amis conf17 a partagé un post dans le groupe Agriculture, Élevage & Alimentation
En résume les coopératives ont suivi la tendance de fond qu'a été la mondialisation capitaliste.
https://www.terre-net.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article/les-cooperatives-agricoles-ont-elles-perdu-leur-raison-d-etre-205-173529.html i à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?bMrH7A
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Organisé par Les Ami-e-s de la Confédération Paysanne de Charente maritimes
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Seront présents Benoit Biteau, (Député européen), Mathieu Courgeau (Président de « Pour une autre PAAC », Jérôme Orvain (Elu Régional Nouvelle Aquitaine & Paysan), Stéphane Trifileti (Elu régional Nouvelle Aquitaine), Pauline Rattez (LPO), Eric Perrin ( spécialiste sur l’eau), Thomas Salles (Trésorier des Ami.e.s de la Conf’17 pour l’association).
à travers cet événement mettre en avant le projet agricole de la Confédération Paysanne qui défend des fermes à taille humaine et intégrées dans leur environnement, ainsi que la nécessité d'une production alimentaire locale résiliente aux bénéfices des paysans, des consommateurs et des citoyens.
Qui sommes-nous ?
né à la faveur de la crise des Gilets jaunes qui lui a donné son nom, non comme un héritage à faire perdurer, mais comme le symbole d’une insurrection populaire salutaire et nécessaire. aventure d’amis, de frères et de sœurs de luttes antérieures à celles menées depuis le 17 novembre mais qui ont trouvé en cet événement l’occasion et la nécessité de se réunir et d’agir collectivement.
Les Gilets jaunes ne sont pas pour nous une classe sociale, un électorat ou un pré-carré à conserver et à préserver de toute critique. Les Gilets jaunes constituent un sursaut historique puissant et inattendu. A partir de cet instant, tout ce qui était enfoui surgit ; tout est légitime et aucun aspect de la vie humaine et sociale ne saurait être évacué ou oublié.
Ce pourquoi le M17 porte sa critique sur notre société bien au-delà de la question des Gilets jaunes qui n’en sont qu’un superbe témoignage. Rien ne saurait être épargné car l’existence est une totalité complexe où chaque élément doit être appréhendé dans sa relation avec l’ensemble.
Ainsi, notre cible prioritaire ne peut se cantonner à un homme, à un gouvernement, ou à un parti ; nous pointons le système qui a rendu l’existence de cet homme, de ce gouvernement, ou de ce parti possible. Notre ennemi ne se prénomme donc pas Emmanuel Macron, Christophe Castaner ou LREM, mais Capitalisme, Néolibéralisme, Marchandisation du monde et des êtres vivants, pour lesquels ces personnes ne sont que des employés.
Parce que notre combat est total, notre engagement doit être sans faille, digne et honnête. Nous appelons de nos vœux la mort de l’ancien monde et de ses idoles : le profit, le marché, l’individualisme, et l’érection d’un monde nouveau où l’utilité, le partage des richesses et la solidarité seraient les maîtres-mots.
“Il y a crise quand l’ancien monde ne veut pas mourir et que le nouveau monde ne veut pas naître.” Antonio Gramsci
Nous écrire: contact@m17-11.fr
Presse: presse@m17-11.fr
Le mouvement des gilets jaunes contre la hausse des carburants prend de l’ampleur sur les réseaux sociaux. Plus de 700 blocages, opérations escargot et rassemblements sont annoncés le 17 novembre. Si les initiateurs assurent n’être affiliés à aucun parti politique, l’extrême-droite tente de récupérer le mouvement. Face à ce risque d’instrumentalisation, des syndicats et associations environnementales appellent aussi à se mobiliser, en défendant une transition écologique et sociale, avec des mesures de justice fiscale et sociale immédiate ainsi que des propositions sur le long terme. Tour d’horizon des appels et propositions.
Tout est parti d’une pétition réclamant « une baisse des prix du carburant à la pompe ». Créée le 29 mai par Priscilla Ludosky, une automobiliste en colère, la pétition a depuis recueilli plus de 835 000 signatures. Priscilla Ludosky dresse plusieurs pistes comme la mise en place d’un « système permettant aux employés de travailler depuis leur domicile afin de limiter la circulation des travailleurs » ou l’allocation d’aides aux entreprises afin qu’elles s’installent en banlieue et en province, ce qui permettrait de désengorger les grandes villes et limiter les longs déplacements en voitures.
En parallèle à cette pétition, deux chauffeurs routiers trentenaires originaires de Seine-et-Marne, Eric Drouet et Bruno Lefevre, ont lancé un appel à bloquer les routes de France le 17 novembre (voir l’événement facebook) [1]. « Nous ne somme pas anti-écolo », précise Eric Drouet dans une vidéo. « Ce mouvement est un mouvement contre la taxation abusive à tout point. » Ces dernières semaines, de nombreux collectifs et événements se sont créés dans toute la France. Le site www.blocage17novembre.com dresse une carte de l’ensemble des blocages prévus (voir en bas d’article)
Droite et d’extrême-droite tentent de surfer sur le « racket des automobilistes »
Candidat de la France insoumise aux élections européennes et co-responsable de son école de formation politique, je soutiens et j’approuve la mobilisation du 17 novembre contre l’augmentation des taxes sur la consommation de carburant.
A cela, plusieurs raisons.
Pour des millions de Français, le volume de carburant qu’ils consomment n’est pas un choix. C’est une dépense contrainte.
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Derrière son imposture pseudo-écologique, en réalité Emmanuel Macron fait simplement du racket fiscal des classes moyennes et populaires
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Puisque par définition, les gens ne peuvent pas baisser leurs dépenses contraintes de carburant, augmenter les taxes sur celles-ci c’est du racket.
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C’est contre cette injustice fiscale systématique imposée par Emmanuel Macron qu’il faut se mobiliser.
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La bonne réponse, c’est une politique massive d’investissement public ayant pour but la sortie rapide et totale du pétrole
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Les forces de gauche doivent s’investir massivement dans cette colère populaire et en déloger les nouveaux poujadistes
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lus profondément, voici une raison majeure de soutenir et d’approuver la mobilisation populaire du 17 novembre : elle a le potentiel de provoquer la défaite d’Emmanuel Macron et de son monde. La lecture de la magistrale Histoire populaire de la France de Gérard Noiriel (éd. Agone) nous rappelle en effet que, dès l’ère médiévale et jusqu’à nos jours, la quasi-totalité des soulèvements populaires eurent pour déclencheur le racket fiscal des masses, la dégradation brutale de leurs conditions d’existence, ou l’addition des deux. Nous sommes dans cette situation aujourd’hui : d’une part, la majorité de la population subit le racket croissant de l’injustice fiscale d’Emmanuel Macron ; d’autre part, cette même majorité en colère a basculé dans ce que le sociologue Guy Standing appelle le « précariat » - c’est-à-dire, en clair, la France des débuts de mois difficiles. Or, si la mobilisation du 17 novembre provoque le blocage des raffineries du pays et d’un nombre significatif de stations essence, alors, l’économie du pays sera paralysée au bout d’une poignée de jours parce qu’elle sera littéralement tombée en panne d’essence. Les oligarques multimilliardaires, les dirigeants des grandes firmes, et ceux des grandes banques et compagnies d’assurance, exigeront alors eux-mêmes d’Emmanuel Macron qu’il capitule, pour que le fonctionnement normal de l’économie reprenne.
Pour toutes ces raisons, être de gauche, c'est épouser les colères légitimes populaires ; et non pas se pincer le nez envers celles-ci.
Site édité par : La Maison du Tourisme de l'Ile d'Oléron et du Bassin de Marennes
22 rue Dubois Meynardie - 17320 Marennes
Tél : +33 (0)5 46 85 65 23
Directeur de la publication : Lionel Pacaud
S'estimant victime d'une campagne d'intimidation depuis le recours contre le projet de transformation du Grand Large, la Société de protection des paysages de l'île d'Oléron a porté plainte. La maison de sa présidente, régulièrement insultée par téléphone, a été vandalisée. L'association a tenu, le 10 août, son assemblée générale, dans une ambiance pesante, et en présence d'une poignée de détracteurs.
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Sa présidente, Monique Vidalenc,... Près de 230 personnes avaient fait le déplacement pour ce compte rendu annuel des activités de l’association qui compte, à ce jour, pas moins de 420 adhérents. Dans son rapport moral, la présidente est revenue sur l’année écoulée et plus particulièrement sur «les mois qui ont certainement été les plus lourds que nous ayons connus. Les projets que nous devons combattre sont de plus en plus monstrueux : le centre aquatique et le casino de Saint-Trojan ont été les premiers exemples de la démesure qui caractérise maintenant les projets qui naissent sur Oléron, élus et promoteurs semblent ignorer que ce territoire reste une île.»
Et la présidente de revenir avec plus de précisions sur les menaces qui depuis plusieurs mois pèsent sur elle, notamment depuis que l’association a déposé un recours contre la transformation de l’hôtel du Grand Large en résidence de prestige.
Lors des enquêtes publiques et des réunions de la Commission départementale de la nature des paysages et des sites (CDNPS), le délégué de la SPPEF n’a pu que déplorer la prolifération des parcs éoliens au détriment des riverains et des beaux paysages de plaine, les campagnes de la Charente-Maritime étant sacrifiées à l’industrie éolienne...
Marc Fardet, délégué de la SPPEF pour la Charente-Maritime
Rochefort, juillet 2016.
marc.fardet@gmail.com
Les adhérents ont élu, mardi, les dix membres qui constituent le bureau de l’association. Photo E. D.
L’assemblée générale de la Société de protection des paysages de l’île d’Oléron (SPPIO) s’est tenue mardi soir à la mairie du Château..
Ils étaient plus d’une cinquantaine à être venus assister à la 42e assemblée générale de la SPPIO mardi dans la salle des mariages de la mairie du Château.
À l’ordre du jour : un bilan des actions menées durant l’année par l’association et le vote des adhérents pour l’élection du bureau.
Pas de grande surprise, le conseil d’administration présidé par Monique Vidalenc a été élu à l’unanimité, et il n’y a pas eu d’oppositions faites contre les actions engagées.
La liste de ces dernières est d’ailleurs plutôt conséquente.
Halte aux mobil-home
La réunion s’est ouverte en évoquant le souhait de l’association que l’écotaxe soit adoptée dans l’île. La présidente a tenu à lister les projets environnementaux qui ont pu être réalisés grâce à cette taxe sur la voisine, Ré. La SPPIO est également revenue sur la volonté de l’association des propriétaires de terrains de loisirs d’Oléron (APTLO) de créer des hameaux sur les lieux où les terrains à camper sont déjà présents ou sur de nouveaux sites (voir « Sud Ouest » du vendredi 18 juillet). Monique Vidalenc a précisé que l’association « tentera d’empêcher de miter le terrain oléronais pour implanter des mobil-home partout ».
La présidente a cependant tenu à féliciter des journalistes du « Point » pour un article peu élogieux sur le rond-point de la vigne à Saint-Pierre. Elle a également confié « avoir eu une petite satisfaction en voyant que la Poste sur ses planches de timbres sur les îles avait choisi deux paysages oléronais contre un sur l’île de Ré ».
La soirée s’est conclue par un pot entre le bureau, les adhérents insulaires ou habitants secondaires.
SPPIO (Société de protection des paysages de l'ile d'oléron)
Responsable : Monique VIDALENC
Protection des sites et des conditons de vie
Adresse du siège social :
36 rue de la Libération
17480 LE CHÂTEAU D'OLERON
Adresse du lieu d'activité :
36 rue de la Libération
17480 LE CHÂTEAU D'OLERON
Téléphone : 05 46 47 52 16
Email : sppio@laposte.net
Le site sur le chenal d’Arceau reçoit les Estivases. archives D. J.
Article Abonnés
L’affaire ne date pas d’hier mais les élus apportent leur soutien au Théâtre d’Ardoise dans le conflit qui l’oppose à la Société protectrice des paysages de l’île d’Oléron
« On attend beaucoup de ce soutien, ils nous l’avaient dit oralement mais il fallait que ce soit officiel. » Jean-Marc Chailloleau, ostréiculteur et « inventeur » du Théâtre d’Ardoise sur son terrain du chenal d’Arceau à Dolus, est rasséréné, même si l’avenir de son lieu culturel n’est pas assuré. L’affaire ne date pas d’hier. Un litige l’oppose frontalement à la présidente de la Société protectrice des paysages de l’île d’Oléron (SPPIO), Monique Vidalenc. Cette dernière reproche à Jean-Marc Chailloleau l’installation en plein air du Théâtre d’Ardoise sur un site classé Natura 2000. « Il s’agit d’une zone protégée identifiée au Plan local…
Le Théâtre d’Ardoise est victime d’une plainte portée par la SPPIO depuis Août 2011.
Une médiation pénale est en cours, un appel aux élus (lire ici) a été lancé pour connaître leur position publique concernant le projet.
Mel : reservation@letheatredardoise.com