L'entretien d'actu
Notre regard singulier sur l'état de la France et la marche du monde. Au-delà des faits, le sens de l'actualité.
À l’heure où notre liberté de circulation est conditionnée à la possession d’un QRcode, la question de la surveillance et de la protection des données est prégnante. Régis Portalez, auteur d’une note sur les enjeux de la souveraineté numérique, est l'invité de notre journaliste Elsa Margueritat.
Twitter, Facebook, Snapchat, Instagram, Gmail, Youtube… À moins de vivre en autarcie, vous utilisez probablement quotidiennement ces réseaux sociaux. Internet est devenu un outil indispensable : recherche de travail, maintien de lien social, rencontres, accès à l’information etc. Les bouleversements économiques, sociaux et sociétaux induits par le développement d’internet dans nos vies sont immenses. Et cela ne va pas sans menaces sur celles-ci.
De l’affaire Snowden au Cloud Act, ou plus récemment du Health Data Hub, jusqu’à la montée en puissance des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft), les gouvernements et les citoyens sont confrontés à de nouvelles problématiques : secrets d’État révélés, utilisation de données personnelles à diverses fins, etc. De nombreuses questions se posent : qui détient ces informations ? À quelles fins ? Peut-on choisir à qui fournir ces infos ? Comment les protéger ?
Pour répondre à ces questions, notre journaliste Elsa Margueritat accueille Régis Portalez, auteur d’une note « Souveraineté numérique : reconquérir et protéger » pour les laboratoires d’idées X-alternative et Intérêt général.
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1427328980437422082
Une police du peuple est-elle possible ? C'est le sujet de l'entretien d'actu du jour avec Marion Beauvalet, autrice de la note "Mettre la République en sûreté" pour le think tank Intérêt Général.
Les présidentielles arrivent et ne vous y trompez pas, vous ne couperez guère à l’antédiluvien refrain sur la sécurité. Sur les questions sécuritaires la gauche est très critiquée : trop candide, relativisme de la criminalité, aveuglement, angélisme ou pire abandon total du thème dans les débats. Certains à gauche proclament qu’il ne faut pas parler de sécurité et ne surtout pas donner la moindre place dans les débats à un thème considéré comme le thème phare de l’extrême-droite…
Même lors des dernières élections régionales, qui n’ont pourtant aucune compétence en matière de sécurité, le thème a été central. À gauche, les tentatives pour parler sécurité semblent bien vaines : participation à des manifestations de police, sorties médiatiques etc.
Alors, vouloir être en sécurité ou s’inquiéter de la délinquance est-ce réactionnaire ? La gauche a-t-elle encore son mot à dire, sa place, dans ces débats ? Comment réconcilier gauche et sécurité ? Est-elle encore crédible sur ces questions ? Comment la gauche doit-elle penser son programme sécuritaire ?
Pour en parler nous accueillons Marion Beauvalet, autrice d’une note « Mettre la République en sûreté » pour le think tank Intérêt Général : https://interetgeneral.net/publications/17.html
Tr.: ... selon Laurent Muchielli, il n'y a pas de hausse ... historiquement la répression a ciblé les manifestants, les quartiers populaires ... enquêtes de victimation ... Que faire ? en finir avec l'IGPN, commission / identifier et sanctionner, besoin d'une police de proximité, récipissé de contrôle d'identité, formation plus longue, arts martiaux plutôt qu'armes létales, déontologie, questionnaires, délinquance financière ou économique, en ligne ... méthode de Philadelphie 10 personnes réouvrir les dossiers, en faire un retour critique, changer la manière (plus d'empathie) et plus de confiance en la justice, plus oser porter plainte. Pas transposable, mais l'adapter.
Refonder la police : embaucher, police de proximité, maintien de l'ordre, arrêter la nasse, des médiateurs dans la manif. Valoriser les policiers qui travaillent bien. Sanctions,
Ndlr : oublie la politique du chiffre ? ACT :-(
Anthony Cortes est journaliste. Pendant plus d'un an, il a parcouru le pays à la rencontre de ceux qui ont été au coeur de la lutte des Gilets jaunes. Riche de leurs témoignages, il a publié "Le réveil de la France oubliée : Et si notre avenir était dans les villages ?". Entretien.
Le bouillonnement des villes occulte bien souvent l’activité des campagnes dans l’actualité. Pourtant, celles-ci ne cessent guère de vivre et de se réinventer, et dans l’ombre des grands pôles urbains, repensent leur rôle dans le territoire français.
Pendant un an et demi, Anthony Cortes a sillonné la France. Ce journaliste originaire des Pyrénées-Orientales a ainsi récolté des témoignages dans un monde caricaturé par les médias traditionnels et les observateurs. Tirant les leçons du mouvement des gilets jaunes qui mobilisa les campagnes, il est allé à la rencontre de ceux qui ont été les acteurs de ce grand mouvement populaire qui refuse de s’éteindre.
Tr.: ... remettre au goût du jour le localisme ... valoriser nos propres richesses, recycler d'anciennes recettes, créer de petits cercles vertueux, autogestion, décrit sans la citer l'approche endogène. On est abandonnés, on n'a plus de financements, on ne va pas se laisser mourrir. communalisme, municipalisme, après commercy ... n'a pas cité le mot ruralité.
Nouveau numéro de L'instant Porcher consacré aux élections régionales et départementales marquées par une désertion des bureaux de vote par les électeurs. On décrypte avec notre journaliste Elsa Margueritat et l'économiste Thomas Porcher.
Le roi est mort vive l’abstention ! La grande gagnante des dernières élections régionales, cela ne vous l’a pas échappé, c’était bel et bien l’abstention. Alors certes, les élections régionales ne mobilisent guère : élections aux enjeux plus opaques, pour des listes et des programmes peu clairs… Cependant cette fois, l’abstention historique alerte : d’environ 50 % en 2015, nous sommes passés à 67% d’abstention…
La réforme de l’assurance-chômage ne fait pas l’unanimité vous le savez. Et le Conseil D’Etat qui devait la valider et qui avait été saisi par plusieurs syndicats, a suspendu mardi dernier les nouvelles règles de calcul que prévoit la réforme.
Les différents enjeux des élections régionales ont ouvert un débat quasi sans fin à gauche. Pourquoi sommes-nous aujourd’hui à un point où il y aurait deux gauches irréconciliables ? Pourquoi certains s’insultent et s’invectivent, s’accusent de ne pas être suffisamment de gauche, voire pas de gauche du tout ? La boussole républicaine semble indiquer toutes les directions… au détriment des électeurs.
Tr.: ... en Pays de Loire, Mr Matthieu Orphelin a voté la loi travail, de nombreux à gauche ont dû s'en souvenir ... Le seul programme économique crédible est celui de JLM, soutenu par de nombreux économistes crédibles. ... Parler du fond, éliminer les gens pas crédibles, et ça va se décanter ... Le fond est économique.
Au programme de ce nouveau numéro ... décryptent le plan de Macron pour imposer l'austérité et s'attaquer à notre modèle social, le sujet controversé de l'épreuve de SES lors du baccalauréat, et enfin la proposition de Pascal Canfin pour un "nouvel âge progressiste de la mondialisation".
Après le rapport de la commission sur l’avenir des finances publiques, c’est au tour de la cour des comptes de délivrer le 15 juin dernier un document à Emmanuel Macron sur l’état des finances et la conclusion de ce rapport ne verse pas dans l’originalité : compression des dépenses publiques. C’est simple, si l’on en croit les auteurs de tous ces rapports, la seule et unique façon de pouvoir un jour sortir de la crise, c’est de mener une offensive sur les services publics et notre modèle social qui nous a permis, au hasard, de réduire les conséquences sociales de la crise sanitaire.
C’est la fin de cette année scolaire difficile pour les élèves et qui dit mois de juin dit… épreuves du sacro-saint baccalauréat. Lundi 7 juin les personnes qui passaient l’épreuve de sciences économiques et sociales ont eu le plaisir de composer sur un sujet dont la formulation a beaucoup fait débat au sein des économistes.
Dans une tribune parue dans Le Monde et dans une note chez Terra Nova, le président de la commission environnement Pascal Canfin a réclamé la consolidation de ce qu’il appelle un « nouvel âge progressiste de la mondialisation ». Et ça semble plutôt simple à lire ces lignes : mise en place d’un impôt commun pour les entreprises, rendre les banques centrales plus puissantes, commerce et finance en faveur du climat… Formidable, une forme de mondialisation verte qui nous sauverait tous de la catastrophe écologique vers laquelle on va tout droit. Vraiment ?
Clés : Économie ; Gouvernement ; Inégalités ; Politique
Au programme de L’instant Porcher cette semaine : la dernière enquête IFOP/L’Humanité qui met en lumière les attentes des Français en matière de justice sociale, le sommet sur l’avenir des finances africaines, et enfin la conférence sur l’avenir de l’UE.
À quoi aspirent les Français ? Cette question est évidemment centrale dans une démocratie mais elle l’est d’autant plus que les élections présidentielles auront lieu dans moins d’un an. C’est une question simple posée par le journal l’Humanité et l’institut de sondage de l’IFOP à un panel de Français. Et la réponse pourrait en étonner : les Français aspirent à de la justice sociale.
Quel destin pour l’Afrique ? Ce continent a particulièrement souffert de la crise sanitaire sur le plan économique. C’est sur ce constat que s’est tenu un sommet en France sur l’avenir des finances africaines. Mais quel chemin va être imposé par l’Occident en Afrique ?
Jusqu’en janvier 2022, va se tenir la conférence sur l’avenir de l’Union européenne. Au lendemain de la crise sanitaire, qui s’ajoute aux crises de la Grèce, des dettes souveraines entre autres, un tel événement n’est pas sans arrière-pensée. Comment redorer l’Union européenne, elle qui est toujours remise en cause : pas démocratique, puissance financière, contre les modèles sociaux des pays ? Coup de comm’ ? Quel est le véritable avenir de l’Union européenne ?
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1396888727427837954
"
Le Média @LeMediaTV · 8h
POURQUOI L’UNION EUROPÉENNE NE SERA JAMAIS DÉMOCRATIQUE
Jusqu’en janvier 2022, va se tenir la conférence sur l’avenir de l’UE. @ElsaMargueritat et @PorcherThomas nous expliquent pourquoi il ne faut rien attendre de cette conférence.
6 k vues - 1:18 / 4:06 - 2 - 58 -89
"
Clés : Économie ; Gauches ; Politique
Au programme de L'instant Porcher cette semaine : la suppression de l'ISF et ses conséquences, qui sort gagnant ? Nous dirige-t-on vers des primaires à gauche en vue des présidentielles (2022 ou jamais) ? Enfin, Thomas Porcher et Elsa Margueritat décrypteront également les enjeux s'agissant des prochaines échéances électorales.
Emmanuel Macron a déclaré récemment être très fier de la suppression de l’ISF : impôt injuste, taxe sur la réussite... quels sont les vraies conséquences de cette suppression ? Qui gagne qui perd ?
La course à la présidentielle s’agrémente d’appels, pétitions pour une union... La force du nombre mais pas celle des idées. Au risque de répéter les mêmes erreurs.
Bientôt nous aurons à élire nos élus aux régions et aux départements, mais ces élections s’annoncent très... floues. Alliances étranges dans certaines régions, course au poste... On décrypte avec Elsa Margueritat et Thomas Porcher.
Ndlr : avec son retour d'expérience, véritable plébiscite à JLM++
Clés : Écologie ; Économie ; Gouvernement ; Macron
Au programme de L'instant Porcher cette semaine : l'hypocrisie de Macron en matière d'écologie, la catastrophe humanitaire latente dans les pays les plus pauvres, et enfin les velléités d'alliance à gauche en vue des présidentielles de 2022.
C’est sur une chaîne américaine que le Président de la République Emmanuel Macron a décidé de commencer à dresser un bilan de son mandat, cette fois-ci en termes d’écologie. Revenant sur la catastrophe de la taxe carbone, celui-ci propose un accompagnement des personnes et des investissements publics... tout en préparant l’austérité à Bruxelles.
Les pays les plus pauvres n’ont pas souffert du virus autant que les pays occidentaux. Pour autant, économiquement, c’est eux qui risque le plus : recul d’une dizaine d’années en termes d’aide humanitaire et d’avancées pour les populations. Une catastrophe latente qui est bien muette dans les médias.
Alliance ou pas alliance ? Si les Français ne semblent pas du tout attendre que la gauche s’allie, les partis de la grande constellation de la gauche y œuvrent doucement. En se réunissant, ceux-ci tentent de dépasser les clivages... bien vainement. On décrypte avec Elsa Margueritat et Thomas Porcher.
Thomas Porcher, économiste, signataire du manifeste des Économistes atterrés, et auteur de nombreux essais dont « Les Délaissés » et « Traité d’économie hérétique » débunke chaque semaine, sur le plateau du Média, les fausses évidences des gardiens du temple néolibéral. À l'occasion, d'autres économistes et praticiens de l'économie viennent répondre aux questions du Média dans le cadre de ce module.
Clés : économie ; La République en Marche ; Macron
Dans l'indifférence médiatique, Emmanuel Macron a proposé une esquisse de ce que devrait être son deuxième mandat s'il était réélu en 2022. Thomas Porcher et Elsa Margueritat analysent et décryptent les grandes lignes de ce document dans ce nouveau numéro de L'instant Porcher.
Les commentateurs s’en sont désintéressés, il s’agit pourtant d’un des événements les plus importants du quinquennat de Macron : dans un pacte de stabilité présenté à la Commission européenne, le président de la République annonce la feuille de route d’un éventuel futur mandat. Feuille de route résumée par un mot : l’austérité.
Des solutions à la crise sanitaire, plusieurs en proposent. Le Fonds Monétaire International a une solution toute trouvée, déjà proposée en 2013 : taxer les plus riches. Mais que cache cette consigne ?
Liesse et allégresse dans le monde des affaires suite au rachat du groupe Suez par Veolia. Si Bruno Le Maire félicite un accord qui ne mettrait pas en péril les emplois, les choses sont loin d’être aussi féeriques : on décrypte, avec Thomas Porcher.
Au programme de L’Instant Porcher cette semaine : l’ode à la sacro-sainte concurrence de la commissaire européenne Margrethe Vestager, le bilan du gouvernement français en matière d’écologie et enfin le confinement en demi-teinte annoncé par Emmanuel Macron.
Dans une tribune du 29 mars dans Le Figaro, la commissaire européenne Margrethe Vestager annonce la couleur : en temps de crise, il faut se recentrer sur les priorités. Éducation ? Préservation de notre modèle social ? Budget pour les hôpitaux ? Que nenni. Par les temps qui courent, c’est la libre concurrence des marchés qu’il faut préserver.
Un jour plus tôt, le 28 mars, des milliers de personnes manifestaient dans plusieurs grandes villes de France réclamant davantage de lois ambitieuses pour le climat.
Si la communication d’Emmanuel Macron se défend d’un bilan écologique inédit, en appuyant sur les promesses de campagne du président de la République, les citoyens ne sont pas convaincus : timides avancées sur le plan des énergies renouvelables, peu de lois pour inciter les entreprises à adopter des démarches vertes, etc.
Quelques jours plus tard, après plusieurs semaines de silence, le chef de l’exécutif s’est enfin exprimé sur la crise sanitaire. Le président tente de rassurer sur le confinement en demi-teinte, la catastrophe de la campagne vaccinale, réaffirme son soutien au personnel des hôpitaux…
Au programme de L'instant Porcher cette semaine : la dette Covid et le putsch économique qui se prépare, les prévisions de croissance du PIB, et enfin la dégradation des relations entre l'Union européenne et la Chine à la suite des sanctions visant des hauts-fonctionnaires chinois eu égard à la répression de la communauté ouïghoure au Xinjiang.
Le président de la commission pour l’Avenir des finances publiques a rendu dernièrement son rapport à Matignon sur la fameuse dette COVID, rapport qui a pour mission d’éclairer la trajectoire des finances publiques au sortir de la crise sanitaire. Accueilli tièdement par l’opposition, qui évoque un accord qui ne changerait pas grand chose à la politique actuelle du gouvernement, celui-ci a pour ambition d’éviter que la dette ne gonfle à 128% du produit intérieur brut durant l’année 2021.
L’horizon économique semble enfin connaître une éclaircie. C’est en tout cas ce que prévoient les économistes de la Banque de France qui évoquent une hausse de la croissance du produit intérieur brut : 5,5% en 2021 et 4% en 2022.
Nette dégradation des relations diplomatiques entre l’Union européenne et la Chine depuis quelques semaines. En réaction à la répression de la communauté ouïgoure au Xinjiang, les ministres européens des Affaires étrangères ont décidé de sanctionner quatre hauts fonctionnaires chinois qui ont désormais interdiction de voyager au sein des pays de l’Union européenne, et qui ont vu leurs éventuels avoirs européens gelés.
Tr.: ... il n'y a pas de lien entre dépenses publiques et dette publique, le constat de départ est erronée ... un comité d'experts dont on sait ce qu'ils pensent pour décider ou bien un choix démocratique ? C'est très inquiétant ... ex de la Grèce ...
En un an de crise sanitaire, nous avons assisté au triste spectacle du délabrement de l’Etat et de notre service public. Si le COVID-19 a révélé au grand jour ces carences, et dernièrement l’immense retard de la France dans la campagne vaccinale, le phénomène n’est pourtant pas nouveau : depuis plus de 40 ans, l’Etat s’est appliqué à organiser sa propre impuissance, en se soumettant aux logiques de marché et non plus des citoyens.
Ces derniers n’ont plus aucune voix au chapitre dans ces politiques néolibérales, que l’État fait appliquer en redoublant de violence, comme l’a montré la répression des gilets jaunes. C’est le sujet de l’ouvrage de Frédéric Farah, auteur de Fake State, l’impuissance organisée de l’Etat en France, avec qui nous revenons sur les événements avant-coureurs d’une catastrophe.
Tr.: ... ça s'est passé sous la gauche, entre 81 et 83, où il cède, rôle de Laurent Fabius, organise le désarmement général de flexibilisation contre les travailleurs, romp à un volontarisme, v2.0 est la mondialisation, l'europe de Jacques delors n'a rien de socialiste, pb de formation de ces élites, mutation des formations, banaliser l'état, new public management, comme entreprise privée, obsession du benchmarking, imaginaire business, repenser la formation des élites dans un sens de l'intérêt général, dans l'imaginaire, pourtant la dépense publique pèse 50% du PIB. La nature des missions de l'ÉTAT change, elles se mettent au service du marhcé. Les recettes se réduisent. Démocraties libérales ne vont pas de soi, en train de divorcer : logique brutale pour compléter ex la grèce parlement balayé, le sanitaire now idem, réduction de la démocratie sociale, augm de l'autoritaire, la bataille est celle des récits, transfo techn entrainent des mutations politiques présentées comme inéluctables, faire avec, sic, c'est faux, c'est nier l'autonomie d'une communauté, nourrit la résignation, retour à la souveraineté nationale. En finir avec l'euro est un point de départ, repenser la sortie pour l'état stratège, pj pensé pour, ouvert, rétablir la démocratie, on doit pouvoir redébattre de tout, revitaliser la démocratie, point de départ d'un chantier immense...
Troisième édition de notre émission L’instant éco où nous retrouvons notre chroniqueur Thomas Porcher pour décrypter deux sujets cette semaine.
Cela n’a pas dû vous échapper : les politiques tentent par tous les moyens de s’immiscer sur les réseaux sociaux. C’est sur Tik Tok, Youtube, Clubhouse ou encore Instagram que les membres du gouvernement tentent de séduire les générations les plus jeunes et c’est sur une chaîne youtube suivie par plus de 6 millions d’abonnés, qu’Emmanuel Macron a décidé de sensibiliser aux gestes barrières. Comment interpréter cette nouvelle stratégie du gouvernement à l’heure où la jeunesse tente d’alerter sur sa détresse ?
Le 8 mars dernier, nous célébrions la journée des droits des femmes. L’occasion pour nous de revenir sur la politique du gouvernement en termes de lutte contre les différences entre les hommes et les femmes et notamment l’impact des réformes sur le travail comme la loi travail ou l’assurance chômage.
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1371808964443262977
"
Le Média @LeMediaTV ·14h
« Les politiques, ils ont les manettes pour changer la vie des jeunes. Leur but, c’est pas d'aller faire les guignols avec des influenceurs. Pour moi, on est vraiment au dernier étage de la décomposition du système politique. » - 1 - 118 - 262
"
L'instant éco
Deuxième édition de L’instant éco avec notre chroniqueur Thomas Porcher, qui décrypte aujourd’hui trois sujets.
Il revient notamment sur les deux unes consécutives du journal Libération selon lesquelles certains électeurs de gauche habitués au front républicain ne feraient pas barrage en 2022. Comment interpréter ce revirement à un an des élections présidentielles ?
Alors que les sondages révèlent l’avance de Marine Le Pen et d’Emmanuel Macron pour 2022, un vieux refrain retentit une nouvelle fois à gauche : celui de l’union. Malgré les divisions, subsiste-t-il un espoir d’une candidature commune ? Est-elle réellement souhaitable ?
Enfin, il s’agit probablement de l’une des dernières grandes réformes sociales de ce quinquennat : Elisabeth Borne, ministre du travail, a présenté le 2 mars son projet de réforme de l’assurance chômage. Repoussée de nombreuses fois en raison de la crise sanitaire, controversée et notamment par les syndicats elle entrera en vigueur dès cet été.
Ndlr : TP ne sauve que Mélenchon et Montebourg...