Connu / TG le 20/07/25 à 16:50
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La pétition à signer contre la Loi Duplomb : https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014
On compte sur vous pour partager un max ! (à l'heure où je publie on est plus de 400.000 à avoir signé la pétition ! C'est énorme ! )
00:00 - Introduction
01:15 - C'est quoi en fait la Loi Duplomb ? Menace ou Chance ?
02:03 : Le faux argument de la compétitivité
04:13 : Dangereux ou pas les néonicotinoïdes
05:54 : Qui se cache derrière la Loi Duplomb (les lobbies ?...)
08:45 : VOUS POUVEZ AGIR !
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Présentation, Réalisation, Montage : Noé Michas
Musique : Prinzly
Personnes mentionnées
1 personne Laurent Duplomb
Connu / TG le 20/07/25 à 00:03
Connu / TG le 20/07/25 à 18:15
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ici, le média de la vie locale
Dans le cadre du festival « Haro » organisé ce week-end par le collectif Piscines nucléaires stop à Vauville, près de 800
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Connu / TG le 11/07/25 à 12:45
Connu / TG le 21/07/25 à 14:08
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FNE a une campagne en direction des préfets contre la présence des pesticides dans l'eau. Leur objectif est l'interdiction des pesticides dans les aires de captages, objectif qui fait directement écho à la mesure 3 de notre Manifeste (même si nous, nous visons plutôt les mairies).
"
En complément de https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?JLhL5Q
Alors que la population vieillit et que les naissances sont en baisse, le think tank Terra Nova estime que la France ne pourra pas se passer des travailleurs immigrés pour maintenir son économie à flot. Une idée qui se heurte au durcissement prôné par le ministre de l'intérieur Bruno Retailleau.
Avec
- Sabrina Agresti-Roubache, femme politique, Ex-secrétaire d'État chargée de la Ville et de la Citoyenneté depuis juillet 2023
- Hakim El Karoui, essayiste et consultant, co-fondateur du "Club du XXIe siècle"
- Nicolas Pouvreau-Monti, co-fondateur et directeur de l'Observatoire de l'Immigration et de la Démographie
"L'immigration n'est pas une chance", répète à l'envi l'actuel locataire de la place Beauvau, Bruno Retailleau. Mais avec une population de plus en plus âgée et une courbe des naissances en baisse, la survie de l'économie française dépend-elle de la main-d'œuvre étrangère ? C'est ce qui ressort d'un rapport intitulé "Les travailleurs immigrés : avec ou sans eux ?" publié par le centre de réflexion Terra Nova, le 12 mai dernier. Selon le laboratoire d'idées, pour préserver son modèle social, la France devra accueillir entre 250 000 et 310 000 travailleurs étrangers par an à l'horizon 2040-2050.
L'immigration de travail, un impensé ?
Aujourd'hui, les immigrés occupent majoritairement des postes que les employeurs peinent à pourvoir. Ces derniers représentent 39 % des employés de maison, 28 % des agents de sécurité et 22 % des cuisiniers. De l'autre côté des Alpes, même la première ministre d'extrême droite Giorgia Meloni, a ouvert les portes à 500 000 travailleurs étrangers supplémentaires pour répondre aux pénuries de main-d'œuvre. Pourtant, du côté de la droite française, rares sont les voix qui plaident en faveur de
Faut-il accueillir davantage de travailleurs immigrés ?
La France peut-elle vraiment se passer de main-d'œuvre étrangère ?
Hakim El-Kahoui est directeur du cabinet de conseil Volentia, chercheur associé au think-tank progressiste Terra Nova, qui est proche du Parti Socialiste. Il explique que les partis politiques sont très mal à l'aise avec la question de l'immigration, notamment depuis que la question est devenus l'apanage du Front National, petit à petit plus personne n'en a parlé. "Au début, la gauche disait que c'était formidable l'immigration, c'était l'ouverture, etc. Et puis, quand il y a un certain nombre de problèmes qui sont apparus et quand le Front National s'en est emparé, en fait, tout le monde s'est tu." Il est l'auteur pour Terra Nova d'une note qui dit qu'il faut 300.000 entrées d'immigrés en France la France veut pérenniser son modèle social, qu'il s'agisse de travailleurs ou de familles.
Il précise que ce travail n'est pas un encouragement à l'immigration plutôt une observation, il ne faut pas se méprendre, l'immigration va continuer. 300.000 entrées correspondent en réalité à environs à 150.000 travailleurs. "C'est très bien si on peut en parler, c'est encore mieux si on peut effectivement regarder l'ensemble du spectre, les problèmes, c'est très important de parler des problèmes, mais aussi les solutions, et puis ce que doivent faire les immigrés, mais aussi ce que doit faire la communauté nationale, notamment la politique d'intégration qui est très très faible."
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Nicolas Pouvreau-Monti est co-fondateur et directeur de l'Observatoire de l'Immigration et de la Démographie, qui est financé, entre autres, par le milliardaire et mécène Pierre-Edouard Sterrin, très conservateur. Il écrivait dans une tribune dans Le Figaro que l'immigration coûterait 3,4% du PIB à la France. Il y a pour lui deux lectures : tout d'abord la question reste en effet politiquement très marquée mais il remarque que les partis du centre et de la droite s'emparent de plus en plus de la question, avec des points de vue restrictionnistes notamment. Des partis de gauche en Europe s'emparent aussi de cette question. "Et dans le contexte français, il faut dire qu'il y a un décalage assez sidérant entre, d'une part, le caractère effectivement très marqué, très clivant, de la question dans le débat public, dans le débat politique, dans le commentaire médiatique, d'une part, et d'autre part, les aspirations globalement consensuelles de l'opinion telle que mesurée par les enquêtes qui ont lieu à peu près maintenant tous les mois sur le sujet."
Sabrina Agristi-Roubache était en charge de l'accueil des réfugiés au sein du gouvernement précédent François Bayrou, elle déplore qu'on oublie un élément dans le débat : que pensent les immigrés eux-mêmes de l'immigration et de la politique de l'immigration ? Elle se rappelle avoir pris une volée de critique lorsqu'elle avait soulevé cette question. "Je m'étais faite évidemment massacrer, mais je pense qu'il y a un sujet de perception face à la réalité." Elle poursuit sur le fait qu'un travailleur immigré peut désormais lui-m^me déposer son dossier de régularisation, sans attendre la démarche de son employeur. "Tout ça, ce sont des avancées. Mais on a oublié de parler d'une chose, l'apprentissage du français ? Et c'est quoi être français ? Comment on devient citoyen ? Comment on en fait des citoyens à part entière ?"
Le chercheur de la fondation Terra Nova explique qu'il y a un fantasme derrière l'immigration, celui qui dit "ils ont quelque chose qu'on n'a pas", idée qui a pris toute la place du débat sur l'AME. L'idée est de soigner les gens avant que les cas deviennent graves, pour des raisons de santé publique, hors le débat s'est déporté sur le coût de la prise en charge, et sur ce qui y était autorisé. Il réaffirme que l'immigration ne coûte pas du tout 100 milliards à l'État, "ça, c'est complètement faux".
Fantasmes et chiffres autour de l'immigration, ses apports et ses coûts, écoutez la suite de ce Débat de midi
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Laurent Mermet : dépasser l’alarmisme bloquant - 17 septembre 2022 - Catégories Non classé
Transcription et mise en forme du podcast publié par Adrastia, mais inaccessible sur leur site.
La vidéo est accessible àhttps://www.youtube.com/watch?v=xjZuPdstCiw
Résumé et contexte
Ce podcast constitue la quatrième intervention de Laurent Mermet dans la série des analyses sur le débat en cours autour du passage à l’action, pour monter en échelle et prendre en charge les problèmes globaux d’environnement.
Il fait notamment suite à une analyse de la démission de Nicolas Hulot (septembre 2018), un approfondissement de celle-ci (octobre 2018) et une réponse à Aurélien Barrau (https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?yj03rg), où il explique la notion éclairante, mais perturbante, de refoulement du distributif (16 min). Il a également fait une analyse critique du livre « Où atterrir » de Bruno Latour, débouchant sur une contre-proposition de cartographie politique.
Durant les quelques mois écoulés depuis, l’alarme émise dans des appels de scientifiques et people a été relayée par un mouvement de masse à la fois français et international pour amplifier ce message d’alarme. C’est à l’analyse critique de ce phénomène qu’est consacrée la présente intervention.
Laurent Mermet y montre qu’au-delà des bonnes intentions et du bon accueil qu’elle reçoit, la prolongation et l’amplification de masse du discours d’alerte posent de sérieux risques de dérives contre-productives pour la planète. Il analyse ensuite les flous, contradictions et incohérences qui sont à la base du discours d’alerte lorsqu’il devient une forme d’action prolongée et massifiée. Enfin il interroge le bon accueil fait par tous les acteurs, qui conduit à une situation métastable, en partie bloquée et bloquante.
Ces analyses s’appuient sur ses travaux de recherche, notamment sur la question des paradigmes de l’action collective (Knowledge that is actionable by whom? Underlying models of organized action for conservation – dans Environmental Science & Policy, mai 2018), exposés également dans la vidéo Théories de la gestion sociale de l’environnement.
Professeur de gestion de l’environnement à AgroParisTech depuis 1994, Laurent Mermet est décédé des suites d’un cancer fulgurant le 16 juin 2019. Son dynamisme et son enthousiasme pour penser avec lucidité les enjeux contemporains de la prise en charge efficace des problèmes d’environnement n’a jamais cessé, et ce podcast a été enregistré sur son lit d’hôpital.
Vous pouvez retrouver ses vidéos de recherche ainsi que ses cours sur sa chaîne YouTube, ainsi que l’ensemble de ses travaux et publications sur son site internet.
Pour une utilisation académique du contenu de cette vidéo vous pouvez la citer sous le format : Laurent Mermet et Clément Feger (2019) « Sauver la planète : pourquoi il est urgent de dépasser l’alarmisme bloquant » disponible en ligne, accédé à telle date, https://www.youtube.com/watch?v=xjZuPdstCiw.
Plan
Introduction
Les problèmes que pose l’alarmisme bloquant
Qui est censé agir pour “régler le problème” ?
La notion d’alarme
L’impasse de l’alarmisme bloquant
“Ils n’ont pas compris”. Vraiment?
Conclusion provisoire – Vue d’ensemble du catastrophisme bloquant
Comment réagit l’État ?
Le monde économique, académique, les ONG
Les médias
Au total, tout le monde s’y retrouve !
Discussion et approfondissement
Épilogue – Compléments
...
l’obstacle principal n’est pas du tout dans l’idée d’avoir des procédures pluralistes de discussion, il est dans le refus de pluralisme des acteurs
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c’est encouragé par la seringue médiatique, qui rend de plus en plus limitée l’origine des opinions qui peuvent être vraiment exprimées dans un débat contradictoire, en disant “il y a des choses progressistes” et “des choses inaudibles”. Donc il y a une sorte de modèle-clef du progrès, c’est ce que je reprochais au bouquin de Latour sur “Où atterrir”, c’est-à-dire que, pour lui, il n’y a qu’une seule direction politique qui est envisageable, c’est le terrestre, tous les autres éléments de la carte sont peuplés de salauds ou d’imbéciles.
...
l’enjeu n’est pas dans l’organisation des procédures de débat, mais dans le fait de casser le refus de pluralisme, qui est le fait des militants de plus en plus butés sur leur cause, et le fait d’enceintes médiatiques (notamment, mais aussi politique) qui acceptent de plus en plus que des militants qui gueulent fort empêchent la réalité d’expressions pluralistes, puisque tout le monde s’est habitué, par des mécanismes de diabolisation, d’associations diabolisantes, etc., à disqualifier les interlocuteurs, au lieu d’engager le débat avec eux,
...
Il n’est pas dans les procédures parce que les procédures elles existent, elles pourraient accueillir des débats contradictoires, c’est des manières progressives de faire et des stratégies de désamorçage du pluralisme, par des cadrages, des insinuations, des dévalorisations, des diabolisations, etc., qui petit à petit ont dévitalisé le pluralisme.
...
Les principaux responsables de ce refus de pluralisme, c’est 1/ les militants, 2/ les gens qui gèrent le débat dans une optique où ils acceptent les tactiques qui se sont mises en place, depuis trente ans, pour diminuer progressivement l’expression des opinions qui divergent avec le seul vecteur progressiste qui est acceptable, sur chaque dossier qu’on met en discussion.
Ndlr : LM est un fervent promoteur de Jean-Marc Jancovici. Comme lui il met en avant le nucléaire au détriment des énergies renouvelables et notamment l'éolien qu'il fustige. La sobriété énergétique n'est pas évoquée.
Concernant l'alarmisme bloquant par contre, son approche est très intéressante et donne envie de lire et visionner la suite... ACT
Ça donne du grain à moudre à la médiation de l'urgence... ACT
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Le gouvernement Bayrou prétend que la France dépense trop. Mais la réalité est toute autre : le creusement du déficit depuis 2017 et l’arrivée de Macron au pouvoir vient avant tout des baisses massives d’impôts sur le capital et les entreprises — près de 60 milliards d’euros par an.
Alors que les plus riches bénéficient d’un système fiscal taillé sur mesure, on exige 40 milliards d’économies qui frapperont l’éducation, la santé, l’investissement public et une fois de plus, des millions de ménages français modestes.
Cette politique récessive n’est pas une nécessité économique, c’est un choix idéologique. Pendant ce temps, les ultra-riches et héritiers défendent bec et ongles leurs privilèges tout en faisant un lobbying acharné auprès d’un pouvoir largement acquis à leur cause. Il est désormais temps de remettre la réforme fiscale au cœur du débat pour ne pas tomber dans un chaos politique et social. Sans justice fiscale, pas de transition, pas de redistribution, pas d’avenir.
Pour en discuter, Haussman Vwanderday reçoit ce mardi 8 juillet deux économistes de renom : Christophe Ramaux, chercheur au Centre d’économie de la Sorbonne, membre des Economistes atterrés et Liêm Hoang-Ngoc, économiste et ancien député européen
Tr.: ...
l'État social rend les individus plus robustes ... la moitié des revenus des ménages est socialisé, la moitié de la consommation globale est socialisée ... l'activité du privé en est étroitement lié ... 0,5 on est au bord de la récession ... faire cécession face à l'État social ... manque à gagner de 60 milliards ... détricoter ... un gouvernement de droite et on a une augmentation d'impôts ... 90 milliards de baisse ... refixer les caps en terme politique etc ... redistributif sauf tout en haut de l'échelle, céssession des ultrariches ... on revient à l'ancien régime, ceux qui ne payaient pas d'impot, on les appelait les ignobles ... /TVA sociale sont contre tous les deux ... la TVA est l'impôt le plus injuste ... comme la gabelle, impôt sur le sel de l'ancien régime ... /concurrence déloyale fervent partisan du protectionnisme solidaire? ... faire un choc de juste, enjeu sur les impôts de succession des très hauts patrimoines ... réforme fiscale redistributif, progressif sur les revenus (flux) et le patrimoine (stock) ... taxe Zucman réglait ce pb d'injustice de l'ISF ... mettre en musique le rapport Pisani-Ferry ... il faut un projet global ... volet fiscal, volet reconstruction ... supprimer les mutuelles, c'est 15 milliards d'économies de frais de gestion ... moins de pauvres, moins de chômeurs, un choc de reconstruction ... on est aux antipodes des thèses sur la décroissance qui ne résout pas la question écologique qui nécessite des investissements massifs en matière d'écologie et on ne résout pas le déficit public ... ya un pj de reconstruction y compris pour l'espérance. Les besoins ne manquent pas ! ... des aides publiques massives pour relocaliser la production. Ça booste l'activité économique.
Ndlr :* il y a donc une controverse sur la décroissance : utile ou nuisible ? questionner, approfondir ACT
08.07.2025
Après le Sénat, l'Assemblée nationale vient d'adopter définitivement la proposition de loi Duplomb contre l'avis d'une grande partie du monde agricole et de la société civile. Ce texte entérine des régressions agricoles, sanitaires et écologiques d'une très grande gravité, taillées sur mesure pour l'agro-industrie et portées par les dirigeants de la FNSEA, déconnectés de leur base.
Favoriser l'agrandissement des exploitations destinées à la production animale industrielle, l'accaparement de l'eau par la construction de méga-bassines et réintroduire l'acétamipride sont une fuite en avant mortifère et de très court-terme. Les enjeux sont tout autre : garantir un revenu paysan par la mise en place de prix minimums garantis et l'installation de fermes partout sur le territoire.
Or, la coalition « centristes, LR, macronistes et RN » refuse de s'attaquer à cette question du revenu agricole et affaiblit les outils de la transition agro-écologique comme jamais, alors que plus de 80% des agriculteur·rices y sont favorables.
Chaque parlementaire devra donc assumer son vote en faveur d'un texte déconnecté des préoccupations de la majorité des paysan·nes qui subissent de plus en plus violemment la succession de crises sanitaires et climatiques.
Contacts :
Thomas GIBERT - porte-parole national - tél: 06 65 24 66 44
Fanny MÉTRAT - porte-parole nationale - tél: 06 16 60 25 03
Caroline NUGUES - Chargée de communication - tél: 06 95 29 80 78
Connu / AP le 12/07/25
Le rapport des 16-25 ans au travail est commenté partout. Présentée comme plus fainéante que la génération
...
Connu / TG le 30/04/25 à 21:04
ALERTE : les caisses de la santé sont vides… Mais qui les a vidées ? Dans ce nouvel épisode de Gaslight, Climarx nous ...
Connu / TG le 29/04/25 à 19:06
Le député macroniste Jean Laussucq avait été élu député de la 2e circonscription de Paris en juillet 2024 © AFP - Magali Cohen / Hans Lucas
Émilie Defay
Trois députés, dont Jean Laussucq, élu à Paris, ont été déclarés inéligibles par le Conseil constitutionnel vendredi, en raison d'irrégularités dans leurs comptes de campagne.
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ainsi que Brigitte Barèges, députée du Tarn-et-Garonne, et Stéphane Vojetta, député pour les Français établis hors de France, ont été déclarés inéligibles "pour une durée d'un an" et "démissionnaires d'office" de leurs mandats, a annoncé le Conseil constitutionnel.
...
Connu / TG le 18/07/25 à 14:06
Interpellés en masse par des citoyens, les députés qui ont voté la loi Duplomb oscillent entre silence, fébrilité et
...
Connu / TG le 16/07/25 à 17:29
- (dernière synchronisation : 18-07-2025 à 16:04)
pesticides écocide infanticide
NE NOUS LAISSONS PLUS EMPOISONNER
ÉTAT RESPONSABLE . BAYER BASF SYNGENTA Corteva COUPABLES
il s’agit d’un empoisonnement général.
Les pesticides sont des armes chimiques créées pour tuer, Les pesticides tuent.
Afin de préserver ce qu’il reste de vivant, afin de pouvoir vivre en bonne santé, il n’y a pas d’autre alternative que d’exiger :
Zéro pesticides de synthèse.
2025 : Une année de mobilisation ! Avec Changement de Régime, nous lançons une campagne pour dénoncer les pesticides, ces écocides silencieux, et exiger des actions concrètes. Un État responsable et des firmes agrochimiques coupables !
Chaque première semaine du mois, du 1er au 8, rejoignez-nous pour des actions
...
Connu / TG le 13/07/25 à 18:06
Écologie –Pesticides -
Temps de lecture : 4 min.
Une action menée par des faucheuses et faucheurs volontaires dans une usine française de BASF a révélé la présence et la production de pesticides interdits en France. L’État s’est ensuite saisi de l’affaire.
...
Connu / TG le 13/07/25 à 17:23
Connu / TG le 13/07/25 à 15:10
Les pesticides toujours plus utilisés dans le monde / SudOuest.fr
Les agriculteurs ont consommé 3,54 millions de tonnes de substances actives en 2021, en hausse de 11 % sur dix ans et presque le double par rapport à 1990, selon les ...
Connu / TG le 13/07/25 à 13:17