Observatoire de la Performance Energétique, de la Rénovation et des Actions du Tertiaire
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plateforme ... permettre aux propriétaires et [, le cas échéant] aux preneurs à bail de bâtiments, parties de bâtiments ou ensembles de bâtiments assujettis aux obligations d'actions de réduction de la consommation d'énergie finale dans des bâtiments à usage tertiaire de répondre aux dispositions prévues aux articles L.111-10-3 et R.174-22 à R.174-32 du code de la construction et de l'habitation et aux précisions apportées dans les arrêtés d’application.
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Connue / ??
L’association d’HAbitants de Logements Ephémères ou Mobiles a été créée afin de répondre aux besoins de la population qui choisit ce mode d’habiter, quelle qu’en soit la raison.
HALEM c’est quoi ? C’est une association d’habitants et de sympathisants qui participe et qui s’active pour défendre les droits de ces habitants et de leurs modes de vie. C’est la force de penser et de faire ensemble.
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Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?CrnCbQ
Un bâtiment de logements sociaux en cours d'isolation à Montreuil (Seine-Saint-Denis). ©AFP - Arnaud Paillard
47:00 mn
Dès l'an prochain, les logements classés en catégorie G devront avoir été rénovés pour pouvoir être loués. Suivront ceux classés F, qui devront avoir été mis aux normes avant 2028. Mais l'évolution et les incertitudes autour du dispositif MaPrimRénov' inquiètent une partie des propriétaires.
C’est un défi immense. Il ne reste que 9 mois pour respecter le calendrier de la loi Climat en matière de rénovation énergétique, et tout ou presque reste a faire: au premier janvier 2025, près de 600.000 maisons d’appartements , classés en catégorie G, devront avoir été rénovés ou inscrits dans un programme prévisionnel de travaux. Les logements classés en catégorie F, a peine mieux isolés, mal chauffés, mal entretenus, devront avoir été mis aux normes avant 2028. Au total, si rien n’est fait, près de 5 millions de passoires thermiques pourraient sortir du parc privé. Interdits a la location, avec à la clé, une aggravation de la crise du logement.
Les propriétaires et copropriétaires, ont souvent repoussé les travaux à faire aux calendes grecques, Pour éviter d’avoir de trop gros montants à investir. Ils découvrent aujourd’hui une montagne de devis, un Everest de la rénovation. Le projet global, il est a 1 million 200 mille, pour moi 50.000 c’est énorme.
Avec l’évolution de MaPrimeRénov', les ménages vont sans doute être mieux armés, mieux aidés dans les années qui viennent, mais le gouvernement hésite encore. Après avoir pris la décision ambitieuse de privilégier les projets de rénovation globale des passoires thermiques, les dernières annonces de l'exécutif autorisent finalement les propriétaires de bâtiments mal isolés à ne changer que leur système de chauffage, pour remplacer par exemple une vieille chaudière au fioul, sans toucher au reste.
A ces incertitudes, a ces inquiétudes, s’ajoutent une myriade de cas particuliers. Bâtiments trop fragiles, trop anciens, classés au patrimoine, avec de gigantesques chantiers de rénovation -longs et couteux- et un seul arbitre, le DPE, le diagnostic de performance énergétique. C’est cet indicateur qui classe les logements de la lettre A à la lettre G en fonction de leur performances et les fait basculer -lorsqu’ils sont trop mal isolés ou consomment trop-, dans la catégorie des passoires thermiques. Pour faire le calcul, plus question de prendre en compte les factures de travaux réalisés par les propriétaires, le diagnostic repose désormais uniquement sur les caractéristiques techniques des bâtiments.
Passoires thermiques, le grand chantier de la rénovation, un reportage de Claire Chaudière
Prise de son: Romain Luquens et Raymond Albouy
Réalisation: Jérôme Chélius, assisté de Martine Meyssonnier
Mixage: Bruno Mourlan
Clés : Environnement Arts et Divertissement Développement durable Arts visuels Architecture Logement - Habitation Urbanisme
L'équipe Aurélien Colly Production
Depuis 2019, la coopérative Fréquence Commune accompagne les habitant.e.s, agent.e.s et élu.e.s qui réinventent la démocratie par le bas pour opérer une transformation écologique et sociale de notre société.
Ce que nous proposons
... accompagner les élus et habitants dans la transformation démocratique des communes ...
Nos activités
Nous sommes organisé‧e‧s en trois cercles d’actions :
- Accompagner Animations et formations de dynamiques participatives
- Mettre en Réseau Rencontres, partage d’expériences et apprentissages
- Raconter Documentation, recherche et communication
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Le réseau Actions Communes
Fréquence Commune a soutenu la naissance du réseau Actions Communes. Parce que l’action locale ne suffira pas à transformer la démocratie, la mise en réseau entre élus et habitants est fondamentale.
Ensemble, ils s’inspirent de leurs réussites et de leurs erreurs.
Nous travaillons à élargir ce réseau et ses actions pour prouver que fonctionner de manière démocratique est plus efficace, plus pérenne et plus impactant.
Ensemble nous préparons l’amplification de ce mouvement pour les Municipales 2026.
Les trois objectifs du réseau :
- Montrer qu’on peut décider autrement, faire ensemble, citoyen·nes et élu·es.
- Développer l’entraide entre communes participatives. Partager les expériences.
- Soutenir l’émergence de listes citoyennes et participatives aux élections municipales de 2026.
Ressources
... les contenus créés par la coopérative pour nourrir les élu·e·s et les habitant·e·s qui transforment la démocratie.
- Cartographie Carte des municipalités, collectifs et élu‧e‧s minoritaires qui réinventent la démocratie locale
- Lundis en Commun Rencontres en ligne mensuelles et thématiques pour les élu·e·s et habitant·e·s du réseau
- Blog Nos articles de terrain et de suivis des actions des collectifs et municipalités
- Documentaire Un film produit par Fréquence Commune sur la campagne des municipales de 2020 de la liste participative « Nous sommes » à Montpellier
16 435 Signatures
L'ÉTAT VEUT EXPULSER LES HABITANTS D'UNE MAISON AFIN D'EMPÊCHER UN PROJET DE FERME !
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notre ami, qui est le propriétaire de la maison, nous a laissés utiliser le bâtiment gratuitement, nous aidant même à payer quelques factures et une partie de la rénovation. Il est maintenant menacé par l'État de prison, d’endettement, et finalement de perdre sa maison. De plus, la personne qui vivait dans cette maison est expulsée sans préavis. Le préfet utilise ainsi une lois, qui est censée protéger la population, pour vider le territoire de ses opposants et punir les habitants qui s’écarteraient du droit chemin.
Nous avons besoin de votre soutien => cagnotte https://www.helloasso.com/associations/let-s-goat/collectes/defense-de-notre-maison
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Connu / TG le 23/09/23 à 16:34
Dans le cadre du Plan Régional Santé Environnement, l'Agglo et la Chambre d'Agriculture mènent une action de médiation afin de renouer le dialogue entre le monde agricole et ses habitants. Objectif : faciliter le dialogue entre riverains et agriculteurs sur les pratiques agricoles en campagne rochelaise, en réunissant toutes les parties prenantes (riverains, agriculteurs, élus, associations). Le Centre de médiation recherche des volontaires.
Le territoire de cette expérimentation est limité aux communes de Bourgneuf, Clavette, Montroy, Périgny et Saint-Rogatien.
La MAISON DE LA COMMUNICATION, en charge de la médiation, recherche donc des habitants volontaires (10 par commune) sur les 5 communes concernées. Il s'agira pour les personnes retenues de participer à un entretien préparatoire le 28 novembre 2022 et à une séance plénière en janvier 2023.
Vous êtes agricultrice ou agriculteur ? N'hésitez pas à vous rapprocher également de la MAISON DE LA COMMUNICATION si vous souhaitez participer à ce dialogue.
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Toutes les infos sont ici : maisondelacommunication.fr/mediation-projet i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?7876Gg
Si vous souhaitez participer, merci de vous inscrire par mail à l'adresse suivante : contact@maisondelacommunication.fr ou par téléphone au 05 17 81 04 18.
Contact Agglo La Rochelle 6, rue Saint-Michel 17000 La Rochelle - 05 46 30 34 00
Envoyer un courriel https://www.agglo-larochelle.fr/contacter-l-agglo
Connu / Mel de CD du 3/4/23
Qui sommes-nous ? Un environnement encourageant, apprenant et rassurant
Soutenir et accompagner
Tout savoir sur notre projet
L’ambition d’Archi Possible est de proposer aux familles et personnes qui souhaitent construire, modifier leur habitat, leur jardin de :
- Se mettre en lien entre-elles (pour échanger des astuces, des savoirs, des outils, du temps et plus si affinité !)
- Se former sur les chantiers des uns et des autres avec ou sans intervenants professionnels
- Bénéficier d’un accompagnement professionnel sur mesure et rassurant : notice de construction pour faire soi-même tout en étant encouragé et soutenu dans cette démarche
... structure coopérative visant à soutenir et accompagner les personnes, les familles, les groupes d’amis ou d’intérêt, dans leur projet de conception, construction ou de modification de leur habitat.
... leur propose de rejoindre une communauté encourageante et apprenante, de se former sur chantiers et d’utiliser des outils personnalisés pour accélérer leur projet.
... Selon la situation, l’accompagnement se situe "devant", "à côté" ou "derrière" l’autoconstructeur. C’est donc une histoire d’écoute, de tact et d’adaptation.
"Ne vous laissez pas enfermer dans des cases : réalisez le projet que vous désirez vraiment et faites-le de la manière qui vous convient. Soyez les maîtres de votre projet !", tel est le leitmotiv d’Archi Possible !
Archi Possible considère l’acte d'autoconstruire comme un chemin vers soi, une manière de s’autonomiser par le projet. ...faire émerger et développer la créativité des autoconstructeurs, leur permettre de s'autoriser à construire quelque chose de fou (s’ils le souhaitent !) et les pousser (en douceur !) à dépasser les présupposés et les assignations sur leur façon d'habiter la terre.
AUTRES
... coopérative qu'on a commencé à monter en 2016
HISTORIQUE
... né de belles rencontres, sur un projet de chantier participatif public, à Arpajon dans l’Essonne : la requalification des Ateliers du 29 rue Dauvilliers, au cours des années 2014-2015-2016.
Franck Mathieu, habitant et chargé du projet par la municipalité, Jean-Pierre Bocquel, entrepreneur-pédagogue-artisan-artiste ainsi qu'avec l'architecte missionné sur ce projet, ont pu mener un travail participatif de "programmation" avec les usagers du lieu, en coopération avec la mairie.
De ce long travail toujours en cours est née l’envie de créer une structure innovante permettant de développer des projets au sein desquels les habitants participeraient aux travaux et s'impliqueraient concrètement dans le devenir de lieux "habitables" et vivants.
Pour cela, nous créons une structure coopérative mettant autour de la table, avec leurs intérêts propres et à égalité, des autoconstructeurs, des professionnels du bâtiment (artisans, formateurs, architectes) et des collectivités.
De cette mise en commun d'intérêts, nous voulons faire éclore de nouvelles méthodes d’accompagnement à l'autoconstruction, de valorisation des savoir-faire des autoconstructeurs et réconcilier des milieux qui parfois ne se comprennent pas (par exemple ceux qui savent et ceux qui ne savent pas, les manuels et les intellos… ).
... développer progressivement sur le territoire national de petits groupes d’autoconstructeurs créatifs, de faire émerger des communautés apprenantes réunissant autoconstructeurs, professionnels du bâtiment et amis bienveillants… pour faire exister des chantiers qui n’émergeraient pas classiquement et les réussir pleinement. Mais aussi susciter de l’amitié, de l’entraide, de la joie, de l’art, de la vie, de l’intelligence, de la liberté et de nouvelles habitudes de construction.
Comment ça marche ?
3 Formules au choix
1 - Annuelle “Projet…de rêve ! / Super stage” ... accompagnement personnalisé ...
2 - Annuelle “simple”...
3 - “Pratique” ... accéder à un vrai chantier d’entraînement ...
Contact Archi Possible
84, Grande Rue 91290 Arpajon - Tél. : +33 (0)6 45 54 54 12 - Mail : contact@archipossible.fr
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Anthropologue, Philippe Descola, a consacré une partie de son travail à proposer de nouvelles façons d’habiter la Terre. En déconstruisant l’idée de « nature », il appelle à changer radicalement nos relations avec le monde vivant et les non-humains. Entretien.
Alternatives
Temps de lecture : 18 minutes #interviews #innovation politique #zad
basta! : Votre dernier livre, Ethnographies des mondes à venir, coécrit avec Alessandro Pignocchi, tout comme le documentaire dont vous êtes le sujet principal, Composer les mondes, d’Eliza Levy [1], tissent tous deux un parallèle entre ce que vous avez pu observer chez les Achuar en Amazonie, puis sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes.
Philippe Descola : Un même mouvement de refus de l’appropriation privative des communs, qui participe aussi d’une autre façon de s’attacher à son territoire. Dans leurs luttes contre la spoliation territoriale, les populations autochtones s’efforcent toujours de mettre en évidence que les territoires qu’elles habitent ne sont pas simplement des « gagne-pain »
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Vous dites que les zadistes expérimentent une « cosmopolitique inédite »...
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les non-humains font désormais partie du régime politique : ils ont un rôle à jouer dans la vie collective et dans les institutions, en tout cas il convient d’aménager celles-ci pour que les non-humains puissent y prendre toute leur part.
« Il convient d’aménager la vie collective et les institutions pour que les non-humains puissent y prendre toute leur part »
Et c’est inédit parce que ce registre d’attention là n’avait rien de spontané, au vu de l’origine urbaine de beaucoup d’occupants de la ZAD. D’ailleurs, au départ, le principe d’identification qui concourt à la défense du lieu résultait sans doute bien plus de l’opposition à un adversaire commun – un grand projet d’aéroport, inutile et coûteux. Mais cela ne suffit pas pour s’attacher à un lieu. Les zadistes ont appris à s’identifier progressivement à des plantes, à des animaux, au bocage et à tout un milieu de vie. Ils ont appris à reconnaître son caractère distinctif, à découvrir les singularités propres des plantes et des animaux qu’ils côtoient au quotidien. Et je trouve cet apprentissage particulièrement intéressant, car il signifie qu’il n’y a pas d’inéluctabilité à la séparation des humains avec le vivant dans ce que j’appelle le « naturalisme ».
... l’une des quatre « ontologies », c’est-à-dire l’une des quatre grandes façons d’être au monde, que vous identifiez dans votre ouvrage de référence, Par-delà nature et culture [2]. À la différence de l’animisme, du totémisme ou de l’analogisme, le naturalisme stipule une parfaite dichotomie entre nature et culture.
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a rendu possible ce mouvement de privatisation des « communs » – c’est-à-dire tous ces éléments non humains partagés par des groupes d’humains : l’eau, les forêts, les pâtures, mais aussi le savoir, par exemple – en les transformant en « ressources ». Celles-là mêmes qui ont ensuite permis, d’abord par la politique d’exploitation du travail et des matières premières dans les colonies, puis par le développement de la révolution industrielle qui en a découlé, une accumulation sans précédent de capital, avec toutes les conséquences écologiques et sociales que l’on connaît aujourd’hui. Autrement dit, par la tournure de pensée qu’il a induite chez les Européens à partir du 17e siècle et qui s’est ensuite accéléré et répandu à travers le monde, le naturalisme a été la condition de possibilité du capitalisme, son soubassement.
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l’État chinois participe complètement à la grande bataille productiviste, basée sur cette idée démiurgique de contrôle et de transformation des ressources…
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le concept d’anthropocène me paraît mal nommé, et qu’un terme comme « capitalocène » serait bien plus juste : c’est bien une petite proportion de l’humanité qui, par sa gloutonnerie, a mis la totalité des humains dans une position terrible, en remettant en cause les possibilités de l’habitabilité sur Terre.
En quoi la relation des Achuar à leur environnement est-elle donc si différente ?
... une « continuité des intériorités » : les capacités morales et cognitives ne sont pas réservées aux groupes humains, les Achuar décèlent également une subjectivité, et des intentions, chez les non-humains ... n’ont pas de terme pour désigner la nature
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L’anthropologie permet de « dés-eurocentrer » le regard, et en l’occurrence, cela m’a aussi appris à « dés-anthropocentrer » les concepts que j’utilisais.
Après tout, les sciences sociales sont des héritières directes de la philosophie des Lumières, et si tout le monde utilise à présent les concepts de « nature », de « culture », de « société », il ne faut jamais oublier qu’ils ont une histoire tout à fait singulière, qui nous est propre, en Europe. L’anthropologie invite à remettre en question toutes ces notions et à en proposer d’autres.
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l’anthropologie donne à voir des peuples contemporains qui nous offrent d’autres choix collectifs. C’est un tremplin pour imaginer d’autres futurs possibles.
... déconstruction ?
... principale qualité de l’ethnographe, c’est l’humilité ... L’anthropologue est entre deux mondes, il doit abandonner en partie celui dont il vient, sans être jamais entièrement dans celui qui l’accueille. Et c’est parce qu’il a cette distance qu’il peut être efficace, en faisant ainsi varier les paramètres de son propre monde à partir des paramètres du monde où il a choisi d’élire domicile.
Est-ce cela qui vous a conduit à vous éloigner progressivement du marxisme, dont vous avez été un compagnon de route pendant longtemps ?
... double imposture qu’a bien mis en évidence Pierre Charbonnier dans son livre Abondance et liberté ... Marx l’avait vu également d’une certaine façon, à travers la théorie du *fétichisme de la marchandise
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déconstruire le dualisme nature-culture n’offre pas beaucoup de prises concrètes, face à l’urgence de la crise écologique et l’ampleur des dégâts, voire que cela contribuerait à dépolitiser le sujet. Et que, si l’on considère le capitalisme comme le premier facteur responsable de la crise écologique, alors c’est à lui qu’il faut s’attaquer en priorité. C’est en substance ce que défend par exemple un penseur comme Frédéric Lordon [3]. Que répondez-vous à cela ?
Qu’il faut, bien évidemment, lutter contre les institutions qui propagent et rendent possibles l’accumulation capitaliste, ça va de soi. Je n’ai jamais caché mes opinions là-dessus. Mais qu’est-ce que ça veut dire, aujourd’hui, être anticapitaliste ? Quelle forme ça prend ? Est-ce que c’est le « Grand Soir », est-ce qu’on compte faire la Révolution et pendre tous les patrons au réverbère ? Il y a une erreur profonde sur l’état de la situation historique, qui ne s’y prête pas. C’était déjà le cas quand j’étais militant à la Ligue communiste révolutionnaire (ancêtre du NPA, ndlr) dans ma jeunesse, et c’est précisément la raison pour laquelle j’en suis parti. Notre espoir, complètement fou, c’était de devenir l’avant-garde du prolétariat, mais on ne s’était pas rendu compte que le prolétariat, tel qu’on le concevait, était en train de disparaître puisque la classe ouvrière elle-même était en train de disparaître…
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tout faire en même temps, à la fois se battre contre les institutions du capitalisme, mais aussi produire des alternatives concrètes
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La ZAD porte un projet de vie communal, dans lequel les terres, comme le travail, sont en commun ... forme d’entraide, de solidarité. Dans lequel les décisions politiques, c’est-à-dire celles qui concernent la vie collective, sont prises par discussion – c’est donc une démocratie participative plutôt que représentative. Ce qui est à la fois extraordinaire, avec un fort effet d’exemplarité, mais aussi très coûteux, puisque cela exige de rechercher et obtenir en permanence le consensus. Et de ce point de vue là aussi, on devine que cela peut être très inquiétant pour des politiciens qui considèrent qu’une fois que le citoyen a mis son bulletin de vote, il n’a plus le droit à la parole !
Au fond, la ZAD propose un récit alternatif qui est porteur d’enthousiasme. Ce n’est pas pour rien qu’il s’en crée un peu partout : contre les retenues d’eau pour la neige artificielle comme à La Clusaz, contre les mégabassines dans l’agriculture, contre des projets d’aménagement urbain, comme aux Lentillères à Dijon… C’est une forme d’occupation du territoire qui fait tache d’huile. Au début, c’est toujours une mobilisation contre un projet, et ensuite, cette mobilisation se stabilise en un mode de vie particulier. Cela m’a beaucoup frappé lorsque j’y étais, en juillet dernier, pour le festival « Zadenvies » : tous ces jeunes sont là en quête d’une altérité possible, d’une autre façon de voir et d’être ensemble. C’est ce qui est passionnant, ces modes d’action engendrent des modes de vie. Et de la joie, aussi, il faut voir l’enthousiasme à partager ces luttes. Tant mieux, car le militantisme ne doit pas être une martyrologie !
Ce 19 novembre, Barnabé Binctin anime une rencontre avec Philippe Descola lors du Festival du livre et de la presse d’écologie (Felipé), après la projection du documentaire Composer les mondes, d’Eliza Levy (horaires : 12h15 - 14h10).
[1] Pour la diffusion en salles et sur plateformes voir ici.
[2] Gallimard, 2005 ; réédition coll. « Folio essais », 2015.
[3] Dans un billet intitulé « Pleurnicher le vivant », qui s’en prend notamment à Bruno Latour (voir sa réponse dans nos colonnes) et à la nouvelle école de pensée qui lui est associée, Frédéric Lordon estimait par exemple que « se retrouver propulsé dans la position très politique de "la pensée-à-la-hauteur-du-péril" sans jamais prononcer la seule parole politique à la hauteur du péril, sans jamais dire que la Terre est détruite par les capitalistes, et que si nous voulons sauver les humains de l’inhabitabilité terrestre, il faut en finir avec le capitalisme, c’est un exploit ». Lire le texte complet sur Le Monde diplomatique.
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Construction Temps de lecture : 7 minutes 2 commentaires
Clés : #habitat écolo-social #logement
Construire en béton émet beaucoup de CO2 et produit des déchets. Pas la construction en terre. Écologique, ce matériau est aussi disponible partout. Des maçons et des architectes se réapproprient cette technique d’avenir.
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Construire en terre coûte plus cher, car il faut plus de temps et donc plus de main-d’œuvre qu’avec des parpaings de bétons industriels. Selon l’architecte, le coût de la main-d’œuvre représente 70 % du prix d’un bâtiment en terre contre 10 % pour un bâtiment conventionnel. . « La construction en terre coûte cher parce que nous sommes dans une société qui taxe très fort la main-d’œuvre et pas du tout l’énergie », abonde Erwan Hamard. « Ce qu’on oublie souvent, c’est que le béton est peu coûteux parce que le pétrole coûte très peu cher », ajoute Vincent Rigassi.
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quels matériaux sont disponibles localement », estime le chercheur Erwan Hamard. Bauge, torchis, pisé, adobe, chaque territoire a développé ses techniques de construction, adaptées aux conditions et spécificités locales. « Il faut partir des techniques préindustrielles puisqu’elles ont déjà prouvé leur efficacité, pour inventer le postindustriel, estime le maçon Nicolas Meunier. Il ne s’agit pas de vivre avec le mode de vie du 19e siècle, mais d’adapter ces techniques aux besoins de la société actuelle. »
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des chantiers participatifs se développent partout en France et remettent l’entraide au cœur de la construction.
Photo de une : © RA2
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Aménagement du territoire
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LuluBerlu / AdobeStock
L’Association des directeurs généraux des communautés de France veut couper « le robinet du pavillonnaire ». Les intercommunalités sont, à ses yeux, les mieux armées pour mener la transition écologique. Un plaidoyer qui s’accompagne de l’élection au suffrage universel direct sans fléchage des conseillers communautaires et de la dévitalisation de l’actuelle institution départementale. Disruptif.
Clés : Intercommunalité ; Urbanisme - aménagement
La plateforme programmatique tombe à pic, au moment où s’ouvre la nouvelle mandature parlementaire. Les propositions pour un nouveau modèle d’action publique territoriale de l’Association des directeurs généraux des communautés de France seront d’ailleurs détaillées ce 7 juillet au lendemain du discours de politique générale d’’Elisabeth Borne.
A l’occasion de ses universités d’été, les 6 et 7 juillet à Deauville, le cercle de territoriaux présidé par Yvonic Ramis fera de la lutte contre l’étalement urbain son cheval de bataille. « Depuis 1981, l’artificialisation des sols de notre pays a augmenté de 70 %. Dans le même temps, la population a cru de 70 % » : c’est, à partir de ce « constat implacable » que l’ADGCF poursuit « un objectif prioritaire » : « fermer le robinet du ...
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sujet brûlant de la propriété, l'accaparement, l'habitat...
En prolongement de notre rencontre sur les écolieux et de l'interrogation de savoir s'ils sont de possibles espaces pour l'Adaptation radicale et à quelles conditions, voici un MOOC développé en financement participatif par l'association des Hameaux Légers, pour explorer les...
... dans le cadre du Plan de transformation de l’économie française (PTEF) ... présente les principaux enjeux énergétiques et climatiques auxquels est confronté le secteur aujourd’hui ainsi que les leviers de décarbonation à actionner dès 2022. Il dessine également les contours de nos logements après transformation : ils seront plus sains et ne consommeront plus d’énergie fossile, tandis que la précarité énergétique aura considérablement reculé.
Comment accélérer le rythme des rénovations dans les décennies à venir ? Quels sont les volumes souhaitables en termes de constructions neuves ? Sur quelles sources d’énergie pourront-nous compter pour chauffer ou rafraîchir nos logements face à un climat de plus en plus incertain ? C’est précisément l’objet de ce rapport, et de ce webinaire.
... visio-conférence disponible à https://www.youtube.com/watch?v=bLGonB5PJe8
Ndlr :
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Pour de nombreuses personnes, la crise sanitaire a renforcé le sentiment que notre modèle devrait changer en profondeur, afin de préserver le climat et notre avenir.
Depuis le premier confinement, nous sommes de plus en plus nombreux à nous questionner sur le futur et sur notre façon de consommer. La situation que nous vivons cette année et l'expérience du confinement nous poussent à prendre du recul sur notre société, nos modes de vies et nos priorités.
Dans cette série "Science et Fictions", animée par Cyrus North, nous vous proposons un dialogue entre un expert (architecte, anthropologue, agronome) et un autre intervenant du monde de la création (autrice, poétesse, chef) sur 3 problématiques : l’habitat, le voyage et l'alimentation de demain. Cyrus North les pousse à imaginer à quoi pourrait ressembler un futur plus écologique, en se basant sur le réel - l'état des connaissances - tout en laissant libre court à l'imagination, la fiction ou la création.
Episode 1 : "Habiter demain"
Intervenants : Antonin Yuji Maeno, architecte et fondateur de l’agence Cutwork et de Catherine Dufour, autrice de science-fiction, membre du collectif Zanzibar.
Crédits
— Agence : 84.Paris
— Directeurs de la Création : Olivier Bienaimé, Hervé Bienaimé
— Planning Stratégique : Charlotte Faure
— Direction Artistique : Basile Protat
— Conception Rédaction : Emile D’Orsay
— Responsables agence : Arnaud Depaul, Gwenaëlle Legallais
— Studio de Production 84•Paris : Antoine Arnoux
— Producteur agence : Michaël Ligier
À propos de nous
Greenpeace est une organisation internationale qui agit selon les principes de non-violence pour protéger l’environnement et la biodiversité et promouvoir la paix. Elle est indépendante de tout pouvoir économique et politique et s’appuie sur un mouvement de citoyennes et citoyens engagés pour construire un monde durable et équitable.
4 commentaires
Tr.: ... culture interstitielle d'Alain Damasio, développer des liens ...
Connue / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?RxIcQA
"HABITATS INTERCALAIRES : SUIVEZ LE GUIDE ! CONSEILS ET PRATIQUES INSPIRANTES"
Ce guide est donc destiné à tous les acteurs qui peuvent s'impliquer dans des projets d'habitats intercalaires :
- Aux dirigeants, directeurs territoriaux ou d'agence, et à toute personne pouvant être prescriptrice ou actrice d'opérations d'habitats intercalaires au sein d'organismes HLM ;
- Aux dirigeants d'associations gestionnaires d'hébergement et de logement temporaire type Intermédiation Locative, directeurs d'établissements, intervenants en Maîtrise d'Ouvrage d'Insertion ;
- Aux élus et services des collectivités territoriales ;
- Aux aménageurs.
Vous trouverez dans ce guide des repères techniques et des clés de réussite pour monter des projets d'habitats intercalaires, des conseils à chaque étape ainsi que des illustrations et des témoignages d'acteurs impliqués.
Il s'accompagne également de 8 fiches présentant des expériences d'actions concrètes menées par des bailleurs sociaux et associations adhérents de l'AFFIL. Elles vous permettront d'identifier précisément la construction des projets, leurs impacts et les apprentissages qui ont pu en être tirés.
Nos films sur l'habitat intercalaire
"HABITATS INTERCALAIRES : USAGES ET ATOUTS" Réalisation : Les films de l'Arpenteur 5'43'' Juin 2019
Avec, par ordre d'apparition, les témoignages de :
- Bruno Morel, Président de l'AFFIL et Directeur Général Emmaüs Solidarité
- Pascal Van Laethem, Vice-Président de l'AFFIL et Directeur Général France Habitation
- Marc Nicoladze, Responsable de projets EPFIF
- Olga La Rana, Directrice développement immobilier Batigère
- Mohamed Boukayouh, Directeur Général Adjoint AMLI
- Cécile Mage, Directrice Générale Adjointe Seine-Saint-Denis Habitat
- Laurent Baron, Maire du Pré-Saint-Gervais
- Estelle Espanol, Cheffe de service du CHU Pré-Saint-Gervais, SOS Solidarités
"HABITATS INTERCALAIRES : MODE D'EMPLOI
Réalisation : Les films de l'Arpenteur 5'31'' Juin 2019
Avec, par ordre d'apparition, les témoignages de :
- Florent Grostefan, Directeur territorial ICF la Sablière
- Morad Fennas, Directeur d'activités Association Aurore
- Christophe Filoche, Directeur des solidarités à la Mairie de Chelles
Connu / mel Sujet : [echanges] Fwd: [Aitec-urbain] Habitat intercalaire
Date : Thu, 29 Oct 2020 11:19:21 +0100 De : Frédéric Sultan
Les Petites Pierres, un écosystème collaboratif
Notre ambition
Créer en novembre 2013, la plateforme des Petites Pierres a vocation à soutenir financièrement et opérationnellement des projets d’habitat solidaire en France. Grâce au financement participatif, nous accompagnons les associations vers la réalisation de leurs projets et nous les renforçons en les rendant plus visibles et plus performantes via l’utilisation du numérique.
Le mal-logement
En 2017, 4 millions de personnes sont considérées comme mal-logées et 12 millions de personnes touchées de près ou de loin par la crise du logement.
Pourquoi choisir Les Petites Pierres ?
La première plateforme de crowdfunding solidaire dédiée à l'habitat
Vous cherchez des fonds pour financer votre projet associatif d’habitat solidaire ?
Les Petites Pierres est la première plateforme de crowdfunding solidaire dédiée au mal-logement. Notre plateforme se positionne comme un facilitateur et un accélérateur de projets. Une expérience qui va bien au-delà du financement et qui vous renforce grâce à son accompagnement et ses outils performants. Vivez une aventure enrichissante !
L ‘équipe
La force des Petites Pierres ne serait rien sans son équipe dédiée, qui grâce à son engagement, sa passion et une combinaison d’expertises, vous accompagne dans chacun de vos projets .
Étienne Bourgeois, Directeur
Marie Roy Triniac, Chargée de sourcing et accompagnement
Solène Jacquart, Chef de projet digital et crowdfunding
Un.e alternant.e, Chargé.e d’accompagnement, Il/elle vous emmène au sommet !
Un.e stagiaire, Chargé.e de sourcing, Il/elle déniche les plus beaux projets
Les Membres
Les Petites Pierres c’est aussi un collectif de mécènes engagés qui abondent les dons de vos campagnes et participent à la gouvernance de la plateforme dans une logique d’amélioration continue de votre expérience.
logo_fondation_somfy - logo_fondation_schneider_electric - logo_fondation_btp_plus - logo_fondation_valfidus*
Le comité de vérification
...est le garant du bon fonctionnement de la plateforme et de la réussite de vos projets. Formé des représentants de chaque membre, il statue sur l’éligibilité de votre projet en accord avec les critères définis.
Lucile Peignot, Déléguée Générale de la Fondation Somfy
Patricia Benchenna, Directrice corporate philantropie Schneider Electric
Muriel Sanchez, Déléguée générale de la fondation BTP PLUS
Léa Sibertin-Blanc, Représentante Valfidus
Le conseil d’administration
C’est empreint de bienveillance et d’énergie que nos 12 administrateurs valident les grandes directions et évolutions de la plateforme Ils sont les représentants de nos membres, mais aussi des experts de la société civile au service de l'habitat solidaire.
Jean-Guillaume Despature, Président, Président de la Fondation Somfy & Président du directoire du groupe Somfy
Anne-France Dufour, Trésorière, Subject Matter Expert
Patricia Benchenna, Secrétaire, Directrice corporate philantropie Schneider Electric
Paul Alègre, Représentant citoyen, Responsable développement et partenariats chez Article 1 Auvergne Rhône Alpes
Gilles Vermot Desroches, Muriel Sanchez, Déléguée générale de la fondation BTP PLUS
Victor Vidal-Revel, Représentant Valfidus
Elisa Vidal-Revel, Représentante Valfidus
Arnaud Mourot; Vice-Président Ashoka
Marc Uhry, Conseiller en transformation des politiques de l’habitat
Notre parrain
présent depuis le départ dans l’aventure des Petites Pierres, c’est aussi grâce à ses généreux partages que le grand public nous connaît. Martin Fourcade, Ambassadeur des Petites Pierres
Nos partenaires logo_fondation_qualitel - logo_DIGITESS_AG2R_Simplon - logo-credit-agricole-des-savoie - logo_fondation_AFNIC sous l'égide de Fondation de France
Connu / https://www.franceinter.fr/emissions/carnets-de-campagne/carnets-de-campagne-21-octobre-2020
*Ndlr :" quelles garanties données pour que les projets financés ne servent pas de faire-valoir des groupes membres ? De plus, ne sont-ils pas juges et parties ? ACT
- la charte qui repose essentiellement sur la rse est peu convaincante https://www.lespetitespierres.org/charte-ethique
- évacation d'une "aventure" (rejoint le fun de l'entrepreneuriat), marqueur néolibéral
- /mal-logement, pas d'analyse des causes ! de manière cynique, on peut dire que plus ya du mal logement, plus on a besoin d'eux ?
le camping étant considéré comme un habitat non conforme ?! N'est-ce pas un jugement de valeur ?
Dans le parc naturel des monts d’Ardèche, la construction d’une église de 4.000 places pour une congrégation laisse pantois. Sans que personne n’ait été consulté, l’État a donné sa bénédiction pour artificialiser les sols et détruire la biodiversité. Les opposants à ce projet tentent le tout pour le tout.
Saint-Pierre-de-Colombier (Ardèche), reportage
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la commune fait partie du Parc naturel régional (PNR) des Monts d’Ardèche. « On a découvert le projet au printemps 2019 via des habitants », dit la présidente du parc, Lorraine Chenot. « Le permis de construire a été délivré sans nous consulter. Ni la commune, ni la communauté de communes, ni l’État n’ont respecté la charte du parc. »
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En 2001 déjà, le journal Libération avait estimé que la communauté religieuse avait fait basculer le scrutin à Saint-Pierre de Colombier. C’était, à l’époque, la première élection remportée par Gérard Fargier. Depuis, le même scénario s’est reproduit à chaque élection et il n’a jamais quitté le fauteuil de maire.
Cette année pourtant, l’association Pour l’Avenir de la Vallée de la Bourges a tenté de résister. Elle a contesté en justice 98 noms inscrits sur les listes, tous membres de la congrégation de la Famille missionnaire Notre-Dame.
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le cours d’eau est un habitat sensible pour plusieurs espèces : l’écrevisse à pattes blanches, la loutre d’Europe, le sonneur à ventre jaune, entre autres.
Connu / https://twitter.com/Enercoop_SCIC/status/1257274524019679233
Mobicoop - Le covoiturage libre a aimé
Enercoop @Enercoop_SCIC · 11h
Fin des véhicules à essence, autonomie énergétique, centrale solaire géante, stations-service solaires et habitat écolo : quels autres projets ont émergé depuis ? Voici neuf raisons d’avoir confiance en l’avenir.
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