étrangers» avant de scander «Vignot complice» puis de poster la vidéo de leur action sur leurs réseaux sociaux.
En avril dernier, deux militantes du même collectif avaient brandi pendant le carnaval de la ville des pancartes sur lesquelles on pouvait lire «Violeurs étrangers dehors» et «Libérez-nous de l'immigration». La maire avait déjà porté plainte et une enquête avait été ouverte pour «provocation à la haine ou à la violence à l'égard d'un groupe de personnes en raison de leur origine ou d'une prétendue race».
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Politique
Le mot «RESIST» («Résiste» a été peint sur la devanture d'une concession Tesla où plusieurs véhicules de la marque d'Elon Musk ont été incendiés. - © Ethan Miller / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP
Le racisme et le fascisme progressent dans de nombreuses régions du monde. Mais face à cette menace, des collectifs, des militants et des citoyens opposent une résistance déterminée : sabotages, occupations, solidarité...
Désobéissance civile, blocages, fermetures de locaux fascistes, actions artistiques subversives, soutien aux exilés : les formes de résistance fourmillent, se réinventent, s’adaptent aux contextes locaux. De France au Brésil, de l’Allemagne aux États-Unis, des activistes osent et remportent des victoires. Reporterre présente ces ripostes concrètes — non exhaustives — qui, chacune à leur manière, désarment le fascisme.
- Saboter (les voitures d’un milliardaire fasciste)
- Surgir (contre l’empire d’un milliardaire d’extrême droite)
- Tenir bon (dans les tribunes d’un stade)
- Fermer (les lieux fascistes)
- Rester debout (dans un avion, pour empêcher l’expulsion d’une personne migrante)
- Prendre conscience de ses privilèges (et faire front pour protéger des personnes plus exposées à la répression)
- Cultiver (des espaces d’accueil et de travail digne pour les personnes migrantes)
- Désobéir (pour sauver des vies)
- Interdire (les réunions de la droite nationaliste)
- Faire la fête (au nez des fascistes)
- Tricoter (avec les Mamies contre l’extrême droite)
- Nourrir (les ventres des opposants au fascisme, et ses cibles)
L’Internationale boulangère mobilisée (IBM) a tissé un réseau de boulangers militants qui, depuis 2018, apportent leur soutien aux luttes antifasciste à travers la fabrication de fours à pain mobiles. Ce projet permet de nourrir les manifestants lors de rassemblements comme ceux contre les mégabassines ou pour soutenir les exilés à Calais.
Les membres de l’IBM, souvent autodidactes en soudure et en boulangerie, construisent eux-mêmes ces fours à bois, se réappropriant des outils paysans pour diffuser une boulange artisanale, solidaire et locale. - S’allier et faire front commun (contre un gouvernement libertarien d’extrême droite)
- Désarmer (l’industrie de l’armement)
- Se défendre (face à la violence des groupes fascistes)
- Tourner en dérision (une chaîne d’opinion favorable à l’extrême droite)
mercredi 11 décembre 2024 / Par Mickaël Correia - La lettre écologie - Médiapart
L’observatoire européen Copernicus l’a annoncé ce 9 décembre : 2024 sera l’année la plus chaude jamais enregistrée. Et elle sera la première année au-dessus de 1,5 °C de réchauffement par rapport à la période préindustrielle. Ce franchissement de température est tout symbolique puisqu’il incarne une des limites que se sont fixées les près de 200 pays signataires de l’accord de Paris de 2015 sur le climat : maintenir la surchauffe planétaire « bien en dessous de 2 °C » et poursuivre les efforts pour la contenir à 1,5 °C.
Toutefois, jamais le fossé n’a semblé aussi béant entre la réalité du chaos climatique en cours et l’action politique nécessaire pour répondre à l’urgence.
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l’extractivisme colonial des ressources naturelles par les pays riches ayant laissé les nations les plus pauvres financièrement exsangues pour affronter le réchauffement.
Pis, pendant que la montée des températures provoque un chaos climatique, la montée des nationalismes engendre un chaos démocratique. Alors que la planète a plus que jamais besoin de justice sociale et de multilatéralisme face à l’urgence climatique qui impacte les plus vulnérables, les droites conservatrices et l’extrême droite semblent désormais de plus en plus s’agréger autour d’une même rengaine : l’anti-écologisme.
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depuis 1991, 79 % des décès enregistrés à la suite des événements climatiques extrêmes l’ont été dans les pays du Sud.
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nous dirige tout droit vers un réchauffement oscillant entre 3 °C et 3,5 °C d’ici la fin du siècle. De quoi mettre en péril l’habitabilité même de notre planète.
Face au climato-dénialisme et au repli nationaliste autour desquels se recomposent les populismes, plus que jamais l’écologie politique se doit d’être antifasciste et internationaliste.
StreetPress a recensé plus de 320 sections locales ou groupuscules d'extrême droite extra-parlementaire actifs en France. Ils sont identitaires, royalistes, catholiques-intégristes, nationalistes-révolutionnaires ou confusionnistes, souvent violents et toujours radicaux. Nous avons enquêté sur eux.
Qui sont les FAF près de chez vous ?
À la suite d’une bagarre survenue lors d’une manifestation anti-pass à l'été 2021, sept militants antifascistes lyonnais ont été accusés de violences en réunion. La procédure judiciaire s’est achevée le 4 novembre 2021. En regardant le dossier de plus près, certains y voient une dérive inquiétante…
Connu / gdn le 5/11/24
Clément Sénéchal (à droite), au Climat Libé Tour de Marseille, ce samedi. (Patrick Gherdoussi/Libération)
publié le 19 octobre 2024 à 19h09 par Maud Mathias
Auteur d’un essai fustigeant notamment l’écologie du spectacle, le spécialiste des questions climatiques Clément Sénéchal revient sur l’urgence de retravailler la question écologique à partir des inégalités réelles.
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Responsable pendant plusieurs années du plaidoyer chez GreenPeace France, Clément Sénéchal, expert des enjeux climatiques, milite pour une écologie révolutionnaire qui tranche radicalement avec celle «du spectacle» dans laquelle s’embourbent les ONG depuis des années. Auteur de l’essai Pourquoi l’écologie perd toujours (Seuil, octobre 2024), il décrypte les causes politiques qui conduisent systématiquement l’écologie dominante à l’échec. Présent au Climat Libé Tour à Marseille pour débattre de la question «La justice peut-elle sauver la nature ?», il revient sur la nécessité d’une écologie populaire, les inégalités subies par les populations vulnérables face à la catastrophe climatique et la passivité complaisante des «professionnels de l’écologie».
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Il faut une écologie de la lutte des classes et que la bourgeoisie sensibilisée accepte de se mettre au service des classes populaires. L’écologie doit devenir antifasciste, parce que l’un des principaux freins à la transformation sociale, c’est la fragmentation des classes populaires par le racisme. Or il y a toute une écologie bourgeoise qui fait basculer des parties entières des classes populaires vers l’extrême droite, parce qu’elles se sentent victimes d’une forme de violence symbolique de l’écologie officielle. Il faut ensuite consolider les alliances de classe possibles pour massifier le mouvement de contestation contre l’ordre établi.
1 - Le péril néo-fasciste est réel
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2 - La prise de pouvoir des néo-fascistes est le prolongement logique des politiques néo-libérales et autoritaires des gouvernements précédents
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3 – Ces élections sont cruciales mais les bulletins de vote ne suffiront pas à stopper la montée du fascisme
Gardons en mémoire le front populaire de 1936. Il est né dans la rue d'une manifestation anti-fasciste. Ses mesures phares - comme l'instauration des congés payés - sont le fruit d'une longue grève générale avec occupations d’usines enclenchée au lendemain de sa victoire aux élections. L'annonce par Nouveau Front Populaire (NFP) d'un moratoires sur les mégabassines et les autoroutes dans son programme des 15 premiers jours est le fruit du rapport de force que nos luttes ont su imposer au cours des 3 dernières années.
Le terrain et le tempo des Soulèvements de la terre sont ceux de la lutte, de l'auto-organisation des mouvements et de l'action directe populaire. Que le gouvernement soit néo-faciste, macroniste ou de gauche, nous continuerons à lutter contre l’accaparement des terres par l’agro-industrie et la bétonisation du monde. Quel que soit le résultat, nos luttes et nos actions doivent franchir un cap face aux menaces conjointes du ravage écologique et de la fascisation.
Nous vivons pour l'heure un moment historique. Il ne suffit pas de faire barrage au Rassemblement National par les urnes, il faut lui barrer physiquement la route. Il ne doit pas prendre le pouvoir, ni dans trois semaines, ni dans trois ans !
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Contacts : contact@lessoulevementsdelaterre.org
Idée — Numérique - Mis à jour le 15 juillet 2024 à 09h50 - Durée de lecture : 11 minutes
Le monde numérique est le nouveau moteur des pensées d’extrême droite qui y prolifèrent. Élections françaises, présidentielle étasunienne... il pourrait contribuer à les mettre, très concrètement, au pouvoir.
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« L’avènement d’un fascisme cool »
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Lire aussi : Le totalitarisme numérique de la Chine menace toute la planète
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D’après une enquête du CNRS, publiée en 2023, les climatosceptiques représenteraient même 30 % des comptes parlant environnement sur X
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« [Les plateformes] fonctionnent comme des régimes autoritaires »
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marchandisation de notre vie sociale, politique et culturelle, sans considération pour notre santé mentale, le droit à l’information fiable et la démocratie.
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Médiapart parle d’un « néofascisme débonnaire » qui est en train de gagner la bataille culturelle. https://www.mediapart.fr/journal/france/140321/les-youtubeurs-de-la-haine-un-neofascisme-debonnaire
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goût pour la viande, les jeux vidéos, la musculation ou la « philosophie virile » ... masculinité toxique ... propos dépolitisants ... double affinité : d’un côté les réseaux sociaux font monter les idées réactionnaires, de l’autre, le technosolutionnisme de l’extrême droite pousse ce courant à embrasser toutes les avancées du numérique.
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Chez les spécialistes de la culture web, le désenchantement est total. Le journaliste canadien, Cory Doctorow, parle de « merdification d’internet ». La journaliste blogueuse Titiou Lecoq compare l’espace numérique à « un grille-pain fasciste » — un circuit fermé et centralisé qui nous enferme dans des idées nauséeuses.
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point de bascule où le flot de haine pourrait quitter la toile et prendre le pouvoir. Les situations à l’étranger où l’extrême droite et les régimes autoritaires surfent sur les technologies doivent nous avertir.
Dans ses Écrits corsaires, l’écrivain et poète italien, Paolo Pasolini disait que la société de consommation avait propagé plus profondément le fascisme que Mussolini. Il se pourrait, aujourd’hui, que la numérisation de la vie nous mène au fascisme bien plus rapidement que le Front national d’un Jean-Marie Le Pen…
Ndlr : comment renverser cette bataille culturelle ? Chercher ACT
9 juillet 2024 / La rédaction
Un répit. Tel est le sentiment partagé par l’ensemble des collectifs, associations et syndicats engagés dans la lutte contre l’extrême droite, après les résultats des législatives, dimanche soir. Mais l’urgence de se remettre au travail sur le terrain a vite repris le dessus. Comment se réorganiser pour ne pas risquer un RN au pouvoir dans un ou trois ans ?
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« je suis une meuf lesbienne, dans un village rural, au milieu des fafs durs, qu’est ce que je peux faire ? », cite Pauline Moszkowski-Ouargli. Pour la salariée du Planning familial – qui dispose d’une antenne dans le sud rural du département -, maintenir la présence d’espaces féministes dans ces territoires va être un enjeu central pour contrer l’extrême droite.
Le Rassemblement national fait en effet miroiter aux habitants de ces territoires une certaine vision de la ruralité. Dans le cadre des élections ces dernières semaines, la Confédération Paysanne a passé au crible les promesses et les votes du RN. « Ils promeuvent sur les réseaux sociaux et les médias un imaginaire d’une campagne préservée. Alors que quand on creuse : ils ont voté contre des prix planchers pour garantir des revenus aux agriculteurs. Ils sont pour le développement des produits phytosanitaires. Ils veulent assouplir la loi zéro artificialisation nette… Ce qui signifiera des paysages saccagés », explique Florent Sebban, maraîcher dans l’Essonne et membre de « la Conf ». Lors du porte-à-porte ces dernières semaines, dans son village où un habitant sur deux est acquis au RN, ces arguments ont fait mouche. « On veut absolument que ça continue. Pour faire avancer dans les prochains mois une vision de la ruralité qui préserve vraiment la santé des habitants et le travail des paysans. »
Les organisations antifascistes préparent la suite
...
L’essayiste états-unien Adam Shatz publie dans Mediapart une « lettre à ses amis français de gauche » dans laquelle il liste, en partant de son expérience de l’administration Trump, cinq défis à venir pour continuer de tenir face aux assauts de l’extrême droite.
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Intervention d'Olivier Besancenot à la soirée "Que faire ? " organisé par Paroles d'honneurs
source : https://youtu.be/wVOVnCVyUnY
Tr.: ... antifascisme ...
Paroles_D'Honneurs-PDH