Conférence de presse de présentation du comparateur de programmes #ConfPresseNSP - •Diffusé en direct il y a 15 heures / La France insoumise
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Ce mercredi 17 février à 11h, suivez en direct la conférence de presse sur le comparateur de programmes proposé par le site de la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon.
En présence de :
- Clémence Guetté, co-responsable du programme de Jean-Luc Mélenchon
- Eric Coquerel, député de Seine-Saint-Denis, chargé des relations unitaires pour la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon
- Jean-Luc Mélenchon, candidat à l’élection présidentielle 2022
- Paul Vannier
Nous lançons un comparateur de programmes. L’objectif : vérifier le degré de compatibilité de textes programmatiques issus d’associations/collectifs/syndicats sortis ces derniers mois avec l’Avenir en commun (le programme de Jean-Luc Mélenchon, en cours d’actualisation).
Cette rubrique sera en ligne sur notre site à l’adresse https://noussommespour.fr/programme/c... et sera enrichie au fur et à mesure de la publication de nouvelles plateformes ces prochains mois. Les compatibilités, manques et désaccords de chaque texte vis à vis de l’Avenir en commun seront analysés, au global, chapitre par chapitre et mesure par mesure.
Retrouvez également la conférence de presse en direct dans une version accessible aux sourds et malentendants : https://youtu.be/3gPHdZdIk6c
Participez et réagissez avec #ConfPresseNSP.
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Connue / https://twitter.com/FranceInsoumise/status/1362090640985702404
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La France insoumise @FranceInsoumise · 8h
Le vote par anticipation, ce n'est pas l'idée républicaine. Un représentant du peuple doit être élu partout de la même manière et de la même façon.
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#LCP #Emoisetmoi - 605 vues - 65 - 1 - 6,43 k abonnés
Éric Coquerel, député La France Insoumise de Seine-Saint-Denis. Il a été anarchiste, chevènementiste, il est aujourd'hui l'un des hommes de confiance de Jean-Luc Mélenchon. Mais la vie d'Éric Coquerel ne se limite pas à la politique. La voile y tient aussi une place importante.
Tous les jours sur l'antenne de LCP, Marion Becker ou Clément Méric dressent le portrait d´un député. Un entretien en face à face, dans une ambiance intimiste pour découvrir les raisons de son engagement. De sa vie d´avant aux habits de député.
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"Un cyclone social s’abat sur la France. Les licenciements explosent !" - Eric Coquerel - •14 déc. 2020 / La France insoumise - Groupe parlementaire
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😥 Bridgestone. General Electrics. Danone. Renault. Sanofi. Péters Surgical. Et tant d’autres...
Un cyclone social s’abat sur la France. Les licenciements explosent.
"Vous qui savez tout interdire, vous qui savez interdire les manifestations, les libertés, l’art, la culture, pourquoi ne savez-vous pas interdire les licenciements pour les entreprises qui ont reçu des aides publiques, mais qui distribuent des millions en dividendes à leurs actionnaires ?!
Hier, nous avions un capitaine de pedalo à la tête de l’Etat. Aujourd’hui, nous avons un commandant d’un radeau qui gave d’argent public ceux qui licencient..!"
Eric Coquerel vote contre le projet de loi de Finances 2021 du gouvernement, et il explique pourquoi !
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Violences policières, proposition de loi pour une sécurité globale, accueil des exilés : le député de La France insoumise Eric Coquerel, est l'invité de la Midinale.
Sur le moment politique que l’on vit actuellement
« On a glissé d’un cran vers un régime autoritaire et liberticide. »
« Cela fait deux ans que l’on vit une des gestions des mobilisations sociales la plus répressive en termes de proportionnalité de toute la Cinquième République ; on a eu des lois de prolongation et d’intégration de l’état d’urgence dans les lois communes qui ignorent totalement la question de répartition des pouvoirs et de l’Etat de droit ; et maintenant, on a le Covid… Pour ce dernier, on aurait pu penser que la question de privation des libertés publiques était peut-être nécessaire pour des raisons sanitaires mais ce qui est dramatique, c’est que le gouvernement (et on l’a vu encore hier soir avec l’allocution du Président de la République) n’envisage pas d’autres alternatives au confinement que de continuer les privations de liberté et surtout qu’il utilise le moment pour faire passer des lois qui nous font être pointés doigts par toutes les associations et instances internationales attachées aux droits de l’homme, y compris l’ONU. »
Sur la cote de popularité d’Emmanuel Macron
« Je me méfie de ce genre de sondage : François Hollande avait aussi des sondages qui lui donnait une cote de popularité importante au moment des affaires de terrorisme, ce qui ne l’a pas empêché de ne même pas pouvoir se représenter tellement les gens étaient déçus par sa politique. »
« Dans une situation comme celle que nous vivons actuellement, d’angoisse et de stress, de repli sur son propre sort (ce qui est normal quand on a affaire à une épidémie de ce type), les ressors font que l’on essaie de se raccrocher à ce qui peut représenter l’autorité. »
« Les professions, les unes après les autres - et cela commence à faire beaucoup de monde -, sont de plus en plus colère, des gens qui versent dans la pauvreté sont en colère, les salariés qui sont obligés d’aller travailler dans des conditions sanitaires anormales sont en colère, les enseignants en colère… Additionnés, je trouve cela bizarre qu’à la fin, cela fasse des sondages de popularité de la sorte. »
Sur la proposition de loi « pour une sécurité globale »
« Avec Emmanuel Macron, de manière caricaturale, les droits du Parlement sont contournés et ignorés avec une majorité qui semble plus encline à applaudir à tout rompre qu’à réfléchir. »
« La majorité a fait une mistoufle : ils ont profité d’une proposition de loi de la majorité pour y mettre tout ce qu’ils voulaient y ajouter, ce qui leur a évité une étude d’impact, l’avis en amont du Conseil d’Etat, et le débat parlementaire normal pour une loi de cette importance. »
« Politiquement, on assiste à une alliance de l’extrême droite à En Marche en passant par Les Républicains. La majorité, en réalité, récite la leçon de l’extrême droite, jusque dans le vocabulaire et la façon de réagir. »
« M. Darmanin en 2017, lorsqu’il était dans l’équipe de campagne de M. Fillon, avait dit que M. Macron allait ouvrir à Mme Le Pen s’il était élu. J’espère que cela ne sera pas le cas en 2022 mais on peut d’ores et déjà dire qu’il a ouvert la voie au programme du Rassemblement national. »
« On a aujourd’hui le programme de l’extrême droite au pouvoir dans notre pays. »
Sur ce qui se passera si la proposition de loi « pour une sécurité globale » est votée
« Il va y avoir deux saisines du Conseil Constitutionnel : celle du Premier Ministre sur l’article 24 et celle que nous allons déposer avec le Parti socialiste et le Parti communiste sur l’ensemble du texte. »
« La majorité est gênée aux entournures : l’article 24 a été réécrit de façon totalement superficielle, simplement en rajoutant « manifestement » et « le respect de la liberté de la presse », mais ils annoncent qu’ils vont continuer à le réécrire. »
« Dans cette loi, il y a des choses extrêmement inquiétantes qui commencent à ressembler à big brother is watching you : 1984 de George Orwell est un bouquin de fiction parce qu’on n’avait pas, à l’époque, les moyens techniques de regarder tout le monde mais aujourd’hui, on les a. »
« Si jamais les deux saisines ne marchent pas, la loi va continuer sa navette parlementaire et je compte sur la mobilisation pour faire plier la majorité. On a déjà vu des mobilisations faire reculer un gouvernement. Je pense que la mobilisation de samedi par exemple, à 14h sur la place de la République, va être extrêmement importante. »
« La jeunesse est en train de se mobiliser sur la question des libertés. »
Sur la fracture entre la police et la population
« Cette fracture est de plus en plus profonde parce que les messages envoyés par Gérald Darmanin sont terribles. »
« Je dis Gérald Darmanin mais je n’oublie pas qu’il y a Emmanuel Macron derrière. »
La suite à lire sur www.regards.fr !
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Depuis le début du quinquennat, la France insoumise démontre qu’elle est prête à gouverner et à proposer des budgets sérieux, permettant de sortir de la crise sociale, sanitaire et écologique que traverse notre pays. Après 2018, 2019 et 2020, le groupe parlementaire présente son contre-budget pour 2021. Celui-ci est divisé en trois temps :
- Un décryptage du « plan de relance » proposé par le gouvernement
- Les mesures indispensables pour former un bouclier social, sanitaire et engager le bifurcation écologique.
- Un ensemble de propositions pour aller chercher l’argent où il se trouve.
Pour lire la suite, consultez ci-dessous le contre-budget 2021 de la France insoumise. Participez sur les réseaux sociaux avec #ContreBudgetFi.
La France insoumise @FranceInsoumise
"#ensauvagement", "barbares", "séparatisme"... La sécurité est une question trop sérieuse pour être instrumentalisée par des démagogues. Retour de la police de proximité, recrutement de 10 000 policiers... les propositions des insoumis.
Édito @ericcoquerel pour @L_insoumission .
SÉCURITÉ : LES PROPOSITIONS DE LFI
Dans son édito pour l'insoumission, Éric Coquerel revient sur le thème de la sécurité avec une analyse et des propositions de fond, loin des discours démagogues. Abonnez-vous à l'insoumission.
1:25 PM · 9 sept. 2020·Twitter Media Studio
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Transcription à compléter ACT
... en finir avec la discrimination systémique ... plan de formation des policiers, leur donner les moyens de mieux faire leur métier. Plus de moyens aux policiers et à la justice. Contre le néolibéralisme, la place du tout marché ... retourner à une vision républicaine de l'ordre public, de la prévention, d'une police et d'une justice qui ne serve pas un ordre social injuste.
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Eric Coquerel, député LFI, soutient la liste "Un Havre Citoyen avec Jean-Paul LECOQ"
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Eric Coquerel était l'invité de la matinale de LCI pour parler des manifestations contre le racisme et les violences policières !
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Signez la pétition pour taxer les profiteurs de crise : https://www.change.org/p/emmanuel-macron-taxons-les-profiteurs-de-crise
Dans le cadre de la Commission d’enquête de suivi du Covid-19 lancée par les parlementaires de la France insoumise, Eric Coquerel auditionnait Pascal Collemine et Thierry Bodin, tous deux de la CGT Sanofi.
Toutes les auditions et les informations sur la commission d'enquête de suivi du Covid-19 sont à retrouver sur cette page : https://lafranceinsoumise.fr/commissi...
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Pour Eric Coquerel, député de la France insoumise, le gouvernement n’est pas à la hauteur de la crise et des enjeux à venir. Il redoute le retour aux vieilles recettes et en appelle à la dissolution de l’Assemblée nationale. Il se dit « prêt à gouverner ». Il est l’invité de #LaMidinale.
Sur les quartiers populaires
« L’épidémie et le confinement exacerbent les inégalités et les discriminations. C’est vrai dans les quartiers populaires mais c’est aussi vrai dans le monde du travail. »
« Beaucoup de jeunes sont obligés d’aller travailler pour des plateformes uberisées avec les risques que l’on connait. »
« Le gestes barrières sont bien respectés en Seine-Saint-Denis, contrairement à ce qu’on raconte. »
« Ça fait des années que le rapport avec la police s’est dégradé. »
« Je ne sais pas si une révolte peut démarrer mais la colère n’est pas confinée. »
Sur la gestion de la crise par l’exécutif
« Emmanuel Macron n’a pas été à la hauteur. La crise n’a pas été anticipée. »
« La France a le taux de tests par habitants parmi les plus faibles de tous les pays occidentaux. On est vraiment à la ramasse. »
« On a perdu toute souveraineté sanitaire. »
« On a l’impression que l’Etat se défausse sur les initiatives individuelles. Ça pose la question de l’égalité républicaine. »
« On ne voit pas au gouvernement quelque chose qui se mette en action. »
« S’ils maintiennent la date du 11 mai pour des raisons économiques, je crains le pire : non pas une deuxième vague, mais une continuité de l’épidémie. »
Sur la mobilisation sociale
« J’appelle à ce que le mot d'ordre principal de la mobilisation du 1er mai soit : personne au travail sans masque. »
« C’est aux salariés de décider. »
Sur la dissolution de l’Assemblée nationale
« Emmanuel Macron est tenté par l’union nationale. Un peu comme Sarkozy en 2008. »
« J’imagine mal que celui qui nous a mis dans le mur soit celui qui nous en sorte. »
« La solution ne peut pas d’attendre 2022, donc c’est le retour au peuple. »
« La dissolution est quelque chose de politiquement plus atteignable que la démission du président de la République. »
« Si on renvoyait la parole au peuple sur une future majorité parlementaire peut-être qu’on subvertirait un peu la question de la Vème République en mettant les législatives en priorité. »
« La dissolution est un mot d’ordre plus réaliste. »
Sur l’alternative post dissolution
« On est prêt à gouverner. »
« On est sur une stratégie de fédération populaire. »
« On pourrait imaginer un nouveau Front populaire avec les formations politiques qui sont d’accord avec la rupture intégrale avec le monde d’avant. »
« Tous ceux qui sont d’accord avec l’idée qu’il faut revenir à une souveraineté industrielle, sanitaire qui nous permette de rompre avec le grand déménagement du monde, avec le libre échange, avec la planification écologique et la VIème République : ça ressemble un peu à l’avenir en commun et c’est à mettre en discussion avec d’autres pour en faire un prochain programme gouvernemental. »
Sur le « travailler plus »
« Je pense qu’il faut aller vers les 30 heures hebdomadaires. »
« On a l’occasion d’ouvrir une nouvelle voie et cette voie ne peut pas être celle de la productivité, du travail à tout prix ou des mêmes qui s’en mettent plein les poches. »
« Le 11 mai, la principale préoccupation des français c’est d’abord de garder leur santé. C’est aussi d’être déconfiné et de pouvoir retrouver une vie normale. »
« De ce que je sens, les gens se disent que le confinement fait qu’il y a moins de pollution, fait qu’on retrouve des choses qu’on n’avait plus vécu depuis longtemps. »
Sur la question de la souveraineté
« Ce qui me parait fondamental avant tout, c’est que le peuple soit souverain. »
« Globalement dans le monde, l’Etat-nation reste le cadre premier de la souveraineté. »
« L’Union européenne, c’est une manière de contourner la souveraineté et d’imposer l’austérité. »
« Je crois que tout part de la souveraineté. »
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Hier soir, Macron a fixé une date : le 11 mai. Mais l’objectif semble plus économique que sanitaire. Explications. #Macron20h #COVID19
Édito d'Éric Coquerel.
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i à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?-_T7wA
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Dans le cadre de la commission d’enquête de suivi du Covid-19 lancée par les parlementaires de La France insoumise, Eric Coquerel auditionnait Christophe Prudhomme, porte-parole de l’Association des Médecins urgentistes de France.
Toutes les auditions et les informations sur la commission d'enquête de suivi du Covid-19 sont à retrouver sur cette page : https://lafranceinsoumise.fr/commission-enquete-suivi-covid19/
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Tribune publiée dans L’Humanité du 5 février 2020 par Éric Coquerel Coordinateur du Parti de gauche, député FI de Seine-Saint-Denis
Le mouvement social qui embrase le pays contre la retraite à points est historique. Non seulement par sa combativité, sa durée et le nombre de professions mobilisées mais aussi par sa forme. En apparence, il prend en effet les formes classiques des combats du mouvement ouvrier sauf qu’il s’appuie sur l’insurrection citoyenne démarrée il y a un an et demi par les gilets jaunes.
...
Partout dans le monde, le capitalisme financiarisé voit les peuples se mobiliser contre ses dégâts mais sans qu’on ne sache de quel côté ces mouvements destituants se tourneront : issue identitaire ou égalitaire ? La victoire de l’actuelle mobilisation en France est donc un enjeu majeur.
Quoi qu’il arrive, Emmanuel Macron a idéologiquement perdu la bataille des retraites et probablement la prochaine élection présidentielle. Il imagine recommencer 2017 en se retrouvant au deuxième tour face à son assurance-vie Marine Le Pen. Sans même discourir sur l’issue d’un tel duel, faudrait-il encore que l’actuel hôte de l’Élysée accède au 2e tour ou soit même en capacité de se représenter.
...
Impossible de faire un solde de tout compte des années Hollande, a fortiori alors que le PS n’en a pas tiré la moindre leçon. La solution ne viendra pas des vieilles recettes.
...
Impulser, par exemple, un mouvement politique donnant envie à tous les milliers d’animateurs apparus dans les grèves d’en faire leur, et dans les mêmes formes d’organisation, me paraît autrement plus porteur d’espoir que d’additionner les étiquettes de partis toujours très éloignés dans leur rapport au système. Enfin, et surtout, la période réclame de se ressaisir de la bataille globale contre le capitalisme. La gauche doit s’identifier autour d’une stratégie, celle de la révolution citoyenne, d’un programme gouvernemental, comme FI l’a bien réussi à la présidentielle de 2017, mais ne peut faire l’économie de s’identifier à un projet radicalement alternatif au capitalisme qui porte au même niveau les exigences environnementales et sociales. L’écosocialisme pourrait être celui-là.
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Une nouvelle journée de mobilisation doit avoir lieu demain contre la réforme des retraites. Où en est le mouvement social ? Le gouvernement peut-il encore reculer ? Que peut l’opposition parlementaire ? Quelle issue à la motion de censure déposée par La France insoumise ? Eric Coquerel, député LFI de la Seine-Saint-Denis, est l’invité de #LaMidinale.
Sur les chiffres du chômage
« C’est le meilleur des mondes : c’est ce que nous propose le gouvernement. À en croire le gouvernement, on se demande pourquoi les Français sont mécontents parce que depuis qu’il est là tout va mieux. »
« Je peux vous annoncer que dans les prochains mois, les chiffres du chômage vont encore s’améliorer. Avec les nouvelles règles d’allocation qui vont sortir des centaines de milliers de personnes des ASSEDIC et de Pôle Emploi, il y aura moins de demandeurs d’emploi en France mais il n’y aura pas plus de personnes au travail. »
« C’est pas le chômage qui baisse, c’est les statistiques du gouvernement. »
« Il y a une misère et une colère qui montent dans le pays et le gouvernement fait mine de ne pas l’entendre. »
Sur le climat social
« On exagère pas quand on parle de dérive autoritaire de régime. »
« Il y a une volonté de vengeance contre les salariés en grève. »
« Je voudrais faire un appel : il faut être solidaire jusqu’au bout de ceux et celles qui luttent [et qui se retrouvent convoqués devant des conseils de discipline]. »
« Je vois une colère, une détermination et une combativité toujours aussi forte chez ceux qui luttent. »
« Il y a une combativité très forte mais il y a aussi une tristesse de ne pas y être encore arrivé [à faire céder le gouvernement avec une grève générale]. »
« Il y a une très grande majorité des Français qui sont contre la réforme des retraites et pour le mouvement. »
« Il y a de nombreuses professions qui rejoignent le mouvement : des professeurs, EDF, des plateformes, des jeunes, des avocats, des pompiers… cet effet tâche d’huile n’est pas terminé. »
« La lutte pour le retrait de la réforme des retraites n’est pas terminée. »
Sur Laurent Berger et la « folie collective »
« Je n’ai pas l’impression d’une folie collective, j’ai l’impression d’un régime néolibéral qu’on a rarement vu aussi brutal en France. Macron c’est Thatcher et Blair à la fois. »
« La folie c’est la mise à bas de notre système social. »
« Il y a un climat détestable et Macron met des braises sans arrêt dans le feu. Tout ça va exploser. »
« Traditionnellement, on a toujours veillé à ne pas taper les syndicats (…). Maintenant force est de constater qu’avec l’épisode sur le vrai/faux âge pivot qu’on a fait mine de retirer (…) on peut penser que Laurent Berger a joué un rôle vis-à-vis du gouvernement qui est un rôle d’appui. »
« Sur la conférence de financement, on fait mine que le jeu est ouvert alors que tout est fermé. C’est indécent. »
Sur la motion de censure LFI refusée par le PCF et le PS
« On a redéposé une motion de censure et les autres groupes doivent en rediscuter aujourd’hui. J’espère qu’ils vont accepter. »
« Les droits du Parlement sont bafoués. »
« On a pas compris ce refus du PCF ou du PS. »
« J’ai tendance à penser que le PCF s’est aligné derrière le PS, ce que je trouve dommage. »
« J’espère que tout ça va être réparé aujourd’hui parce qu’il y a un refus unanime des partis de gauche sur cette réforme des retraites. »
Sur la proposition de référendum du PCF
« Le mouvement social pense qu’il peut obtenir le retrait pur et simple (…). En faisant cette proposition, vous anticipez d’un certaine manière l’échec du mouvement social. Moi je pense que le mouvement social peut faire reculer le gouvernement. »
Sur la journée de mobilisation du 29 janvier
« La grève est l’arme fatale des travailleurs. »
« Si ce pays se met trois jours en grève, secteur public et privé, le gouvernement plie. Il ne tiendrait pas plus longtemps. »
« On travaille avec Olivier Besancenot - que je vois beaucoup en ce moment sur les AG - de créer un comité national de soutien qui pourrait mettre sur la table l’idée d’une marche nationale. »
« Il faudrait une marche nationale à Paris avec un million de personnes : ça permettrait d’amplifier le rapport de force en faveur des grévistes. »
Sur l’unité à gauche et la question de l’alternative politique
« Quand on a un mouvement dont le candidat a fait 19% et a échoué à 600.000 voix près, on se pose la question [d’entrer en campagne pour 2022]. »
« Il faut travailler à la création d’une force politique a vocation majoritaire. »
« Le plus urgent, c’est que quelque chose naisse de ce mouvement social. »
« C’est pas parce que vous additionnez dix logos, que vous êtes assuré de gagner. »
« Jean-Luc Mélenchon est le meilleur candidat pour 2022. »
« Notre problème n’est pas d’incarner déjà une candidature pour 2022 (…), mais de faire en sorte que les gens se fédèrent, se rassemblent, s’impliquent : il nous faut une véritable fédération populaire. »
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Eric Coquerel, député France Insoumise, sur LCI le 22/01/2020.
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Cette conférence s'est déroulée lors des AMFiS 2019 avec :
- Gaël Quirante (Sud Poste 92)
- Armand Courrioux (Décrocheur de portraits de Macron)
- Alma Dufour (ANV-COP21),
- Taha Bouhafs (journaliste)
- Éric Coquerel (député LFI)
- Jérôme Rodrigues (gilet jaune)
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franck 2019 il y a 1 jour
bravo à vous et merci pour ce partage qui en encouragera certains à développer la résistance à ce régime de plus en plus autoritaire !
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Territoires Sénat, Saveria Rojek reçoit un invite politique pour commenter l'actualité.
Avec :
Roger KAROUTCHI : Sénateur (LR) des Hauts-de-Seine,
Eric COQUEREL : Député LFI de Seine-Saint-Denis.
Catégorie Actualités et politique 31 commentaires
Insoumis Acet'One il y a 5 jours
Bravo Éric Coquerel
Eric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis, est l'invité de Frédéric Métezeau, au lendemain du défilé du 14 juillet après lequel des échauffourées ont eu lieu.