Ndlr : excellente prestation de Clémence ++ Valoriser ACT
Connu / TG le 19/10/23 à 14:52
832 k abonnés - 6,7k+ - 184 527 vues - 1 139 commentaires #Communisme #Economie #Capitalisme
« Être anticapitaliste, c’est forcément être communiste » : cet argument est régulièrement asséné aux critiques du libéralisme.
C’est le fameux « There is no alternative » de Margaret Thatcher, c’est aussi la fin de l’histoire théorisée par F. Fukuyama : le capitalisme serait la réponse, la voie inéluctable, et on envisage avec plus de facilité la fin du monde que la transformation du système économique dans lequel nous vivons.
Depuis plusieurs décennies, les façons d’organiser la société se sont donc brutalement réduites à deux options : un communisme sanguinaire ou un capitalisme débridé. Les centaines d’autres manières de fonctionner possibles ont été balayées d’un revers de la main. Pourtant, les économistes qui pensent qu’il existe des alternatives au communisme et au capitalisme sont nombreux. Beaucoup ont essayé d’imaginer une troisième voie, qui ne reprenne ni les travers du capitalisme, ni ceux du communisme. La question qui se pose désormais au vu de l’urgence écologique et de l’accroissement sans précédent des inégalités est simple : sortir du capitalisme oui, mais pour aller où ? Plusieurs universitaires se sont réunis pour produire un ouvrage proposant et détaillant différentes voies justement. Ils veulent « tenter de définir ce pour quoi on lutte et non pas seulement ce contre quoi on lutte. »
Alors à quoi pourrait ressembler une économie post capitaliste ? Salomé Saqué propose des réponses avec l’économiste Simon Tremblay-Pepin dans cette nouvelle émission économique pour Blast.
Journaliste : Salomé Saqué
Montage : Ameyes Aït-Oufella, Colas Tran
Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Morgane Sabouret
Production : Sophie Romillat Directeur des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la rédaction : Denis Robert
Tr.: ...
coordination négociée ... que les entreprises soient la propriété publique ... économie sociale et solidaire ... le coeur, la démocratie ... comment les coordonner entre elles ? besoin d'un espace collectif de décisions ... le prix, coût social ... travail et épanouissement ... innovation autrement ... économie participaliste ... 5 valeurs : équité, autogestion, varété, solidarité, efficience ... en dehors de la logique étatiste ... producteurs et consommateurs décident ... négociation décentralisée sur les prix ... planification informatique centralisée ... économie de communauté antimodèle, ce qui se fait déjà à côté du capitalisme ...
Des fonds marins labourés,
Des espèces marines et des écosystèmes fantastiques menacés,
Le dérèglement du climat encore aggravé…
… c’est la menace qui plane sur nos écosystèmes si l’exploitation minière en eaux profondes est autorisée. Plus de 600 scientifiques et de nombreux États se sont déclarés contre, dont la France. Pourtant, Etats miniers et industriels sont sur les dents : ils vont tout faire pour obtenir un code minier international qui leur donne le droit de débuter l’exploitation commerciale des fonds marins à l’été 2023.
... exhorter le gouvernement à porter la protection des fonds marins dans toutes les instances internationales où se jouent les négociations.
Connu / TG le 23/02/23 à 12:11
Interprofessionnel France Dialogue social - Temps de lecture : 2 min.
... levier pour améliorer le quotidien des salariés dans l’entreprise ...
La Négociation Annuelle Obligatoire (NAO) est inscrite dans le Code du travail pour favoriser, chaque année, le dialogue entre les salariés et l’employeur dans les entreprises de plus de 11 salariés.
...
14,6 k abonnés - 1,5 k+ - 12 800 vues - 300 commentaires
Le plus gros scandale de corruption de l'histoire vient d'éclater au parlement européen. Il y a un mois je lançais déjà l'alerte en posant cette question : Le Qatar a-t-il infiltré le Parlement européen ? La réponse est désormais claire.
Je vous raconte les coulisses dans ce dernier épisode de l'année 2022 de l'AQC
Tr.: ... une commission d'enquête, suspension des badges d'accès, renforcer le registre de transparence le rendre obligatoire, contrôler les conflits d'intérêt, dénoncer les négociations à huis-clos ... notre démocratie n'est pas à vendre ... l'éthique plutôt que le fric ...
#AMFIS2022 - 72,7 k abonnés - 377 - 5 584 vues - 32 commentaires
avec :
Paul Vannier, député LFI-NUPES, co-animateur de l’espace élections
Pierre Jouvet, porte-parole national du PS, responsable aux élections
Hélène Hardy, EELV, responsable nationale aux élections
Arash Saeidi, responsable national élus et élections de Génération·s
Suivez le direct et partagez sur les réseaux sociaux avec #AMFIS2022
Connue / https://twitter.com/FranceInsoumise/status/1562803474571874306
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Pierre Jouvet a retweeté La France insoumise @FranceInsoumise · 25 août
Notre député @PaulVannierFi, @PJouvet, @helenehardy62 et @arashsaeidi reviennent sur les nuits de négociation de la #NUPES.
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Tr.: animé par Julie Garnier ? ... faire vivre la NUPES EN local pour préparer la marche de toutes les colères en octobre ++ ACT
Les négociateurs du Parti socialiste : Laurent Baumel, Christophe Clergeau, Corinne Narassiguin, Boris Vallaud, Sébastien Vincini et Pierre Jouvet. (Photo AFP)
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20 techniciens électoraux pour EELV
Des partis autour de la table, c’est sans doute Europe Écologie-Les Verts qui a mobilisé le plus de stratèges pour mener le round de négociations. Exit, donc, les Yannick Jadot et Sandrine Rousseau. Place, plutôt, à une vingtaine de « techniciens » : Hélène Hardy (chargée des élections et des relations avec les autres partis), Léa Balage El Mariky (déléguée aux mobilisations) ou Sandra Regol (secrétaire nationale adjointe). Seule personnalité de poids parmi les émissaires : son secrétaire national, Julien Bayou, qui a décidé de participer en personne à plusieurs réunions. Une stratégie payante : EELV a conclu, comme Génération.s, l’accord.
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Le PCF a également misé sur ses profils les plus qualifiés en sociologie et stratégie électorales ... Pierre Lacaze, responsable des élections et des relations extérieures au sein du comité exécutif national, ou Igor Zamichiei, coordinateur exécutif national
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Clémence Guetté (coordinatrice du programme présidentiel) ou Paul Vannier (coresponsable des législatives)… La tête de la délégation, Manuel Bompard, en coche d’ailleurs toutes les cases de l’ingénierie électorale ... les députés Mathilde Panot, Adrien Quatennens ou Éric Coquerel
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l’aile la plus à gauche du parti. La plus « insoumis-compatible », aussi. Dans l’équipe, des proches d’Olivier Faure : Pierre Jouvet, porte-parole du PS et maire de Saint-Vallier, Corinne Narassiguin, la numéro 2 du parti ou l’élu de Haute-Garonne Sébastien Vincini. Seule tête d’affiche de la délégation : le député Boris Vallaud.
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Les négociations sont en cours entre la France Insoumise et le Parti Socialiste en vue des législatives. Des discussions initialement mal engagées mais qui, depuis quelques jours, semblent se rapprocher d’un accord. Et c’est précisément ce moment qu’a choisi François Hollande pour prendre la parole. Il nous donne une véritable leçon dans l’art… de faire échouer une négociation.
MrAroone il y a 7 heures
Ce que je retiens surtout, c'est que les journalistes devraient prendre des cours auprès de Clément pour relancer Hollande quand il pratique ce genre de rhétorique. Mais si ils ne relancent pas, c'est parce qu'ils partagent ses idées. Crédible ça veut dire : retraite à 65 ans, mondialisation, lois et ordonnances pour casser le code du travail, privatiser etc...
M. Hollande devrait refaire du porte à porte pour mesurer les dégâts de son quinquennat sur la représentation de la "gauche crédible".
Ndlr : Mauvais perdant ?! Qu'il commence par nous présenter son bilan sincère et on acceptera de l'entendre !
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Connu / https://twitter.com/MathildePanot/status/1519659423429541889
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Mathilde Panot @MathildePanot · 12h
Nous sommes le pôle populaire qui aspire à gouverner le pays.
Pour ce faire il faut constituer une majorité déterminée.
Nous y sommes prêts. 👉🏻 Retrouvez mon interview sur Sud Radio en intégralité :
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Actualités
Dimanche 10 avril, trois blocs politiques clairement délimités et de proportion équivalente ont émergé des urnes. L’un autour de la droite néolibérale et autoritaire, l’autre avec l’extrême droite, le troisième avec l’Union populaire qui atteint un score historique de 22% des suffrages.
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formidable campagne, d’un travail programmatique conséquent et d’une activité militante intense ... mobilisation décisive de la jeunesse et des quartiers populaires ... Marine Le Pen ajoute au projet de maltraitance sociale qu’elle partage avec Emmanuel Macron un ferment dangereux de xénophobie et d’exclusion religieuse et une remise en cause de l’Etat de droit. C’est la raison pour laquelle nous réaffirmons : pas une voix pour Marine Le Pen !
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élire une majorité de députés de l’union populaire. Ils pourront appliquer notre programme dès le mois de juin prochain. Tant de femmes et d’hommes déçus par le résultat du 10 avril comptent sur nous.
Dans cet objectif, nous voulons stabiliser et élargir davantage encore le pôle populaire à l’ensemble des organisations politiques, comme des personnalités, qui y sont prêtes. ... nous proposons :
- Un programme partagé de gouvernement ...
- Une stratégie cohérente et ouverte : l’union populaire ...
- Une campagne pour gagner ...
- Un cadre de respect mutuel permettant de passer à une nouvelle étape des relations entre ces organisations ...
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Seul compte pour nous notre capacité à proposer, dès les élections législatives, un autre avenir pour notre pays.
#LaMidinale
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À l'occasion d'un conseil national du Parti socialiste, Olivier Faure a reçu le mandat de discuter avec l'ensemble de la gauche et des écologistes, insoumis compris, pour trouver un accord aux législatives. Jérôme Guedj, secrétaire national du PS, conseiller régional d'Ile-de-France, est l'invité de #LaMidinale.
VERBATIM
Sur l’effondrement du Parti socialiste
« On pense que la présidentielle est le thermomètre de la réalité d’une famille politique. »
« Le présidentialisme nous rend tous stupides et ne correspond pas à la culture politique de la gauche. À cette aune là, c’est cataclysmique. On est au plus bas niveau. Pour autant, il y a d’autres formes d’expression pour les socialistes dans les élections locales, départementales ou régionales. »
« Aujourd’hui, des millions de Français continuent de vivre dans des villes, des départements ou des régions qui sont dirigés par des édiles socialistes. »
« On ne peut pas parler d’effacement des socialistes. »
« Après le quinquennat 2012-2017, la parole, la promesse, l’espérance socialiste s’est fracassée sur la perception que nos électeurs et nos sympathisants ont eu de cette période. Il faut regarder cela avec lucidité. »
« C’est la deuxième fois qu’une grande partie de notre électorat considère que l’espérance est du côté de Mélenchon. »
« Jean-Luc Mélenchon a gagné la bataille culturelle à gauche. »
« On peut être un socialiste radical. On peut être un réformiste radical. »
« La période n’est pas aux eaux tièdes. »
« Je crois dans cette gauche qui peut se rassembler et qui peut produire du compromis mais nos électeurs ont considéré que le centre de gravité, pour faire ça, s’était déplacé du Parti socialiste, de la social-écologie vers la France insoumise. »
« C’est aux élections législatives que se jouent davantage l’avenir de la gauche et des partis politiques. »
Sur les oppositions au sein du PS
« Il y a ceux qui considèrent que le repli identitaire sur la social-démocratie - ce qu’incarnait Hidalgo avec son style, son talent et son opiniâtreté - serait la solution pour le PS mais je crois que cette position ne tire pas les enseignements de ce que nos électeurs nous ont dit (…). Ce repli identitaire est une posture de déni. C’est aussi une sorte de repli territorial où ils estiment que dans les villes, les départements ou les régions ont contribuent à changer la vie (…). Il y a donc cette tentation et puis de l’autre côté, il y a une forme de pragmatisme ou de réalisme. »
« Il y a quelqu’un à qui a été confiée la responsabilité d’organiser le dialogue à gauche. Regarder si c’est possible ne fait pas de nous des Insoumis. »
Sur les accords aux législatives
« On va devoir faire dans un temps ramassé cette confrontation programmatique à laquelle en réalité personne ne s’est livré. »
« La marge de manœuvre est extrêmement faible parce qu’il y a une réalité : quand on rentre dans une négociation, il y a un rapport de force qui est celui du premier tour de l’élection présidentielle. »
« Il y a un bouger intéressant de la France insoumise par rapport à 2017. »
« Mélenchon nous propose un rassemblement, pas une soumission. »
« Si l’objectif est de gagner et de jouer le troisième tour - ce que je crois possible -, la marge de manœuvre sera de regarder dans quelle mesure on peut construire un programme de gouvernement partagé, un contrat de législature. »
« J’ai grandi avec le principe de l’unité sans exclusive. »
« Il y a la place pour la sensibilité des socialistes [dans la proposition de Mélenchon] mais simplement il faut qu’elle ait l’humilité et la lucidité de voir la place qui peut être la sienne. Dire aujourd’hui qu’elle peut avoir une place centrale, ne correspond pas à la réalité. »
« Le piège serait de tomber dans une tambouille politicienne avec des calculs électoraux. »
« L’événement politique au lendemain de cette élection présidentielle c’est que la gauche est capable de présenter des candidatures communes. »
« On devrait déjà être enfermés tous ensemble pendant 72h pour travailler sur la partie programmatique d’un accord. Sur ce point, je ne minore pas mes différences, parfois divergences, voire mes désaccords mais je considère qu’il n’y a pas de ligne rouge infranchissable. »
« On doit être capable de faire vivre les cinquante nuances de gauche. »
« On joue le jeu de la démarche de rassemblement de la gauche. »
« Si le PS se fracture sur un sujet de rassemblement de la gauche et démarche unitaire, on marche sur la tête parce que c’est le contraire de notre ADN. »
Sur Mélenchon premier ministre
« Quand on commence une élection, mieux vaut dire qu’on joue la gagne. »
« L’événement, c’est si la gauche est capable de construire un programme de gouvernement et si ça ne devait pas être le cas, de construire une opposition. »
La suite du verbatim est à lire sur www.regards.fr
CommodAfrica @CommodAfrica · 2 mars
L’Institut africain de médiation et négociation (IAMN) et l'IHEMN organisent au #Bénin une #formation de base (30 mars-3 avril) et une formation d'approfondissement (5 avril-10 avril) en médiation et négociation en @DroitOhada
Page Facebook : https://web.facebook.com/iamnoff
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Avatar du compte Par thinkerview Vie privée Publique
Publié originellement 29 octobre 2020
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu Étiquettes Thinkerview
Durée2 h 2 min 11 sec - 1 Commentaire
Avatar zorglubu zorglubu@framapiaf.org il y a 6 heures
interview de #DenisRobert sur @thinkerview
C'est un plaisir d'avoir de ses nouvelles et de l'écouter.
Toujours plein d'énergie. Il va donc répondre aux très nombreuses sollicitations qui lui ont été faites, et créer un média indépendant sur le web. 👍 👍 👍 Pour rester informé : https://infos.leprojet.tv/
Tr. : ... Larry Fink ...fonds de pension, ETF ... comment des pays aussi riches que les notres produisent autant de pauvreté ? ... la fachoshère est en train de gagner la bataille de l'internet ... /Le média équipe de 40 personnes, ~100 000 €/mois tombent, asso se transforme en coopérative, salarié d'une entreprise de presse, +500 000 de trésorerie les audiences ont monté, scic bonne idée, 4720€ net/mois faire échelle de salaires de 1/3. vote fait à la sauvage, procès en sexisme, 2 femmes ont démenti, henri poulin, bani du forum, victime des idéologues et de ceux qui ont peur, motivé pour créer un nouveau média, ont attenté de manière répétée à ma réputation, ~secte roico, j'amenais du sang neuf, aime le débat, la confrontation, on était devenus une web tv de service public, /habilitation anticor devenu indispensable, /CNNR tendance à la marchandisation de l'information, sur youtube et peertube, ...
Ndlr : ETF ou OTF ? https://fr.wikipedia.org/wiki/Fonds_n%C3%A9goci%C3%A9_en_bourse -> "Un fonds négocié en bourse (FNB, ou fonds coté en bourse, en anglais Exchange Traded Fund ou ETF) est un fonds de placement en valeurs mobilières dont les parts peuvent être négociées en bourse, comme des actions."
Délégation France insoumise au Parlement européen @DFIeurope 🇬🇧 @mbompard fait le point sur les négociations d'un accord sur le #Brexit. Il met en garde contre la volonté des britanniques de mettre en place un nouveau traité de libre-échange avec l'Europe. #libreechange #UE
2 k vues - 0:52 / 2:25
🇬🇧 BREXIT : "PAS D'ACCORD DE LIBRE-ÉCHANGE !"
Manuel Bompard fait le point sur les négociations d'un accord sur le #Brexit. Il met en garde contre la volonté des britanniques de mettre en place un nouveau traité de libre-échange avec l'Europe.
6:00 PM · 3 juil. 2020· - 50 Retweets 63 J'aime
Des discussions sur l'assurance-chômage vont s'ouvrir "dans les semaines qui viennent" avec les organisations syndicales et patronales, pour parvenir à des décisions "d'ici l'été", selon Muriel Pénicaud, ministre du Travail. "Les choses sont très, très ouvertes" sur le sujet, sachant que les syndicats pressent l'exécutif d'abandonner la réforme qui a durci les conditions pour les chômeurs.
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Connu / https://twitter.com/Federation_MNCP/status/1269917078972219396
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MNCP @Federation_MNCP | REVUE DE PRESSE |
Des discussions concernant l'assurance-chômage vont avoir lieu dans les prochaines semaines entre le gouvernement et les organisations syndicales et patronales.
L'objectif annoncé est de parvenir à des décisions d'ici l'été.
11:00 AM · 8 juin 2020·- 13 Retweets 5 J'aime
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Clément Viktorovitch @clemovitch
L'âge pivot sera donc retiré de la réforme des retraites ! Du moins provisoirement... et partiellement...
Alors, véritable recul du gouvernement, ou simple technique de négociation ? Décryptage, pour @cliquetv ! 5:41 / 5:41
De Clique TV 8:23 PM · 13 janv. 2020·Twitter Web App
2,3 k Retweets
Transcription : ... heuristique de l'effort ou biais de l'effort : les individus tendent à accorder davantage de valeur à ce qu'ils ont eu du mal à obtenir
19 commentaires
Une consigne venue directement du directeur de cabinet de la ministre du travail impose aux inspecteurs du travail d’interrompre leurs contrôles habituels pour se concentrer sur les procédures liées au travail détaché, objet de prochaines négociations européennes, selon des informations obtenues par Mediapart. Les syndicats s’indignent d’une atteinte à l’indépendance qui devrait être garantie à leur profession.
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14 425 vues - 97 - 34
lien redif https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/929925-c-dans-l-air.html
Le 29 mars 2019 ne rentrera pas dans les livres d’histoire comme le jour où le Royaume-Uni a quitté l’Union européenne. Après de longues heures de négociations, les dirigeants européens ont finalement décidé hier soir d'accorder au Royaume-Uni un report du Brexit, fixant désormais au 12 avril, voire au 22 mai, le divorce. Ce nouveau calendrier qui a été accepté par la Première ministre britannique, Theresa May prévoit en effet deux scénarios : si les députés britanniques approuvent la semaine prochaine l'accord conclu en novembre avec l’Union, la sortie du Royaume-Uni aura lieu le 22 mai c’est-à-dire à la veille des élections européennes pour ne pas perturber le scrutin. En revanche, si la Chambre des communes rejette le texte pour la troisième fois, Londres aura jusqu'au 12 avril pour proposer un nouveau projet aux Vingt-Sept ou quitter l'UE sans accord. Cette date n'a rien de fantaisiste puisqu'elle correspond à la date limite au-delà de laquelle le gouvernement britannique peut prendre un décret pour participer aux élections européennes. Les européennes constituent le pivot de la réflexion des Vingt-Sept qui se sont une nouvelle fois montrés unis face au chaos britannique. Même le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, dont le parti Fidesz vient d’être suspendu temporairement du Parti populaire européen (la formation qui rassemble les conservateurs), s’est tenu à la ligne de l’UE vis-à-vis de Londres, à savoir le refus d’un report au 30 juin. Le feuilleton du Brexit n’est donc pas terminé et la lassitude gagne les Britanniques et les Européens. Alors deal, no-deal, nouveau deal ou no-divorce... à quoi faut-il s'attendre maintenant ? Si en Europe, à l’image de Donald Tusk, le président du Conseil européen, l’on considère que tout peut arriver d’ici au 12 avril, outre-Manche, les anti-Brexit entendent profiter de ce délai pour se faire entendre. Ainsi, alors qu’une centaine d’entre eux se sont élancés samedi 16 mars, de Sunderland, dans le nord-est de l'Angleterre, pour une longue marche de protestation vers Londres, une pétition contre le Brexit a réuni près de 3 millions de signatures en deux jours, ce qui oblige le Parlement à débattre de l'idée de rester dans l'UE…
Invités :
- Pascal Boniface, directeur de l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques
- Patrick Martin-Genier, professeur de droit public, spécialiste des affaires européennes
- Sophie Fay, journaliste, chef du service Economie à L’Obs
- Jon Henley, journaliste, correspondant aux Affaires Européennes pour le Guardian.
Caroline Roux est aux commandes de l'émission du lundi au jeudi et Axel de Tarlé prend le relais le vendredi et le samedi.
Diffusion : tous les jours de la semaine à 17 h 45
Rediffusion : tous les jours de la semaine à 22 h 30
Format : 65 minutes
Réalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele et Jacques Wehrlin
Production : France Télévisions/Maximal Productions
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magazines d'actu - 64 min - tous publics présenté par : Caroline Roux, Axel de Tarlé
Et si l’âge de départ à la retraite passait bientôt à 65 ans ? C'est en tout cas l’idée qui a été lancée à la surprise générale par la ministre des Solidarités et de la Santé ce dimanche 17 mars. Invitée du « Grand Jury » RTL-Le Figaro-LCI, Agnès Buzyn a ainsi proposé « à titre personnel » de discuter d'« un allongement de la durée de travail » avec les partenaires sociaux dans le cadre de la réforme des retraites qui doit être dévoilée cette année. « La durée de vie augmente d'année en année, elle augmente moins vite ces dernières années mais elle a considérablement augmenté ». « Est-ce que, alors que le nombre d'actifs diminue, nous allons pouvoir maintenir sur les actifs le poids des retraites qui vont augmenter en nombre et en durée ? Nous savons que cet équilibre-là va être de plus en plus difficile à tenir », a déclaré la ministre. « Très surpris » par ces propos qui évoquent un scénario exclu par Emmanuel Macron durant sa campagne, le haut-commissaire à la réforme des retraites Jean-Paul Delevoye a estimé que le débat doit avoir lieu « en toute transparence et non pas au travers d'une déclaration ou d'une émission ». Mais pour les syndicats, les « masques tombent » au sein du gouvernement. « L’urgent n'est pas tellement de reculer l'âge de la retraite, l'urgent est de faire en sorte que les politiques économiques assurent un emploi à temps plein dès l'entrée dans la vie active et jusqu'à l'âge légal de départ (…) Si on arrivait à cela déjà, l'équilibre économique des régimes de retraite serait fortement facilité », a réagit le secrétaire général de FO, Yves Veyrier, qui rappelle que l'âge moyen du départ à la retraite (hors départ anticipé) est aujourd'hui de 63,3 ans. De son côté, le secrétaire national de la CFDT Frédéric Sève a estimé que « la ministre est hors sujet », les précédentes réformes ayant « déjà programmé une hausse de la durée d'activité qui suffit à tenir les régimes à l'équilibre à l'horizon 2030-2040 ». Aujourd’hui, les retraités sont 13 millions dans le pays. Ils représentent presque un quart de la population. Mais si leur nombre a été multiplié par cinq en presque 50 ans, ils sont désormais de plus en plus inquiets pour leur pouvoir d’achat. Et ce alors que la pauvreté augmente chez les séniors. D’après une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), près d'un million et demi de Français, âgés de 53 à 69 ans, ne perçoivent ni revenu d'activités, ni pension de retraite et plus de 466 000 vivent sous le seuil de pauvreté. D’autre part, la France figure actuellement parmi les pays européens où l’âge de départ est le plus bas, avec la Suède et la Norvège. La tendance dans l’Union est à l’augmentation progressive à 65 ou 67 ans même si certains Etats membres ont récemment opté pour un abaissement. Ainsi, l’Italie a décidé de permettre à ceux qui cumulent 38 années de cotisation de partir non plus à 67 ans mais à 62 ans. Alors faudra-t-il travailler plus longtemps avant de pouvoir prendre sa retraite ? Quel est l’âge de départ de nos voisins ? Quelle est la situation des seniors dans notre pays ? Y a-t-il une paupérisation des retraités français ? Invités : - Dominique Seux, directeur délégué de la rédaction des Echos - Françoise Fressiz, journaliste et éditorialiste Le Monde - Fanny Guinochet, journaliste en charge des questions économiques et sociales à L’Opinion - Éric Heyer, économiste OFCE