Mis en ligne vendredi 7 avril 2017 à 02:59 EST / Universite du Nous - UdN
Étiquettes #Colibris, #Université du Nous, #gouvernance partagée, #MOOC,
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Vendredi 6 octobre
Matin
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12h15 : Concrétiser la transition : les apports des sciences sociales et de l’accompagnement au changement
L’Association négaWatt - avec le projet Fulfill - et l’Institut négaWatt - avec l’accompagnement au changement - investissent ces champs depuis quelques années et partageront leurs retours d’expérience.
Avec :
- Laure Charpentier, accompagnatrice de transition à l’Institut négaWatt
- Aurore Flipo, chargée d’études au sein de l’Association négaWatt
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Vendredi après-midi
Ateliers thématiques
Atelier 1. Découvrir le scénario européen CLEVER - Animé par Nicolas Taillard
Atelier 2. Quelle place pour l’hydrogène dans l’industrie en 2050 ? Animé par Stéphane Signoret, membre de la Compagnie des négaWatts
Atelier 3. Écrouler les consommations énergétiques du patrimoine public : planification et accompagnement au changement - Animé par Rémi Bonvalet, responsable du pôle Dynamiques de changement à l’Institut négaWatt, et Damien Jannot en charge de l’accompagnement des collectivités chez Enertech
Atelier 4. Quelles stratégies de développement pour le photovoltaïque en France ? - Animé par Marc Jedliczka, porte-parole de négaWatt et directeur d’Hespul, et Simon Cossus, ambassadeur négaWatt et directeur d’Enercoop Languedoc-Roussillon
Atelier 5. Quelle mise en œuvre de la sobriété par les territoires ? L’exemple de la Ville de Grenoble - Animé par Vincent Fristot, adjoint au Maire de Grenoble en charge des finances et de la transition énergétique, et Samuel Martin, pôle mesure et mise au point à Enertech et membre de la Compagnie des négaWatts
Atelier 6. Energie Mix - Animé par Louise Balmer, animatrice du réseau Énergies citoyennes locales et renouvelables en Occitanie
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Samedi 7 octobre
Matin
9h30 : La sobriété tuera-t-elle la croissance ?
Le concept de sobriété heurte de plein fouet la dynamique de notre société capitaliste fondée sur l’hyperconsommation et la croissance à tout prix. Néanmoins, la transition écologique ne se fera pas sans entreprises. Comment ces dernières peuvent alors intégrer la modération des besoins dans leur modèle économique ? Cette table-ronde réfléchira à la nature d’une nouvelle démarche entrepreneuriale qui intégrerait la sobriété, et de sa capacité à rendre la société prospère. Elle interrogera la façon de sortir des politiques de compétitivité, des manières d’orienter à la baisse les consommations (par exemple par les low-tech), de redéfinir l’utilité sociale des entreprises et leur gouvernance, de mobiliser de nouveaux modèles de comptabilité. Il s’agit de trouver comment la sobriété peut nourrir une économie de la post-croissance.
Avec :
- Vincent Wisner, directeur général de Prophil, entreprise à mission,
- Benjamin Brice, docteur en Sciences Politiques et auteur de La sobriété gagnante. Pouvoir d’achat, écologie, déficits : Comment sortir de l’impasse ?
Animation : Stéphane Signoret, membre de la Compagnie des négaWatts
11h : Pause
11h30 : La transition énergétique, par et pour la démocratie ?
La transition énergétique doit, pour advenir, devenir un projet de société. Mais ce constat se heurte à un paradoxe : l’impératif d’intérêt général que constitue l’urgence climatique, la planification et la régulation forte que la transition implique semblent en appeler à un dirigisme incompatible avec le respect démocratique des réticences que cette transformation suscite, et des libertés.
Derrière les choix sur le nucléaire, les renouvelables ou la sobriété se cache peut-être, au fond, un rapport différent à cette question : d’un côté, la reconduction assumée d’un choix technocratique, vertical et centralisé, défiant vis-à-vis de la capacité de la société à s’approprier les enjeux ; de l’autre, le pari au contraire d’une appropriation beaucoup plus horizontale, et diffuse, des enjeux et des solutions.
À la lumière de l’expérience française, on s’interrogera sur les solutions pour mettre le moteur démocratique, de plus en plus fragilisé, au cœur de la transition énergétique.
Avec :
- Michel Badré, président de la Commission particulière du débat public sur l’EPR2,
- Yves Marignac, membre de la Compagnie des négaWatts.
Souvent citée en modèle pour la qualité de ses infrastructures cyclables, l’Allemagne — où la part modale du vélo a déjà atteint les 12% visés par la France en 2030 — voit émerger un nouveau mouvement social. Avec les outils de la démocratie directe, les citoyens donnent de la place au vélo en ville.
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Connu / TG le 20/05/23 à 11:07
La vie nous apporte ce dont nous avons besoin pour apprendre et évoluer, je n'ai plus aucune raison de douter de cela... Mais c'est toujours plus simple quand on y met un peu du sien ! Alors comprenons les leçons et acceptons d'avancer... Voici quelques clés qui, comme toute clé, m'ont ouvert bien des portes. J'ai choisi de les franchir, et vous ?
- Au revoir la télé : ...
- Apprendre à connaître nos petites voix intérieures :
Entre celle sur qui on peut toujours compter, "la sage", celle de notre enfant intérieur qui aura des besoins particuliers, celle conditionnée par l’éducation ou la société... Nombreuses sont les petites voix qui nous "guident" plus ou moins consciemment, toutes ont le droit à la parole et doivent être entendues, mais toutes ne sont pas de bon conseil ! - Se faire confiance :
A soi. Car personne ne peut savoir mieux que nous ce qui est bon pour nous. C’est notre chemin, à nous de choisir quelle route nous préférons pour quelle destination. - S’ouvrir aux autres :
Plus on se fait confiance et plus on peut écouter, partager, échanger, et ouvrir son coeur sans risque et sans crainte de se faire ballotter, influencer, abuser ou vampiriser ! - Se poser les bonnes questions :
Où voulons-nous aller ? Qui souhaitons-nous être ? Que voulons-nous vivre ? Comment y arriver ? Qu’est-ce qui est essentiel à nos yeux aujourd’hui, qu’est-ce qui est superflu ? Quelles concessions sommes-nous prêts à faire, et sur quelle durée ?...
Ndlr : le dernier billet de Pénélope ici... ++
Valérie Brunel - 06/04 - Les transformations systémiques multi-échelles à l’aune de la « transition socio-écologique »
41 participants et 6 intéressés - 430 vues Visites
jeudi 06 avril 2023 18:30 - 20:30
Hotel de Poulpry, Maison des X, salon Louis Armand
12, Rue de Poitiers 75007 PARIS
Quelles sont les étapes clés et points de vigilance pour penser et accompagner les transformations systémiques multi-échelles ?
Les considérations d’une praticienne-chercheuse engagée.
Résumé
Valérie Brunel vous proposera un chemin réflexif au fil des étapes clés des transformations systémiques, en posant des principes et en les ancrant dans le cas de la transformation socio-écologique :
· Voir le monde en systèmes
· Prendre du recul sur nos paradigmes de pensée
· Décoder le contexte, reposer les finalités, clarifier les objectifs
· Trouver les points de levier
· Ajuster sa posture d’intervention
· Construire sa stratégie de changement
· Articuler expertise et accompagnement du changement
Elle prendra appui sur son expérience d’intervenante, chercheuse et formatrice en transformation systémique socio-écologique, et d’ancienne responsable du programme de la Convention des Entreprises pour le Climat.
Biographie
Valérie Brunel est praticienne-chercheuse des transformations systémiques et socio-écologiques
Sociologue clinicienne, elle est chercheuse associée au Laboratoire de Changement Sociologique et Politique de l’Université Paris 7 Denis Diderot.
Intervenante systémicienne, coach et formatrice, elle a fondé en 2004 le cabinet Kairos Accompagnement & Recherches, centré sur les questions de transformation psycho-socio-organisationnelles et écologiques.
Sa pratique l’amène à construire des dispositifs qui permettent de dépasser des crises, de faciliter le passage vers des systèmes sociaux plus écologiques, plus démocratiques, plus efficients, et porteurs de plus de sens, en articulant différents niveaux de changement, du collectif à l’intrapsychique.
Elle a notamment été co-fondatrice, responsable du parcours et du programme de la Convention des Entreprises pour le Climat.
Elle a formé de nombreux acteurs à son approche du changement systémique et sociologique, notamment au sein de la Ville de Paris, de l’Executive Education à HEC, des cabinets Mc Kinsey, Orphoz, Cap Gemini...
Elle réalise des travaux de R&D sur des questions de transformation complexe, par exemple : comment soutenir un changement de comportement écologique et énergétique à grande échelle ? que serait une économie régénérative, comment s’y acheminer, et quelles en seraient les conditions ?
Enfin, elle soutient les transformations intérieures, autrement dit les réaménagements du système intrapsychique, avec l’approche IFS, Internal Family System.
Ndlr : autre formulation de la TdM ?
Que peuvent engager des élus locaux dès les premiers mois de leur mandature ? Le philosophe Thierry Paquot livre à basta! un plaidoyer pour une municipalité écologiste, en sept actions simples et économes.
Débats Temps de lecture : 9 minutes 1 commentaire #alimentation #climat #démocratie ! #ecologistes #innovation politique #se déplacer demain #vendredidébats
La victoire électorale d’élu·e·s écologistes, lors des dernières municipales, est une incroyable opportunité pour démontrer aux sceptiques et aux opposants farouches à toutes sensibilités environnementales, qu’il est possible de substituer à la « logique du toujours plus », celle du « toujours mieux ». Bien sûr, il ne convient aucunement de sous-estimer la puissance des partisans du productivisme, capables de se transformer en militants d’une vaine et trompeuse « croissance verte »... Les médias dominants appartiennent aux bétonneurs et aller à l’encontre de leurs certitudes revient à rejouer le vieux combat du pot de terre contre le pot de fer ! Heureusement, il existe de vaillants magazines, comme celui-ci, qui veille à enquêter pour donner aux lecteurs des informations leur permettant de se positionner, sans dogmatisme aucun.
Thierry Paquot, philosophe
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Première action : écologiser le conseil municipal
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Deuxième action : la trinité joyeuse
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Troisième action : la coopération plutôt que la représentation
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Quatrième action : privilégier le BTPP (bois, terre, paille, pierre)
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Cinquième action : se réapproprier l’énergie et l’alimentation
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Sixième action : des déplacements commodes et économes
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Septième action : l’art
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Photo de une : La cité de Font-Vert, dans les quartiers Nord de Marseille. Elle expérimente des jardins en pied d’immeubles, cultivés par les habitants (voir notre reportage)/©Nathalie Crubézy/Collectif à-vif(s)
[1] Lire à ce sujet : Thierry Paquot,« L’espérance biorégionale », revue numérique Topophile ; Écologie des territoires. Biorégion et transition, sous la direction de Thierry Paquot, Terre urbaine, 2021 ; et Pierre Calame, Osons les territoires !, Le Pommier, 2022.
[2] Philosophe états-unien, mort en 2006, penseur de l’écologie sociale et du municipalisme libertaire.
[3] Outil institutionnel de l’aménagement du territoire, promu par le ministère de l’Environnement, la Trame verte et bleue (TVB) « constitue un outil de préservation de la biodiversité visant à intégrer les enjeux de maintien et de renforcement de la fonctionnalité des milieux naturels dans les outils de planification et les projets d’aménagement. »
[4] Voir Thierry Paquot, « Ménager le ménagement », revue numérique Topophile.
L’Assemblée représentative de la France Insoumise vient de se tenir. Comme on le sait, elle est constituée de membres des secteurs opérationnels et d’une majorité de membres tirés au sort.
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Connu / TG du 12/12/22 à 10:13
Ce mercredi 7 décembre à Montréal débute la COP15, la Conférences des Parties de la Convention sur la Diversité Biologique, qui doit permettre aux gouvernements internationaux d’agir pour lutter contre la crise de la biodiversité.
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Philippe Grandcolas : Directeur de recherche au CNRS et Directeur de l'Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité, une unité mixte de recherche du Muséum national d'Histoire naturelle, du CNRS, de l'Université Pierre et Marie Curie et de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes, comportant deux cents systématiciens et biologistes de l'évolution.
En duplex depuis les studios de Radio Canada à Montréal :
- Anne-Céline Guyon, chargée de projets experte climat chez Nature Québec
- Alain Branchaud, Directeur Général de la SNAP Québec, La Société pour la nature et les parcs
SNAP Québec et Nature Québec font partie du Collectif COP15, qui regroupe des dizaines d’organisations québécoises et qui souhaite profiter de la conférence à Montréal pour ouvrir un dialogue sur les changements économiques qui s'imposent pour protéger la biodiversité.
Notre Projet
Pourquoi ?
Aujourd’hui, les conditions d’habitabilité de notre planète sont gravement altérées et la vie sur Terre est menacée. La nôtre comme celle de l’ensemble des membres de la grande famille du vivant. Notre empreinte écologique a dépassé la biocapacité de notre planète depuis 50 ans et nous fonçons toujours plus vite vers un certain nombre de crises. Au lieu de freiner pour amortir certains chocs, nous accélérons vers une situation inconnue, un avenir instable. La civilisation extractiviste-productiviste-consumériste, suicidaire et écocidaire, qualifiée de « thermo-industrielle », est sur le point de s’effondrer (Meadows et al, 1972).
Il reste peu de temps pour préparer la résilience, afin d’anticiper les chocs qui arrivent. Il nous appartient d’ériger le respect du Vivant comme nécessité et priorité absolues.
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N’attendons pas la fin de notre monde pour en inventer un nouveau. Nous pouvons le faire sans attendre, sans demander l’autorisation à personne.
Soyons lucides ! Cessons d’essayer de changer le système, changeons DE système.
C’est à nous citoyennes et citoyens d’écrire ensemble une nouvelle histoire !
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Quoi ?
Écovillages, Écolieux, Tiers-lieux, Fermes bio, AMAP, Recycleries et Ressourceries, Coopératives, Écoles alternatives, Cafés associatifs, Accorderies, Monnaies locales, SEL, Assemblées citoyennes, etc… De multiples initiatives représentant des véritables alternatives concrètes existent déjà dans les territoires. Ce sont les embryons, les bourgeons, les îlots d’un monde nouveau. C’est à l’échelle locale qu’il nous appartient d’organiser notre résilience commune dans les domaines hydrique, alimentaire, sanitaire, énergétique, sécuritaire, économique et financier. C’est également à l’échelle territoriale de « biorégions » qu’il nous nous appartient de bâtir un fonctionnement sociétal alternatif.
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Notre mission
L’Archipel du Vivant est une ONG qui vise à développer la résilience locale et à faciliter la coopération entre les initiatives alternatives afin de faire émerger une nouvelle société au service du Vivant, libérée de tout rapport de domination et réellement démocratique.
En tant qu’ONG, L’Archipel du Vivant est une association à but non lucratif, au service du bien commun, qui ne relève ni de l’État, ni d’institutions internationales. Notre indépendance financière et politique est sacrée.
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Les 3 ambitions du projet
- Réunir et rendre accessible les informations utiles sur le monde alternatif : sur ce site ressources (rubriques « S’informer », « S’immerger » et « S’investir »)
- Interconnecter les acteurs alternatifs dans les territoires – à l’échelle biorégionale – dans la perspective d’une résilience locale, collective et systémique
- Répondre aux différents besoins des acteurs alternatifs dans l’optique de consolider ce nouveau monde
Nos 5 principes de base et nos 10 engagements (non négociables !)
- Radicalité et vision systémique
- Lucidité
- Révolution créatrice
- Inspiration et indépendance
- Responsabilisation et auto-gestion
NOS 10 ENGAGEMENTS
- Agilité (Rester humbles, accueillir les critiques, accepter l’erreur, continuer à apprendre)
- Bienveillance (Coopérer, accorder notre confiance, chercher à comprendre sans jugement, cultiver la gratitude)
- Optimisation (Se baser sur les initiatives existantes. Faciliter sans prendre la place)
- Diversité (Favoriser la diversité (origine, profil, expérience) et en faire une force)
- Altruisme (Servir le bien commun, faire passer l’intérêt du projet et celui du collectif avant l’intérêt individuel)
- Courage (Accepter la réalité – même négative – et composer avec, rester souple, cultiver sa résilience)
- Efficience (Avoir un maximum d’impact avec un minimum de moyens)
- Qualité (Privilégier la qualité à la quantité, produire du contenu accessible, compréhensible et utile)
- Audace (Réaliser ce qui est nécessaire, vital et non ce qui est à priori « possible » ou pas)
- Cohérence (Être authentiques et aligner nos actions et relations avec notre vision du monde. Lutter particulièrement contre les rapports de domination)
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Notre Équipe
Notre équipe noyau
- Mathieu Kuntz, Sorcier des transformations souhaitables, Co-fondateur, Il parcourt la France pour partager, rencontrer, faciliter et transmettre. Sa mission principale ? Sensibiliser et former les jeunes (de 10 à 25 ans) aux grands défis de notre époque afin de les transformer et d’en faire des militant·e·s engagé·e·s au service du Vivant et d’un monde nouveau.
- François Perrin, Lent-vivant, post-croissant, convivialiste, Ambassadeur et couteau-suisse. Il rencontre des personnes qui œuvrent dans les alternatives (podcast « vivants). Il recrute des contributeurs·trices, trouve des sujets inspirants, anime des communautés en ligne. Il visite des lieux alternatifs ruraux pour y tisser des liens et enrichir notre réseau. Il est bénévole sur des festivals, des chantiers participatifs et vit de façon semi-nomade.
- Jean-Christophe Anna, Rebelle amoureux du vivant & Utopiste éclairé, Co-fondateur et Coordinateur du projet. Il partage son temps entre la ville pour y voir ses enfants et la campagne pour découvrir des initiatives alternatives et les interconnecter à l’échelle des territoires afin de créer des biorégions. Il participe à de nombreux événements engagés et partage sa vision dans le cadre de conférences « augmentées ». Le paradis ? Sa Tiny house !
Notre archipel de contributrices et contributeurs
- Julien Leroux, Citoyen du monde aspirant à une société respectueuse du vivant
- Benoit Bride, Ingénieur énergie et permaculteur
- Hugo Mairelle, Illustrateur, Graphiste et Plasticien
- Maxime Giordano, Fédérateur et Co-fondateur du FIFES
- Tom Howells, Designer et Compositeur. Il a créé notre logo
- Véronique Helmlinger-Rauner, Ouvreuse des portes de l’espérance
- Nadège Perino-Chinchin, Exploratrice autodidacte en quête de lumières sur le monde
- Virginie Humbrecht, Illustratrice engagée
- Sundari Giordano, Formatrice, illustratrice et co-fondatrice du FIFES
- Moko, Révolté épris de justice sociale et écologique
- Isabelle N, Fée du Vivant et Sorcière des éléments
- Catherine Rivera, Allumeuse de corps, de cœurs, d’esprits et d’âmes
- 1011, Artiste contemporaine
- Anne-Laure Nicolas, Permacultrice humaine
- Naomi Simeon, Féministe actrice du changement
- Thierry Raffin, En quête de Reliance à l’Anima Mundi
- Christophe Moreau, Chercheur de mondes désirables
- Jean-Baptiste Grangier, Artiste terrien
- Nicolas Verre, Passeur de transition, imagineur de terre-eau fertil
- Victor Locuratolo – Vito, Dessinateur. Il a réalisé la fresque reprise sur notre Homepage
Elles et ils ont fait partie de l’aventure, merci ! 😉
- Eloïse Le Roux, Harmonisatrice sociale et visuelle
- Barbara Géhin, Consultante éco-mobilité
- Paul Beraha-Belin, Jeune indigné néo-rural
- Ivan Guyot, En transition vers un monde décroissant !
- Somhack Limphakdy, Enseignante dans le primaire et le supérieur
- Soufiane Kania-Kharroubi, Développeur web engagé
- Jérôme Fonteneau, Coach en transformation individuelle et collective
Contactez-nous !
contact@archipelduvivant.org - 06 42 21 30 19 - 36, rue du Fossé des Tanneurs 67000 Strasbourg
Hébergement web / Association INFINI (Internet Finistère)
L'intégralité du contenu de notre site ressources est sous licence(s) libre(s) !
Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?8QkoHw
13,8 k abonnés - 632 - 7 819 vues - 46 commentaires
Derrière la prétendue hausse du budget trompe l’œil prévu par le gouvernement, l’austérité !
👉Les hypothèses actuelles de croissance du gouvernement sont gonflées et irréalistes.
👉On assiste à une baisse historique des dépenses publiques nécessaire pour investir dans l’Écologie, la Santé, l’Éducation …
🚫Avec ce PLF tel qu’engagé, l’austérité ne fera que s’accentuer.
✅Nous devons changer de paradigme.
Connu / https://framapiaf.org/@mvtcolibris/108525979838695331
"
Mouvement Colibris @mvtcolibris@framapiaf.org
💡 Quelques alternatives libres et éthiques à Gmail & co !
@ChatonsOrg @protonmail @Tutanota @gandi
Depuis maintenant deux mois, utilisateur⋅ice⋅s d’adresses @colibris-lemouvement.org, nous rencontrons des difficultés importantes pour…
"
4 622 vues - 707 - 17,7 k abonnés - 95 commentaires
Clip de campagne #Melenchon2022 - diffusé à la marche pour la 6e République du 20 mars 2022.
#Chaos #Résister #Climat - 64 804 vues - 3,5 k - 336 k abonnés - 631 commentaires
Comment s'organiser avec nos contraintes pour avoir le meilleur des mondes possibles ? Arthur Keller, propose face au chaos qui vient, multiplication des catastrophes naturelles, raréfaction des ressources, pénuries et dislocation sociale, une méthode. Pour l’expert : “Notre système va basculer comme un iceberg”, il faut donc s’y préparer au mieux aujourd’hui. Et cela passe par réparer le concept de résilience et construire un nouveau système.
Entretien de Paloma Moritz avec Arthur Keller, expert des risques systémiques, des vulnérabilités des sociétés modernes et des stratégies de résilience collective et de durabilité, auteur, conférencier, formateur et consultant. Il forme des élus à la résilience territoriale, conseille des agences publiques sur les stratégies de résilience, est à l'origine de nombreuses propositions en la matière, et enseigne dans plusieurs écoles d'ingénieurs. Il travaille aussi sur la façon dont on peut utiliser les récits pour mobiliser et transformer nos sociétés.
Pour aller plus loin :
Vidéo Next : “Effondrement, seul scénario réaliste ?” avec Arthur Keller
https://www.youtube.com/watch?v=kLzNPEjHHb8
Quelques conférences d’Arthur Keller :
https://www.youtube.com/watch?v=OrDASn1Igv8
https://www.youtube.com/watch?v=WX3-Yn4VKYs
https://www.youtube.com/watch?v=5eAAEtDJa0s
https://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_Keller
Programme de Charlotte Marchandise-Franquet, candidate citoyenne à la présidentielle 2017 : https://charlotte-marchandise.fr/wp-content/uploads/2019/07/PROGRAMME-CHARLOTTE-MARCHANDISE-FRANQUET-COMPLET.pdf
Sur la complémentarité des méthodes de luttes : https://www.rfi.fr/fr/ameriques/20150221-malcolm-x-martin-luther-king-autres-methodes-meme-combat
Comprendre la Fenêtre d’Overton : https://www.youtube.com/watch?v=lIQYumrGsGY
Livres :
Jared Diamond, Effondrement
L'effondrement de l'empire humain : Regards croisés, Rue de l'Echiquier, 2020 : https://www.ruedelechiquier.net/essais/283-leffondrement-de-lempire-humain.html
Collapsus – Changer ou disparaître ? Le vrai bilan de notre planète, Albin Michel, 2020 : http://resilience-et-adaptation.fr/?page_id%3D40
Agir :
Réseau des villes en transition https://www.entransition.fr
https://reporterre.net/La-carte-des-luttes-contre-les-grands-projets-inutiles
https://bonpote.com/comment-calculer-son-empreinte-carbone/
https://www.racinesderesilience.org
Journaliste : Paloma Moritz
Montage : Delfina de Oliveira Cézar
Images : Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
Connu / mel du Mon, 6 Dec 2021 10:48:49 -0400
L’année dernière, alors que le premier confinement donnait à toute la bourgeoisie intellectuelle des envies de Révolution pour un « monde d’après » plein de bons sentiments, on se demandait dans les journaux et sur les plateaux télé si les personnes essentielles étaient en fait celles et ceux qu’on croyait. Car en un seul confinement national, tout ce que le pays comptait de « CSP plus », c’est-à-dire les cadres dirigeants, les DRH, les intellectuels, se retrouvaient chez eux ou dans leur résidence secondaire, les bras croisés.
Pendant ce temps, souvenez-vous, les « premiers de corvées » trimaient pour faire tourner les usines, les commerces essentiels, les hôpitaux ou encore les transports en commun. La bourgeoisie a eu la larme à l’œil face à ces gagne-petit que d’ordinaire elle ne voit jamais, Macron a concédé une petite prime défiscalisée, et hop, au charbon les gueux.
Le débat sur l’utilité des travailleuses et des travailleurs dans le pays n’aura duré que quelques semaines et c’est bien dommage. Mais encore plus ennuyeux : celui sur l’utilité de celles et ceux qui pouvaient rester chez eux en pleine crise pandémique n’a quasiment pas été abordé. Même au plus fort du Covid, personne ne s’est demandé ce qu’il en était de l’utilité des patrons. Ils sont passés à travers les mailles de la critique de l’utilité sociale des professions, ce qui confirme ce qu’ils sont devenus, dans la France des années 2020 : des divinités intouchables, si sacrées que plus personne ne se permet de les critiquer.
D’ailleurs, ils ne sont plus des patrons mais des « entrepreneurs ». Quelle différence ? En pratique, aucune : ce sont ceux qui dirigent les entreprises de l’économie capitaliste. Dans les croyances, c’est la nouvelle lessive qui a repeint la bonne vieille bourgeoisie en héroïne des temps modernes : quand le patron domine, l’entrepreneur entreprend. Entreprend quoi ? La mise au travail des autres pour en tirer une plus-value, pour lui et ses actionnaires.
Tr.: ... Thomas Coutrot, livre "Libérer le travail, pourquoi la gauche s'en moque et pourquoi ça doit changer" ...
18 novembre 2021 à 09h43 Mis à jour le 19 novembre 2021 à 09h45 - Lorène Lavocat (Reporterre)
Présidentielle
Bifurcation écologique, VIe République, partage des richesses... L’Avenir en commun, le nouveau programme de la France insoumise pour la présidentielle, est sorti. Comme en 2017, il prend une orientation écologiste.
« Construire une société d’entraide ayant pour but l’harmonie des êtres humains entre eux et avec la nature. » Voilà comment le candidat Jean-Luc Mélenchon résume la « vision du monde pour le futur » portée par l’Union populaire, nouvelle mouture de la France insoumise pour la présidentielle de 2022. Jeudi 18 novembre, elle a lancé son livre-programme : 60 000 exemplaires parus aux éditions du Seuil, imprimés en France sous le label écolo Imprim’vert — « éco-responsabilité » oblige — et vendus 3 euros en librairie.
Au premier abord, L’Avenir en commun — c’est son nom, le même qu’en 2017 — s’inscrit dans la droite ligne de ce dernier : on retrouve le même cépage insoumis et la même vinification, en mode coopérative. Tous les ingrédients de base du « populisme de gauche », comme le décrit le sociologue Manuel Cervera Marzal, sont réunis. « Il se décline dans les mots du programme, explique le chercheur, qui a récemment publié une sociologie de la France insoumise. Les références de gauche ont presque complètement disparu — le terme “gauche” est lui-même absent — alors que les termes liés au “peuple” se sont multipliés. Le populisme cherche en effet à retraduire le clivage droite gauche dans une grammaire “peuple versus oligarchie”. »
Danièle Obono, Mathilde Panot, Manon Aubry et Caroline Fiat lors d’un meeting des Insoumis en octobre. © Moran Kerinec/Reporterre
« Il ne s’agissait pas de repartir d’une page blanche », confirme Clémence Guetté, qui a coordonné le travail programmatique, à Reporterre. Les fondamentaux de 2017 — VIe République [1], planification écologique et partage des richesses — sont toujours présents. Le programme a cependant été largement « réactualisé », à travers des contributions de militants, des auditions avec des associations, des syndicats, des intellectuels…
Nouveauté : la défense des biens communs — eau, air — contre la privatisation
À l’arrivée, le cru 2022 se révèle donc plus charpenté, aux arômes plus complexes que le précédent : 160 pages, 14 chapitres et quelque 600 propositions, soit le double du programme antérieur. « Nous avons voulu prendre en compte tout ce qui s’est passé durant le quinquennat d’Emmanuel Macron, explique Clémence Guetté. Nous avons des mesures visant à abroger certaines lois macronistes — sur l’état d’urgence, sur la réforme de l’assurance chômage — mais aussi des propositions reprises des mobilisations sociales des Gilets jaunes, de #MeToo, de la Convention climat. » Principale revendication du mouvement des ronds-points, le RIC (référendum d’initiative citoyenne) figure ainsi en bonne place dans la section dédiée à la démocratie. Un chapitre entier est également consacré aux leçons à tirer de la pandémie.
Côté écologie, la transition s’est mutée en « bifurcation », signe de la radicalité du tournant à entreprendre selon les mélenchonistes. La méthode, en revanche reste la même qu’il y a cinq ans : la planification écologique. « Nous avons renforcé notre travail à ce sujet, en réfléchissant à sa mise en œuvre concrète », précise Mme Guetté. Elle passerait ainsi par une ré-organisation du territoire, autour des communes. Une forme de décentralisation, chère à Europe Écologie-Les Verts (EELV) ? « L’État reste le stratège, et fixe les objectifs, répond Mme Guetté. Mais nous voulons redonner plus de poids et de moyens aux communes, en supprimant les mégarégions et les métropoles technocratiques. »
Nadine, Gilet jaune, à Montpon-Ménestérol (Dordogne), en 2019. Les Insoumis ont repris des propositions de cette mobilisation sociale, comme le RIC. © Émilie Massemin/Reporterre
Autre nouveauté, la défense des biens communs — eau, air — contre la privatisation. L’Avenir en commun s’appuie ainsi largement sur le travail des vingt-trois parlementaires insoumis, reprenant par exemple les préconisations de la commission d’enquête sur l’eau ou la proposition de loi sur la forêt menées par Mathilde Panot.
Les Insoumis ont également revu leur position sur l’Europe, sous l’impulsion entre autres des eurodéputés Manon Aubry et Manuel Bompard. Plus question de sortir immédiatement des traités européens, l’heure est à la désobéissance : « Il existe de nombreux mécanismes, aujourd’hui utilisés par des gouvernements de droite, pour désobéir aux institutions européennes, précise Mme Guetté. Il faut trouver une voie entre le Frexit et la soumission aveugle aux traités néolibéraux. » Le programme propose ainsi de « conditionner la contribution française au budget de l’UE », ou d’« utiliser le droit de veto de la France, par exemple pour refuser tout nouvel accord de libre-échange ».
Mélenchon relance sa campagne dans un grand bain populaire
Déjà bien fourni, L’Avenir en commun devrait s’enrichir, dans les mois à venir, de « plans d’action » détaillés sur plusieurs thématiques — l’Europe, la lutte contre les féminicides et les relocalisations — et d’un chiffrage budgétaire précis. Le but, affiché par M. Mélenchon dans sa préface du livre : disposer d’un programme « prêt à l’emploi ». Pour Mme Guetté, c’est aussi un gage de confiance : « Nous ne mentons pas à nos électeurs, nous leur expliquons précisément ce que nous allons faire une fois élus. » La publication relativement précoce de ce programme — les autres partis en sont encore à l’étape d’élaboration — doit également permettre à Jean-Luc Mélenchon de prendre une longueur d’avance sur ses concurrents à gauche.
La volonté des Insoumis est de « remettre les idées en avant »
« Le programme de la France insoumise, en 2017 et certainement en 2022, est celui qui est le plus fouillé, le plus chiffré de tous les partis, constate pour sa part M. Cervera Marzal. Il renoue ainsi avec une tradition de la gauche du XXe siècle — celle du programme commun ou du Front populaire — qui s’est progressivement érodée. Ces trente dernières années, les partis ont plutôt eu tendance à avoir des programmes de plus en plus légers, en se concentrant plutôt sur la communication et la personnalisation autour du candidat. » De moins en moins de votants s’intéressent de près aux programmes. Pour le chercheur, cette volonté des Insoumis de « remettre les idées en avant » vise un double objectif : « Ils font le constat d’une impasse à gauche, et de la nécessité de refonder un projet politique, notamment à travers un programme », estime-t-il. D’autre part, ce programme collaboratif doit permettre de « contre-balancer l’hyperpersonalisation autour de Mélenchon ». En d’autres termes, les militants peuvent ainsi soutenir à celles et ceux que la personnalité du leader hérisse qu’il ne s’agit pas de voter pour un homme, mais pour des idées.
C’est maintenant que tout se joue…
La communauté scientifique ne cesse d’alerter sur le désastre environnemental qui s’accélère et s’aggrave, la population est de plus en plus préoccupée, et pourtant, le sujet reste secondaire dans le paysage médiatique. Ce bouleversement étant le problème fondamental de ce siècle, nous estimons qu’il doit occuper une place centrale et quotidienne dans le traitement de l’actualité.
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Notes
[1] Une Assemblée constituante serait convoquée et chargée de rédiger une nouvelle Constitution.
Clés : Présidentielle Politique
Ce journal belge se veut clair : oui, le rapport du Giec est alarmant. Quant aux mesures qui s’imposent, elles vont profondément modifier notre mode de vie. Si l’on entend ralentir la spirale infernale du changement climatique, il va falloir sortir d’un système d’écono...
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La solution : changer radicalement nos modes d’alimentation et de déplacement
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Retours d'auditeurs puis :
L'école de l'engagement née à Montpellier / Yannick Cabrol : combat culturel, les fr issus de cl popul ne se sentent plus représentés et ne le sont pas; gj révélateur, des cours gratuits sur comment s'engager. Mamadou, comment apprendre le ventre vide ?
à 54 mn Audrey Portassin / Tous élus
Tous Ensemble sur nos territoires / Ronan Dantec asso d'élus locaux porter la transition sociale et démocratique. Rassembler gauche et écologie.
Sofia Majnoni / Les Investies / place des femmes dans la vie politique /freins à l'engagement : illégitimité, peurs, construire un parcours de formation (stratégie électorale, etc). 1/3 va aux législatives, pluralité, trav à côté des partis. Refuser l'existant. La Fronde été mal comprise mais bonne initiative.
Malena Reali pour Le Vent du Changement / république pour le plus grand nombre, mvt d'éduc popul. /reconstruction écologique. Une écologie populaire du quotidien. A partisan, ouvert, cafés débats, campagnes citoyennes, le Tour du Changement, recréer du lien, convivialité, banquets citoyens locaux.
La Primaire Populaire / Mathilde imer et sabrina Ludowski - on a pu mettre le pj au centre. - Le plus petit radical commun -> 10 paquets de rupture, conditions sine qua non pour rentrer dans le processus de la primaire populaire étape 1.
Ce midi à 11 h 59, on a commencé l'étape 2 de parrainage pour désigner les candidats. L'étape 3 pour un scrutin le 18/11 pour les personnes qui auront consenti à être candidats. Une candidature gagnante. Si vous réglez vos différends avant le premier tour, vous rendez possible une candidature gagnante.
Logique de victoire. ÊTRE 300 000 à la fin des parrainages.
Bilan du FDI
Sentiments mêlés : joie, vitalité des idées, force de la démocratie, parole des jeunes, MAIS colère /effondrement démocratique /abstention. Tout reprend comme avant ! Fabriquer du commun.politique. Besoin des artisans du rassemblement. En 2022, ça n'est pas perdu. Des chemins d'espoir.
Guillaume Duval : obj lointain. Ne pas enjamber 2022. Danger extrême droite car droite extrémisée. Initiatives de jeunes. Course de vitesse. Merci.
Le rétrofit, la transformation d’un véhicule thermique en véhicule électrique, reste un marché de niche, malgré son intérêt écologique.
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Une brique de la transition écologique
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Comme le souligne l’ingénieur Laurent Castaignède http://www.bco2.fr/ 2, consultant dans le domaine, le rétrofit a ouvert une petite brèche dans une industrie automobile qui ne vend que du neuf et ignore la réhabilitation. Pour l’heure, seules quelques PME (regroupées en France dans l’association Aire https://association-aire.org/) s’investissent dans cette activité. Mais pour en réduire les coûts par des économies d’échelle, il faudrait que les grands constructeurs s’y mettent. Et les pouvoirs publics aussi. Un arrêté du 13 mars 2020 a voulu faciliter cette pratique en France, mais très timidement. « Pour la rénovation des logements, la TVA est à 5,5 %. Pour le rétrofit, c’est 20 %, se désole Laurent Castaignède. Et en plus, le rétrofit, c’est des emplois locaux : vous n’allez pas envoyer votre voiture en Chine ou en Turquie pour l’électrifier. »
Rétrofit et CO2 : l’exemple d’une petite citadine diesel Bilan des émissions de CO2 sur dix ans de fonctionnement d’une citadine diesel ayant roulé dix ans (bilan CO2 de l’année 10 à l’année 20), selon trois scénarios, en %
Rétrofit et CO2 : l’exemple d’une petite citadine diesel
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Baisse de 66%. Baisse de 47% / mise à la casse et rachat d'une électrique neuve
Hypothèses : kilométrage de 10 000 km par an et émissions de CO2 liées à la consommation d’électricité égales à la moyenne métropolitaine. Source : Ademe
- « Etude “Retrofit”. Conditions nécessaires à un rétrofit économe, sûr et bénéfique pour l’environnement », Algoé, BCO2 Ingénierie, Helios Avocats pour l’Ademe, mars 2021.
- Auteur d’Airvore ou la face obscure des transports, Ecosociété, 2018.
Ndlr : dans le cadre d'une relocalisation de l'économie, de la sobriété matières et énergie, cela a du sens => faire des séries en proposant aux citoyens de se regrouper par modèle ? ACT
... de plus en plus conscients que les tensions extérieures sont souvent les reflets de nos propres tensions intérieures : tant pour ce que nous voulons quitter (colère, pauvreté, exclusion...), que pour ce que nous souhaitons développer (harmonie, abondance, joie, solidarité...). A partir de ce constat, il nous semble primordial d'aligner autant que possible nos actions sur un état d'être "centré".
Autour de ces enjeux de transformations personnelles et de transformations de société, nourris par les apports de Thomas d'Ansembourg (ancien avocat, pionnier de la Communication Non-Violente, thérapeute et auteur de livres comme "Cessez d'être gentil, soyez vrai") sur la question de "l'intériorité citoyenne", nous avons décidé d'ouvrir de nouveaux espaces de rencontre, de formation et de co-construction pour permettre à des citoyens engagés de mieux piloter leur propre vaisseau.
Voilà l'orientation de notre collectif
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Notre vision
... contribuent, chacune à leur façon, à l’éveil d’une conscience humaine qui respecte toutes les formes de vie – dans la joie d’être au monde. Elles s’efforcent de favoriser la paix sur Terre grâce à leur paix intérieure – chacune autonome et tous ensemble.
Notre raison d'être
... collectif de citoyens qui s’entraident pour, comme le suggérait Gandhi, être le changement qu’ils veulent voir surgir dans le monde. Nous nous soutenons pour incarner cette vision dans nos (inter)actions quotidiennes, afin d’inspirer autour de nous des façons d’être ensemble joyeuses et alignées, tout particulièrement au sein des acteurs de la transition sociétale.
Nous partageons les pratiques de Communication Non-Violente, et d’autres approches de connaissance de soi, qui nourrissent nos élans et nos projets, et nous proposons des espaces-temps de reconnexion (à soi, aux autres et à la nature). En toute humilité, et dans une démarche d’apprentissage, nous souhaitons les rendre accessibles à toute personne qui en aurait en-vie.
L'intériorité citoyenne ?
... le monde a besoin d’hommes et de femmes qui cheminent vers une meilleure connaissance d'eux-mêmes, qui savent développer la confiance en soi, en l’autre, en la Vie, et mettre leur talent au service de la communauté.
"L'intériorité citoyenne : le meilleur de soi au service de tous" est le titre d'un des livres de Thomas d'Ansembourg au sein duquel il propose d’accéder à cette intériorité transformante, faculté que nous pouvons développer pour aligner notre existence sur notre propre élan vital, aussi bien dans sa dimension privée que citoyenne ...
La Communication Non-Violente (CNV) est une approche élaborée par Marshall B. Rosenberg. Selon son auteur, ce sont « le langage et les interactions qui renforcent notre aptitude à donner avec bienveillance et à inspirer aux autres le désir d'en faire autant ».
L'empathie est au cœur de ce processus de communication initié dans les années 1970, un peu à la même époque que l'approche centrée sur la personne du psychologue Carl Rogers dont Marshall B. Rosenberg fut l'un des élèves. Le terme "non-violent" est une référence au mouvement de Gandhi et signifie ici le fait de communiquer avec l'autre sans lui nuire. Marshall Rosenberg s'appuie également sur les travaux de l'économiste chilien Manfred Max-Neef, qui a analysé en profondeur la diversité des besoins humains. On parle également de communication consciente ou empathique.
La CNV est au coeur des pratiques et formations de Thomas d'Ansembourg, lui même formé directement par Marshall B. Rosenberg.
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Connu / http://fertiles.labascule.org/nos-ressources/