... modèle qui offre la possibilité mécanique à ceux qui consomment leurs produits ou services de systématiser des impacts positifs durablement sur le monde qui nous entoure (socialement, environnementalement, économiquement etc.).
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inspiré du succès de « C’est qui le Patron ?! » qui est devenue la marque nouvelle la plus vendue en France depuis 10 ans (source : Nielsen). L'objectif est de pouvoir orienter nos achats de façon simple et garantie vers ces vecteurs nouveaux de transformation durable de notre consommation.
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développement et l’accompagnement d’entreprises ... les consommateurs font un échange gagnant/gagnant avec ceux qui entreprennent : de la transparence et du partage contre un succès et des perspectives.
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4 aventures porteuses du modèle collectif et solidaire :
- C'est qui le Patron
- Sols & Fruits : créée avec Renan Even aide depuis 11 ans 109 producteurs de fruits et légumes en échangeant de la qualité contre une juste rémunération
- Les Gueules Cassées : lutte contre le gaspillage alimentaire en soutenant les producteurs
- Krewzer : porté par un jeune entrepreneur français Thibault Pousse qui lance dans le monde de la musique une aventure collective et solidaire inspirée directement par CQLP (aujourd'hui 1 % des artistes captent 96% des revenus du monde musical, ça doit/va changer !)
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Connue / https://x.com/NicoChabanne/status/1868915999799447736
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Nicolas Chabanne @NicoChabanne
J’ai décidé de léguer toutes les actions de mes entreprises (dont CQLP) à une fondation pour protéger durablement les producteurs et créer en France un nouveau modèle d’entreprises : « Les entreprises du partage ».
Cela faisait un moment que nous voulions le faire et je remercie du fond du cœur l’équipe qui a bossé dur pour y arriver ainsi que mes 3 enfants Clara, Léo et Matéo qui ont dû s’engager eux aussi à renoncer à toute forme de priorité ou d’héritage pour rendre possible la création de cette fondation.
Pour CQLP, cela a pour effet concrètement en complément de la coopérative qui nous rassemble de :
• protéger les valeurs de l’initiative et les rendre inaliénables via la sanctuarisation de l’intérêt collectif de la fondation.
• remplacer toute forme d’enrichissement personnel par un partage de la valeur et une transparence sur les retombées positives de nos achats solidaires.
• sécuriser au maximum le projet vertueux initial, puisqu’elle garantit que les valeurs de départ ne seront jamais dévoyées.
• permettre de protéger durablement les producteurs, qui bénéficieront sur le long terme et sans changements possibles du soutien de notre initiative collective et de la mobilisation des millions de consommateurs qui la soutiennent.
C’est une suite logique et derrière CQLP, il y a la mobilisation de nous tous, consommateurs, qui nous mobilisons au quotidien pour les producteurs, chacun à notre niveau (merci à tous pour vos relais, vos actions auprès des magasins, votre implication dans la démarche, vos achats solidaires… les résultats en 2024 sont à nouveau incroyables).
Face aux enjeux et à cet avenir très incertain qui se profile devant nous, il faut désormais qu’une nouvelle famille d’entreprises nous garantisse que notre argent sert à coup sûr à quelque chose de bien.
C’est dans ce contexte que vont naître en parallèle les « entreprises du partage », pour que nos achats provoquent une cascade de choses positives sur le monde qui nous entoure (les infos ici https://lesentreprisesdupartage.com).
L’objectif est d’offrir concrètement à nous tous consommateurs la possibilité mécanique de systématiser via l’achat des produits ou services que nous consommons, des impacts positifs et durables sur le monde qui nous entoure (socialement, environnementalement, économiquement, etc.).
Merci à tous pour votre soutien #SoutienAuxProducteurs #LePatronCestLeConso
@FSProducteurs @C_qui_le_Patron
Article Ouest France https://lnkd.in/dJngMGgB @G_Le_Du
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8:07 AM · 17 déc. 2024 · 57,4 k vues
- Pierre Larrouturou @larrouturou · 17 déc.
Bravo 👍👍 - Chris M. @ChrisMorenoTlse
Aller sur http://lesentreprisesdupartage.com et merci pour eux, pour nous, pour le cap donné.
Je vous rejoins nous n'avons pas besoin des politiques pour orienter notre consommation - Mickaël Maia @MickaelMaia
Respect éternel pour tout ce que vous faites en faveur de nos producteurs français.
Je suis admiratif devant votre démarche et surtout votre altruisme pur qui est un exemple pour beaucoup.
Tout simplement : bravo et merci ! - Galet-Jade : Gauloise à tendance Amish 🐝#369 @jadeville2
Oh Nicolas, je suis sans voix. Mon admiration ne cesse d'augmenter devant chaque coup de bienveillance mais là c'est de l'altruisme pur... Merci à Clara, Léo et Matéo de comprendre, suivre peut-être, votre démarche.
Merci à toute l'équipe et à ceux qui rendent tt cela possible - Micheline Pitolet @MichelinePitol1
Bravo et merci pour votre exemplarité. - Sabine Grataloup @sabine_38
Bravo et merci Nicolas !
Une plateforme de commercialisation directe des producteurs est-elle en projet ?
Celles qui existent déjà prennent 25% de commission, c'est beaucoup pour des producteurs qui sont déjà en difficulté et pour des consommateurs qui veulent aider des producteurs.
8:59 AM · 17 déc. 2024 · 957 vues
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... l'une des organisations patronales françaises interprofessionnelles représentatives2, avec le Mouvement des entreprises de France (Medef) et la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME)3. Dénommée à l'origine Union professionnelle artisanale (UPA), elle change de nom en novembre 20164.
...
Elle regroupe quatre confédérations de métiers regroupe 4 confédérations membres et un membre associé :
- la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB),
- la Confédération générale de l’alimentation de détail (CGAD),
- la Confédération nationale de l'artisanat des métiers et des services (CNAMS),
- l'Union nationale des professions libérales (UNAPL), depuis 2016,
- l’Artisanat des travaux publics et du paysage (CNATP).
Pour penser le moment politique, des échanges sans concessions avec celles et ceux qui ont des choses à dire.
Pour ce nouveau numéro d'« On s'autorise à penser », Julien Théry reçoit l'historienne Ludivine Bantigny et la sociologue Marlène Benquet, autrices respectivement de Battre l'extrême-droite (éd. du Croquant) et d'une contribution intitulée « Vers une droitisation de la finance ? Les nouveaux soutiens financiers de l’extrême droite » dans un volume publié par la Fondation La Boétie, Extrême-droite : la résistible ascension (éd. Amsterdam).
Le 21 avril 2002, l'irruption de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle après cinq années de gouvernement Jospin jetait une grande partie du pays dans la stupeur et l'indignation. Les scores électoraux de l'extrême-droite n'ont pas cessé de monter depuis, et, 22 ans après, cette dernière est au pouvoir en France dans une large mesure. Depuis la réélection d'Emmanuel Macron en 2022, son influence pèse plus que jamais sur les politiques mises en oeuvre, à tel point qu'on peut désormais parler de « macrolepénisme ». Grâce à la dissolution décidée par le Président en juin 2024, elle tient près d'un quart des sièges à l'Assemblée nationale. Le gouvernement Barnier n'a pu se constituer qu'avec son accord, en intégrant un ministre de l'intérieur, Bruno Retailleau, connu pour des déclarations racistes, et la chute toute récente de ce gouvernement est due à la défection du RN. Les idées d'extrême-droite tendent à dominer le débat politique et la perspective de sa victoire à la prochaine présidentielle hante les esprits.
Comment en est-on arrivé là ?
Pour ce nouveau numéro d'« On s'autorise à penser », Julien Théry reçoit l'historienne Ludivine Bantigny et la sociologue Marlène Benquet, autrices de publications récentes à ce sujet. Dans Combattre l'extrême-droite, L. Bantigny souligne la place de premier plan prise par les média dans la fascisation générale. De son côté, dans une contribution à un volume publié par l'Institut La Boétie, Extrême-droite : la résistible ascension (direction Ugo Palheta), M. Benquet analyse une évolution décisive du capitalisme ces deux dernières décennies : alors que le patronat soutenait traditionnellement la droite libérale, la « seconde financiarisation » porte les détenteurs du capital à promouvoir désormais des extrémistes fascisants susceptibles de favoriser mieux encore leurs intérêts.
Historien, Julien Théry contribue au Média depuis septembre 2018.
Tr.: ... traits de fascisation ... les médias dominants ... Boris Cyrulnik "Mélenchon, c'est l'extrême droite ... Frédéric Boccaletti, le député voyou du RN, cadre du RN, tenancier d'une librairie négationniste, antisémite ... racisme d'État ... toute politique émancipatrice condamnée ... extrême-droitisation généralisée ... Pierre-Édouard Stérin, parrain secret de l'extrême droite ... Macron déjà une forme d'extrême droite au pouvoir comme en Hongrie ... les syndicats sont les croquemores du ?? ... la Finlande, parti dit des "vrais finlandais" ... répression ... évolution du capitalisme ... Boloré ... victoire du peuple contre les élites ... Walmart ... deal des patrons avec l'extrême droite ... projet Périclès ... Musc a gagné 20 millions de Dollards en 24 h après la victoire de Trump ... extrême droite libertarienne ... la vraie responsabilité est celle de la gauche ... Hollande au pouvoir ... NFP plus radical ... être TRÈS RADICAL, aller à la racine de ce qui empêche de vivre dignement ... ya inversion de la honte ... créer des médias alternatifs, faire entendre un discours alternatif ... dire le désirable et le POSSIBLE, pas pj utopique ... il faut aussi une législation pour réprimer ce qui n'est pas vertueux ...
Politique Rassemblement national (RN)
Repoussé depuis des mois, le programme économique du RN, destiné au monde entrepreneurial, a été dévoilé samedi. La coûteuse baisse de la TVA sur les produits énergétiques bel et bien défendue par le parti n’y figure pas
Temps de lecture estimé : 1 minute
Publié le 16 septembre 2024 à 19:28 - Maj 17 septembre 2024 à 00:39
Par Nina Jackowski, Sarah Spitz, Marc Vignaud
Photo Jean-Philippe Tanguy 16/09/2024 Spitz Jackowski
Les faits -
À l’occasion de la rentrée parlementaire du Rassemblement national organisé ce week-end, le parti à la flamme s’est d’ores et déjà projetée dans le scénario d’une nouvelle dissolution dans un an
« C’est un programme qui ne s’est pas fossilisé ! », ironisait le cadre Jean-Philippe Tanguy samedi, lors de la présentation du programme économique du RN, en ouverture des journées parlementaires. Une référence au surnom de « fossile fossilisé » dont l’élu a affublé le Premier ministre Michel Barnier - et pour lequel il s’est fait réprimander par la « patronne » Marine Le Pen -, et à son livret économique abandonné depuis six mois dans les cartons.
Clés : Marine Le Pen Entreprise Jordan Bardella Dissolution
*Ndlr : à ce jour, ce livret ne figure pas sur le site https://rassemblementnational.fr/livrets-thematiques sauf erreur de ma part. Vérifier ACT
- CP à l'issue du conseil national élargi https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?GEZgZg mais rien sur l'économie...
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Retrouvez ma présentation ce mardi 15 février 2022 du volet économique du programme de Jean-Luc Mélenchon au #DebatElysee2022 organisé par France Invest, Croissance Plus et le METI.
J’y représentais Jean-Luc Mélenchon pour présenter le volet économique du programme L’Avenir en Commun.
Je ne suis donc pas venu, comme la plupart de nos adversaires, leur dire ce qu’ils voulaient entendre pour leur faire plaisir, mais leur dire ce que nous allions faire si le peuple nous en confie le mandat dans deux mois et leur proposer notre vision de leur rôle d’entrepreneurs, de patrons et d’investisseurs dans le cadre de la bifurcation écologique que nous allons engager. Je leur ai aussi détaillé nos mesures pour partager les richesses et éradiquer la pauvreté, revaloriser les salaires, relancer l’emploi et l’activité par le partage du temps de travail et la planification écologique.
Le programme l’Avenir en Commun est un programme de rupture. Finis la foire aux dividendes des grands groupes et la politique de l’offre et ses aides sans contrepartie aux entreprises. Nous gouvernerons par les besoins. Nous offrons de la visibilité, de la prévisibilité.
L’intérêt général doit s’imposer aux intérêts particuliers. Certains l’entendent et y sont prêts. D’autres moins. Mais au moins, les choses sont dites. Et c’est l’essentiel dans un débat démocratique.
Tr.: ... Anne ??
L’année dernière, alors que le premier confinement donnait à toute la bourgeoisie intellectuelle des envies de Révolution pour un « monde d’après » plein de bons sentiments, on se demandait dans les journaux et sur les plateaux télé si les personnes essentielles étaient en fait celles et ceux qu’on croyait. Car en un seul confinement national, tout ce que le pays comptait de « CSP plus », c’est-à-dire les cadres dirigeants, les DRH, les intellectuels, se retrouvaient chez eux ou dans leur résidence secondaire, les bras croisés.
Pendant ce temps, souvenez-vous, les « premiers de corvées » trimaient pour faire tourner les usines, les commerces essentiels, les hôpitaux ou encore les transports en commun. La bourgeoisie a eu la larme à l’œil face à ces gagne-petit que d’ordinaire elle ne voit jamais, Macron a concédé une petite prime défiscalisée, et hop, au charbon les gueux.
Le débat sur l’utilité des travailleuses et des travailleurs dans le pays n’aura duré que quelques semaines et c’est bien dommage. Mais encore plus ennuyeux : celui sur l’utilité de celles et ceux qui pouvaient rester chez eux en pleine crise pandémique n’a quasiment pas été abordé. Même au plus fort du Covid, personne ne s’est demandé ce qu’il en était de l’utilité des patrons. Ils sont passés à travers les mailles de la critique de l’utilité sociale des professions, ce qui confirme ce qu’ils sont devenus, dans la France des années 2020 : des divinités intouchables, si sacrées que plus personne ne se permet de les critiquer.
D’ailleurs, ils ne sont plus des patrons mais des « entrepreneurs ». Quelle différence ? En pratique, aucune : ce sont ceux qui dirigent les entreprises de l’économie capitaliste. Dans les croyances, c’est la nouvelle lessive qui a repeint la bonne vieille bourgeoisie en héroïne des temps modernes : quand le patron domine, l’entrepreneur entreprend. Entreprend quoi ? La mise au travail des autres pour en tirer une plus-value, pour lui et ses actionnaires.
Tr.: ... Thomas Coutrot, livre "Libérer le travail, pourquoi la gauche s'en moque et pourquoi ça doit changer" ...
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Le 4 novembre 2021, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de BFM Business pour l’émission « Faire réussir la France ». Il était interrogé sur son programme économique par 7 patrons et chefs d’entreprises.
Le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a d’abord expliqué qu’il voulait placer la France dans le top 5 des nations pour les énergies renouvelables. Il a rappelé les risques du nucléaire ainsi que son coût réel et a réaffirmé son objectif d’en sortir d’ici 2045. Il a aussi dit tout ce que la France pouvait faire pour développer les énergies renouvelables, notamment en mer : hydroliennes, éolien en mer, énergie houlomotrice…
Jean-Luc Mélenchon a également détaillé les secteurs où la France pouvait faire mieux. Il a notamment parlé de l’économie de la mer et a expliqué qu’alors que la France avait le 2e territoire maritime du monde, elle n’avait pour surveiller ce territoire que l’équivalent de 2 voitures de police pour le territoire hexagonal. Il a également dit que s’il arrivait au pouvoir, il mettrait en place une filière bois puissante en renforçant en particulier la formation professionnelle.
Le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a défendu sa proposition de mise en place d’un protectionnisme solidaire, négocié avec les pays concernés, pour relocaliser la production. Il a par exemple posé la question des brevets et a affirmé qu’un brevet découvert par des Français devait rester en France, même en cas de vente de l’entreprise à un pays étranger.
Jean-Luc Mélenchon a rappelé qu’au cours du 20 siècle, la production avait été multipliée par 50 tandis que le temps de travail nécessaire pour réaliser cette production avait été divisée par deux. Il a défendu le fait de diminuer le temps de travail en affirmant que sa politique était de mettre « tout le monde au boulot » en travaillant moins pour travailler tous et travailler mieux.
Défendant le modèle de la Sécurité sociale, le député insoumis a expliqué qu’il consistait à participer selon ses moyens et à recevoir selon ses besoins. Il a affirmé que le niveau de prélèvements obligatoires n’était pas un sujet quand on le mettait au regard de l’utilisation de la dépense publique. Il a aussi rappelé que depuis Chirac, l’État s’était appauvri de 100 milliards d’euros à force de cadeaux fiscaux comme la suppression de l’ISF et la mise en place de la flat tax. Il a par ailleurs défendu le fait que le crédit impôt-recherche soit intégralement utilisé pour financer la recherche fondamentale et universitaire.
Jean-Luc Mélenchon a réaffirmé sa volonté de rétablir la retraite à 60 ans et à taux plein s’il est élu président de la République en 2022. Il a pour cela proposé plusieurs solutions, par exemple payer les femmes comme les hommes grâce à l’augmentation des cotisations. Il a également indiqué qu’il était pour faire en sorte qu’aucune retraite ne soit en-dessous du SMIC.
Après avoir rappelé l’importance fondamentale de la formation professionnelle pour avoir de la main d'œuvre qualifiée de haute qualité en France, il a proposé qu'il y ait au moins un lycée polytechnique par département avec un internat. Il a ensuite indiqué que s’il était élu il ferait en sorte que 1 000 euros soient versés à chaque jeune qui s'inscrit dans une section de l'enseignement professionnel.
Le député insoumis a ensuite mis l’accent sur les salaires en proposant de les augmenter puisque c’est un élément d’attractivité très sérieux. Il a également appelé à améliorer les conditions de travail.
Le candidat à l’élection présidentielle de 2022 a également abordé le thème de l’Espace. Il a rappelé à quel point ce domaine était une opportunité immense pour la France qui possède le 3e port spatial du monde et des compétences importantes en la matière. Il a proposé la création d’une université francophone des métiers de l’espace. Il a également appelé à démilitariser l’espace.
Jean-Luc Mélenchon a enfin indiqué qu’il souhaitait convaincre, à travers sa candidature, qu’une autre manière de faire société est possible. Il a conclu en soulignant que le progrès écologique et le progrès social étaient la condition du progrès économique.
Connu / https://twitter.com/PhiJG07/status/1456358091608502275
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φ Νέμεσις #JLM2022 Triangle rouge pointant vers le bas
@PhiJG07
·
4h
#MelenchonEconomie #reussir2022 #UnionPopulaire
2 j'aime
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Ndlr : pas un mot sur le pétrole ?
43 322 vues - 3,5 k - 67 - 132 k abonnés
J'ai l'impression qu'on a des anarchistes de la concurrence au gouvernement ! Le train roulait, ils l'ont cassé, désorganisé, il y a vingt ans. L'hôpital tournait, ils l'ont broyé, désorganisé, par la réduction des coûts et la concurrence. C'est au tour du service public de l'électricité d'être, aujourd'hui, désorganisé par la concurrence la concurrence...
Mais même le patronat pourrait se réveiller et dire à la Macronie: "Oh ! Bousiller le pays, ça suffit !"
(Je sais : les anarchistes ne veulent pas l'absence d'ordre, mais un ordre sans pouvoir. Tandis qu'aujourd'hui, on a l'inverse: un pouvoir sans ordre.)
737 commentaires
Ndlr : réforme de marcel paul ... gaz et électricité publique ... efficacité des nationalisations d'après-guerre ...
... C’est la société que prépare Amazon, Deliveroo et Uber. Des pieuvres qui déploient leurs tentacules pour etouffer les uns après les autres les petits commerçants. Des ogres bien aidés par le tapis rouge dressé par le gouvernement.
Heureusement, l’eurodéputée insoumise Leïla Chaibi resiste encore et toujours à l’envahisseur et à la destruction du droit du travail. Leïla Chaibi vient de proposer une directive européenne prête à l’emploie à la commission européenne, pour protéger les travailleurs ubérisés des plateformes numériques comme Uber et Deliveroo… une première historique !
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Connu / https://twitter.com/L_insoumission/status/1328662962983284738
"@leilachaibi VS le monde d’#Amazon, #Uber et #Deliveroo ... propose une directive Drapeau de l'Union européenne pour protéger les travailleurs des plateformes numériques..."
Tr : ...
simulateur de salariat ... l'algorithme est le patron ... bénéfices non déclarés en france mais au luxembourg car moins cher, ATTAC disait que le manque à gagner de l'état était similaire aux besoins financiers des hôpitaux ... 20 projets d'entrepôts en fr ... on continue, flux en avion, pourrissent santé, environnement, étude LREM qui montre qu'on détruit des emplois ... impunité de ces grands groupes ...j'ai commencé à militer à génération précaires ... micro-entrepreneurs pris par casino, donc risque de se propager à l'ensemble de la société ... en californie, une loi a imposé le salariat à UBER qui l'a fait annuler par un référendum ... en europe, les tribunaux nous donnent raison sur le lien de subordination ...
Clément Sénéchal et Damien CAREME Globe terrestre Europe-Afrique ont aimé
François Ruffin @Francois_Ruffin · 18h
Un ciel sans avions, des routes sans camions, des océans sans super-cargos, une vie simple et un commerce local. Voilà la grande trouille du patronat : que nous vivions mieux, que la planète respire.
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Il faudrait éviter que certaines personnes soient tentées de s'habituer à la situation actuelle, voire de se laisser séduire par ses apparences insidieuses : beaucoup moins de circulation sur les routes, un ciel déserté par le trafic aérien, moins de bruit et d'agitation, le retour à une vie simple et à un commerce local, la fin de la société de consommation.
Il est indispensable que l'activité économique reprenne rapidement et pleinement ses droits.
CENTRE PATRONAL SUISSE
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Connu / https://framasphere.org/posts/9893901
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Facebook « nuit aux gens à grande échelle » : un ingénieur témoigne et quitte la firme avec fracas
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Lire : Ganascia, « Le mythe de la singularité »
Dire qu’il y a des scientistes que cela ne derange aucunement, au contraire, ils sont plutot pour rendre l’IA encore plus rapide…
Qui sont les vrais croyant et les vrais irrationnels ? Est-ce que les capacités cognitives -si tant est que cela ai un sens- de ce type sont suffisante pour le rendre aussi sage, et l’est-il autant sur le plan humain et social ?
La question est vite répondue…
.#gafam #orwel #bigbrother #littlesister #tic #fichage #rgpd .#technopolice #cnil #flicage #surveillance #policepolitique #renseignement
.#préjugés #zététique #réactionnaires #scientistes
.#rationnalisme #scepticisme #espritcritique
.#science #philosophie #sociologie #politique #éthique
.#anarchisme #anarchaféminisme #libertaire #émancipation .#autogestion #luttedesclasses
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Julien Delalande - il y a 21 minutes
Eh oui, confrontation entre ivresse scientiste passionnante mais adolescente, et risques sociaux/politiques engendrés par les résultats de la science à l’âge adulte… Merci pour ce post passionnant.
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Comment sortir de cette quadrature du cercle ? Par l’éducation et la culture ? Beau chantier de médiation…
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Je pense aux peuples opprimés - Ouïgours, Kurdes, etc - pour qui notamment le cryptage est INDISPENSABLE… Comment maintenir “le mauvais génie” dans sa lampe dirait Aladin… ?
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« Des actionnaires qui détruisent leur entreprise, c’est comme un enfant qui casse son jouet, il faut le laisser faire. Ça s’appelle le libéralisme. »
Cette maxime sort du ministère de la Reconquête industrielle. Quand on comble par des mots pompeux l'absence de poids réel : c'est le choix de l'impuissance.
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Actualités et politique
245 commentaires
Philippe Wagner
il y a 14 heures
POUR la planification ECOLOGIQUE et donc aussi INDUSTRIELLE !!!
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46 minutes
Comment acheter de façon responsable ? Lancée fin 2016, la marque C'est qui le patron ?! a pour ambition de réconcilier producteurs et consommateurs, les seconds s'assurant que le prix qu'ils paient permettent aux premiers de vivre de leur métier. Son fondateur, Nicolas Chabanne, est ce samedi l'invité d'Yves Decaens.
Nicolas Chabanne, co-fondateur de la marque C'est qui le patron ?! © C'est qui le patron
Depuis son lancement fin 2016, la marque C'est qui le patron ?!, imaginée par des consommateurs, a séduit quelque 11 millions de clients avec une vingtaine d'articles en vente : du lait, du beurre, de la farine, de la compote, du chocolat, du jus de pommes... Un succès fulgurant qui s'explique par son principe éthique : un prix décidé par le consommateur qui puisse, en bout de chaîne, assurer au producteur un revenu suffisant et décent pour vivre.
La saga de cette coopérative se raconte dans un livre, paru en mai, aux éditions Marabout : C'est qui le patron ?! Une histoire qui pourraient révolutionner notre façon de consommer, écrit avec la collaboration de Françoise-Marie Santucci.
Le fondateur de C'est qui le patron ?!, Nicolas Chabanne, répond aux questions d'Yves Decaens.
... La verbigération est une sorte de dérèglement qui conduit la personne concernée à répéter comme en boucle une formule toute faite à tout propos et davantage encore hors de propos. Dans le cas d’Emmanuel Macron, ce jour-là, ce fut « très profondément ». ... tribune signée par Martin Bouygues. Elle est remarquable en ceci qu’elle sort des pleurnicheries anti-fiscales et anti-sociales habituelles des tenants du MEDEF. Martin Bouygues pose deux questions que je crois incontournables. La première concerne sa prise de conscience de la pénurie à venir des travailleurs qualifiés disponibles. La qualification est un bien qui va devenir plus difficile a trouver. La seconde concerne la part d’intéressement que le travail doit prendre à ses propres réussites dans le cadre d’une entreprise capitaliste. Ici, il prône le développement de la participation comme voie d’accès au partage de la richesse produite ... le programme « L’Avenir en commun » ne prévoit pas la nationalisation de toutes les entreprises. Notre attention dans ce domaine est plutôt fixée en amont sur le système bancaire et financier d’où part l’arbitrage sur le financement des investissements. Dialoguer avec un capitaliste n’est pas adhérer au capitalisme, pas davantage que faire des compromis n’est se vouer à la compromission. Ensuite reconnaître à Martin Bouygues le talent d’avoir su faire mieux que d’hériter et d’avoir pérennisé le numéro un du bâtiment, c’est seulement reconnaître un fait remarquable. Un fait qui touche à l’intérêt général du pays au moment où nous prévoyons de faire un immense bond en avant dans le domaine de la construction du logement, et du logement social sous toutes ses formes. ... ’il existe encore en France un patronat qui n’est pas dans la main de la logique conceptuelle dominante. Un patronat indemne de l’infection qui a tué tous les secteurs productifs et dont Macron est le porte-voix : les financiaristes. ... Il paie ses impôts en France (comme Dassault le faisait, soit dit par parenthèse). Notre méfiance anti-capitaliste peut donc s’accommoder de réalisme jusqu’au point où la discussion avec lui devient possible. ... construire une convergence, en amont de la production, sur les objectifs concrets de formation technique avancée pour une production écologiquement responsable. Sinon la « règle verte » (ne plus prendre à la nature davantage que ce qu’elle peut reconstituer) est un slogan creux et nous des fantaisistes. ... Bouygues prône l’intéressement des salariés aux bénéfices par le truchement de l’actionnariat des salariés. Il se targue d’avoir pour deuxième actionnaire son personnel à hauteur de 19% du capital.
Ce système n’est pas le notre. Parce qu’il répartit la richesse par le biais des dividendes. Les conséquences néfastes sont nombreuses. Distribuer par les dividendes c’est pousser à les augmenter, ce qui n’est possible qu’au détriment des salaires en temps normal. Appauvrir le salarié pour cajoler l’actionnaire n’est bon pour aucun actionniare s’il est son propre salarié. Ensuite les sommes versées en dividendes ne paient pas toutes les cotisations sociales. Or nous en avons besoin pour maintenir à flot nos assurances sociales en général qui constituent le socle de la redistribution la plus efficace en France. Et la garantie d’un niveau de santé publique qui est aussi une protection de la production que réalisent les salariés soignés et secourus quand il le faut. C’est pourquoi nous croyons à l’augmentation de salaires et non à la participation comme mode le plus simple et le plus socialement productif pour la société toute entière. Je crois aussi qu’un bon salaire et un temps de travail favorable sont des incitations à rester dans son entreprise bien plus efficaces que la perspective de lointains, fugaces et imprévisibles dividendes. Martin Bouygues devrait y penser. La cote d’une entreprise auprès de ses salariés est faite de ces renommées là : la paye, le temps de travail (et la pénibilité d’une façon générale) et la sécurité de l’emploi. Et parfois s’y ajoutent la mobilité dans l’emploi et entre les sites. ...
La démocratie en confettis
Le mouvement des « gilets jaunes » a pris un contenu révolutionnaire dans la mesure où il a posé la question de l’exercice du pouvoir politique. C’est ce qu’exprime l’appel à la démission du président de la République qui retentit chaque semaine dans les rues de façon si peu courante dans notre pays. Mais c’est aussi la montée des revendications d’extensions démocratiques. La réponse d’Emmanuel Macron est à coté de la plaque. Il n’a pas pris la mesure du fait que sa stratégie du pourrissement a un coût pour lui. Elle augmente le niveau auquel se règlent les questions posées. Il croit habile de refiler en douce des bricolages institutionnels issus du projet de révision constitutionnelle que nous avons vu échouer à l’Assemblée nationale en juillet 2018. Rien de neuf. Absolument rien. Dans ce qu’il propose, rien ne redonne le pouvoir si peu que ce soit au peuple. Au contraire, si ses projets cette fois réussissent, ils accompagneront et accéléreront la dérive autoritaire du régime.
Il n’y aura pas de référendum d’initiative citoyenne. Même au niveau local, Macron refuse le RIC. C’est la principale information de cette allocution présidentielle. La macronie a décidé de camper sur ses positions de mépris et de peur face à la question du besoin d’intervention populaire dans le fonctionnement des institutions.
POLITIQUE
Castaner parle des proviseurs comme de "patrons", tollé sur Twitter
En déplacement à Marseille, le ministre de l'Intérieur s'est fait remarquer par un glissement sémantique malvenu. ...
Connu / https://framasphere.org/posts/6715932
C'est qui le patron ?! lance son média pour les citoyens et consommateurs - Il y a 24 heures - L'ADN
.#consommation collaborative #marques #Médias
La marque qui a secoué les codes de l'agro-alimentaire se lance dans une nouvelle aventure citoyenne.
La marque C'est qui le patron ?! se lance dans un nouveau projet : le lancement de La Chaîne des Consommateurs et des Citoyens. Dans la lignée de l'histoire de la marque, ce nouveau média indépendant aura pour mission de faire connaître et mettre en lumière les coulisses de notre consommation.
La chaîne sera officiellement lancée le 20 mars - en partenariat avec les 22 chaînes de la TNT locales du réseau VIA. Objectif : tout savoir sur les coulisses de notre alimentation et mettre en valeur ce qui se fait de bien en matière de qualité, d’équité, de bien être animal, d’environnement, de nutrition etc.
Découvrez le nouveau média de la consommation citoyenne https://www.youtube.com/watch?v=eOgDDE_Jy4Q
c'est qui le patron Lire aussi C'est qui le patron ?! Découvrez la marque au succès fulgurant qui secoue l'agroalimentaire https://www.ladn.eu/entreprises-innovantes/case-study/cest-qui-le-patron-la-marque-au-ca-fulgurant-qui-secoue-lagroalimentaire/
Que comptez vous faire pour que les conflits d'intérêts évidents cessent entre les patrons de presse et leurs journaux ?
ndlr : Parmi les réponses, celle de LFI JLM2017 est la plus consistante et sans surprise recueille la meilleure note, suivi par Benoît Hamon. De nombreux candidats n'avaient pas répondu à commencer par Emmanuel Macron !