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Le décret sur l’agrivoltaïsme, publié en avril 2024, précise les conditions d’implantation de panneaux photovoltaïques sur les surfaces agricoles, en tenant compte du taux de couverture et de la perte de rendement agricole acceptable. Il définit l’agrivoltaïsme et place l’exploitation agricole au centre du débat.
On compte une dizaine d’installations agrivoltaïques en grandes cultures. Les impacts sont en cours d’évaluation.
Quels sont les premiers retours d’expérience ? Quel gain d’énergie ? Quel est l’impact sur la production agricole ? Comment le décret de mars 2024 influencera-t-il le développement de l’agrivoltaïsme ? Quelles sont les nouvelles perspectives ?
Animation :
Olivier ZANETTA, Journaliste, Chargé des conférences EnerGaïa
Intervenants :
Olivier DAUGER, Co-président France Agrivoltaisme. Adm FNSEA, FRANCE AGRIVOLTAÏSME
Christian DUPRAZ, Chercheur, INRAE
Cécile MAGHERINI, Directrice Générale , SUN'AGRI
Michel GIORIA, Délégué Général, FRANCE RENOUVELABLES
Connue / https://x.com/Energaia_/status/1950092696732717329
Tr.: Région Occitanie ...
plus de 140 gm en 2050 dont 45 gw sur les sols pollués, 45 gw sur les terres agricoles, 12 gw en autoconsommation et le reste en toiture
... traduire dans la ppe ... remonter à 50/50 /toiture ... filière nouvelle, besoin de recul, d'innovation, recherche, donc risque ...
Christian Dupraz inquiétudes sur le rendement ... lois de la photosynthèse inéluctables ... l'ombre des panneaux est différent ... rotation des cultures, donc adaptable ... panneaux semi-transparents, panneaux mobiles ... éviter l'abandon des cultures / climat différent ... approche fréquentielle / ece ...
MODÈLES
partir du pj agricole et alimentaire ... dépend des régions ... assolement ... pj de 20/30 ans ... en appui des pj ... sinon échecs ... un plus économique, le partage de la valeur ...
une infrastructure, pj concerté sinon échec ... élus locaux, riverains ... phase d'apprentissage ... des modèles d'affaires adaptables dans le temps sur 20/30 ans ... /partage de la valeur ...
CD : l'agriculteur heureux si cultures heureuses ne pas dépasser 20% de taux de couverture on n'a besoin que de 100 000 ha ce qui n'est pas un pb en fr ...
Michel GIORIA /raccordement / distance poste source ...
Olivier DAUGER
Cécile MAGHERINI des trackers pilotés ... le partage de la lumière accepter de monter ... il faut du volume donc planifier pour avoir la filière industrielle ... panneaux bifaciaux ... conseil agronomique ... observatoire de l'agrivoltaïsme ...
MD : ...
espoir dans l'allègement des panneaux ... aucun pj ne laisse 90% ... obligations pompiers ...
CM : /rotations de cultures bons résultats sur l'aubergine .../élevage /machinisme agricole ...
PARTAGE DE LA VALEUR
MD : en construction article 93 ... élec utile relier infrastructure et utilité, créer du lien autoconso, tarifs préférentiels, ouvrir avec les personnes autour ... financer la partie collective ... créer espace de discussion ... point de départ : de la valeur, prix compétitif ...
CD : pj de territoire valo bien commun la lumière ... 10 pj par département donc rancoeurs limiter la taille est important ... fixer un plafond organisé ...
OD : revoir le pj alimentaire ... règle europ on ne finance que l'énergie ... une réelle transparence, lien entre propriétaire et fermier, pas rente pour le proprio ... lien territoire pj territoriaux agricoles ... /acceptabilité ... des maraîchers sur des pj ...
CM : pratique pas simple ... comment rentrer dans le capital ? ... associé à de la transmission ex lycées agricoles ...
Q :
Mr : arboriculteur et énergéticien : doute arriver aux 45 gw ... 800 000 ha biocarburants rendement faible ...++
1 millions d'ha / 20 000 ha c'est donc énorme pour la voiture légère !
Mr de Drôme et Haute-Savoie récup terres abandonnée le capteur solaire peut être aussi capteur d'eau ... /ombre ex impatiences de Guinée ... autres ?
thé, café, cacao ... pj chinois /baie de godgie ... sans biomasse ... dépend de son cycle ... petits fruits, plantes à feuilles, etc
Mr : /élus locaux
OD : pcaet approfondi, dialogue exigeant ... élargir aux élus et riverains
CM : se former, monter en compétences ... label afnor
Mr : agriculteur nourriture = énergie, permettre de rester ; éoliennes optimiser les connexions
mutualiser, schéma réseau optimiser les coûts.
Ndlr : la médiation de projet (cocréation) n'est-elle pas une des conditions de réussite ? ACT
mémoire réalisé par Cyrille Martinet dans la cadre de son master II parcours Socio-Anthropologies Appliquées au Développement Local, en 2018 à UFR de Sociologie, Université Lumière Lyon II.
Atelier Soudé : quand, aux frontières du déchet , la réparation et le réemploi produisent sens et liens sociaux
Enquête socio-anthropologique sur les profils et motivations des participants et sur l’essaimage de l’activité de co-réparation
Directeur de recherche : Mr. Loïc Bonneval
Second lecteur : Mr. Olivier Givre
Établissement d’accueil : Atelier Soudé
Tuteur de stage : Mr. Sayat Topuzogullari
UFR de Sociologie
Université Lumière Lyon II
Année 2017-2018
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observation flottante prônée par Colette Pétonnet. ... Sur le terrain, l’ethnographe ne peut se contenter d’observer, il doit aussi interagir avec les enquêtés, et surtout échanger et recueillir les discours dits emic90.
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90 S’opposant au terme etic, ces termes proviennent de la linguistique et sont à la fois chargés de sens et controversés en sciences sociales. Ils restent pour autant des concepts opératoires pertinents (selon leur utilisation). D’après De Sardan, l’emic serait « centré sur le recueil de significations culturelles autochtones, liées au point de vue des acteurs », tandis que l’etic reposerait « sur des observations externes indépendantes des significations portées par les acteurs ». DE SARDAN Jean-Pierre Olivier, Émique, L'Homme, 38 | 1998, p.151-166
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un lieu vivant et « atypique » avec du bruit (émanant des réparations, des matériels sonores testés, des discussions ou bien de la musique de fond qu’il est libre à tous de proposer), des outils et matériels dont le « désordre » témoigne de leur emploi fréquent par les membres, et des personnes occupées et intéressé par leurs pairs et les réparations
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un lieu de vie accueillant dans lequel ils se sentent à l’aise grâce à l’ambiance et la chaleur humaine qui y règnent. Davantage sur l’aspect social, l’étude de l’atelier s’avère être intéressante puisque la variété des personnes les fréquentant est considérable. Par exemple l’une des remarques d’un adhérent se rendant la première fois à l’Atelier Soudé fut de constater « la grande différence d’âge » entre les participants. Cet aspect une caractéristique des ateliers collectifs dans lesquels se déroulent des activités de bricolage. Comme nous le confirme l’anthropologue Abdu Gnaba « l’atelier partagé présente […] un grand intérêt pour un anthropologue. Il lui permet d’observer que le bricolage abolit entre les individus toute frontière de classes sociales, et toutes barrières générationnelles. L’âge des bricoleurs n’entre en ligne de compte qu’en tant qu’il suppose davantage d’expérience »99.
99 GNABA (2016), Op. Cit. p. 30.
Réparer accompagné
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l’autonomie des personnes grandit
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Tous sachants et apprenants
Les relations interpersonnelles varient selon les différents acteurs et les situations. Il est important de considérer à quel point le cadre proposé par l’Atelier Soudé permet une transmission particulière des savoirs
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Une ambiance conviviale et une communauté libre
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l’Atelier Soudé est en quelque sorte un réseau d’échanges puisque ce collectif est centré autour de valeurs communes, cela induit une forme de
solidarité mécanique entre ses membres (au sens Durkheimien). En effet, selon l’auteur, cette forme de cohésion sociale est fondée sur la similitude des comportements des individus et des valeurs partagées. La similitude des comportements et l’identité commune des individus font qu’il n’y a pas ou peu de conflits portant sur les valeurs et les normes de la société. Caractéristique des groupes sociaux réduits ses membres expriment la conscience collective d’appartenir au groupe. Aussi les acteurs présents à l’Atelier Soudé y expérimentent des rapports humains fondés sur la générosité, la réciprocité, la coopération et la collaboration entre les membres. Cette sémantique communautaire nous rappelle ici celle de la
culture libriste au sens où elle relève d’un esprit de solidarité fort, et d’un souci pour l’accès sans contraintes par tous à l’information. Cette volonté de partager le savoir et les informations est au cœur même de l’activité de l’association comme nous pouvons le constater par l’essence même des activités et les discours de l’Atelier Soudé. Cette culture du libre (dans laquelle nous retrouve le mouvement Do it yourself! ou les logiciels libre et open-source de type Linux qui sont publicisé lors des activités de co-réparations) qu’elle revendique est d’ailleurs partagé par le plus grand nombre des réparateurs
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Réparer, c’est bricoler
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Des valeurs communes
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Soutenir la dynamique d’un collectif
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ces projets pourraient permettre, à la manière d’un Fablab de construire des outils et du matériel qui seraient par la suite utilisables par l’association (nous pensons ici en particulier à la mise en place d’un « four à fusion » ou d’un « bain à ultra-sons » dont Matthieu a évoqué le projet ... une activité-défis ... se regrouper lors de sessions dédiées pour qu’ils échangent et partagent leurs savoirs techniques dans leurs domaines respectifs. Cela prendrait ainsi la forme de session de formations ou d’échanges exclusivement entre les réparateurs du fait que ces rencontres nécessiteraient un bagage théorique et technique conséquent.
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faciliter autant que possible les outils numériques de coordination
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Organiser les espaces
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projet d’essaimage des ateliers de co-réparation
... favoriser l’émergence d’un réseau pair-à-pair de structures variées plutôt que de centraliser les actions au sein de la même structure
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Ces structures sont au nombre de sept et de types Maisons des Jeunes et de la Culture (MJC Villeurbanne, ou MJC Saint Rambert), centres sociaux
(Centre Louis Braille à Saint-Priest et centre social de Rillieux la Pape), maisons de quartiers (Maison de citoyenneté du quartier Yves Farge à Givors), associations (Espace Créateur de Solidarité à Saint-Fons, la Recyclerie du quartier des Verchères à Vaulx-en-Velin porté par le bailleur social Dynacité).
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Ce soutien financier provient en particulier du Plan d'Éducation au Développement Durable de la Métropole de Lyon ... L’accompagnement des structures s’insère dans un « processus d’autonomisation » qui se réalise sur une période d’un an et se décline en trois étapes 111selon l’Atelier Soudé256. La première consiste en un « lancement d’activités régulières (mensuelles ou plus si possible) » ; la seconde vise à « constituer et accompagner une équipe porteuse » ; et la dernière comprend la « mise à disposition de ressources : kit d’outils et formations techniques ».
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il pourrait être intéressant de prendre contact avec la Fondation Repair Café afin de voir si quelques collaborations seraient possibles. Ce rapprochement pourrait permettre à l’Atelier Soudé d’être soutenu dans ses activités, ainsi que d’assurer une meilleure visibilité. De plus, dans le cadre de l’essaimage, en plus d’une publicisation de l’activité dispensée par l’Atelier Soudé, cette collaboration pourrait inciter les structures essaimées à développer des activités de réparation autre que celles s’attachant aux matériels électriques et électroniques.
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Conclusion
L’Atelier Soudé fait partie de ces formes diffuses de résistance qui dénoncent les manipulations de la société marchande, critiquant le pouvoir de la publicité, ou l’idéologie de la croissance en dénonçant en particulier l’obsolescence programmée.
Au travers ses actions elle offre à son public l’accès à des compétences pratiques de réparation leur permettant de réinvestir leur matériels et un certain savoir dont le consommateur est pourtant conduit à être dépossédé. Dans ce cadre militant pour le droit des consommateurs et des utilisateurs il va de soi que l’association favorise l’utilisation d’outils libres de droits.
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l’Atelier Soudé parvient à toucher son public sans pour autant réussir à le fidéliser. Engagé dans une démarche alternative concrète, l’association est un espace « de partage et de diffusion d’expériences qui cherche à faire la preuve par l’exemple des principes de la décroissance »257.
Les pronostics sur l’avenir de la planète donnent raison à l’existence de structures et d’initiatives comme l’Atelier Soudé. Les motivations de ses membres prouvent qu’elle devrait continuer dans la direction qu’elle s’est fixée à savoir les impliquer davantage en diversifiant ses activités. L’ouverture d’esprit de son équipe, sa capacité à se projeter dans l’avenir sont des garants de son développement. En poursuivant sa marche en avant, en offrant à chacun le pouvoir de participer à la construction du monde de demain, l’Atelier Soudé se constituerait comme une réelle
antichambre de la transition parmi tout un ensemble d’acteurs et de réseaux associatifs militant avec lesquelles elle collabore. Aussi, en permettant de lier l'utile à l'agréable, l’association permet de reconfigurer nos rapports aux objets, à la consommation et à la technique. Par la réappropriation de savoir-faire, l’Atelier Soudé permet un réel empowerment de ses membres et vise à en toucher davantage au travers son projet d’essaimage. Le modèle de l’Atelier Soudé reste évolutif
257 DUBUISSON-QUELLIER (2009), Op. Cit. p. 102.
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Ressources
Bibliographie
ABÉLÈS Marc (2012), Anthropologie de la globalisation, Payot, Petite Bibliothèque Payot, 309 p.
BECKER Howard S. Becker (trad. BRIAND J.-P. & CHAPOULIE J.-M.) (1985), Outsiders, études de sociologie de la déviance, Métailié, Collection Leçons de choses, 247 p.
BOLTANSKI Luc Boltanski & ESQUERRE Arnaud (2017), Enrichissement : une critique de la marchandise, Gallimard, coll. « NRF Essais », 2017, 663p.
CRAWFORD Matthew B. (trad. SAINT-UPERY Marc) (2016), Éloge du carburateur : essai sur le sens et la valeur du travail, Paris : la Découverte, La Découverte-Poche Essais, 249 p.
DOUGLAS Mary & ISHERWOOD Baron (trad. BENGUIGUI Manuel) (2008), Pour une anthropologie de la consommation : le monde des biens, Institut français de la mode : Ed. du regard, 233 p.
DUBUISSON-QUELLIER Sophie (2009), La consommation engagée, Sciences Po : les Presses, Contester, 143 p.
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GNABA Abdu (2016), Bricole-moi un mouton, L’Harmattan, Horizons anthropologiques, 266 p.
HACHE Émilie, Ce à quoi nous tenons, La Découverte, Les empêcheurs de penser en rond, 247 p.
ILLICH Ivan (1975), La convivialité, Éd. du Seuil, Points : Essais, 158 p.
LALLEMENT Michel (2018), L’Âge du faire. Hacking, travail, anarchie, Éditions Points, Points : essais, 441 p.
118LHUILLIER Dominique & COCHIN Yann (1999), Des déchets et des hommes, Desclée De Brouwer, Sociologie Clinique, 185 p.
ODIN Françoise & THUDEROZ Christian (2010), Des mondes bricolés, Presses polytechniques et universitaires romandes, METIS LyonTech, 391p.
PIERRE Magali (2002), Les déchets ménagers, entre privé et public. Approches sociologiques, Editions L'Harmattan, Dossiers sciences humaines et sociales, 190 p.
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Articles
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CAILLÉ Alain & al., « Présentation. Consommer, donner, s'adonner. Les ressorts de la consommation », Revue du MAUSS 2 (n° 44) | 2014, p. 5-24.
CALLEN Blanca, « Donner une seconde vie aux déchets électroniques. Économies informelles et innovation sociotechnique par les marges », Techniques & Culture 1 (n°65-66) |2016, p. 206-219.
CHATEL Tanguy, Le bénévolat, un don ?, Ethica Clinica, 2010, p. 4-11.
COORTEL Delphine, « Requalifier les excédents de la société de consommation dans les organisations à but non lucratif », Techniques & Culture 1 (n° 65-66) | 2016, p. 256-259.
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LANGLOIS Simon, « Nouvelles orientations en sociologie de la consommation L'Année sociologique 1 (Vol. 52) |2002, p. 83-103.
LE LAY Stéphane, « L’homo detritus fait-il de la politique ? Quelques réponses sous forme de mégots de cigarettes », Mouvements 87 | 2016, p. 25-35.
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Dossiers
ADEME, Perceptions et pratiques des Français en matière de réparation des produits, 2014, 83 p.
Documents propres à l’association
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Citographie
ARS INDUSTRIALIS association internationale pour une politique industrielle des technologies de l'esprit, à la page Amateur, pas de date de publication renseignée, URL : http://arsindustrialis.org/amateur [Consulté le 05/06/2018]
DEBARY Octave & GABEL Philippe, « Seconde main et deuxième vie », Mélanges de la Casa de Velázquez, [En ligne], 40-1 | 2010, mis en ligne le 15 avril 2012, URL : http://journals.openedition.org/mcv/3343 [consulté le 17/07/2018]
DE SARDAN Jean-Pierre Olivier, La politique du terrain, Enquête [En ligne], 1 | 1995, mis en ligne le 10 juillet 2013, [Consulté le 02 juillet 2017].
GOYON Marie, « L’obsolescence déprogrammée : prendre le parti des choses pour prendre le parti des hommes », Techniques & Culture [En ligne], Suppléments au n°65-66, mis en ligne le 31 octobre 2016, URL : http://tc.revues.org/7983 [consulté le 06/01/2017]
MADOUI Mohamed, « Michel Lallement, L’Âge du faire. Hacking, travail, anarchie (Seuil, 2015) », Sociologie [En ligne], Comptes rendus, 2017, mis en ligne le 09 mai 2017, URL : http://journals.openedition.org/sociologie/3067 [consulté le 18/03/2018].
VERRAX Fanny, Le déchet comme intention, Implication philosophique, mis en ligne le 18 janvier 2016, URL : http://www.implications-philosophiques.org/actualite/une/le-dechet-comme-intention/ [Consulté le 24/10/2016]
Conférences
MONSAINGEON Baptiste, Homo detritus et l’idéal trompeur d’un monde sans restes, second exposé sur la thématique « Nature, Culture, Ordures » dans le cycle de conférences Pensées du monde du MUCEM, en date du 20/04/2017, durée : 1h 50min 11sec.
Ressources picturales
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Annexe I-Tableau synthétique des contributions théoriques à l’économie collaborative
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Annexe II – Schéma de la prévention et de la gestion des déchets (ADEME)
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Annexe III – Tri plat des réponses au questionnaire
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12 novembre 2024
Le 29 octobre 2024, des pluies diluviennes se sont abattues sur le sud-est de l’Espagne touchant particulièrement la ville de Valence et sa région. Éric Daniel-Lacombe(1) est architecte DPLG, Professeur titulaire de la chaire « Nouvelles Urbanités face aux risques Naturels : Des abris ouverts » à l’École Nationale Supérieure d’architecture de Paris-la Villette. Entretien.
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En France par exemple, les régions Hauts-de-France, Nouvelle-Aquitaine, Pays de la Loire et Normandie sont les plus exposées vis-à-vis de l’aléa inondation par submersion marine.
Que dit l’Architecte ?
Qu’il faut arrêter de lui demander de faire plus solide et plus étanche, ce qui nous rend aveugle aux mouvements de la nature.(artificialisation des sols).
Qu’il faut arrêter de bâtir des infrastructures illusoires (digues, barrages).
Qu’il faut cesser de reconstruire à l’identique.
Qu’il faut abandonner les projets immobiliers qui vulnérabilisent le site et en inventer qui ménagent les lieux.
Qu’il faut aménager les quartiers inondables de façon à faciliter les régulations naturelles des cours d’eau : savoir mettre la rivière à l’écart quand nécessaire, mais renaturer les berges.
Qu’il faut dessiner la métamorphose de la ville en prenant la température du passage de l’eau.
Quelles sont vos préconisations ?
Qu’il n’y a pas de solution homogène mais des catégories de pensées. J’en relève quatre.
1- Recherche de la sécurité dans les périodes d’exposition au naturel (jamais de voitures garées dans les creux ni dans les rues qui deviendront des torrents, ni dans les sous-sols. Les anciens rez-de-chaussée deviennent les garages ou des préaux frais pour les prochaines canicules).
2- Régulation naturelle (éviter l’addition de protections artificielles et laisser plus de place à la rivière).
3- Intégrer et mettre en scène les forces de la nature pour créer des espaces inspirants (A Malmö, Santiago Calatrava dessine Turning Torso, une tour composée de neuf cubes en spirales évoquant les mouvements organiques et la force du vent. A Malmö encore, Stig L.Andersson invente Anchor Parken, un jardin de formes évoquant la dernière glaciation).
4- Convoquer les habitants, transformer d’anciennes friches industrielles en parcs naturels, conserver la mémoire de l’inondation. Passer de la logique du risque à une culture de la prudence, développée avec et par les habitants.
Votre profession de foi ?
Maintenir une convivialité entre l’humain, les non-humains vivants, et la nature. Apprendre à vivre avec l’eau, observer le mouvement de la nature depuis des passerelles, montrer aux enfants le phénomène de l’inondation, regarder la crue depuis l’abri comme un spectacle pédagogique, intéressant. Le Monde est celui de l’habité, il ne faut pas regarder la nature en ennemi. L’eau est une cinétique.
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Propos recueillis par Tina Bloch
(1)Retrouver toutes les chroniques de la catastrophe annoncée d’Éric Daniel-Lacombe
Dans notre article Livres – Entrelacements d’antinomies ?, découvrir Vers une architecture pour la santé du vivant, par Éric Daniel-Lacombe
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Nous avons construit depuis dix mille ans, un monde d’abondance de ressources, un écosystème stable, qui nous a poussé à optimiser et à performer. Le culte de la performance est à son apogée et nous incite à toujours gagner en efficacité, à maximiser nos résultats, avec moins de moyens possibles. Cette approche atteint ses limites dans un monde en constante évolution. Aujourd'hui la nature se réveille, elle devient fluctuante et nous devons apprendre à vivre dans un monde instable, imprévisible. Comment vivre dans ce nouvel environnement ? Comment passer de la performance à un nouveau modèle ? Comment abandonner la performance et passer à une autre forme de société ?
Olivier Hamant est biologiste et chercheur, il se lève le matin stimulé par l’étude de la vie des plantes. Dans la nature, les systèmes robustes prospèrent parce qu’ils acceptent l’incertitude. Le chercheur s’inspire de cet environnement pour nous apprendre à vivre dans un environnement instable par le concept de la robustesse, et nous incite à appliquer ces principes naturels à nos systèmes économiques et organisationnels. Qu’est-ce que le concept de robustesse ? Comment se décline t-il dans nos modes organisationnels ? Comment inverser nos modes de pensée et passer de la performance à la robustesse ?
Grenoble 2040, est une démarche qui offre le temps et les moyens de se projeter dans des futurs souhaitables, individuellement et collectivement. Elle s’appuie sur une approche sensible et réaliste pour cultiver des espoirs lucides, pour dessiner collectivement un avenir désirable, et le construire ensemble.
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se départir du culte de la performance ... construire la robustesse ... paradoxe de l'anthropocène : les humains n'ont jamais autant été dans la nature mais jamais autant déconnectés d'elle ... bioéconomie circulaire, basée sur le carbone ... lowtechs ... citoyen co-acteur avec l'ingénieur ... Musk, l'ultraperformance toxique ... trump, symptôme a besoin de tout le monde ... mettre un pied dans la robustesse maintenant, de petits projets qui peuvent devenir dominants ... Grenoble, territoire pionnier ... fédération des territoires de robustesse ... ex Waloby Bruxelles ... révolution culturelle les émotions clé pour nous toucher. Vivre un moment d'arrêt ... émotion : le trouble, ce que cherchent un peu les artistes ... voire de sidération puis se poser des questions ... pour etre en dissonance ... les techniques de déprise sectaire, c'est ça, entrer en dissonance avec la secte. Ce trouble permet ensuite de créer du désir. Il peut faire peur. La vie, c'est le chemin, pas la destination. Que l'on connait, la mort ! L'émotion permet de vivre les fluctuations sur le chemin. C'est la robustesse.
... Comment disposer matériellement la salle et créer une ambiance sereine et propice aux échanges? Quelle préparation? Dans quel espace et ambiance?
Dans la pratique c’est très important et déterminant pour le processus de médiation » -Joëlle Dunoyer -( Extrait de https://www.linkedin.com/posts/joelle-dunoyer-mediation_perspectives-de-m%C3%A9diation-oodcast-live-activity-7224369245319569408-x4yY/
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Tr.: ... liberté de disposer de la salle ... que ça reste agréable ... adaptation, agilité ... /avocats : neutres, venus comme conseils, sinon les mettre en 2ème rangée ... confidentiel ... on n'a pas besoin d'avocats ... les accueillir, contact direct avec les parties, comédiation, tables-rondes ... laisse les parties s'organiser ... ça n'est pas figé, ouvrir les fenêtres, etc ... médiation transformative ... lumière naturelle, couleurs pas criardes, pour la neutralité ... médiation de groupes ... casser les hiérarchies ... pas de table ... un cercle ... tableau blanc toujours au cas où, l'avoir sous la main ... ex. /délit sexuel ... préparation importante ... selon le degré de tensions ... ça peut changer ... salle bien aérée ... peu de parfum /musique de fond : non ... visuel le plus neutre possible ... café, eau, thé ... indicateur quand les parties se parlent en direct ... photo calmante ... bouger, ne pas rester statique, observer, prendre des notes, dehors ... avoir des mouchoirs si pleurs ... contexte autour de la salle (accès, bruit) envoyer un plan, préparer les personnes ... salle d'attente ... mettre à l'aise, rassurer, confiance ... ambiance la plus positive possible ...
S'inspirer de la Nature pour Vivre dans un Monde Incertain - Olivier Hamant - Sortie le 14 févr. 2025 / Metabolism of Cities
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... la fin de la stabilité de nos sociétés. Nous rentrons dans un monde turbulent où les crises se multiplient tant locales que globales, sociales qu’écologiques.
Pendant deux siècles nous avons essayé de répondre à ces crises en optimisant nos systèmes mais aujourd’hui il devient clair que cette même optimisation est responsable de notre perte de contrôle et du dérèglement des systèmes écologiques et sociaux.
Si nous devons enterrer le culte de la performance et de l’optimisation, quel est le nouveau projet de notre société ? Et que peut nous apprendre le vivant face à un monde fluctuant et incertain ?
Pour parler de ces sujets, j’ai le plaisir d'accueillir Olivier Hamant. Olivier est biologiste interdisciplinaire, chercheur à l’Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement et directeur de l’Institut Michel-Serres dans lequel il explore la nouvelle relation de l’humanité à la Nature.
🔷 SOMMAIRE
00:00:00 Introduction
00:02:05 Polycrise et mythe de la stabilité
00:12:43 Pourquoi la performance est fragile ?
00:28:02 La robustesse du vivant
00:43:03 Les fausses solutions des ultra-puissants
00:59:31 Comment créer des territoires robustes ?
01:10:43 Recommandations
01:12:30 Crédits
🔷 RÉFÉRENCES
🌾 Livres d'Olivier Hamant
00:00:58 Antidote au culte de la performance
00:01:01 La troisième voie du vivant
📖 Oeuvres citées
00:32:33 L'origine des espèces - Charles Darwin
00:33:50 La filiation de l'Homme - Charles Darwin
00:40:09 Substract - Leidy Klotz
01:11:28 Homo confort - Stefano Boni
🖋️ Sources
00:42:19 Santé mentale et voiture : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25152...
00:51:27 Convention citoyenne lyonnaise : https://jeparticipe.grandlyon.com/pro...
01:04:40 Tumulte, jeu créé par la Métropole de Lyon : https://millenaire3.grandlyon.com/dos...
01:06:06 LaRobustesse.org https://larobustesse.org
01:06:31 Robustesse.org https://robustesse.org
01:06:43 EPR Academy https://epr.academy
▶️ Épisodes mentionnés
00:04:11 Olivier Hamant (Sismique) • Performance, turbulences et robustess...
00:07:50 Carlos Tavares (Le Parisien) • [PODCAST] Comment Carlos Tavares est ...
00:40:00 Alexandre Monnin (Metabolism of Cities) • Comment démanteler les Infrastructure...
00:53:02 Matthieu Calame (Metabolism of Cities) • Sauver l'Agriculture avec l'Agroécolo...
01:12:24 Olivier de Schutter (Metabolism of Cities) • Pourquoi la Croissance Crée la Pauvre...
Tr.: ... Syndémie, terme de Barbara Stiegler et Richard Horton (Lancet), ex. avec la COVID, c'est le système qui lâche ... on quitte le monde de la moyenne (des fluctuations) pour celui des écart types (ces fluctuations deviennent plus intenses, plus fréquentes, moins prévisibles), on ne se concentre plus du tout sur la tendance, mais sur le bruit, l'écart. Ex. inondations de Valence en Espagne 29/10/24 : du jour au lendemain 400 l d'eau par m2 en quelques heures ... c'est imprévisible, impensable. Ça fluctue tellement qu'on ne peut pas imaginer ni prévoir. C'est l'étude, le maintien et l'amplification de l'incertitude. Le monde de la polycrise est surtout imprévoyable et imprévisible ... Objets supraliminaires (concept de Gunther Anders) ... La moyenne n'est plus le sujet. Sécheresses plus violentes inondation idem ... Grandes gelées précoces / tardives. C'est plutôt la marge autour de la moyenne qui va augmenter.
...
CrowdStrike en juillet : une entreprise qui fait une erreur de mise à jour et tous les systèmes windows sont à plat !
un petit grain de sable fait sauter tous les systèmes ... cybersécurité : un monopole est fragile
...
Canal de Suez, un gros bateau, une bourasque de vent, le bateau se met en travers, c'est bloqué pendant des jours, des mois ... tous nos oeufs dans le même panier ... Carlos Tavarès, taliban de la marge, ont brûlé toutes leur innovation, ont perdu la culture ... optimisation aveugle qui n'a plus de sens ... nous ne sommes plus dans un monde stable
...
invention de l'agriculture ya 10 000 ans ... on a inventé la culture, on a sécurisé dans une forme d'abondance locale, forme de sécurité alimentaire ... productivité et performance, on n'a fait que continuer ... Renaissance, Colonisations, mécanisation au 19ème siècle (charbon, pétrole), on a tapé dans toutes les ressources disponibles, bref, on a déstocké au 20ème siècle très rapidement, donc abondance de ressources Et on arrive au bout de ça. Pas par manque de ressources (ya encore plein de pétrole, etc) mais à cause de l'effet boomerang, ce n'est plus viable, ni vivable. À moins d'être suicidaire, on ne peut plus continuer.
ÇA N'EST PLUS ABONDANT NI STABLE
C'est un mythe, ça a marché jusque là sans trop d'externalités négatives. Onétait dans l'ère des nouvelles frontières, on est rentré dans l'ère des rétro-actions. Aller sur Mars est un suicide, c'est une planète morte. À un moment, la croissance n'a aucun sens.
OPTIMISATION, PERFORMANCE = SOMME DE L'EFFICACITÉ (atteindre ses objectifs) ET DE L'EFFICIENCE( minimum de moyens) ex KPI (Key Performance Indicators).
L'optimisation est l'augmentation des performances ex plus vite, moins cher.
IL FAUT QUESTIONNER LA PERFORMANCE
Tout le reste sont des symptômes de la performance.
Ex. à l'université, j'ai un facteur H, facteur d'impact, classement de Shangaï ... ça pousse à publier plus, plus vite, donc la planche est de plus en plus savonnée. Ex. université de Saclay où on a mis tout sur un territoire pour enfin que la France soit dans les top 20. Mais le négatif, on forme l'élite de la nation sur un territoire perdu. C'est la loi de Goodhart (quand une mesure devient un objectif, elle cesse d'être une mesure fiable).Ça devient contre-productif.
Addage "celui qui a atteint son objectif a manqué tous les autres" !
Un sportif qui veut vraiment gagner va détruire son corps soit en travaillant trop, soit en se dopant, etc.
Avec un indicateur de performance, qu'est-ce que je fragilise ?
C'est une loi systèmique indépendante du système (fourmilière, humains, etc).
C'est culturel d'être conscient ou non des arbitrages. On ne voit le monde que par l'optimisation.
Pourquoi ?
Ex. arriver plus rapidement...
La destination, on la connaît, il n'y aura pas de survivants !
Ça revient donc à mourir plus vite...
Il ne s'agit pas d'annuler la performance : pompiers, médecins, utiles.
Mais pas tout le temps.
Des êtres vivants en environnement riche et stable, font de la performance. C'est l'abondance qui le crée !
Et aussi le pouvoir, le fait que les humains inventent l'écriture. Ça a été utile mais aggravé le pb car on peut spéculer sur la performance.
Le modèle économique libéral (Friedrich Hayek, Milton Friedman, William northaus) disait que l'optimal de température sur terre était de 3,5°C !
C'est l'économie dominante, enseignée dans toutes les écoles de commerce. Et DÉLIRANTE !
A intégré le mythe et en a fait une science !
Autre ex. dans le vivant : les Cirripèdes (monographie de Charles Darwin) une est parasite de la peau de requin. Il meurt avec lui !
Autre ex. le Bloom algal, bactérie des algues pullulent, prolifèrent, monobloc, mais les nitrates épuisés, ya plus rien... Effondrement.
La stratégie d'optimisation est donc parasitaire.
Courtermisme, rapport au temps, donc ouvrir le temps long est un piège. Par manque de temps, il faut se reconnecter à son espace.
Les êtres vivants le font depuis toujours !
LA ROBUSTESSE DU VIVANT
Capacité à se maintenir malgré les fluctuations. Et à long terme, maintenir se viabilité malgré les variations.
COMMENT ? car ils NE SONT PAS PERFORMANTS !
La sous-performance nourrit la robustesse. Ex. le couteau suisse plus lourd mais...
Il y a donc un axe robustesse/performance.
La survie est le produit des marges de manoeuvre.
On peut ne pas se nourrir pendant 15 jours, nos yeux au repos, etc.
Darwin parlait de préservation, pas de sélection naturelle.
Il faut de l'hétérogénéité, c'est du laboratoire.
Il y a un moment de performance du lion, le reste du temps non.
C'est un équilibre.
7 PRINCIPES DE LA NATURE :
lenteur, inefficacité, hétérogénéité, incohérence, incertitude, redondance, inachèvement.
C'est plus joyeux.
Le chemin de traverse, on rencontre du monde, c'est le système d.
...
Ajouter un élément est le contraire.
Modifier les interactions change la trajectoire, éducation aux interactions après avoir déconstruit.
Ex. la voiture électrique non : augmenter le nombre de voitures partagées, crée des emplois, du lien social, du covoiturage, etc Car une voiture à l'arrêt 95% du temps.
BIAIS D'ADDITIVITÉ
Cf Substract libre de Leidy Klotz
Cesser d'ajouter dans un monde instable... c'est systémique.
Le taux de circularité de l'économie chute. Donc d'abord enlever le linéaire pour changer le circulaire.
LA ROBUSTESSE DOIT ÊTRE GLOBALE sinon elle empire la chose
économique, humain, etc
Marcher, transp en commun -> augm santé mentale.
LES FAUSSES BONNES SOLUTIONS :
l'IA, les algorithmes, c'est comme un alien ! Qu'est-ce qu'on en fait à notre service ou non ?
Le positif, la sérendipité. Ex. contenus inconnus au service de la robustesse. C'EST TOUT.
...
révolution culturelle ... à ce niveau de centralisation, c'est très fragile ... initiatives locales ... on va voir les ultra-performants tomber car ils sont ultra-fragiles ... les plus robustes vont survivre ... c'est une garantie ... polyactivité comme le mouvement des slasheurs ... la sécurité sociale ... le salaire attaché à la personne Bernard Friot (salaire à vie), Maurice Thorez ... qui a fait tourner la société ? le service public ... le soin, le social, les coopératives ... Olivier Bouche ... stress-test ... Wallonie a acté que le monde est fluctuant ex délais le plus fiable fiabilité ... Grenoble, Lyon ... concept transversal ... Jeu Tumulte ... gros stocks ... larobustesse.org de Gatien Bataille, Laurent Marseault et Olivier Hamant ... joie ... retourne à sa recherche sur les plantes.
Annecy : se poser les bonnes questions.
/Résilience (capacité à se maintenir, s'adapter et se transformer dans un mond dynamique) Carl Folke Stokholm, sa première étape, c'est la robustesse !
Meilleure chance de créer du progrès ...
Agorakit est un logiciel collaboratif de travail en équipe - Fabriqué avec soin en Belgique
En créant des groupes, les participants peuvent discuter, fixer des dates, partager des documents et tenir tout le monde à jour.
... forum, un calendrier, un gestionnaire de fichiers, un outil de cartographie et de notification par email.
Agorakit est un logiciel libre en constante évolution.
...
utilisé depuis 2015 par plusieurs mouvements d'envergure, tels que le Réseau Transition. Des milliers d'associations, d'écoles, de groupes informels l'utilisent également à travers le monde sur l'Agora partagée.
...
licence AGPL
...
Hébergement infogéré
...
info@agorakit.org
...
Où est hébergé Agorakit?
En France, chez Alwaysdata, hébergeur + qui a des valeurs (transparence, green-it, open source).
... propose une sauvegarde quotidienne sur 30 jours.
-> https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?MzX4Ug
énergie aussi nucléaire :-(
Microbiome https://fr.wikipedia.org/wiki/Microbiome
...
est l'« aire biotique » du microbiote, le mot microbiote désignant ici les espèces autrefois regroupées sous le terme « microflore », c'est-à-dire celles qui prédominent ou sont durablement adaptées à la surface et à l'intérieur d'un organisme vivant. Wikipedia (FR)
Ce terme est introduit en 2001 par le généticien et microbiologiste américain Joshua Lederberg pour intégrer la notion d'une communauté écologique comprenant symbiotes, commensaux et pathogènes partageant l'espace corporel humain, dans le but de reconnaître leur fonction de déterminants de la santé et de la maladie2.
...
d'après Pascale Cossart « on parle de "microbiote" pour désigner l'ensemble des espèces microbiennes présentes dans un environnement, et de "microbiome" quand il s'agit de l'ensemble des gènes présents dans ce microbiote »3.
Concepts scientifiques mobilisés
Le microbiome est l'expression des conditions écologiques de ces milieux (température, pH, teneurs hormonales, en graisses, en protéines, exposition aux UV, absence de lumière, type de muqueuse, etc.), conditions auxquelles vont répondre les communautés microbiennes en cause, individuellement et/ou collectivement, et qu'elles peuvent modifier ou entretenir à court et moyens termes, mais aussi sur le long terme, c'est-à-dire celui de l'évolution, ou plus précisément de la coévolution du microbiote avec ses hôtes.
... embrasse les notions de communauté microbienne, de biodiversité microbienne (en nombre d'individus, les microbes sont les organismes les plus nombreux sur terre4), d'écologie microbienne et d'interactions durables et fonctionnelles entre micro-organismes, entre eux et l'organisme, ou entre eux et différents organes (allant du simple commensalisme jusqu'à la symbiose, endo- ou ectosymbiose).
Il a, de plus en plus, aussi des bases génétiques. Par extension, le microbiome peut également désigner la somme des génomes des micro-organismes vivant dans ou sur un organisme animal ou végétal (hors état pathologique). Un séquençage collectif de ces organismes est possible (métagénomique), applicable à un écosystème complet5.
Cette notion est issue du concept de commensalisme théorisé par Pierre-Joseph van Beneden durant la seconde moitié du XIXe siècle6.
...
- Stéphane Blanc, Gilles Boëtsch, Martine Hossaert-McKey et François Renaud, Écologie de la santé, Le Cherche midi, 2017 (ISBN 9782749154251), p. 184.
- (en) Joshua Lederberg et Alexa T. McCray, « 'Ome sweet 'omics : a genealogical treasury of Words », Scientist, vol. 15, no 7, 2 avril 2001, p. 8 (lire en ligne [archive], consulté le 8 décembre 2021).
- Cossart 2016, p. 90.
- Yeoman, C.J.; Chia, N.; Yildirim, S.; Miller, M.E.B.; Kent, A.; Stumpf, R.; Leigh, S.R.; Nelson, K.E.; White, B.A.; Wilson, B.A.(2011) Towards an Evolutionary Model of Animal-Associated Microbiomes [archive] ; Entropy 2011, 13, 570-594 (résumé [archive]), article publié en licence CC-BY-SA
- « Définition | Microbiome [archive] », sur futura-sciences.com (consulté le 8 décembre 2021).
- Brice Poreau, Biologie et complexité : histoire et modèles du commensalisme (Thèse de doctorat en Histoire, philosophie et épistémologie des sciences, des techniques et des technologies), Lyon 1, 4 juillet 2014 (lire en ligne [archive]).
...
Christophe Cassou @cassouman40
Les aléas météo dopés par le CO₂ qui s'accumule dans l’atmos, et aux conséquences sans précédentes, peuvent toucher toutes les régions du monde, même ajd avec un réchauffement de 1.3°C.
Des limites a l'adaptation existent; le déni de notre vulnérabilité se lève...de force.
Fil🧵
Citation
Sébastien Brana @SebastienBrana · 19 oct.
Vidéo (rare, me semble-t-il) montrant la formation d'un embâcle sous le pont de la commune de Limony (07), entrainant quasi-instantanément le débordement de la la rivière (La Limony) sous la forme d'une "vague" si souvent décrite par des sinistrés.
Source Facebook Météo Pilat 42
Vidéo intégrée
8:05 PM · 19 oct. 2024 · 29,8 k vues
- 16h L’adaptation est indispensable mais doit être menée en synergie avec la baisse des émissions de gaz à effet de serre (atténuation).
La réussite de l'adaptation est conditionnelle au succès de l’atténuation car il existe des limites dures, irréversibilités, points de rupture...
2/ - 16h Sans atténuation, l'adaptation ne peut contenir les risques: de facto, elle est souvent rassuriste.
Dans le moment politique actuel, un très grand nombre d'acteurs s'est emparé du cadre de l'adaptation & le manipule/détourne allégrement par clientélisme politique/électoraliste
3/ - Chaque ⅒ de degré additionnel rend l'adaptation +complexe car tous les risques entraînant une insécurité croissante dans tous les secteurs (sanitaire, alimentaire, sociale et politique) augmentent simultanément.
Ils ne s'additionnent pas mais se renforcent mutuellement.
4/
Image - L’adaptation reste souvent incrémentale, locale ou limitée à un segment d’activité. L’écart entre planification & mise en œuvre continue de se creuser & les acteurs publics & privés restent mal préparés.
La France fait des rapports mais n’implémente pas ensuite [#GIEC chap13]
5/
Image - L'adaptation doit aussi se faire en synergie avec la protection du "non-humain"/biodiversité. Les solutions fondées sur la nature sont très efficaces avec des convergences pour la biodiversité mais leur efficacité se réduit avec chaque ⅒ de réchauffement.
6/ - Les risques principaux ont été évalués sur l'Europe dans le dernier rapport du #GIEC Groupe 2 - Chapitre 13. Leur évolution en fonction des niveaux de réchauffement est connue et claire. Personne ne peut dire qu'il ne sait pas.
7/
Image - Regarder dans le rétroviseur pour l'adaptation & gestion de risque est gage d’impréparation. Raisonner en temps de retour n'est pas pertinent en climat qui change pour l'adaptation. Une crue centennale n'est déjà plus centennale aujourd'hui mais cinquantenale voir décennale
8/ - Ex. des canicules: l’été 2022 impossible il y a un siècle, est un événement de temps de retour ~décennal aujourd'hui mais on le vivra une année sur deux vers 2050, c'est a dire la norme. Voir le 🧵sur l’impossibilité future d'organiser des JO d’été en 🇫🇷
9/
Citation Christophe Cassou @cassouman40 · 29 juil.
Considérant la trajectoire actuelle des émissions, c'est probablement la dernière fois de l'Histoire que Paris organise des #JeuxOlympiques en été
Spoiler:🥇#canicules
Un🧵fil voyage dans le temps en suivant non plus la Seine mais la course du réchauffement!👇
Prêt? Partez!
1/
... - Pour l'adaptation, se focaliser sur l’aléa (qte de ⛈️, record de tempé, etc.) occulte les dimensions exposition/vulnérabilité et dynamique sociale du risque. L'adaptation doit inclure l'ensemble des dimensions vers plus de justice et d'équité face a une insécurité croissante
10/ - Le cadre de l'adaptation (accès et prise de décision) doit être transparent, inclusif, partagé dans la coopération, la prise en compte des capacités d'agir différentiées, etc. pour éviter la maladaptation qui verrouille les options d’atténuation & a terme renforce les risques
FIN
...
L’unité est prête à s’emparer d’une vaste gamme de thèmes liés à toutes les formes de médiations dans l’espace des sociétés. Le nom de l’unité renvoie aux formes les plus diverses et le plus larges des mises en relations. Par son étymologie même, il fait directement écho à tous les milieux et tous les environnements et à la place des femmes, des hommes et des sociétés.
...
La MÉDIANCE, le concept popularisé par Augustin Berque (emprunté au fûdosei de Tetsurô Watsuji) peut éventuellement être mobilisé. Il renvoie à l’idiosyncrasie d’un certain milieu, c’est-à-dire la relation d’une société à son environnement.
Les patrimoines, la patrimonialisation et les trajectoires patrimoniales, les paléoilieux et les environnements de l’anthropocène sont particulièrement étudiés. C’est aussi le cas des circuits productifs et distributifs, de l’alimentation et des MÉDIATIONS sociales et culturelles qui lui sont associées.
Les différentes formes de MÉDIATIONS et d’INTERMÉDIATIONS autant que les processus et les politiques de REMÉDIATION sont abordés de façon concrète et appliquée, notamment dans le contexte de l’urbanisation.
...
Des paléo-écosystèmes à ceux de l’anthropocène, de la géo-archéologie aux contextes actuels de l’urbanisation généralisée et des différentes formes de mondialisation, la fabrique des paysages s’inscrit dans des processus cumulatifs et dans des dynamiques complexes et en INTER-RELATIONS.
...
La notion de MÉDIATIONS est de fait omniprésente. Les individus autant que les sociétés, les regroupements familiaux autant que les collectifs (fondés sur des appartenances territoriales, des métiers et des savoir-faire, ou encore le partage d’une ou de plusieurs ressources) assurent des transactions entre eux et avec leurs environnements ; ils évoluent ensemble et avec eux. Milieux et environnements sont
ainsi co-construits.
...
coprésence dans un lieu (sociabilité de la pratique collective) ... La prégnance des internets et des réseaux sociaux vient complexifier en dotant les individus d’une projection continue dans de multiples lieux faisant passer du régime de double absence à celui des présences multiples et venant fortement renouveler le débat sur la participation effective à ce qu’est la vie en société.
...
L’INTÉGRATION DE l’UNITÉ DE RECHERCHE MÉDIATIONS
DANS LE PROJET DE L’ÉTABLISSEMENT SORBONNE UNIVERSITÉ
ET DE LA FACULTÉ DES LETTRES
... objectif d’être au coeur ... Parce qu’elle est par définition une science à l’interface de plusieurs disciplines, la Géographie ... construction d'une société post-COP21 ... futur Institut de la Mer. ...
La Gouvernance de l’Unité
...
LE LABORATOIRE JUNIOR DE MÉDIATIONS
...
Accompagner et accélérer vos projets au service d’un numérique inclusif
Fort de notre expertise en matière de projets alliant numérique et innovation sociale, nous accompagnons les structures à chaque étape de leur développement. De l’émergence, au passage à l’échelle, jusqu’à l’évaluation, nous saurons vous conseiller dans la mise en oeuvre de stratégies et de projets à fort impact social au service d’un numérique inclusif.
Accompagnement au stade de l’incubation
Nous accompagnons l’émergence de vos projets d’innovation sociale et numérique dans le cadre de dispositifs d’incubation spécifiques développés en partenariat avec ATIS.
Vous êtes au stade de l’idée et vous souhaitez être accompagné ? Vous souhaitez développer une nouvelle activité d’inclusion numérique au sein de votre structure déjà existante ? Bénéficiez d’un accompagnement par l’incubateur « innovation sociale » qui soutient également les projets d’inclusion numérique !
Accompagnement au changement d’échelle
Vous avez développé une solution efficace répondant aux enjeux de l’inclusion numérique et vous souhaitez être accompagné pour définir votre stratégie de développement ou de changement d’échelle ?
Nous vous conseillons et vous accompagnons sur tous les aspects de votre projet – stratégie, financement, opérationnel – afin de maximiser son potentiel et son impact en faveur des personnes en difficulté avec le numérique.
#Essaimage #Diffusion #Financement
Transfert de savoir-faire entre pairs
Vous souhaitez bénéficier d’un partage d’expérience et d’un transfert de compétences par le porteur d’un projet d’inclusion numérique que vous envisagez de développer au sein de votre structure ?
Nous vous proposons de mobiliser le dispositif « Transfert de savoir-faire » afin de définir avec vous et de financer un accompagnement sur-mesure réalisé par un acteur de terrain qui vous partagera sa compétence et ses connaissances.
#Expertise #Partage #Valorisation
Conseil, formation, évaluation
Nous proposons aux acteurs territoriaux, collectivités locales et opérateurs de services publics, de les accompagner pour répondre aux enjeux de l’inclusion numérique sur leur territoire.
Vous souhaitez être accompagné pour la définition, la mise en oeuvre ou l’évaluation d’une stratégie d’accompagnement au numérique de vos publics ? Contactez-nous !
#Territoires #Co-construction #Passnumérique
Qui sommes-nous ?
Un Hub territorial pour un numérique inclusif
HUBIKOOP est un des 11 lauréats de l’appel à projets « Hub territorial pour un numérique inclusif » de la Banque des Territoires et de l’Etat via la Mission Société Numérique. Notre équipe est basée à Bordeaux et nous intervenons sur l’ensemble de la Nouvelle-Aquitaine.
Plus d’informations sur l’appel à projets
Les Hubs territoriaux sont des structures intermédiaires dont le rôle est de renforcer les actions d’accompagnement au numérique en appuyant les collectivités locales, les acteurs de terrain, les opérateurs de service public ou encore les entreprises souhaitant s’impliquer sur la thématique.
Un partenariat à l'origine de HUBIKOOP
Face à la nécessité d’apporter des réponses à grande échelle aux besoins des citoyens en difficulté avec le numérique, ATIS et Médias-Cité se sont associés en joignant leurs expertises respectives de création et d’accompagnement d’entreprises répondant de manière durable aux besoins des territoires, et de conception de projets visant à rendre possible l’appropriation du numérique pour le plus grand nombre.
Après une période d’incubation au sein de ces deux entités, Hubikoop est aujourd’hui une Société Coopérative d’Intérêt Collectif à part entière !
- ATIS accompagne depuis 2010 l’émergence et le développement d’entreprises socialement innovantes : recherche de réponses nouvelles, pérennité du modèle économique, création ou maintien d’emplois, aide à l’implantation. Sont ciblés les projets à fort impact social et économiquement pérennes, créateurs d’emplois.
- Médias-Cité est une coopérative d’intérêt collectif (SCIC) spécialisée depuis 1998 dans la conception et l’appui d’actions et de projets en faveur de l’innovation sociale et numérique. Elle ambitionne de faire que le numérique soit accessible au plus grand nombre et que tous les citoyens puissent se saisir des opportunités qu’il offre.
Une Equipe
- Clément Dulude, Directeur du développement
Après un cursus en management et deux ans passés à la Caisse des Dépôts dans le financement de projets d’intérêt général et d’aménagement du territoire, Clément s’est spécialisé sur les questions d’innovation sociale et de financement de l’économie sociale et solidaire au sein de la Direction Générale du Trésor pendant trois ans.
Il a rejoint Hubikoop à son lancement pour impulser son développement en Nouvelle-Aquitaine. - Clélie Albert, Chargée de développement territorial
Suite à des études en management et des premières expériences dans le domaine du conseil, Clélie se tourne vers le secteur de l’Economie Sociale et Solidaire local dans lequel elle évolue depuis 2014. Après 3 ans au sein de la Ruche Bordeaux, tiers-lieux et incubateur dédié à l’innovation sociale, elle rejoint Bibliothèques Sans Frontières pour coordonner le programme Voyageurs du Numérique en Nouvelle Aquitaine.
Elle intègre l’équipe d’Hubikoop en Octobre 2019 en tant que chargée de développement territorial afin d’accompagner les territoires au plus près du terrain. - Emilie Peytavin, Chargée d’accompagnement
Emilie a suivi une formation en droit, sciences sociales et économie et s’est spécialisée en aménagement du territoire et développement local. Elle a été responsable d’une association de déménagement solidaire puis a travaillé à la CRESS Nouvelle-Aquitaine sur la lutte contre les discriminations dans l’ESS et l’accompagnement de dynamiques régionales d’utilité sociale avant de rejoindre l’équipe d’ATIS qui œuvre pour l’émergence et le développement d’entreprises socialement innovantes.
Elle a rejoint Hubikoop à son lancement pour travailler sur la question des modèles économiques de l’inclusion numérique et des besoins des territoires en la matière.
Des soutiens
Dans le cadre de l’appel à projets « Hubs territoriaux pour un numérique inclusif », HUBIKOOP est soutenu par la Banque des Territoires, l’Etat via le programme Société Numérique, ainsi que le Fonds Social Européen et la Région Nouvelle-Aquitaine dans le cadre du Programme Opérationnel Ex-Aquitaine 2014-2020.
Propriétaire du site
Médias-Cité
Société Coopérative d’Intérêt Collectif (SCIC SARL)
87 Quai des Queyries – 33100 Bordeaux
Enregistrée au RCS de Bordeaux sous le numéro 422 082 602 00042
Connu / https://pretalx.jdll.org/jdll2023/talk/MAFWTX/
*Ndlr : quel sens "une société numérique" ?? Q
"Et si les morts pouvaient aider les vivants à transformer le monde ?", nous invite à penser Vinciane Desprets, dans son nouveau livre, "Les Morts à l'oeuvre". Revivre en travaillant moins, c'est l'utopie réaliste à laquelle nous convie Hadrien Klent, puisque "La vie est à nous"...
Avec
- Vinciane Despret Philosophe, professeure à l’université de Liège
- Hadrien Klent Écrivain
Vinciane Despret
Et s’ils étaient toujours là ? Dans les notes d’une musique, un jardin perpétuellement fleuri, une sculpture ? Et si nos morts, à travers la médiation d’une œuvre d’art créée en leur souvenir, avaient le pouvoir de nous faire bouger, nous transformer, nous augmenter, peut-être, même de changer le monde ? C’est la thèse de notre première invitée ce soir : la philosophe Vincianne Despret, dans son dernier ouvrage, Les morts à l’œuvre (La Découverte, 2023).
Hadrien Klent
Libérer les humains du travail, c’est la proposition d’Emilien Lelong, économiste fictif imaginé par Hadrien Klent dans son roman, Paresse pour tous (2021). Après le succès de ce premier tome, l’auteur revient avec La vie est à nous (2023) pour appliquer le programme de son héros devenu Président de la République. Il imagine un monde nouveau dans lequel la notion de « coliberté » remplace celle de « paresse », un monde où la durée légale de travail est passée à quinze heures hebdomadaires…sans que le pays ne s'effondre ! Convaincu qu'un modèle alternatif est possible, Hadrien Klent affirme qu’une utopie politique peut bel et bien être réaliste et nous explique pourquoi.
Chroniques
- Pierre Schneidermann de chez KONBINI nous emmène faire un tour sur Youtube, où se déroule une petite révolution quant au doublage automatique des vidéos... Fini les sous-titres ?
- Et Emmanuelle Vibert de la revue WE DEMAIN nous parle de ces médecins «ambulants» qui vont rejoindre la «flotte de services itinérants» qui sillonnent de nouveau nos régions suite à une annonce d'Elisabeth Borne en juin dernier.
Chroniques
- Comment les morts peuvent-ils augmenter la vie ?
- Et si les morts pouvaient aider les vivants à transformer le monde ?
- Comment les morts peuvent-ils augmenter la vie ? Comment peuvent-ils nous aider à trouver notre place, à transformer nos liens, nous faire voyager, enquêter et pourquoi pas transformer le monde ? C’est la thèse la philosophe Vincianne Despret. Des idées pour un monde nouveau 9 min
Clés Sciences et Savoirs Philosophie Vinciane Despret
A l’issue de cette initiation vous saurez :
Être capable d’auto-construire une éolienne domestique de type PIGGOTT allant de 300 à 2000 Watts
Durée totale 5 jours / 35 heures
DATES Horaires
28 aout au 1er sept - 9h00 à 12h30 et 14h00 à 17h30
Animé par Maxime Fouillat 06 67 45 59 06
Tarifs en co-responsabilité financière
A l’Oasis du Coq à l’Âme, les tarifs des produits vendus et des services proposés ne sont pas affichés. Ils sont remplacés par des valomètres, sorte d’échelle de valeurs, permettant à toute personne de participer en conscience, en co-responsabilité financière, et par solidarité en permettant l’accès à des publics “en difficulté”.
Connu / lettre d'info de août 2023
Ndlr : valoriser par https://framapiaf.org/@JLPM/110836617519671240
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Par l'Oasis du coq à l’âme & l’Asso. TRIPALIUM
#ÉnergieÉolienne #Autoconstruction #Coopération #Solidarité #ÉoliennePiggott #Charente #Manslois #Cellettes #OasisDuCoqÀlâme #Tripalium #CoÉco #PLPDLA
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ACT
Le philosophe Pierre Crétois poursuit ses travaux sur la notion de propriété qu’il avait déjà explorée dans La Part commune (2020). Son nouvel ouvrage, « La copossession du monde. Vers la fin de l’ordre propriétaire » (2023) paru aux Éditions Amsterdam, tente de démontrer que l’intérêt économique ne se confond pas avec le bien commun. Selon l’auteur, un radical changement de perspective s’impose : il faut remettre des principes autonomes de justice pour remettre la propriété à sa place et l’envisager non plus comme le socle de la vie en communauté mais, au contraire, comme une modalité du commun intégrant les droits d’autrui et ceux des générations futures. Extraits choisis de l’introduction.
L’État n’est pas impuissant face à l’ordre propriétaire, il est, au contraire, la puissance qui le fait exister et en garantit la stabilité sur le long terme : devenu une nécessité constitutive des marchés, il joue pleinement son rôle.
En revanche, dans un cadre de pensée néolibéral, un État qui essaierait de conformer les états changeants du marché à un idéal surplombant de justice sociale ou environnementale risquerait de porter atteinte à la fois à la liberté et à la promesse d’opulence collective portée par l’ordre propriétaire dont il est le fondement et le garant. Cette situation où l’État se limite à faire exister les marchés stables sans intervenir sur eux au nom d’idéaux de justice transcendants constitue un effondrement du politique dans l’économique, effondrement qui s’exprime dans les représentations mêmes des citoyens.
Pour prendre un exemple éloquent, ce ne serait pas à l’État de prendre en charge les crises sociales ou écologiques, mais au « consommateur responsable » de le faire en achetant « éthique » ou « bio » parce que ce n’est que par le bas et par nos actes d’achat que nous pourrons changer les choses.
Notre volonté politique se jouerait dans les magasins
Émerge une situation nouvelle et paradoxale : la formation de notre volonté politique ne se jouerait plus tant dans les urnes que dans les magasins. Nous avons manifestement accepté l’idée que le rôle de l’État se réduise à assurer l’existence de marchés qui fonctionnent bien, c’est-à-dire capables d’assurer la liberté du consommateur – par exemple, en favorisant l’émergence d’alternatives dites « éco-compatibles » ou l’information par des étiquetages ad hoc, comme les étiquettes énergie ou le Nutri-Score.
Par ailleurs, on a aussi tendance à assigner à la consommation le rôle de désigner les biens et services qui doivent continuer d’exister et ceux qui doivent disparaître. Aussi, pour qu’un cinéma, un bureau de poste ou une librairie restent ouverts, il faut qu’ils trouvent leurs clients et soient rentables. L’idée que l’État puisse artificiellement aider des services non rentables à survivre ou contribue à faire produire des biens non lucratifs au nom du bien commun ne semble plus avoir droit de cité. On gère les hôpitaux, les universités, les bureaux de poste comme des établissements privés. Comptabilité publique et comptabilité privée tendent à s’aligner, au point qu’il apparaît contraire à la raison que les biens socialisés puissent être gérés sur un autre modèle).
Laisser les problèmes du monde aux marchés ?
Même si l’on sait bien que les marchés font naître des désirs qui ne leur préexistaient pas, on entend souvent que ce sont les consommateurs qui mèneraient la danse. Si les acteurs veulent que des biens et services existent, il ne tiendrait qu’à eux d’être assez nombreux à les acheter pour assurer la rentabilité de leur commercialisation.
L’État n’aurait pas à se substituer au marché pour dire ce qui doit être ou non. Inversement, il semble toujours compliqué de contester l’existence d’un procédé de production destructeur et polluant, s’il contribue à « produire de la valeur » et à « créer de l’emploi ». Et les contraintes écologiques qui auraient pour effet d’interdire telle ou telle production sont encore perçues comme des freins à la croissance. Si l’on veut que les procédés de production changent, ce ne serait pas à l’État mais à la pression du consommateur que reviendrait de plus en plus la charge d’infléchir le cours des choses en montrant que l’entreprise privée a plus à perdre qu’à gagner à continuer de polluer.
Être ou ne pas être ? Dans ce nouveau cadre, c’est aux marchés de répondre à cette question, et non plus à ce qui pourrait être une volonté politique – volonté par exemple de faire exister ce que les marchés vouent à la disparition. Mieux encore, pour répondre au défi climatique, certains considèrent qu’il est inutile d’envisager des mesures politiques coercitives : la propriété et les marchés règleront le problème bien mieux que le dirigisme étatique.
En effet, ce qui conduit aux situations tragiques de surexploitation et de pollution des ressources naturelles, c’est l’absence de propriété, le fait que tout soit à tous, que les ressources soient partagées, bref l’absence d’ordre économique efficient. De la même manière, pour résoudre le problème de la pauvreté et du sous-développement économique dans les pays émergents, la solution de la Banque mondiale a longtemps été de favoriser l’apparition de nouveaux marchés : le marché du foncier, le marché de l’eau…
Peu importe s’il y a des effets externes, des révoltes et un appauvrissement de ceux qui se trouvent privés de l’accès à la terre ou à l’eau. L’essentiel, selon cette idéologie, est que ces nouveaux marchés donnent une valeur à ce qui n’en avait pas et produisent mécaniquement de la croissance économique, de la richesse. […]
Repenser la propriété comme une modalité du commun
Cependant, pour le dire d’un mot, la confiance aveugle dans la capacité de l’ordre propriétaire à avoir des conséquences mutuellement avantageuses est de plus en plus mise en doute et doit être questionnée. […] Il s’agit de demander à l’État de se ressaisir du rôle spécifique qui doit être le sien : non pas seulement garantir les droits privés, mais porter à l’existence des objectifs proprement politiques et prendre en charge les questions collectives d’ordonnancement social à long terme. Dès lors, il faut imposer des limites à l’ordre propriétaire au nom de ce que les membres d’une même société politique veulent, non plus en tant que consommateurs mais en tant que citoyens, refaire droit à ce que les individus qui prétendent faire société ensemble se doivent les uns aux autres et redonner avec force toute sa place au commun.
Enfin, il convient de considérer la propriété non comme la base première de la vie en communauté, mais, au contraire, comme une modalité du commun. Tels sont les différents pans de la démonstration que j’essaie de construire dans le cadre de cet ouvrage.
Comment considérer comme légitime une institution comme le droit de propriété, alors qu’elle permet au propriétaire d’exclure complètement autrui de ce qui lui appartient sans même intégrer dans sa définition, et de façon explicite, ce que nous nous devons les uns aux autres (en dehors de cette promesse de l’enrichissement mutuel), voire ce que nous devons à la nature ? Je ne proposerai donc pas une limitation de la propriété – solution de l’économie classique – mais défendrai une refondation contractualiste de celle-ci à partir des exigences du commun.
Ce que nous nous devons les uns aux autres
Mon propos peut se résumer par la formule de Thomas Scanlon – que je me permettrai d’utiliser librement : ce que nous nous devons les uns aux autres. Ce que nous nous devons les uns aux autres ne peut se réduire au respect de ce qui appartient à autrui, mais devrait pouvoir faire l’objet de négociations démocratiques et/ou d’une réflexion à partir de principes politiques indépendants.
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La copossession du monde, Pierre Crétois, Ed. Amsterdam. CC BY-NC-ND
Connu / mel du 15/04/2023 10:36 [echanges]
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Du philosophe Pierre Crétois, de ses travaux sur la notion de propriété (l'article complet ici et ci-dessous):
"Ce que nous nous devons les uns aux autres ne peut se réduire au respect de ce qui appartient à autrui, mais devrait pouvoir faire l’objet de négociations démocratiques et/ou d’une réflexion à partir de principes politiques indépendants.
Aussi, contre la représentation d’une propriété des choses qui ancre la possibilité d’écarter absolument autrui de ce qui est à soi, il s’agira bien plutôt, si l’on vise la justice, d’inscrire dans la définition même des droits de propriété les droits d’autrui, des générations actuelles et des générations futures.
La condition d’une telle refondation est que les choses ne puissent plus appartenir exclusivement à qui que ce soit et qu’elles soient considérées comme coappartenant à tous ou comme étant copossédées. Dès lors, il serait impossible de se dire propriétaire d’une chose ; tout au plus pourrait-on posséder certains droits sur les choses, droits compatibles avec ce que nous nous devons les uns aux autres […].
Être propriétaire, ce n’est pas avoir une chose à soi à l’exclusion des autres mais avoir une chose toujours en partage avec les autres, de sorte que les droits qui portent sur cette chose incluent et prennent en compte le point de vue des autres."
Claude Jourdren, Assistance & Conseil | Administration Finance
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puis
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Les meilleurs organismes de valorisation du territoire, et de loin, sont les ménages et les communs (comme l'a démontré Ostrom). Ils ne sont pas démocratiques, mais quelque chose de mieux : l'intelligence collective et le partage en temps réel de l'information utile ; pour une raison très simple : leur fonctionnement permet l'action immédiate ad hoc sans délibération en respectant les potentiels de chaque membre. Bernard Garrigues
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Ndlr : piste pour PLPDLA ? Vérifier ACT
Répondu : plus d'infos sur le projet avant l'été / Cécile pour l'asso Cuisine Culture et Voisinage
Nous sommes un collectif de victimes et de professionnel·le·s bénévoles.
Nous sommes nés de la nécessité d’ouvrir des groupes de parole car nous en avons constaté les multiples effets positifs.
Notre ambition est d’en créer dans toutes les grandes villes de France.
Nous avons décidé d’unir nos forces et de mettre nos compétences en commun afin de proposer l’aide la plus large possible aux victimes d’inceste et de pédocriminalité.
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L’association voit le jour en avril 2019
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Forts de leur expérience de l’animation des groupes de parole, les bénévoles du CAIIP font évoluer le dispositif pour renforcer l’esprit de collectif qui est dans l’ADN de l’association autour de deux grands axes :
- La co-animation des groupes de parole afin de permettre aux participant.e.s de collaborer de manière plus active et favoriser ainsi l’autonomie des Groupes de Parole
- La formation à l’animation des Groupes de Parole
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En 2020 ... Groupe de Parole en visioconférence
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Les articles réalisés à partir des retranscriptions anonymisées
2021 est l’année de la structuration de l’association avec l’organisation de pôles : Groupes de Parole, comité sujets, communication, projets- innovation, éthique… Nous accueillons de nombreux bénévoles pour réaliser ces différentes missions.
Nous sommes très actifs durant le confinement ! Nous travaillons sur les retranscriptions anonymisées des groupes de parole. Nous réalisons avec les stagiaires psychologues des articles publiés sur notre site internet. Le comité rédactionnel est né ! Rebaptisé aujourd’hui « le Pôle transmission », car notre premier objectif est de redonner aux participant.e.s un éclairage sur le thème qu’ils ou elles ont pu aborder durant les mois précédents.
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Juin 2021, nous lançons une enquête de satisfaction pour évaluer nos Groupes de Parole
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Janvier 2022, lors d’une assemblée générale extraordinaire, nous votons l’adhésion à 0 euro pour permettre à tous et toutes de bénéficier gratuitement des groupes de parole
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Décideurs engagés
13H23 - jeudi 29 juin 2017
Monde
La révolution numérique ne peut se faire qu’avec le sens pour raviver la dimension de « projet pour le monde » de l’entreprise. Tribune de Gilles Auberger.
« Faire grandir les marques qui font grandir les gens », Gilles Auberger est conseil en stratégie mais il aime se présenter comme « accordeur why-how-what ». Il est le co-auteur avec Thierry Meynle, Jeremy Grégoire et Salah-Eddine Benzakour du livre « 21 clés pour activité la transformation numérique de votre entreprise, Vous n’arrêterez pas la vague, apprenez à la surfer ! », paru cette année chez Eyrolles. Sa tribune s’inscrit dans IMAGINE FRANCE, la nouvelle rubrique de la France des libertés, des innovations et des transitions, animée par animée par Philippe Boyer, blogueur et écrivain, et Raymond Taube, directeur de l’Institut de Droit Pratique, en partenariat avec StragIS, expert en gouvernance des transitions, et le club e-santé du Ceps.
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le web est liquide – présent partout et nous rend de multiples services. Il nous permet de vivre dans un monde encore plus fluide, dans lequel la nouvelle énergie, la e-énergie est faite de l’interaction entre des Bits, des Atomes, des Neurones et des Génomes (BANG) et permet d’augmenter entre autres notre capacité d’intelligence collective. Grâce à cette nouvelle énergie, nous pouvons encore mieux travailler ensemble, mais aussi vivre, habiter, être soignés, vieillir, danser la vie, vibrer… seuls et avec tous.
Ce référentiel nourrit notre imaginaire, et aussi celui de nombreux écrivains et réalisateurs contemporains ; il obsolétise le mot même de science-fiction (nous avons largement dépassé le monde magique de Minority Report !) ; il inspire aussi des séries à succès.
Du Big Bang au Big Band – pour que chacun trouve sa place.
Dans ce nouveau monde holomidal (par opposition à l’organisation pyramidale de l’intelligence du monde d’hier), la singularité de chaque individu retrouve sa place : chacun dans la co-conception, la co-édition et la co-production de sa propre consommation et donc de sa propre vie. Mais aussi dans sa quête de place dans les collectifs, et de reconnaissance : « à l’avenir, chacun aura son quart d’heure de célébrité mondiale » – la promesse de Andy Warhol est accessible en deux clics pour chacun. Chacun sur la planète a pris conscience qu’il est réellement à 2 clics de n’importe qui d’autre, aussi célèbre et intouchable soit-il. Ce que pour ma part j’ai expérimenté et que je vous propose de partager. La joie indicible de se sentir à deux clics de Vincent Bolloré et Christian Poyau – préfaceurs de notre ouvrage édité chez Eyrolles.
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se doter d’un projet RSE pour se conformer à ce devoir de transparence et d’engagement social, et dépasser ou transcender leur raison d’être et avec elle leur rentabilité. Le mot est posé, mais plus que jamais dans ce monde liquide, la profitabilité ne doit être qu’une conséquence d’un juste alignement et d’une démarche sociétale sincère et non opportuniste. C’est peut-être là le moment de faire un examen de conscience ?
A lire : Thierry Meynle, Jeremy Grégoire et Salah-Eddine Benzakour du livre « 21 clés pour activité la transformation numérique de votre entreprise, Vous n’arrêterez pas la vague, apprenez à la surfer ! », paru cette année chez Eyrolles.
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Il a réalisé une étude prémonitoire au sein de “mondes qui se parlent encore trop peu” (défense, agriculture, sécurité, alimentation, risques, société civile, collectivités locales, monde associatif, consommateurs).
Il a analysé un impensé, formulé des pistes de réponses à la question relative au « plus vieux sujet du monde » qui est le lien essentiel, mais désormais oublié, entre l’alimentation et la sécurité.Il s’attache en particulier à articuler, depuis plusieurs années, les thèmes des ressources, du continuum sécurité-défense, de la gouvernance et des adaptations, sous le prisme des priorités d’engagement et de la saturation des infrastructures de sécurités.
Il a ainsi publié en juin 2019 un livre-enquête issu d’un mémoire de recherche de Mastère spécialisé en gestion des risques sur les territoires, intitulé « Résilience alimentaire et sécurité nationale » https://www.thebookedition.com/fr/resilience-alimentaire-et-securite-nationale-p-367243.html, lauréat du prix « Information préventive et résilience des territoires » au Forum national sur les Risques Majeurs et a directement inspiré au Sénat.
Concepteur de la première formation de Mastères Spécialisés de France « Risques d’effondrements et adaptations », inspirateur et consultant sur l’intégration du risque de rupture d’approvisionnement alimentaire dans les Plans Communaux de Sauvegarde, il pointe la nécessité de préparer les populations et d’enrichir et d’élargir la Loi de Modernisation de la Sécurité Civile, afin de contribuer à ce que tous les acteurs, citoyens et consommateurs compris, soient co-producteurs de sécurité collective. Il considère que la double contrainte carbone (climat et énergie) nécessite une préparation active des populations et les sensibilise, à partir de la nourriture, aux grands défis de l’Anthropocène.
Renaud Anzieu (adhérent·e) Salle commune · 10 juin 2022 · Dernière mise à jour: 24 juin 2022 - 16:25 Visible par tout le monde (y compris par les personnes non enregistrées)
Clés : webinaire Pair à pair Education recherche
5 juillet 2022 (18:00 - 19:30)
La science de l'éducation en pair-à-pair émerge.
Parce que les collectifs, les groupes, les entreprises cherchent à devenir collaboratifs et à développer l'intelligence collective. Pour faire de chaque acte pédagogique un acte coopératif.
Pourquoi et comment apprendre ensemble ?
Quel potentiel de transformation des réseaux ?
Comment émergent les communautés ?
Qu'apporte la facilitation ?
Webinaire sous forme d'un dialogue, avec Denis Cristol, chercheur associé de Paris-Ouest Nanterre, docteur en sciences de l'éducation, et auteur de "Apprendre à apprendre ensemble, initiation à la pairagogie". éditions esf sciences-humaines, janvier 2022
Facilitations : Yann Le Beguec & Anna Szeremeta
mardi 5 juillet 2022, à 18h Lieu https://us02web.zoom.us/j/8769341986#success
Participant·es 9 participent · 7 ne savent pas encore · 0 ont décliné · 1407 sont invité·es
76 gazous au 19/10/21
Dernier gazou au sujet du nucléaire SMR : https://twitter.com/JulienDelalande/status/1450446257110016010
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Julien Delalande @JulienDelalande · 1h - 1 rép.
En réponse à @cfhinor @MachinaSosa et 2 autres personnes
vous confondez les #Gènes et les #Memes
Combien de temps pour l'entrée en guerre des USA / Hitler ?
#OnVeutOnPeut SURTOUT QUAND #OnDoit #Coopération #Médiation #CoÉco #PLPDLA
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Premier gazou : https://twitter.com/JulienDelalande/status/1064648085324869633
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Julien Delalande @JulienDelalande · 19 nov. 2018
#GiletsJaunes L'ARRET DU #GRANDdéménagementDuMonde est #ENMARCHE à #ChâlonsEnChampagne & PARTOUT #ZADpartout
#ÉcologiePopulaire #Écologie #PourTous
Nos amis #Routiers, il est temps de comprendre que #LavenirEnCommun est au #Localisme+#TransportsEnCommun #Ferroutage #Train #PLPDLA
Citer le Tweet
France Bleu Champagne-Ardenne @fbleuchampagne · 19 nov. 2018
#GiletsJaunes une longue file de routiers bloqués près de Châlons-en-Champagne
Vidéo intégrée 0:18 - 860 - 1 Mo
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