Connu / TG le 24/02/24 à 7:15
59.260 signatures
Auteur(s) : Stop au lobby de la chasse
Destinataire(s) : Candidats aux élections présidentielle
Le lobby des chasseurs fait pression sur nos élus, infiltrés dans les administrations et tous les hauts lieux du pouvoir (assemblée nationale, etc.). Ces lobbyistes empêchent la proposition de nouvelles lois encadrant la chasse.
Toutes les semaines de nouveaux faits divers avec des accidents de chasse vis à vis des chasseurs ou plus graves des blessés ou des morts sur les non-chasseurs amis de la nature.
...
Des mesures doivent être prises d’urgence pour éviter d’autres accidents :
- Chasse uniquement autorisée dans le domaine privé ...
- pratiquée uniquement par des personnes majeures ...
- Le week-end et pendant les vacances la chasse doit être interdite pour permettre à tous les citoyens de profiter de la nature.
- Interdire le lobby de la chasse et sanctionner les dérivés.
- La régulation des espèces ne doit plus être un alibi pour dédouaner la chasse.
Même le président des chasseurs reconnaît que les chasseurs ne sont pas là pour réguler les espèces ! - Des animaux classés comme nuisibles ne doivent plus relever de cette classification qui dédouane les chasseurs pour exterminer des espèces utiles comme le renard et beaucoup d’autres espèces.
- La chasse ne doit plus être considérée comme un sport. Ôter la vie d’êtres vivants pour le plaisir n’est pas du sport.
- La majorité des électeurs ne doit plus être prise en otage par 5 millions de chasseurs.
Les anti-chasse, faites entendre votre voix.
Laura Moses-Lustiger : « La souffrance israélienne me rendait aveugle à celle des Palestiniens » / La Croix
Laura Moses-Lustiger est une élève avocate et romancière franco-israélienne, petite-nièce du cardinal Lustiger. Dans ce ...
Connu / TG le 25/01/24 à 16:28 (Cafet' de Habiter le conflit)
Christophe Cassou @cassouman40 · 1h
"On est en plein ère de la post-vérité ou les mots soient ne veulent +rien dire soit, pire encore, veulent dire ajd le contraire ce qu'ils voulaient dire a l'origine"
Vrai sur bcp de dossiers...dont #A69, ce qui rend impossible les espaces de dialogue partagé avec objectivité
Citation
Clément Viktorovitch @clemovitch · 21h
« Le ministre de l'agriculture nous explique donc que, en fait, la souveraineté alimentaire... ça veut dire exporter davantage, et favoriser le libre échange ! »
Le macronisme triture le sens des mots : épisode 357, avec Marc Fesneau.
Tr.: ... concept de l'altermondialisme ... le langage est trituré, dépatouillé, DÉVOYÉ ... SUVBERTI ... impossible de savoir de QUOI ILS PARLENT ... pb de responsabilité ...
10 min - 7 Commentaire(s)
Nouveau rebondissement dans l’élaboration chaotique de la stratégie française sur l’énergie et le climat pour 2030 : la suppression par l’exécutif du volet programmatique du projet de la loi sur la souveraineté énergétique.
...
Derrière le concept d'Occident se cache une vision non pas géographique mais politique d’un monde dans lequel un certain nombre de puissances ont réussi pendant des décennies à imposer leurs valeurs et leurs intérêts. Aujourd'hui, cet ordre mondial est remis en cause de toutes parts. Que signifie la désoccidentalisation du monde ? Les puissances occidentales mènent-elles une politique de "double standard" ? Peut-on parler d'un "Sud global" ? Pourquoi les mouvements sociaux sont-ils l'angle mort de la géopolitique ? Autant de questions que Pascal Boniface à Didier Billion à l'occasion de la publication de son livre "Désoccidentalisation, repenser l'ordre du monde", coécrit avec Christophe Ventura et publié aux éditions Agona.
959 k abonnés - 6,9k+ - 113 438 vues - 868 commentaires
Dans ce 170ème numéro de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur le discours de Gabriel Attal à l'Assemblée nationale.
Il critique la manière dont le Premier ministre utilise sa jeunesse et sa supposée modernité comme une façade, pour masquer des politiques à l'encontre des principes de liberté et d'autorité. Il l’accuse de faire l'apologie de la suppression des lois et règlements. La politique fiscale du gouvernement ne sert que les plus riches.
Jean-Luc Mélenchon aborde la notion de liberté. Il critique les propositions d'Attal qui semblent affaiblir le code du travail, mettant en garde contre les conséquences sur les salaires, la concurrence, et la qualité de vie des travailleurs. Les annonces de Gabriel Attal sur les logements sociaux, présentées comme une extension de la liberté, conduisent en son amoindrissement pour tout ceux qui attendent un logement décent.
Il poursuit sur la concurrence dans le secteur agricole, soulignant les conséquences négatives de la liberté du commerce sur les producteurs locaux. Il dénonce la remise en question des normes, qui peut être un outil pour l'agriculture locale face à la compétition déloyale qui détruit des exploitations agricoles.
Jean-Luc Mélenchon critique ensuite la vision de l'autorité présentée par Attal, affirmant que l'autorité ne doit pas être confondue avec l'usage de la force. Il met en garde contre les mesures autoritaires qui peuvent créer de la résistance et éloigner la société du modèle démocratique.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon évoque la situation au Moyen-Orient, affirmant que les médias français entérinent sans vérification les récits du gouvernement israélien. Il appelle à la résistance contre la désinformation et à la défense du droit international dans un contexte de conflits ethniques et religieux.
SOMMAIRE
00:00 : Introduction
00:35 : L'offensive néolibérale du gouvernement Attal
20:17 : Traitement médiatique de la situation à Gaza
25:44 : Constitutionnalisation de l'IVG
LES LIENS
- Le journalisme français, un danger public (Le Monde Diplomatique) : https://www.monde-diplomatique.fr/2024/02/HALIMI/66560
959 k abonnés - 6,1k+ - 151 988 vues - 1 465 commentaires
Jean-Luc Mélenchon est intervenu sur BFMTV le 28 janvier 2024.
Il a commencé par exprimer son soutien aux agriculteurs qui protestent contre ce qu'ils considèrent comme une concurrence déloyale dans le cadre du libre-échange. Cette crise est une opportunité de s'opposer au projet du patronat financier qui cherche à affaiblir les agriculteurs. Il souligne la possibilité d'une nouvelle agriculture. Les services de l'État pourraient être mobilisés pour protéger l'agriculture nationale.
Jean-Luc Mélenchon insiste sur la nécessité de préserver les agriculteurs français. Les normes peuvent être un moyen de les protéger contre la concurrence déloyale, à condition qu'elles s'appliquent à tous les produits importés. Il critique le gouvernement pour son prétendu double discours sur le traité Mercosur alors que seule la France insoumise s’y est opposée.
Il aborde ensuite les questions internationales. Il salue la reconnaissance par la Cour internationale de justice d'un risque génocidaire à Gaza et appelle la France à respecter ses obligations internationales en imposant, par exemple, un embargo sur les armes. Il conclut en rappelant son engagement constant pour un cessez-le-feu.
Durée 1:57:47
Comprendre ce qu'il se passe au Proche-Orient - Diffusée en direct le 18 janv. 2024 / JEAN-LUC MÉLENCHON
959 k abonnés - 8,3 k+ - 235 815 vues - 1 061 commentaires
Jean-Luc Mélenchon est intervenu lors d’une conférence intitulée « Le moment politique France/Monde » le 18 janvier 2024.
Il est revenu sur les événements historiques comme la chute du mur de Berlin et la fin de la confrontation entre les blocs communiste et capitaliste. Ils ont marqué le début d’un “nouvel ordre mondial” imposé par les États-Unis. En ce sens s’est développée la théorie du "choc des civilisations" de Samuel Huntington. Approuvée par la pensée dominante, elle désigne l'Islam comme l'ennemi commun responsable du terrorisme. Alors cette notion de "faire la guerre au terrorisme" est dénuée de sens, car cela impliquerait une lutte entre le Bien et le Mal. Cela sort alors du droit international et conduit inévitablement au chaos.
Jean-Luc Mélenchon souligne l'influence des guerres sur le commerce mondial et les relations internationales, particulièrement dans des zones névralgiques de la mondialisation capitaliste, comme la mer Rouge ou le canal de Suez. Il met ainsi en lumière les défis internationaux auxquels le Liban est confronté en raison des tensions à sa frontière sud et des déplacements de population en provenance de Syrie. Cette escalade belligérante met en péril l'État libanais.
Il plaide en faveur de la solution à deux États pour le conflit israélo-palestinien, soutenant la résolution de l'ONU comme le seul point d'appui actuel. Il insiste aussi sur la nécessité d’un cessez-le-feu pour débloquer toute la situation et prévenir la mort de milliers de personnes. Il appelle à une solution politique pour désamorcer les foyers d'escalade dans la région.
Alors le droit international est le seul point d'appui pour défendre la paix. Israël ne peut justifier son occupation de Gaza par un supposé droit à la légitime défense. À cet égard, l’Afrique du Sud a déposé une requête auprès de la Cour Internationale de justice (CIJ) des Nations Unies. Elle plaide pour la reconnaissance d’un risque de génocide à Gaza. Alors une réaction internationale est nécessaire, en faveur de la paix et du respect du droit international, afin de changer le cours du monde.
Devant l’ONU à Genève, au nom du peuple humain : cessez-le-feu - 3 févr. 2024 / JEAN-LUC MÉLENCHON
959 k abonnés - 0+ - 5556 vue - 282 commentaires
Jean-Luc Mélenchon est intervenu à Genève le 3 février 2024 à l'occasion d'une marche vers le siège de l'ONU avec une délégation insoumise pour exiger un cessez-le-feu-immédiat à Gaza.
...
Tr : ... génocide ... occupation ...
Notre vision
rassemble plus de 300 membres, professionnels des énergies renouvelables électriques et du stockage en France et porte des solutions systémiques pour accélérer leur déploiement.
L’éolien et les énergie renouvelables sont en forte croissance partout dans le monde et les perspectives des prochaines années sont immenses. Les opportunités sont formidables pour les énergies renouvelables électriques en France qui constituent un véritable réservoir de croissance et d’emplois pour notre pays. Rien que pour l’éolien le tissu industriel éolien c’est plus de 900 entreprises et plus de 22 600 emplois en France en 2021 qui irriguent l’ensemble du territoire français.
Les énergies renouvelables sont la clé de la transition énergétique. Elles permettent de diversifier le mix électrique français, d’accroître l’indépendance énergétique et de lutter contre le changement climatique pour un coût maîtrisé pour la collectivité.
76%
des riverains vivant à proximité d'un parc éolien en ont une image positive
68% des Français déclarent que l’installation d’éoliennes près de chez eux serait une bonne chose. Plus de 3 Français sur 4 ont une bonne image de l’éolien (76%), ce chiffre est le même lorsque la population habite près d’un parc éolien selon la dernière enquête 2020 d’Harris Interactive.
Notre histoire
Porte-parole des professionnels de l’éolien
Créée en 1996, l’association France Energie Eolienne (FEE) représente, promeut et défend l’énergie éolienne en France. Elle est devenue France Renouvelable en septembre 2023.
Plus de 20 ans d’engagements, de convictions et de défis
D’une belle idée, l’énergie éolienne est devenue une véritable énergie de transition, propre, renouvelable et compétitive, couvrant 6% de la consommation d’électricité française. Aujourd’hui, tous les scénarios prospectifs de transition énergétique (RTE, ADEME, négaWatt) ou de prévisions d’investissements à moyen-long terme pour les énergies renouvelables intègrent l’éolien comme élément clef, incontournable. L’éolien est plébiscité par nos décideurs et les Français (77% d’opinions favorables en septembre 2016) qui sont convaincus de la nécessité de la transition énergétique
Ces 20 dernières années, les énergies renouvelables ont donné naissance à une véritable filière industrielle, du sous-traitant au développeur-exploitant en passant par les bureaux d’études, l’ingénierie, les constructeurs de turbines, et ce à l’échelle locale : c’est l’énergie des territoires par excellence. Elle a progressivement apporté des réponses économiques (énergie compétitive), industrielles (création d’emplois locaux et opportunités de diversification), écologiques (énergie bas-carbone, sûre et contribuant à lutter contre le réchauffement climatique) et stratégiques (utilisation des ressources locales, sécurité d’approvisionnement, énergie décentralisée), les EnR électriques s’inscrivent dans l’évolution vers un système de production d’électricité décentralisé et constituent une réponse locale plus adaptée au défi global de la transition écologique. Leur développement conduit à penser l’énergie différemment, en s’adaptant à une société en mutation rapide, imprégnée par les nouvelles technologies et le numérique.
Fonctionnement
Conseil d’administration
Le Conseil d’administration détermine les orientations stratégiques de France Renouvelables. Il est, composé de 19 membres élus par l’Assemblée générale (7 décembre 2021). Celui-ci est actuellement présidé par Anne-Catherine DE TOURTIER, par ailleurs Présidente de NORDEX France SAS.
Les membres du conseil d’administration assurent les responsabilités administratives et président les commissions de travail qui élaborent réflexions et propositions.
Commissions thématiques
France Energie Eolienne, s’appuie sur les connaissances et l’expertise de l’ensemble de ses membres, issus de diverses activités du secteur éolien.
L’association est organisée en commissions, elles-mêmes subdivisées en groupes de travail spécifiques.
Les groupes régionaux
Les Groupes régionaux sont constitués des membres de FEE présents en régions. Ils sont les interlocuteurs des préfets, des élus et de la presse régionale sur des problématiques locales et assurent un ancrage de FEE dans le territoire.
Équipe opérationelle
L’équipe de France Énergie Éolienne oeuvre chaque jour pour faire de l’éolien un pilier de la transition énergétique.
Découvrir l'équipe opérationnelle
Voir l'annuaire des membres
Le colloque national
Chaque année France Énergie Éolienne organise l’évènement majeur de l’éolien en France en réunissant les acteurs majeurs de la profession et les décideurs publics !
Autour d’un village d’exposants, de conférences, d’ateliers thématiques, et de rendez-vous d’affaires, cet événement annuel spécialisé permet :
- aux professionnels de l’éolien de s’informer « à la source » sur les évolutions techniques et réglementaires de leur activité
- d’aborder les questions de l’avenir économique et écologique de notre pays, et de la planète
- de parler différemment de l’éolien, de revenir sur les idées reçues et de rappeler et illustrer les bénéfices qu’apportent l’énergie éolienne
- De partager avec les différents parties prenantes les questions posées par le développement et l’exploitation des parcs éoliens, les réponses à apporter.
Pour sa 11ème édition, le Colloque National Eolien, aura lieux les 13 et 14 octobre 2021 au Parc Floral de Paris.
France Renouvelables
5 Avenue de la République 75011 Paris Contact : 01 42 60 07 41 / contact@fee.asso.fr
site hébergé par la société OVH - Technique : Site réalisé par Marco Pierrard
Charte éthique
Charte données personnelles
CONSEIL D’ADMINISTRATION
- Anne-Catherine DE TOURTIER, NORDEX
- Fabrice CASSIN, CGR Légal
- Yara CHAKHTOURA, VATTENFALL
- Dominique DARNE, EUROWATT
- Benoît GILBERT, VESTAS FRANCE
- Nicolas GIULIANO, ENGIE GREEN
- Ralf GRASS, ENERGIE TEAM
- Antoine GUIHEUX, Volta Avocats
- Loëtitia HUREZ, RWE Renouvelables France
- Raphaël LANCE, MIROVA
- Frédéric MAENHAUT, ENERCON
- Roy MAHFOUZ, H2AIR
- Vincent MASUREEL, ENERTRAG
- Pierre MÜLLER, RP GLOBAL
- Jean-François PETIT, QENERGY FRANCE
- Frédéric PETIT, SIEMENS
- Stéphane PASQUIER, BPCE ENERGECO
- Grégoire SIMON, WPD ONSHORE FRANCE
- Nicolas WOLFF, BORALEX
Connu / https://twitter.com/f_renouvelables/status/1727582754710376783
"
France Renouvelables @f_renouvelables · 23 nov. 2023
[#Climat] Qu’est-ce qu’on attend ? Pour ne pas se retrouver dans le rouge à l'horizon 2035, nous n'avons pas le choix : plus d'énergies #renouvelables, c’est moins d'énergies #fossiles !
Sans changement, nous paierons tous l’addition. Nous devons accélérer.
#EnR #énergie #COP28
"
Durée de lecture : 8 minutes - Agriculture Luttes Politique
Alors que les agriculteurs multiplient les actions destructrices, l’impunité totale dont jouit la FNSEA tranche avec la brutalité de la répression contre les écologistes, les quartiers populaires ou les Gilets jaunes.
On connaissait le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, martial et autoritaire, gonflant les muscles à chaque mouvement social. On l’a découvert jeudi 25 janvier sur TF1 empathique et laxiste devant la mobilisation des agriculteurs. « On ne répond pas à la souffrance en envoyant des CRS », a-t-il affirmé dans un élan de lucidité. Refusant de condamner les violences, le ministre a assumé de laisser faire « à la demande du président et du Premier ministre ». « Les agriculteurs travaillent (...), ce sont des patriotes », a-t-il ajouté. « S’ils respectent les règles de la République, il n’y a aucune raison de faire intervenir les policiers et les gendarmes. »
Cette stratégie du maintien de l’ordre et l’impunité dont jouissent la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles) et la Coordination rurale interroge. La tolérance soudaine du pouvoir tranche avec la brutalité avec laquelle le gouvernement a réprimé ces dernières années les Gilets jaunes, les syndicalistes opposés à la réforme des retraites ainsi que les quartiers populaires. Elle contraste aussi avec ses diatribes contre les « écoterroristes ».
Routes bloquées, arbres abattus
...
Destruction de bâtiments publics
Certains vont encore plus loin en *détruisant des bâtiments publics. À Carcassonne, le bâtiment de la Dreal (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) a été soufflé par une explosion, revendiquée par le Comité d’action viticole. À Narbonne, un bâtiment de la Mutualité sociale agricole a été incendié.
Les responsables de ces actes vont-ils être poursuivis en justice comme d’autres paysans en colère, à l’instar de Daniel, membre de la Confédération paysanne du Tarn ? En mai 2023, il a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour avoir alimenté un simple feu de bois devant le portail de la préfecture d’Albi en mars 2023 à l’occasion d’une manifestation contre la loi sur les retraites. « J’ai été interpellé à 6 heures du matin à mon domicile, menotté devant les enfants et mis en garde à vue trente-neuf heures. C’est déjà une sanction alors que je n’avais pas encore été jugé. Pourquoi être ainsi humilié ? »
Daniel est loin d’être le seul paysan à subir les foudres de la justice à cause de son militantisme. Le 17 janvier dernier, de lourdes peines ont été prononcées à l’encontre d’activistes antibassines, incluant des syndicalistes de la Confédération paysanne. « Quand nous allons défendre un bien commun en marchant dans des champs avec des familles, on se retrouve réprimés dans la violence et on finit au tribunal », déplore Amandine Pacault, porte-parole de la Confédération paysanne des Deux-Sèvres.
...
Même quand l’action reste symbolique, la sanction est sévère. Le 6 novembre dernier, sept activistes de Greenpeace ont été interpellés, placés en garde à vue durant quarante-huit heures. Leur tort : avoir accroché une banderole sur la façade du ministère de l’Écologie pour dénoncer la « trahison écologique » du gouvernement.
« C’est quand même étonnant de voir que, dans notre pays, quand on défend l’intérêt général, on est immédiatement sanctionné et quand on défend des intérêts corporatistes – qui sont légitimes aujourd’hui – on n’a pas les mêmes réponses que la FNSEA », a déclaré Yannick Jadot, sénateur écologiste. « On aimerait bénéficier de la même indulgence et pouvoir exprimer notre colère sans se prendre des coups de matraque, sans être gazés et sans finir en procès », dit Youlie Yamamoto, porte-parole d’Attac.
...
Les convois de tracteurs ont pu se frayer un chemin jusqu’aux préfectures et aux bâtiments de l’administration au cœur des centres-villes sans rencontrer de difficulté, et sous le regard amorphe des forces de l’ordre. Parfois, elles escortaient même le cortège et les conduisaient droit sur leur cible, comme à Agen.
Dans ses consignes aux préfets, Gérald Darmanin appelait à « une grande modération des forces de l’ordre ». « C’est en dernier recours que les effectifs de maintien de l’ordre déployés aux abords de bâtiments publics seront autorisés à intervenir, et dans le seul cas où l’intégrité des personnes serait menacée ou les bâtiments exposés à de graves dégradations. »
...
Pour le sociologue Bertrand Hervieu, spécialiste des mondes agricoles, cette indulgence s’explique par « les grands rapports de proximité entre les responsables agricoles et les autorités, les maires et les préfets », dit-il à France info. « C’est l’inverse des Gilets jaunes, qui n’avaient pas de leaders. Il y a peu de professions qui ont une relation quasi quotidienne avec le gouvernement, d’abord avec le ministre de l’Agriculture, mais aussi avec le Premier ministre. Il y a donc une proximité avec l’État ». Une collusion dénoncée par Julien Le Guet, le porte-parole de Bassines non merci : « Il y a des représentants de la FNSEA qui vont à la préfecture pour organiser les actions
...
ils arrivent à être escortés sur certains lieux. Si ce n’était pas validé, il y aurait des interventions des forces de l’ordre ».
...
Le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, est à la tête d’une grosse exploitation de céréales et président du groupe agroalimentaire international Avril. © AFP / Arnaud Finistre
...
Cela fait près de soixante ans que la FNSEA multiplie les destructions de biens publics, blocages, opérations coups de poing, menaces contre des militants écologistes et des élus comme l’ont rappelé les journalistes de Basta. Cela lui a permis d’imposer une agriculture qui supprime des paysans, détruit les sols et la biodiversité.
Portrait — Agriculture : Arnaud Rousseau, « pompier pyromane » à la tête de la FNSEA
Connu / TG le 28/01/24 à 10:30
Cause commune avec le mouvement des agriculteurs - 25.01.2024 / Melenchon.fr
La mobilisation actuelle des agriculteurs me vaut des questions posées en mode privé par de nombreux amis dans l’expectative.
Il est frappant de voir de quel soutien bénéficie le mouvement dans l’opinion. Mais la récupération de la parole publique sur les chaines d’info, pour réclamer « moins de normes » en agriculture crée du doute chez mes interlocuteurs. Car souvent, ils expriment à leur manière la demande inverse, par exemple contre la diffusion de l’empoisonnement par le glyphosate et les autres pesticides. Sans oublier la dernière décision de l’Union européenne « libérant » de toute contrainte la propagation des OGM. Bref l’opinion générale a bien intégré les exigences écologiques qui s’imposent de façon vitale à notre époque. Mais à mon avis c’est justement sur ce point que se trouve actuellement l’opportunité politique la plus grande avec le mouvement paysan contrairement à la crainte qui peut s’exprimer.
Commençons par le plus simple. Les agriculteurs demandent à être payés suffisamment pour vivre dignement de leur travail. Comment le monde salarial pourrait-il contester une telle revendication ? Ne formule-t-il pas exactement la même pour lui ? Plus de 8 français sur 10 partagent ce ras-le-bol d’un monde où tout augmente, de l’essence à l’électricité, sauf les salaires. Le mouvement actuel contribue donc directement à la diffusion de l’exigence du juste partage qui est à la racine de la pensée insoumise en économie.
Il faut bien comprendre qu’une telle aspiration ne se résume pas à une question de survie. Elle touche plus profond. C’est l’exigence de reprendre le contrôle sur son existence. La misère, l’impasse économique sont vécues à juste titre comme des confiscation de soi, des soumissions à des contraintes injustes imposées de force. Ici est en jeu un fondamental des processus de révolutions citoyennes partout dans le monde. Le mouvement des gilets jaunes avait la même racine : reprendre le contrôle de son existence. Revendication moderne s’il en est.
Mais cela n’est pas la seule conjonction à observer. Il y a des raisons très profondes de soutenir et même de prendre appui sur le mouvement paysan pour porter et faire avancer très loin des objectifs généraux de grande portée en matière d’idéal de société. Nous sommes dans l’ère des mouvements opposés aux aspects fondamentaux du libéralisme. Au-delà des apparences il faut savoir le discerner pour construire du futur collectiviste. Le libre-échange, la « concurrence libre et non faussée », le marché en tout et pour tout sont ici mis en cause de plein fouet avec les mots simples de la vie quotidienne d’un double point de vue autant écologique que social. Les deux dimensions fusionnent en un processus unique dans cette mobilisation au-delà des mots, des postures, des modes d’action.
Les campagnes se vident à force de maltraitances sociales contre la partie la plus menacée du monde agricole soumis délibérément à la concurrence sauvage du marché mondial pour ses productions. La population totale des agriculteurs a été réduite à quatre cent mille personnes, 1,5 % de la population active…. Ce nombre s’interprète mieux par comparaison du nombre des autres catégories de population, quand on est dans un pays qui compte par exemple trois millions d’étudiants. Le retour à une agriculture vivrière, produisant les fruits et légumes dont nous avons besoin (pour ne citer que cela), est une urgence. La relocalisation de ces productions de fruits et légumes est le moyen essentiel d’une politique d’exigence sanitaire. Mais aussi une question de souveraineté et de sécurité des approvisionnements. Car en période de risque de guerre généralisée et de coupure des chaînes d’approvisionnement mondialisées (on l’a vu pendant l’épidémie de Covid-19) notre sécurité collective passe aussi par notre souveraineté alimentaire. Cela nécessite une classe agricole assez expérimentée et nombreuse pour être capable de porter cette bifurcation de la production. Liquider le monde paysan actuel comme le font les politiques européennes néolibérales est un contre sens.
Pourtant la politique néolibérale en cours y conduit directement. Le lobby agro-industriel n’y voit que des avantages. La libre disposition d’espaces arables immenses dédiés aux productions vers le marché mondial et complètement intégrée au commerce et la finance mondiale est la « révolution verte » dont le lobby agroalimentaire a besoin. L’Union européenne y travaille sans trêve. Ce n’est donc pas un hasard si le mouvement paysan est en cours sur tout le territoire de l’Union. Les gouvernements français ont laissé faire comme ils l’ont déjà fait pour l’industrie. Parce que cela coïncide avec les intérêts de la finance qui domine tous les secteurs d’activité aujourd’hui.
L’Union européenne aggrave volontairement la situation. Elle prépare une catastrophe supplémentaire avec l’adhésion prévue de l’Ukraine à l’Union européenne. Nous y sommes déjà opposés pour protéger les salariés de nos pays. En effet ils seraient soumis à une compétition salariale insupportable quand on sait que le SMIC ukrainien est de moins de 150 euros mensuels. Il en irait de même aussi brutalement dans l’agriculture. Les coûts de production sont déjà trois à cinq fois moindre qu’ici. On a déjà une assez ample expérience des résultats de ce contraste. Le miel de là-bas sort à 3,50 euros, contre 6 euros en France. On consomme donc davantage de miel importé que de miel des terroirs locaux. L’apiculture en déroute vide la population active des zones qu’elle anime. Depuis l’ouverture du marché à leur volaille, la consommation de celle-ci a été multipliée par cinq en France, au détriment des productions locales. Avec le système actuel de la politique agricole commune l’Ukraine absorberait une énorme part des subventions agricoles européennes pourtant financées d’abord par la France.
Le fléau de la politique libérale européenne rapproche donc de fait dans un combat commun possible, salariés des villes et des champs. Une convergence tout à fait décisive est possible entre les deux non seulement dans la situation présente mais dans des revendications communes sur le fond du projet de société. Le libéralisme n’a aucune réponse positive possible face à la demande des agriculteurs. Au contraire. La logique du libre-échange promet de nouvelles concurrences, et donc de nouvelles baisses des rémunérations.
À l’inverse, seule la politique de désobéissance européenne prônée par les Insoumis ouvre une issue. Dommage que les partis de centre gauche de la NUPES y aient renoncé et brisé l’union pour cela. Ils l’avaient pourtant adoptée dans le programme partagé de l’Union populaire. Il faut comprendre l’ampleur de cette idée. Elle crée un contexte. Cela commence déjà par le changement des objectifs de production agricole. Pour nous la production vivrière doit avoir la priorité. Je viens de le rappeler. Mais cet objectif ne peut pas être dissocié des mesures qui l’accompagnent nécessairement. Je parle ici de la « clause de sauvegarde sanitaire » mise en avant dans nos rangs par Aurélie Trouvé députée insoumise ingénieure agronome. La relocalisation de l’agriculture vivrière est le premier moyen dont nous disposons pour pratiquer une politique intense de prévention sanitaire contre la marée de pesticides, et des autres raisons de dégradation de la santé des populations. Aucune marchandise agricole ne pourrait être vendue en France si elle n’est pas conforme aux normes sanitaires que fixerait notre pays.
Ainsi, on voit que la lutte « contre les normes » portée par l’agrobusiness libéral serait le contraire de ce qu’il faut faire. Sans norme sanitaire, pas de protectionnisme sanitaire possible. Et surtout ce protectionnisme sanitaire ne pourrait plus s’adosser sur les normes et règles internationales qui le rendent possible et légal. Les agriculteurs se tireraient une balle dans le pied s’ils suivaient les revendications des libéraux en agriculture. Cela les conduirait au contraire de leurs objectifs. Et ils se couperaient de surcroit du monde des familles qui ne veulent plus subir la loi des consommations actuellement imposées par l’agroalimentaire. Le principal dirigeant du syndicalisme agricole dominant étant lui-même un dirigeant de l’agroalimentaire, il illustre certes l’évolution constante depuis des années des élites dirigeantes du monde agricole. Sur ce point, dans une autre profession, on parlerait de conflit d’intérêts. Car l’agro-alimentaire a une responsabilité non négligeable dans la détresse actuelle des agriculteurs. Cette industrie a augmenté de plus de 50 % ses marges de profit. Elle porte la responsabilité quasi-totale de l’inflation sans cause du prix de l’alimentation. Et cela se paie sans discussion possible à un bout de la chaîne sur le dos des producteurs, et à l’autre bout sur celui des consommateurs.
Ce lien qui unit la politique agricole des Insoumis et les revendications du monde paysan, a été magnifiquement établi par la proposition de loi défendue par Manuel Bompard, député insoumis des Bouches-du-Rhône et coordinateur de notre Mouvement. Il avait fait adopter avec le groupe parlementaire insoumis à la majorité de l’Assemblée nationale deux mesures directement impliquées dans le dénouement possible de la crise actuelle. C’est le blocage des marges de profit de l’agroalimentaire, d’une part, et la fixation de prix planchers pour les produits agricoles, d’autre part. La majorité obtenue sur ce plan en novembre au cours de notre niche parlementaire était un événement dont nous avons beaucoup parlé à l’époque. Comme on le sait pour finir, il a manqué six voix pour le vote final de cette loi. Les macronistes et LR avaient remobilisé leurs députés pour voter contre nous. Mais l’absence des leaders de la « gauche d’avant », comme Fabien Roussel du PCF, par exemple, avait permis à cette manœuvre d’aboutir.
Dans la lutte actuelle la Confédération paysanne joue un rôle positif ou elle cherche à faire le lien entre les revendications écologiques et sociales. On voit alors comment une bataille de cause commune est possible unifiant la population. A l’inverse du corporatisme affiché par le syndicat dominant qui ne tient aucun compte des demandes de la société dans son ensemble en réclamant l’abolition des normes anti-pesticides ou des restrictions des gaspillages de l’eau, ou l’extension des zones d’épandage de produits contestés par exemple. Mais si l’on met de côté ces demandes qui ne font nullement l’unanimité, on peut dire que du point de vue des objectifs comme du point de vue des moyens gouvernementaux pour régler les problèmes, il peut n’y avoir aucune contradiction entre les revendications du mouvement social agricole actuel et notre programme écologique et social. La question d’actualité posée au gouvernement par Mathilde Hignet député insoumise en a fait la démonstration. Dans ces conditions, le moment est donc bien celui où faire cause commune avec le mouvement des agriculteurs et construire une convergence citoyenne.
Ensuite, le mouvement agricole a permis de faire une démonstration politique de masse. On se souvient des accusations « d’écoterrorisme » contre les militants et la tentative de dissolution des « Soulèvements de la terre » à propos des bassines ! Ici, rien de semblable. Le gouvernement, les médias, les chroniqueurs ne pipent mot. Donc le mouvement des agriculteurs a fait reculer les appels à la violence policière et judiciaire habituels du pouvoir macroniste comme on les avait constatés face aux Gilets jaunes et aux révoltes urbaines. Tout le monde voit des autoroutes bloquées, un bâtiment public explosé, des voies de chemin de fer comme l’accès à une centrale nucléaire bloqués, des arbres coupés. Ni les médias ni les responsables politiques « n’appellent au calme ». Ainsi la raison et le droit à la dignité des gens commencent à être prioritaires dans la parole publique pour régler une crise. Ou bien faudrait croire que les donneurs de leçons de morale d’hier, leurs leçons, la classe médiatique qui les a relayés sans limite et qui se tait à présent, est faite de manipulateurs sans vergogne. Faisons le pari de croire à leur bonne foi et à leur compréhension désormais de la vigoureuse stratégie de la conflictualité portée par les agriculteurs. D’ailleurs le pouvoir macroniste recommande publiquement « la plus extrême modération » à la police. Comment ne pas approuver cette consigne. Personne ne doit être abattu pour « refus d’obtempérer ». Pas d’œil crevé non plus, pas de comparution immédiate, pas de recommandations pour condamner à de la prison ferme. Comme je l’avais fait avec mes camarades à l’époque des révoltes urbaines, il faut faire triompher d’abord la justice sociale si l’on veut retrouver la concorde civile.
Nous allons voir à présent comment le Waouuuu super Premier ministre va faire face au problème grâce à son jeune âge et ses talents de communicants déjà mille fois célébrés par les médias enamourés. Macron ferait bien de se préparer à trouver une idée de « grand débat » supplémentaire ou des « chèques survie agricole » selon son inépuisable habitude des pratiques cosmétiques. Mais ce temps-là est passé, je crois bien. Et je m’en réjouis. Le pays regarde et réfléchit. Il finira par comprendre ce que veut dire le libéralisme, la concurrence « libre et non faussée », le libre échange sans règles sanitaires, l’élargissement sans fin de l’Union européenne et la financiarisation de l’agriculture : le chaos. Un ordre nouveau est à construire et il peut faire un avenir en commun pour notre pays.
Connue / https://twitter.com/JLMelenchon/status/1750483102814629917
"
Jean-Luc Mélenchon @JLMelenchon
La CGT voit juste. La convergence est possible et nécessaire avec la lutte des agriculteurs. Un front écologique et social peut s'exprimer. Voir ma note de blog.
12:37 PM · 25 janv. 2024 · 97,4 k vues
"
Après avoir tiré les enseignements de la crise sanitaire et de ses conséquences budgétaires, financières, économiques et sociales dans le rapport public annuel (RPA) publié en 2022, les juridictions financières ont choisi d’examiner cette année la performance de l’organisation territoriale de notre pays, 40 après les premières lois de décentralisation. La Cour et les chambres régionales et territoriales des comptes ont souhaité dresser un état des lieux de la situation actuelle et confronter les ambitions initiales de la décentralisation à ses résultats sur le terrain, en termes de services rendus à la population et aux entreprises. Les juridictions financières ont ainsi cherché à illustrer leur analyse institutionnelle et financière de la décentralisation par des exemples concrets, tirés de l’examen de sa mise en œuvre dans quelques domaines d’action publique partagée entre l’État et les collectivités territoriales.
Comme chaque année, le présent rapport comporte également un chapitre introductif présentant la situation d’ensemble des finances publiques.
Rapport Lire le document (PDF - 8 MB)
- Synthèses Lire le document (PDF - 3 MB)
- La situation d’ensemble des finances publiques (à fin février 2023)
- La décentralisation 40 ans après, synthèse générale
- Première partie : diagnostic global et principaux enjeux
. La décentralisation 40 ans après
. Les finances locales, un mode de financement à redéfinir
. Réponses au chapitre « La décentralisation 40 ans après » et « Les finances locales » - Seconde partie : analyses sectorielles
. Les compétences de développement économique des collectivités territoriales
. Les politiques sociales décentralisées
. La construction, la rénovation et l’entretien des collèges
. Festivals et territoires
. Les déchets ménagers
. Une organisation inadaptée aux enjeux de la gestion quantitative de l’eau i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?a76KLA
. Mieux coordonner et hiérarchiser les interventions des collectivités territoriales dans l’accès aux soins de premier recours - Conclusion générale
...
Le Réseau Consigne et le Réseau Vrac ont fusionné le 15 mai 2023 au sein du Réseau Vrac & Réemploi.
...
groupement d’opérateurs, qui apporte des solutions de réemploi d’emballages au niveau national en s’appuyant sur l’expertise des filières locales.
contact@franceconsigne.fr
Liste des structures membres : Alpes CONSIGNE ; Bout à Bout ; CONSIGN'UP ; Ma bouteille s'appelle REVIENS ; J'aime mes bouteilles ; La CONSIGNE de Provence ; L'INCASSABLE ; oc'consigne ; Haut la Consigne ; Rebooteille - Suivons la consigne !
Réseau de points de collecte des membres de France Consigne
association qui fédère les professionnel•les du réemploi des emballages en France
...
Association de fait rassemblant 5 Partenaires Fondateurs : Ecoscience Provence, Zero Waste France, la Fondation Nicolas Hulot, le SIVED et le programme Boréal. Cz Ecoscience Provence, Hôtel de ville, F-8136 La Celle.
Hébergeur
SARL Elassar Multimédia 06901 Sophia Antipolis
Réalisation Thierry Pigot, Expertise WordPress
Libre échange : l'accord UE-NZ est une bombe climatique et sanitaire - 19 janv. 2024 / Matthias Tavel
978 abonnés -146+ - 2 248 vues - 22 commentaires - #souveraineté #CETA #Mercosur
#CETA #Mercosur #souveraineté
Connue / mel attac
Ndlr : Matthias résume de manière excellente les enjeux pour les agriculteurs et le climat, avec humour, de surcrois ! Valoriser ACT
« Jeunes des bourgs » et « jeunes des tours » piégés dans un même ascenseur social grippé / Emilie Denetre Publié le 19/01/2024 à 15h45 - Courrier des Maires
Sujets relatifs :
Toute l’actu, Aménagement du territoire, Aménagement rural
Sur le même sujet
- Quand le sort de l’université ne laisse plus les élus locaux indifférents
- Orientation : « les classes populaires ont besoin d’accompagnement »
- Jeunesses : l'urgence de tracer un horizon
- Jeunesses rurales : quand les intercommunalités passent à la vitesse supérieure
- « Nous souhaitons des politiques adaptées aux jeunesses rurales »
- Le retour des premiers de la classe sur leurs terres d’origines
- Comment aider les jeunes à trouver un toit
- Un cataclysme social chez les jeunes urbains... annonciateur de progrès ?
- Emploi local : une Maison de l’orientation en prise directe
- Des jeunes immergés dans un forum de l’orientation 100 % virtuel
Pour lire l'intégralité de cet article, abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné
Plusieurs études et sondages récents pointent les difficultés d’orientation, entre autres embûches sur le chemin de l’accès à l’emploi, rencontrées par toute une partie des jeunes Français. Coût des études et des frais annexes trop élevé, manque de projection dans l’avenir, mobilités entravées par la concentration urbaine de l’enseignement supérieur : les freins culturels comme financiers sont aujourd'hui connus, et partagés aussi bien par les jeunes issus de milieux modestes habitant les quartiers Politique de la ville comme ceux ayant grandi dans des villages ruraux. Si une grande partie de la réponse appartient à l’État, les collectivités ont aussi leur rôle à jouer pour changer la donne.
Seuls 7% des enfants issus de familles d’origine sociale à dominante ouvrière exerceront une profession intellectuelle supérieure… contre 81% de ceux nés dans une famille majoritairement composée de cadres et CSP+. « L’ascenseur social s’est arrêté dans les années 2000, et il n’a pas redémarré depuis » tance Antoine Dulin, qui s’appuie sur les chiffres d’un rapport que « France Stratégie », l’organe de prospective de Matignon, a consacré à la mobilité sociale des jeunes. « La reproduction sociale reste marquée dans la société[…]
...
Billet de blog 19 janvier 2024
... au vu et au su du comportement humain et politique totalement inacceptable à mon endroit de son secrétaire national, Fabien Roussel.
Comme on le sait peut-être, mon gendre s’appelle Salah Hamouri. Franco-palestinien, il a subi, outre une multitude d’humiliations perverses, pas moins de 10 ans de prison dans les geôles israéliennes. Finalement Israël l’a expulsé le 18 décembre 2022.
Cette expulsion a été savamment préparée.
Début 2022, j’apprends fortuitement que dans un Mémoire du ministère de l’Intérieur déposé au Conseil d’Etat figure curieusement la photo de Salah Hamouri. Il est écrit, de la main du ministère, cette phrase : « Membre du FPLP ». Cette organisation est considérée comme « terroriste » non seulement en Israël mais au sein de l’Union européenne.
...