Connue / https://ciret.hypotheses.org/le-ciret/sites-des-membres-et-contacts
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Ethnologue, chercheure associée au Laboratoire Environnement Ville Société (UMR 5600 CNRS), Université de Lyon https://umr5600.cnrs.fr/fr/lequipe/name/edith-planche/, ainsi qu’artiste et aquarelliste, mon travail anthropologique cherche à montrer comment la rupture entre science et art est de même souche que la rupture entre nature et culture. C’est ce clivage que je vise à réconcilier à travers la structure SeA, Science et Art que j’ai fondée en 2000 et dirigée pendant 20 ans, avec la conception de supports d’éducation à l’environnement par l’art et l’ethnologie, rassemblés dans « La mallette des merveilles du fleuve » http://science-et-art.com/Mallette-Pedagogique. Ces supports pédagogiques dont je suis auteur et pour certains illustratrice, ont été conçus en faisant le départ avec le réflexe artistique mais aussi en posant l’anthropologie comme possibilité subversive de renversement de paradigme, dans une démarche transdisciplinaire. Les entrées pédagogiques considèrent l’art comme un outil de cognition autant qu’un outil de médiation et médiatisation, favorisant l’éducation au territoire s’intéressant au patrimoine naturel aussi bien que culturel. Mon ouvrage de référence Eduquer à l’environnement par l’approche sensible. Art, ethnologie et écologie, publié en juin 2018, est préfacé par Allain Bougrain-Dubourg et postfacé par Jean Malaurie. Ce livre établit des ponts entre théorie et pratique, puis entre « science » et « art » pour forger une éducation à l’environnement par le sensible. https://www.youtube.com/watch?v=KfCM_jjJKHg (Conférence à 18mn)
edith.planche@orange.fr
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Sorel Eta, ethnomusicologue autodidacte congolais, est l'invité de l'Heure bleue à l'occasion de la parution de son livre "L'université de la forêt. Avec les Pygmées Aka". Portrait.
-> https://rf.proxycast.org/6971428e-8e35-409c-8fea-44b7eed31950/16174-24.10.2022-ITEMA_23175687-2022F26101S0297-22.mp3
Ndlr : peuple en cours d'extinction à cause de la déforestation et de la "pollution culturelle" occidentale et chinoise
Où les mimiriens apprennent que cette vieille dame a presque 500 ans et qu’elle fut l’une des premières “maisons de pauvres” strasbourgeoises.
Cette promenade a été enregistrée, puis retranscrite en bande dessinée.
Le 30 avril 2016, l’archéologue Maxime Werlé accepte notre invitation.
Nous sommes plusieurs intéressés par son histoire, que nous décidons d’enregistrer.
S’en suit une longue ballade explicative des traces anciennes, dans les murs, dans les bois, prouvant que le 18 rue Prechter est un vestige des premières maisons de pauvres strasbourgeoises, les " zwölf Prechterhäuschen ".
.#association #anthropologie #squat #témoignage #livre #autogestion #homme #ethnologie #maisonmimir #anarchisme #lespetitsriens #politique #strasbourg #alternative #accueil #alternatif #liberté #militantisme #rencontre #sens #social #communauté #collectif #histoire
Cf https://www.archi-wiki.org/Adresse:Maisons_Prechter_(Strasbourg)
53 minutes - Clés : Sciences indiens Amazonie
A la fin des années 1970*, l’anthropologue Philippe Descola est allé à la rencontre d’un peuple amérindien peu connu à l’époque : les Achuar. Les trois années qu’il a passé avec eux ont ensuite nourri sa réflexion sur les liens qu'entretiennent les humains avec les autres êtres vivants dans les différentes cultures.
Un Indien de Jivaro en Equateur. Chez les Jivaros Achuar de l'Amazonie. © Getty / Francois ANCELLET / Contributeur
Ils vivent aux confins de l’Équateur et du Pérou, dans la forêt amazonienne. Ces amérindiens font partie des Jivaros. Eux préfèrent se dénommer Achuar , les Gens du Palmier d’eau. Lorsque l’anthropologue Philippe Descola décide d’aller à leur rencontre, accompagné de son épouse Anne-Christine Taylor, en 1976, on sait peu de choses de ces hommes et des ces femmes que certains surnomment "les réducteurs de têtes". C'est surtout cette appellation qui est bien réductrice.
Pendant 3 années Philippe Descola a vécu avec les Achuars dans la forêt amazonienne. Une longue enquête ethnographique qu’il raconte dans un ouvrages intitulé « Les lances du Crépuscules » aux éditions Terre Humaine.
Après ce voyage fondateur toute sa vie l’anthropologue s'est intéressé aux rapports qu'entretiennent les humains avec leur environnement, les animaux et les plantes. Les théories qu'il a développées ont marqué sa discipline et lui ont valu la médaille d'or du CNRS.
Pour aller loin Tristes tropiques, de Claude Lévi-Strauss, paru chez Plon en 1993
L'invité
Philippe Descola est anthropologue et ethnologue. Il a publié Les Lances du crépuscule en 1994 (éditions Plon) et occupe actuellement la chaire Anthropologie de la nature au Collège de France.
Rediffusée le samedi 30 mai 2020 https://www.franceinter.fr/emissions/du-vent-dans-les-synapses/du-vent-dans-les-synapses-30-mai-2020
Transcription :
... animaux, plantes, des personnes ...
=> valoriser cette vision des êtres (universaliste du vivant ?) ACT