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... autonomiser l’espace économique à finalité de Bien Commun, maintenant reconnu comme richesse prioritaire
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on examine les choses au fond sans frein selon le principe que :
- Si un projet à finalité de Bien Commun est collectivement souhaité et que la volonté de le réaliser est là.
- Si les connaissances du moment, les moyens techniques et énergétiques disponibles permettent d'y répondre.
- Si l'empreinte écologique prévisible est compatible avec les normes internationalement admises.
- Si les savoirs-faire et les ressources humaines nécessaires sont disponibles grâce au fait, entre autres, que le monde de la production a de moins en moins besoin de main d'œuvre.
- Si le projet ne se fait pas au détriment d’autres peuples.
Alors rien ne s'oppose à sa mise en œuvre car dans ce cas de figure c'est la faisabilité du projet qui conditionne la création monétaire au niveau nécessaire à sa réalisation et non l'importance du financement (quand on peut le trouver) qui conditionne le projet.
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Catégories: Féminisme / Genre/ Rapports sociaux de sexe
L’une des raisons invoquées pour justifier la prostitution est le droit des hommes handicapés à avoir des relations sexuelles avec une prostituée. « Et les hommes handicapés ? Les hommes handicapés ont aussi le droit d’avoir des relations sexuelles, n’est-ce pas ? » disent-ils. Je pense qu’il est intéressant de noter que ce n’est pas un argument défendu par les […]
IJIBA @ijiba #NUPES #Circo1602 #Charente #Législatives2022
récital du chœur d'hommes #JeanBouillet de Nancy
puis distribution de tracts et tenue d'un stand pour faire élire notre candidate #ChloéChevalier
Dimanche 29 mai à 11h au prieuré de #Rauzet à #Combiers
(voir les autres dates ;-)
Le choeur d'hommes Jean Bouillet de Nancy Voyage musical en Charente 2022 à
- Puyperoux le 26 mai à 18h:
- Saint-Amant-de-Boixe le 27 mai à 20h30
- Saint-Jean-de-Côle le 28 mai à 20h30
- Rauzet le 29 mai à 11h
Direction : Gérard HEITZ Accompagnement : Jean DIDION, piano-accordéon Participation libre
24 mai 2022, 15:36 · · Web · 1 · 0
1 j
Lieu : https://www.openstreetmap.org/way/401818480#map=14/45.5043/0.4016
Way: Église de Rozet ou de Rauzet (401818480) | OpenStreetMap
Ndlr : aussi visible à https://mastodon.top/web/@ijiba/108357181796388868
Le vendredi 3 décembre à 18h à Saint-Céré, les groupes du Lot organisaient une réunion publique “L’Homme et l’animal en 2022
2 commentaires
... argument très fréquemment utilisé, notamment par les rassuristes https://bonpote.com/climat-les-12-excuses-de-linaction-et-comment-y-repondre/ : ils admettent que le changement climatique est un problème, mais qu’il n’est pas si grave, car “l’Homme s’est toujours adapté”.
Répondre à cet argument n’est pas si simple, et vous fera tomber dans la loi de Brandolini https://bonpote.com/loi-de-brandolini-doit-on-repondre-aux-cons/. Il n’y a effectivement jamais eu de disparition de l’humanité, et le changement climatique ne menacera pas la survie de l’espèce, en tous cas d’ici la fin du siècle. Même avec un climat qui se réchaufferait de 5°C, il est possible qu’il y ait encore quelques humains pour jouer en ligne grâce à la 16G sur leur Iphone 42.
Nous y répondons avec l’aide de Magali Reghezza, géographe et membre du Haut Conseil pour le climat (HCC).
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En matière d’atténuation, chaque demi-degré compte. En matière d’adaptation, chaque année de retard compromet la survie et le bien-être d’un nombre toujours plus grands de personnes.
L’étude critique des masculinités est un nouveau domaine de recherche au sein des études de genre. Développé et théorisé par la sociologue australienne Raewyn Connell, il renouvelle les cadres théoriques autour de l’étude des hommes. En dénonçant la masculinité normative d’une figure virile, les masculinity studies ont permis d’introduire l’idée d’une pluralité d’incarnation du masculin en dehors d’une référence systématique à la virilité. Cet article propose un bilan critique autour de la confusion des concepts de « virilité » et de « masculinité » pour proposer l’idée que celle-ci influence non seulement les représentations et les pratiques sociales, mais également les recherches universitaires. Il démontre que la perméabilité des deux termes essentialise la masculinité et entretient implicitement l’idée d’une hiérarchie entre les genres. L’article propose ainsi de penser les masculinités au pluriel et la virilité en dehors d’un genre précis afin d’enrichir les analyses sociologiques encore émergentes (en France) autour des hommes et du masculin.
Mots-clés : Masculinité, Virilité, Genre, Études critiques de masculinités, Masculinities? studies, concept, Connell
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Le terme, rarement employé de manière négative, ne trouve pas d’équivalent au féminin. Ainsi, associer systématiquement le viril au masculin n’est-il pas la négation d’une forme de puissance au féminin ? Est-il impensable de concevoir une femme virile, autrement dit forte, puissante, et performante ? Est-il si impensable de penser la puissance sexuelle des femmes ou encore la violence de celles-ci (Cardi, Pruvost, 2012) ? Il semblerait ainsi utile de déconnecter la virilité du masculin pour penser une référence idéelle mobilisable à la fois par les hommes et par les femmes comme pourraient le suggérer les travaux autour des collectifs de défense virils au travail (Rivoal, 2015). À l’instar des « masculinités sans hommes » (Halberstam, 1998), la première étape de la critique des structures inégalitaires n’est-elle pas ainsi de repenser la virilité. En effet, « quand de toutes parts la virilité des femmes est méprisée, entravée, désignée comme néfaste, les hommes auraient tort de se réjouir, ou de se sentir protégés. C’est autant leur autonomie que la nôtre [celle des femmes] qui est remise en cause » (Despentes, 2007, p. 26). Aussi continuer d’associer la virilité (et ses qualités socialement valorisées) aux hommes n’est-il pas une manière de présumer l’idée que les femmes seraient incapables de rivaliser dans un monde viril (donc masculin) ? Croire que les femmes seraient passives à l’hégémonie serait faire fausse route comme le montrent nombre de travaux féministes.
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Les technologies actuelles permettent d’échapper en grande partie à la sélection naturelle. Pour survivre et transmettre nos gènes, nous n'avons plus besoin de nous adapter parfaitement à notre environnement : les progrès de la médecine permettent de sauver bien des personnes qui n’auraient pas survécu "à l’état de nature". L’évolution naturelle de l’homme est-elle arrivée à son terme ?
Il a fallu plusieurs centaines de milliers d’années d’évolution pour passer des hominidés, proches des singes, à notre espèce actuelle, Homo sapiens. Aujourd’hui, notre culture et nos technologies permettent d’échapper en grande partie à la sélection naturelle. Pour survivre et transmettre nos gènes, nous n'avons plus besoin de nous adapter parfaitement à notre environnement : les progrès de la médecine permettent de sauver bien des personnes qui n’auraient pas survécu "à l’état de nature".
L'apport du brassage génétique
L’évolution naturelle de l’homme est-elle pour autant arrivée à son terme ? Notre propre avenir sera-t-il façonné par le génie génétique ? L’intelligence artificielle transformera-t-elle l’humain en cyborg ? L’espèce humaine continuera-t-elle à s’adapter pour ne pas disparaître ? Nombreux sont les chercheurs qui estiment que l’humain est loin d’avoir fini d’évoluer, alors que le brassage génétique à l’échelle mondiale rend possibles des combinaisons encore jamais vues. Le réalisateur Tom Theunissen interroge biologistes, paléoanthropologues, historiens de l’art et informaticiens pour composer une fascinante mosaïque des êtres humains de demain.
Réalisation : Tom Theunissen - Pays : Allemagne
Année : 2017 Médecine et santé Sciences - Durée : 53 min
Disponible : Du 03/07/2021 au 02/08/2021 - Proch diff mercredi 14 juillet à 11:55
Tr.: ... théorie de l'évolution ... biologie de l'évolution ... Jean-Jacques Hublin, anthropologie évolutionniste ...
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Une scène choc est diffusée ce mercredi soir dans la série de France 3 tournée à Marseille : Le viol d'un policier par un voyou. "Plus belle la vie" brise un nouveau tabou.
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5 % des hommes en auraient été victimes en France. "On est presque à 20 % aux Etats-Unis, précise Jérôme Bertin. Ca veut dire qu'en France, on en parle pas. Et pourtant, ces hommes existent. Et ils ont droit de dire qu'ils souffrent". ... avis de la fondatrice de l'association les Résilientes. Ana Tsaï, victime elle aussi d'un viol ... des hommes que je suis dans des groupes de paroles ... des sujets d'actualité et de société ...
Cf. https://www.france.tv/france-3/plus-belle-la-vie/
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William Sheller interprète "Un Homme Heureux" pour Patrick Sébastien dans Sébastien c'est fou
Données
En équivalent temps plein, les femmes touchent 18,5 % de moins que les hommes, selon l’Insee. La discrimination pure serait d’environ 10 % d’après le ministère du Travail.
Clés : Femmes et hommes ; Revenus et patrimoine ; Salaires ; Revenus
Le salaire mensuel net moyen des hommes, en équivalent temps plein [1] est de 2 438 euros en 2015, celui des femmes de 1 986 euros, soit un écart de 452 euros. Les femmes perçoivent donc, en moyenne, 81,5 % du salaire des hommes (1 986 divisé par 2 438), ou ont un salaire inférieur de 18,5 %. Ou encore, ce qui revient au même, les hommes touchent en moyenne un salaire supérieur de 22,8 % à celui des femmes (voir notre encadré méthodologique sur la façon de mesurer l’écart).
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[1] Les salaires en équivalent temps plein permettent de prendre en compte les emplois à temps complet et à temps partiel. On transforme un salaire obtenu à temps partiel en déterminant à quel niveau il aurait été si l’emploi avait été à temps plein.
[2] « Ségrégation professionnelle et écarts de salaires femmes-hommes », Dares Analyses n°082, ministère du Travail, novembre 2015. http://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/etudes-et-syntheses/dares-analyses-dares-indicateurs-dares-resultats/article/segregation-professionnelle-et-ecarts-de-salaires-femmes-hommes
Date de première rédaction le 27 mars 2017
Connu / https://blogs.mediapart.fr/arielle-kies/blog/151219/contre-projet-pour-un-systeme-de-retraites-universel-et-plus-juste i à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Jljkmw
Connu / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?n00QZg
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P26 "Ceux qui parlent d’écologie sans aborder frontalement la question de la vie quotidienne sous tous ses aspects, ceux qui n’ont à la bouche que les mots « compensation », « bilan carbone », « développement durable », « green tech », « transition », « empreinte écologique », ceux-là parlent une langue morte, celle de la comptabilité du désastre.
Pour esquisser les fondements d’une écologie communale et révolutionnaire, ancrée dans la vie quotidienne, peut être faudrait-il repartir de la notion d’écosophie de Félix Guattari. Pour lui, la question écologique se situe à la lisière de trois registres : « celui de l’environnement, celui des rapports sociaux, et celui de la subjectivité humaine ». Dans le bocage de Notre-Dame-des-Landes s’expérimentent des formes de vie commune à même de tenir inséparés ces trois registres de l’écologie, comme en témoigne notre relation à la forêt."
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un bien commun dont les habitants jouissent simultanément, apprenant laborieusement à concilier, à superposer et à ménager leurs multiples usages, apprenant aussi à prendre soin du bocage comme s’ils prenaient soin d’eux mêmes, à réparer le monde pour les prochaines générations d’habitants. Cette expérience
vécue est à rapprocher de la définition du communisme que donnait Karl Marx dans « l’idéologie allemande » comme le dépassement « de l’antagonisme entre l’homme et la nature, entre l’homme et l’homme. »
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p30 ... seule une forme de propriété collective peut garantir une dimension intergénérationnelle qui dépasse l’espérance de vie des usagers actuels. Tant que nous n’aurons pas renversé la propriété privée de la terre et des moyens de productions pour y substituer une propriété d’usage ... C’est dans cette tentative d’invention coutumière, plus que les stratégies de détournement d’outils juridiques existants (bail de fermage, fonds de dotation) que réside tout l’intérêt de ce qui se vit dans le bocage de Notre-Dame-des-Landes ... Pour que l’absence de l’État ne reconduise ni le règne libéral du chacun fait ce qu’il veut, ni la loi du plus fort, ni la guerre de tous contre tous, encore faut-il constituer les germes d’une autonomie communale ... L’État se pose comme le garant de l’absence de guerre civile tout en s’adonnant bel et bien à des formes plus ou moins euphémisées de guerre civile contre sa population. La dimension la plus explicitement visible de ce double-jeu est la militarisation du maintien de l’ordre. Aurait-on seulement imaginé il y quelques années, qu’un tank puisse faire face à des manifestants sur lesquels il est devenu banal de tirer avec des armes de guerre ?
Jusqu’où nous mènera l’extension illimitée de l’état d’exception dans les démocraties occidentales ? ... Renverser le pouvoir en place est absolument nécessaire mais notoirement insuffisant. Pour que la destitution signifie plus qu’un simple renversement du régime, voire même pour qu’un tel renversement soit possible, encore faut-il constituer, ou plutôt faire consister autre chose localement.
La ZAD nous a confronté de plein fouet à l’extrême difficulté de retisser de la communauté politique, de réinventer des us et coutumes, de substituer à la loi républicaine des règles communes élaborées par et pour une communauté d’habitants suffisamment soudée, solide et puissante pour les faire appliquer.
Pendant cinq années entre 2013 et 2018, l’apparente absence du pouvoir institué nous a cruellement mis face à tout ce qu’il reste en nous de pouvoir incorporé : libéralisme existentiel, individualisme, recroquevillement dans les identités et les idéologies, incapacité à faire communauté sans tradition. ... Ou pour le dire plus subtilement : d’une communauté d’abord fondée sur un refus (même si elle portait en elle une positivité), à une communauté avant tout soudée autour d’une affirmation, d’un devenir ... L’une de nos erreurs, c’est d’avoir laissé dire que la diversité de la communauté négative était une force en soi et pour soi. C’est aussi d’avoir eu besoin du mythe de l’unité dans la diversité au point de faire passer les six points pour l’avenir de la ZAD comme la position du mouvement anti-aéroport. Or si toutes les composantes du mouvement ont validé le texte, c’est au forceps. En réalité, les six points incarnaient plutôt la position d’une frange active de chaque composante.
Trop longtemps, nous avons occulté les violents conflits qui ont toujours traversé le mouvement afin de donner à l’ennemi l’apparence d’une indéfectible unité. Nous nous sommes efforcés de ne rien laisser transparaître des batailles internes qui nous ont traversées entre 2013 et l’abandon du projet. Celles-ci venaient toucher des questions extrêmement sensibles : les conséquences pratiques de la vie sans police; l’accès aux champs et aux parcelles agricoles; l’usage des routes, chemins et sentiers; la cohabitation de rapports antagonistes à la nature et à l’agriculture; certains comportements individualistes et actes de malveillance envers nos voisins des bourgs alentours ou envers d’autres habitants de la ZAD, etc ... Ce que nous apprend l’expérience de la ZAD, c’est que si la communauté négative recèle une considérable puissance de destitution, construire une commune depuis une simple juxtaposition de différences, une addition d’identités antagonistes est en revanche impossible. La commune exige un liant bien plus consistant que la diversité tactique face à l’ennemi commun. ... En l’absence de tradition séculaire comme au Chiapas, c’est dans l’avènement de nouvelles formes contemporaines de créolisation que se situe l’assise culturelle des nouvelles communalités à venir. ... Ce que la créolisation recèle de magique et de sublime, c’est qu’elle relie ensemble des identités absolument hétérogènes. Elle leur offre un langage commun, sans pour autant les fondre et les confondre. ... une forme de créolisation politique qui reste à inventer.
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XI COMMUNISATION ? ... la communisation des terres ne peut être octroyée par l’État. La communisation est un processus. Elle ne se décrète pas. C’est une mise en partage en acte par et pour les habitants de chaque localité. La communisation se construit. ... Le temps que l’inconséquence libérale-libertaire ne fragmente absolument tous les liens. ... Que l’on se penche par contraste sur les communes rurales aragonaises de 1936, ou sur le mouvement révolutionnaire zapatiste, alors on découvrira des tentatives de communisation des terres. Un processus qui commence par une prise et répartition des terres à l’échelle de chaque localité, et qui ménage toujours de l’espace pour une multiplicité d’usages collectifs, individuels et familiaux. Le commun ne s’impose pas mais s’appose à des expériences et des solidarités qui se tissent au long cours. On pourrait même dire qu’il s’apprend. ... nous avons la naïveté de nous réjouir que le bocage de Notre-Dame-des-Landes abrite de telles expériences de communisation des terres plutôt que des parkings, une tour de contrôle et un duty-free. Là réside notre victoire. ... souligner comment la ZAD, du 22 Février 2014 aux émeutes de 2016 contre la loi travail en passant par celles pour Rémi Fraisse, a contribué à sa mesure au retour de l’offensivité dans les rues de Nantes. Elle a apporté une pierre à l’émergence du contexte politique agité que nous connaissons aujourd’hui, comme en témoignent les cabanes de palettes qui ont fleuri l’année dernière sur tous les ronds-points de France. ... situation insurrectionnelle » une situation dans laquelle il y a une vacance du pouvoir en un lieu et un temps donné ... Depuis le mouvement contre la loi travail jusqu’au surgissement des gilets jaunes, la combativité dans la rue est remontée d’un cran, renouant avec des formes de conflictualité dont tout laissait à croire qu’elles appartenaient à un passé historique révolu.
Mais si nous ne voulons pas que ces insurrections en puissance continuent de « s’étrangler au stade de l’émeute », si nous désirons qu’elles accouchent d’un moment révolutionnaire, il s’agit de commencer partout à préfigurer localement le monde que nous voulons voir advenir. Nul besoin d’attendre le renversement total de l’économie ou la destitution de l’État républicain pour s’auto-organiser dans et contre le monde capitaliste. ... Aucun village, aucune ville moyenne n’a été épargné par la fièvre jaune ... stratégie d’encerclement qui débute aux portes des hypercentres métropolitains. ... Si notre époque n’est pas pré-révolutionnaire, alors elle est sans avenir.
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Prendre de la hauteur, du recul. Sortir de la médiocrité sentencieuse du commentaire
À partir du MEL
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Les océans ? Des poubelles à ciel ouvert…
Date : Hier 10:01:45
De : Audrey Pulvar admin@news.fnh.org
À : ind1ju...
N’attendons pas qu’il n'y ait plus rien à sauver
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Chaque année, plus de 8 millions de tonnes de déchets plastiques se retrouvent dans les mers, causant la mort de millions d’oiseaux et animaux marins. Nos eaux usées ont déjà engendré près de 500 zones marines mortes, devenues impropres à la vie. Surnommé la soupe de plastique, un monstrueux continent de déchets flotte dans le Pacifique… Et nous continuons d’utiliser encore 500 milliards de sacs et bouteilles en plastique par an... La situation est critique !
Les océans sont devenus nos ultimes poubelles : avant qu’ils ne finissent en cimetières de l’écosystème il est urgent de passer au grand nettoyage ! Et pour obtenir des résolutions internationales à la hauteur de l’enjeu, votre engagement est indispensable.
Ensemble, nous aurons plus de poids pour mettre les dirigeants et les entreprises en face des impacts gravissimes de notre surconsommation de plastique, et du réchauffement des océans. Entre autres mesures urgentes, nous militons pour imposer au plus vite la sanctuarisation de nouvelles aires marines protégées, ou encore une protection juridique pour la haute-mer.
Je compte sur vous, votre appui est crucial pour nous aider à remporter ces combats essentiels, et poursuivre nos programmes d’engagement citoyen.
JE FAIS UN DON
Un grand merci d'avance,
Audrey Pulvar
Présidente de la Fondation pour la Nature et l'Homme
.#ECOACTEUR
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Peuples et sociétés sont dépossédés de leurs moyens d’existence à travers le monde par la destruction de leur environnement. Face à cet écocide, comment repenser les droits de l’homme ?
L’écocide (fait de détruire la « maison Terre ») n’est pas un crime de plus, s’ajoutant à toutes les autres atteintes aux droits humains. Il est désormais le crime premier, celui qui ruine les conditions mêmes d’habitabilité de la Terre. D’ores et déjà, les dérèglements en cours attisent injustices et tensions géopolitiques tandis que les saccageurs de la planète restent impunis.
Aussi est-il urgent de revendiquer de nouvelles formes de responsabilité et de solidarité. Urgent de redéfinir un nouveau sens et de nouveaux cadres à l’action humaine au sein des limites planétaires. Le droit international doit se métamorphoser et s’universaliser autour d’une nouvelle valeur pivot, l’écosystème Terre, en reconnaissant un cinquième crime international, le « crime d’écocide ».
Valérie Cabanes est juriste en droit international, spécialisée dans les droits de l’homme. Après deux décennies dans des ONG de terrain sur les droits de l’homme, elle est porte-parole du mouvement End Ecocide on Earth. En 2015, elle a contribué à la rédaction du projet de Déclaration universelle des droits de l’humanité remis à François Hollande ainsi qu’à deux ouvrages collectifs, Crime climatique, stop ! (Seuil, 2015), Des droits pour la Nature (Utopia, 2016).
« Le livre de Valérie Cabanes est un livre de combat. Un combat juridique et existentiel, à la fois au long cours et face à l’urgence. »
Extrait de la préface de Dominique Bourg
Sciences humaines
Essais
Anthropocène
Date de parution 06/10/2016
20.00 € TTC
368 pages
EAN 9782021328615
Date de parution : 05/10/2017
En guise de préface :
quelques lignes d’Edgar Morin, parce que les idées exprimées dans ce livre entrent en résonance avec celles qu’il défend.
Grâce à des conditions climatiques favorables et à des milieux de vie fertiles et foisonnants de biodiversité, nous avons prospéré pendant des millénaires. Toutefois, depuis deux siècles, nous avons aussi malmené l’écosystème qui nous abrite et nous nourrit car nous évoluons comme hors-sol, isolés du reste du vivant, oubliant que nous sommes des êtres de nature.
Nous devons réapprendre, à l’image des peuples premiers, notre rôle de gardiens. Nous devons retrouver le chemin d’une cohabitation harmonieuse avec les arbres, les plantes et les animaux mais aussi entre nous. Cette démarche exige de baisser nos armes économiques, de questionner notre rapport à la propriété, de limiter la souveraineté des États, de repenser la démocratie. Elle impose enfin de reconnaître que la nature a le droit d’exister et de se régénérer. C’est ainsi que nous pourrons garantir aux générations futures le droit à vivre dans un environnement sain et pérenne.
Réalisateur : Véronique Kleiner
Producteurs : ARTE France, Point du Jour, Picta Productions, CNRS Images, CNDP
Où la recherche révèle un pan méconnu de l’évolution qui, pour une fois, met les femmes en vedette.
Partout dans le monde, les femmes sont en moyenne plus petites que les hommes. Même chez les Européens du Nord, qui sont actuellement les plus grands du monde, leur taille est inférieure à celle des hommes d’une quinzaine de centimètres environ. Le dimorphisme sexuel de taille, comme l’appellent les scientifiques, n’est cependant pas universel. Il y a des espèces animales où les femelles sont plus grandes que les mâles - les baleines bleues, par exemple. Si le plus grand mammifère au monde est une femelle, pourquoi en va-t-il autrement chez les humains ?
Les spécialistes de la question nous racontent une histoire inédite, au carrefour de la biologie, de la médecine, de la paléoanthropologie et de la sociologie. Ces experts travaillant en France, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne et aux États-Unis retracent leurs découvertes sur l’évolution qui, pour une fois, mettent les femmes sur le devant de la scène.
passée en boutique :
https://boutique.arte.tv/detail/pourquoi_femmes_plus_petites_hommes