COMMENT LES TRAVAILLEURS PEUVENT ENFIN GAGNER : CE QU'UNE VIE DE LUTTES M'A APPRIS | J.-L. DUPRIEZ
Publié Il y a 1 jour • 2 vues
Le Média
Par lemediatv
Comprendre le monde capitalisme pour en sortir et Construire un monde non capitaliste : ce sont les titres des deux ouvrages récemment publiés par l'invité de ce numéro d'On s'Autorise à Penser (OSAP), Jean-Luc Dupriez.
J.-L. Dupriez, ingénieur spécialisé en informatique de gestion, a participé tout au long de sa carrière aux luttes sociales en entreprise et poursuit aujourd'hui encore, après sa retraite, des activités syndicales. Les enseignements de son expérience, sur laquelle il réfléchit à la lumière de ses lectures autour de la tradition ouvrière socialiste et dans le domaine de la sociologie, sont tirés dans ses deux livres. Il en parle avec #JulienThéry, en soulignant ces deux points essentiels : c'est le combat de classe dans le monde du travail qui doit être au coeur de l'action politique, autrement dit la lutte syndicale, d'une part, et, d'autre part, les organisation doivent toujours viser à l'union, donc renoncer à l'hégémonie et accepter le pluralisme au sein du mouvement des travailleurs.
Visibilité Publique
Publié originellement 29/06/2025
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu Langue Français Étiquettes
Durée 45min 19sec
Tr.: ... Deleuze, Derrida, Foucault ... post-modernisme, pensée de la différence ... pas de pj commun qui permettrait de fédérer. Montée du fascisme, combat de classe négligé ... mettre la question de classe, articulation, domination de classe, traverse les questions (féminisme, etc) ... est militant à la CGT, reprendre les combats féministes, écologistes, etc ... bilan de Hollande, le mariage homosexuel, ... agir sur la base de leur situation sociale, défendre un projet socialiste de masse ... travaillait dans une PME de la métallurgie ... écouter d'abord ... l'action collective, moteur de l'émancipation ... quel que soit l'expérience militante, on a une dualité : salarié dominé a des insatisfactions permanentes des salariés ... transformer ces motivations individuelles en un mouvement collectif commun ... il faut une adhésion commune ... une démocratie directe ... être au service du collectif pour progresser ensemble ... du collectif ... en russie divorce avec les soviets, a débouché sur le stalinisme ... / conscience, prise de conscience, dialectique entre combat de classe et combat politique ... aujourd'hui, au moment d'une rupture sociale, construire une société ...
aujourd'hui : structurer démocratiquement les luttes de classes, les animer ... à côté, combat politique ...ex juin 2024 : alliance des partis de gauche ...
au milieu ? TERMINER ACT
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À l’appel de Greenpeace, des Amis de la Terre et Action Non-Violente COP21, 2030 citoyennes et citoyens ont paralysé pendant plus de 10 heures l’activité de quatre tours de la Défense pour dénoncer l’alliance toxique d’Emmanuel Macron et du gouvernement avec les dirigeants des entreprises multinationales. Cette action de désobéissance civile, d’ampleur inédite, s’inscrit dans la semaine internationale de rébellion pour le climat.
Clément Sénéchal (à droite), au Climat Libé Tour de Marseille, ce samedi. (Patrick Gherdoussi/Libération)
publié le 19 octobre 2024 à 19h09 par Maud Mathias
Auteur d’un essai fustigeant notamment l’écologie du spectacle, le spécialiste des questions climatiques Clément Sénéchal revient sur l’urgence de retravailler la question écologique à partir des inégalités réelles.
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Responsable pendant plusieurs années du plaidoyer chez GreenPeace France, Clément Sénéchal, expert des enjeux climatiques, milite pour une écologie révolutionnaire qui tranche radicalement avec celle «du spectacle» dans laquelle s’embourbent les ONG depuis des années. Auteur de l’essai Pourquoi l’écologie perd toujours (Seuil, octobre 2024), il décrypte les causes politiques qui conduisent systématiquement l’écologie dominante à l’échec. Présent au Climat Libé Tour à Marseille pour débattre de la question «La justice peut-elle sauver la nature ?», il revient sur la nécessité d’une écologie populaire, les inégalités subies par les populations vulnérables face à la catastrophe climatique et la passivité complaisante des «professionnels de l’écologie».
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Il faut une écologie de la lutte des classes et que la bourgeoisie sensibilisée accepte de se mettre au service des classes populaires. L’écologie doit devenir antifasciste, parce que l’un des principaux freins à la transformation sociale, c’est la fragmentation des classes populaires par le racisme. Or il y a toute une écologie bourgeoise qui fait basculer des parties entières des classes populaires vers l’extrême droite, parce qu’elles se sentent victimes d’une forme de violence symbolique de l’écologie officielle. Il faut ensuite consolider les alliances de classe possibles pour massifier le mouvement de contestation contre l’ordre établi.
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Malgré la boue et la gadoue, maintenir notre supériorité morale.
Allez, un bon visionnage, et à bientôt !
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Actualités et politique
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