... exprimer mon opposition au projet de conversion d’un élevage caprin en ferme industrielle de 150 000 poules pondeuses à Celle-Lévescault.
Je m’inquiète notamment des impacts suivants :
- Nuisances pour les habitants (odeurs, bruit, trafic routier)
- Pollution des sols, de l’eau et de l’air
- Conditions d’élevage incompatibles avec le bien-être animal
- Modèle agricole destructeur pour les petites exploitations locales
Connu / https://poitiers.demosphere.net/rv/4230 puis par https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?T3yHsA
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Le 28 juin : NON à la ferme-usine de poules pondeuses de Vaugeton ! / Dom 2 semaines ago
Le projet d’un élevage industriel de 150 000 poules pondeuses, à moins de 100 mètres des habitations, menace notre environnement, notre santé, notre qualité de vie, et un modèle agricole déjà en crise.
🗣️ Alors que l’enquête publique se déroulera du 10 juin au 11 juillet, faisons entendre notre voix ! Cette manifestation vise à :
➡️ Montrer notre opposition claire et massive au projet
➡️ Remettre les 37 000 signatures de la pétition au préfet
➡️ Exiger qu’il écoute les citoyens et protège l’intérêt général
🙌 Au programme :
🔹 Prises de parole
🔹 Animations et banderoles
🔹 Présence de collectifs et citoyens mobilisés
🔹 Distribution d’infos sur l’enquête publique
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➤ Pour aider à préparer la mobilisation (tractage, affichage, etc.), contactez-nous.
🖋️ Infos et outils pour participer à l’enquête publique :
🌐 nonalafermeusinedevaugeton.neocities.org
✊ Vaugeton debout, le préfet doit entendre !
Sur le compte instagram du collectif (Bien Vivre à Celle-Lévescault), https://www.instagram.com/non_ferme_usine_vaugeton/ retrouvez les dernières infos, en particulier l’article du Canard Enchaîné du 4 septembre 2024 qui parle de ce projet d’usine à poules (ou à œufs).
Il est aussi question de la décision du 19 mai du Tribunal Administratif de Poitiers qui a suivi la commune de Celle-Lévescault contestant l’installation de cette usine à poules.
Connu / TG le 12/06/25 à 13:53
35 644 Signatures
Le groupe Pampr’oeuf s’apprête à installer une ferme usine de 150 000 poules pondeuses dans le village de Vaugeton sur la commune de Celle-Levescault (86). En tant que riverains de cette future exploitation, mais avant tout en tant que citoyen·ne·s, nous nous opposons fermement à un tel projet.
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32 254 Signatures (32 972 au 21/6, 36 708 au 12/6/25)
Lancée par Bien vivre À CELLE-LEVESCAULT
Le groupe Pampr’oeuf s’apprête à installer une ferme usine de 150 000 poules pondeuses dans le village de Vaugeton sur la commune de Celle-Levescault (86). En tant que riverains de cette future exploitation, mais avant tout en tant que citoyen·ne·s, nous nous opposons fermement à un tel projet.
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contrairement à ce que prétend le porteur de projet, cet élevage industriel de poules pondeuses sera inévitablement source de nuisances pour le cadre de vie des riverains : pollution visuelle, sonore (bruit de machines et d’engins), olfactive (odeurs d'ammoniaque attestées par des riverains des installations du même groupe à Pamproux), trafic de camions accru (alors que les infrastructures routières ne sont tout simplement pas adaptées), poussière et risque de présence et de prolifération d'animaux nuisibles…
Nous voulons un environnement sain pour nos enfants.
Nous voulons des paysans respectueux du bien-être des animaux, pas des industriels de l’agro-alimentaire attirés par le profit.
81 Signatures
CONTRE L'EXTREME DROITE, POUR UNE SEULE CANDIDATURE DE GAUCHE DANS LES CIRCONSCRIPTIONS DE LA VIENNE
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Connue / https://x.com/PoitiersLdh/status/1801004783618109585
à l'appel de BNM 86 - 🗓 Samedi 16 déc. à 14h 📍St-Léger-la-Pallu (86)
Malgré l’échec du Protocole, une étude scientifique HMUC qui ébranle le principe de substitution, l’annulation des permis de construire de 15 méga-bassines dont 6 sur la Pallu, le préfet et les irrigants de la Vienne s’accrochent tragiquement à leur projet de 30 méga-bassines.
Les pluies automnales, aussi abondantes soient elles, ne sauraient justifier la construction de ces aberrations technologiques. Ces pluies salutaires n’ont malheureusement pas suffi et ne suffiront pas à effacer les problèmes hydriques qui s’accumulent depuis plus de trente ans sur notre territoire.
Mobilisons-nous le 16 décembre prochain pour œuvrer au développement d’une agriculture vertueuse pour le cycle de l’eau et tous.tes les paysans.nes.
Mégabassines, la guerre de l’eau
L’étude montre qu’il n’y a tout simplement pas assez d’eau pour remplir les trente mégabassines programmées dans la Vienne. Mais la préfecture ne « valide pas » ce constat objectif car les impacts socio-économiques ne sont pas pris en compte. Un raisonnement par l’absurde qui sape un travail scientifique inédit.
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pas une analyse militante. Elle sort du cœur de la technocratie de l’eau. Son objectif n’est pas subversif non plus : connaître la quantité d’eau disponible et le niveau des prélèvements sur le bassin de la rivière Clain dans la Vienne. « C’est un bilan hydrique, une objectivisation de la situation la plus juste possible », résume Stéphane Loriot, le directeur de l’Établissement public territorial de bassin (EPTB) qui a piloté ce projet somme toute classique pour un gestionnaire de l’eau.
... a fait appel à un cabinet d’expertise privé, Suez Consulting, filiale de la multinationale éponyme peu soupçonnable de biais écologistes. L’étude s’étale sur 600 pages ultra-techniques et titrées d’un acronyme obscur : HMUC pour Hydrologie, Milieux, Usages et Climat. Les résultats, d’une précision inédite, ont été vérifiés par un chercheur en hydrologie spécialement recruté à cet effet. Et pourtant, cette étude a déclenché l’ire du préfet.
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Le très macroniste préfet de la Vienne Jean-Marie Girier, directeur de la campagne présidentielle 2017 d’Emmanuel Macron, a engagé tout un travail de sape contre ces connaissances pourtant vitales.
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Dans ce climat de confusion scientifique et d’organisation de l’ignorance, même les repères de base pour affronter l’avenir se flouent. Le 8 juin, dans un communiqué de presse, le président de la chambre d’agriculture de la Vienne, Philippe Tabarin, assène sa propre analyse quantitative de l’eau : « Contrairement aux conclusions de l’étude HMUC, j’affirme que nous ne manquons pas d’eau. » Dans la Vienne, les scientifiques disent l’inverse depuis près de trente ans.
Dimanche 12 mars, environ 300 personnes se sont réunies à Coussay-les-Bois pour marquer une fois de plus leur opposition à la "ferme des 1 200 taurillons", une exploitation agricole qui doit accueillir ces jeunes bovins pour leur engraissement à partir de septembre 2023.
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Connu / TG le 13/03/23 à 15:05
Ayant connaissance de la véritable identité des acquéreurs de cette ferme de 2 121 hectares à ...
Entreprises & Finance Industrie Energie & Environnement
Situé dans la Vienne, ce réacteur est touché par une fuite d'eau qui s'est produite lors d'un contrôle réglementaire sur le circuit primaire. Une dosimétrie importante est observée dans le local du bâtiment réacteur où se déverse l'eau en raison de la présence d'un tube irradiant. La vanne permettant de mettre fin à cette fuite ne pourra être fermée que lorsqu'un robot interviendra pour extraire l'objet en question. Pour l'heure, EDF ne se prononce pas sur la date de retour du réacteur sur le réseau, initialement prévu début janvier.
Nouveau coup dur pour EDF, déjà fragilisé par l'arrêt de la moitié de ses réacteurs nucléaire, EDF vient de rendre très discrètement public un problème qu'il n'avait jamais rencontré auparavant un réacteur du parc nucléaire tricolore. Le 2 novembre, une fuite de vapeur s'est en effet produite lors d'une épreuve hydraulique, un contrôle réglementaire qui s'effectue tous les dix ans et qui vise à vérifier l'étanchéité du circuit primaire principal. Celui-là même qui permet de refroidir le cœur du réacteur.
« Ce n'est absolument pas une soudure qui a cédé », a précisé d'emblée Régis Clément, directeur adjoint de la direction production nucléaire, lors d'un point presse ce mardi 8 novembre. « Ce n'est pas une rupture en lien avec les travaux de corrosion sous contrainte », a-t-il encore précisé.
Lire aussi : L'Autorité de sûreté nucléaire dresse un bilan contrasté des centrales du Sud-Ouest
La fuite est apparue lors de la montée en pression
Très concrètement, cette procédure de contrôle implique de multiplier par environ 1,3 la pression du circuit primaire pour tester son étanchéité. La pression d'exploitation se situe habituellement à 154 bars. Lors du test, elle grimpe à 206 bars et la fuite est apparue à 190 bars.
« Alors que la pression atteignait 190 bars et la température 95°C, un dégagement de vapeur est survenu dans un local du bâtiment réacteur, la dépressurisation du circuit primaire a été constatée simultanément », indique l'électricien dans une note d'actualité générale.
Qu'est ce qui a provoqué cette fuite de vapeur, transformée ensuite en fuite d'eau avec la baisse de température ? La procédure de cette épreuve hydraulique requiert de mettre en place un dispositif spécifique sur les connexions de ce circuit primaire pour qu'il tienne la très forte pression, notamment à l'intersection avec un système d'instrumentation qui pénètre dans le bas de la cuve.
Un dispositif mécanique a cédé
Ce circuit connecté s'est vu lui-même doté d'un dispositif spécifique pour passer l'épreuve hydraulique, et « c'est ce dispositif mécanique vissé, spécifique à l'épreuve hydraulique, qui a cédé », explique Régis Clément. Cela s'est traduit par un "jet bâton", a-t-il précisé. Comprendre, qu'à ce niveau de pression et de température la fuite s'est matérialisée par un fort jet de vapeur. « Aucun intervenant ne se trouvait à proximité, il n'y a eu ni blessé, ni personne contaminée », précise le groupe.
Lire aussi : Centrale nucléaire de Civaux : quelles retombées économiques ?
A ce moment-là, « il n'y a aucun combustible en cuve, le combustible est dans le bâtiment combustible », précise encore Régis Clément. En effet, le réacteur de Civaux 1, situé dans la Vienne au sud-est de Poitiers, était, lors de l'événement, à l'arrêt dans le cadre de réparations liées au problème de corrosion sous contrainte. L'opération de contrôle a donc été réalisée avec un réacteur complètement déchargé de son combustible.
Le jet vapeur s'est ensuite transformé en jet eau avec la baisse de la température. Celui-ci est venu s'écouler dans un local du bâtiment réacteur, doté d'un système de drainage, un « puisard », qui récupère l'eau. « Tout ça est parfaitement confiné », rassure Régis Clément.
Une dosimétrie importante
On observe toutefois « une dosimétrie importante », reconnaît-il. Celle-ci s'explique par la présence dans le local d'un tube, habituellement en contact en permanence avec le cœur du réacteur et donc soumis aux rayonnements, qui a été éjecté lorsque le dispositif d'essai a cédé.
Ce tube irradiant est directement lié au système d'instrumentation, celui dont le dispositif de test a cédé. Ce dispositif consiste en effet à entrer dans la cuve du réacteur pour scruter sa puissance. A l'intérieur de celui-ci, se trouve un tube libre appelé « doigt de gant ». Quand le dispositif d'essai a rompu, ce tube a été éjecté. Ce tube « s'est retrouvé à l'air libre dans le local et là le débit de dose est important », confirme Régis Clément, sans toutefois donner des chiffres précis.
EDF prévoit d'utiliser un robot pour découper ce tube irradiant et le mettre dans un container. « Une fois que ce tube est traité, on pourra pénétrer dans le local et fermer la vanne », ajoute Régis Clément. La date d'intervention n'est pas encore connue. Pour l'heure, les équipes s'entraînent en maquette.
80.000 litres écoulés, mais pas d'impact sur la sûreté
Aujourd'hui encore, 1.500 litres s'écoulent chaque heure. Cette eau est récupérée et stockée, assure l'électricien. Depuis le début de la fuite, quelque 80.000 litres d'eau ont été récupérés pour être traités. Le réacteur devait être remis en exploitation début janvier. EDF indique aujourd'hui que « c'est bien trop tôt » pour se prononcer sur les « perspectives de Civeaux 1 ». Et pour cause, ce type d'événement est inédit pour le parc nucléaire français. « C'est la première fois qu'on rencontre ce défaut sur ce dispositif », a indiqué Régis Clément. Un prolongement de son arrêt serait une bien mauvaise nouvelle pour le système électrique, qui s'apprête à passer un hiver particulièrement tendu, avec une disponibilité de seulement 45 GW attendue début janvier par le gestionnaire de réseau RTE.
Après trois ans de concertation et malgré les heurts de la semaine dernière à Sainte-Soline, la préfecture de la Vienne a officialisé jeudi ...
Ndlr : Passage en force. Signature du protocole ce soir à 18 h à la préfecture
Le Collectif Bassines Non Merci 86 et l’Association ASPECT de Coussay-les-Bois, ainsi que nombreuses organisations environnementales et citoyennes locales appellent à manifester pour la défense de l’eau 💧 et une agriculture paysanne, le 22 octobre à Poitiers.
Au menu : cantine avec préfou à prix libre, manifestation et charivari en bleu de travail ! 🥳💙🔥
Nouvelle journée de mobilisation (avec pique-nique sur place) contre la ferme-usine de Coussay les Bois. Une trentaine de personnes étaient présentes ce lundi 26 septembre à 11 h sur le site où les travaux de terrassement vont bon train. Les camions rentrent et sortent du site amenant des gravats pour constituer le socle des 3 bâtiments, qui seront recouverts de panneaux solaires pour gagner un peu plus d’argent…
Entre colère, détermination et écœurement devant l’impossibilité (actuelle) de stopper les travaux sont intervenus Michel Favreau, maire de Coussay les Bois, Dominique Brunet, co-président d’ASPECT et François Bigot, pdt de VGCA (Vals de Gartempe Creuse Anglin) pour refaire le point sur l’ensemble des questions posées par le projet. Que ce soit sur le plan environnemental (pollution de la nappe phréatique, destruction de zones humides,…) ou administratif et réglementaire (permis de construire, configuration des bâtiments, conditions d’élevage,…) les raisons de stopper les travaux sont nombreuses et l’Etat ne fait pas son boulot
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journée-débat « Eau secours ! Or bleu en péril » .
Respectivement président de la FNSEA 86 et des JA 86 (Jeunes agriculteurs de la Vienne), Sébastien Berger et Romain Provost ont rencontré, vendredi 1er juillet, le préfet ...
Le syndicat Eaux de Vienne a décidé mercredi 15 décembre 2021 de reporter la signature du protocole d'accord et de cadrage des réserves
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Ce samedi 4 décembre était une journée nationale d’action des comités locaux d’Attac pour mettre en lumière les pratiques des multinationales dans l’évasion fiscale et autre « optimisation » destinée à échapper à l’impôt et aux législations nationales dans le domaine financier. (Journée d’actions « Prélevons à la source les évadés fiscaux »)
La cible choisie à Poitiers était la BNP-Paribas, championne dans ce domaine ainsi que dans le financement des énergies fossiles avec une technique élaborée dans les déclarations d’intention et la « communication verte ».
L’occasion aussi de partager cette mobilisation avec d’autres mouvements venus en soutien de ces actions. A Poitiers, Attac86, avec l’aide de XR, Greenpeace et Alternatiba étaient là et ont donné un bon coup de main : ainsi près d’une vingtaine de personnes étaient présentes sur une « scène de crime d’évasion fiscale », en l’occurrence l’agence de la BNP-Paribas de la place de la mairie qui s’est trouvée décorée d’une magnifique banderole, d’affiches et de rubalise !
Détails sur les points abordés ci-dessous dans la fiche présentant les pratiques de 4 sociétés bien connus : Total, BNP-Paribas, Macdo et Amazon. (à voir en fin d’article)
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