Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Uw0GMA
Tr.: ... CAIIP ... groupes de parole ... Le parcours de soin des victimes d'inceste ...Enquête faite aux USA dans les années 1990 sur 17000 personnes : L'étude ACE (Adverse Childhood Experiences) met en évidence un lien entre les traumatismes de l'enfance avec des problèmes de santé et sociaux. ... comme violences, négligences, exposition à la violence, à la consommation de substances psychoactives, à la maladie mentale, la séparation des parents, l'incarcération. Disfonctionnements familiaux
...
Conséquences multiples et de tous ordres ... psychosociologue le retrouve dans le travail ... Sondage de 2020 réalisé par Ipsos pour l'association Face à l'inceste : pour les 10% de français déclarant avoir été victimes d'inceste, il y a le plus souvent un cumul de traumatismes :
- L'inceste et les violences (sexuelle, psychique, physique, exposition à la violence)
- L'inceste et les négligences,
- L'inceste et la séparation avec le(s) parent(s),
- L'inceste et les addictions familiales,
- L'inceste et la maladie mentale
L'inceste se développe dans une famille dysfonctionnante. Plus le nombre de traumatismes augmente, plus le risque pour la santé est important.
...
Les conséquences de l'inceste / Ce qui se dit dans les groupes de parole
*Durant l'enfance ou l'adolescence :
- Un enfant fragile : spasmophilie, vertiges, migraines, maux de ventre, infections urinaires, verrues, eczéma.
- Un enfant anxieux, déprimé, dans la lune :
. anxiété, insomnie, mutisme, troubles de l'attention.
913 vue - 124 - 2 - 57,3 k abonnés
Retrouvez une nouvelle vidéo des formations insoumises. Véronique Danet, co-animatrice du Groupe thématique Banques, et Patrick Saurin, syndicaliste banques-assurances SUC BPCE, vous présentent une formation sur la socialisation des banques.
Pour accéder à toutes les formations insoumises : https://lafranceinsoumise.fr/comment-...
5 commentaires
Wikipédia fête cette année son vingtième anniversaire. À cette occasion, Wikimédia France vous fait découvrir quelques-unes des nombreuses personnalités françaises qui participent à cette aventure collaborative.
... travail de Léo Joubert, sociologue qui se penche depuis plusieurs années maintenant sur le fonctionnement de la communauté wikipédienne. Après la publication de sa thèse intitulée Wikipédia: la fabrique d’une encyclopédie à l’ère du logiciel libre. Sociologie d’un commun numérique de masse https://lest.fr/fr/etudier/doctorats/these-ed355-leo-joubert-2020, Rémy Gerbet, délégué opérationnel de l’association, l’a interviewé pour vous.
...
Deux ans après la première contribution, les contributeurs qui restent sont ceux qui ont développé des interactions amicales mais aussi conflictuelles avec d’autres contributeurs ... tension dialectique très difficile. Dans un commun, les participants doivent pouvoir changer les règles lorsqu’ils s’engagent : l’encyclopédie leur appartient un petit peu même si on ne peut pas parler de propriété au sens strictement économique. Mais, si les règles changent tout le temps et à chaque fois qu’un nouveau s’engage, on comprend bien qu’il va être un peu difficile de faire une encyclopédie.
De cette tension découle en permanence un conflit entre des « anciens », ceux qui sont là, et des « modernes », ceux qui arrivent avec une autre manière de faire ... le mot tension dit ce qu’il dit : les communautés numériques ne sont pas des havres de paix. Elles vivent, peut-être plus que les autres institutions sociales, du conflit. C’est en fait tout le mystère de communs comme Wikipédia : comment des règles aussi fortement consensuelles ont pu être adoptées alors que les contributeurs font souvent le récit de leur participation comme une suite de conflits ?
Pour moi, les wikipédiens ont été capables de se mettre d’accord sur des règles qui cadraient leur désaccord. Puisqu’on est d’accord ce sur quoi on n’est pas d’accord, on peut enclencher des dynamiques de conflits très puissantes qui s’avèrent paradoxalement intégratrice. Beaucoup des contributeurs que j’ai interrogés disaient par exemple être passionnés par le conflit au début de leur carrière, puis ont ensuite pris leur distance pour mener une activité plus calme et cadrée par un rôle bien défini. On aura donc toujours des conflits, mais on aura des dynamiques intégratrices qui répondent à ces conflits. Voilà ce que j’ai voulu formuler avec mes recherches sur Wikipédia : l’idée que le conflit ne s’oppose pas à l’intégration mais que ces deux termes sont en interaction très complexe. »
1 IRIS - Institut de Recherche Interdisciplinaire sur les enjeux Sociaux - sciences sociales, politique, santé
Résumé :Les mal-nommés risques psychosociaux au travail traduisent l’expression du mépris de la norme fondamentale absolue et matrice des droits de l’Homme : la dignité de l’être humain. Figure de la souffrance au travail, les conditions et les organisations du travail indécentes (au sens de l’ONU) conduisent à la réification du genre humain considéré comme un moyen de production au détriment de ses droits fondamentaux, tels que le droit à la santé au travail. Menaces à la santé publique s’affranchissant des règles de droit fondant l’ordre social, les risques psychosociaux au travail, dont les conséquences des atteintes à la santé physique et mentale des travailleurs se répercutent sur la société tout entière, brisent le contrat social liant les individus à l’État. Les obligations juridiques posées par les textes internationaux, européens et français, imposent à l’État et aux entreprises d’exercer une prévention active et pas seulement réactive. L’État, garant et protecteur du respect de la dignité et des droits humains, peut utiliser ses prérogatives de puissance publique pour mieux protéger la santé des travailleurs. La sociovigilance s’impose alors comme une nouvelle vigilance issue de la sécurité sanitaire du travail. Conjuguée à la création d’une autorité indépendante en charge des questions de santé au travail, la sociovigilance s’accompagne d’une nouvelle proposition d’organisation de la prévention des risques professionnels en France.
Mots-clés : risques psychosociaux au travail, stress, harcèlement moral, harcèlement sexuel, violences, discrimination, droits fondamentaux, dignité, conditions de travail, santé mentale, santé publique, vigilance sanitaire, sécurité sanitaire, autorité indépendante, droit de la santé et de la sécurité au travail, sociovigilance, prévention
Type de document : Thèse
Domaine : Sciences de l'Homme et Société / Droit
Liste complète des métadonnées
Littérature citée [1386 références]
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02063105
Contributeur : Nina Tarhouny nina.tarhouny@gmail.com
Soumis le : dimanche 10 mars 2019 - 18:48:21 - Dernière modification le : samedi 15 février 2020 - 01:47:56 - Archivage à long terme le : mardi 11 juin 2019 - 13:55:25
Pour citer :
Nina Tarhouny. Les risques psychosociaux au travail : droit et prévention d’une problématique de
santé publique. Droit. Université paris 13, 2018. Français. tel-02063105
->
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02063105/document
Connue / https://twitter.com/istnf/status/1230148002955825153
"
Jean-Marc Le Hunsec a retweeté ISTNF Santé-Travail @istnf · 2h
👏 👏 👏 Nina.Tarhouny @NinaRPS · 1h
Ma thèse publiée chez l'Harmattan :D https://editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=65232
Au plaisir de vous retrouver à la séance de présentation le 25 mars ! 2 rt
"
dimanche 24 février 2019
Jean-François Petit, Vincent Puig, Vincent Laquais (dir.) : Boites noires et gilets jaunes. Regards croisés sur la socialité à l'ère de l'anthropocène
L'Harmattan - Février 2019
La période actuelle de l'anthropocène se caractérise par un bouleversement des équilibres systémiques. Cette situation nouvelle analysée par l'IRI et Ars Industrialis fait apparaître des questions nouvelles qui concernent, notamment, les réseaux sociaux, l'architecture du web, la gouvernementalité algorithmique, la contribution comme question politique, technologique et économique. Ces analyses croisent celles élaborées pendant trois ans au sein du groupe PHILOPRAT concernant l'identité collective dans une société d'individus, le statut des émotions et des peurs, l'enjeu des normes, le posthumanisme et le transhumanisme, le Buen Vivir et la capacitation, les Biens communs et les Commons.
Jean-François Petit, diplômé de l'IEP de Bordeaux et docteur Habilité à diriger des recherches, est Maitre de Conférences à l'Institut Catholique en Philosophie. Il appartient à l'Unité de Recherche « Religion, culture et Société » - EA 7403. Il est directeur du Réseau Philosophique de l'Interculturel (REPHI) et du groupe de recherche PHILOPRAT.
Vincent Puig, diplômé de l'ESC Toulouse et titulaire d'un Master 2 en philosophie, est directeur de l'Institut de Recherche et d'Innovation du centre Pompidou qu'il a fondé avec Bernard Stiegler. Il prépare actuellement une thèse à l'Institut Catholique de Paris et est membre du groupe de recherche PHILOPRAT.
Vincent Laquais, certifié et docteur en philosophie, est enseignant et chargé de mission à l'Institut St Louis St Clément de Viry-Châtillon et chargé d'enseignement à l'Institut Catholique de Paris. Il est membre du groupe de recherche PHILOPRAT.
Julien Delalande @JulienDelalande 15 déc.
Julien Delalande a retweeté Maxime Combes
.#GiletsJaunes #ActeV avec 1 #Articulation #Vert #Jaune #VertJaune #JauneVert #UrgenceSociale #UrgenceÉcologique:
-#ÉcologiePourTous #Écologie #PourTous
-#VieDécente => #PouvoirDachatMinimum #PouvoirDAchat
-#SouverainetéPopulaire #Citoyenneté #Démocratie #RIC/#RIP #RécuserSesÉlus
Julien Delalande ajouté,
Maxime Combes @MaximCombes
.#ActeV
0 réponse 3 Retweets 2 j'aime
Vous avez retweeté
ndlr :
- TAG : "travail - famine - pâtes - riz" (dérision de travail famille patrie) ++
- valoriser ACT
- articuler ac PLPDLA ACT
Le mouvement des Gilets jaunes est remarquable, à bien des titres, spécialement parce que les aspirations à plus de justice sociale y apparaissent fortement associées à l’attente d’une transformation profonde de la démocratie, dans toutes ses dimensions. Le système institutionnel bien sûr, mais aussi la représentation de toutes les catégories sociales, ou encore les formes multiples de la participation démocratique et la prise en charge d’intérêts structurellement marginalisés sont questionnés.
Nous, chercheuses et chercheurs en sciences humaines et sociales assemblé·e·s au sein du Groupement d’intérêt scientifique « Démocratie et participation », sommes interpellé·e·s par ce que nous interprétons comme un appel à une république plus « participative » et par des pratiques qui s’attachent d’ores et déjà à la mettre en œuvre au quotidien, entre citoyennes et citoyens. Sans être formulé dans ces termes – la démocratie participative n’étant pas explicitement revendiquée – cet appel prend cependant forme au croisement de propositions plus ou moins creusées qui s’y rattachent fortement : assemblée citoyenne, référendum d’initiative populaire, débats décentralisés. Ces revendications démocratiques, leur émergence comme leur structuration via l’usage des réseaux sociaux ou l’organisation d’assemblées populaires, témoignant d’une profonde défiance à l’égard de la représentation et d’une aspiration à l’horizontalité, ne sont pas en elles-mêmes nouvelles. Ce qui est plus original, c’est qu’elles ne sont pas portées par le petit cercle de leurs promoteurs habituels. Autrement dit, alors que nous observons et contribuons depuis des années à des expériences participatives souvent pensées et pratiquées du haut vers le bas, une forme de demande sociale s’exprime sous nos yeux.
Il serait tentant d’annoncer aux Gilets jaunes que les dispositifs participatifs ne manquent pas et que nous sommes prêt·e·s à leur en livrer le mode d’emploi. Ce serait pourtant contraire à notre posture de chercheuses et chercheurs en participation, et présomptueux, de considérer que les réponses institutionnelles et procédurales aux attentes démocratiques des Gilets jaunes existent, que nous n’avons pas besoin de leurs propositions et qu’il suffirait d’élargir ou de généraliser ce qui se fait déjà. De surcroît, l’aspiration à une vie démocratique ne saurait être enfermée dans quelques solutions procédurales vite digérées. D’autant moins que de multiples expériences participatives, aussi étudiées et renseignées soient-elles, montrent d’importantes limites tant dans leur capacité à élargir le spectre de « ceux qui participent » que dans leur influence réelle sur les décisions. Par contre, l’observation et l’étude de ces dispositifs, que les chercheuses et chercheurs réuni·e·s au sein du Gis mènent depuis plusieurs années, peuvent fournir de précieux éléments sur les opportunités mais aussi sur les risques de ce qui va se construire dans les semaines et les mois qui viennent.
Prise au sérieux, la participation conduit d’abord à ouvrir de vraies possibilités de débats pluralistes, d’interpellation et de proposition pour les citoyennes et citoyens, et à garantir leur indépendance en dehors des échéances électorales. Cela peut concerner l’ensemble des politiques publiques (notamment économiques, fiscales et monétaires), et ce à tous les niveaux. Elle conduit ensuite à reprendre à nouveaux frais la question de l’articulation de cette démocratie participative avec la démocratie représentative, dont les limites sont bien établies à tous les échelons territoriaux, de la commune à l’Europe. De plus, la participation ne saurait conduire à délégitimer les autres formes d’expression ou d’expérimentation démocratiques, y compris celles qui s’expriment sur un mode radical. Nos recherches montrent à cet égard que la vitalité des formes plus conflictuelles d’interpellation est bien souvent une condition d’épanouissement des dispositifs participatifs comme d’aboutissement de décisions mieux ajustées à l’état réel de notre société. Enfin, pour être crédible, la concertation à venir doit s’entourer de toutes les garanties désormais bien identifiées (marges de manœuvre politique, moyens financiers et humains cohérents, animation neutre et indépendante, calendrier réaliste…). La réunion de ces conditions suppose à minima l’assurance de la transparence des échanges et un contrôle démocratique sur le traitement, les synthèses et les comptes rendus de l’immense matériau qui sera rassemblé, ainsi qu’un retour sur l’usage qui en sera fait dans les décisions publiques, justifiant ce qui est gardé ou non des propositions faites dans le débat.
Au-delà de cette expérimentation à laquelle nous sommes prêt·e·s à contribuer, nous réaffirmons l’urgence sociale, politique et environnementale d’une vie démocratique, parce que celle-ci conditionne la capacité de nos sociétés à aborder de front les déchirures qui la traversent et à relever les défis à venir.
La direction collégiale et le Conseil scientifique
du Gis Démocratie et Participation
ndlr :
- connu / Loïc Blondiaux @LoicBlondiaux https://twitter.com/LoicBlondiaux/status/1073896519076667392
- de nombreux attributs de la médiation sont présents.
- ne serait-ce pas une manière de tirer la "couverture" "gilets jaunes" à eux ? => questionner ACT
3 419 vues - 31 - 4
Un délit, surtout, s’il est petit ou exceptionnel, commis par un élu du peuple ne fait généralement pas véritablement réagir les médias. Or, les citoyens attendent que leurs élus soient des exemples, puisqu’ils leur font l’honneur de leur déléguer leur propre pouvoir et de les représenter. Par conséquent, ils attendent d’eux non seulement d’être hautement compétents, mais aussi de faire preuve d’une haute éthique. Cependant, bien que les élus français arborent fièrement l’étendard de la démocratie républicaine et de l’État de droit, il est paradoxal de constater que nombreux parmi ces élites politiques de droite ou de gauche, ont continué à exercer, après qu’elles aient été condamnées par la justice. Ce livre vise donc à expliquer comment certaines élites politiques et économiques parviennent à vivre au dessus des lois, mais surtout par quels mécanismes non démocratiques, voire illégaux, elles parviennent à exercer un pouvoir national ou international.
Une partie des élites exercent une gouvernance illégale et adémocratique, comme on peut le voir dans de nombreux procès. Ce livre vise à prendre en compte les dimensions politiques adémocratiques et illégales sans omettre non plus, les déterminismes économiques du système capitaliste. Pour mettre en évidence ces mécanismes structurels qui se reproduisent régulièrement et qui font système, nous aborderons huit formes de pouvoirs différents et en interactions, de l’action de la France, des États-Unis en Afrique et dans le monde.
Il s’agit du pouvoir illégal et adémocratique exercé par les élites concernant:
- Le pouvoir financier : banques, dette et paradis fiscaux
- Le pouvoir des organisations internationales publiques
- Le pouvoir de la production et du commerce
- La concurrence des pouvoirs nationalistes et le pouvoir adémocratique de l’Etat
- Le pouvoir répressif illégal
- Le pouvoir relationnel et idéologique
- Le pouvoir par la communication et la dimension psychosociologique du pouvoir
Thierry Brugvin est docteur en sociologie, il exerce comme enseignant chercheur à l’université notamment. Il est spécialisé sur la sociologie des élites et il a déjà publié plus d’une douzaine de livres collectifs sur la gouvernance
Catégorie
Actualités et politique
4 commentaires
Mathis Duf
il y a 3 ans
Pourquoi pas une anarchie au lieu d'une démocratie dans le futur ? :)
2
Thierry Brugvin
il y a 1 an
Ben, il y a la démocratie fédéraliste anarchiste et la démocratie représentative centralisée d'Etat, tout est possible...
a(b)(c)(d)(f)(g)(n)(p)(s)(t)(u) polit(a)i(ci)(qu)(e)(n)(n)(e)(s)
Il vise à centraliser les informations et les participations des Socios, pour être un lieu d'échange particulier entre les Socios, journalistes, partenaires, et équipes de productions du Média.
À PARTIR DE 55€ PAR AN
Rendez-vous sur lemédiatv.fr
Socios, mobilisons-nous pour faire connaître le Média !
.#CaféDesSocios #LeMédia Pas encore Socio ? Vous pouvez le devenir ici
CaféDesSocios LeMédia
15 notes
Le Club de Médiapart
Faut-il soutenir LeMédia ?
Le jour du lancement officiel de la campagne de financement du « média citoyen », Médiapart alerte ses lecteurs sur la collusion du projet avec LFI. Le lendemain, un appel au soutien des médias citoyens existant se retrouve en une du « club » des abonnés. Faut-il pour autant soutenir ce projet, ou comme Médiapart semble le proposer, réserver nos contributions aux médias citoyens moins connus ?
Lonesome Cowboy
Police ! Vos papiers !
Le média - communiqué
Le Média suscite un grand intérêt chez ses futurs confrères. Nous avons la chance d’être invités sur les plateaux et d’accorder de nombreuses interviews.
Pour une subjectivité honnête des journalistes
L’objectivité est une farce. L’injonction d’objectivité faite aux journalistes est une ineptie. Ceux qui la revendiquent sont, au choix, de sincères naïfs, de fieffés menteurs ou de remarquables robots. Et contribuent à la défiance générale vis à vis de l’information. Car personne n’est dupe. Les lecteurs, les auditeurs, et les téléspectateurs n’aiment pas qu’on leur raconte des salades. La différence entre un média « objectif » et un média engagé ? L’un fait semblant de ne pas avoir d’avis. L’autre assume une ligne éditoriale.
Pour un nouveau média citoyen ?
Des personnalités politiques et de la société civile ont signé un manifeste pour la création d'un nouveau média citoyen. Son lancement officiel est programmé pour le lundi 15 janvier 2018.
jean-pierre favier
“Le Média” indépendant et insoumis qui veut concurrencer le “20 heures”
Il sera gratuit et disponible en Belgique à partir du 15 janvier 2018
Le nouveau pure-player Le Média "ne sera pas celui de Jean-Luc Mélenchon"
INTERVIEW - Lancé par plusieurs personnalités dont des proches de Jean-Luc Mélenchon, un nouveau pure-player se revendiquant de la "gauche humaniste", appelé "Le Média", verra le jour en janvier 2018. Le détail avec sa nouvelle rédactrice en chef, Aude Rossigneux.
Le JDD
Exemple d'indexation de
https://www.liberation.fr/debats/2018/09/26/maurice-godelier-jamais-et-nulle-part-la-famille-n-a-ete-le-fondement-de-la-societe_1681416
Libération" par "Riff's Links" via shaarli2mastodon connu par https://framapiaf.org/@riff/100808426511609260
donc une instance privée de chaarly ? ACT
Extrait :
"
Ce qui fait société, ce ne sont jamais les rapports de parenté, même dans les sociétés tribales : ce sont les rapports politico-religieux. Ceux-ci englobent tous les groupes de parenté et leur octroient une identité et une unité communes. Ils instituent la souveraineté des groupes humains - clans, castes ou classes - sur un territoire, ses habitants et ses ressources. C’est le politico-religieux qui fait société et non la famille.
[...]
L’humanité est naturellement une espèce sociale. Nous n’existons qu’en société. C’est la nature qui nous a donné ce mode d’existence, et notre cerveau nous permet d’inventer de nouveaux rapports sociaux, de nous transformer. Nous sommes une espèce sociale qui a la capacité - par rapport aux chimpanzés ou aux bonobos - de transformer le point de départ de notre existence, de nous faire autres. L’essence de l’homme, c’est tout ce que l’humanité a inventé pour elle-même. Et ce n’est pas fini : il n’y a pas de principe de clôture.
[...]
Mais ce qui m’a frappé, en tant qu’anthropologue, dans toutes les sociétés que j’ai fréquentées, c’est qu’une grande partie des rapports sociaux, c’est de l’imaginaire pétrifié. La mosquée, l’Eglise, l’art de Goya ou du Greco : une grande partie de ce que nous sommes, de notre vie, c’est de l’imaginaire transformé en réalités sociales, psychologiques et matérielles. [...] Philosophie fondamentale. La croyance à des choses qui n’existent pas constitue une grande part de notre vie, de notre univers mental. Ce n’est pas de l’irréel ordinaire, c’est du surréel, c’est, pour ceux qui croient, plus réel que la vie réelle.
"
Le Projet Éditorial
Périphéries se veut « agent » d’une certaine égalité médiatique, faisant valoir le droit, pour ces territoires, à la complexité.
En permettant l’expression de réalités banales et rares à la fois, Périphéries transforme l’image des quartiers. L’émission bouscule les perceptions et les représentations des auditeurs et documente le vivre-ensemble via des entrées géographiques et thématiques utiles à quiconque cherche des réponses à la question sociale.
Une fois par semaine un nouvel objet sonore vous sera proposé.
Le Podcast : une photographie sonore sur le modèle de ce qu’a été Périphéries pendant 12 ans sur France Inter.
Le débat : une fois par mois une question abordée avec des specialiste, des habitants, des chercheurs, des témoins enregistré en public.
Le Long format : des entretiens au long cours ou des approche plus documentaires.
Le participatif : une émission co écrite, co- construite avec des habitants d’un quartier, des scolaires à travers des ateliers d’écriture.
Emparez vous de cet outil : participez via le formulaire pour suggérer des idées, des sujets des envies et proposer des améliorations
Merci !
Le mot de Stéphane Paoli, parrain de l’émission
« Périphéries : combien de définitions péjoratives faudra-t-il encore compter qui installent, au mieux, les périphéries comme des limites éloignées, en économies les pays en voie de développement, au pire car la définition devient alors chirurgicale, comme un système spatial où deux lieux sont en relation dissymétrique, les centres dominant les périphéries.
Un verbe et tout est dit : dominer.
Au nom de quoi, pourquoi, avec quels effets et quelle image projetée de ce que devrait être la cité en démocratie ? Ils ne sont pas nombreux ceux qui posent la question. Encore moins nombreux les médias prêts à accepter que la question soit posée.
Édouard Zambeaux l’a fait en démontrant que les périphéries valent, à tous égards, les centres par le talent, la créativité, la dynamique. Les grands médias n’ont pas voulu l’entendre. c’est pourtant dans les périphéries que s’élabore aussi le récit des temps futurs.
Je choisis d’accompagner Édouard Zambeaux parce que la périphérie c’est la peau.
Et que je crois aux révolutions coperniciennes. »
Stéphane Paoli
ndlr : émission bannie de France inter, après LATAC :-(
Sociologie
Alors que l’école française pèche par un trop grand élitisme, le système d’orientation des jeunes vers l’enseignement supérieur favoriserait le maintien des inégalités sociales. Une problématique au cœur des recherches d’Agnès van Zanten, sociologue et spécialiste des politiques éducatives.
Lire l'article
Mentions légales
Propriétaire du site : Université d’été Solidaire et Rebelle des Mouvements Sociaux et Citoyens
Responsable de publication : Elise Monge
Contenus : L’équipe de l’Université d’été Solidaire et Rebelle des Mouvements Sociaux et Citoyens
Site hébergé par : Nursit ( https://www.nursit.com/ )
Développement : Thierry Eraud
Graphisme : Charlotte Planche
Contact : contact@ue2018.org
Logiciel
Ce site utilise le SGC SPIP
Bienvenu-e-s sur le programme de l’Université d’été ! Durant l’événement, différents formats d’activités sont proposés :
- Des « modules » d’une journée de 9 h 30 à 16 h 30 les jeudi, vendredi et samedi, pour apprendre et se former intensément ;
- Des « ateliers » de 2 h 15 le matin, le midi ou l’après-midi, de jeudi à dimanche matin, pour varier les thématiques selon l’humeur et les centres d’intérêt ;
- Des « forums » de 17 h à 19 h pour débattre autour des grands enjeux d’actualité ; ces derniers seront les temps forts de l’événement, à ne surtout pas louper !
- Des « activités Hors-les-murs » vous seront proposées tout au long de l’événement. Ces activités sont diverses et variées, il y en aura pour tous les goûts ! Certaines nécessitent une inscription en amont, alors renseignez-vous bien sur celles qui vous intéressent !
La séance d’ouverture se tiendra amphi Weil le mercredi de 17 h à 19 h et celle de clôture en amphi 1 le dimanche de 14 h à 15 h.
Les enregistrements à cette Université d’été commenceront le mercredi 22 à partir de 14 h ! Un badge vous sera alors remis (indispensable pour accéder aux bâtiments), ainsi qu’une clé pour accéder à votre chambre : Crous, Auberge de jeunesse et internat.
Programme intégral par ici !
Pas besoin de l’imprimer, il vous sera distribué sur place avec votre badge.
Thématique
Type d’activité
Créneau horaire
Modules
Jeudi 23
Ensemble, défendons les droits humains et de l'environnement face au pouvoir des multinationales !
Retraites: comprendre la réforme systémique qui vient pour être prêt-e à se mobiliser
Quelle finance nous voulons ?
Les communs : partager, contribuer et s’organiser
Comment gagner la bataille pour la justice fiscale ?
Quels espaces d'engagement politique pour la jeunesse dans les mouvements sociaux aujourd'hui ?
Crise des progressismes, résistances populaires et tournant à droite en Amérique Latine
Accompagner, défendre et soutenir les lanceurs d'alerte et l'alerte
Autodéfense numérique militante
Migrations : des causes et effets aux mobilisations citoyennes
Vendredi 24
Mobilisations sociales et répressions en Afrique
Ceta, Tafta, Jefta et les autres : nos droits et l'environnement à la poubelle
Face à l'école néolibérale, construire l'école de l'émancipation
Réinventer nos fonctionnements pour créer une utopie vivable
La métropolisation au service de qui ?
La crise systémique : ses causes et son évolution, les contre-réformes de Macron, nos alternatives
Travail et émancipation
Municipalisme, Transition, Communs et Territoires
On y vit, on agit ! Passez à l’action collective et locale pour le climat
Au coeur de nos campagnes : l'agriculture paysanne face à de nombreux défis.
On ne se taira pas ! Stratégies de résistances face à la criminalisation de la société civile
Samedi 25
Défense et alternatives pour les services publics
Les penseurs critiques du capitalisme
Tout va-t-il s'effondrer ? Résistances éco-féministes et construction d'alternatives
Reprendre la main sur la finance plutôt que lui confier la planète et notre avenir
L’engagement social et environnemental : oui ! mais pour qui et par qui? Les enjeux et pratiques des nouveaux publics de l’ECSI
Vivons les jours heureux sans attendre : le Bien Vivre en acte !
Droit à la Ville et luttes dans les quartiers populaires : défendons nos logements !
Armes nucléaires : Aujourd'hui interdites, demain l'élimination
Mouvements sociaux et alternatives systémiques
Comment résister de façon créative ? Formation à l’action et à la désobéissance civile
L’ère de la post-vérité : ce que l’on nous donne à croire.
Ateliers
Jeudi 23
L'éducation populaire en questions 1/4
Pour une gratuité d'émancipation
Des entreprises françaises complices de la colonisation israélienne !
La fabrication des humains ; des GAFA au post-humanisme
Explorer nos pouvoirs et nos privilèges dans nos groupes et au-delà
Comment construire des alliances autochtones/allochtones pour les droits des peuples autochtones, la justice climatique et la Terre Mère ? Stratégies d'action intersectionnelles & distribuées
"Introduction à la thématique de l'alimentation durable et un jeu de l'oie'limentation !"
Eau, sol, agriculture : et si c'était essentiel pour le climat et notre avenir ?
Rendez-vous du changement concret
Cultivons la participation
Le jeu "Vivre la Palestine" : un support pédagogique interactif pour comprendre le quotidien des Palestiniens
Interagir avec les élu.e.s et les journalistes
Recherche responsable et actions citoyennes : pourquoi et comment se renforcer mutuellement pour réussir la transition démocratique et écologique
Stop aux grands projets inutiles, bien vivre dans un monde soutenable
Agriculture paysanne et changement climatique : impact de notre consommation
Eau, climat, biodiversité : et si la gestion du grand cycle de l’eau était la clé ?
La Jai Jagat 2020 : changer le monde en marchant par un Forum social itinérant entre Delhi et Genève
Vendredi 24
#BalanceTonEmpruntToxique !
Reconnaissance de l'expertise de terrain : faire de la recherche participative !
Economie et droits humains
Agir pour la défense du service public, un enjeu particulier pour les femmes et l'égalité !
Comment mettre en liaison les mouvements sociaux ?
Les mouvements sociaux face à la crise des partis de gouvernement et la montée de l'extrême droite
Comment réconcilier les journalistes et les quartiers populaires ?
Alerte scientifique et réforme de l'expertise
L'éducation populaire en pratique 2/4
Du secteur formel au secteur informel : les droits des femmes au travail
Comment enquêter sur les multinationales ? (atelier pratique)
Le rôle des médias dans les mobilisations sociales. Le cas du nouvel outil de comptage des manifestant.e.s.
Atelier / jeu de rôle « Où va l'argent de ma facture d'électricité ? »
25 ans de lutte contre une pollution majeure : l’affichage publicitaire
Impact de l’occupation militaire sur les enfants palestiniens et résilience
Initiatives citoyennes, intérêt général et communs
Un Observatoire et un Laboratoire pour renforcer les acteurs de l'Education à la citoyenneté et à la solidarité internationale
Les guerres de dislocation et la "sécuritisation" du monde
Quels modèles économiques pour les médias indépendants ?
“Thé palabre" : un autre accueil est possible ?
Militant·es : se protéger contre les surveillances illégitimes
L’indépendance : un défi économique pour les médias, un enjeu social pour les journalistes
Avant-Première du Grand Quizz de l'Alter'consommation
Samedi 25
L'éducation populaire en pratique 3/4
Accords et désaccords autour du revenu d'existence
Migrations : quelles solidarités ? Quelle autre politique migratoire ?
Sortir du piège de la dette
En route vers la citoyenneté active
Syrie, revolution et guerres
Jusqu'où faut il changer pour vivre dans une société soutenable ?
Faut-il aller vers un autofinancement des acteur.trices du mouvement social ?
On ne naît pas homme, on le devient
Présentation de OpenStreetMap
Formation « Faire la différence entre électricité verte et électricité verte ! »
En finir avec l'Union européenne néolibérale ! Quelles alternatives ?
Démocratie, citoyenneté, pouvoir d'agir : quels moyens pour quels résultats ?
France / Israël, l'argument sécuritaire en question
Le revenu d’existence et les différentes propositions d’expérimentation, de transition ou d’alternatives
Le libre échange en Afrique, un néocolonialisme économique
Inégalités et justice environnementale : comprendre et agir
Acteurs et actrices de solidarité locale et de solidarité internationale : comment travailler ensemble pour sensibiliser et mobiliser plus largement ?
Résistances à la financiarisation et à la Thatchérisation du logement en France et en Europe
Voix engagées : s’allier pour changer ?
Dimanche 26
L'éducation populaire en pratique 4/4
"Reliance" entre acteurs locaux et nationaux souhaitant s'engager ensemble et durablement pour que prospèrent les initiatives "Municipalisme, Transition et Territoires"
Le FN et les classes populaires
Lutte pour le logement social et public
En route vers le Forum Social Mondial des Migrations de Mexico : Dialogues Europe-Amérique Latine sur les migrations
La crise migratoire des deux côtés de la Méditerranée
Produire des alternatives en coopérative : ils l'ont fait ! et après ?
Synergie numérique
Audit de la dette de l’assurance chômage, luttes, droits et revenus des chômeurs et précaires
Voix engagées : s’allier pour changer ?
Forums
Jeudi 23
Migrations : actions locales et mobilisations collectives aux niveaux national, continental, international
Quelles alternatives face au libre-échange et à la guerre commerciale ?
Faire face aux restrictions de l'espace civique et à la régression démocratique
Vendredi 24
Quand les féministes font bouger les lignes
Libérons-nous du travail ou libérons le travail ?
Penser l’antiracisme, l’inscrire dans la contre-offensive
L’indépendance des médias, un défi politique, économique et citoyen
Samedi 25
Vers la justice climatique
Droit au logement et droit à habiter la ville. Contre la financiarisation du logement
Que faire de l’Europe ?
Quelle stratégie des mouvements sociaux face au pouvoir autoritaire et néolibéral en place ?
Plénières
Mercredi 22
Séance d'ouverture
Dimanche 26
Séance de clôture
Hors les murs
Mercredi 22
Spectacle de Fred Dubonnet : Puisque nous devons vivre ensemble
Jeudi 23
Balade révolutionnaire
Le Cabaret de la Crise
Droit au logement pour touTEs et lutte contre les expulsions
MeetUp Carto
Apéro ATTAC
Françafrique : la France, pompier pyromane en Côte-d’Ivoire
Le Rouge et le vert. Impromptu théâtral et citoyen pour enfin parler de demain !
Vendredi 24
Visite d’un habitat groupé participatif
Déambulaction BDS dans le centre-ville de Grenoble
Vivre et habiter autrement
Promenade sonore : « Afrique-Europe : Le rêve en exil »
Vélorution - Etape du Tour Alternatiba
Soirée festive avec Alternatiba
Conférence : «Climat: est-ce déjà trop tard?» Alternatives et résistances pour agir concrètement.
Le mystère du journalisme jaune
Samedi 25
Parcours « Balade révolutionnaire »
Village des Alternatives d'Alternatiba Grenoble
Exposition « Au fil de l’eau »
Exposition "L'art au flux des migrations : l'aventure"
Sculpteurs de mondes, l’expérience d’un marcheur colporteur
Le Climat est dans l’assiette
Balade du Matrimoine
Formation à l'action non violente
Bien lotis
Festivités militantes au Jardin de Ville !
Avec qui ?
Présentation des organisateurs locaux et nationaux
350.org est une organisation non gouvernementale environnementale internationale, fondée en 2007 aux États-Unis par le journaliste, auteur et militant écologiste Bill McKibben. Son action se concentre sur la lutte contre le réchauffement climatique ; elle est notamment connue pour promouvoir le désinvestissement des énergies fossiles. Le nom de l’association provient du seuil de 350 parties par million (ppm) de CO2 dans l’atmosphère défini notamment par le climatologue américain James Hansen comme taux maximum à ne pas dépasser pour éviter un réchauffement climatique trop important (ce taux a dépassé les 400 en 2014).
https://350.org/fr/
Cette association est laïque, indépendante de tout parti politique, groupement confessionnel ou organisation syndicale et a pour objet de s’opposer au projet de création d’une plate-forme aéroportuaire à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), d’informer les adhérents et la population des zones concernées par ce projet, y compris sur les équipements connexes nécessaires à cette réalisation (aménagements routiers et ferroviaires, constructions diverses...), de faire prendre conscience de toutes les transformations qui en découlent, aussi bien pour les zones urbanisées que pour les espaces ruraux et de contribuer et de participer à la réflexion sur le développement du transport aérien
https://www.acipa-ndl.fr
Fondée en 1983, la fédération Peuples Solidaires est une association française de solidarité internationale. Elle soutient les femmes et les hommes qui, partout dans le monde, luttent pour leurs droits économiques, sociaux et culturels.
L’association travaille avec des organisations (ONG, syndicats, etc.) du Sud pour dévoiler les exactions commises par les multinationales et les pouvoirs publics. Les missions de Peuples Solidaires sont d’informer le public, de mobiliser les citoyennes et citoyens, d’alerter les médias, de faire pression sur les décideurs pour faire entendre la voix des organisations de la société civile du Sud.
http://www.peuples-solidaires.org/
Créée par des urbanistes, économistes, cadres d’entreprises, juristes…, l’Aitec est une association de solidarité internationale engagée pour la justice économique, sociale et écologique. À travers la recherche, le plaidoyer et l’appui aux campagnes et aux mobilisations des mouvements sociaux et citoyens, l’Aitec participe à la construction d’une expertise ancrée dans la résistance et l’action critique. Elle s’efforce aussi de proposer des perspectives et des politiques alternatives.
http://aitec.reseau-ipam.org
« Alternative », en basque, est un mouvement citoyen de mobilisation sur le dérèglement climatique. Il promeut des initiatives concrètes qui visent à construire une société durable, tout en s’opposant aux projets qui entravent le développement de cette société. Depuis 2013, Alternatiba varie les modes de mobilisation : « villages des alternatives », tour sur des vélos multiplaces pour valoriser les initiatives locales, ou encore actions de désobéissance civile non violente.
En 2018, le mouvement prépare un nouveau Tour Alternatiba de 5800 km et 200 étapes, associant développement des alternatives et résistance non violente, du 9 juin au 6 octobre. Le Tour s’arrêtera à Grenoble pendant l’Université d’été, le 24 août : l’occasion de nous rassembler et de converger !
https://alternatiba.eu/
La fédération des Amis de la Terre a participé à la fondation du mouvement écologiste français et à la formation du premier réseau écologiste mondial Friends of the Earth International, présent dans 77 pays et réunissant 2 millions de membres sur les cinq continents.
En France, les Amis de la Terre forment un réseau d’une trentaine de groupes locaux et de groupes associés autonomes qui agissent selon leurs priorités locales et relaient les campagnes nationales et internationales sur la base d’un engagement commun en faveur de la justice sociale et environnementale.
http://www.amisdelaterre.org
Il est minuit. Le film « Les Jours Heureux » de Gilles Perret vient de se terminer. Nous sommes une douzaine réunis dans un petit coin des Alpes, dans une petite ferme au pied du Vercors, un week-end de décembre 2015 animés par la volonté que notre société s’oriente résolument vers le bien-être de toutes et tous. Nous sommes de toutes les générations, avec une plus grande proportion de jeunes, engagés depuis des années dans la vie associative.
On partage nos ressentis sur les témoignages des résistants. Non seulement, ils ont libéré la France occupée mais aussi ont bâti un formidable projet politique, le programme du CNR (Conseil National de la Résistance) intitulé « Les Jours Heureux ». Ce programme en mettant en place la subordination de l’intérêt particulier à l’intérêt général orientait la société vers le bien-être de tous. Aujourd’hui, cet héritage est d’une grande actualité tant on constate de plus en plus de mal-être, de désespérance, de précarité, d’inégalités et donc la nécessité d’inventer à nouveau un bien vivre ensemble.
http://osonslesjoursheureux.net/
L’Association France Palestine Solidarité œuvre à la réalisation des droits nationaux du peuple palestinien. Elle entend agir pour une paix réelle et durable, fondée sur l’application du droit international.
http://www.france-palestine.org/
Fondée en 1998, Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) est une association qui milite pour la justice sociale et environnementale, et conteste le pouvoir pris par la finance sur les peuples et la nature. Attac mène des actions pour favoriser le développement d’alternatives et pour mettre sous contrôle citoyen les banques et multinationales prédatrices.
Mouvement d’éducation populaire, l’association produit analyses et expertises, organise des conférences, des réunions publiques, participe à des manifestations… En 2018, Attac est présente dans une cinquantaine de pays ; Attac France compte plus de 10 000 membres et une centaine de comités locaux qui agissent partout en France.
https://france.attac.org/
Le Comité local isérois d’Attac France est également impliqué.
https://local.attac.org/attac38/spip/
La batucada est un genre de musique reposant sur des percussions traditionnelles du Brésil dont les formules rythmiques en font un sous-genre de la samba. La BatukaVI est une batukada de jeunes du secteur 6 de Grenoble (Villeneuve-Village Olympique). Elle vise, à travers la pratique musicale à lutter contre les idées reçues, à revaloriser l’image de ces quartiers régulièrement stigmatisés notamment dans les médias, et à renforcer la fierté d’appartenance à ces quartiers chez les jeunes.
Pour lutter contre les préjugés et tisser des liens entre les cultures, la BatukaVI se produit régulièrement à l’extérieur de l’agglomération, et parfois même à l’étranger : le groupe a notamment joué au Burkina, au Maroc, au Brésil, au Portugal et dans de nombreuses villes en France.
La BatukaVI est un projet initié par l’association Afric’Impact.
http://afric-impact.org/BatukaVI/
Le Collectif des associations citoyennes (CAC) est né en 2010 pour lutter contre la réduction des associations à leur seule dimension économique et défendre la contribution des associations à l’intérêt général et à la construction d’une société solidaire, durable et participative. Après avoir déposé un recours en Conseil d’État contre la circulaire Fillon, qui assimilait l’ensemble des associations à des entreprises, le Collectif a développé une analyse globale des difficultés associatives et élaboré des propositions pour une nouvelle politique associative.
http://www.associations-citoyennes.net
Le Comité pour l’annulation de la dette du tiers monde est un réseau international qui milite pour la satisfaction universelle des besoins et le respect des libertés et des droits humains fondamentaux.
Son angle d’attaque est l’annulation de la dette extérieure publique des pays de la Périphérie (tiers monde et ex-bloc soviétique) et l’abandon des politiques d’ajustement structurel imposées par le trio Fonds monétaire internationaI (FMI), Banque mondiale, Organisation mondiale du commerce (OMC). Il s’agit de mettre un terme à la spirale infernale de l’endettement et de parvenir à l’établissement de modèles de développement socialement justes et écologiquement durables.
Le CADTM Isère est le groupe local du CADTM France. Il organise des conférences, des projections ou des mobilisations.
http://www.cadtm.org/
La campagne BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) a été lancée par la société civile palestinienne en 2005, suite à des dizaines d’années de lutte contre Israël et sa politique d’apartheid.
Les Palestiniens font appel aux citoyens de conscience du monde, afin que prenne fin le plus long conflit de l’histoire récente, en leur demandant de boycotter tous les produits israéliens, mais aussi de pratiquer un boycott sportif, culturel et universitaire. De nombreuses associations et organisations françaises ont répondu à l’appel au « Boycott, Désinvestissement et Sanctions » (BDS) lancé par les palestiniens le 4 juillet 2005 et se sont regroupées au sein de la Campagne BDS France.
https://www.bdsfrance.org
Depuis 55 ans, le CCFD-Terre Solidaire lutte durablement contre la faim en s’attaquant à ses causes, des plus locales aux plus globales. Il soutient plus de 697 projets initiés par des acteurs locaux dans 66 pays.
Le CCFD-Terre Solidaire s’appuie sur un réseau de 15 000 bénévoles pour sensibiliser les Français à la solidarité internationale et agit auprès des décideurs par des actions de plaidoyer pour construire un monde plus juste.
https://ccfd-terresolidaire.org
Le syndicalisme fait partie du patrimoine vivant de l’humanité et de la démocratie. Fait social devenu universel, il a d’abord émergé en Europe avec la révolution industrielle, et y est resté depuis profondément enraciné.
L’histoire plus que séculaire de la CGT s’inscrit dans cet ensemble. Née de la volonté des salariés de s’organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l’oppression et à l’exploitation, pour conquérir des droits et les faire valoir, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir, sont le coeur de son action syndicale.
Bâtie selon deux dimensions professionnelles et géographiques, la CGT s’est forgée et constituée au fil de l’histoire autour d’une conception de solidarité entre les salariés qui combine l’ancrage à l’entreprise et à son environnement territorial.
http://www.cgtisere.org/
http://www.cgt.fr/
Centre de documentation interculturel, association de solidarité locale et internationale.Créé en 1980, le Centre d’Information Inter-Peuples (CIIP) est une association de solidarité locale et internationale. Ses objectifs sont de mieux faire connaître les réalités, les cultures des pays et des peuples des cinq continents, de lutter contre les atteintes aux droits de l’Homme, contre toutes les formes de discrimination et de racisme, de promouvoir un monde solidaire et un développement durable.
Le CIIP organise ou co-organise régulièrement des manifestations interculturelles, des festivals, des rassemblements militants.
Il s’agit également d’un centre de ressources ouvert au public avec des périodiques, des journaux militants, des dossiers de presse et de synthèse, une bibliothèque, des usuels, des vidéos, des expos, des valises et jeux pédagogiques sur les problématiques internationales, les rapports Nord-Sud, les cultures du monde.
Le CIIP édite un journal mensuel, Inter-Peuples, avec un agenda militant et interculturel, des informations locales, nationales, mondiales, des récits de voyage… Il est membre du Réseau d’information et de documentation pour le développement durable et la solidarité internationale Ritimo.
http://ciip.fr/
Membre du réseau européen Clean Clothes Campaign, le collectif Éthique sur l’étiquette agit en faveur du respect des droits humains au travail dans le monde et de la reconnaissance du droit à l’information des consommateurs sur la qualité sociale de leurs achats.
https://ethique-sur-etiquette.org/
Le collectif des Associations de Solidarité Internationale du Grésivaudan organise pour la troisième année consécutives des animations lors de la Semaine. Son objectif est de faire connaître les actions des 25 associations membres par le biais de divers événements locaux, en lien avec des établissements scolaires, salles de spectacles, Centre Sociaux, collectivités, en allant chaque année au devant de nouveaux publics.
https://www.festivaldessolidarites.org/acteurs/collectif-asi-gresivaudan
https://www.festivaldessolidarites.org/
Créée en 1997, Commerce Equitable France représente et fédère les principaux acteurs du commerce équitable en France. Défendre et promouvoir le commerce équitable sont nos principales missions.
Instance de concertation et de mobilisation, Commerce Equitable France rassemble plus d’une trentaine d’entreprises et d’associations d’envergure nationale engagées dans le secteur : labels de commerce équitable, fabricants, importateurs, distributeurs, ONGs, mouvements d’éducation populaire, etc.
https://www.commercequitable.org
NAJE est une compagnie théâtrale professionnelle pour la transformation sociale et politique. Elle pratique le Théâtre de l’Opprimé méthode Augusto Boal (théâtre forum, théâtre images, théâtre et thérapie, théâtre invisible, théâtre journal).
Naje intervient dans les champs de la culture, du social, du politique, de la santé, de l’éducation, de la formation professionnelle, de l’environnement, de la justice, de l’habitat, de la citoyenneté, du développement social.
http://www.compagnie-naje.fr/
La Confédération paysanne est, depuis 1987, un acteur majeur du syndicalisme agricole français qui porte des valeurs de solidarité et de partage. Le projet pour une agriculture paysanne qu’elle défend avec constance depuis sa création est cohérent et global. Il intègre pleinement les dimensions sociales, agronomiques et environnementales dans la production agricole. C’est une alternative réaliste à un modèle d’agriculture industrielle qui élimine trop de paysans et de structures agricoles diversifiées.
http://www.confederationpaysanne.fr
Le Centre de recherche et d’information pour le développement (CRID) a été créé en 1976 par 8 associations de solidarité internationale (ASI). Il en compte aujourd’hui une cinquantaine, réunies autour d’une vision partagée de la solidarité internationale, reposant sur le partenariat et l’éducation au développement.
Le CRID cherche à promouvoir des actions de sensibilisation à la solidarité internationale menées en lien avec différents acteurs comme les autres ASI, les Organisations de Solidarité Internationale issues de la Migration (OSIM), les mouvements d’éducation populaire, les associations de l’économie solidaire, les syndicats, les collectivités territoriales, etc.
https://www.crid.asso.fr/
L’association Droit au logement a pour but de permettre aux populations les plus fragilisées d’avoir accès à un logement décent, en exerçant leur droit au logement. Les revendications du DAL sont « l’arrêt des expulsions sans relogement », « le relogement décent et adapté de toute famille et personne mal-logée ou sans logis » et « l’application de la loi de réquisition sur les immeubles et logements vacants ».
http://www.droitaulogement.org/
L’objet de l’association consiste à animer la réflexion collective et l’expression publique des économistes opposés à « l’orthodoxie néo-libérale ». Leur action se traduit par des publications (notes, articles, communiqués, livres) et des interventions lors de réunions publiques dans les médias qui les sollicitent. Ils proposent des alternatives aux politiques d’austérité.
Ils publient en 2010 le Manifeste d’économistes atterrés, dans lequel ils font une présentation critique de dix postulats qui inspirent, selon eux, les décisions des pouvoirs publics partout en Europe, et mettent en débat vingt-deux contre-propositions.
www.atterres.org
Emmaüs est né il y a 66 ans pour trouver, avec les personnes victimes de phénomènes d’exclusion, les solutions qui leur permettent de redevenir acteur de leur vie. Fidèle à la volonté de l’abbé Pierre, Emmaüs est devenu à la fois une fabrique d’innovations sociales et de solidarités pour aider des publics en situation de grande précarité, et un front engagé et militant en faveur d’une société plus humaine et plus juste.
http://emmaus-france.org/
Artisans du Monde est une association française fondée au début des années 1970 et qui défend un modèle basé sur le commerce équitable. Sa spécificité est d’être structurée autour d’associations locales où des militants bénévoles distribuent divers produits, artisanaux ou alimentaires en provenance des pays du Sud, informent sur les règles du commerce mondial et font du plaidoyer pour une évolution de ces règles.
https://www.artisansdumonde.org/
Le slogan de Finance Watch, « Pour une finance au service de la société », résume sa mission. L’association aspire à l’instauration d’un système financier durable et au service de la société, qui favorise l’investissement plutôt que la spéculation. Ils souhaitent un système bancaire résistant et efficace, orientant les crédits vers un usage productif sans pour autant dégager de rentes économiques ou transférer ses risques à la société tout entière, et des marchés financiers qui encouragent l’investissement productif dans l’économie réelle et dissuadent tout type de spéculation excessive ou nuisible.
http://www.finance-watch.org
Depuis sa création en 1995, l’association Finansol a pour objet de promouvoir la solidarité dans l’épargne et la finance.
A travers des actions de sensibilisation et des outils de communication divers, Finansol fait prendre conscience à chacun qu’il peut jouer un rôle dans l’instauration d’une finance utile, équitable et raisonnée.
Ses actions contribuent, notamment à travers la promotion du label Finansol, à faire connaître les différents produits d’épargne solidaire disponibles. Ces placements permettent de faire fructifier son argent tout en soutenant l’accès à l‘emploi et au logement pour les personnes qui en sont exclues, le développement d’activités écologiques avec l’agriculture biologique et les énergies renouvelables, l’entrepreneuriat dans les pays en développement…
https://www.finansol.org/
Focus on the Global South est une organisation altermondialiste, qui d’un côté élabore et diffuse des analyses, propositions et des moyens d’information afin de promouvoir la soutenabilité sociale et écologique de nos sociétés, et qui de l’autre côté multiplie les plaidoyers ainsi que l’organisation d’actions de base, en premier lieu dans les pays d’Asie du Sud. Depuis sa fondation en 1995, Focus on the Global South a développé ses projets de recherche et ses campagnes d’actions en Thaïlande (son quartier général se trouvant à Bangkok), en Inde (à partir de son bureau de New Delhi) et aux Philippines (à partir de son bureau de Manille).
https://focusweb.org/
Depuis 1998, la Fondation Copernic travaille à « remettre à l’endroit ce que le libéralisme fait fonctionner à l’envers ». Soucieuse de son indépendance et restant par principe hors du jeu électoral, Copernic n’est liée à aucun parti politique, aucun syndicat, aucune association, mais s’adresse à toutes les organisations politiques, syndicales et associatives, et surtout à toutes celles et ceux qui ne se résignent pas à l’ordre néolibéral.
http://www.fondation-copernic.org/
France Amérique Latine s’attache à faire connaître l’histoire, la culture, les mobilisations et revendications des peuples d’Amérique Latine et de la Caraïbe dans toutes leurs richesses et diversité. C’est en faisant connaître et en soutenant leurs combats et expériences collectives en faveur du respect des droits humains, de la démocratie sociale et politique, pour le développement économique et le respect du « bien vivre » ou de l’environnement, que nous leur manifestons notre solidarité.
http://www.franceameriquelatine.org/
Créée par Danielle Mitterrand en 1986, France Libertés est une fondation reconnue d’utilité publique, à but non lucratif et dotée du statut consultatif auprès du Conseil Economique et Social des Nations Unies. La Fondation Danielle Mitterrand défend les droits humains, notamment le droit fondamental d’accès à l’eau pour tous, et les biens communs du vivant pour contribuer à la construction d’un monde plus solidaire.
http://www.france-libertes.org
La F.S.U est une fédération de syndicats nationaux de le fonction publique.
Elle rassemble des syndicats regroupant les personnels intervenant dans les champs de l’Enseignement, l’Éducation, la Recherche, la Culture, la Formation, l’Insertion et plus généralement dans deux des trois fonctions publiques.
http://fsu.fr/
Ingénieurs sans frontières est une association française de solidarité internationale créée en 1982.
Si l’association a été initialement créée dans le but de servir d’assistance technique pour des projets de développement dans les pays du Sud et sensibiliser le monde des ingénieurs aux problèmes de ces pays, son projet a largement évolué en plus de 35 ans d’expérience.
Pour construire à l’échelle nationale et internationale une société sans exclusion et ouverte, il faut changer les manières de voir, les habitudes de penser et les façons de faire. Fortes de ce projet et considérant nécessaire de s’inscrire dans une dynamique de changement pour un monde plus solidaire, six associations de solidarité internationale ont décidé de faire converger leurs efforts et de créer le Réseau Initiatives Pour un Autre Monde – IPAM.
http://www.reseau-ipam.org/
La Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen, plus communément appelée Ligue des droits de l’homme ou LDH, est une association (loi de 1901) visant à l’observation, la défense et la promulgation des droits de l’homme au sein de la République française, dans tous les domaines de la vie publique.
https://www.ldh-france.org/
Association créée en 1986. Premier réseau national d‘éducation populaire à la science et par la science. Premier réseau national d’éducation au développement durable.
http://www.lespetitsdebrouillards.org/
En France, l’association à but non lucratif Max Havelaar France se charge de promouvoir et développer une forme de consommation responsable. Elle gère le label Fairtrade / Max Havelaar apposé sur des produits de différentes entreprises engagées. Elle n’achète ni ne vend aucun produit, mais accompagne les acteurs économiques dans leur démarche et sensibilise l’opinion publique.
https://www.maxhavelaarfrance.org/
Le Mouvement Français pour un Revenu de Base (MFRB) est une association créée en mars 2013, à l’occasion de l’initiative citoyenne européenne pour le revenu de base. Le MFRB se donne pour mission de promouvoir le revenu universel dans le débat public, jusqu’à son instauration.
https://www.revenudebase.info
Le Mouvement National des Chômeurs et Précaires est né en 1986. Il est l’héritier du premier syndicat des chômeurs, créé par Maurice Pagat en 1981, quand par le biais d’un article paru dans « Le Monde », celui -ci invitait les chômeurs à se rassembler, jugeant qu’il était « urgent et indispensable d’inviter les chômeurs à refuser la solitude, à résister, à se défendre, à s’organiser et à prendre enfin la parole ».
http://www.mncp.fr/site/
Le Mouvement de la Paix est une Organisation non-gouvernementale créée en 1948 et agréée « Association nationale de jeunesse et d’éducation populaire ». Association loi 1901 à but non lucratif, le Mouvement de la Paix agit pour le désarmement, en particulier nucléaire, mais aussi contre la production et les transferts d’armements, pour la réduction des budgets militaires.
https://www.mvtpaix.org/wordpress/
Le « Mouvement UTOPIA » est une association d’éducation populaire à but non lucratif, qui vise notamment à élaborer un projet de société solidaire, écologiquement soutenable et convivial dont l’objectif est le « buen vivir ».
Le Mouvement Utopia soutient depuis sa création en 2000 la déconstruction des aliénations de nos sociétés : le dogme de la croissance comme solution à nos maux économiques, la croyance en la consommation comme seul critère d’épanouissement individuel, la centralité de la valeur travail comme seul mode d’organisation de la vie sociale.
http://mouvementutopia.org/site/
La Nef est une coopérative financière qui offre des solutions d’épargne et de crédit orientées vers des projets ayant une utilité sociale, écologique et/ou culturelle. Sa mission est de fournir à ses sociétaires et clients les moyens d’être acteurs de la transition écologique et sociale de notre société. Fidèle à son principe fondateur « Pour que l’argent relie les hommes », la Nef crée des outils financiers de participation citoyenne pour mettre en marche et accompagner des nouvelles façons de produire, de consommer, d’entreprendre, d’habiter.
https://www.lanef.com
Notre affaire à tous est une association ancrée dans la lutte pour la préservation de la nature, l’association oeuvre à l’instauration d’une justice climatique. Ses actions doivent permettre de faire face aux changements climatiques, au désastre nucléaire, à la disparition des ressources, etc. L’objectif principal de Notre affaire à tous est donc de faire respecter et améliorer le droit en vigueur, notamment celui de l’environnement.
https://notreaffaireatous.org
No Vox est un réseau d’associations, de mouvements et d’organisations, qui mènent concrètement des luttes sociales sur le terrain. Fondé lors du 1er Forum social européen à Florence, le réseau a pris une dimension internationale lors du 1er Forum mondial de Porto Alegre en 2003. Ces mouvements de lutte sont composés de femmes et d’hommes qui s’auto-organisent pour la défense et l’application des droits fondamentaux définis par la déclaration universelle des droits de l’homme et pour faire naître de nouveaux droits.
http://www.no-vox.org/
Oxfam France est une association de développement qui lutte contre les injustices et la pauvreté.Oxfam France est membre de la confédération internationale Oxfam, un réseau de 20 organisations de solidarité internationale qui travaillent ensemble dans plus de 90 pays pour trouver des solutions durables à la pauvreté.
http://www.oxfamfrance.org
Créée en 1993 dans le contexte des accords d’Oslo, la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine a pour objectif de mobiliser pour la reconnaissance des droits des Palestiniens, notamment celle d’un Etat palestinien souverain, sur les lignes dites de 1967.
Aujourd’hui, la Plateforme rassemble 42 associations, dont 29 sont membres et 13 sont membres observateurs.
https://plateforme-palestine.org
Le ReAct est né en 2010 d’une analyse partagée : les injustices sociales et environnementales ont pour cause principale la domination des intérêts des grandes entreprises sur ceux de la majorité des personnes. Pour cela, le ReAct souhaite contribuer à organiser les personnes affectées par ces abus afin de construire un pouvoir social à même de défendre les droits et intérêts du plus grand nombre.
http://www.projet-react.org/fr/
Le Réseau Action Climat est le représentant français d’un réseau mondial et européen d’ONG, qui regroupe près de 1100 membres à travers la planète. Avec pour objectif de parler d’une seule voix pour peser davantage sur les décideurs, le Réseau Action Climat couvre de par son travail l’ensemble des secteurs responsables du dérèglement climatique : les transports, la production d’énergie, l’agriculture et l’alimentation, l’habitat, etc. Il travaille principalement à l’élaboration de mesures alternatives et ambitieuses pour lutter contre les changements climatiques et ses impacts et veille à ce que ses propositions ne portent pas atteinte à l’environnement, à la sécurité et aux droits humains.
https://reseauactionclimat.org/association/
Chercheurs, journalistes et militants peuvent-ils s’essayer, ensemble, à décrire le monde social et contribuer au débat d’idées ? C’est le pari lancé par la revue Mouvements : se constituer en espace d’information critique, d’enquêtes sociales, de travaux théoriques et d’interpellation politique afin d’intensifier les échanges entre travaux de recherche, espaces de résistance et de proposition politique. Ni journal en ligne, ni liste de diffusion partisane, ni blog collectif, mouvements.info est un espace réactif de réflexion politique et théorique.
http://mouvements.info/
Un réseau d’information et de documentation pour la solidarité et le développement durable, Depuis plus de 30 ans, le réseau Ritimo regroupe en France des lieux et des organisations (centres de documentation, lieux ressources, médias et projets documentaires en ligne…) engagés collectivement dans un projet de mobilisation citoyenne pour la solidarité internationale.
Notre mode d’action principal est la collecte, la sélection et la diffusion d’une information critique, plurielle et diversifiée, privilégiant l’expression des citoyens, des associations et des mouvements sociaux de tous les continents.
https://www.ritimo.org/
Sciences Citoyennes a pour objectif de favoriser et prolonger le mouvement actuel de réappropriation citoyenne et démocratique de la science, afin de la mettre au service du bien commun.
https://sciencescitoyennes.org
Le Secours Catholique-Caritas France est une association loi 1901 à but non lucratif, reconnue d’utilité publique depuis 1962. Service de l’Église Catholique, elle fonde son action sur l’Évangile et la doctrine sociale de l’Église.
En France, le Secours Catholique couvre l’ensemble du territoire, grâce à ses 3700 équipes locales réparties en 75 bureaux locaux appelés "délégation".
https://www.secours-catholique.org
Depuis 38 ans, SOL, Alternatives Agroécologiques et Solidaires appuie, sur le long terme, des initiatives créées pour et par des organisations locales en Inde, en France et au Sénégal. L’association a pour objectif de participer à la satisfaction des besoins essentiels des agriculteurs paysans et à la valorisation de leur rôle dans la société. SOL agit sur deux volets d’interventions : l’accès à une agriculture paysanne et la protection des ressources naturelles et de la biodiversité.
https://www.sol-asso.fr/
Starting-Block mobilise les jeunes adultes et les initie à la réalisation de projets collectifs tournés vers les autres et basés sur des méthodes d’éducation active et participative. Elle leur propose des animations, des formations et des outils pédagogiques afin qu’ils deviennent des citoyens engagés, acteurs de la sensibilisation de leurs pairs.
https://www.starting-block.org/
Survie est une association créée en 1984 qui dénonce toutes les formes d’intervention néocoloniale française en Afrique et milite pour une refonte réelle de la politique étrangère de la France en Afrique. Survie propose une analyse critique et des modalités d’actions encourageant chacun à exiger un contrôle réel sur les choix politiques faits en son nom. Elle rassemble les citoyens et citoyennes qui désirent s’informer, se mobiliser et agir.
https://survie.org
Fondé en 1974, le TNI est un réseau international d’experts–activistes engagés à analyser de façon critique les problèmes globaux d’aujourd’hui et de demain, avec l’objectif de fournir un soutien intellectuel aux mouvements qui cherchent à orienter le monde dans une direction démocratique, équitable et environnementalement durable.
https://www.tni.org/en
L’Union syndicale Solidaires est composée de fédérations et syndicats nationaux, et d’Unions locales et régionales. Elle existe depuis 2003 mais a des racines bien plus anciennes dans le syndicalisme.
Elle défend les travailleurs et les travailleuses en France, quelle que soit leur origine et leur culture, et travaille avec les organisations de jeunes, de chômeur et chômeuses, de paysans, d’habitants.
Elle entretient des relations fraternelles avec de nombreuses organisations syndicales et d’associations à l’étranger pour faire vivre la solidarité internationale.
https://www.solidaires.org/
Solidaires 38 est la branche de l’Isère de l’Union Syndicale Solidaires
https://solidaires.org/Solidaires-Isere-38
Un espace des « médias indépendants » sera organisé pendant l’Université d’été, avec :
Politis est un hebdomadaire généraliste indépendant fondé en 1988. Aucun sujet ne lui est étranger : de la politique à la société, de l’économie à la culture. Chaque jour, chaque semaine, Politis revient sur les faits marquants de l’actualité, les commente et les met en perspective. La parole est donnée à des chercheurs, des intellectuels, des artistes, des élus, des acteurs de l’innovation citoyenne et de l’économie sociale et solidaire.
Indépendant, sans publicité, il appartient à ceux qui l’écrivent, le fabriquent et lisent. Il n’est adossé à aucun groupe industriel ou financier.
Basta ! (www.bastamag.net) est un média indépendant en ligne qui publie quotidiennement des enquêtes, reportages, entretiens, sur les questions sociales, environnementales, économiques et démocratiques. Nous souhaitons produire et diffuser une information d’intérêt général, accessible à toutes et tous, qui revient à ses fondamentaux : enquêter, décrypter, raconter et expliquer. Basta ! est animé par une équipe de sept journalistes permanents et propose une information à prix libre, en faisant le pari de devenir un média au financement 100% participatif.
Le « quotidien de l’écologie » veut proposer des informations claires et pertinentes sur l’écologie dans toutes ses dimensions, ainsi qu’un espace de tribunes pour réfléchir et débattre. Dans toutes ses dimensions signifie que pour nous, l’écologie est politique, et ne peut se réduire à des questions de nature et de pollution - même si nous suivons attentivement ces questions vitales. L’écologie engage le destin commun, engage l’avenir, sa situation découle largement des rapports sociaux : c’est donc bien une écologie politique et sociale que Reporterre présente et discute.
Sans Transition ! est une revue bimestrielle consacrée aux alternatives en matières économiques, sociales et écologiques dans les territoires. Son objectif : mettre en lumière des actions concrètes s’inscrivant dans les champs de l’environnement, de l’Économie sociale et solidaire (ESS) et de la participation citoyenne. Agriculture biologique, éco-construction, économie circulaire, insertion des personnes en situation de fragilité, transports doux font partie des thèmes traités par Sans Transition !
Alternatives économiques a pour ambition d’offrir à ses lecteurs, à travers ses différentes publications, une information indépendante et de qualité sur toutes les questions qui sont aujourd’hui au cœur du débat public.
L’indépendance d’Alternatives Economiques à l’égard de tous les pouvoirs s’ancre dans son statut de coopérative (Scop) : Alternatives Economiques appartient à ses salariés et à ses lecteurs. Une exception dans l’univers de la presse.
Cette indépendance lui assure une liberté de ton qui rencontre aujourd’hui un échos de plus en plus important avec plus d’un million de lecteurs par mois
Radio Parleur, c’est le son de toutes les luttes. Un média journalistique libre et indépendant. Un site d’information sonore sur internet disponibles en podcast pour raconter les mobilisations, les actions, les alternatives, les défis qui questionnent notre société et provoquent ces évolutions. A travers nos reportages, nos émissions, nos captations de conférences, nous vous donnons à entendre toutes les personnes qui agissent et se mobilisent pour défendre leur opinions et de leurs convictions. Un cadre pour parler des luttes, de toutes les luttes, qu’elles soient sur le pavé, à l’intérieur des cortèges, ou sur les lieux de vie, de sociabilisation et de travail.
Après avoir existé entre 1885 et 1886, Le Postillon a ressurgi depuis mai 2009, avec pour unique business plan d’occuper le créneau porteur et néanmoins complètement délaissé de la presse locale critique. Devant l’ampleur de la tâche, nous nous concentrons sur des sujets locaux et parlons presque exclusivement de Grenoble et sa cuvette. Aucune association, organisation ou parti politique n’est parvenu jusqu’ici à nous convaincre de devenir son journal de propagande. Et malgré les nombreuses sollicitations, nous avons refusé toute entrée dans notre capital : nous sommes donc complètement indépendants.
Mediapart est un journal numérique d’information politique et générale, d’investigation, indépendant des pouvoirs politiques et économiques, participatif et financé par ses abonnés, sans subventions ni publicité.
Premier pure player indépendant d’actualité de la région grenobloise, Place Gre’net est un média reconnu service de presse en ligne d’information politique et générale (IPG) par la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP).
S’appuyant sur un modèle économique mixte (vente d’abonnements et d’encarts de communication), Place Gre’net est indépendant de tout groupe économique ou politique et ne perçoit aucune subvention locale, départementale ou régionale. Il est par ailleurs membre du Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (Spiil).
Radio Campus Grenoble, c’est la radio associative qui se trouve au premier étage du bâtiment EVE et qui émet sur le 90.8 depuis 25 ans, 24h/24h et 7j/7j. La programmation musicale de la radio est éclectique et exigeante. Ses magazines et émissions traitent de manière originale des actualités étudiantes, culturelles, associatives et citoyennes. Un seul mot d’ordre : la découverte !
Radio Campus Grenoble se donne l’exigence d’apporter des compétences et des expériences liées aux pratiques culturelle, à la communication et aux médias, à la gestion de projets pour nos multiples interlocuteurs : bénévoles, salariés, stagiaires... Radio Campus Grenoble est membre du réseau Radio Campus France (http://www.radiocampus.fr/).
TV Bruits est une web-télévision locale, indépendante, à vocation régionale. C’est une structure associative et non commerciale composée de personnes et d’associations. Depuis 15 ans, elle réalise et diffuse, sur internet et en projections publiques, des reportages, des documentaires, des films et des émissions télévisuelles. Elle propose des ateliers audiovisuels auprès de différents publics à Toulouse et en Occitanie. Elle initie et forme toute personne intéressée par le domaine de l’audiovisuel et de l’information, en plus des bénévoles de l’association ou de ses partenaires.
Le Ravi est une mensuel associatif régional d’enquête et de satire basé à Marseille et qui sévit en Provence-Alpes Côte d’Azur depuis maintenant 15 ans.
Un journal qui a envie de faire entendre d’autres voix et de montrer d’autres voies. Un journal qui ne se contente pas de produire de l’information : débats, festivals, éducation aux médias, ateliers de journalisme participatif...
le Ravi, avec la coordination permanente des médias libres et Médias Citoyens Paca, essaye de la jouer collectif pour faire vivre la presse et les médias "pas pareils" en Paca mais pas que. Après 15 ans, il est encore vivant. Et c’est déjà pas mal !
Silence est une association qui publie la première revue écologiste collaborative, indépendante française, créée en 1982 à Lyon. Travaillant principalement autour de trois thématiques : l’écologie, les alternatives et la non-violence, Silence diffuse 11 numéros par an. Écrite par des journalistes professionnel·les et par des bénévoles (plus de 1 000 en 36 ans) la revue Silence est distribué par abonnements, via un réseau de 200 dépositaires, et sur des événements (foires, salon,… ) aux quatre coins de la France. Porteuse des valeurs de l’écologie politique, elle associe dans ses recherches théories, concepts et alternatives pratiques, questions sociales et questions de genre.
Le Media
Association for Progressive Communications | Internet for social justice and sustainable development
Un réseau et une organisation
APC est à la fois un réseau et une organisation. Les membres d’APC sont des groupes et individuels qui travaillent dans leur propre pays pour faire avancer la mission d’APC.
Les membres définissent les priorités stratégiques d’APC tous les cinq ans. APC a un personnel limité réparti dans différents pays et qui communique de façon quotidienne par internet (nous n’avons pas de siège social). L’intérêt et la particularité d’APC viennent des perspectives locales et du contact avec les organisations locales qu’apportent nos membres et du fait que nous sommes une organisation véritablement internationale et virtuelle.
Réalisateur : Véronique Kleiner
Producteurs : ARTE France, Point du Jour, Picta Productions, CNRS Images, CNDP
Où la recherche révèle un pan méconnu de l’évolution qui, pour une fois, met les femmes en vedette.
Partout dans le monde, les femmes sont en moyenne plus petites que les hommes. Même chez les Européens du Nord, qui sont actuellement les plus grands du monde, leur taille est inférieure à celle des hommes d’une quinzaine de centimètres environ. Le dimorphisme sexuel de taille, comme l’appellent les scientifiques, n’est cependant pas universel. Il y a des espèces animales où les femelles sont plus grandes que les mâles - les baleines bleues, par exemple. Si le plus grand mammifère au monde est une femelle, pourquoi en va-t-il autrement chez les humains ?
Les spécialistes de la question nous racontent une histoire inédite, au carrefour de la biologie, de la médecine, de la paléoanthropologie et de la sociologie. Ces experts travaillant en France, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne et aux États-Unis retracent leurs découvertes sur l’évolution qui, pour une fois, mettent les femmes sur le devant de la scène.
passée en boutique :
https://boutique.arte.tv/detail/pourquoi_femmes_plus_petites_hommes
Quelques questions/réponses à propos de l'essai de Dominique Dupagne : http://www.larevanchedurameur.com Il y a question de sociologie, de domination, de démarche qualité, de Web 2.0, et d'espoir...
Catégorie
Actualités et politique
L’Association Internationale pour la Recherche Interculturelle (ARIC) a été fondée à Genève, le 29 novembre 1984, lors d’un colloque de la société suisse de recherches en éducation, par des chercheurs de disciplines différentes (anthropologie, psychologie, sociologie, éducation…) de France, du Québec et de Suisse.
A l’assemblée générale de fondation de l’association étaient présents Pierre Dasen, Micheline Rey (Genève), Jean Retschitzki, Margarita Bossel-Lagos, Andreas Dick (Fribourg), A. Bottani, Carmel Camilleri, May Collet, Nicole Howard, Maurice Mauviel (Paris), et Fernand Ouellet (Sherbrooke). Le président élu à cette occasion fut Pierre Dasen (Université de Genève)
Le siège et le secrétariat de l’ARIC ont été installés à l’Institut de Psychologie de l’Université de Fribourg (Suisse).
L’ARIC a pour principaux buts :
- Dynamiser la recherche interculturelle.
- Promouvoir la collaboration interdisciplinaire et interculturelle.
- Faciliter l’articulation entre théorie(s) et pratique(s) interculturelle(s).
- Etablir, dans l’espace francophone, un réseau international et interdisciplinaire.
- Organiser des rencontres scientifiques d’envergure nationale internationale.