Connu / TG le 23/08/24 à 13:05
Rejet des eaux radioactives de Fukushima : La CRIIRAD nous révèle les conclusions de son étude - 12 avr. 2024 / François Thiollet
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La délégation française du groupe des Verts/ALE au Parlement européen a sollicité la CRIIRAD pour effectuer effectuer une analyse critique sommaire du rejet des eaux radioactives de la centrale de Fukushima Daiichi, afin de répondre de manière synthétique à un certain nombre de questions régulièrement posées, et apporter clarification et mise en perspective.
Le 11 mars 2011, un séisme, puis un tsunami ont provoqué l’une des plus grandes catastrophes nucléaires de l’histoire, entraînant la fusion de trois des six réacteurs nucléaires de la centrale de Fukushima Daiichi au Japon. 12 ans plus tard, le déversement des eaux de la centrale dans le Pacifique pose de nombreuses interrogations.
Pourquoi faut-il tant d’eau pour Fukushima ? Quels sont les éléments radioactifs rejetés par la centrale dans le Pacifique ? Quels en sont les impacts sur la biodiversité marine ? Quels sont les risques de la banalisation des pollutions radioactives des eaux, à Fukushima et ailleurs, en France notamment ? Tant de questions auxquelles tente de répondre cette étude.
Retrouvez l'étude dans son intégralité sur le site https://europeecologie.eu/etude-fukushima-eaux-radioactives
Plus d'infos sur le travail de la CRIIRAD sur leur site https://www.criirad.org
Retrouvez toute notre actualité sur nos sites internet
Tr.: françois ... Bruno ... Caroline ... 10 000 milliards de beckerels rejetés à La Hague ... iode 129, période de 7 millions d'années ... baisser les rejets ... augmeter la capacité de stockage des réservoirs pour diminuer la quantité de tritium rejeté ... du tritium dans l'eau du robinet en aval des centrales ... /changement climatique 2000 Mw de chaleur perdues ... 11% consommé par les centrales en france ... ex. Rhône, Loire ...
Douze ans après l’accident nucléaire de Fukushima, le Japon s'apprête à rejeter des millions de litres d'eau contaminée dans l'océan
Techniquement, tout est prêt, selon l’exploitant Tepco. L’Agence Internationale de l’Énergie atomique vient aussi d’assurer ...
Connu / TG le 27/07/23 à 16:23
100 Pages Timothy Mousseau et Sarah A. Todd de University of South CArolina
Date Written: April 11, 2023
Abstract
Nuclear energy and its derivatives have long been the subject of considerable debate. Tritium, or H3, the lightest of all radionuclides, is usually the single largest radioactive substance emitted as a part of normal nuclear power plant operations. Because H3 is a low energy beta emitter it is often discounted as a threat to biological systems. Given the planned release of 1.3M tons of tritiated water to the Pacific Ocean at the Fukushima Daichi Nuclear Power Plant, there is great interest concerning what is known concerning its effects on biological systems, including humans.
As a first step towards addressing these concerns, we have generated a database of the scientific and grey literatures based on studies that might have some bearing on this issue. Using ISI’s Web of Science, Google Scholar, and EBSCO Academic Search Complete, we scanned over 700,000 references to tritium to arrive at about 250 studies that addressed some aspect of its biological consequences. The first conclusion from this review is that there is surprisingly sparce coverage of a topic of such great concern to so many. There are no published studies of tritium effects on human cancers, and very few of tritium effects in natural systems. The vast majority of studies of tritium effects have been conducted using laboratory organisms, making extrapolation to natural conditions tenuous. Our second conclusion is that contrary to some popular notions that tritium is a relatively benign radiation source, the vast majority of published studies indicate that exposures, especially those related to internal exposures, can have significant biological consequences including damage to DNA, impaired physiology and development, reduced fertility and longevity, and can lead to elevated risks of diseases including cancer. Our principal message is that tritium is a highly underrated environmental toxin that deserves much greater scrutiny.
Keywords: Tritium, HTO, H3, radiation, nuclear accidents, Fukushima
Connue / GPF
Traduction de la dernière phrase du résumé "Contrairement à la pensée courante que le tritium est une source de radiation relativement bénine, la majorité des publications indique qu'une exposition, particulièrement celles internes, peuvent avoir des conséquences biologiques significatives incluant des dommages à l'ADN, ???, réduction de la fertilité et de la longévité, et peuvent augmenter le risque de dégats incluant des cancers. Notre principal message est que le tritium est une toxine sévère dans l'environnement qui fait des dégats sévères dans l'environnement??"
Décidemment, la catastrophe de Fukushima n’en finit pas. Après les explosions ...
Connu / TG le 24/05/23 à 12:31
4.217 signatures - 12 commentaires
Nature et environnement
Auteur(s) : Gerdi/
Destinataire(s) : https://www.acro.eu.org
La pétition
L’opérateur de la centrale accidentée de Fukushima (Tepco) avait annoncé le 25 août 2021 vouloir déverser dans l’océan plus d’un million de tonnes d’eau contaminée, issue des opérations de refroidissement des réacteurs endommagés par le séisme et le tsunami géant en 2011.
Douze ans après Fukushima, la pollution radioactive reste très élevée et le Japon va déverser dans l’océan Pacifique ces plus de 1 000 réservoirs d’eaux usées produites par le refroidissement des réacteurs de Fukushima.
...
L'eau tritiée étant très semblable à de l'eau ordinaire, son importance en radiotoxicité dépasse celle du gaz tritium parce qu'elle est assimilée par l'organisme représentant un grave danger sur la santé publique des populations du pacifique : îles et archipels français d'Océanie, Australie...
Après la présentation du plan de relâchement des eaux, l’Institut océanographique américain de Woods Hole (Massachusetts) a signalé que les eaux traitées comprennent toujours des isotopes tels que le carbone 14, le cobalt 60 et le strontium 90. Ils sont toxiques et peuvent être incorporés dans la faune et la flore marines ou les sédiments du fond marin.
Aussi, le gouvernement Japonais n’a pas de retour fiable sur les études scientifiques, le gouvernement Japonais doit faire preuve de recul sur les conséquences à venir pour notre planète.
Des témoignages montrent que des habitants ont perdu leurs cheveux, ainsi que des enfants qui jouaient avec la poussière des retombées. Aussi, quelques années plus tard, les taux de cancers ou de malformations congénitales y sont toujours élevés.
La Polynésie française et des îles australiennes ont aussi souffert des retombées radioactives, moins intenses toutefois, cependant l’océan ne connaît pas de frontière et se chargera de mettre à la dérive l’intégralité de ses eaux usées dans l’océan du Pacifique.
James Bhagwan, un militant anti-nucléaire fidjien dit « Nous avons l’habitude d’être le dépotoir en ce qui concerne la question des déchets nucléaires » , récemment interrogé par le magazine « Vice américain ».
...
Mouvement pour la sécurité de la planète.
Connu / TG le 17/05/23 à 13:13
Connu / TG le 29/03/23 à 12:12
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la chaîne youtube: les voix du victimes du nucléaire: il y aura des suites des témoignages de Mme Kanno et Mme Morimatsu. Et d'autres versions sous-titrées, anglais, français, allemand : https://www.youtube.com/channel/UCQUyQnwfPRl9J9tkdv6izQw
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Connu / TG le 13/03/23 à 14:56
129 abonnés - 8+ - 24 vues - 2 commentaires PLACE DE LA RÉPUBLIQUE
🗣️"On peut vraiment faire une bifurcation énergétique avec sobriété, avec des renouvelables, et puis on va surtout avoir une société beaucoup plus démocratique ou on définit nous-mêmes dans quelle genre de société on veut vivre [...] Donc sortons du #nucléaire !"
#Fukushima
Connue / https://twitter.com/ErsiliaSoudais/status/1635345111340158976
Ersilia Soudais ⚽🐢✌@ErsiliaSoudais
🗣️"On peut vraiment faire une bifurcation énergétique avec sobriété, avec des renouvelables, et puis on va surtout avoir une société beaucoup plus démocratique ou on définit nous-mêmes dans quelle genre de société on veut vivre [...] Donc sortons du #nucléaire !"
1 805 vues 1:57 7:20 PM · 13 mars 2023 · 6 154 vues 27 Retweets 8 Tweets cités 68 J'aime
- La vidéo complète est ici avec @yukitakahata @sdnfr
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« Le nucléaire n’est pas sûr, bon marché et propre » : la lettre de politiques japonais contre le label « vert » européen embarrasse Tokyo
La démarche de cinq ex-premiers ministres coïncide avec la plainte déposée contre Tepco, opérateur de la centrale de Fukushima Daiichi,
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*Connu / tg 4/2/22 17:02
Depuis maintenant 10 ans, l’Université de Médecine de Fukushima (la FMU) examine à intervalles réguliers la thyroïde de personnes qui vivaient dans la préfecture de Fukushima au moment de la fusion des cœurs et avaient à l’époque moins de 18 ans.
© Ian Thomas Ash / www.documentingian.com
Au départ, le groupe concerné comprenait environ 368 000 individus. Les premières années, on a tout de même réussi à examiner quelque 300 000 d’entre eux. Après la première série de dépistage (2011-2014), le suivi de dépistage de ces enfants a eu lieu ensuite tous les deux ans. La seconde enquête est déjà terminée, la troisième tire à sa fin ; la quatrième dure déjà depuis 2018 et depuis 2020, nous sommes dans la cinquième.
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Connu / https://twitter.com/flashgamma/status/1467513869421658113
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flashgamma @flashgamma · 4h En réponse à @JLMelenchon - 3 - 0 - 0
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Ndlr: article complet nécessite un compte :-(
Connu / https://twitter.com/flashgamma/status/1467513869421658113
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flashgamma @flashgamma · 4h En réponse à @JLMelenchon - 3 - 0 - 0
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Corinne Lepage @corinnelepage
https://youtu.be/giKSS42h2gg via @YouTube
à revoir et à méditer : des responsables comme l ambassadeur vs des irresponsables et des manipulateurs #nucleaire #fukushima et un comportement qui rappelle la #COVID__19
7:06 PM · 10 juil. 2020·- 10 Retweets 1 Citer le Tweet 17 J'aime
Le dixième anniversaire de la catastrophe nucléaire de Fukushima, le 11 mars 2021, sera probablement marqué par de nombreux bilans et récits rétrospectifs. On peut parier que peu d’entre eux proposeront un angle aussi original que le livre Radiations et révolution, paru à la fin de février. Rédigé par Sabu Kohso, un théoricien japonais des …
Catégories Histoire de l'énergie, Idées et références
Quelle est la quantité de tritium (1) dans les réservoirs de Fukushima ?
- L'activité était de 817 TBq de tritium (3) le 30/3/2013 (1 Térabecquerel = 1000 milliards de Becquerels ; 1 Bq c'est une désintégration par seconde) (2).
- Elle était de 760 TBq le 24/03/2016 (4)
- Elle était de 869 TBq le 12 mars 2020 (5)
Environ deux grammes de tritium à Fukushima sont à l’origine de cette activité, ces deux grammes sont dilués dans un million de m3, mais la dangerosité de ce produit est très sous-évaluée ! ... En prolongeant la courbe, le total actuel (fin mars 2021) ne devrait pas dépasser 900 Tbq.
À la Hague, le maximum du rejet autorisé de tritium dans l’eau est de 18 500 TBq / an, et le maximum de rejet autorisé de tritium gazeux est de 150 TBq/an (record de 71,6 TBq de rejet dans l’air en 2017, voir la très intéressante note sur le tritium (6).
Cependant, nous devons tenir compte du rejet liquide réel annuel qui était de 13 200 TBq en 2019.
...
en un an, la Hague déverse dans la Manche au moins douze fois autant de tritium que tout ce qui se trouve dans les réservoirs de Fukushima !
Dans le cas du maximum autorisé, cela donnerait (900/18500)*365 = 17,8 jours.
Dans tous les cas, le rejet annuel de tritium "liquide" à la Hague est bien plus élevé que tout ce qui se trouve dans les réservoirs de Fukushima (10) !
Nous remercions l’ACRO pour sa collaboration.
(10) Nous ne comparons que les quantités de tritium. Il y a bien d’autres éléments radioactifs dans les rejets de l’usine de La Hague et dans les cuves d’eau contaminée de Fukushima. Pour ce qui concerne La Hague, les autres radionucléides sont les iodes, le carbone 14, le strontium 90, les césiums 134 et 137, le ruthénium 106, le cobalt 60 et plus de 60 autres émetteurs alpha, bêta et gamma (même source que la note 9, tableaux 8-1 à 8-5 p. 21 à 25 du volume 1).
Connu / https://wegreen.fr/group/nucleaire-renouvelables/publication/le-monde-du-13-avril-2021-le-rejet-des-eaux-radiocatives
Fukushima: l’eau contaminée sera rejetée dans l’océan - 13 avril 2021 Par Jade Lindgaard | Mediapart
Nucléaire, la catastrophe qui dure - 20 commentaires
Le Japon annonce qu’il va rejeter dans l’océan Pacifique l’eau contaminée issue de la centrale. Pour l’auteur et théoricien Sabu Kohso, c’est une « catastrophe éternisée » dont les effets nourrissent un « capitalisme apocalyptique ».
...
Y persistent au moins soixante-deux nucléides, dont du strontium-90 et du césium-137, à des niveaux supérieurs aux normes environnementales, selon l’Autorité japonaise de régulation du nucléaire ... Pour Pékin, « l’océan est la propriété commune de l’humanité » et le rejet des eaux « n’est pas une question qui relève des affaires intérieures japonaises ». Le gouvernement chinois estime qu’une telle mesure ne devrait pas pouvoir être prise « sans autorisation » ni sans consultation et accord avec « les différents pays concernés » et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA)
...
Mots-clés Capitalisme dystopie Fukushima Sabu Kohso technologie
Connu / https://wegreen.fr/group/nucleaire-renouvelables/publication/le-monde-du-13-avril-2021-le-rejet-des-eaux-radiocatives
CRIIRAD @CRIIRAD · 11 mars
{1/3} Rapport du 9/03/2021 : l'@UNSCEAR affirme, en opposition aux résultats de plusieurs études indépendantes, que l'augmentation importante au #Japon de l'incidence des #cancersdelathyroïde chez les enfants n'est pas le résultat d'une exposition aux rayonnements de #Fukushima.
CRIIRAD @CRIIRAD En réponse à @CRIIRAD {2/3} La @CRIIRAD s'élève contre ces conclusions catégoriques peu scientifiques
➡️ https://urlz.fr/f7vi et invite à visionner l’intervention de la Docteure en #médecine Hisako Sakiyama lors du webinaire CRIIRAD du 6/03/21
➡️ Intervention Hisako Sakiyama - Webinaire "Fukushima 10 ans : quelles...
Découvrez ou redécouvrez la présentation d'Hisako Sakiyama lors du webinaire CRIIRAD "Fukushima 10 ans : quelles réalités ?" du samedi 6 mars 2021.Docteure e...
6:50 PM · 11 mars 2021·- 10 Retweets 16 J'aime
CRIIRAD @CRIIRAD · 11 mars En réponse à @CRIIRAD {3/3} Madame Sakiyama démontre, sur la base des chiffres officiels produits par l'Université Médicale de #Fukushima, que l'augmentation du nombre de #cancersdelathyroïde chez les enfants ne peut plus se justifier par un effet de dépistage, comme l’affirme l’@UNSCEAR.
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/ L'auteur·e Ivan Villa, Cadre - anti-nuke - CGT - Allemagne - Argentine - Mongolie 1498 billets 4 éditions 47 articles d'éditions 166 liens 297 favoris 82 contacts
Catégories Histoire de l'énergie, Idées et références
Le dixième anniversaire de la catastrophe nucléaire de Fukushima, le 11 mars 2021, sera probablement marqué par de nombreux bilans et récits rétrospectifs ... peu d’entre eux proposeront un angle aussi original que le livre Radiations et révolution, paru à la fin de février. Rédigé par Sabu Kohso, un théoricien japonais des luttes sociales et un militant anticapitaliste de longue date, il raconte comment les citoyens et les groupes sociaux se sont positionnés face à la catastrophe et comment les diverses réponses se sont inscrites dans la continuité des luttes amorcées dans la foulée de la destruction d’Hiroshima et de Nagasaki en 1945.
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La thèse de l’ouvrage est assez complexe et emprunte à plusieurs courants de la pensée marxiste et altermondialiste. Elle présente l’industrie nucléaire comme le résultat d’une alliance malsaine entre le capital, l’État et l’armée et l’un des visages d’un capitalisme apocalyptique nous menant par touches imperceptibles vers un monde dystopique et hostile au vivant. En ce sens, les radiations s’accumulent et menacent la vie tout autant que les polluants chimiques, le plastique ou les changements climatiques. L’industrie nucléaire, entourée de secret et incompréhensible au commun des mortels, porte en soi les germes d’un État de plus en plus technocratique et autoritaire.
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nucléotides, les particules issues de la fission de l’uranium, qui se diffusent dans la chaîne alimentaire et ont effet permanent aux fois ingérées et fixées par les organismes vivants – y compris chez l’être humain.
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L’auteur fait de grands efforts pour relier son propos à diverses théories sociales et philosophiques. La géophilosophie de Deleuze et Guattari forme l’un des principaux fils conducteurs de l’ouvrage, mais on trouve aussi des références aux théories de la domination de la technique (notamment celle de Günther Anders) et à divers ouvrages relevant des traditions marxistes et altermondialistes. Kohso inscrit la résistance à Fukushima dans la continuité des luttes militantes des années 1960, elles-mêmes présentées comme une réaction à la mainmise de l’État capitaliste nucléarisé mis en place au Japon dans les années 1950.
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il présente le Japon autrement que sous l’angle de la société hautement consensuelle et conformiste que nous imaginons volontiers en Occident. Le parti pris en faveur des gens ordinaires et de leur expérience subjective est aussi un contrepoint bienvenu aux analyses hautement techniques et abstraites qui pullulent autour des événements de Fukushima.
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Source :
Kohso, Sabu. Radiations et révolution: Capitalisme apocalyptique et luttes pour la vie au Japon, Éditions de la rue Dorion et Éditions Divergences, 2021, 320 pages.
Credit: Greg Webb / AIEA
Un an seulement après la catastrophe de Fukushima, Jean-Marc Jancovici déclarait qu’« il n’y a plus de raison sanitaire d’empêcher le retour des populations évacuées à Fukushima, qui, au final, n’aura fait aucun mort par irradiation. » Depuis, chez les partisans de l’énergie atomique, la fausse information d’un accident nucléaire aux conséquences sanitaires quasi-nulles a gagné du terrain, notamment sur Youtube.
La chaîne Youtube Le Réveilleur diffuse des informations sur le nombre de victimes de la catastrophe de Fukushima. Dans deux vidéos, le vulgarisateur scientifique dresse un bilan sanitaire prématuré de l’accident nucléaire de 2011 sur la base d’éléments contestables. En mai 2019, Rodolphe Meyer – alias Le Réveilleur – publie en effet sur sa chaine Youtube deux vidéos[1] en partie consacrées à l’impact sanitaire de l’accident de Fukushima au Japon.
En 8 minutes chrono, le youtubeur science entend dresser un bilan des travaux disponibles sur un sujet controversé. Pourtant, bien que le vidéaste qualifie son propre travail de « sourcé, s’appuyant sur l’analyse d’éléments scientifiques disponibles »[2], s’agissant du nombre de victimes consécutif à une exposition aux rayonnements ionisants après l’accident nucléaire de 2011, aucune étude épidémiologique de long terme n’est à ce jour disponible, et pour cause.
Bilan sanitaire définitif 8 ans après l’accident : un non-sens scientifique ?
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Fukushima et le mythe du « zéro mort »
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Les leçons de Tchernobyl
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Au Japon, la radioactivité qui dure
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Le Réveilleur : youtubeur vulgarisation ou influenceur ?
TAGS Fukushima Jancovici Le réveilleur nucléaire transition énergétique
Connu / https://wegreen.fr/group/nucleaire-renouvelables/publication/infonuke-23-septembre-2020