La liberté, 1ère des sécurités ! - Ugo Bernalicis à Annecy - Diffusé il y a 2 jours / Ugo Bernalicis
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Le thème de la sécurité s'invite à nouveau dans le débat public avec, dans la perspective de la présidentielle, la surenchère gouvernementale. Ugo Bernalicis, député de La France Insoumise, est l'invité de #LaMidinale.
Sur la maxime « La sécurité, c'est la première des libertés »
« C'est une bêtise, puisque la sécurité n'est pas une liberté. Elle permet, éventuellement, l'exercice des libertés. La sécurité est un droit, et encore, mais pas une liberté. C'est un non-sens, un slogan pour faire comprendre que les libertés peuvent être cloisonnées dans des besoins de sécurité. »
« Pire encore, ce slogan, déjà prononcé par Castaner ou Valls, a été popularisé par Jean-Marie Le Pen pour les élections régionales de 1992. »
« "Sécurité, première des libertés", dès que vous entendez cela, sachez que c'est de droite réactionnaire, de droite dure, et que ça prépare souvent le pire. »
Sur la suppression du rappel à la loi
« La suppression du rappel à la loi, Emmanuel Macron l'a dit comme si c'était fait. C'est dans le texte "Confiance dans l'institution judiciaire" qui est encore en discussion entre l'Assemblée nationale et le Sénat. Et eux-mêmes quand ils ont supprimé le rappel à la loi avaient dit qu'ils réfléchiraient à mettre autre chose à la place. Ce que, visiblement, ils ne feront pas puisque le Président a annoncé qu'il n'y aurait rien à la place. Ce sera soit un classement sans suite, soit des poursuites. »
« Pourquoi a-t-on multiplié les rappels à la loi ? Pour améliorer le taux de réponse pénale, c'est-à-dire les statistiques du parquet, du ministère de la Justice, etc. Donc ils vont eux-mêmes planter leurs statistiques. »
« Ils ne veulent plus, dans l'échelle des peines, des peines intermédiaires. »
« On a une logique diabolique avec des injonctions contradictoires : Macron dit qu'on enferme trop de gens en prison et le lendemain dit "ça suffit les rappels à loi". Faut savoir ! »
« C'est une demande pressante des syndicats de police. L'injonction est de dire que même si les policiers n'ont pas beaucoup de preuves contre une personne, il faut entrer en voie de condamnation. »
Sur l'annonce d'Emmanuel Macron de mettre 50% de policiers en plus sur le terrain
« On se marre. Quel ministre de l'Intérieur ne l'a pas dit ? C'est du Sarkozy dans le texte. On ne sait pas d'où sort le chiffre de 50%, ils ont dû faire au pifomètre. »
« On sait que, aujourd'hui, un policier, quand il est dehors, passe 56% de son temps à faire des infractions sur les stupéfiants, principalement de la consommation de cannabis. Si on veut remettre plus de bleus sur le terrain et plus de disponibilité, il faudrait légaliser le cannabis. »
« Il aurait pu relier ces 50% à quelque chose qu'ils ont eux-mêmes mis en place : la police de sécurité du quotidien. Il n'en a pas dit un mot ! Son objectif politique, c'est pas une police de proximité, c'est de la présence de bleus, de la répression. »
« Plus de police, pourquoi pas, mais quelle police ? Si c'est pour faire plus d'interpellations, de comparutions immédiates et de peines de prison, on va juste avoir des résultats bidons en très peu de temps. »
« Je pense qu'il n'est pas nécessaire de recruter plus de policiers. Il vient d'y avoir quasiment 10.000 recrutements, dans des conditions abominables : huit mois de formation initiale au lieu de douze mois, des gens recrutés à un niveau extrêmement bas, avec des moyennes à certains concours où on a commencé à prendre les candidats à 6 sur 20. Ce n'est pas le nombre de policiers qui pose problème – on est dans le haut du panier européen au nombre de policiers par habitant – c'est leurs missions. »
« Les moyens humains, on les a – je ne parle pas des moyens matériels avec des commissariats qui tiennent debout, des geôles de garde à vue qui ne sentent pas l'urine. Juste dire qu'il faut plus de moyens, c'est peut-être ça qui fait qu'on n'est plus si crédible que ça à gauche. Il faut aller plus loin. Qu'est-ce qu'on veut comme police ? Moi, je veux une police de proximité. Et, en même temps, il faut démanteler les BAC. Comment on l'organise ? On propose d'intégrer les policiers municipaux à la police nationale pour qu'on ait une police nationale de proximité, sous l'autorité du maire quand les agents sont affectés dans un quartier, et sous l'autorité du préfet en même temps. »
La suite du verbatim est à lire sur www.regards.fr
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Durée de lecture : 9 minutes - Clés : Libertés Santé Politique Covid-19
« Société de contrôle », démocratie « suspendue »... Pour la philosophe Barbara Stiegler, les décisions du gouvernement contre le Covid-19 nous plongent dans une « impasse politique et sanitaire » inquiétante. Et elle interroge la façon dont est menée la politique de vaccination.
Barbara Stiegler est professeure de philosophie politique à l’université de Bordeaux. En janvier 2021, elle a écrit le tract De la démocratie en pandémie aux éditions Gallimard, vendu à plus de 80 000 exemplaires.
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Depuis le début de l’épidémie, le gouvernement n’a cessé de brandir des solutions miracles : le confinement d’abord, le couvre-feu, les nouveaux vaccins et maintenant le passe sanitaire. Mais cela ne fonctionne pas comme ça. En santé publique, il faut une stratégie diversifiée, une panoplie d’outils ciblés, de l’accompagnement, de la précision. Là, au contraire, les dispositifs mis en place sont extrêmement brutaux et simplistes.
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Le caractère « sanitaire » du dispositif n’est nullement démontré ... outre l’ivresse que procure l’excès de pouvoir, il refuse de revenir sur sa doctrine néolibérale ... il transforme les victimes de sa propre politique — à savoir les citoyens — en coupables ... Il privilégie toujours la répression, le contrôle et la mise au pas de la population. Il n’hésite pas non plus à manipuler les chiffres et à diffuser des informations fausses ou tronquées.
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Une politique sérieuse de santé publique impliquerait que l’on ait une discussion contradictoire et documentée sur la question de savoir s’il faut vacciner les jeunes et les mineurs [2] ... Promettre aux plus jeunes que nous reviendrons à une vie normale après leur vaccination est au mieux une illusion, au pire un mensonge. Même Jean-François Delfraissy [le président du conseil scientifique] et le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) le reconnaissent [3].
... la gauche et la société civile devraient se mobiliser dans la rue pour ne pas laisser l’extrême droite ramasser la mise ... Depuis un an et demi, une partie des classes supérieures semble avoir renoncé au modèle démocratique. Nos dirigeants sont fascinés par le modèle chinois et son approche technosécuritaire où tout est numérisé et où les autorités distribuent des permis de citoyenneté. C’est exactement l’esprit de ce passe prétendument « sanitaire » ... Je suis très étonnée de voir qu’Europe Écologie-Les Verts ne s’empare pas réellement du sujet https://reporterre.net/Les-candidats-ecolos-Batho-Governatori-Piolle-Rousseau-se-declarent-contre-le-passe
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Notes
[1] L’Agence nationale de sécurité du médicament a indiqué la possibilité de très rares cas de myocardites
[2] La communauté pédiatrique a pris position en faveur de la vaccination des jeunes, même si certains spécialistes estiment que ce n’est pas la priorité.
[3] Avis du 9 juin 2021 du CCNE : « Les adolescents, comme l’ensemble de la population, risquent d’être à nouveau confinés alors même qu’ils seront vaccinés. […] Le risque encouru ici est majeur : si les adolescents recourent à la vaccination avec la certitude qu’elle leur permettra un retour à la vie normale et que cette motivation finit par être déçue dans les faits, c’est leur confiance dans les institutions qui risque d’être ébranlée à long terme. »
Précisions
• MISE À JOUR — 3 août 2021 — Ajout de la précision sur les myocardites et la vaccination des jeunes.
Connu / https://twitter.com/CHANTALCUTAJAR/status/1428610264228929536
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Rapenne Jean a aimé CHANTAL CUTAJAR @CHANTALCUTAJAR · 18h
Barbara Stiegler a raison d’interpeler les écologistes sur la question du pass sanitaire via @Reporterre - 3 - 9 - 6
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Durée de lecture : 5 minutes
Politique Santé Covid-19 Libertés
TAGS Antigone Appel Big Pharma Coronavirus Covid-19 Désobéissance Dictature Etat Europe Gouvernement Lecourrier-du-soir.com Liberté Macron Médias Pandémie Pass Sanitaire Politique Pouvoir Santé Société Tribune
Jean Pierre LUMINET, astrophysicien, conférencier, écrivain et poète français, spécialiste de réputation internationale des trous noirs et de la cosmologie, directeur de recherche au CNRS, membre du Laboratoire d’astrophysique de Marseille (LAM), chercheur associé au Centre de Physique Théorique2 de Marseille (CPT), vient de signer l’Appel Antigone.
Il est rejoint par Michel MAFFESOLI, sociologue, professeur émérite à l’université Paris-Descartes ; Michel Maffesoli a développé un travail autour de la question du lien social communautaire, de la prévalence de l’imaginaire et de la vie quotidienne dans les sociétés contemporaines. Il est membre de l’Institut universitaire de France.
APPEL ANTIGONE
Des écrivains, artistes, universitaires, intellectuels et diffuseurs de la pensée appellent à la résistance civile face à la dérive autoritaire de l’État.
“La mise en place du Pass sanitaire, qui viole le secret médical, nous fait entrer dans une matrice de surveillance de tous par tous, dans une société de contrôle total. Forfaiture aux valeurs de la République, ce Pass sanitaire est une violence faite au Peuple. Le pouvoir cherche à imposer la vaccination à tous, avec des vaccins expérimentaux, en rendant la vie impossible à ceux qui ne seraient pas vaccinés, en les opposant aux autres – il fait fi du « consentement libre et éclairé » de la personne en propageant la peur, en pratiquant « l’extorsion de consentement ».
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Le Pass sanitaire instaure le contrôle d’identité généralisé par des personnes privées et clive la société française : les récentes déclarations du ministre de l’Éducation nationale pour la prochaine rentrée scolaire 2021/22 portent le conflit sociétal, créé de toutes pièces par le gouvernement, au sein même des familles, dans la sphère de l’intime, ce qui est la marque des régimes autoritaires ; la période que nous vivons réactive ainsi les pratiques de délation et de désignation de boucs émissaires.
Rappelons qu’en droit français l’extorsion est un délit prévu à l’article 312-1 du Code pénal. Il s’agit du « fait d’obtenir par violence, menace de violences ou contrainte une signature, un engagement, une renonciation, la révélation d’un secret ou la remise de fonds, de valeurs ou d’un bien quelconque ».
L’État veut circonscrire le débat à la vaccination alors que le vrai problème est celui de la société de contrôle générée par le Pass sanitaire. Beaucoup de compatriotes, victimes du syndrome de Stockholm, reprennent les injonctions du Pouvoir. Nous pouvons provisoirement renoncer à des habitudes agréables : boire un café en terrasse, aller au cinéma, au restaurant… mais pas à la liberté d’aller et venir (transports ferroviaires discriminés), pas à la liberté de travailler et de percevoir un salaire. L’État ne peut espérer la soumission de tous à ses diktats. Comme Antigone nous choisissons de désobéir : non pas pour mourir, mais pour faire sécession à la mort sociétale. Nous voulons être des humains, non des cobayes ni des clones modélisés par le Pouvoir.
Résistons, ANTIGONE le fera, faisons renaître une société de tolérance, de liberté et d’amour.”
Ndlr : je regrette que cet appel évoque les "vaccins expérimentaux" qui est controversé et n'est pas partagé par les anti-pass pour une bonne partie d'entre eux qui sont vaccinés. Dommage. Je soutiens avec cette réserve.
Connu / https://twitter.com/Arcanah3/status/1427479291311312897
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Globe terrestre Europe-AfriqueArcanahHerbe⭐Poing levéTriangle rouge pointant vers le haut @Arcanah3 · 17 août
Double point d'exclamation Le #groupeAntigone, collectif composé de 75 intellectuels français, a fait parvenir à la rédaction de ce média, un appel dénonçant le #PassSanitaire et la #vaccinationobligatoire
Excellente lecture❗Double point d'exclamation #Manifs21aout #NonAuPassDeLaHonte #Vaccin - 1 - 36 - 38
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25 min de lecture
Actualités, Communiqués de presse, Le groupe parlementaire à l'Assemblée nationale
71 députés dont ceux des groupes Gauche démocrate et républicaine, La France insoumise, et Socialistes et apparentés ont déposé un recours pour contester devant le Conseil constitutionnel le projet de loi « confortant le respect des principes de la République ».
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- porte une atteinte manifestement disproportionnée à la liberté d’association (articles 6, 7 et 8). Avec cette loi, une autorité administrative pourrait refuser l’octroi d’une subvention ou exiger son remboursement à une association qui ne respecterait pas un « contrat d’engagement républicain ». Mais le contenu même de ce « contrat d’engagement républicain » étant caractérisé par le flou, cet article risque de conduire à de très sérieuses atteintes à la liberté d’association.
- porte atteinte au droit à la sûreté et fait peser une grave menace sur la liberté d’expression et plus particulièrement sur la liberté d’informer (article 18). Cette loi pourrait faire obstacle à une enquête journalistique concernant une personne ne serait-ce qu’en publiant le nom de l’entreprise qu’elle dirige ou dans laquelle elle travaille ou pourrait servir de prétexte pour placer en garde à vue toute personne filmant une intervention policière par exemple lors d’une manifestation.
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Clés : Démocratie ; Gouvernement ; Libertés numériques ; Santé ; Surveillance
Dans un texte inédit publié par Le Média, l'écrivain Joseph Andras met en garde contre la loi "inique, infecte et inefficace" instaurant le pass sanitaire. Face aux manœuvres du gouvernement et à la société de surveillance qui s'installe pas à pas, un mot d'ordre : "Faire tomber le pass, amplifier la lutte".
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Une société de contrôle technologique
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Les caméras de vidéosurveillance saturant l’espace public ? Plus personne ne songe à les briser. La reconnaissance faciale ? Le 19 juillet dernier, le conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes l’adoptait – à « titre expérimental », bien sûr – dans les gares et les trains. Elle sera donc généralisée. Dans les colonnes du Monde diplomatique, Serge Halimi s’élevait, il y a peu, contre « l’invasion galopante du numérique et du traçage de nos vies intimes » que favorise, à la manière des dispositifs de contrôle largement institués par le gouvernement chinois, l’entreprise macroniste en cours. Force est d’admettre que seule la littérature de science-fiction s’est montrée en mesure d’annoncer ce qui se trame sous nos yeux, en France comme ailleurs : la division hiérarchique du corps social supervisée par un code matriciel et la police en arme.
L'extrême droite à la barre ?
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Que la mobilisation soit confuse à ce jour, la chose est patente. Que la lutte contre le pass et son monde soit traversée de contradictions, grêlée de revendications troubles et délétères, c’est l’évidence. Deux fautes, une même impasse : nier la portée populaire et transpartisane de la mobilisation, chaque semaine plus conséquente et désormais approuvée par la moitié de la population ; nier son segment toxique et contre-révolutionnaire (libertariens, fascistes, antisémites, illuminés).
... on ne compte plus les citoyens vaccinés hostiles au pass. Superposer le rejet du premier et du second relève de la manœuvre gouvernementale. Le vaccin diminue, c’est établi, la transmission du virus, le nombre de cas symptomatiques, d’hospitalisations et d’admissions en soins critiques. Il ne saurait toutefois, comme vient de le rappeler l’OMS, être « le seul outil » : il convient de mener une « approche globale » à échelle internationale, soucieuse du déséquilibre Nord/Sud, et de se « concentrer sur les personnes les plus vulnérables ».
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Le gouvernement est entièrement responsable de la gronde et des débordements : il ment ... La défiance de la rue est légitime. La colère, aussi. Pendant ce temps, Pfizer et Moderna se gavent sur le dos des peuples ...
Faire tomber le pass, amplifier la lutte
Année après année, les libéraux ont fracassé le service public ... supprimé des dizaines de milliers de lits d’hospitalisation ... propositions de l’opposition parlementaire : réquisitions, nationalisations, injection de fonds dans l’hôpital public, création d’un pôle public du médicament, installation de purificateurs d’air, mise en place d’une société par roulement, etc.
... modèle de société ... lois sur la « sécurité globale » et le « séparatisme » ... pas « la liberté » (qui, on le sait, peut devenir celle du plus fort), mais bien l’égalité ... les syndicats, l’association ATTAC et l’Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament https://www.bastamag.net/pass-sanitaire-obligation-vaccinale-tests-PCR-payants-annonces-Macron-aucune-pedagogie-Jerome-Martin – l’abolition immédiate du « système de tri » entre les citoyens à l’augmentation des moyens pour le système de santé et des salaires pour le personnel en première ligne, la gratuité définitive des tests et la levée des brevets, la suppression de la barrière d’accessibilité au vaccin et la construction d’une confiance vaccinale par le seul consentement libre et éclairé, la liquidation des réformes du chômage et des retraites. On pourra, alors, parler d’une « politique sociale et de santé juste et démocratique » https://france.attac.org/se-mobiliser/marches-des-libertes/article/pour-une-politique-sociale-et-de-sante-juste-et-democratique.
C'est une très mauvaise nouvelle pour les libertés numériques et individuelles des Français. Malgré l'opposition de nombreuses associations, le Conseil constitutionnel a validé le contenu de la nouvelle loi renseignement.
Boîtes noires, écoutes généralisées de la population pour mieux détecter les menaces terroristes… Le contenu de la nouvelle loi renseignement est terrible pour les libertés numériques et individuelles des Français. Cette loi controversée a finalement été validée par le Conseil constitutionnel le vendredi 30 juillet dernier, après plus de deux mois de débats intenses au Parlement, et malgré l’opposition d’un très grand nombre d’organisations de défense des droits et libertés des citoyens.
Venue pérenniser des dispositifs déjà en vigueur depuis la mise en place de l’Etat d’urgence en 2015, cette nouvelle loi reprend aussi plusieurs points de la loi relative à la sécurité intérieure et à la lutte contre le terrorisme de 2017, elle-même héritière des assignations à résidence et des perquisitions administratives.
Pour parler du contenu de cette loi et expliquer les dispositions qui mettent le plus en danger nos libertés individuelles, puis pour analyser cette société de surveillance en construction perpétuelle, nous avons reçu sur le plateau du Média Arthur Messaud, juriste à la Quadrature du Net, une association de défense des droits et libertés des citoyens notamment par rapport au numérique.
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1423707406517874689
Tr.: ...
interception téléphonique, écoute téléphonique, accès aux méta-données conservées pendant un an, surveillance de masse de géolocalisation, macron se fache avec son idéal européen pour la sécurité, pose de micro, accès aux données du téléphone en installant des logiciels espions, ex Pegasus ; déployés par l'administration, hors judiciaire, la seule autorité est le premier ministre. Donc l'exécutif, pas de contrepouvoirs. La CNCTR seule ne fait pas partie des renseignements, vont être informés, émettre des réserves, saisir le conseil d'état et c'est tout. Pas satisfaisant, pas d'indépendance idéologique. On a obtenu leur idépendance au niveau de l'UE, le conseil d'état a refusé de s'y soumettre.
Dans la loi : surveillance algorithmique du traffic de l'internet (menace "terroriste", notion abusive). La technique réalise un travail important impossible à réaliser par un humain. Permis à titre expérimental, renouvelé à chaque fois, inscrite dans le droit définitif. +s'intéresser au contenu des messages ex l'url, +robots sur flux données dupliquées pour les services de renseignement. Avec plus de limites.
État d'urgence permanent. Menace grave et concrète sur la sécurité nationale. Requalifié par atteintes à l'armée, territoire, terrorisme, ingérence des entreprises, défense des traités internationaux, violences collectives (manifs non déclarées, attroupements, etc) qui ne sont ni délis ni infractions. Définie si largement, la menace est constante : n'importe quelle atteinte est une menace, vu que le capitalisme est l'état autoritaire.
Mesures liberticides. Ex. Pegasus. La Fr a le droit de le faire. Ex signal chiffré mais accès temps réel des rg. Venir la veille arrêter.
/drones, contexte réduction des droits fondamentaux.L'État normalise l'autoritarisme. En 2021, 4 textes, loi séparatisme, loi sécurité intérieure, Macron ne se prive pas. Ne pas tout mettre sur la crise sanitaire. Surveillance de masse /néolibéraux ou extrême droite.
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Dans ce 144e numéro de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur la bataille à l'Assemblée nationale contre le pass sanitaire. Il explique quelles sont les conditions matérielles, pour les députés insoumis, d'une lutte parlementaire de cet ordre. Il rappelle également quelques unes des raisons pour lesquelles ce pass sanitaire est inacceptables : réduction des libertés, société du contrôle permanent, société de conflit et, même, inhumanité au moment d'accompagner ses proches en fin de vie.
Après cette année chargée sur le plan politique, le candidat à l'élection présidentielle de 2022 dresse aussi un bilan général de l'action menée. Il parle notamment de la progression de ses réseaux sociaux, des déplacements qu'il a effectués, des discours qu'il a prononcés à l'Assemblée nationale.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon propose quelques «devoirs de vacances» : d'abord s'inscrire pour participer aux Amfis (https://amfis2021.fr), ensuite rechercher des parrainages d'élus pour l'élection présidentielle de 2022 (https://melenchon2022.fr/le-guide-de-...). Il propose également des lectures de vacances : son nouveau livre, «Députés du peuple humain», mais aussi les quatre brochures programmatiques de L'Avenir en commun.
SOMMAIRE
00:00 : Intro
00:27 : Bilan de l'année
03:44 : Pass sanitaire : la liberté sous contrôle
16:43 : Devoirs de vacances
LES LIENS
- Le pass sanitaire, c'est le pass autoritaire ! : https://youtu.be/fSuxDBafVXc
- Pass sanitaire : absurde, injuste et autoritaire ! : https://youtu.be/EVuHwe7Rm7A
- Les AMFIS 2021 : https://amfis2021.fr
- Le guide de la recherche des parrainages : https://melenchon2022.fr/le-guide-de-...
- «Députés du peuple humain», le livre de Jean-Luc Mélenchon : https://www.lisez.com/livre-grand-for...
- Carnet de route bolivien – Brochure numérique : https://melenchon.fr/carnet-de-route-...
- Se procurer le 1er Cahier de L'Avenir en commun : « Démocratie et libertés, vite, la 6e République ! » : https://www.seuil.com/ouvrage/les-cah...
- Se procurer le 2e Cahier de L'Avenir en commun : « La Planification écologique » : https://www.seuil.com/ouvrage/la-plan...
- Se procurer le 3e Cahier de L'Avenir en commun : « Le progrès social et humain » : https://www.seuil.com/ouvrage/le-prog...
- Se procurer le 4e Cahier de L'Avenir en commun : « Pour une France indépendante » : https://www.placedeslibraires.fr/livr...
- Francophones : ne nous tournons pas le dos ! - Conférence de Mélenchon à Ouagadougou : https://youtu.be/pcL5-9a8oDw
Le 16 juillet 2021, Jean-Luc Mélenchon prenait la parole suite à la décision du gouvernement de mettre en place un pass sanitaire.
Le président du groupe La France insoumise à l’Assemblée a rappelé que le groupe parlementaire insoumis, bien que ses membres soient vaccinés ou en voie de l’être, était formellement opposé à la vaccination obligatoire. Une position que les insoumis partagent avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Sur ce sujet, il a appelé le gouvernement à convaincre les Français plutôt que de les contraindre.
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restriction considérable des libertés ... notre cause commune, quelles que soient nos opinions politiques et que la liberté de conscience, la liberté individuelle, la liberté d’agir, autant qu’on respecte la loi, est la liberté la plus fondamentale. Il a donc appelé à la défendre.
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avec les annonces d’Emmanuel Macron de remettre sur la table ses attaques contre les retraites et contre les chômeurs, nous allons entrer dans un moment délicat sur le plan sanitaire de façon extrêmement brutale. Il a donc appelé à l’unité du peuple français.
Connue / https://twitter.com/AvecJLM/status/1418908206059905027
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Mélenchon 2022 a retweeté
JLM 2022 Drapeau de la France @AvecJLM · 11h
En 1 semaine, Jean-Luc Mélenchon dépasse le million de vues sur le compte Tiktok #jlm2022 pour cette intervention à propos du #PassSanitaire. Applaudissements #manifs24juillet
De La France insoumise - 24 - 359 - 700
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Quelques extraits :
Alors que la pandémie de Covid-19 n'est pas terminée, et qu'il est probable que celle-ci ne soit ni la dernière, ni la plus forte, il serait irresponsable de ne pas se saisir de telles possibilités. Les restrictions généralisées imposées aux libertés « physiques » ces derniers mois sont de moins en moins supportables. Elles ne sont ni durables, ni même très efficaces, en comparaison de ce que permettrait un usage plus systématique du numérique.
Le recours au numérique permettrait de contrôler précisément le respect des mesures sanitaires, à un niveau individuel et en temps réel : en contrepartie, les restrictions pourraient être ciblées sur un faible nombre de personnes, et être plus limitées dans le temps, tout en ayant une efficacité maximale. Peut-être pourrons-nous demain, grâce au numérique, retrouver nos libertés « physiques » plus vite, ou même ne jamais les abandonner, et avoir des pandémies sans confinement -
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Les outils envisageables sont multiples mais, à court et moyen terme du moins, les cas d'usage les plus évidents concernent le contrôle du respect des règles visant à limiter la transmission du virus (pass sanitaire, couvre-feu, confinements, quarantaines, etc.), qui implique de croiser trois types de données : données d'identification, données médicales, et données de localisation (des plus intrusives, avec le tracking GPS, aux plus légères et occasionnelles, avec l'accès conditionnel à certains lieux, en passant par les données de localisation relative avec le contact tracing).
...
Par exemple, dans le cas d'une épidémie qui se répand rapidement ou dont la mortalité est très élevée, des équipes médiales pourraient ainsi se rendre immédiatement au domicile des personnes vulnérables (où dans tout lieu où elles se trouvent), pour les vacciner, les soigner ou encore les mettre en sécurité. Il ne s'agit pas ici d'intervenir auprès de « tous les plus de 65 ans » ou « tous les habitants de telle commune » : les croisements de données et le recours à l'intelligence artificielle rendent en effet possible un ciblage extrêmement fin. Par exemple :
- en exploitant des données génétiques, il pourrait être possible d'identifier immédiatement les personnes réceptives à un variant très rare d'un virus, ou à un vaccin ou traitement particulier, et de mobiliser ainsi les ressources médicales de façon beaucoup plus efficiente. Sans aller jusque-là, la simple exploitation automatisée du dossier médical de chaque individu d'une population cible pourrait déjà permettre de faire beaucoup ;
- en exploitant les données des objets connectés, qui pourraient elles aussi être accessibles depuis l'espace numérique de santé, il pourrait être possible d'intervenir en amont de l'apparition ou de la dégradation des symptômes : données d'ECG, de balances connectées, de thermomètres connectés, de caméras thermiques détectant les symptômes fiévreux, etc. ;
- en exploitant des données de mobilité, il pourrait être possible de positionner les équipes (d'information, de test, de vaccination, etc.) aux bons endroits et aux bons moments pour intervenir auprès d'un maximum de personnes (un hub de transport, un rassemblement public, etc.), celles-ci ayant le cas échéant été prévenues en avance.
...
Enfin, dans les situations de crise les plus extrêmes, les outils numériques pourraient permettre d'exercer un contrôle effectif, exhaustif et en temps réel du respect des restrictions par la population, assorti le cas échéant de sanctions dissuasives, et fondé sur une exploitation des données personnelles encore plus dérogatoire.
Ces outils sont les plus efficaces, mais aussi les plus attentatoires aux libertés - mais une fois de plus, il serait irresponsable de ne pas au moins les envisager, ne serait-ce que pour se convaincre de tout faire en amont pour ne pas en arriver là. De nombreux cas d'usages sont possibles, et notamment :
- le contrôle des déplacements : bracelet électronique pour contrôler le respect de la quarantaine, désactivation du pass pour les transports en commun, détection automatique de la plaque d'immatriculation par les radars, portiques de contrôle dans les magasins, caméras thermiques dans les restaurants, etc. ;
- le contrôle de l'état de santé, via des objets connectés dont l'utilisation serait cette fois-ci obligatoire, et dont les données seraient exploitées à des fins de contrôle ;
- le contrôle des fréquentations, par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que l'on est contagieux ;
- le contrôle des transactions, permettant par exemple d'imposer une amende automatique, de détecter un achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie), ou encore la poursuite illégale d'une activité professionnelle (commerce, etc.) en dépit des restrictions.
le document entier sur : http://www.senat.fr/rap/r20-673/r20-6738.html
Connu / mel PDR du Thu, 22 Jul 2021 08:31:33 -0400
La surveillance revêt trois dimensions, explique Vanessa Codaccioni : il s’agit en premier lieu de celle des gouvernés par les gouvernants, c’est-à-dire des populations par les appareils d’État et leurs services de police et de renseignement, en second lieu de celle qui s’exerce au sein des communautés par le regard que leurs propres membres portent les uns sur les autres, et enfin en troisième lieu de celle que les gouvernés exercent sur les gouvernants. Les deux premières connaissent actuellement une très forte intensification.
Le développement des possibilités techniques et les politiques sécuritaires généralisent la vidéo-surveillance, désormais menée non plus seulement par caméras fixes mais aussi par drones, avec usage de la reconnaissance faciale et archivage des données. En France, le Conseil d’État vient d’entériner le fichage des opinions politiques et religieuses ainsi que des engagements politiques et syndicaux des individus, qui pourra désormais être utilisé par les autorités dans un cadre et à des fins mal définies.
À cet arsenal de contrôle et de répression par les appareils d’État s’ajoute le fort développement de ce que V. Codaccioni appelle la « surveillance latérale » ou « participative », par laquelle les populations sont incitées, via une politique de la peur, à être sur leurs gardes et signaler aux forces de police tous les comportements, toutes les attitudes qui peuvent apparaître suspects : les réseaux de « voisins vigilants », les plate-formes de signalement en ligne prolifèrent. A l’inverse, et dans le même temps, le droit de regard des citoyens sur l’action publique et la probité individuelles des dirigeants est de moins en moins effectif.
Les conflits d’intérêts, malversations et scandales de tous ordre prêtent de moins en moins à conséquence sur la carrière des hommes et femmes politiques concernés. Les erreurs et les excès systématiques de la police, en particulier dans la répression de l’exercice du droit démocratique de manifestation contre les politiques menées ou les projets politiques, sont presque toujours couverts par les hiérarchies et impunis devant les tribunaux. La tentation est d’ailleurs très forte, du côté de l’État, d’empêcher mieux encore tout contrôle en limitant la possibilité de filmer les interventions policières.
La crise sanitaire actuelle, enfin, illustre bien la manière dont le personnel politique tend à revendiquer et organiser son irresponsabilité, en imputant aux mauvais comportements individuels l’incapacité des institutions publiques à protéger les populations.
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COMMENT LE FICHAGE DES CITOYENS PERMET L'IMPUNITÉ DES DIRIGEANTS
"Les pouvoirs publics veulent complètement affaiblir la vigilance du peuple sur l’État. [...] C'est pour ça qu’on veut nous empêcher de filmer les interventions policières." @VCodaccioni - 24 - 1 - 34
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Initié par Eric Coquerel, député de la France insoumise, et le porte-parole de Génération.s, Thomas Portes, l’appel à manifester le 12 juin partout en France pour les libertés et contre l’extrême droite, rassemble de très nombreuses associations, organisations politiques et syndicales. Ils sont les invités de #LaMidinale.
Sur l’origine de l’appel du 12 mai
Thomas Portes
« Il y a à la fois un recul des libertés et une dérive autoritaire du gouvernement puisqu’on a une accumulation des lois liberticides depuis le début du quinquennat d’Emmanuel Macron. »
« Il y a une évolution idéologique de l’extrême droite qui gangrène la société civile mais aussi le plus haut niveau de l’Etat lorsqu’il parle d’islamogauchisme ou d’ensauvagement. »
« On a des lois qui n’ont rien à envier à ce que pourrait faire l’extrême droite. »
« On a pris l’initiative d’écrire un texte et de rassembler des organisations et des personnalités qui se retrouvent dans l’urgence à réagir. Il y a une envie des gens de réagir. C’est le moment de relever la tête parce qu’il existe autre chose que le fascisme et le libéralisme. »
« On peut avoir un basculement du pays avec une présidente d’extrême droite. »
« Ça n’est pas une manifestation qui peut tout régler mais il faut inscrire la mobilisation dans la durée. »
Eric Coquerel
« Les libertés académiques ont été mises en péril par Vidal et ses attaques sur l’islamogauchisme et ça nous a inquiété. Dès ce moment-là, on avait fait un appel aux autres partis pour dire qu’il serait peut-être temps de faire quelque chose. Malheureusement, trois partis n’ont pas été au rendez-vous : le PS, le PCF et EELV. »
« Plus tard, il y a eu l’attaque sur les groupes de paroles de l’UNEF (…). Il n’y a pas eu beaucoup de réactions et même à gauche, certains y ont vu un problème. On a renouvelé notre proposition en faveur d’un appel des partis et de nouveau les trois partis [PCF-EELV-PS] ont décliné. »
« Cet appel d’aujourd’hui nous permet de faire ce qu’on n’arrivait pas à faire depuis longtemps. »
« J’ai l’impression parfois qu’on n’a plus besoin de madame Le Pen pour faire vivre les idées d’extrême droite. Le gouvernement recycle ses idées. »
Sur la banalisation de l’extrême droite
Thomas Portes
« Il y a des signaux inquiétants qui rappellent des moments sombres de l’histoire. »
« Il y a un curseur qui s’est déplacé sur la droite. »
« Quand les membres du gouvernent répondent à des médias d’extrême droite - comme Gabriel Attal dans Valeurs Actuelles qui fait une Une transphobe - ils participent de la légitimation des idées de l’extrême droite. »
« On est dans un moment où le basculement vers le pire est possible. »
« La raison d’être de la République, c’est la liberté. Aujourd’hui, elles sont menacées. »
Eric Coquerel
« Les Etats, parmi les plus autoritaires, ne le sont pas devenus par la grâce de partis d’extrême droite : Bolsonaro vient du libéralisme, Orban aussi - et il vient même de la social-démocratie quand il était jeune. Trump vient du libéralisme. Les trois ont fait progresser leur pays vers un régime autoritaire et liberticide. »
« Il y a un pouvoir discrétionnaire qui se met en place et qui s’autorise des abus de pouvoir. »
« Le gouvernement Macron a de vrais problèmes avec les libertés. »
« La question des libertés de la démocratie c’est que d’abord on a des droits. C’est toujours prioritaire par rapport aux devoirs. Celui qui a des devoirs avant d’avoir des droits, c’est l’esclavage. »
« Macron est liberticide et que ça n’est pas juste de la communication. »
Sur les conséquences politiques de la marche des libertés
Thomas Portes
« On prend nos responsabilités pour ne pas subir le scénario qu’on veut nous imposer entre Macron et Le Pen. »
« Il faut un moment de rupture pour faire avancer nos idées. »
« La participation d’une partie de la gauche et des écologistes à la manifestation des policiers participe à un brouillage idéologique. »
« Il faut créer les conditions d’offrir une alternative, un autre projet de société et en mettant en lumière que l’extrême droite n’apporte pas de solutions et on le voit partout en Europe. »
Eric Coquerel
« Macron a encore un an pour donner envie aux gens d’aller voter mais ça n’est pas ce qu’il fait. »
« Ce gouvernement prend Marine Le Pen sur sa droite. »
« La politique d’Emmanuel Macron est la plus inégalitaire de la Vè République. »
« C’est à Macron de faire preuve que son pouvoir est préférable à celui de Le Pen mais il va avoir beaucoup de mal. Les gens n’ont pas vu beaucoup de différences depuis cinq ans. »
« Macron est le pire candidat face à madame Le Pen. »
« Je prends les paris que le second tour ne sera pas celui qu’on nous annonce. »
Sur la question des libertés
Thomas Portes
« La République ne peut pas être autre chose qu’un régime de libertés et elles sont remises en cause aujourd’hui. »
« Notre modèle républicain est en danger. »
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Tr.: ... ECoquerel évoque 2022 ou Jamais (2x)
Connue / https://framasphere.org/posts/11977334
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Dom Mabb - il y a environ un jour
TOUS SURVEILLÉS : UNE ÉTAPE À ÉTÉ FRANCHIE AVEC LA PA#NDÉMIE
#surveillance #pandémie #Tesquet #technologie #économie #libertés 1 J'aime
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Tr.: ... Livre de oliver Tesquet "État d'urgence technologique"
Vive la Commune ! --- 18 mars 1871 - 18 mars 2021 : les 150 ans de la Commune de Paris - •18 mars 2021 / JEAN-LUC MÉLENCHON
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Ce 18 mars 2021, nous célébrons le 150e anniversaire du commencement de la Commune de Paris. Dans cette vidéo, Jean-Luc Mélenchon rend hommage aux communardes et communards qui ont mené une lutte pour la liberté et l'émancipation humaine dont la lumière brille encore aujourd'hui sur le monde.
Jean-Luc Mélenchon explique ici l'Histoire de la Commune de Paris et son commencement par la résistance à l'envahisseur allemand. Il explique comment les femmes ont été aux avant-postes de la lutte. Il retrace les grandes avancées de la Commune de Paris : la séparation des Églises et de l'État, la réquisition des logements vacants, la création des coopératives ouvrières.
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Suggérée par UMG CalogeroVEVO
Artiste Calogero 605 commentaires
Avec "The Mad Lover" - Théotime Langlois de Swarte, violon et Thomas Dundord, luth - nous font respirer l’atmosphère acoustique londonienne des 17° et 18° siècles, à l'époque de Charles II. Nous écouterons notamment John Eccles, Thomas Dunford ou encore Nicola Matteis père.
Mots clés : Musique classique Guitare (instrument) Luth (instrument) Musique baroque Théotime Langlois de Swarte Thomas Dunford
Voir aussi https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?B6ivBQ
Dom 2 jours - Vidéo collective de 2’30
Invitation à La PARADE DES LIBERTÉS à Poitiers ce samedi 30 Janvier à 14 H. Invitez vos voisin.es, ami.es, collègues de travail, famille, cousin, cousine sans oublier votre enthousiasme ! (et le parapluie)
Connue / https://twitter.com/web86info/status/1354950376584323073
4 520 ont signé
Mix'art Myrys a lancé cette pétition adressée à Mix'art Myrys ??
Nous, Mix’Art Myrys - collectif d’artistes autogéré, et Soutiens de Mix’Art Myrys, en tant qu’Artistes, Lieux culturels et artistiques, Citoyen.ne.s,
Demandons que les travaux de mise en conformité aux normes ERP dans le respect du projet (maîtrise d’usage) soient enfin réalisés par Toulouse Métropole (maîtrise d’ouvrage).
Que puisse être pérennisé cet espace d’expérimentation artistique, culturelle, démocratique, sociale et sociétale. Cet espace de liberté, de mutualisation, de coopération, d’autogestion.
Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju/?ARs9mw