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Le changement climatique est irréversible, l’accélération du cycle de l’eau de plus en plus menaçante sur la viabilité de nos modèles agricoles et industriels. Pour préserver nos besoins vitaux, il faut institutionnaliser la sobriété hydrique ! Charlène Descollonges, Justine Le Floch et Ilian Moundib en débâteront à l’Académie du Climat pour l’Institut Rousseau et Pour un réveil écologique.
En France, le dérèglement du cycle de l’eau change déjà tout.
Les graves sécheresses de l’année 2022 comme les inondations dans le Pas de Calais nous ont en réalité fait changer d’époque.
Pour nous adapter, il nous faut nous organiser différemment, il faut institutionnaliser la sobriété hydrique !
Pour vulgariser cette notion et la mettre en discussion, Ilian Moundib, auteur de la note pour l’Institut Rousseau débâtera avec l’hydrologue Charlène Descollonges à l’Académie du Climat.
La discussion sera introduite et modérée par Justine Le Floch, doctorante spécialiste de la question de la sobriété hydrique et membre du collectif Pour Un Réveil écologique avec qui ce travail a été réalisé.
Ilian Moudib, Ingénieur en résilience climatique
Charlène Descollonges, Ingénieure hydrologue engagée
Justine LeFloch, Doctorante sur la sobriété hydrique.
00:00 : Introduction
1:20 : La crise de l’eau en France
7:24 : Les raisons de l’accélération du cycle de l’eau
11:28 : La question agricole
13:22 : L’artificialisation des sols
17:28 : Grand cycle et petit cycle de l’eau
20:12 : Introduction de la note de l’Institut Rousseau “Institutionalisons la sobriété hydrique”
22:46 : Sommes nous condamnés à avoir une eau de mauvaise qualité ?
23:59 : L’hydrologie régénérative
32:20 : Réparer le petit cycle de l’eau
36:38 : Gestion du réseau d’eau en France
37:46 : Protection des points de captage
41:49 : Les agences de l’eau : définition
45:17 : Rééquilibrer les agences de l’eau : la planification
51:06 : Quid de l’eau verte ?
52:42 : Objectifs de sobriété hydrique et contrats de délégation de service public
54:06 : La sécurité sociale de l’alimentation
1:00:13 : Questions du public
Tr.: ... on a franchi les limites planétaires de l'eau verte et de l'eau bleue ...
TERMINER >6:00 ACT
1,2 M d’abonnés - 1,5k+ - 26 022 vues - 183 commentaires #Ecologie #Capitalisme #Entretien
Comment peut-on encore faire confiance ? C’est LA question qui se pose en cette rentrée alors que des millions de personnes ont le sentiment que leur vote n’a servi à rien, que leur voix et leurs besoins n’ont pas été écoutés, qu’elles ont été tout simplement piétinées, par la décision d’Emmanuel Macron de nommer Michel Barnier, premier ministre, pourtant ultra minoritaire. Cette confiance politique était déjà très abîmée, elle semble aujourd’hui brisée. En février 2024 déjà, l’enquête annuelle du CEVIPOF montrait que 70% des Français n’ont pas confiance en la politique. À cela s’ajoute que nos sociétés sont de plus en plus fragmentées, déchirées par des inégalités sociales et écologiques toujours plus fortes.
Pourtant, et c’est tout le paradoxe, face aux urgences sociales, démocratiques et écologiques, nous avons plus que jamais besoin de coopérer et de nous faire confiance. C’est ce qu'affirme l'économiste Eloi Laurent. Selon lui, la source des multiples crises actuelles est le capitalisme contemporain, qui est totalement irrationnel : il nous divise et nous isole. Il l’écrit : “Nous devons aujourd’hui nous réinventer collectivement pour atténuer les menaces qui grossissent à l’horizon et parer les chocs déjà là. Nous ne pouvons plus les ignorer”. Surtout que la capacité à atténuer ces crises écologiques et sociales déterminera beaucoup le destin de la démocratie en France.
Dans son nouvel essai, il invite donc à imaginer de nouveaux liens sociaux et de nouvelles formes de coopération humaine, de solidarité contre « l’emprise de l’économisme et du tout-numérique », “pour fonder les bases d’une société écologique prenant soin des écosystèmes comme des humains ». Et organiser, enfin, une « économie du bien-être” aux antipodes des politiques d’austérité actuelles…
Alors comment sortir des impasses du néolibéralisme ? Comment la coopération peut permettre de construire une société plus juste et plus écologique ? Et qu’est cela changerait à nos vies ? Réponses dans cet entretien de Paloma Moritz avec Eloi Laurent.
Pour aller plus loin :
Ralentir ou périr : à quoi ressemblerait une société post-croissance ? avec Timothée Parrique • RALENTIR OU PÉRIR : À QUOI RESSEMBLER... https://www.youtube.com/watch?v=bcSvhhOOiug&t=0s
Canicules, santé mondiale : Comment éviter l’ingérable ? avec Eloi Laurent • CANICULES, SANTÉ MONDIALE... : COMMEN... https://www.youtube.com/watch?v=B50R4yEpoJk&t=0s
Effondrement : est-ce que tout est vraiment foutu ? avec Pablo Servigne • EFFONDREMENT : EST-CE QUE TOUT EST VR... https://www.youtube.com/watch?v=hP_mZQy2djg&t=33s
Être lucide face aux défis climatiques. Avec Jean-Baptiste Fressoz • ÊTRE LUCIDE FACE AUX DÉFIS CLIMATIQUES https://www.youtube.com/watch?v=FV_nUNol81M&list=PLv1KZC6gJTFlPcbytdjSxzc1DsUixBnzo&index=8&t=0s
Journaliste : Paloma Moritz
Connue / https://x.com/blast_france/status/1838249297126535483
Tr.: ... nouvel essai "COOPÉRER ET SE FAIRE CONFIANCE d'Éloi Laurent ... urgence du temps court, du quotidien (alimentation, énergie) ... restaurer une stabilité du niveau de vie ... défiance à l'égard des institution puis de la démocratie ... démenti démocratique ... économie au service des gens ... la racine, économie du bien-être, fondée sur les besoins humains (santé et coopération) ... double crise des liens : destruction des liens naturels qui conduit à la destruction des liens sociaux ... coopération, capacité unique des être humains ... processus incertain d'échanges humains ... fondé sur la liberté et la volonté de connaître ... connaître par amour ... la collaboration, faire par le travail ensemble... 5 différences :
- la collaboration, c'est que le travail ; la coopération, mettre en commun toutes les capacités humaines ...
- horizon de temps : collaboration, finie ; coopération sans limites
- vertical / horizontal
- produire, faire / imaginer une société dans laquelle on ne fait pas : la sobriété,
- ?? (non cité :-(
... la sobriété pour ne plus faire ... il y a une immense crise du travail, de son sens ... aucune autonomie ... l'isolement tue ... pandémie de la solitude ... l'isolement social ... la coopération, source de l'économie ... redonne du sens, diminuer les émissions, s'adapter, ... un guide vers la satiété ... revenir à l'origine de LA pensée économique, Épicure ... besoins essentiels ... compatibles avec la biosphère ... USA étude de Harvard 1938 longitudinale sur 70 ans : facteurs d'une vie longue et heureuse ? ... le bonheur tient avant tout à la qualité des relations sociales ... inventer des coopérations aussi contre les institutions ... la satiété ... l'amour, matrice des liens sociaux ... coopération pour la biosphère ... 3 sphères enchâssées : liens intimes (famille), liens sociaux (économie politique), liens vitaux (écosystèmes, espaces naturels) ... libérer du temps pour ... la coopération est la part non reproductible de l'intelligence humaine ... on la substitue à l'intelligence artificielle ...
Vivre plus sobrement : dans cette lettre, des lycéens appellent le président et les nouveaux élus à prendre des mesures de sobriété « pour le bien du climat, et notre
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Connu / TG le 10/07/24 à 18:16
4 228 signatures (4 280 au 29/5)
Destinataire(s) : Aux membres du Groupement d’Intérêt Public (GIP) Le Havre Croisière
NON à la construction du nouveau terminal croisière au Havre !
Campagne lancée par Collectif Stop Croisières
Le projet de nouveau terminal croisière au Havre, porté par le GIP Le Havre Croisière, est destiné à favoriser l'accostage de davantage de paquebots. Comme de nombreux ports: Amsterdam, Venise, Barcelone, Marseille… Nous, citoyens du Havre et des environs, refusons l’augmentation des escales de ces géants des mers, énergivores et hyper-polluants.
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Catégorie Sobriété
Bâtiments ; Économie circulaire / Déchets ; Société / Politiques publiques
Installé dans un ancien entrepôt portuaire, le Hangar Zéro est un laboratoire de la transition écologique et citoyenne. La coopérative expérimente en effet de nouveaux modes de production, de consommation et de vivre ensemble. Il se veut aussi le fer de lance d’une architecture plus circulaire.
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« 65 % des matériaux utilisés pour les travaux sont de récupération. C’est le plus gros chantier de réemploi en France ! se félicite Katy Miesiaczek, coordinatrice administrative et financière ... structurer et professionnaliser toute une filière régionale autour du réemploi des matériaux de construction.
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"Des tiers-lieux, il y en a plein. Mais peu sont aussi engagés sur la sobriété."
Chloé Saint-Martin, ingénieure économie circulaire à l’ADEME
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les habitants sont invités à investir l’agora ou les jardins ouvriers et les écoles à venir visiter la ferme aquaponique. Les entreprises peuvent louer des bureaux, les artisans utiliser l’atelier de menuiserie. Tout cela doit contribuer à dessiner un avenir plus durable, respectueux de la planète et des humains.
6,43 k abonnés - 187+ - 8 302 vues - 60 commentaires
En 2022, le contexte géopolitique (hausse des prix des matières premières, agression russe en Ukraine) comme scientifique (rapport du GIEC) a mis en exergue la sobriété comme outil stratégique. Au-delà de la sobriété énergétique évoquée à l’automne 2022 par le gouvernement français et pourvoyeuse d’indépendance, le champ de réflexion ouvert par ce concept est bien plus vaste. Quels sont les nouveaux modèles sociaux et les nouveaux modes de consommation ? Comment comprendre le rapport à la démocratie et au contrat social, jusqu’à la conception de puissance ?
Avec Gilles Gressani, Emmanuel Hache, Yamina Saheb et Aurore Stéphant. Présentée par Julia Tasse.
Conférence filmée vendredi 29 septembre 2023 dans le cadre du festival Les Géopolitiques de Nantes. En partenariat avec l'IRIS (Institut de Relations Internationales et Stratégiques) et Nantes Métropole.
Connue / mel Sujet : [france] Influence de la sobriété dans la géopolitique
Date : Mon, 29 Jan 2024 09:07:15 -0400 de PDR
Contribution SUD-Énergie au dossier lignes d’attac #132
Pour une sobriété collective et partageuse - Janvier 2023
Contexte : consensus sur l’objectif, dissensus sur les moyens
La gravité de la crise climatique et environnementale fait aujourd’hui consensus, tout comme la nécessité et l’urgence de mesures d’ampleur et d’investissements massifs pour amoindrir ses effets et s’y adapter. Cela passe par la décarbonation de nos modes de production et la baisse de nos consommations énergétiques, évaluée à –40% dans la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) à l’horizon 2050 [1].
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Connu / TG le 12/12/23 à 09:57
Comment aller vers la sobriété dans un monde de surconsommation ? ©Getty - RapidEye
Série « « Je rêvais d’un autre monde » »
Depuis la rentrée, le mot sobriété est sur toutes les lèvres… Mais dans quelle mesure est-on vraiment prêt à la sobriété dans un monde où le fonctionnement même de la société et de l’économie est basé sur la consommation ?
Il y a 50 ans paraissait un rapport rédigé par Dennis et Donella Meadows : Les limites à la croissance. Ce livre, qui reste une référence encore aujourd'hui, mettait en évidence les risques d'effondrement de nos sociétés si ces dernières continuaient à afficher la poursuite de la croissance comme objectif.
À réécouter : 1972, le rapport Meadows : premier cri d’alarme pour la planète Affaires sensibles 54 min
Sauf que, 50 ans plus tard, force est de constater que ce rapport n'a pas entraîné de changements majeurs, changements qui auraient pu faire gagner un temps précieux dans la lutte contre le réchauffement climatique. Mais aujourd'hui, la crise écologique et économique que nous traversons pourrait être une opportunité finalement pour entrer dans une nouvelle ère.
À l'occasion de la journée spéciale Vous avez dit sobriété ?, "La Terre au Carré" reçoit Dominique Méda, professeure de sociologie à l'Université Paris-Dauphine, directrice de l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (université Paris-Dauphine-PSL) et Présidente de l’Institut Veblen.
Alors que les injonctions à la sobriété se multiplient, l'invitée rappelle qu’en matière d’écologie, le pouvoir des seuls individus demeure limité : comment diminuer nos consommations si nous continuons à vivre dans un contexte où tout nous pousse à la surconsommation ? Face aux crises écologiques en cours, nos indicateurs de richesse sont-ils encore pertinents ? Comment en finir avec le mythe de la croissance ?
Sobriété, est-ce le bon terme ?
Selon Dominique Méda, nos sociétés sont fondées sur la croissance – du PIB –, et sont quelque peu schizophrènes, dans le sens où les citoyens sont sans cesse sollicités, et excités par le fait de consommer, par le biais de publicités très peu régulées par exemple, mais il leur est aussi demandé de passer à la sobriété. La chercheuse travaille sur ces questions depuis plusieurs dizaines d'années et affirme que le constat des limites de la planète avait été fait il y a 50 ans sans que des actes ne suivent. C’est "un chantier monstrueux" qui s’annonce.
Alors que le gouvernement n’a de cesse en cette rentrée de parler de sobriété – qui signifie au départ une certaine tempérance dans le fait de boire et de manger – l’invitée s’interroge sur l’emploi de ce mot, dont la connotation "punitive et liberticide" selon elle, peut être questionnable. Elle préfère le mot de post-croissance et parle de l'ère d'une nouvelle abondance. Elle souhaite une société qui n'aurait plus de rapports d'exploitation et de conquête avec la nature, une sorte de ré-encastrement des humains dans la nature. On aurait alors des tas de bénéfices.
Sur le répondeur de "La terre au carré", une grande réflexion sur la terminologie a été menée et les auditeurs et auditrices ont proposé des mots pour décrire le grand défi à venir : "croissance adaptative", "prospérité", "partage équitable des ressources", "consommation éclairée", "pérennité", "harmonie"... Tous ces termes sont alors analysés par l'invitée.
Comment pourrait-on, concrètement, changer les choses ?
Dominique Méda l’annonce d'emblée, il faut des politiques radicales, avec un investissement massif. Les chercheurs disent qu'il faudra consacrer à ces transformations entre 30 à 60 milliards d'euros par an. Elle donne des exemples concrets de chantiers à mener :
- Rénover les bâtiments. "Après, on consommera moins de chauffage. Mais ça coûte hyper cher. Si on veut en faire suffisamment, il faut au moins 15 milliards par an."
- S’occuper des transports. "Ce sont 30% des gaz à effet de serre. Tous les gens qui sont dans la périphérie urbaine, qui ont besoin de leur voiture, il faut remplacer leurs véhicules. Et puis il faut leur donner des moyens alternatifs pour se déplacer. Alors pas nécessairement le vélo, parce que tout le monde ne peut pas se déplacer à vélo mais il faut certainement construire des tramways, des trains, des lignes secondaires, etc. Donc ça, c'est des investissements massifs qui nous permettront en effet de moins consommer d'énergie et de vivre autrement."
- Réformer le monde professionnel. "Créer de nouveaux types d'emplois. On pourrait rompre avec la division internationale du travail. Un produit fait quatre fois le tour du monde avant d'arriver chez nous. On pourrait par exemple avoir des entreprises de taille plus petite, mieux installées, mieux ancrées dans leur territoire, avec des circuits courts. Mais aussi démocratiser le travail, c'est-à-dire avoir des gens qui font d'abord un métier beaucoup plus utile. Et ça, on sait que les gens demandent beaucoup ça aujourd'hui. Un sens dans leur travail. [...]" La chercheuse parle notamment d'augmenter de façon conséquente le nombre d'agriculteurs.
- Selon Dominique Méda, il faut faire comprendre aux plus riches qu’ils doivent faire des efforts et arrêter la consommation ostentatoire. Pour elle, l'on ne peut prôner la sobriété que si on arrive à une sorte de justice dans les efforts. Ceux qui doivent faire les efforts les plus importants, ce sont les plus aisés, parce que les classes les plus modestes, elles, sont déjà à peu près au niveau.
La suite est à écouter...
Dominique Méda publie Faut-il attendre la croissance ? avec Florence Jany-Catrice, qui est paru le 20 septembre à la Documentation française dans une version actualisée.
2030 c’est demain, collectif de l’Institut Veblen, éditions Les petits matins, mai 2022.
À réécouter : Décroissance : solution ou contrainte ? La Terre au carré 53 min
Chroniques Camille passe au vert Que se cache-t-il derrière le mot "sobriété" répété par nos dirigeants ? Face à la menace de pénurie d'énergie, nos dirigeants n'ont plus qu'un mot à la bouche : sobriété. Il faut réduire notre consommation, faire des petits gestes, mais pas question pour autant de produire moins. Pas facile de tout comprendre en se plongeant dans leurs discours. 5 min
Clés : Environnement Économie Consommation Écologie Dominique Méda
Dans cette note d’analyse, l’Association négaWatt dresse un état des lieux de l’extraction du lithium, de ses impacts et des alternatives possibles à son utilisation.
Le lithium est un métal de plus en plus recherché en raison de la demande toujours plus forte pour les véhicules électriques. Les projections indiquent ainsi que la consommation de lithium pourrait être huit fois supérieure à la production minière actuelle mondiale d’ici 2040.
Cette augmentation soulève de nombreuses questions, concernant notre capacité à extraire de grandes quantités de lithium, la faisabilité industrielle de son exploitation , la dépendance accrue de l’Europe envers d’autres pays ou bien entendu les impacts sanitaires, sociaux et environnementaux.
L’Association négaWatt examine la place de ce métal dans un scénario de transition énergétique et propose des alternatives possibles à son extraction ; elle évoque également le projet de mine dans le département de l’Allier et montre que l’électrification totale du transport routier français ne sera pas soutenable sans mesures de sobriété.
ADEME Infos (https://infos.ademe.fr/le-dossier/plastiques-la-sobriete-avant-le-recyclage/)
Plastiques : la sobriété avant le recyclage - ADEME Infos
Retrouvez l'ADEME magazine du mois de juin 2023, avec son dossier sur les plastiques mais aussi des articles sur de nombreuses initiatives de terrain.
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Connu / TG le 29/06/23 à 10:54
Photos Blocage de l'AG de Total par des militants climat / Corinne Morel Darleux / Exposition Urgence Climatique à la Cité des Sciences ©AFP
Le 25 mai 2022 plus de 300 manifestants avaient bloqué l’AG de TotalEnergies, qui avait finalement été annulée et reportée pour se tenir à huis clos en distanciel Le 26 avril dernier, une coalition d’associations réunissant 350.org, Alternatiba, Amis de la Terre France, ANV-COP21, Attac France, Extinction Rebellion France, Greenpeace France, Scientifiques en Rebellion, publiait un communiqué sous forme d’avertissement à l’attention des actionnaires de TotalEnergies conviés aujourd'hui :
« Le vendredi 26 mai, Total s’apprête une fois de plus à célébrer ses bénéfices record, à coup de champagne et de petits fours, alors que 2023 s’annonce déjà comme une des années les plus chaudes jamais enregistrées sur Terre. »
Juliette Renaud, responsable de campagne sur la régulation des multinationales pour les Amis de la Terre et Gabriel Mazzolini, chargé de mobilisation pour les Amis de la Terre depuis 2015.
Publicité omniprésente, influenceurs sous contrat, milliardaires érigés en modèles, profits records et jets privés... À l’ère du « toujours plus », la bataille contre le consumérisme semble perdue. Pourtant les activités humaines créent des dégâts à un rythme effréné. Et de plus en plus de personnes prônent une décroissance énergétique et matérielle.
Dans un texte incisif et nécessaire, "Être heureux avec moins ?", Corinne Morel Darleux s’interroge sur la possibilité d’être heureux en possédant moins. Dans un monde absurde qui détruit la biosphère, prendre conscience de notre dépendance à la consommation est un premier pas crucial pour limiter le superflu et vivre mieux. Les deux caps à tenir : l'éthique et le discernement, quand on a la possibilité de pouvoir limiter sa consommation, il faut le faire. Mais au-delà du niveau individuel, une bataille culturelle doit être menée, et la jeunesse a un rôle à jouer dans ce discernement.
Comment être heureux avec moins ? Comment réussir à limiter sa consommation, à discerner l'utile du superflu ?
Corinne Morel Darleux essayiste et romancière, elle est très impliquée dans les réseaux militants. Son essai "Être heureux avec moins ?" est publié aux éditions La Martinière, dans la collection ALT.
L’exposition Urgence Climatique est la nouvelle exposition permanente de la Cité des Sciences. Elle présente une vue d’ensemble des dispositifs qui permettent la décarbonation et la résilience de nos sociétés. L’objectif est double : atténuation et adaptation, le tout centré sur la sobriété. Avec les rapports et les alertes qui se multiplient, l’objectif de l’exposition n’est pas tant d’informer le public sur les mécaniques du réchauffement climatique, déjà largement documentées, que sur les actions et engagements nécessaires pour réinventer notre façon de vivre. “Les solutions nous les avons, nous les connaissons et nous devons désormais les mettre en pratique”, affirme Jean Jouzel, paléoclimatologue et commissaire scientifique de l'exposition. C’est là le ton de l’exposition : inspirer le passage à l’action chez les visiteurs, en montrant ce qu’il se fait déjà de manière complète et complexe, qu’il s’agisse de nos modes de déplacement, de nos pratiques agricoles ou de nos habitudes alimentaires. Divisée en trois pôles complémentaires (Décarbonons, Anticipons, Agissons), l’exposition traite frontalement le sujet : elle explique non seulement le phénomène scientifique de la crise climatique, mais parle surtout des choix de société que nous devons prendre dès maintenant pour créer des futurs possibles, vivables et désirables.
Comment habiter la Terre ? Comment préparer les jeunes d’aujourd’hui au monde de demain ? Comment transformer nos sociétés et faire face durablement aux changements climatiques ?
Pour en parler, Adrien Stalter, muséographe et Co commissaire de l’expo Urgence climatique.
Énergies - 48 commentaires
Les conclusions d’un vaste débat national sur la relance d’un programme nucléaire ont été dévoilées mercredi 26 avril. La portée est toute relative car le gouvernement a déjà tranché. Néanmoins, elles livrent quelques enseignements et en particulier sur la place centrale des questions de sobriété.
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un rapport de quatre-vingts pages a été mis en ligne, ce mercredi 26 avril, dressant un vaste état des lieux de la controverse et des enjeux entourant la relance d’un programme nucléaire et pour commencer la construction de deux nouveaux réacteurs à Penly en Normandie. Budget total : deux millions d’euros. Le tout pour débattre d’une question qui finalement a été tranchée par le gouvernement avant la fin du débat. L’exercice de démocratie participative a donc largement tourné à l’absurde.
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Photo Séance de débat sur le nucléaire organisé par la Commission nationale du débat public (CNDP) à Lyon, le 2 février 2023. © Photo Nicolas Liponne / Hans Lucas via AFP
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L’Ademe – l’agence publique de la transition écologique – a défendu, elle, une autre vision : « Cette question de la sobriété est clairement celle qui permet d’aller le plus vite par comparaison avec la construction de tout autre moyen de production. Réduire notre consommation va plus vite. »
Même ligne dans les avis « citoyens » issus de ce débat comme celui du conseil régional des jeunes de Normandie : « Il nous paraît nécessaire de penser une société dans son ensemble où l’on consomme moins. Ainsi, nous souhaitons que les décideurs prennent au sérieux leur rôle pour sensibiliser et réguler afin d’aller vers un modèle énergétique sobre et vivable. »
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Dans sa conclusion, la CNDP souligne plus largement que « des questions essentielles sont sans réponse complète ou même partielle » sur « la place du programme dans le paysage énergétique des décennies à venir, sur ses garanties techniques, professionnelles et sociales, sur son financement et sa justification économique et environnementale par rapport à d’autres options, ou encore sur la prise en compte des incertitudes climatiques et géostratégiques ».
Un débat confisqué
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des amendements ne se glissent dans un projet de loi sur l’accélération des procédures nucléaires voté par le Sénat en janvier et l’Assemblée nationale deux mois plus tard. En permettant la construction de nouveaux réacteurs, ils ont empêché le débat public de se poursuivre normalement.
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À la suite de ce vote, les acteurs antinucléaires, comme Greenpeace ou le Réseau Sortir du Nucléaire, ont quitté la table des discussions et les débats organisés à Lille et Lyon n’ont pas pu se tenir en raison de manifestations.
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Connu / TG le 27/04/23 à 09:04
Opinion - 6 min / Eloi Laurent Economiste, professeur à Sciences Po et à l’université de Stanford
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après l’hiver de la sobriété énergétique, vient l’été de la sobriété hydrique.
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à l’été 2022, la France est entrée et pour longtemps dans l’ère des chocs écologiques et des doutes économiques : eau, énergie, climat, alimentation, toutes les ressources essentielles à la vie sont touchées ces derniers mois et toutes sont concernées par la nécessaire réinvention du modèle économique dominant.
Pédagogie de la catastrophe
... l’Ademe indique que « les Français sont désormais 51 % à déclarer avoir subi "souvent ou parfois" les conséquences de désordres climatiques (contre 27 % en 2015) » et que « 93 % désireraient revoir en partie ou complètement le système économique et sortir du mythe de la croissance infinie ». ... expérience intime de la déstabilisation de la biosphère ... d’un côté la sobriété désigne positivement une situation dans laquelle des ressources limitées (limites planétaires) sont utilisées pour satisfaire des besoins raisonnés (l’économie essentielle), ce qui peut se traduire par un état défini normativement comme un niveau de vie universel décent compatible avec les limites de la biosphère ; de l’autre, que les politiques de sobriété sont des mesures visant à assurer cette compatibilité.
https://www.calameo.com/read/000215022b1d91911d274
La sobriété peut ainsi être appliquée à un large éventail de dimensions du bien-être humain (santé, nutrition, éducation, mobilité, etc.) et les politiques de sobriété porter aussi bien sur l’offre que sur la demande ce qui permet de combiner transformations structurelles et conversions individuelles. On comprend immédiatement que cette sobriété-satiété est une sobriété-partage, qui devient d’ailleurs le point de convergence des courants de la post-croissance (décroissance, économie du donut, économie du bien-être) qui se retrouveront en mai au Parlement européen.
Retour à Epicure
... dans sa Lettre à Ménécée ... détournement de pensée qui consiste à présenter l’épicurisme comme une école de la jouissance sans contrainte. Le chercheur Ian Gough a récemment actualisé la pensée épicurienne en définissant trois principes au sujet des besoins humains :
- les besoins humains sont universels ...
- ces besoins universels diffèrent des processus visant à les satisfaire ...
- les « nécessités » désignent alors l’ensemble des biens et services considérés comme un minimum acceptable pour satisfaire les besoins humains dans une société donnée, ce qui les distingue du luxe ...
...
Pour espérer maîtriser nos crises écologiques dans la justice, il nous faudra une débauche de sobriété-partage.
La torréfaction solaire (rediffusion) - Lundi 24 avril 2023 / Esprit d'initiative
Arnaud Crétot, créateur de NeoLoco, devant les miroirs de son four solaire Lytefire. ©Radio France - Lionel Thompson
Faire du pain ou torréfier des graines avec la seule énergie du soleil, c'est possible, même en Normandie ! Arnaud Crétot, "ingénieur-artisan" en fait la démonstration depuis plusieurs années dans les environs de Rouen.
Rediffusion de la chronique du 05 janvier 2023.
Clés : Société Environnement Développement durable Artisanat Innovation Énergies renouvelables Soleil
L'équipe Lionel Thompson
Tr.: ... Faire du pain ... concentrateur solaire ... 69 miroirs, four 300°C ... lentilles en cours de torréfaction ... grille graines locales ... recettes à base de graine ... tournesol, café de lentilles, 7 à 8 tonnes / an ... on priorise les tâches le jour où l'énergie est disponible, sinon, je fais de l'emballage etc ... j'ai toujours des produits en stock. L'énergie est stockée dans les produits finis ... ingénieur de formation, avait créé l'association des vagabonds de l'énergie ... sur la façon dont nous pouvons développer une économie plus sobre. Les énergies intermittentes ne sont pas adaptées à faire tourner l'économie pensée sur des énergies continues. Mais par contre, si on a des organisations économiques qui sont pensées pour tourner avec des énergies intermittente, il n'y a aucun problème. On veut des boulangers qui fournissent du pain et qui soient durables, mais pas pour les dix prochaines années, mais pour dans cent ans. Donc il faut des modes d'organisations qui soient vraiment soutenables ... pas de choix techniques mais choix de société. Il a publié livre "La boulangerie solaire" aux éditions Terres vivantes.
1 888 signatures (23 180 au 23/7/23, 44415 au 27/8)
Destinataire(s) : Emmanuel Macron, Président de la République ; Elisabeth Borne, Première Ministre ; Bruno Le Maire, Ministre des finances ; Clément Beaune, Ministre des Transports
Campagne lancée par Oui au train de nuit !
Catégories Climat, sobrité, transports et urbanisme
... se mobilise depuis 2016. En 2021 un rapport officiel, le "rapport TET", a confirmé la pertinence de construire 600 nouvelles voitures de trains de nuit pour relancer un réseau complet. Mais, depuis, l’État a réduit l'ambition et il reporte l'investissement d'année en année... au point que les nouveaux trains de nuit risquent de ne pas rouler avant 2030. Face aux enjeux climatiques et énergétiques, il convient au contraire d'augmenter l'ambition et d'accélérer.
...
Nous, signataires de la pétition, demandons à l’État d’augmenter l’ambition pour les trains de nuit pour :
1) Financer dès 2023 la construction de 600 voitures, avec une extension optionnelle à 1200 voitures.
2) Créer de nouvelles lignes de nuit région-région, en particulier sur les transversales Est-Ouest.
3) Mieux desservir l’ensemble des territoires excentrés et de montagne.
4) Prévoir aussi du matériel pour relancer des trains de nuit internationaux en coopération avec les pays voisins et/ou les opérateurs.
france-5 Magazines 1 h 8 min tous publics Vidéo sous-titré - diffusé le 30/03/23 à 17h43 Disponible jusqu'au 29/04/23
C’était son premier déplacement en région depuis plus de deux mois. Emmanuel Macron s’est rendu ce jeudi à Savines-le-Lac dans les Hautes-Alpes, dans un contexte social très tendu, pour présenter son plan de gestion de l’eau à court et plus long termes face au réchauffement climatique. Le chef de l’État qui veut tourner la page des retraites s’est déplacé sous bonne escorte dans ce village des Hautes-Alpes où des dizaines de manifestants l’attendaient. Klaxons, appels à la démission et au retrait de la réforme… Syndicalistes et habitants de la commune ont réservé un accueil tout particulier au convoi du chef de l’État qui les a soigneusement évités pour rejoindre le lac de Serre-Ponçon.
À peine arrivé, le président de la République s’est exprimé sur la crise sociale mais reste inflexible. "Il y a une contestation sociale qui existe sur une réforme mais cela ne veut pas dire que tout doit s’arrêter". Il est "normal" que des manifestants soient présents en marge de ce déplacement. "Il y a des équipes qui sont là, le dialogue se poursuit", a-t-il dit, ajoutant qu’il était là "aujourd’hui pour parler d’un sujet essentiel" concernant "l’eau et la sécheresse".
Comment partager l’eau quand on en a moins ? Alors que le pays est touché par une sécheresse inédite, que l’Onu et le Giec prédisent une crise imminente de l’accès à l’eau, et que la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a commencé hier à examiner une requête pour "inaction climatique" visant la France, le chef de l’Etat a présenté son plan. Cinquante mesures pour passer l’été et les années à venir visant notamment à recycler davantage les eaux usées. Emmanuel Macron veut passer à 10% de réutilisation des eaux usées en France d’ici 2030, contre 1% actuellement. Loin derrière nos voisins européens, et notamment l’Espagne qui en recycle déjà 14%. Le président veut dans le même temps 10% d’économies d’eau dans tous les secteurs. Un "plan de sobriété sur l’eau" va être également demandé "à chaque secteur" d’"ici à l’été" pour faire face à la sécheresse et un outil de mesure similaire à celui de l’énergie, l’écowatt de l’eau, va être mis en place. Le chef de l’État a indiqué redouter "des situations de grand stress l’été prochain" dans certaines communes alors que déjà 15 départements sont actuellement en vigilance, alerte ou alerte renforcée sécheresse, en totalité ou partiellement, et que six d’entre eux ont déjà pris des mesures de restriction d’eau. Une situation qui pousse aussi les maires de plusieurs communes notamment dans le Var à interdire la construction de nouvelles piscines et parfois même de stopper net tout nouveau projet d'habitation.
Pour pousser les Français à la sobriété, Emmanuel Macron a aussi dit souhaiter qu’une "tarification progressive" de l'eau, déjà en place dans certaines villes comme à Montpellier, soit "généralisée en France". En clair : plus vous utilisez de l’eau, plus vous payez.
Le chef de l’État a par ailleurs plaidé pour la création d'un "fonds pour l'hydraulique agricole" et l'accélération des projets notamment des bassines : "Il faut certains endroits avec de nouveaux ouvrages et pour cela il faut un cadre clair. Il ne s’agit pas de privatiser l’eau ou permettre à certains de se l’accaparer. La règle, c'est le partage entre les différents usages, agricoles et touristiques", a assuré Emmanuel Macron. Il faudra que les nouvelles retenues "soient conditionnées à des changements de pratique significatives et individualisées avec des économies d'eau et la réduction de l'utilisation des pesticides", a ensuite indiqué le président alors que la bataille contre les mégabassines s’intensifie dans le pays. De violents affrontements entre militants et forces de l’ordre ont eu lieu le week-end dernier à Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres lors d’une manifestation contre le projet de construction d’un de ces réservoirs de plusieurs hectares destinés aux agriculteurs.
Alors quel est plan d’Emmanuel Macron pour améliorer la gestion de l’eau en France ? A quoi doit-on s’attendre cet été et les années à venir ? Les évènements de Sainte-Soline sont-ils un avant-goût de nombreux autres conflits à venir ? Comment distribuer et répartir l’eau quand elle se fait plus rare ?
Invités :
- Christophe Barbier, éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur
- Marc Lomazzi, journaliste, auteur de "France 2050, Le scénario noir du climat"
- Esther Delbourg, économiste, spécialiste des questions de ressources en eau
- Soazig Quéméner, rédactrice en chef du service politique - Marianne
Présenté par : Caroline Roux, Axel de Tarlé
Ndlr : Esther Delbourg valide le point de vue hydrologique de BNM ++
ENVIRONNEMENT - Le bataille de l’eau ne connaît pas la trêve. Après un hiver historiquement sec, des millie ...
Connu / TG le 26/03/23 à 19:12
REPORTÉE !
Greenpeace Poitiers @86Greenpeace
Conf-débat #Greenpeace-#UniversitéDePoitiers
« Transition énergétique : De l’exubérance à la sobriété »
23 mars 2023 de 18h à 20h
Avec:
– Thierry SAUZEAU : « relations sociétés-énergies : produire, se chauffer, se déplacer. »
– N. NACE : « Scénario de transition énergétique »
11:03 AM · 22 mars 2023
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Salle des conférences de la MSHS (Maison des Sciences de l'Homme et des Sociétés)
Bâtiment A5 - 5 rue Théodore Lefebvre TSA 21103, 86073 POITIERS Cedex 9, France
#ConfDébatTEsobrietéPoitiers #TransitionÉnergétique #Exubérance #Sobriété #Poitiers #Greenpeace @UnivPoitiers
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Bonjour, la conférence de demain est reportée :)
Greenpeace Poitiers
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Interv.:
–Thierry SAUZEAU Prof. d’histoire moderne, UFR-SHA Université Poitiers «Brève histoire des relations sociétés-énergies : produire, se chauffer, se déplacer»
–Nicolas NACE Chargé de campagne Nucléaire-Trans.én. Greenpeace France « Scénario de transition énergétique »
5/n
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Cette conférence est publique et sans inscription préalable.
Un échange avec les membres du groupe local Greenpeace Poitiers est organisé en amont et après la conférence.
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Greenpeace Poitiers
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En amont, atelier l’après-midi autour ds projets d’étudiants de l’IAE Poitiers / campagnes de communication concernant la transition énergétique, réalisées / organismes publics ou privées cs dernières années, en analysant leurs causes de réussite ou d’échec auprès ds citoyens
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Troisième édition du partenariat Greenpeace-Université de Poitiers:
Dans ce cadre, l’université de Poitiers et Greenpeace France organisent le 23 mars 2023 un atelier-débat suivi d’une conférence sur le thème
« Transition énergétique : de l’exubérance à la sobriété ».
3/n
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@86Greenpeace
Chaque projet donnera lieu à un temps d’échanges entre étudiants IAE et IUT Génie thermique & énergétique, des enseignants de différentes composantes de l’université (SFA, IAE, IUT, ENSIP, SHA) et des chargés de campagne Nucléaire-Transition énergétique de Greenpeace France
7/n
Greenpeace Poitiers
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@86Greenpeace
Ces échanges permettront d’illustrer les aspects sociétaux et sociaux, leviers incontournables des politiques de transition énergétique.
Contact médias : Christiane QUEYREIX 07 81 66 30 81
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@NaceNicolas
#ThierrySauzeau #UniversitéDePoitiers #Poitiers #Conférence #ConfDébatTEsobrietéPoitiers #TransitionÉnergétique #Exubérance #Sobriété #Énergie #Climat #Société #Scénario #Production #Chauffage #Déplacement #Mobilité
#Vienne #NouvelleAquitaine #France
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➡️ La sobriété gagnante : https://lasobrietegagnante.fr/
164 milliards : c'est le déficit commercial de la France sous Macron. Un trou, un gouffre, gigantesque, mais qu'ils veulent masquer, oublier. Alors, comment stopper l'hémorragie ? Benjamin Brice y répond, dans "La Sobriété gagnante" : non plus par l'obsession d'exporter, par la compétitivité, mais par moins importer. Sauver notre économie et la planète en même temps !