CENTRE HUBERTINE AUCLERT ( 9 ) Centre francilien pour l'égalité femmes-hommes Les inégalités entre femmes et hommes, existantes dans tous les types de territoires, sont accentuées dans les zones rurales à cause de freins spécifiques. C'est notamment le cas des conditions d'emploi des Franciliennes qui vivent dans la ruralité.
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Climat - Durée de lecture : 12 minutes
Le monde doit s’adapter urgemment au changement climatique, alerte le Giec dans un rapport publié le 28 février. Vagues de chaleur, perte des rendements agricoles, pénurie d’eau, inondations : les conséquences seront nombreuses, estime-t-il.
À l’occasion de la sortie du rapport du Giec, Reporterre publie une série d’articles sur le changement climatique :
- De la Russie à la Belgique, comment le changement climatique bouleverse leurs vies
- Comment fonctionne le Giec, qui publie son nouveau rapport ?
- La Normandie va être bousculée par le réchauffement climatique
- Infographie : que proposent les candidats à la présidentielle pour le climat ?
Connu / tg 19/1/22 21h44
Climat Énergies Société 3 minutes
Photo Unité de fabrication d'hydrogène par électrolyse en Allemagne © Ina FASSBENDER / AFP)
L’hydrogène pourrait couvrir jusqu’à 12 % des besoins en énergie dans le monde d’ici 2050, selon le dernier rapport de l’IRENA (Agence internationale pour les énergies renouvelables) Géopolitique de la transformation énergétique : le facteur hydrogène publié mi-janvier. Actuellement, l’hydrogène représente à peine 0,1 % de l’énergie consommée dans le monde.
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À condition d’être produite à partir d’électricité décarbonée. « L’hydrogène pourrait s’avérer être le chaînon manquant vers un avenir énergétique sans danger pour le climat », précise Francesco La Camera, directeur général de l’IRENA
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hydrogène vert ... atteindre la neutralité climatique sans compromettre la croissance industrielle et le développement social ... table sur le fait que 30 % de la production mondiale d’hydrogène fasse l’objet d’un commerce international en 2050 ... Avec la coopération internationale, le marché de l’hydrogène pourrait être plus démocratique et plus inclusif, et offrir de nouvelles perspectives aussi bien aux pays développés qu’aux pays en développement », explique Francesco La Camera. Des pays comme le Chili, l’Australie ou les pays du Golf investissent pour développer la production d’hydrogène vert bon marché grâce à de grands espaces et une énergie solaire abondante.
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pertinent que sur certains usages », relativise Ines Bouacida de l’IDDRI, co-auteur d’un rapport sur le devenir des technologies liées à l’hydrogène. Mardi 18 janvier 2022, l’IDDRI (L’Institut du développement durable et des relations internationales) publie un rapport Hydrogène pour la neutralité climat : conditions de déploiement en France et en Europe qui se montre plus nuancé et critique sur le potentiel de l’hydrogène ... faible efficacité énergétique de l’hydrogène par rapport à d’autres vecteurs énergétiques ... réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’acier, l’aviation et le stockage d’électricité à long terme. Toutefois, le rapport de l’IDDRI se montre plus circonspect sur la pertinence de l’hydrogène pour faire rouler des poids lourds ou des trains, produire des plastiques ou chauffer des bâtiments ... Nicolas Berghmans, co-auteur du rapport de l’IDDRI. Puis, il précise que concernant le devenir de l’hydrogène dans les échanges internationaux « tout est à bâtir » même s’il est possible d’adapter des infrastructures existantes ou d’en déployer pour « des coûts raisonnables ». Selon lui, « l’hydrogène peut progressivement changer la géopolitique de l’énergie. Les différentiels de coûts de production de l’hydrogène selon les payes posent des questions sur le commerce à venir. »
À lire aussi
- Les premiers trains à hydrogène français bientôt sur les rails
- L’hydrogène sera vraiment révolutionnaire si il est produit à partir des renouvelables
- L'hydrogène industriel, plus gris que vert pour le moment
Ndlr : les marchés du gaz ont pris la main sur l'hydrogène, vecteur pour "sauver" le preoductivisme/capitalisme ?! Dénoncer ACT
Connu / https://twitter.com/MaximCombes/status/1482025567415382019
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Maxime Combes #AlloBercy @MaximCombes · 14 janv.
Voilà qui est ridicule : prélever 8 milliards € d'une entreprise publique pour subventionner et sauver les acteurs privés de l'énergie.
On le voit : la libéralisation du secteur de l'énergie est couteuse pour les finances publiques et les usagers.
L’Etat met à contribution EDF pour limiter la hausse des prix de l’électricité en 2022
A la fin de septembre, le premier ministre, Jean Castex, avait annoncé « un bouclier tarifaire » sur l’énergie, avec notamment une limitation à 4 % de l’augmentation des tarifs réglementés de...
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Une autre politique de l'énergie est possible : mettre fin à la libéralisation du secteur sans revenir à une situation de monopole, mais en faisant de l'électricité, et de l'énergie, un bien commun que l'on sortirait des griffes du marché et de la financiarisation. C'est possible
Maxime Combes #AlloBercy @MaximCombes
Il y a 8 ans, j'avais écrit pour @attac_fr
une note dans laquelle j'expliquais qu'il fallait sortir l'énergie des griffes du marché et de la finance, éviter les pièges technologiques, agir pour la sobriété et en faire un bien commun.
Toujours valable
5:23 PM · 29 Retweets 69 J'aime
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?V3nCIQ
Durée de lecture : 7 minutes - Énergie Alternatives
Alors que depuis des semaines, les rapports techniques s’empilent à propos du mix énergétique souhaité pour la France (rapports de RTE et de Negawatt), l’Agence de la transition écologique (Ademe) prend le parti de voir « beaucoup plus large » : elle avance que la neutralité carbone est un enjeu qui dépasse largement le seul sujet d’un rapport production/consommation.
Dans ce rapport de près de 700 pages https://reporterre.net/IMG/pdf/transitions2050-rapport-compresse.pdf, publié le 30 novembre et intitulé « Transition(s) 2050 », l’Ademe propose quatre scénarios pour quatre tendances de société : un ambitieux « génération sobre » (S1), une « coopération territoriale » (S2), des « technologies vertes » (S3) et enfin un plus hasardeux « pari réparateur » (S4) très intensif technologiquement. Tous sont mis en regard d’un scénario tendanciel, qui ne permet pas de tenir les objectifs bas carbone et « nous envoie dans le mur », rappelle Arnaud Leroy, responsable de l’Ademe.
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Deux scénarios sobres, pour une société en « recherche de sens »
Ainsi, le premier scénario (S1), le plus sobre, est baptisé « génération frugale » et vient répondre à des aspirations d’une « société en quête de sens ». Dans ce scénario, les métropoles laissent place à une redynamisation des villes moyennes. Les logements vacants et résidences secondaires sont réappropriés comme résidences principales. Côté transport, le nombre moyen de kilomètres parcourus baisse d’un tiers, avec une diminution de 70 % des émissions de GES du secteur.
L’Ademe évoque longuement les modes de vie, notamment la consommation alimentaire. Ainsi, dans cette perspective « sobre », un tiers des Français ne mange plus de viande, un autre tiers devient flexitarien et l’agriculture est à 70 % biologique, tandis que l’industrie a diminué ses émissions de moitié. Un scénario où la consommation énergétique finale est inférieure à 800 térawatts-heures (TWh), soit -55 % par rapport à 2015, qui a de quoi faire rêver une partie des écologistes. Mais selon l’Ademe, il est « risqué », pour des raisons de « désirabilité et d’acceptabilité sociale ». « On est au-delà du changement de comportement individuel », note Arnaud Leroy, et le saut à faire « est quand même très grand ».
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second scénario de sobriété (S2) qui fait, lui, la part belle au collectif et aux territoires
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L’efficacité dépend des projets technologiques, qu’il s’agisse de robotique, de domotique [1] ou du déploiement de l’intelligence artificielle
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deux grands « feuilletons » manquent à l’appel pour consolider cette étude. Le premier, qui sera publié par l’Ademe fin janvier 2022, précisera le contenu du mix électrique de chacun des scénarios, même s’il est déjà précisé que « tous les scénarios comportent une part de nucléaire historique de base en 2050 », excluant donc d’office l’hypothèse du scénario Négawatt d’une transition 100 % renouvelable. Dans ce même complément, la question des besoins en métaux sera également traitée : zinc, cuivre, lithium, mais également certaines terres rares essentielles pour la quasi-totalité des nouvelles technologies numériques et « vertes ». Enfin, à la fin mars, à quelques jours de l’échéance présidentielle, on connaîtra l’analyse des effets macroéconomiques de ces scénarios, les fiscalités associées et les dispositifs d’adaptation au changement climatique envisagés.
Écueil majeur, mais révélateur de la déconnexion entre les différents enjeux écologiques : si la question du « vivant » est évoquée comme centrale, elle ne l’est que dans sa forme « morte » — consommation alimentaire humaine ou celle des animaux d’élevage, valorisation des végétaux en tant que biomasse, etc. En fait, aucun chiffrage précis n’est donné sur les impacts de ces projections sur la biodiversité et les écosystèmes. L’eau n’est également abordée que par l’entrée « irrigation ». Rien n’est dit sur les capacités des nappes et des stockages d’abonder dans le futur.
Pour autant, ce travail est très complet et a le mérite de placer au centre du débat l’enjeu de la sobriété énergétique. Il propose d’ouvrir le débat sur cinq questions : jusqu’où doit aller la sobriété, peut-on s’appuyer uniquement sur les puits de carbone naturels pour atteindre la neutralité, comment définir une alimentation durable, quelle nouvelle économie du bâtiment et enfin la sobriété est-elle dommageable pour l’industrie ? Du grain à moudre pour les associations qui, dans une tribune portée par France Nature Environnement (FNE) le 30 novembre, dénoncent un débat démocratique « confisqué » sur les choix énergétiques. https://www.nouvelobs.com/tribunes/20211130.OBS51595/pour-un-debat-democratique-sur-nos-choix-energetiques.html?utm_sq=gwx9d0d4ou
Notes
[1] La mise en réseau par une centrale de commande des différents appareils électriques de la maison.
Durée de lecture : 3 minutes
Dans son dernier rapport, l’Agence internationale de l’énergie pointe les retards de la France en matière de transition. Elle appelle notamment à plus d’investissements dans les énergies renouvelables et à clarifier ses mesures sur l’après nucléaire.
https://reporterre.net/IMG/pdf/france2021.pdf
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malgré ses multiples feuilles de route, la France accumule les retards pour atteindre son objectif d’un horizon 2050 sans carbone. Sur les énergies renouvelables, l’AIE souligne un « écart massif » entre les ambitions et la réalité. En 2020, selon ses données préliminaires, leur part dans la consommation finale brute d’énergie n’était que de 19,1 %, soit bien en deçà de l’objectif de 23,4 %, fixé par la PPE. « Pour atteindre son ambition de 2023, la France doit augmenter de 40 % sa production d’énergie éolienne et doubler sa capacité photovoltaïque en trois ans », avertit l’AIE.
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échecs de la politique française en matière d’économies d’énergie. En 2019, la consommation finale d’énergie a atteint 145,5 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP), soit près de 15 millions de plus que l’objectif annoncé dans la SNBC. Selon l’AIE, le seul espoir pour la France d’atteindre ses objectifs en 2030, soit une réduction de 20 % de la consommation d’énergie par rapport à 2012, serait de la faire baisser de 4 % chaque année. Pour l’instant, elle n’a diminué que de 4 % sur toute la décennie 2009-2019.
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Cette mise en œuvre concrète de la transition énergétique, ou en tout cas celle qui répondrait aux ambitions nationales, a été esquissée par l’Agence de la transition énergétique (Ademe) dans son rapport publié le 30 novembre https://reporterre.net/Vegetarisme-logements-renoves-technologies-vertes-les-scenarios-pour-une-neutralite. Parmi ses quatre scénarios menant à la neutralité carbone en 2050, deux sont basés sur la sobriété, qui implique des changements considérables de la société, et deux prônent l’usage des technologies, notamment « vertes » ou de manière intensive.
Connu / https://twitter.com/greenpeacefr/status/1465956887216758784
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Greenpeace France
@greenpeacefr
Morceau de viande RAPPORT : Que cache les pub pour la viande ?
Nous avons mené une vaste étude dans 6 pays européens, dont la France, qui décrypte la communication des industriels de la viande.
9:12 AM · 1 déc. 2021·- 45 Retweets 5 Tweets cités 67 J'aime
- Le constat est clair : l’industrie de la viande use de tous les artifices du marketing pour influencer les mentalités, notamment auprès de cibles plus vulnérables tels que les enfants.
- Nous avons identifié 7 mythes sur lesquels s’appuie l’industrie de la viande :
– La viande fait partie de la solution à la crise climatique, mais pas du problème.
– La viande est bonne pour votre santé.
– Manger de la viande (rouge) fait de vous un homme. -
– Une bonne épouse et mère prépare et sert de la viande à sa famille.
– Manger de la viande est un acte patriotique.
– Manger de la viande rapproche les gens.
– Manger de la viande est une question de liberté, de choix et d’individualité. - Pour comprendre comment les publicités pour la viande alimentent ces mythes, lisez notre rapport -
Rapport : Que cache la pub pour la viande ?
Greenpeace dévoile aujourd’hui les résultats d’une recherche menée dans six pays européens, dont la France, analysant la communication des industriels de la viande auprès du grand public. Sept... - Sources des images :
1️⃣ Publicité Charal "Vivons fort"
2️⃣ Publicité McDonald's "Venez comme vous êtes"
3️⃣ Publicité Interbev "Naturellement fléxitarien"
4️⃣ Publicité Le Gaulois :
Campagne pub Le Gaulois multi-produits avril 2021
Retrouvez la nouvelle publicité Le Gaulois ! En famille ou entre amis, l'important pour Le Gaulois c'est de partager de bons moments ensemble autour de produ...
Florence Dellerie @FlorenceDell ·6h En réponse à @greenpeacefr
Parmi les mythes qu'on peut identifier dans la publicité, l'un des plus puissants est celui qui consiste à laisser penser que les animaux sont heureux & consentants vis-à-vis de leur exploitation et de leur abattage ; ça me paraît important : https://twitter.com/FlorenceDell/status/1087047501138534401
#SuicideFood
Citer le Tweet Florence Dellerie @FlorenceDell · 20 janv. 2019
"La #philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La #propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter." A. Huxley
THREAD illustré traitant de la propagande liée à l'exploitation des autres #animaux.
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Vidéo intégrée
Rémi Visage neutre @PenissonRemi · 6h En réponse à @greenpeacefr
De nombreux exemples sont d'ailleurs à explorer sur ce blog, où l'on peut retrouver de nombreuses pubs qui présentent les animaux comme toujours déjà de la viande et comme consentants à leur meurtre :
publispeciesism.tumblr.com
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Paru dans Libé à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?H-V2mQ
Connu / https://wegreen.fr/post/
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Tom Baquerre a partagé un post dans le groupe Agriculture, Élevage & Alimentation
Il y a 12 heures Communauté
Greenpeace dévoile aujourd’hui les résultats d’une recherche menée dans six pays européens, dont la France, analysant la communication des industriels de la viande auprès du grand public.
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Le rapport de Greenpeace a identifié 7 mythes existants ou créés de toutes pièces sur lesquels s’appuie l’industrie de la viande :
– La viande fait partie de la solution à la crise climatique, mais pas du problème.
– La viande est bonne pour votre santé.
– Manger de la viande (rouge) fait de vous un homme.
– Une bonne épouse et mère prépare et sert de la viande à sa famille.
– Manger de la viande est un acte patriotique.
– Manger de la viande rapproche les gens.
– Manger de la viande est une question de liberté, de choix et d’individualité.
Pour comprendre comment les publicités pour la viande alimentent ces mythes, lisez ce rapport
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RAPPORT | Novembre 2021
Les coûts actuels des énergies électriques bas-carbone
Analyse des différents coûts actuels des moyens de production nucléaire, éolien et photovoltaïque et de leur impact sur le réseau.
Greenpeace est une organisation internationale qui agit selon les principes de non-violence pour protéger l’environnement et la biodiversité et promouvoir la paix. Elle est indépendante de tout pouvoir économique et politique et s’appuie sur un mouvement citoyen engagé pour construire un monde durable et équitable.
L’Institut Rousseau est un laboratoire d’idées indépendant, attaché à la reconstruction écologique, sociale et démocratique de nos sociétés.
Il rassemble des intellectuels, des chercheurs, des hauts fonctionnaires et des travailleurs du privé ou du public. Son objectif est de produire des propositions de politiques publiques innovantes, ambitieuses et opérationnelles.
Greenpeace France et l’Institut Rousseau tiennent à remercier différents acteurs associatifs pour leurs retours précieux et leurs conseils avisés : particulièrement Yves Marignac de l’association négaWatt ainsi qu’Alain Grandjean et les équipes de la Fondation Nicolas Hulot.
Contact presse Greenpeace Guillaumine Lickel, guillaumine.lickel@greenpeace.org, 06 73 89 48 90
Contact presse Institut Rousseau Oriane Wegner, oriane.wegner@institut-rousseau.fr, 06 59 57 32 89
Contact éditorial Morgane Gonon, morgane.gonon@institut-rousseau.fr, 06 33 12 10 58
Résumé exécutif
La France est actuellement à un tournant de son avenir énergétique avec un choix crucial pour son futur mix électrique : par quoi remplacer les 56 réacteurs nucléaires du pays après leur fermeture dans les décennies qui arrivent ? S’il est certain qu’il faudra quoi qu’il arrive accélérer le développement des énergies renouvelables éoliennes et photovoltaïques, la question se pose pour le nucléaire : faut-il ou non construire de nouveaux réacteurs nucléaires en France ou faut-il progressivement aller vers un mix 100 % renouvelables ?
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pour éclairer ce débat sur l’avenir énergétique du pays dans un contexte électoral particulier. Le rapport RTE Futurs énergétiques 2050 se focalise sur la trajectoire électrique alors que le scénario négaWatt 2022 et les scénarios de l’Ademe Prospectives, énergies, ressources 2050 proposent une vision de la transition sur l’ensemble du système énergétique vers la neutralité carbone en 2050.
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choix : nucléaire existant, nucléaire en construction avec l’EPR de Flamanville, éolien terrestre et posé en mer, photovoltaïque au sol, sur ombrières ou grandes toitures ainsi que sur le segment résidentiel. Cette grille de lecture repose sur le calcul du coût courant économique, tel qu’utilisé par la Cour des comptes pour calculer le coût de production de l'électricité nucléaire.
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méthodologie et un périmètre d’analyse communs pour ces différentes technologies. En outre, les chiffres utilisés proviennent tous de sources publiques les plus récentes possibles. Dans le cas du nucléaire, les données d’EDF ont été privilégiées et ont été complétées par des données d’autres sources, essentiellement celles de RTE ou de la Cour des comptes.
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Il résulte de cette étude que les renouvelables les plus compétitives, photovoltaïque en centrale au sol ou sur grandes toitures et éolien terrestre, présentent aujourd’hui un coût courant économique moyen de 5 % à 30 % inférieur à celui du nucléaire existant, celui de l’éolien posé en mer restant légèrement supérieur (moins de 15 %). Toutes ces options ont un coût courant économique moyen au moins deux fois moins élevé que celui de l’EPR de Flamanville, qui se situe au même niveau que celui du photovoltaïque résidentiel.
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Malgré les nombreuses variables et incertitudes à prendre en compte, le coût complet d’un tel système à l’horizon 2050 ou 2060 n’apparaît pas d’un ordre de grandeur différent de celui d’un système électrique reposant sur un mix d’énergies renouvelables et de nucléaire.
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Dès lors, il est indispensable que ce sujet puisse être débattu dans un cadre véritablement démocratique, en prenant le temps
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discutées sur la base d’une comparaison économique aussi équitable que possible, éclairant leurs coûts directs et leurs coûts indirects, ce qui est l’objet du présent rapport. Cette comparaison, pour être complète, doit intégrer d’autres critères, notamment des aspects environnementaux (matières premières, biodiversité, artificialisation des sols, ressource en eau, production et gestion des déchets...) et sociaux (création d’emplois, santé publique, retombées économiques, implication des différents territoires...) qui ne sont pas abordés ici.
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obtenir le CCE par MWh.
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le CCE plus adapté que le Levelized Cost Of Energy (LCOE) ou coût complet actualisé de l’énergie.
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Du rapport RTE/ Agence internationale de l'énergie (AIE), il ressort l’existence de “quatre ensembles de conditions strictes, qui devront être remplies pour permettre, sur le plan technique et avec une sécurité d’approvisionnement assurée, l’intégration d’une proportion très élevée d’énergies renouvelables dans un système électrique de grande échelle comme celui de la France” : le maintien de la stabilité du système électrique, l’assurance d’une adéquation permanente entre production et consommation électrique, l’existence de réserves opérationnelles adaptées en volume au mix électrique considéré et l’adaptation du réseau électrique.
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Seule une vision globale sur un ensemble de critères permettra aux citoyens, à l’ensemble des organisations concernées et aux personnalités politiques de débattre sereinement de l’avenir du mix électrique français et de prendre des décisions en toute connaissance de cause.
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le maintien du signal électrique à la fréquence de 50 Hertz, et le développement de dispositifs techniques pour remplacer ou imiter l’apport à la stabilisation du réseau aujourd’hui fournie par l’inertie des machines tournantes des centrales électriques.
Au moins deux options sont envisageables pour reproduire cet effet. La première
consiste simplement à utiliser des compensateurs synchrones, c’est-à-dire des
moteurs synchrones tournant à vide sur le réseau, sans production de puissance.
Pour cela, il est possible de réutiliser les machines tournantes des centrales
conventionnelles mais donc à vide. Il s’agit d’une solution mature ... La deuxième option consiste à modifier le fonctionnement actuel d’opérations de l’électronique de puissance des parcs éolien et photovoltaïque ... sans machines tournantes en modifiant le fonctionnement de “grid-following” en “grid-forming”, permettant aux moyens de production renouvelables de générer leur propre onde de tension à la fréquence voulue et de se synchroniser avec les autres sources générant des ondes de tension ... c’est l’objet du projet européen Osmose.
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état de l’art des coûts système
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d'après nos calculs, même en appliquant une hypothèse favorable d’une baisse de 30 % - préconisée par la SFEN (Société française d'énergie nucléaire) - au coût de construction (hors frais financiers) et en réduisant la durée de construction à 10 ans, le CCE du nouveau nucléaire ressortirait à près de 120 €/MWh.
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l’intégration dans un réseau, tel que celui de la France, d’électricité renouvelable générée par des centrales photovoltaïques et éoliennes, représentant une proportion pouvant aller jusqu’à 75 % du total (impliquant donc des coûts système additionnels de l’ordre de 40 € par MWh), peut être économiquement rentable lorsque cette intégration se fait au détriment du nucléaire de troisième génération
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TERMINER AVEC LES ANNEXES
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Connu / https://twitter.com/ClemSenechal/status/1463466234893189120
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@ClemSenechal
12:15 PM · - 22 Retweets 4 Tweets cités 47 J'aime & 14h Le rapport complet - 1 - 4 - 10
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Au programme de ce nouveau numéro de L’Instant Porcher : l’étude qui affirme que le quinquennat d’Emmanuel Macron a profité aux plus riches et aux ultra-riches, la question de l’impact de la crise sanitaire sur la croissance française et la réforme des retraites.
Le quinquennat d’Emmanuel Macron a bel et bien profité aux plus riches et aux ultra-riches C’est le constat d’une étude réalisée par l’Institut des politiques publiques alors qu’un rapport de Bercy affirmait le contraire quelques semaines plus tôt.
La crise du Covid-19 aura un impact plus faible sur la croissance française que la crise financière de 2008. C’est le résultat d’une étude de l’Institut des politiques publiques et du Centre pour la recherche économique. Mais est-ce vraiment le cas ?
La réforme des retraites était l’un des thèmes phares de la campagne d’Emmanuel Macron avec l’instauration d’un régime universel par points. Une réforme finalement abandonnée par l’exécutif qui songe déjà à 2022, comme l’affirme la ministre du travail, Elisabeth Borne. Alors, quelles alternatives ont été avancées par le gouvernement ?
On décrypte tout cela avec Thomas Porcher et Tania Kaddour-Sekiou.
Ce jeudi 18 novembre, le Haut Conseil pour l’Avenir de l’Assurance Maladie (HCAAM) étudiait un projet de rapport sur l’assurance maladie de la Sécurité sociale et les complémentaires santé (mutuelles et assurances). Ce rapport donne raison à l’Avenir en Commun. En effet, selon ce qu’on peut en lire dans la presse, puisqu’il n’est pas public, sa conclusion est que l’intégration des complémentaires privées dans la Sécurité sociale serait une mesure à la fois efficace sur le plan de la santé publique et économe financièrement. C’est précisément le scénario « 100% sécu » que j’étais le seul candidat à défendre dans la précédente élection présidentielle et qui se retrouve à nouveau dans notre programme pour 2022. La pandémie a réveillé quelques grandes consciences dans le monde de la santé apparemment. Tant mieux !
On découvre que le droit universel à la santé et d’accès aux soins n’est pas un coût, mais au contraire un bénéfice pour la société
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pour les 100% remboursé par la sécu, le seul vote disponible en avril prochain, c’est l’Avenir en Commun !
Durée de lecture : 5 minutes
Clés :* Déchets nucléaires Eau, rivières, océans
La filière nucléaire dégage des déchets radioactifs, mais aussi des substances polluantes telles que le nitrate. Une association compare le site de retraitement de La Hague à une mégaporcherie industrielle.
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Selon l’association Robin des bois, l’usine de retraitement de déchets radioactifs de La Hague, en Normandie, polluerait autant qu’une porcherie industrielle de 100 000 porcs. Chaque année, elle rejette 2 000 tonnes de nitrates directement dans la Manche. Ces substances chimiques sont issues de l’acide nitrique utilisé pour dissoudre les combustibles irradiés et pour séparer le plutonium, l’uranium et les produits de fission.
« La Hague peut se vanter d’être la plus grande porcherie du monde, s’exclame Jacky Bonnemains, le porte-parole de l’association joint par Reporterre. Elle dépasse même la pollution de la mégaporcherie de Nanyang, en Chine, qui va héberger plus de 84 000 truies. » Pour Robin des bois, les rejets bruts de nitrates déversés par l’usine de La Hague, ainsi que leur accumulation depuis plus de cinquante ans, contribueraient à l’eutrophisation des zones marines situées à proximité : le golfe normano-breton, la baie de Seine, la Manche Nord, etc. « L’usine de La Hague participe à la prolifération des algues vertes dans la région, assure Jacky Bonnemains. C’est une pollution ancienne, mais peu connue de la filière nucléaire. En communiquant sur ce sujet, nous avons voulu déplacer les radars et faire voler en éclats l’idée que cette énergie serait verte et durable. »
L’association écologiste s’appuie sur des documents récents. Une enquête publique est en cours jusqu’au 16 novembre pour autoriser Orano à élargir la gamme des combustibles nucléaires traités au sein de son usine. Dans ce cadre, l’Autorité environnementale vient de publier un rapport. Dans les premières pages, elle indique que l’usine déverse chaque année des milliers de tonnes de nitrates, « des flux importants, précise-t-elle, qui représentent, chaque année, plus de 1 % du rejet total d’azote » en France.
« Ces rejets représentent le lisier de 100 000 porcs »
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La situation est d’autant plus cocasse que le territoire de La Hague a candidaté en février 2021 au statut de géoparc mondial Unesco, un label créé fin 2015 qui consacre « des sites et paysages de portée géologique internationale [...] gérés selon un concept global de protection, d’éducation et de développement durable ».
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Depuis plusieurs décennies, l’évaluation des risques environnementaux et sanitaires des rejets de La Hague fait polémique. Dans les années 2000, déjà, des scientifiques du groupe Radioécologie Nord-Cotentin (GRNC), avaient été mandatés par les autorités pour étudier ces incidences. Leurs conclusions n’avaient pas fait consensus.
« C’est très compliqué d’analyser l’impact sur le long terme de ces rejets, dit à Reporterre Pierre Barbey, un ancien membre du GRNC, militant de l’Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest (Acro).
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Tout dépend aussi de ce que l’on mesure. Lorsque le GRNC s’est créé, il y a vingt ans, la filière nucléaire affirmait ne rejeter à La Hague que 12 substances radioactives. Le GRNC en a compté en réalité... 72. Ses rejets chimiques sont également colossaux. « Au-delà du nitrate, chaque année, 100 tonnes de nitrite sont déversées dans la mer, 2 900 tonnes de phosphore total, 2,7 tonnes de phosphate de tributyle, sans compter aussi les métaux lourds, le plomb, le mercure, le zinc, énumère Pierre Barbey. C’est une vraie atteinte à l’environnement. On ne peut pas la nier. »
Connu / https://twitter.com/__ACRO__/status/1459125622366785540
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Tweet de Nucléaire-Sortie ACRO @ACRO · 10h
#Nitrates : l’usine #nucléaire de #LaHague pollue plus qu’une mégaporcherie de 100 000 porcs. Cela vient s'ajouter aux rejets radioactifs en mer - les plus élevés au monde - dénoncés par l'@ACRO
et autres rejets chimiques. via @Reporterre - 2 - 23 - 21
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Connu / mel lfi-energie du 01/11/2021, 12:48
... « Contexte » s’est procuré un rapport confidentiel du gouvernement qui fait état de doutes sérieux sur la conception, la faisabilité, le coût et les délais de ce qui doit constituer la nouvelle vague de centrales nucléaires françaises. Bercy et EDF ne font aucun commentaire.
https://www.contexte.com/article/energie/info-contexte-nucleaire-pas-encore-lances-les-futurs-epr-deja-en-retard-et-plus-chers_140631.html
->
doc pdf à blob:https://www.contexte.com/04a65466-9b9e-4dfc-9149-ab87890b715b
...
Y parvenir suppose de pousser la durée d’exploitation de 14 réacteurs nucléaires qui, en 2050, auront plus de 50 ans pour certains et même plus de 60 ans pour d’autres. Compte tenu de l’âge du parc nucléaire français (plus de 60 ans en moyenne, pour une durée de vie initialement prévue de 40 ans), il serait également indispensable de construire trois nouvelles paires de réacteurs de 1650 à 1700 mégawatts, la même puissance que celle des réacteurs EPR vendus par EDF à la Chine, Taishan.
Mais il s’agirait, cette fois, d’EPR de nouvelle génération, les EPR2 (la première devant être construite en Normandie, à Penly). Et c’est là que les informations publiées par « Contexte » révèlent que la route s’annonce déjà cahoteuse. Notre confrère s’est effet procuré un document très détaillé de 12 pages, présenté comme...
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Connu / https://twitter.com/dorfman_p/status/1454379852333715456
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Rousselet Yannick a retweeté Dr Paul Dorfman @dorfman_p · 12h
C’est une véritable bombe que vient de publier le site d’information « Contexte » à propos de la nouvelle génération de centrales nucléaires d’EDF. Ces EPR2 qu’Emmanuel Macron s’apprête à commander... - 0 - 5 - 3"
Ndlr : couplage au réseau au plus tôt du 1er EPR2 à l'horizon 2040 (page 9) : confirme que ce serait bien trop tard :-( et donc disqualifie le nucléaire comme moyen de décarboner l'énergie en France :-(
La "messe" était déjà dite avec le scénario négaWatt, là c'est le coup de grâce porté à la filière ingénierie nucléaire française ACT
... dans le cadre du Plan de transformation de l’économie française (PTEF) ... présente les principaux enjeux énergétiques et climatiques auxquels est confronté le secteur aujourd’hui ainsi que les leviers de décarbonation à actionner dès 2022. Il dessine également les contours de nos logements après transformation : ils seront plus sains et ne consommeront plus d’énergie fossile, tandis que la précarité énergétique aura considérablement reculé.
Comment accélérer le rythme des rénovations dans les décennies à venir ? Quels sont les volumes souhaitables en termes de constructions neuves ? Sur quelles sources d’énergie pourront-nous compter pour chauffer ou rafraîchir nos logements face à un climat de plus en plus incertain ? C’est précisément l’objet de ce rapport, et de ce webinaire.
... visio-conférence disponible à https://www.youtube.com/watch?v=bLGonB5PJe8
Ndlr :
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Penser les vulnérabilités à l’heure de la dérive climatique et de la raréfaction des ressources - Cercle Vulnérabilités et Société avec Jean-Marc Jancovici.
A noter : Les courbes à 29'12 sont nouvelles.
Partie Questions/réponses à 01:06:55
Diaporama : https://fr.slideshare.net/JoelleLeconte/panser-plus-de-plaies-avec-moins-de-moyens-09092021-vulnerabilite-et-societes
Audio : https://soundcloud.com/effondrement-imminent/jancovici-panser-plus-de-plaies-avec-moins-de-moyens-09092021-cercle-vulnerabilites
Vidéo originale : https://www.youtube.com/watch?v=iuUk1yu-A0o&t=0s
Tr.: PIB = NRJ = CO2 pas de respect des accords de Paris sans récession !
l'économie postule que les ressources naturelles sont gratuites et pourtant indispensable. ... le dév du tertiaire (des emplois de services) est dû à une société énergivore ... un ges absorbe les infrarouges terrestres, le co2 est un oxyde stable, épuration par photosynthèse ... l'altération du climat est pour partie irréversible (10% à 10000 ans !) limiter mais pas l'arrêter. Se méfier des moy car les extrèmes vont être destructeurs malgré les moy comme aux usa en ce moment ... des surprises ... construire des systèmes résilients, fin des ressources comme le pétrole ... équation de Kaya [sur les ENR, (on en sort), il n'est pas crédible :-( ] la croissance verte ne fonctionne pas. Solidarité. Décroissance cite Delphine Batho. Parle de piloter la réduction des émissions de gaz à effet de serre / accords de Paris.
Q.
Dominique ? éthique sinon monde sauvage, croit à l'entraide, cf pablo servigne, la q du partage, du sens,
Thibaut : secteurs du lien,
Annie Chapelier : changer de modes de vie, sébastien bolher??, accuse l'ignorance, demande du temps, démocratie système lent,
/carte carbone individuelle : la taxe a besoin de temps trop tard, rationner le consommateur nécessite acceptabilité donc demande du temps, rationner sectoriellement par le règlement ex pompes à chaleur avec accompagnement c'est le plus rapide et facile++
Dominique Bourgine /photovoltaïque c'est purement financier, zéro bénéfice envi, augm les importations
/nucl au niveau planétaire = parachute ventral, pilotable pour garder la société d'aujourd'hui où élec à la demande, accepter qu'on ait moins d'énergie, on ne se passera pas du serrage de ceinture,
Auréliane Roux?? constr. yaura des surprises, ehpad ?? notre rapport à la mort, la démographie, avoir le courage de ces débats, la mort devenue non normale !
/entreprise pérenne : passer du temps à réfléchir, 10% de son temps, désinvestir, investir,
Corinne Devin ?? /débat intergénérationnel /centre de vaccination appel aux jeunes, la covid a renforcé les liens, au niveau mondial, émissions importées ont augmenté, -5% de baisse mondiale des ém de ges,
/précarité énergétique : la traiter en incluant l'effet rebond, rempl fuel par pac++ ne pas dégrader la situation, concilier
/limites apprendre à renoncer, les fragiles en sont des experts, générer l'enthousiasme, les pauvres parfaits écolos, sobriété = pauvreté consentie, ascète et pas pauvre, le bonheur est ailleurs que matériel, des valeurs positives, ...
Ndlr : comme d'habitude, d'accord en tous points sauf sur le mix-énergétique (nucléaire/enr) : il voit le nucléaire comme un amortisseur, je le vois comme un piège qui empêche d'agir car sa vision des enr est PARTIALE. Se fixer l'objectif de sortir du nucléaire pour cesser de produire des déchets radioactifs au plus vite OBLIGE À SE POSER LES BONNES QUESTIONS plutôt que de se donner l'illusion d'un amortisseur car il y a la question des ressources et de la biodiversité à concilier en même temps. L'approche holistique par la coopération pour construire des modes de vie adaptés à l'anthropocène permet d'envisager des changements radicaux à la hauteur des enjeux dans les délais impartis. C'est de la coconstruction/cocréation donc de la médiation de projet sous contraintes, donc avec des conflits, il faut donc articuler médiation de projet avec médiation de conflit. Cela passe par la promotion de la culture de la médiation, cad d'un tiers impartial, empathique, bienveillant, indépendant, qui maître la question du neutre et garantie la confidentialité, en lien avec ses pairs pour coller à la dimension holistique et holomidale de ce chantier par la construction d'un vecteur ou d'une matrice systémique.
C'est le premier pas qui coûte, une fois en mouvement, la direction compte pour converger au plus vite vers l'objectif zéro émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050. Cela valide l'idée de BIFURCATION ÉCOLOGIQUE prônée par LFI ainsi que la coopération plutôt que la compétition. Et tout changement demande un effort qui n'est pas proportionnel à l'amplitude du changement (en d'autres termes, quitte à changer, autant changer tout de suite de la quantité nécessaire...)
Valoriser ACT
Michèle Rivasi Globe terrestre Europe-Afrique @MicheleRivasi · 7h
Découvrez mon rapport sur la #biodiversité et l'Agenda 2030 Revers de main avec index pointant vers le bas
Alors que la COP15 discutera des Solutions basées sur la Nature et l'objectif 30 % de la Terre sous statut de conservation, il appelle à mettre fin à l'accaparement des terres #autochtones.
Stop au #colonialismeVert - 1 - 6 - 10
Tr.: ... Le rôle de la politique de développement face à la perte de biodiversité dans les pays en développement ...
Ndlr : elle PLPDLA sur ce sujet. Quel est le point de vue des autres eurodéputés dont LFI ? ACT
#GIEC #Climat #Écologie
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Le 9 août 2021, le GIEC dévoilait la première partie de son 6e rapport, au cœur d’un été marqué par les catastrophes climatiques. C'est sans doute un des rapports scientifiques les plus importants du siècle, qui confirme que la situation n’a jamais été aussi dramatique et qu’elle nécessite des mesures politiques urgentes et rapides pour limiter au maximum les dégâts.
En cette rentrée, Paloma Moritz prend le temps de décrypter ce rapport, d’expliquer ce qu’est le GIEC, son histoire, l’impact de ses travaux sur les négociations climatiques. De comprendre ce que ces experts nous disent, nous redisent et pourquoi il est essentiel d’écouter plus que jamais la parole des scientifiques sur le climat.
Pour aller plus loin :
Le résumé du premier volet du 6e rapport à l’intention des décideurs (en anglais) : https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg1/do...
Le site du GIEC et lien vers les rapports : https://www.ipcc.ch/languages-2/francais/
Le travail de vulgarisation de Bon Pote :
https://bonpote.com/synthese-et-analyse-du-nouveau-rapport-du-giec/
https://bonpote.com/le-rapport-du-giec-pour-les-parents-et-enseignants/
https://bonpote.com/comment-les-medias-politiques-et-lobbies-ont-accueilli-le-rapport-du-giec/
Atlas interactif du GIEC https://interactive-atlas.ipcc.ch
Interview Christophe Cassou, co auteur du GIEC : https://lejournal.cnrs.fr/articles/le-changement-climatique-nous-touche-deja-de-plein-fouet
Vidéo précédente Blast sur le dérèglement climatique avec Christophe Cassou :
https://www.youtube.com/watch?v=ttuwmxq-ytA&t=81s
L’étude de Carbone 4 “Faire sa part” : https://www.carbone4.com/wp-content/uploads/2019/06/Publication-Carbone-4-Faire-sa-part-pouvoir-responsabilite-climat.pdf
Journaliste : Paloma Moritz Montage : Ameyes Aït-Oufella
Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat
Réseaux Sociaux : Maxime Hector Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
Le site : https://www.blast-info.fr/
Les experts mondiaux du climat (Giec) et de la biodiversité (Ipbes) viennent de dévoiler un rapport commun sur les liens entre les deux crises écologiques majeures.
...
Ndlr : exemple type d'articulation - non pas des luttes, mais des sciences - pour aboutir à la convergence des causes, dans une approche transdisciplinaire, holistique et holomidale ?