56 Publications - 51 Membres
Créer un espace de rencontres, d’échanges, de soutien et de coopération entre jardiniers et jardinières qui accompagnent professionnellement des organisations vers des processus de gouvernance partagée.
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Commentaires :
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Le premier : Anna Cruaud (adhérent·e) 6 oct. 2019 · Dernière mise à jour: 9 oct. 2019 - 18:05 Visible par tous les membres de l'espace
Bonjour! La date d’une première réunion a t’elle été choisie? MErciii!
@Fanny Hennion-Garaccio
80,2 k abonnés -31+ - 780 vues - 4 commentaires
Sarah Legrain et Antoine Léaument introduisent la seconde partie de la réunion d'installation des boucles départementales. Les co-animateur·rice de l’Espace Vie du mouvement y définissent les tâches des 5 binômes de référent·es de la boucle départementale et y présentent la méthode par laquelle celles et ceux-ci sont désigné·es. Cette dernière partie de la réunion dure entre 1h15 et 1h45.
Connu / TG le 6/05/23 à 12:57
Tr.: ... fonctionnent au consensus ... bonne ambiance, recherche de l'intérêt général ...
La France insoumise est en crise depuis la nomination de Manuel Bompard à la tête du mouvement. Une scission a eu lieu en interne ...
Connu / TG le 22/02/23 à 09:46
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En savoir plus :
- Le livre : La valeur du service public
- 7 très courtes et édifiantes vidéos des auteurs, dont voici la première :
Qui veut la peau du service public ? Réponse de Julie Gervais, politiste, professeure et chercheuse au Centre Européen de Sociologie et de Science Politique ; Good Night & Good Luck -> https://www.youtube.com/watch?v=qp9WTLGmIF4&list=PLcqmxyvsmB8fjSh6eGBxZVwT1xjtdY2M1
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Une "modernisation" des services publics ? Réponse de Willy Pelletier
Editions La Découverte
1,09 k abonnés
435 vues 9 nov. 2021
Une "modernisation" des services publics ? Willy Pelletier, sociologue, tente de répondre à cette question et à tant d’autres dans le livre « La valeur du service public », écrit avec Claire Lermercier et Willy Pelletier.
Ce livre est disponible en librairie.
Pour en savoir plus ➤ https://bit.ly/3kefrVq
Éditions La Découverte
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Connu / TG le 2/01/22 à 11:57
24:52 - 75,1 k abonnés - 6 290 vues - 137 commentaires
#ARMFI2022 #franceinsoumise #insoumis #NUPES
Conférence de presse du 10 décembre 2022, suite à l'Assemblée Représentative de la France insoumise.
(Attention : suite à des problèmes techniques, le début de la conférence n'a pas pu être enregistré).
Retrouvez l'intégralité des annonces de la journée : https://lafranceinsoumise.fr/assemblee-representative-10-decembre-2022/
Tr.: ... feuille de route "comment être plus efficaces pour l'action ?", processus évolutif, démarche expérimentale, conseil politique,
10 espaces du mouvement :
bataille de la société avec 4 poles :
bataille des idées et de la formation
électorale
médiatique
dév du mvt
intergroupe parlementaire
intervention jeunesse
pratique citoyenne et élus
vie du mouvement
coordination des espaces 21 personnes
pour une durée d'un an
sara legrain : conseil politique articuler avec le gr parlement, les orgas politiques, les coprésidents des élus citoyens
acquisition de locaux /lfi s'implanter dans départ. gagnés par l'extrême droite
contrib fin : constituer des cagnottes locales, départ, nationales
louis boyard : meetings contre la vie chère, contre réforme des retraites, pour la retraite à 60 ans, jeunesse facs, lycéens, le 21/1/23
Connu / TG du 28/11/22 à 08:23 - Andris Piebalgs /Stock.Adobe.com
Mots-clés
crise énergétique ; sufficiency ; modération ; Consommation ; modèle du « Donut » ; Démocratie ; Inégalités ; transports ; justice sociale ; abondance ; Transition énergétique ; changement climatique ; gouvernements
Sophie Dubuisson-Quellier, sociologue, membre du Haut conseil pour le climat, revient pour CNRS Le Journal sur le concept de sobriété, ses objectifs et ses verrous.
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Il y a quelques mois encore, le terme était considéré comme tabou car il évoquait l’écologie punitive. La sobriété à laquelle les Français sont appelés aujourd’hui, et les Européens plus largement, s’est imposée dans un contexte particulier, qui est un contexte de crise énergétique lié à la guerre en Ukraine ; il s’agit d’une modération des consommations d’énergie, qui vise surtout le consommateur final et repose sur la responsabilisation des individus.
Mais en réalité, la notion de sobriété existe dans la recherche en sciences sociales depuis une vingtaine d’années déjà. Elle a fait l’objet de nombreux travaux, principalement chez les chercheurs anglo-saxons, sous le terme de « sufficiency » – un concept repris par le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) pour la toute première fois en 2022, et qu’on pourrait traduire par « ce qui est suffisant », « ce qui suffit ».
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la modération de la consommation, mais aussi, plus en amont, de nouvelles orientations de la production et des services. Elle pose la question de la soutenabilité de notre mode de vie, de ce qui est « suffisant » ou « assez » (« enough »), et suggère l’introduction de limites. Plusieurs modèles ont été développés en ce sens, comme le modèle du « Donut » proposé par l’économiste Kate Raworth. Avec des limites basses, qui sont le socle minimum correspondant à la satisfaction des besoins de l’individu et à une vie décente, et des limites hautes, qui figurent le plafond à ne pas dépasser afin de préserver les ressources et l’habitabilité de notre planète (voir schéma ci-dessous). Le « suffisant » se trouverait entre ces deux limites.
Le modèle du « Donut », avec sa forme de beignet, désigne l'espace dans lequel l'économie peut se déployer sans nuire à la planète, ni au bien-être des individus.
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redéfinir les niveaux de besoins et de bien-être, et pose la question des modalités à utiliser pour décider de ce qui est suffisant et de ce qui est de l’ordre du « trop ». Les questions de sobriété, on le voit, relèvent d’un problème d’organisation sociale avant tout – une notion absente de la réflexion actuelle en France. Elles posent aussi un vrai problème de démocratie : derrière, se profile la question de la juste répartition de ressources limitées, dans des sociétés déjà profondément inégalitaires.
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la recherche en sociologie montre bien que les contraintes qui pèsent sur chacun d’entre nous sont très inégales, et conditionnent fortement notre capacité à agir. C’est pourquoi les travaux sur la sufficiency insistent sur le fait que les dimensions de justice sociale doivent être au cœur des politiques de sobriété. Cela implique d’engager des actions structurelles comme la rénovation énergétique des bâtiments, notamment, afin que les changements de comportements soient véritablement accessibles à tous.
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... comment atteindre la sobriété dans nos sociétés dites « de consommation » ?
S. D.-Q. C’est ce qui s’appelle une injonction contradictoire : on nous demande d’être sobres dans une société qui est tout entière organisée autour de l’abondance.
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C’est le collectif qui mettra en mouvement les individus, en se donnant des objectifs clairs et des moyens pour les atteindre, pas l’inverse.
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Quel est le bon niveau collectif pour agir selon vous ?
S. D.-Q. Les autorités publiques – gouvernement, collectivités territoriales – ont un rôle crucial à jouer, en agissant sur le cadre réglementaire et en montrant une direction, en planifiant et en organisant la transition. Mais d’autres niveaux d’action sont possibles, dans les entreprises et les organisations professionnelles, dans les associations de quartier, les copropriétés, etc. Chacun de ces collectifs peut réfléchir à ses usages et produire de nouvelles normes.
Dans le monde de la recherche, par exemple, nous sommes amenés à prendre régulièrement l’avion, pour assister à des colloques internationaux notamment. Est-ce à chaque chercheur de s’interroger sur ses pratiques, ou bien ne pourrait-on pas en discuter tous ensemble ? Réfléchir au niveau collectif ne signifie pas forcément édicter une règle unique pour tous : on pourrait ainsi considérer que de jeunes chercheurs en début de carrière ont davantage besoin de voyager pour rencontrer leurs pairs.
La société ne bougera que si nous sommes sur une trajectoire collective, dans laquelle chacun prend sa juste part. Aujourd’hui, les autorités peuvent avoir l’impression que les contraintes qu’exige le changement climatique sont trop lourdes pour les individus ; mais en réalité, certains groupes sociaux, comme les agriculteurs, sont déjà dans des situations difficiles et ont besoin dès maintenant de ce changement collectif.
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Les sciences du climat ont permis de comprendre les mécanismes et les impacts du changement climatique, mais ce changement climatique est dû aux formes matérielles et institutionnelles qu’ont prises nos organisations économiques : au caractère central qu’y tient le recours aux énergies fossiles, à la façon dont sont organisés les circuits financiers, aux choix d’aménagement des villes et des systèmes de transport, ou encore au mode de définition de nos objectifs de prospérité.
La transition passe par des changements profonds de nos organisations économiques, politiques et sociales, et nous avons besoin des sciences sociales – sociologie, science politique, économie, anthropologie... – pour la faire. ♦
Notes
- Directrice de recherche au CNRS, au Centre de sociologie des organisations (CNRS/Sciences Po Paris).
Clés : Enquête EDF Framatome Organisation industrielle
Comment EDF a remis sur les rails la filière nucléaire française... et la prépare à bâtir des EPR2
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En trois ans au lieu de deux, le plan Excell de reconquête dans la confiance dans la filière nucléaire d’EDF a presque atteint son objectif: être prêt à construire de nouveaux réacteurs en France. Retour sur cet immense chantier, et les défis qu'il reste à relever.
Réservé aux abonnés
Aurélie Barbaux
18 Novembre 2022 \ 08h00
7 min. de lecture
Comment EDF a remis sur les rails la filière nucléaire française... et la prépare à bâtir des EPR2
© EDF Energy
Le plan Excell d'EDF ne vise pas seulement à remettre la filière nucléaire française sur les rails pour construire les EPR2 en France, mais à éviter de nouveaux dérapages sur le chantier d'Hinkley Point C au Royaume-Uni.
Trois ans après son lancement en décembre 2019 par Jean-Bernard Levy, c’est l’heure du bilan pour le plan Excell d’EDF, qui vise à assurer la reconquête de la confiance dans la filière nucléaire. Et il semble plutôt positif. «Malgré le contexte énergétique, qui pourrait rendre mes propos décalés, Excell, c’est puissant et progressivement, cela délivre», assure Alain Tranzer, un ancien de PSA (désormais Stellantis) arrivé fin avril 2020 au poste, nouvellement créé alors chez EDF, de délégué général à la qualité industrielle et aux compétences nucléaires. Seuls quatre des 30 objectifs fixés ne sont pas complètement atteints. «Un coup de collier reste à donner», convient celui qui assure sa mise en oeuvre d'Excell.
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Chercher quelqu'un qui l'est ACT
Retour d'un pompier pour penser nos organisations actrice des transitions - Publié il y a une semaine / secoueur_de_cocotier Par furax37
• 180 vues
Conférence 08 Juillet lors du Forum des usages coopératifs de Brest
VisibilitéPublique
CatégorieActualité & Politique
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LangueFrançais
Étiquettes
Durée1h 10s
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1 an et demi de retours d'expériences avec l'approche de la Gouvernance Intégrative, ainsi que des clés pour ce type d'accompagnement.
Chapitres :
"00:00" Présentation, parcours de Sacha Epp fondateur de la GI
"05:30" Retours d'expériences et les questions clés
"45:09" Création d'un réseau et formation pour professionnels
"49:43" Questions des participants
Liens mentionnées:
- Article "S'organiser sans réunions", l'expérience de l'association de permaculture. https://gouvernanceintegrative.com/sa...
- Les familles et fiches de processus. https://gouvernanceintegrative.com/to...
- les formations : https://gouvernanceintegrative.com/fo...
- la formation pour en faire un usage professionnel : https://gouvernanceintegrative.com/fo...
Nous suivre
https://www.facebook.com/GouvernanceI...
https://www.linkedin.com/company/gouv...
Newsletter : https://my.sendinblue.com/users/subsc...
Me contacter : sacha@gouvernanceintegrative.com
Connu / https://gouvernanceintegrative.com/formation-pour-pro/ connu / https://grandjardin.jardiniersdunous.org/content/perma?id=84914
Notre raison d’être Pour la propagation de systèmes émancipateurs !
Notre gouvernance
Agilité, Entreprise libérée (Nourri.e.s par les écrits d’Isaac Getz et ceux d’Edgar Morin sur les entreprises humanistes), Scop en avril 2018, Holacracy (les processus de prise de décision se font dans une gestion des rôles plus que des personnes, etc), La coopération fait partie de notre quotidien,
Notre équipe
- Aliocha Iordanoff, PDG – Facilitateur coach des organisations en transition
- Sarah Dantz, Facilitatrice en intelligence collective
- Juliette Brunerie, Facilitatrice en intelligence collective
- Jeanne de Kerdrel, Facilitatrice en intelligence collective
- Thomas Mady, Responsable design graphique
- Solen Bel Latour, Facilitateur & Médiateur
Notre histoire
Semawe est née en 2009 à Avignon et s’est installée à Grenoble en 2017. SAS devenue SCOP
Semawe (activité et Siège Social)
12 rue Claude Genin 38100 Grenoble 04 86 65 26 22 contact@semawe.fr
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En un an de crise sanitaire, nous avons assisté au triste spectacle du délabrement de l’Etat et de notre service public. Si le COVID-19 a révélé au grand jour ces carences, et dernièrement l’immense retard de la France dans la campagne vaccinale, le phénomène n’est pourtant pas nouveau : depuis plus de 40 ans, l’Etat s’est appliqué à organiser sa propre impuissance, en se soumettant aux logiques de marché et non plus des citoyens.
Ces derniers n’ont plus aucune voix au chapitre dans ces politiques néolibérales, que l’État fait appliquer en redoublant de violence, comme l’a montré la répression des gilets jaunes. C’est le sujet de l’ouvrage de Frédéric Farah, auteur de Fake State, l’impuissance organisée de l’Etat en France, avec qui nous revenons sur les événements avant-coureurs d’une catastrophe.
Tr.: ... ça s'est passé sous la gauche, entre 81 et 83, où il cède, rôle de Laurent Fabius, organise le désarmement général de flexibilisation contre les travailleurs, romp à un volontarisme, v2.0 est la mondialisation, l'europe de Jacques delors n'a rien de socialiste, pb de formation de ces élites, mutation des formations, banaliser l'état, new public management, comme entreprise privée, obsession du benchmarking, imaginaire business, repenser la formation des élites dans un sens de l'intérêt général, dans l'imaginaire, pourtant la dépense publique pèse 50% du PIB. La nature des missions de l'ÉTAT change, elles se mettent au service du marhcé. Les recettes se réduisent. Démocraties libérales ne vont pas de soi, en train de divorcer : logique brutale pour compléter ex la grèce parlement balayé, le sanitaire now idem, réduction de la démocratie sociale, augm de l'autoritaire, la bataille est celle des récits, transfo techn entrainent des mutations politiques présentées comme inéluctables, faire avec, sic, c'est faux, c'est nier l'autonomie d'une communauté, nourrit la résignation, retour à la souveraineté nationale. En finir avec l'euro est un point de départ, repenser la sortie pour l'état stratège, pj pensé pour, ouvert, rétablir la démocratie, on doit pouvoir redébattre de tout, revitaliser la démocratie, point de départ d'un chantier immense...
Ecole doctorale n°396
ECONOMIE, ORGANISATION ET SOCIETE Spécialité SCIENCES DE GESTION
COMPOSITION DU JURY :
M. Franck AGGERI, Professeur, Ecole des Mines, PSL, CNRS, Président
Mme Sophie BRETESCHÉ, Professeur, IMT Atlantique, Membre du jury
M. Olivier CHANTON, Chercheur, co-encadrant, IRSN, Membre du jury
M. David DEMORTAIN, Chargé de recherche, IFRIS, Université Paris-Est Marne-la-Vallée, Rapporteur
M. Benoit JOURNÉ, Professeur, Université de Nantes, Rapporteur
M. Emmanuel MARTINAIS, Chargé de recherche, ENTPE, Membre du jury
Mme Frédérique PALLEZ, Professeur, Ecole des Mines, PSL, CNRS, Membre du jury
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3. La sûreté nucléaire en France : un cas peu étudié mais particulièrement fécond
Dans ce travail de thèse, nous avons choisi de traiter du cas de la « sûreté nucléaire », entendue, dans sa définition institutionnelle, comme « l'ensemble des dispositions techniques et des mesures d'organisation relatives à la conception, à la construction, au fonctionnement, à l'arrêt et au démantèlement des installations nucléaires de base ainsi qu'au transport des substances radioactives, prises en vue de prévenir les accidents ou d'en limiter les effets » 5. La sûreté nucléaire est donc un problème de politique publique, faisant l’objet d’un traitement par des organismes publics, notamment l’IRSN et l’ASN que nous avons présentés succinctement ci-dessus.
On observe que la sûreté nucléaire française constitue un cas empirique relativement peu analysé. ...
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Suite à cette courte introduction, nous tenterons alors de répondre à la problématique suivante :
Comment se constituent et évoluent les régimes de régulation de la sûreté nucléaire en France ?
Nous allons maintenant développer notre propos, en proposant une démarche théorique, basée sur le concept de « régime de régulation des risques » (Hood et al., 2001) et un de ses composants, les instruments de régulation des risques.
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suivant les auteurs, les disciplines ou les focales retenues, les dispositifs de prise en charge du risque, qui marient des aspects techniques, juridiques, institutionnels, politiques, sont appelés gouvernance des risques, gouvernement des risques ou encore régulation des risques. En sciences politiques et sociologie ... Le terme de régulation est néanmoins assez polysémique. Il existe par exemple une école française de la régulation, inspirée de la pensée marxiste dont les travaux visent à analyser les mécanismes de reproduction du système capitaliste. En sociologie, Jean Daniel Reynaud (Reynaud, 1997), dans la continuité des travaux fondateurs de la sociologie des organisations (Crozier & Friedberg, 1977) a théorisé la « régulation sociale », c’est-à-dire les mécanismes par lesquels les règles sont produites et
renouvelées dans les organisations et plus généralement dans la société. Il convient également de mentionner que le terme anglais de « regulation » correspond en français à celui de « réglementation », ce qui pointe vers les approches juridiques.
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Définitions : ... RFS : Règle fondamentale de sûreté
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Page 325 - Chap. 5 - Chapitre 5. L’inondation du Blayais déclencheur d’un travail de régulation autour du risque d’inondation (1999-2016)
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Page 449 - Chap.6 - L’illustration d’une régulation par la souplesse : l’opérationnalisation de la RFS sur le site du Blayais (1974-1999)
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Connue / https://twitter.com/Mangeon4/status/1343128877649031168
" ... lire le chapitre 6 (et 5 en complément mais après la lecture du 6) ... 10:37 AM · 27 déc. 2020·2 Retweets 2 Tweets cités 14 J'aime "
Compte rendu #ShareeConf - Vendredi 17/04 nous avons tenté de répondre à la question :
Les programmes ambassadeurs sont-ils des effets de mode ou répondent-ils à un profond changement de société ?
Pour cela nous étions avec Josélito Tirados, expert marketing et adepte du Cluetrain Manifesto qui a rejoint l’organisation sapiens.org et propose d’accompagner les leaders dans une nouvelle posture de Leadership.
Et avec Bastoun Talec, qui accompagne les entreprises et leurs collaborateurs à adopter des organisations modernes basées sur le modèle “holacratique”.
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besoin de transfert de parole entre les organisations et leurs membres.
Pour réaliser ce transfert entre la communication institutionnelle verticale et descendante vers une communication décentralisée via les réseaux sociaux des collaborateurs, cela demande une nouvelle approche du management.
Mais ce n’est pas encore la norme en 2020, car les organisations restent majoritairement constituées de silos verticaux ou pyramidaux. La communication est pensée, réalisée et diffusée par le haut sans impliquer le reste des collaborateurs.
Bastoun Talec nous a alors fait remarquer que le programme ambassadeur peut s’appuyer sur un nouveau modèle d’organisation « Holomidales » (en cercle) en opposition avec les organisations horizontales, pyramidales ou verticales.
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Organisation Holomidale
L’organisation en cercle permet de mettre les sujets au centre et de faire que chacun est “équidistant” du sujet.
Cette équidistance crée une forme d’équivalence entre les membres du cercle et le sujet, tout comme les réseaux sociaux qui mettent chacun d’entre nous à même distance du sujet “communication”.
De fait les programmes ambassadeurs créent cette équivalence de parole entre tous les membres du programme tout comme dans une organisation holomidale.
Ces nouvelles formes d’organisations holomidales engendrent aussi de la confiance puisque tout le monde peut voir tout le monde, et personne ne peut se cacher sauf en sortant du cercle et donc en quittant le projet.
On retrouve ainsi dans l’organisation holomidale les caractéristiques d’un programme ambassadeur :
Liberté et volontariat : N’y participent que les volontaires qui veulent entrer dans le cercle.
Équivalence : Chacun accède avec les mêmes outils et les mêmes droits aux réseaux sociaux.
Confiance : Tout le monde peut voir ce que tout le monde fait et s’appuie donc sur la confiance et la bienveillance du groupe.
Confiance
Suite à l’intervention de Saïd El Bouzidi, Josélito et Bastoun ont relevé que cette notion de confiance apparaît rapidement comme une clé dans le programme ambassadeur et les organisations holomidales.
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Ndlr : ces éléments viennent troubler (ou compléter ?) la notion "holomidale". Approfondir ACT
Lydia Pizzoglio et Laurent van Ditzhuyzen
Tr : ... horizontalité, verticalité, profondeur (l'humain au centre de l'orga, authenticité), ~organisme vivant pour s'adapter, sentir et ajuster en constance, agilité, vision holistique, globale, être en coresponsabilité, coopération plutôt que compétition, au service d'une raison d'être, se déconditionner, passer d'une pensée binaire à une pensée intégrative, complexe, inclut chemin et résultat. Indicateurs de créativité, complicité, élévation ensemble, posture d'affirmation pour un commun, pas dictat de la bienveillance, colère émotion peut être saine, pas dictat.
Laurent :
Mme : régulation de mon égo, individualisme, rapport homme-femme,
illusion : on a généré l'ambiguité avec "gouvernance". On s'est trompés. Totalitarisme du groupe, dictature du groupe, /conflit changer niveau de maturité. Faire avec nos divergences, créer du ET et pas que du OU. Éradiquer la souffrance était une illusion. /Responsabilité /Co pas si simple. /Resp de l'orga prend soin, investit, du temps, axe stratégique, rien de miraculeux. Apprentissage, Discipline.Injonction à être souverain ne marche pas mieux que "n'ai pas peur". Comment accompagner la montée en puissance de l'individu ? ÊTRE CLAIR sur le périmètre d'autorité. Résilience possible, croissance de l'individu. Fonctionne au rythme de chacun. Espaces de régulation. Responsabilité sociale de l'orga.
Permet du questionnement, empuissancement. Chomsky. Partager nos expériences.
Connu / https://www.lemediatv.fr/communaute/forum/post/47300
Vidéo aussi à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?x-O2Ug
Mobilizon est un logiciel libre d'organisation d'évènements et de gestion de groupes lancé en octobre 2020 [1] par Framasoft pour proposer une alternative libre aux plateformes des GAFAM [2], [3] (Facebook, Meet-Up, EventBrite).
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Mardi 23 juin, Ugo Bernalicis était l'invité d'Audrey&Co sur LCI pour débattre de la réorganisation du trafic aérien, du travail le dimanche, de la mort de Cédric Chouviat et des violences dans la police, face à Jean-Michel Aphatie et Coralie Dubost, députée LREM.
179 commentaires
Denis Migot est coach Agile et formateur,. Il est auteur d'un 2ème livre « Manuel de survie en animation d’ateliers » | Animation d'ateliers"
Vous pouvez retrouver la première interview de Denis Migot ici : https://www.journalducm.com/transformation-des-methodes-de-travail-denis-migot/
La transformation des méthodes de travail – Denis Migot
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Interview de Denis Migot qui nous parle de son second livre : Un an après avoir publié votre premier livre « Un guide sur le changement organisationnel », vous publiez cette fois-ci votre second livre sur l’improductivité des réunions en entreprises intitulé « Manuel de survie en animation d’ateliers ? » S’agit-il d’une suite ?
Oui et non. Il ne s’agit pas d’une suite à proprement parler en ce sens où les deux livres sont indépendants l’un de l’autre et abordent des thèmes différents. Toutefois ils se complètent.
« Manuel de survie en animation d’ateliers ? » de Denis Migot
Au sein de mon premier livre j’expliquais notamment qu’une organisation, dans un environnement changeant et afin de rester compétitive, se doit de créer et diffuser le pouvoir décisionnel auprès de ceux qui font.
Dans ce second livre j’explique comment transformer ce pouvoir en excellence décisionnelle. Cela nécessite la mise en pratique de différentes techniques créant un environnement favorable à l’intelligence collective.
Dans l’avant-propos, vous indiquez que votre ouvrage repose sur cette question. « Comment préparer et animer efficacement des ateliers où les participants sont impliqués de manière active ? »
Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?
Selon une étude d’OpinionWay http://www.francesoir.fr/tendances-eco-france/entreprise-selon-une-etude-la-moitie-des-reunions-au-travail-ne-servent-rien-reunionite-aigue-cadres-vacances-management-opinionway-telephone-ennui réalisée en 2017 les personnes sondées passent en moyenne 4,5 heures chaque semaine en réunion.
Soit 3 semaines et demie par année de travail. Un temps conséquent malheureusement très mal utilisé puisque, selon les sondés, seulement 52% de ces réunions sont productives. Pire : près d’un sondé sur 4 ne voit pas la nécessité de leur présence à ces réunions.
Cela s’explique par plusieurs erreurs classiques : une absence de préparation et d’animation ou encore des convocations cachées sous des invitations floues. Cette situation n’est pas une fatalité ! Transformer une rencontre en un moment efficace s’apprend. C’est l’objet même de mon livre : expliquer simplement et avec des
exemples concrets comment produire de l’intelligence collective.
Ouvrage assez pragmatique de 56 pages, pourquoi se décider à rédiger un livre
sur l’animation d’ateliers en entreprise ? Du vécu ?
Il y a aujourd’hui un véritable mal être au travail. Cette souffrance touche tous les secteurs, privés comme publics. C’est un fait démontré par de nombreuses études et pointé du doigt par tous les experts et penseurs du monde du travail. Les causes sont nombreuses (faillite du management moderne, perte de sens, individualisation et précarisation des emplois, etc.) et les conséquences terribles (stress, maladie, absentéisme, suicide). Cela nécessite une véritable prise de conscience de la part des dirigeants et managers. Ils doivent envisager leurs rôles autrement en se mettant au service des autres, en donnant du pouvoir décisionnel aux salariés, en les considérant comme des professionnels responsables, en leur accordant du temps pour réfléchir, expérimenter et apprendre. Ce changement de posture, indispensable, s’apprend et s’applique au quotidien. Si l’on prend l’exemple d’une réunion : un manager expliquant
clairement le but et les attentes du meeting, parlant en dernier, écoutant attentivement les autres participants, visant le consentement, aidant puis priorisant la prise de décision et s’assurant que tout le monde puisse s’exprimer sans crainte d’être jugé devient l’exemple à suivre. Il va à son échelle et par son comportement permettre petit à petit
de lutter contre les pertes de repères et de sens de ses managés. Il va montrer qu’il leur accorde toute sa confiance. Cela aura un impact considérable sur leur bien-être. C’est ma conviction profonde et c’est pour cela que j’ai écrit ce livre.
En cette période assez tendue dans le monde du travail et où il est demandé de plus en plus aux salariés de travailler à distance, comment envisagez-vous l’animation
d’ateliers en télé-travail ?
Il est tout à fait possible d’animer des ateliers, réunions et même formations à distance. Pour y parvenir il est indispensable d’utiliser du matériel adéquat : micros, enceintes, caméras, chaises, bureau, connexions Internet et écrans doivent être d’excellente qualité. Cela n’est pas négociable. Il est aussi primordial de former les participants
à leur utilisation. Cela semble une évidence, ce n’est malheureusement pas le cas de
l’essentiel des entreprises que j’ai pu accompagner. Cet investissement matériel et d’accompagnement préalables permettent de gagner énormément de temps et d’énergie. Comment en effet rendre un atelier efficace si les 20 premières minutes sont consacrées à essayer de se connecter et le reste du temps à essayer d’entendre ce qu’il se dit ?
Cet achat de matériel est à coupler avec l’utilisation d’outils adéquats, que ce soit des outils de visio conférence (https://www.zoom.us/ que j’aime beaucoup car il permet de créer des groupes de discussion durant la rencontre, whereby.com, https://www.gotomeeting.com/fr-fr, d’animation (http://www.tamaplace.com/, tamaplace), de préparation (http://www.getsolid.io/fr/ getsolid.io/fr/) ou de visualisation (https://miro.com/).
En lancement d’atelier il me semble important de fixer quelques règles. Par exemple, j’invite toujours les personnes à distance à lever la main lorsqu’elles souhaitent prendre la parole plutôt que de la prendre directement, cela permet d’éviter le brouhaha généré par plusieurs discussions tenues en même temps. J’invite aussi les participants à mettre leur visage près de leur caméra, cela permet aux autres participants de mieux voir les
expressions du visage et donc d’avoir connaissance des expressions non verbales. Lorsqu’un atelier mixe personnes à distance et personnes sur place, j’invite une personne présente à jouer le rôle de facilitateur pour une personne à distance, elle a notamment pour responsabilité de lui décrire ce qu’elle ne peut pas voir ou encore de s’assurer de la
fluidité des échanges.
Prévoyez également en introduction du temps et une animation permettant d’échanger sur des sujets de la vie quotidienne et personnelle des participants. Lorsque les personnes travaillent à distance, elles n’ont que très peu d’interactions informelles
entre-elles, elles sont pourtant importantes pour maintenir de bonnes relations sociales. Il est donc nécessaire de recréer un espace, même virtuel, où elles peuvent avoir lieu.
Cela peut se faire très simplement en posant des questions :
- Quelles bonnes nouvelles persos et pros avez-vous à partager ?
- Qu’avez-vous appris récemment que vous souhaiteriez partager ?
- Qu’avez-vous planifier de faire en dehors du travail les prochains jours ? Etc.
Pour le reste de l’animation il peut être réalisé de la même façon à distance qu’en présentiel.
Comment envisagez-vous l’avenir de l’animation des ateliers en entreprise ?
L’animation d’ateliers ou de réunions est un sujet trop important pour être laissé aux mains d’une seule personne. Il est indispensable que ce savoir faire soit partagé et maîtrisé par tous les salariés. C’est ce que j’espère : que chacun au sein d’une organisation puisse être autonome et efficace pour produire de l’intelligence collective et prendre collectivement de bonnes décisions. Où peut-on trouver « Manuel de survie en animation d’ateliers ? » En vous rendant sur mon site : denis-migot.com !