Réfléchir ensemble aux enjeux agricoles et alimentaires de notre époque
Le Pitch
Vagues de chaleur, sécheresses, gels tardifs ou ravageurs, le climat se dérègle et notre agriculture doit bifurquer… Oui, mais vers où ?
Nathanaël Coste enquête dans la vallée de la Drôme pour comprendre comment les agriculteur.rice.s s’adaptent, tout en questionnant la résilience alimentaire de nos territoires.
Après « En Quête de Sens », un nouveau film produit et distribué par l’association Kamea Meah.
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Communiqué 22.07.2021
Saviez-vous qu'un arbre fruitier peut donner jusqu'à 500 kilos de fruits? Malheureusement chaque année, une quantité non négligeable de fruits pourrissent sur et sous les arbres fruitiers parce qu'ils ne sont pas récoltés. Pour éviter ce gaspillage alimentaire, le ministère de l'Agriculture, de la Viticulture et du Développement rural et le Syvicol unissent leurs forces et lancent ensemble l'initiative "Ruban jaune / Gielt Band".
Le concept de cette initiative est très simple: si un ruban jaune est attaché sur un arbre fruitier, la cueillette pour l'usage personnel est autorisée - voire même souhaitée - et gratuite.
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Journée internationale de sensibilisation aux pertes et gaspillages alimentaires
Le ministre de l'Agriculture, de la Viticulture et du Développement rural Romain Schneider placera l'initiative "Gielt Band" également au centre de la Journée internationale de sensibilisation aux pertes et gaspillages alimentaires, le 29 septembre prochain.
Romain Schneider et Emile Eicher soulignent dans ce contexte qu'avec l'action "ruban jaune" "nous contribuons désormais à valoriser considérablement les fruits locaux en nous engageant activement dans la lutte contre le gaspillage alimentaire".
Communiqué par le ministère de l'Agriculture, de la Viticulture et du Développement rural
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Signons ici la pétition les amis :
https://agir.greenvoice.fr/petitions/stop-a-la-faim-du-mois
Sources :
Sécurité Sociale de l'Alimentation
https://reporterre.net/Creons-une-securite-sociale-de-l-alimentation-pour-enrayer-la-faim
https://usbeketrica.com/fr//fr/et-si-on-creait-une-securite-sociale-de-l-alimentation
Aide alimentaire
https://www.restosducoeur.org/faire-face-a-la-detresse-de-la-jeunesse/
https://www.secours-catholique.org/actualites/etat-de-la-pauvrete-en-france-2021
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/banques-alimentaires-pourquoi-70-des-beneficiaires-sont-elles-des-femmes-20210217
Impact sanitaire
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/02/09/l-obesite-touche-quatre-fois-plus-les-enfants-d-ouvriers-que-ceux-de-cadres_5077373_4355770.html
Droit à l'alimentation
https://www.greenpeace.fr/pourquoi-greenpeace-milite-pour-garantir-le-droit-a-lalimentation/
Connu / TG le 12/08/23 à 22:29
Cet essai est le fruit du travail de plus d’un an du groupe d’écriture de l’Atelier paysan composé de sociétaires. Il vient éclairer plus d’une décennie d’explorations collectives en technologies paysannes, période jalonnée de nos cheminements techniques, politiques. Il situe la question des technologies agricoles dans le champ agricole et alimentaire de la famee** « ferme France »…
Aux éditions du Seuil
Reprendre la terre aux machines – Manifeste pour une autonomie paysanne et alimentaire, l’Atelier Paysan, mai 2021.
👉 https://www.seuil.com/ouvrage/reprendre-la-terre-aux-machines-l-atelier-paysan/9782021478174
Ndlr : connue par la conférence organisée lors de la descente du clain fin juin 2023++ valoriser ACT
Photo Le cabas solidaire, épicerie sociale de Niort - @LeCabaSolidaire
Voici une épicerie quelque peu particulière : tout le monde ne paie pas le même prix. Non, ça ne se fait pas à la tête du client... mais en fonction de ses revenus.
L’Association Soli’Niort a créé en septembre 2020 une épicerie solidaire baptisée « Le Cabas Solidaire ». A Niort (Deux-Sèvres), ce magasin propose des prix réduits à des clients dits « bénéficiaires », tandis que des clients « solidaires » paient au juste prix. Sans stigmatisation, cette épicerie – qui mise notamment sur une petite trentaine de producteurs locaux – s'appuie sur deux valeurs qui lui sont chères : dignité et qualité alimentaire. Le Cabas Solidaire a besoin de plus de clients et clientes solidaires.
Stéphanie Auger, directrice du « Cabas Solidaire »
La gâtinelle : monnaie locale de la Gâtine Poitevine
Il existe aujourd'hui en France un peu plus de 80 monnaies locales. La première est apparue en 2010, et près de la moitié sont nées ces cinq dernières années, ce qui prouve l'essor de cette idée. C’est notamment le cas de la Gâtinelle qui circule aujourd’hui dans les Deux-Sèvres. Elle a été lancée en 2017 par l'association Gâtin’émois et est aujourd’hui acceptée par une centaine de commerçants autour de la ville de Parthenay.
Jean-Michel Fourniau, président de l’Association Gâtin’émois
L'équipe Dorothée Barba Production
Connu / TG le 27/02/23 à15:58
La Banque des PAT recense de façon la plus exhaustive possible, les PAT en déploiement sur le territoire national. Elle est mise à jour au fil de l’eau. Les fiches d’identité des PAT sont en cours de saisie…
Connu / TG le 19/02/23 à 13:10
Réflexion sur le lien entre agriculture, alimentation et démocratie
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Connue / TG le 15/12/22 à 09:50
Tous les pays très fortement importateurs ou dans des situations géopolitiques compliqués possèdent des stocks alimentaires. Mais dans la logique de l’UE néolibérale, ils n’ont pas le droit de les utiliser pour influencer les marchés, alors que cela ne pose aucun problème quand ce sont des acteurs privés qui le font pour augmenter leurs marges.
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Stop aux scandales alimentaires : plus de contrôles, de transparence et de sanctions !: Foodwatch FR
61 369 ont déjà participé - Cette pétition sera envoyée à :
- Monsieur Marc Fesneau, Ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire
- Monsieur Bruno Le Maire, Ministre de l'Economie et des Finances
- Monsieur François Braun, Ministre de la Santé et de la Prévention
Viande de cheval, œufs au fipronil, graines de sésame contaminées, affaire du lait contaminé Lactalis, listeria dans les légumes, étiquettes trompeuses… Et plus récemment des œufs Kinder probablement contaminés par des salmonelles et des pizzas Buitoni par E.coli. Ces dernières années en France, les scandales alimentaires s’enchaînent dans un schéma qui se répète, encore et encore. Il est temps d’y mettre fin.
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Opacité, impunité, ça suffit ! Exigeons des autorités qu’elles renforcent la traçabilité, les contrôles, les sanctions et, surtout, la transparence des informations pour tout ce qui concerne notre alimentation. Il est temps de briser la chaîne des scandales alimentaires, qui se répète au détriment de notre santé.
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Connue / https://wegreen.fr/post/196107
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Sophie M a partagé un post dans le groupe Agriculture, Élevage & Alimentation
Il y a 5 jours Public
https://www.foodwatch.org/fr/actualites/2022/lactalis-disclose-revele-que-les-ingredients-d-un-nouveau-scandale-alimentaire-sont-toujours-reunis/
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Connu / TG 21/09/22 à 10:35
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Où on comprend l impasse de l agriculture productiviste. Lien entre alimentation et crises sociales
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Enquête. Méthanisation et agriculteurs : "On gagne plus d’argent à produire de l’énergie que de l’alimentation"
Quand les agriculteurs gagnent plus d’argent à produire de l’énergie que de l’alimentation, les sols agricoles perdent leur vocation alimentaire. Ce reportage est le troisième volet d'une enquête en quatre parties sur la...
Connu / TG 17/09/22 à 12:13
Auteur : entreleslignesentrelesmots
Catégories: International
Le Traité International sur les Ressources Phytogénétiques pour l’Alimentation et l’Agriculture – souvent aussi appelé « Traité sur les semences » – doit réunir à New-Delhi du 19 au 25 septembre son Organe Directeur composé d ...
ses 144 États membres. Depuis son entrée en vigueur en 2004, le Système multilatéral du Traité gère l’accès à plusieurs millions d’échantillons de semences pour […]
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Il a réalisé une étude prémonitoire au sein de “mondes qui se parlent encore trop peu” (défense, agriculture, sécurité, alimentation, risques, société civile, collectivités locales, monde associatif, consommateurs).
Il a analysé un impensé, formulé des pistes de réponses à la question relative au « plus vieux sujet du monde » qui est le lien essentiel, mais désormais oublié, entre l’alimentation et la sécurité.Il s’attache en particulier à articuler, depuis plusieurs années, les thèmes des ressources, du continuum sécurité-défense, de la gouvernance et des adaptations, sous le prisme des priorités d’engagement et de la saturation des infrastructures de sécurités.
Il a ainsi publié en juin 2019 un livre-enquête issu d’un mémoire de recherche de Mastère spécialisé en gestion des risques sur les territoires, intitulé « Résilience alimentaire et sécurité nationale » https://www.thebookedition.com/fr/resilience-alimentaire-et-securite-nationale-p-367243.html, lauréat du prix « Information préventive et résilience des territoires » au Forum national sur les Risques Majeurs et a directement inspiré au Sénat.
Concepteur de la première formation de Mastères Spécialisés de France « Risques d’effondrements et adaptations », inspirateur et consultant sur l’intégration du risque de rupture d’approvisionnement alimentaire dans les Plans Communaux de Sauvegarde, il pointe la nécessité de préparer les populations et d’enrichir et d’élargir la Loi de Modernisation de la Sécurité Civile, afin de contribuer à ce que tous les acteurs, citoyens et consommateurs compris, soient co-producteurs de sécurité collective. Il considère que la double contrainte carbone (climat et énergie) nécessite une préparation active des populations et les sensibilise, à partir de la nourriture, aux grands défis de l’Anthropocène.
À contre-courant
En France, c’est environ 8 millions de personnes qui ont recours à l’aide alimentaire. Un constat alarmant, surtout dans un pays riche en terres agricoles.
Odette, correspondante citoyenne du Média, nous fait découvrir un projet en réflexion depuis plus de deux ans, une sécurité sociale de l’alimentation.
Mathieu Dalmais, agronome militant nous en explique les enjeux : "Ca s'organise autour de trois piliers, l'universalité, c'est à dire de créditer tout le monde de 150 euros par mois sur la carte vitale, le conventionnement pour que démocratiquement on se mette d'accord sur les produits que l'on pourra acheter avec cette carte, en accord avec les enjeux sociaux et environnementaux, puis la cotisation, de chacun selon ses moyens et à chacun selon ses besoins."
Des citoyens et collectifs associatifs qui sont déjà mobilisés et présents sur le terrain pour servir d’exemple local. Comme l’association Terre de Liens, qui aide de jeunes agriculteurs à s’installer. Car en France, ce sont plus de 200 fermes qui disparaissent chaque semaine.
Pauline et Joachim sont installés depuis 2016 à Saint-Romain-le-Puy, à 30min de Saint-Etienne. Un projet rendu possible grâce à l’investissement de citoyens, comme Nelly, bénévole à Terre de Liens : "Je ne voulais pas placer mes économies dans une banque. Ici on sait que notre argent va pouvoir financer des projets qui protègent nos terres agricoles."
Éviter la perte du foncier agricole, mais aussi vivre de son activité et rendre les produits accessibles au plus grand nombre, un challenge compliqué d’après Joachim. "Bien sûr que c'est dur pour les gens qui sont serrés à chaque fin de mois. Pas tout le monde peut s'acheter sa mâche à 12 euros le kilo. Mais nous en tant qu'agriculteur nous ne pouvons pas jouer le rôle de rendre accessible nos produits car il faut qu'on en vive. Il faudrait organiser ça autrement pour que tout le monde puisse bien manger".
A la Fourmilière, un magasin coopératif à Saint-Etienne, la question de l’accès pour tous à des produits de qualité mais cher se pose aussi.
Des initiatives locales importantes mais insuffisantes d’après Mathieu Dalmais, d’où la nécessité d’une sécurité sociale de l’alimentation pour avoir un impact global et vertueux. Une démocratie alimentaire, pour mieux payer nos agriculteurs, mieux manger, mieux cultiver en respectant nos sols, et surtout pour toutes et tous.
Mathieu, membre d'ingénieurs sans frontières, comment institutionnaliser une démocratie alimentaire ... pour toutes et tous
#Malbouffe #Nourriture #Scandale - 130 234 vues - 6,3 k - 94 - 326 k abonnés - 874 commentaires
La fraude alimentaire est beaucoup plus invasive et malfaisante qu’on ne l’imagine : dans les supers et les hypers, dans les marchés bios, les restaurants étoilés, les chaînes de fast food, les plats cuisinés, les hangars chinois, les fermes piscicoles, chez les maraichers, les épiciers, dans les rizières camarguaises. Partout. Faux miel, fausses épices, poissons piqués aux nitrites, farines animales interdites mais consommées y compris en France, faux pesticides, faux bouillon cubes, fausses carottes, fausses tomates. Ce zoom arrière avec une journaliste spécialisée en malbouffe peut filer la nausée mais il est surtout formidablement instructif.
Denis Robert cuisine Ingrid Kragl à petit feu et on comprend l’ampleur des dégâts. Les contrôles sont largement inefficaces et les mafias (principalement italiennes) l’ont compris puisque, d’après les stats de Foodwatch, une ONG en pointe sur ces questions depuis 2002 et la crise de la vache folle, la Camorra et Cosa Nostra gagnent aujourd’hui plus d’argent en supervisant ces trafics alimentaires qu’en vendant de la drogue. Pour eux, et c’est une des explications du désastre de santé publique, les risques sont moindres. Vendre de la nourriture contrefaite, contaminée, adultérée, illégale, des appellations d’origine protégée qui n’en sont pas, des imitations de grands crus ou des faux pesticides est devenu un business très juteux où le risque de se faire coincer reste minime. Industriels et politiques le savent mais le sujet, tabou, est occulté en France et un peu partout en Europe. C’est ce que révèle le livre « Manger du faux pour de vrai. Les scandales de la fraude alimentaire » écrit par Ingrid Kragl (Robert Laffont, 2021), en charge des investigations à Foodwatch.
Denis Robert s’appuie sur cette enquête fouillée pour révéler ces questions de salubrité publique trop oubliées par les grands médias et les politiques. Pendant une heure dense, il détaille les magouilles, explique pourquoi les raisons de frauder nos aliments sont légion. Outre le désintérêt des ministères concernées (agriculture, santé), l’autocontrôle des hypermarchés et la baisse des effectifs à Bercy expliquent en grande partie le développement de ce marché international du faux, dont les effets -épidémies, cancers ou gastroentérites-, sont trop méconnus. Ce qui ne peut qu’inquiéter.
Les consommateurs -y compris ceux qui pensent être épargnés en mangeant bio- sont sous informés et victimes de ces trafics : quels sont les produits concernés ? Quelles marques ? Où sont-ils vendus ? En quelle quantité ?
« Le bio coute cher, il est donc en premier lieu l’objet de trafic parfois indécelable, sans moyen d’enquêter, explique Ingrid Kragl, qui ajoute : « La fraude alimentaire est un phénomène croissant mais savamment occulté tant par nos autorités que l’industrie agroalimentaire et la grande distribution qui sont parfaitement au courant. Face à l’ampleur des fraudes, l’opacité de nos autorités françaises qui sont, sinon complices, complaisantes avec les contrevenants - est insupportable ».
Les faits sont implacables et filent le bourdon. Et des migraines. En France, une épice sur deux est frauduleuse. 43% des miels chez nous présentent des défauts de composition, de qualité, sont faussement étiquetés français ; certains n’ont jamais vu l’ombre d’une ruche tant ils sont adultérés chimiquement. Des vins du Languedoc sont frauduleusement rebaptisés Pomerol, Margaux ou Saint-Julien. Un produit bio sur douze contrôlé en France n’est pas aussi bio qu’il le prétend. Dans les Alpes maritimes, ce chiffre monte même jusqu’à un produit bio contrôlé sur trois.
Des chevaux impropres à la consommation, bourrés d’antibiotiques, pénètrent aujourd’hui encore la chaîne alimentaire en catimini. Côté volailles (poulet, dinde, canard, oie et pintade), environ un vendeur sur deux triche – notamment sur les labels de qualité fermier, AOP, IGP, label rouge. En Europe, un pesticide sur sept est contrefait et ces sinistres imitations de produits phytosanitaires sont utilisées dans l’Hexagone. De l’huile de tournesol à un euro le litre se transforme en huile d’olive vendue dix fois plus cher grâce à l’ajout de… chlorophylle. Du thon avarié est injecté d’additifs dangereux pour avoir l’air frais et être ensuite revendu comme si de rien n’était.
Connue / https://wegreen.fr/post/193903
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Sophie M a partagé un post dans le groupe Agriculture, Élevage & Alimentation - Il y a 2 jours Public
Enquête édifiante de l'ONG Foodwatch sur les fraudes alimentaires, organisées en mafias.
Injecter des nitrites dans du thon pour qu'il ressemble à du poisson frais, déguiser de l'huile de tournesol en huile d'olive à l’aide de chlorophylle, des usines à faux miel aux conditions d'hygiène très douteuses... Le long travail d’enquête d’Ingrid a permis de lever le voile sur de bien scandaleuses pratiques, qui alimentent un juteux business.
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#pénurie #macron #effondrement - 60 754 vues - 7,6 k - 93 - 236 k abonnés - 1 309 commentaires
Ndlr : aucun candidat n'a de prop dans ce domaine ? Même pas JLM ? Elle est de mauvaise foi :-(
INRAE, l’institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement est né le 1er janvier 2020. Il est issu de la fusion entre l’Inra, Institut national de la recherche agronomique et Irstea, Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture.
Une ambition pour la vie, l'humain, la terre
L’humanité et la planète font face à un changement global qui crée de nouvelles attentes vis-à-vis de la recherche : atténuation et adaptation au changement climatique, sécurité alimentaire et nutritionnelle, transition des agricultures, préservation des ressources naturelles, restauration de la biodiversité, anticipation et gestion des risques. S’y ajoutent des enjeux plus territorialisés qui incluent les conditions de vie et de rémunération des agriculteurs, la compétitivité économique des entreprises, l’aménagement des territoires, l’accès à une alimentation saine et diversifiée pour chacun.
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les sciences de l’eau, les approches à l’échelle des territoires, la conservation et la restauration de la biodiversité, l’anticipation et la gestion des risques ou l’agriculture numérique.
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NOS THÉMATIQUES Agroécologie Alimentation, santé globale Biodiversité Bioéconomie Changement climatique et risques Société et territoires
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EPST, Etablissement public à caractère scientifique et technologique
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Siège : 147 rue de l'Université 75338 Paris Cedex 07 - tél. : +33(0)1 42 75 90 00
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Mentions légales
Ses statuts sont publiés dans le code rural et de la pêche maritime (articles R831-1 et suivants) ;
Il est représenté par son Président Directeur général, M. Philippe MAUGUIN.
contact courriel : digitalfactory@inrae.fr
HEBERGEUR OVH
Site développé par Kaliop
51 047 ont déjà participé
En finir avec le glyphosate en Europe… enfin !
Clés : Alimentation et santé Pesticides
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La substance active déclarée du célèbre Roundup de Monsanto-Bayer a été réautorisée pour 5 ans fin 2017, après de nombreux scandales : Monsanto papers, procès outre-Atlantique, fichage illégal… Les débats sont déjà lancés pour prolonger cette autorisation et la bataille est loin d’être gagnée.
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pétition a été lancée avec : Foodwatch France, Générations Futures, Greenpeace France, Agir pour l'Environnement, Ligue contre le cancer, WECF, France Nature Environnement, FNE Auvergne-Rhône- Alpes, Amis de la Terre, ATTAC France, BLOOM, Combat Monsanto, Justice Pesticides, Confédération paysanne, CCFD-Terre-Solidaire, Réseau Action Climat, Union Nationale de l'Apiculture Française, Syndicat national d'apiculture, Terre d'abeilles, Terre & Humanisme, Cantine sans plastique France, Réseau Environnement Santé, FNAB, Mouvement de l'Agriculture Bio-Dynamique, SOL, Institut Veblen, Commerce équitable France, UFC Que Choisir, Ligue des droits de l’Homme, Ingénieurs sans frontières agriSTA, ActionAid France, Secrets Toxiques, WWF, SumOfUs, WeMove Europe, Campagne Glyphosate, Alerte des Medecins sur les Pesticides, RESOLIS, Notre Affaire à Tous
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Notre dossier contexte "C'est quoi le problème avec le glyphosate?"
- Le glyphosate est génotoxique et « cancérogène » pour l’animal et « cancérogène probable » pour l’homme selon l’expertise collective du CIRC (Centre international de recherche sur le cancer), agence de l’Organisation mondiale de la Santé. Rapport « Some Organophosphate Insecticides and Herbicides. IARC Monographs on the Evaluation of Carcinogenic Risks to Humans Volume 112 » mars 2015.
- Sur les questions de santé, voir également l’expertise collective de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) « Pesticides et effets sur la santé : Nouvelles données », juin 2021.
- Sur les alternatives aux pesticides, lire l’INRAE et notamment les rapports « Usages et alternatives au glyphosate dans l'agriculture française », décembre 2017