À Lyon, le massacre social en marche - 11 décembre 2020 - 16H30 / Par Marine Manastireanu | Le Média
Les reportages
En France, 528 plans sociaux ont été initiés depuis le 1er mars 2020, contre 295 pour la même période de 2019. Dans la métropole de Lyon, l’une des agglomérations les plus dynamiques de France, le nombre de bénéficiaires au RSA a augmenté de 9,5% depuis Janvier 2020.
Lundi matin 8h, ce 23 Novembre, les salariés de General Electric du site de Villeurbanne, commune limitrophe de Lyon, ont commencé une grève illimitée.
La direction a annoncé un nouveau plan social concernant plus de 600 postes en France, dont 285 dans l’agglomération lyonnaise, faisant partie d’un vaste plan de restructuration et de délocalisation. Des conséquences désastreuses pour les salariés concernés mais aussi pour l’activité économique du bassin lyonnais. Serge Paolozzi, délégué syndical CGT, estime que plus d’un millier d’emplois seraient menacés, en répercussion aux 285 licenciements chez General Electric.
Pourtant le groupe américain avait fait une promesse de création de plus de 1000 emplois en 2015, lors du rachat du groupe français Alstom. Résultat en 2020 … ce sont 3000 postes supprimés sur le territoire Français.
Une vente controversée autorisée par le ministre de l’économie de l’époque, Emmanuel Macron, sous fonds de soupçons de corruption, détaillés dans cet article de Mediapart : https://www.mediapart.fr/journal/france/200418/les-non-dits-d-emmanuel-macron-dans-l-affaire-alstom
Aujourd’hui, les conséquences ne sont pas juste sociales, c’est tout un fleuron de l’industrie énergétique française démantelée, qui part petit à petit à l’étranger. Constructeur historique de disjoncteurs haute tension, engagé dans la recherche et développement d’énergie renouvelable, le site de Villeurbanne est un symbole du leadership énergétique français. “Ce sont environ 200 millions sur cinq ans de fonds publics, CICE (crédit d'impôt pour la compétitivité et l’emploi) et CIR (crédit d’impôt recherche) que le groupe a touchés. De l’argent public qui a financé la recherche sur des produits en énergie renouvelable que le groupe abandonne aujourd’hui, ou délocalise, tout en virant les salariés”, assène Serge Paolozzi au gérant de la restructuration de General Electric, Alexis Martinez.
Des fonds publics qui seraient pourtant bien utiles tant la situation économique est critique. Car aux plans sociaux prévus avant la crise comme celui de General Electric, s’ajoutent les autres. Dans la région lyonnaise, ce sont déjà une quinzaine de plans sociaux qui ont été annoncés. Mathieu Périsse, journaliste à Médiacités, les a répertoriés et documentés sur une carte interactive.
General Electric donc, mais aussi Renault Trucks avec 323 salariés concernés, et plus étonnant, Auchan, qui a pourtant réalisé un bénéfice de 1,2 milliard d’euros au premier semestre 2020. Si ces plans sociaux sont conséquents, ils ne seraient en fait que la partie émergée de l’iceberg : “On assiste à une vague de petits licenciements, individuels ou des licenciements économiques de 9 personnes, qui ne franchit pas la barre des 10 pour éviter la mise en place d’un PSE, plan de sauvegarde de l’emploi, une véritable vague silencieuse mais conséquente”, explique Mathieu. Florent en fait partie. Développeur de logiciels à ESI, un groupe informatique, il a été informé de son licenciement avec 8 autres collègues le 5 Octobre dernier. 9 salariés concernés et pas un de plus. Un plan social sciemment évité d’après Florent : “Une salariée en congés maternité est aussi concernée, c’est complètement illégal, mais ils s’en foutent, ils passent sous les radars de l’administration du travail qui est débordée”. Et pourtant son entreprise a eu accès à des aides, dont des prêts garantis par l’Etat “à hauteur de 13,75 millions d’euros” indique le syndicat Solidaires.
Entre opportunisme de certaines entreprises et réelles difficultés pour d’autres, ce sont les salariés qui récupèrent les pots cassés, mais aussi les petits patrons. Car au-delà des plans sociaux annoncés dans l’agglomération, l Les non-dits d’Emmanuel Macron dans l’affaire Alstom C’était un rapport qui devait rester inconnu du grand public, avant que la commission d’enquête parlementaire sur Alstom ne découvre son existence. Grand Lyon estime à environ 6500 commerces impactés par la crise sanitaire, représentant environ 30 000 emplois. Valentin en fait partie, il a ouvert son bistrot il y a deux ans avec une amie. Au cœur de Villeurbanne, il propose des plats faits à partir de produits locaux et emploie 4 salariés. Il ne cache pas son inquiétude face à une potentielle faillite. “On faisait environ 35 mille euros par mois de chiffre d'affaires, on est tombé à zéro. Aujourd’hui en ouvrant à emporter on fait 12 mille euros par mois, trois fois moins avec autant de salariés qu’avant ..”.
Chômage partiel, prêt garanti par l’Etat et exonération d’un mois de loyer, Valentin a pu bénéficier de quelques aides mais pas assez pour le moment pour sortir la tête de l’eau. Pourtant depuis le début de la crise, ce sont 31 milliards de chômage partiel, 120 milliards de prêt garanti et 76 milliards de report d’impôts et de cotisations qui ont été déboursés par l’Etat. Encore faut-il que ces aides garantissent l’emploi et non les bénéfices de certaines entreprises.
Clés : Justice ; Politique
Macron / Kohler : la justice aux ordres du pouvoir
Une fois encore, nos confrères de Médiapart ont fait mouche. Mardi, le site d’investigation a révélé qu’Emmanuel Macron était intervenu, en juillet 2019, pour faire cesser l’enquête que menait le Parquet national financier sur un de ses collaborateurs.
Ce collaborateur, c’est Alexis Kohler, le secrétaire général de l'Élysée. Un des quatre hommes qui dirige le pays. Les trois autres étant le Président, le Premier ministre et le directeur de cabinet de ce dernier.
Alexis Kohler est soupçonné de conflits d'intérêts en raison de ses liens avec l'armateur italo-suisse MSC. Ce groupe est en effet dirigé par des cousins de sa mère.
En 2010 et 2011, alors qu’il siégeait en tant que représentant de l’État au Conseil de surveillance du Grand port maritime du Havre, Alexis Kohler a approuvé des contrats avec MSC.
En juin 2018, le Parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire pour conflit d’intérêts et prise illégale d’intérêts.
La suite, c’est Ugo Bernalicis qui la raconte. Le député de la France insoumise interpelle la Garde des sceaux lors des questions au gouvernement. Et rappelle la chronologie ahurissante de l’année 2019 :
« Le 30 juin dernier, Éliane Houlette, procureure nationale financière, part à la retraite. Le 1er juillet, Muriel Fusina est désignée par la procureure générale, madame Champrenault, contre l’avis de madame Houlette pour faire son intérim. Contre l’avis de madame Houlette. C’est la même madame Champrenot qui est mise en cause dans le cadre de l’affaire Fillon pour les pressions hiérarchiques qu’elle a fait subir à Eliane Houlette.Le même 1er juillet, Emmanuel Macron joint au dossier Alexis Kohler une lettre manuscrite de sa part visant à absoudre monsieur Kohler des chefs d’inculpation dont il faisait l’objet dans le dossier MSC. Le 18 juillet, le procès verbal des policiers, le PV de synthèse est modifié en conséquence, et le 21 août alors que nous sommes toujours dans la période d’intérim du Parquet national financier, il y a un classement sans suite alors qu’il n’y a pas d’urgence dans cette affaire et que le nouveau procureur n’est pas nommé.Madame la garde des Sceaux, madame la ministre, du fait des remontées d’informations dans les affaires sensibles,étiez-vous au courant de cela ? Etiez-vous au courant que le président de la République, censé être garant del’indépendance de l’autorité judiciaire au titre de l’article 64 de la Constitution, était intervenu directement dans un dossier individuel. Etes-vous prête à ouvrir une enquête de l’inspection générale de la justice ? »
141252 assinaturas
A campanha #ForaGarimpoForaCovid conta com o apoio da Articulação dos Povos Indigenas do Brasil (APIB), Coordenação das Organizações Indígenas da Amazônia Brasileira (COIAB), Instituto Socioambiental (ISA), Survival International, Greenpeace Brasil, Conectas Direitos Humanos, Anistia International, Rede de Cooperação Amazônica (RCA), Instituto Igarapé, Fundação Rainforest Noruega.
Connue / https://twitter.com/survivalfr/status/1268169436667789312
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Survivalfr @survivalfr · 15h
Ces images prises par @Hutukara montrent l'exploitation illégale de l'or dans le territoire yanomami. Cela détruit l'Amazonie, pollue les rivières et propage le #Covid19 qui pourrait décimer le peuple.
Signez leur pétition maintenant. #ForaGarimpoForaCovid - 0 - 8 - 8
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Dans le parc naturel des monts d’Ardèche, la construction d’une église de 4.000 places pour une congrégation laisse pantois. Sans que personne n’ait été consulté, l’État a donné sa bénédiction pour artificialiser les sols et détruire la biodiversité. Les opposants à ce projet tentent le tout pour le tout.
Saint-Pierre-de-Colombier (Ardèche), reportage
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la commune fait partie du Parc naturel régional (PNR) des Monts d’Ardèche. « On a découvert le projet au printemps 2019 via des habitants », dit la présidente du parc, Lorraine Chenot. « Le permis de construire a été délivré sans nous consulter. Ni la commune, ni la communauté de communes, ni l’État n’ont respecté la charte du parc. »
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En 2001 déjà, le journal Libération avait estimé que la communauté religieuse avait fait basculer le scrutin à Saint-Pierre de Colombier. C’était, à l’époque, la première élection remportée par Gérard Fargier. Depuis, le même scénario s’est reproduit à chaque élection et il n’a jamais quitté le fauteuil de maire.
Cette année pourtant, l’association Pour l’Avenir de la Vallée de la Bourges a tenté de résister. Elle a contesté en justice 98 noms inscrits sur les listes, tous membres de la congrégation de la Famille missionnaire Notre-Dame.
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le cours d’eau est un habitat sensible pour plusieurs espèces : l’écrevisse à pattes blanches, la loutre d’Europe, le sonneur à ventre jaune, entre autres.
392 commentaires
Mediapart s’est procuré plusieurs notes de la gendarmerie nationale et de CRS qui remettent en question la légalité des ordres donnés par le préfet de police de Paris. « Des pratiques contraires à la législation ainsi qu’à la réglementation » et « des emplois disproportionnés de la force » y sont pointés.
Bien que vivement critiqué, le préfet de police de Paris Didier Lallement continue de bénéficier du soutien du ministre de l'intérieur Christophe Castaner qui affirmait le 19 février : « Il n’y a pas de problème Lallement. » ...
L’annonce du plan de « paix » de l’administration Trump, réalisée le 28 janvier 2020, constitue en réalité une feuille de route vers l’occupation permanente. Elle intervient dans un contexte de violences régulières à Gaza dans le cadre d’un blocus illégal depuis plus de 12 ans et le développement des colonies israéliennes en Cisjordanie. L’horizon du processus de paix israélo-palestinien plus d’un quart de siècle après la signature des accords d’Oslo semble pour le moins bouché. Plutôt qu’une reprise des négociations, Oxfam craint que les annonces et initiatives américaines récentes ne provoquent une escalade de la violence et appelle à élargir le dialogue, notamment avec les sociétés civiles de la région, afin de poser les bases d’une paix juste et durable.
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Les populations israéliennes et palestiniennes méritent de vivre dans la dignité, sans craindre la violence ou l’oppression. Oxfam appelle la communauté internationale à ne pas laisser se reproduire un demi-siècle de violence, d’instabilité et d’incertitude.
Connu / https://framasphere.org/posts/8631374
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Claude - il y a environ 2 heures / Fenyx - il y a environ 5 heures
Le HFC-23 devrait disparaître de l’atmosphère. Sa concentration ne cesse au contraire d’augmenter.
Au lieu d’une baisse, un record d’émissions de HFC-23
Connaissez-vous le trifluorométhane, ou HFC-23 ? Ce gaz provient de la production de réfrigérant pour les réfrigérateurs et les climatiseurs. Officiellement reconnu comme gaz néfaste, il devait paradoxalement remplacer d’autres aérosols jugés dangereux pour l’environnement et la couche d’ozone : les CFC ou chlorofluorocarbures.
Hélas, ce gaz s’est révélé tout aussi nocif : son impact sur le changement climatique est estimé comme étant 12.000 fois supérieur par tranche d’une tonne à celui du dioxyde de carbone. La réduction des gaz à effets de serre aurait dû entraîner sa disparition, les prévisions tablant sur une baisse de 87 % depuis 2015. Pourtant, au lieu d’une baisse, c’est un nouveau record qui a été constaté, comme le souligne le dernier rapport de Nature Communications. Elles n’ont jamais été plus hautes qu’en 2018.
Des émissions sauvages en Inde et en Chine
Selon cette étude, cette augmentation historique de ces émissions de trifluorométhane provient tout particulièrement de la Chine et de l’Inde. Ces deux pays avaient pourtant affirmé avoir procédé à une réduction drastique de leurs émissions. Au lieu des 2.400 tonnes prédites en fonction des affirmations, ce sont en fait 15.900 tonnes de HFC-23 qui ont été rejetées dans l’atmosphère terrestre.
Un tel écart équivaut à l’ensemble des émissions carbones d’un pays comme l’Espagne sur une année. De quoi supposer que la Chine et l’Inde n’ont en rien tenté de réduire leurs émissions de trifluorométhane. Ou que, comme le suppose ce rapport, il existe une « production substantielle non-déclarée (…) dans un lieu inconnu, dont résulterait une quantité non comptabilisée de HFC-23 se libérant dans l’atmosphère ».
.#environnement #climat #écologie #nature
Alerte : un gaz plus toxique que le CO2 se répand dans l'atmosphère
Alors que la présence de trifluorométhane ou HFC-23 , devrait décroître dans l'atmosphère, sa présence bat des records à cause d'émissions illégales en Asie
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Sibyle Veil, présidente-directrice générale de Radio France
Radio France, en finir avec une confiscation
Au bout de quatre semaines, la grève a été suspendue à Radio France. La direction n’a rien concédé sur son plan de 299 suppressions d’emplois. Pour la présidente de Radio France, Sibyle Veil, l’amie de promotion d’Emmanuel Macron lorsqu’ils étaient ensemble à l’ENA, cette agitation est vaine puisque il n’y a pas d’alternative. D’ailleurs, cette grève qui s’en soucie ? Dans le fracas social qui secoue le pays, cette mobilisation est passée au deuxième plan. Si les antennes furent silencieuses avec seulement quelques émissions assurées par des non-grévistes, tout cela aura eu peu d’échos. Quelques banderoles, une tribune dans Le Monde, une pétition en ligne. La routine en somme...
En écoutant d’un peu plus près, il se pourrait que cette grève ne ressemble pas aux autres et que la banquise commence à craquer sous les pieds des pingouins qui nous gouvernent.
Radio France ne cesse de pavoiser sur ses records d’audience et sur l’attachement de ses millions d’auditeurs quotidiens, dont plus de 6 millions chaque jour pour France Inter. On aurait pu en effet attendre un important soutien de leur part face à ce plan social qui s’accompagne d’une réduction de budget. Il ne s’agit pas là d’un simple ajustement comptable, mais bien de la même politique qui, depuis des années, démantèle systématiquement tout ce qui relève du secteur public afin de « baisser les impôts et assurer la relance ». Mais cette vieille entourloupe pour favoriser les privatisations trompe de moins en moins de monde. On connaît les résultats. Dans les récentes manifestations, on a vu fleurir une inscription : « on a compris ». Santé, éducation, transports, la détérioration des services publics est la préoccupation majeure du pays. Et même, pour la première fois, une majorité de Français disent préférer une amélioration des services publics quitte à payer davantage d’impôts.
Et c’est clairement contre ces mesures que le pays se dresse aujourd’hui. Au bout de plus de trente ans, la plaie est profonde. Fins de mois difficiles, précarité, inégalités, absence d’avenir, humiliations sociales face au mépris du pouvoir et de sa bourgeoisie. La pédagogie de la résignation a atteint ses limites, les palliatifs ne font plus d’effet. Pas besoin d’experts universitaires ni de savants économistes pour parler à la place de ceux qui encaissent quotidiennement. Ils le font eux-mêmes, à leur façon. Social et environnemental, le pourrissement du néolibéralisme s’étale sous nos fenêtres. Dos au mur le pouvoir n’a plus que la peur et le mensonge pour tenir. Matraquage et enfumage. Mais encore combien de temps ?
La résistance à la réforme des retraites mobilise jusque dans les replis de l’Hexagone, et d’autres secteurs sont liés à cette lutte, l’hôpital public, l’éducation nationale, les étudiants, les transports, les pompiers et d’autres encore dans une colère commune.
Or, tout se passe comme si jusque là, la grève de Radio France n’en faisait pas partie. Grève corporatiste ? Grève de nantis ? Les directions n’ont pas manqué de faire rappeler discrètement les avantages des journalistes en CDI avec leurs quatorze semaines de congés. Ce que les grévistes d’ailleurs reconnaissent : « Parmi nous, certains ont des rémunérations enviables », mais c’est sans évoquer la précarité organisée et les nombreux CDD parfaitement illégaux subis souvent pendant des années.
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Un délit, surtout, s’il est petit ou exceptionnel, commis par un élu du peuple ne fait généralement pas véritablement réagir les médias. Or, les citoyens attendent que leurs élus soient des exemples, puisqu’ils leur font l’honneur de leur déléguer leur propre pouvoir et de les représenter. Par conséquent, ils attendent d’eux non seulement d’être hautement compétents, mais aussi de faire preuve d’une haute éthique. Cependant, bien que les élus français arborent fièrement l’étendard de la démocratie républicaine et de l’État de droit, il est paradoxal de constater que nombreux parmi ces élites politiques de droite ou de gauche, ont continué à exercer, après qu’elles aient été condamnées par la justice. Ce livre vise donc à expliquer comment certaines élites politiques et économiques parviennent à vivre au dessus des lois, mais surtout par quels mécanismes non démocratiques, voire illégaux, elles parviennent à exercer un pouvoir national ou international.
Une partie des élites exercent une gouvernance illégale et adémocratique, comme on peut le voir dans de nombreux procès. Ce livre vise à prendre en compte les dimensions politiques adémocratiques et illégales sans omettre non plus, les déterminismes économiques du système capitaliste. Pour mettre en évidence ces mécanismes structurels qui se reproduisent régulièrement et qui font système, nous aborderons huit formes de pouvoirs différents et en interactions, de l’action de la France, des États-Unis en Afrique et dans le monde.
Il s’agit du pouvoir illégal et adémocratique exercé par les élites concernant:
- Le pouvoir financier : banques, dette et paradis fiscaux
- Le pouvoir des organisations internationales publiques
- Le pouvoir de la production et du commerce
- La concurrence des pouvoirs nationalistes et le pouvoir adémocratique de l’Etat
- Le pouvoir répressif illégal
- Le pouvoir relationnel et idéologique
- Le pouvoir par la communication et la dimension psychosociologique du pouvoir
Thierry Brugvin est docteur en sociologie, il exerce comme enseignant chercheur à l’université notamment. Il est spécialisé sur la sociologie des élites et il a déjà publié plus d’une douzaine de livres collectifs sur la gouvernance
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Actualités et politique
4 commentaires
Mathis Duf
il y a 3 ans
Pourquoi pas une anarchie au lieu d'une démocratie dans le futur ? :)
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Thierry Brugvin
il y a 1 an
Ben, il y a la démocratie fédéraliste anarchiste et la démocratie représentative centralisée d'Etat, tout est possible...
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