Ref. Apec : 165736840W MEDICHARME 1 CDI Marthon - 16
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Publiée le 19/11/2020
dans Actualités, Actualités du mouvement, Communiqués de presse, Espace élections
Nous publions ce jour un texte ouvert à la contribution des insoumis·es jusqu’au 10 septembre https://agir.lafranceinsoumise.fr/formulaires/contribution-departementales-regionales/reponses/ (53 réponses au 2/9/20).
Le rendez-vous électoral de mars 2021 est l’occasion de proposer la mise en place d’un bouclier social et sanitaire par les régions et les départements, d’engager la bifurcation écologique et de revitaliser la démocratie au sein des collectivités territoriales.
Afin d’éviter la dispersion et la géométrie variable région par région, nous voulons avancer avec la mise en place d’un cadre national permettant d’aboutir à la composition de listes représentatives de la diversité de celles et ceux qui portent un programme de rupture sociale, écologique et démocratique dans les départements et régions du pays.
Cette recherche a été réalisée par des étudiants en 5e année à l'INSA de Lyon, encadrés par leur professeure Elise Roche, et soutenue par la Métropole de Lyon.
qui gère des espaces publics et a mis en place une commission d’accessibilité à la ville, la question de l'électro-hypersensibilité et des champs magnétiques est un signal et une problématique à étudier.
Basées sur plusieurs entretiens qualitatifs, cette étude propose une partie théorique, puis une description des quotidiens des personnes électro-hypersensibles sur la Métropole de Lyon, et enfin des préconisations pour rendre le territoire plus accessible.
Géographe, maîtresse de conférences : Elise ROCHE
Etudiants en ingénierie : Guillaume SÉCHET - Emilie DEFOORT
Tag(s) : Accessibilité, Cadre de vie, Espace public
L'étude : https://www.millenaire3.com/content/download/32798/431018
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https://twitter.com/millenaire3/status/1283306470143070209
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INSA Lyon a aimé Millénaire 3 - Grand Lyon @millenaire3 · 17h
La ville est-elle accessible pour les personnes #électrosensibles ?
Cette étude réalisée avec l'@Insadelyon analyse l'électro-hypersensibilité sur le territoire du @grandlyon et propose des solutions pour mieux y vivre
Livre bleu
L'accès à la ville des personnes éléctro-hypersensibles ; étude sur la Métropole lyonnaise |...
Cette recherche exploratoire, réalisée par des étudiants et professeure de l'INSA Lyon, s'intéresse aux obstacles rencontrés par les personnes électro-sensibles sur le territoire de la Métropole de...
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51 min Ce programme est disponible en vidéo à la demande ou DVD
Un cadre usé par le chômage part en guerre contre le système qui l’a trahi... Adaptée du roman "Cadres noirs" de Pierre Lemaitre, cette série interroge les dérives libérales sous l’angle d’un thriller haletant, avec, dans le rôle principal, un Éric Cantona inattendu et attachant.
Alain Delambre, ancien DRH, est au chômage depuis six ans. Il multiplie les boulots ingrats pour faire face à la précarité, mais une altercation avec un employeur met fin à ce fragile équilibre. Malgré le soutien de sa femme Nicole, il commence à perdre pied. L’espoir renaît lorsque sa candidature retient l’attention d’un cabinet de recrutement pour un poste de DRH. Derrière ce mystérieux cabinet officie Alexandre Dorfmann, PDG d’Exxya, une multinationale en difficulté qui prépare un important plan de licenciement…
Humour du désespoir
À l’origine de cette fiction ambitieuse, il y a d’abord l’écriture experte et incisive de Pierre Lemaitre (prix Goncourt pour Au revoir là-haut), qui signe, avec la scénariste Perrine Margaine, l’adaptation de son roman Cadres noirs. Résultat : un thriller à teneur sociale non dénué d’humour noir, qui nous plonge dans la tête d’Alain Delambre, antihéros aussi ambigu que sympathique. Poussé à bout par six années de chômage, cet homme ordinaire va répondre à l’humiliation d’une manière toute personnelle. Le récit, haletant, se fait tour à tour pamphlet, polar, feuilleton judiciaire et drame familial. Dans ce rôle d’homme en colère qui déborde du cadre, Éric Cantona se révèle idéal. Son dérapage à moitié contrôlé se nourrit d’une énergie du désespoir qui n’exclut pas l’autodérision. Tout en tension, mouvement et lignes de fuite, la mise en scène de Ziad Doueiri (L’insulte, Baron noir) emboîte le pas au personnage. Une galerie de seconds rôles bien croqués complète ce tableau noir et réjouissant : Alex Lutz à contre-emploi, Suzanne Clément en épouse pas si dépassée, Alice de Lencquesaing en fille avocate embarquée dans la bataille, sans oublier Gustave Kervern, parfait en compagnon de galère drôle et philosophe.
Réalisation : Ziad Doueiri Scénario : Pierre Lemaitre Perrine Margaine Production : Mandarin Télévision ARTE F Producteur/-trice : Gilles de Verdière Image : Tommaso Fiorilli Montage : Camille Toubkis Musique : Eric Neveux
Avec : Eric Cantona (Alain Delambre) Suzanne Clément (Nicole Delambre) Alex Lutz (Alexandre Dorfmann) Gustave Kervern (Charles Bresson) Alice de Lencquesaing (Lucie Delambre (Lucie Delambre) Louise Coldefy (Mathilde Delambre) Nicolas Martinez (Grégory Ziegler) Xavier Robic (Bertrand Lacoste) Cyril Couton (Jean-Marie Guéneau) Carlos Chahine (Paul Cousin)
Costumes : Pierre Canitrot Décors de film : Françoise Dupertuis Chargé(e) de programme : Isabelle Huige Pays : France Année : 2019
... remettre en chantier toutes les règles de fonctionnement de l’économie pour qu’elle devienne soutenable.
L’année 2019 a été marquée par une aggravation des effets tangibles du réchauffement climatique (canicules, inondations…), qui n’est sans doute pas pour rien dans l’accélération de la prise de conscience écologique. En France, l’un des signes les plus nets de l’évolution des esprits est la place prise par les thèmes écologiques et climatiques dans les médias. Le score des écologistes aux élections européennes est également significatif, même s’il n’est pas inédit, et l’on n’oubliera pas la Convention citoyenne pour le climat, dont on attend avec intérêt les suites concrètes. Au niveau européen également, les choses bougent : mille milliards d’euros sur dix ans annoncés par la Commission pour financer la « transition juste », déclarations de Christine Lagarde sur la nécessité d’intégrer le sujet climat dans la stratégie de la Banque centrale européenne, vote du Parlement sur l’« urgence climatique ». Et l’on pourrait aussi parler du rapport alarmiste publié en ouverture du forum de Davos, du phénomène de Greta Thunberg et de la mobilisation des jeunes (y compris l’émergence d’une nouvelle génération de militants avec le groupe Extinction Rebellion), etc. Reste que ces signaux insistants n’ont pas l’air d’ébranler Trump, ni Bolsonaro, sans parler du Premier ministre australien Scott Morrison, pourtant confronté au désastre que l’on sait.
... dynamique endogène de l’économie de marché ... bâtir un cadre social pour l’action rationnelle qui intègre pleinement la finitude du monde et des ressources exploitables, les phénomènes irréversibles et la dépendance de l’être humain à la nature.
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très en deçà de ce que demande ici Gaël Giraud, pour qui le besoin urgent de financer un plan massif d’investissements verts exige une mobilisation du secteur bancaire.
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contester l’impératif productiviste, c’est s’obliger à remettre en chantier l’ensemble des règles de fonctionnement de l’économie, à commencer par le fondement et le rôle de la monnaie. Dans cette perspective, Dominique Dron et ses coauteurs tracent la voie d’une resocialisation des institutions monétaires. Pour eux, « la transition écologique exige bien plus que des investissements décarbonés », d’où la nécessité d’explorer des scénarios plus disruptifs pour mettre la monnaie au service d’une économie centrée sur les besoins et la gestion des communs environnementaux.
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Le cas des mathématiques financières illustre le dévoiement d’une discipline enfermée dans un cadre épistémologique autoréférentiel, qui ignore l’encastrement social et environnemental de l’économie monétaire. J’essaie dans mon propre texte d’identifier les présupposés et les biais méthodologiques qui rendent la théorie économique peu utile pour penser le monde qui vient. L’entretien avec Robert Boyer complète cette réflexion, par une analyse de l’intérieur des dérives de l’économie académique. Pour lui, la « perte de qualité de l’offre politique » n’est pas sans rapport avec la balkanisation des savoirs et l’excès de confiance des décideurs dans une discipline supposée scientifique qui a renoncé à s’interroger sur ses propres limites.
Bernard Perret
est haut fonctionnaire ; il a longtemps travaillé pour l'INSEE, pour ensuite se tourner vers les questions écologiques et de développement durable au sein de différentes instances (dont le Ministère de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie). Il est l'auteur de nombreux essais sur les politiques publiques, les liens entre économie et société, le développement durable (…
Connu / https://pouet.april.org/@aprilorg/103719170924612887
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Association April @aprilorg@pouet.april.org
Nextcloud - le film « Sortir du cadre » – Chronique sur le thème « mieux vaut demander pardon que demander la permission »
Écoutez le #podcast complet de l'émission « Libre à vous ! »
Nous vous souhaitons une bonne écoute
.#libreavous #S03E21 #causecommune
25 février 2020 à 12:09 · Web · 0 · 2 · 1
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https://april.org/libre-a-vous-radio-cause-commune-transcription-de-l-emission-du-18-fevrier-2020
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En sortant du cadre les experts de la construction, Walt Disney pouvait enfin faire vivre à tout ses visiteurs (petits et grands), une journée magique.
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Expérience = émotions
Je ne referais pas toute la démonstration mais une expérience c’est avant tout émotionnel. Et quand je parle d’émotion, je ne parle pas de ce que vit l’utilisateur face à l’absence de frictions ou la simplicité d’usage. Non là, c’est juste ne rien ressentir parce que ça semble normal. C’est neutre.
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De l’intuitif avant tout
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l’UX Design (incluant la démarche centrée utilisateur) suit au mot près la méthodologie de l’ergonomie : Analyser, recueillir des données, optimiser et mesurer.
Ça ne peut pas être qu’un hasard. J’en ai déjà suffisamment parlé dans d’autres articles mais le design tel qu’il est produit aujourd’hui, n’a pas été formalisé par des designers. C’est une vue d’ingénieur, de scientifique et donc par déclinaison d’ergonome.
On est bien loin, du travail des Imagineers de chez Disney. A-t-on vraiment raison d’appeler un UX designer, un designer d’expérience dans ce cas ? Je n’ai pas l’impression.
L’UX designer ne produit pas de l’expérience mais de l’ergonomie. Et il suffit de voir les attentes des clients quand nous sommes en mission pour nous en rendre compte. Il n’est pas question de faire rire, pleurer, bondir de joie les gens mais de leur retirer une épine du pied ou améliorer la performance pour l’entreprise.
Finalement ne serions-nous que des super ergonomes ?
Written by Rémi Garcia
Designer d’expérience un peu rebelle, passionné d’éducation, touche-à-tout, illustrateur et auteur à ses heures perdues. Geek dans la vraie vie.
Connu / https://twitter.com/DesignSinking/status/1224337424572129280
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Jacky Foucher @DesignSinking · 4h
Sans cesse chercher à fluidifier l'expérience plutôt que proposer des moments de vie. La fuite en avant de "l'UX"...
Bien bel article de @remigarcia
Heureusement, il y reste des "Imagineers"... #Thread
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https://medium.com/@remigarcia/o%C3%B9-se-cache-lexp%C3%A9rience-5e563959360a
.#Design #UXDesign Où se cache l’expérience ?
Le design d’expérience tel qu’il est pratiqué aujourd’hui n’est que de l’ergonomie gonflée aux stéroïdes.
medium.com
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Qu’apporte l’économie symbiotique?
UN CADRE permettant d'amplifier l'impact positif des solutions en les mettant en synergie.
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Un modèle économique régénératif radicalement nouveau qui affirme la possibilité de développer une relation symbiotique (c.a.d de croissance mutuelle) entre des écosystèmes naturels prospères et une activité humaine intense, et ce dans tous les domaines de l'économie.
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Une approche inclusive et soutenable
Aucune des innovations économiques ne peut faire face seule aux défis complexes auxquels nous sommes confrontés.
C'est seulement en créant des synergies entre les différentes approches qui puisent dans l'intelligence des écosystèmes naturels, le génie humain et la puissance de technologies efficientes que nous pouvons espérer aboutir à une véritable durabilité.
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Un panel de plus de 20 innovations économiques récentes qui produisent un impact positif sur la planète, et les synergies qui peuvent s’établir entre elles : agroécologie ; biomimétisme ; économie circulaire ; économie collaborative ; communs ; ecodesign ;
ingénierie écologique ; open source ; pair à pair ; permaculture ; renewables ; entreprise sociale ; réseaux intelligents ; économie des usages
*Le livre : extrait https://issuu.com/actes_sud/docs/l___conomie_symbiotique_extrait_act?e=2297045/53921737
Jérémy Désir est un « quant », un mot utilisé dans le milieu de la finance pour désigner un analyste quantitatif.
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document important qu’il avait précédemment remis à sa hiérarchie, sans effet. L’employé a donc décidé de rendre ce rapport disponible en téléchargement libre https://www.fichier-pdf.fr/2019/07/29/meschersamis/. On y trouve « un condensé de faits et d’analyses indiscutables sur l’urgence de notre nécessité d’agir drastiquement avec courage » selon ses mots. Une véritable mine d’or d’informations et surtout une critique systémique des institutions invitant à un changement profond de civilisation et de ses structures économiques dévastatrices.
Ce lundi 29 Juillet 2019, le jour du dépassement mondial, Jérémy Désir prenait donc la décision de démissionner publiquement.
En complément, le documentaire ARTE « Les Gangsters de la finance » https://www.youtube.com/watch?v=rzRSMHqjHUU
TAGS banque capitalisme HSBC humanité Jérémy Désir lettre ouverte
Rapport indexé à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?zuYUvw
Résumés
Français
English
Cet article rend compte d’une innovation pédagogique menée dans une école d’ingénieurs par une association indépendante : l’atelier matières à construire - amàco. Le projet visait à modifier les conceptions et les pratiques dans le domaine de la construction durable et le défi consistait à intégrer, dans l’ingénierie pédagogique, les principes d’une philosophie de la matière qui invite à faire corps avec la matière. Après trois années d’une expérimentation pédagogique avec la matière, dans le cadre d’un soutien financier à l’innovation, une démarche d’investigation, basée sur la théorie ancrée, a été entreprise pour observer, d’une part, les effets sur l’expérience formative des étudiants et le développement de leurs compétences professionnelles et, d’autre part, les modifications des pratiques d’enseignement des enseignants impliqués dans le projet. L’analyse montre que les changements les plus apparents concernent les enseignants qui transforment radicalement leur enseignement au-delà de l’expérience. Les effets sur le développement professionnel des étudiants sont plus difficiles à saisir bien qu’il y ait de bonnes indications qu’ils entrent dans le monde professionnel avec une vision accordant plus de place aux enjeux de la construction durable et au renouvellement du contact entre l’homme et son environnement.
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Entrées d’index
Mots-clés :innovation pédagogique, philosophie de la matière, construction durable, théorie ancrée, pratiques pédagogiques innovantes, développement professionnel
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5.1 Plus qu’une collaboration, un partenariat placé sous le signe de la co-création
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Référence électronique
Marion M. Bisiaux, Laetitia Fontaine et Nicole Rege Colet, « Enseigner la sortie de cadre pour changer les habitudes », Revue internationale de pédagogie de l’enseignement supérieur [En ligne], 35(1) | 2019, mis en ligne le 17 mai 2019, consulté le 21 mai 2019. URL : http://journals.openedition.org/ripes/2037
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Auteurs
Marion M. Bisiaux
Atelier matières à construire amàco, c/o Les Grands Ateliers, Villefontaine, France.
Laetitia Fontaine
Atelier matières à construire amàco, c/o Les Grands Ateliers, Villefontaine, France.
CRAterre AEetCC ENSAG UGA, Grenoble, France.
Nicole Rege Colet
Yggdrasil Living Wholeness, Gudhjem, Danemark.
Politique Grand débat national
Nommés par le gouvernement et les présidents du CESE, de l’Assemblée nationale et du Sénat, les cinq « garants » devront « garantir l’indépendance » de la grande consultation lancée par le gouvernement le 15 janvier.
Temps de Lecture 3 min.
Jean-Paul Bailly, Pascal Perrineau, Nadia Bellaoui, Guy Canivet et Isabelle Falque-Pierrotin ont été désignés, jeudi 17 janvier, « garants » du grand débat national voulu par Emmanuel Macron. Outre ces cinq « garants », qui veilleront donc à l’indépendance du débat, deux membres du gouvernement, le ministre Sébastien Lecornu (collectivités territoriales) et la secrétaire d’Etat Emmanuelle Wargon (transition écologique), sont chargés de « faire vivre le débat et d’en suivre l’évolution ».
« C’est un exercice inédit qui doit permettre aux Français de dire ce qu’ils souhaitent. Il faut que ce soit bien organisé, avec des principes de transparence et d’impartialité », avait déclaré le premier ministre, Edouard Philippe, en début de semaine. L’exécutif, chargé de désigner deux « garants », a complété jeudi soir les trois premiers noms communiqués par les présidents de l’Assemblée nationale, du Sénat et du Conseil économique, social et environnemental.
Jean-Paul Bailly et Isabelle Falque-Pierrotin choisis par Matignon
Ancien président de la RATP et de La Poste (entre 2002 et 2013), Jean-Claude Bailly, 72 ans, était pressenti pour être désigné par l’exécutif depuis plusieurs jours. Le deuxième choix du gouvernement s’est porté sur la conseillère d’Etat Isabelle Falque-Pierrotin, 58 ans, actuelle présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), où elle supervise notamment l’application du Réglement général de protection des données personnelles (RGPD) en France.
Entretien avec Isabelle Falque-Pierrotin : « Le but de la CNIL n’est pas la sanction tous azimuts »
Pascal Perrineau nommé par Gérard Larcher
Le politologue et spécialiste de sociologie électorale Pascal Perrineau a été choisi par le président du Sénat, Gérard Larcher. Ancien directeur du Cevipof, le centre de recherche politique de Sciences Po, Pascal Perrineau, 68 ans, s’est notamment spécialisé dans l’étude de l’extrême droite en France et en Europe.
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M. Larcher ... « le terme de “garant” ne [lui paraissait] pas approprié ». « Nous n’avons rien à garantir mais à observer le bon déroulement de ce débat », a-t-il ajouté, citant « les conditions du débat, son déroulement, sa neutralité et sa sincérité ». « ... je ne suis pas dupe non plus, a prévenu, jeudi, M. Larcher. Nous n’avons pas été associés à la façon dont il a été imaginé ni à la façon dont il a été organisé. » Mais, ... après deux mois de crise politique et sociale, « il nous faut retrouver ce qui fait le ciment de notre nation, les valeurs qui fondent notre pacte républicain ».
L’ancien magistrat Guy Canivet désigné par Richard Ferrand
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Nadia Bellaoui, la préférence du CESE
La secrétaire générale de la Ligue de l’enseignement, Nadia Bellaoui, a été nommée par le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Patrick Bernasconi. « Agée de 43 ans, Nadia Bellaoui a, tout au long de son parcours, marqué un profond engagement dans le mouvement associatif, au service de l’intérêt général, fil conducteur de son engagement citoyen », a expliqué le président du CESE, troisième assemblée (consultative) de la République, justifiant son choix. Mme Bellaoui a été notamment « membre du Haut Conseil à la vie associative puis présidente du Mouvement associatif et administrateur de la fondation La France s’engage », ajoute-t-il.
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le chef de l’Etat avait adressé une lettre aux Français pour tenter de cadrer les enjeux de cette grande consultation.
L’affaire Séralini et la confiance dans l’ordre normatif dominant de la science
Florence Piron, Université Laval et Thibaut Varin, Université Laval
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sinon, la suite
http://www.implications-philosophiques.org/actualite/une/laffaire-seralini-22/
NDLR : Les marqueurs de l'ultralibéralisme "économisme", "mondialisme", "technologisme" sont prégnants renforcés par des doutes sur l'éthique car le cadre posé apparaît en 3è chapitre du rapport et non pas en premier. D'autre part, les risques sont-ils VRAIMENT recensés et traités par des propositions de mesures ?
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