601 ont signé
François RUFFIN a lancé cette pétition adressée à Emmanuel Macron (Président de la République française.)
Elles sont près de 400 000 dans notre pays, touchent en majorité moins d’un SMIC par mois, pour des amplitudes horaires de 7h à 20h. A 99%, ce sont des femmes. Ce sont les assistantes maternelles. Celles qui gardent ce que nous avons de plus cher, nos enfants.
Pour Auroré Bergé, pour Jean-Michel Aphatie, Joseph Mace-Scaron, Bruno Questel, Robert Namias, Olivier Biffaud, et les autres satellites de la Macronie, la découverte qu'une assistante maternelle puisse être payée 4 euros de l'heure fut une horreur : l'exploitation !, là, dans la sixième puissance mondiale ! Et pourtant, 4 euros, pour beaucoup d’entre elles, c'est déjà une chimère : le taux minimum légal est à 2,85 euros par heure et par enfant.
Vous êtes nombreuses, nombreux, professionnelles, parents, militants, membres de la société civile, responsables politiques, et j'en suis, à vous indigner de cette situation et depuis longtemps. Alors à ceux-là, et aux autres qui ont découvert hier, par tweet, la réalité de ce métier, je propose un geste simple : demandons ensemble une augmentation du taux minimum légal des assistantes maternelles pour demain. Et la prime Covid tout de suite !
Nous comptons, elles comptent, sur votre soutien, ici, dans l'hémicycle, dans les médias.
Quel est le vrai taux de mortalité du Covid-19 ? - 18 juin 2020 / Smriti Mallapaty | Pour la Science
Cette donnée est cruciale pour déterminer la réaction à adopter face à l’épidémie, mais elle est loin d’être simple à estimer.
Smriti Mallapaty est journaliste scientifique basée à Sidney, elle couvre l’actualité en science, agriculture et technologie en Asie.
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Après des mois de collecte de données, les chercheurs se rapprochent enfin d’une réponse fiable.
Les chercheurs parlent de taux de mortalité due à l’infection (infection fatality rate, ou IFR) pour caractériser la létalité d’une nouvelle maladie. Il s’agit de la proportion de personnes infectées qui en mourront, y compris celles qui ne sont pas dépistées ou qui ne présentent pas de symptômes.
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Fondée sur les données de séroprévalence à Genève, cette étude estime le taux de mortalité à 0,6 % pour la population totale, et à 5,6 % pour les personnes âgées de 65 ans et plus
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Clés : Covid-19 Mortalité Taux de mortalité Sérologie Dépistage
Connu / https://twitter.com/PourlaScience/status/1273913423148060675
17 avril 2015
De l’énergie est nécessaire pour réduire le taux de récession économique. Problème : elle ne peut venir des fossiles … et pas assez des renouvelables, selon Thierry Caminel, dans cette présentation glaçante sur le cannibalisme énergétique de notre civilisation. Si le taux de décroissance est trop fort, c’est la stabilité des sociétés qui est en jeu. Il faut donc réduire ce taux d’une manière ou d’une autre…
Lire la présentation de Thierry Caminel https://docs.google.com/presentation/d/1Ot_V5G_UM7NKMwkhNJpWq-hsdzLM1aAMZah2Pq1szxo/edit#slide=id.ga60605352_021
Auteur: ThierryCaminel https://www.institutmomentum.org/author/thierrycaminel/
Ndlr : analyse intéressante mais est-elle complète ? partialité ? Questionner ACT quid de la médiation, des peuples premiers, etc ?
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Que cache l’obsession qu’a le personnel politique français pour le chômage ? Depuis des décennies, le taux de chômage semble être devenu l’indicateur le plus important du débat public alors même qu’on pourrait avoir l’œil rivé sur le niveau des salaires, le taux de pauvreté ou même le PIB.
Pourquoi maintenir la focale sur ce chiffre-là plutôt que sur tous les autres ? Y a-t-il de quoi se réjouir lorsque les chômeurs sont moins nombreux et est-ce vraiment un signe de vitalité ? Dans cet épisode, l’équipe d’Ouvrez les guillemets prend au sérieux cette phrase de Coluche : « À la télé ils disent tous les jours : “Y a trois millions de personnes qui veulent du travail.” C’est pas vrai : de l’argent leur suffirait. »
Catégorie Actualités et politique 624 commentaires
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Les taux de crédit immobilier ont atteint au mois de mai leur plus bas niveau historique, avec un taux moyen de 1,29%, battant ainsi le record établi en novembre 2016 (1,33%), selon les chiffres de l’observatoire Crédit logement/CSA. Et les taux pourraient encore baisser dans les prochains mois, les conditions étant réunies avec notamment la décision de la Banque centrale européenne de ne pas toucher à ses taux directeurs avant juin 2020 afin de lutter contre des perspectives de croissance en baisse.
Ces taux bas sont donc une très bonne nouvelle pour le marché immobilier, incitant ainsi les potentiels acheteurs à sauter le pas pour l’appartement ou la maison dont ils rêvent. Mais malheureusement pour eux, ces taux d’intérêts au plus bas entraînent une explosion des prix dans les grandes villes et agglomérations. Paris va ainsi bientôt passer la barre des 10.000 euros le m2 en moyenne… Mais toutes les zones ne sont pas concernées par cette hausse des prix, et une ville comme Mulhouse a par exemple vu les prix s’effondrer de 20% en dix ans.
Face à ces prix de l’immobilier qui flambent et qui pourraient pousser les investisseurs à répercuter la hausse des prix à l’achat sur le niveau des loyers, l’encadrement des loyers devrait revenir sur le devant de la scène dans les prochaines semaines. Instauré par la loi Alur, l’encadrement des loyers avait été effectif à Paris et à Lille entre 2015 et 2017, avant d’être annulé par le tribunal administratif.
Le gouvernement avait d’ores et déjà prévu de le réinstaurer via la loi Elan à la fin de l’année 2018. Les loyers devraient donc être à nouveau encadrés dès le 1er juillet à Paris. Les propriétaires qui ne respecteraient pas les critères de l’encadrement s’exposent à des sanctions financières comprises entre 5.000 et 15.000 euros.
Comment expliquer une telle chute des taux de crédit immobilier ? Quelles en sont les conséquences économiques ? Est-ce que les prix de l’immobilier peuvent baisser également ? Faut-il craindre une nouvelle bulle immobilière ?
Format : 65 minutes
Présentation : Caroline Roux et Axel Tarlé
Réalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele et Jacques Wehrlin
Production : France Télévisions/Maximal Productions
Catégorie Divertissement