Conversation @TrouveAurelie
Un programme de rupture sociale, écologique et démocratique
Battre l’extrême droite et changer la vie des gens est plus que jamais une priorité.
Mobilisons nous pour la victoire le 30 juin ! ✊
11:28 AM · 2 679 vues
Jean-Marc Tournier @Librerumeur · 1h
Macron nous prépare un sale coup. l'ED est à 40% . la 3ème guerre mondiale est là... le front populaire à gauche est obligatoire indispensable..il faut détruire la macronie et ses alliés, définitivement, c'est notre dernière chance quand on est humaniste pacifiste républicain
mazovirus @dylanose ·23 min vive la nupes face au FN
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Plénière de l'Assemblée paysanne de la France insoumise, organisée le Mercredi 10 Avril à l'Assemblée nationale, à l'initiative de la députée Manon Meunier et du groupe parlementaire.
Retrouvez dans cette vidéo la plénière complète, avec les interventions d'agriculteurs de toute la France, présentant leurs mesures indispensables à faire entrer dans la loi agricole.
Tr.: ... AGRITOUR l'an passé ... Aurélie Trouvé: ... un agriculteur se suicide tous les deux jours ... lois EgaLim une honte ... l'ensemble des accords de libre-échange sont mauvais ... pour une agriculture intensive en emplois ... l'étude d'impact est non sincère ... pro-agrobusiness ...
Cause commune avec le mouvement des agriculteurs - 25.01.2024 / Melenchon.fr
La mobilisation actuelle des agriculteurs me vaut des questions posées en mode privé par de nombreux amis dans l’expectative.
Il est frappant de voir de quel soutien bénéficie le mouvement dans l’opinion. Mais la récupération de la parole publique sur les chaines d’info, pour réclamer « moins de normes » en agriculture crée du doute chez mes interlocuteurs. Car souvent, ils expriment à leur manière la demande inverse, par exemple contre la diffusion de l’empoisonnement par le glyphosate et les autres pesticides. Sans oublier la dernière décision de l’Union européenne « libérant » de toute contrainte la propagation des OGM. Bref l’opinion générale a bien intégré les exigences écologiques qui s’imposent de façon vitale à notre époque. Mais à mon avis c’est justement sur ce point que se trouve actuellement l’opportunité politique la plus grande avec le mouvement paysan contrairement à la crainte qui peut s’exprimer.
Commençons par le plus simple. Les agriculteurs demandent à être payés suffisamment pour vivre dignement de leur travail. Comment le monde salarial pourrait-il contester une telle revendication ? Ne formule-t-il pas exactement la même pour lui ? Plus de 8 français sur 10 partagent ce ras-le-bol d’un monde où tout augmente, de l’essence à l’électricité, sauf les salaires. Le mouvement actuel contribue donc directement à la diffusion de l’exigence du juste partage qui est à la racine de la pensée insoumise en économie.
Il faut bien comprendre qu’une telle aspiration ne se résume pas à une question de survie. Elle touche plus profond. C’est l’exigence de reprendre le contrôle sur son existence. La misère, l’impasse économique sont vécues à juste titre comme des confiscation de soi, des soumissions à des contraintes injustes imposées de force. Ici est en jeu un fondamental des processus de révolutions citoyennes partout dans le monde. Le mouvement des gilets jaunes avait la même racine : reprendre le contrôle de son existence. Revendication moderne s’il en est.
Mais cela n’est pas la seule conjonction à observer. Il y a des raisons très profondes de soutenir et même de prendre appui sur le mouvement paysan pour porter et faire avancer très loin des objectifs généraux de grande portée en matière d’idéal de société. Nous sommes dans l’ère des mouvements opposés aux aspects fondamentaux du libéralisme. Au-delà des apparences il faut savoir le discerner pour construire du futur collectiviste. Le libre-échange, la « concurrence libre et non faussée », le marché en tout et pour tout sont ici mis en cause de plein fouet avec les mots simples de la vie quotidienne d’un double point de vue autant écologique que social. Les deux dimensions fusionnent en un processus unique dans cette mobilisation au-delà des mots, des postures, des modes d’action.
Les campagnes se vident à force de maltraitances sociales contre la partie la plus menacée du monde agricole soumis délibérément à la concurrence sauvage du marché mondial pour ses productions. La population totale des agriculteurs a été réduite à quatre cent mille personnes, 1,5 % de la population active…. Ce nombre s’interprète mieux par comparaison du nombre des autres catégories de population, quand on est dans un pays qui compte par exemple trois millions d’étudiants. Le retour à une agriculture vivrière, produisant les fruits et légumes dont nous avons besoin (pour ne citer que cela), est une urgence. La relocalisation de ces productions de fruits et légumes est le moyen essentiel d’une politique d’exigence sanitaire. Mais aussi une question de souveraineté et de sécurité des approvisionnements. Car en période de risque de guerre généralisée et de coupure des chaînes d’approvisionnement mondialisées (on l’a vu pendant l’épidémie de Covid-19) notre sécurité collective passe aussi par notre souveraineté alimentaire. Cela nécessite une classe agricole assez expérimentée et nombreuse pour être capable de porter cette bifurcation de la production. Liquider le monde paysan actuel comme le font les politiques européennes néolibérales est un contre sens.
Pourtant la politique néolibérale en cours y conduit directement. Le lobby agro-industriel n’y voit que des avantages. La libre disposition d’espaces arables immenses dédiés aux productions vers le marché mondial et complètement intégrée au commerce et la finance mondiale est la « révolution verte » dont le lobby agroalimentaire a besoin. L’Union européenne y travaille sans trêve. Ce n’est donc pas un hasard si le mouvement paysan est en cours sur tout le territoire de l’Union. Les gouvernements français ont laissé faire comme ils l’ont déjà fait pour l’industrie. Parce que cela coïncide avec les intérêts de la finance qui domine tous les secteurs d’activité aujourd’hui.
L’Union européenne aggrave volontairement la situation. Elle prépare une catastrophe supplémentaire avec l’adhésion prévue de l’Ukraine à l’Union européenne. Nous y sommes déjà opposés pour protéger les salariés de nos pays. En effet ils seraient soumis à une compétition salariale insupportable quand on sait que le SMIC ukrainien est de moins de 150 euros mensuels. Il en irait de même aussi brutalement dans l’agriculture. Les coûts de production sont déjà trois à cinq fois moindre qu’ici. On a déjà une assez ample expérience des résultats de ce contraste. Le miel de là-bas sort à 3,50 euros, contre 6 euros en France. On consomme donc davantage de miel importé que de miel des terroirs locaux. L’apiculture en déroute vide la population active des zones qu’elle anime. Depuis l’ouverture du marché à leur volaille, la consommation de celle-ci a été multipliée par cinq en France, au détriment des productions locales. Avec le système actuel de la politique agricole commune l’Ukraine absorberait une énorme part des subventions agricoles européennes pourtant financées d’abord par la France.
Le fléau de la politique libérale européenne rapproche donc de fait dans un combat commun possible, salariés des villes et des champs. Une convergence tout à fait décisive est possible entre les deux non seulement dans la situation présente mais dans des revendications communes sur le fond du projet de société. Le libéralisme n’a aucune réponse positive possible face à la demande des agriculteurs. Au contraire. La logique du libre-échange promet de nouvelles concurrences, et donc de nouvelles baisses des rémunérations.
À l’inverse, seule la politique de désobéissance européenne prônée par les Insoumis ouvre une issue. Dommage que les partis de centre gauche de la NUPES y aient renoncé et brisé l’union pour cela. Ils l’avaient pourtant adoptée dans le programme partagé de l’Union populaire. Il faut comprendre l’ampleur de cette idée. Elle crée un contexte. Cela commence déjà par le changement des objectifs de production agricole. Pour nous la production vivrière doit avoir la priorité. Je viens de le rappeler. Mais cet objectif ne peut pas être dissocié des mesures qui l’accompagnent nécessairement. Je parle ici de la « clause de sauvegarde sanitaire » mise en avant dans nos rangs par Aurélie Trouvé députée insoumise ingénieure agronome. La relocalisation de l’agriculture vivrière est le premier moyen dont nous disposons pour pratiquer une politique intense de prévention sanitaire contre la marée de pesticides, et des autres raisons de dégradation de la santé des populations. Aucune marchandise agricole ne pourrait être vendue en France si elle n’est pas conforme aux normes sanitaires que fixerait notre pays.
Ainsi, on voit que la lutte « contre les normes » portée par l’agrobusiness libéral serait le contraire de ce qu’il faut faire. Sans norme sanitaire, pas de protectionnisme sanitaire possible. Et surtout ce protectionnisme sanitaire ne pourrait plus s’adosser sur les normes et règles internationales qui le rendent possible et légal. Les agriculteurs se tireraient une balle dans le pied s’ils suivaient les revendications des libéraux en agriculture. Cela les conduirait au contraire de leurs objectifs. Et ils se couperaient de surcroit du monde des familles qui ne veulent plus subir la loi des consommations actuellement imposées par l’agroalimentaire. Le principal dirigeant du syndicalisme agricole dominant étant lui-même un dirigeant de l’agroalimentaire, il illustre certes l’évolution constante depuis des années des élites dirigeantes du monde agricole. Sur ce point, dans une autre profession, on parlerait de conflit d’intérêts. Car l’agro-alimentaire a une responsabilité non négligeable dans la détresse actuelle des agriculteurs. Cette industrie a augmenté de plus de 50 % ses marges de profit. Elle porte la responsabilité quasi-totale de l’inflation sans cause du prix de l’alimentation. Et cela se paie sans discussion possible à un bout de la chaîne sur le dos des producteurs, et à l’autre bout sur celui des consommateurs.
Ce lien qui unit la politique agricole des Insoumis et les revendications du monde paysan, a été magnifiquement établi par la proposition de loi défendue par Manuel Bompard, député insoumis des Bouches-du-Rhône et coordinateur de notre Mouvement. Il avait fait adopter avec le groupe parlementaire insoumis à la majorité de l’Assemblée nationale deux mesures directement impliquées dans le dénouement possible de la crise actuelle. C’est le blocage des marges de profit de l’agroalimentaire, d’une part, et la fixation de prix planchers pour les produits agricoles, d’autre part. La majorité obtenue sur ce plan en novembre au cours de notre niche parlementaire était un événement dont nous avons beaucoup parlé à l’époque. Comme on le sait pour finir, il a manqué six voix pour le vote final de cette loi. Les macronistes et LR avaient remobilisé leurs députés pour voter contre nous. Mais l’absence des leaders de la « gauche d’avant », comme Fabien Roussel du PCF, par exemple, avait permis à cette manœuvre d’aboutir.
Dans la lutte actuelle la Confédération paysanne joue un rôle positif ou elle cherche à faire le lien entre les revendications écologiques et sociales. On voit alors comment une bataille de cause commune est possible unifiant la population. A l’inverse du corporatisme affiché par le syndicat dominant qui ne tient aucun compte des demandes de la société dans son ensemble en réclamant l’abolition des normes anti-pesticides ou des restrictions des gaspillages de l’eau, ou l’extension des zones d’épandage de produits contestés par exemple. Mais si l’on met de côté ces demandes qui ne font nullement l’unanimité, on peut dire que du point de vue des objectifs comme du point de vue des moyens gouvernementaux pour régler les problèmes, il peut n’y avoir aucune contradiction entre les revendications du mouvement social agricole actuel et notre programme écologique et social. La question d’actualité posée au gouvernement par Mathilde Hignet député insoumise en a fait la démonstration. Dans ces conditions, le moment est donc bien celui où faire cause commune avec le mouvement des agriculteurs et construire une convergence citoyenne.
Ensuite, le mouvement agricole a permis de faire une démonstration politique de masse. On se souvient des accusations « d’écoterrorisme » contre les militants et la tentative de dissolution des « Soulèvements de la terre » à propos des bassines ! Ici, rien de semblable. Le gouvernement, les médias, les chroniqueurs ne pipent mot. Donc le mouvement des agriculteurs a fait reculer les appels à la violence policière et judiciaire habituels du pouvoir macroniste comme on les avait constatés face aux Gilets jaunes et aux révoltes urbaines. Tout le monde voit des autoroutes bloquées, un bâtiment public explosé, des voies de chemin de fer comme l’accès à une centrale nucléaire bloqués, des arbres coupés. Ni les médias ni les responsables politiques « n’appellent au calme ». Ainsi la raison et le droit à la dignité des gens commencent à être prioritaires dans la parole publique pour régler une crise. Ou bien faudrait croire que les donneurs de leçons de morale d’hier, leurs leçons, la classe médiatique qui les a relayés sans limite et qui se tait à présent, est faite de manipulateurs sans vergogne. Faisons le pari de croire à leur bonne foi et à leur compréhension désormais de la vigoureuse stratégie de la conflictualité portée par les agriculteurs. D’ailleurs le pouvoir macroniste recommande publiquement « la plus extrême modération » à la police. Comment ne pas approuver cette consigne. Personne ne doit être abattu pour « refus d’obtempérer ». Pas d’œil crevé non plus, pas de comparution immédiate, pas de recommandations pour condamner à de la prison ferme. Comme je l’avais fait avec mes camarades à l’époque des révoltes urbaines, il faut faire triompher d’abord la justice sociale si l’on veut retrouver la concorde civile.
Nous allons voir à présent comment le Waouuuu super Premier ministre va faire face au problème grâce à son jeune âge et ses talents de communicants déjà mille fois célébrés par les médias enamourés. Macron ferait bien de se préparer à trouver une idée de « grand débat » supplémentaire ou des « chèques survie agricole » selon son inépuisable habitude des pratiques cosmétiques. Mais ce temps-là est passé, je crois bien. Et je m’en réjouis. Le pays regarde et réfléchit. Il finira par comprendre ce que veut dire le libéralisme, la concurrence « libre et non faussée », le libre échange sans règles sanitaires, l’élargissement sans fin de l’Union européenne et la financiarisation de l’agriculture : le chaos. Un ordre nouveau est à construire et il peut faire un avenir en commun pour notre pays.
Connue / https://twitter.com/JLMelenchon/status/1750483102814629917
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Jean-Luc Mélenchon @JLMelenchon
La CGT voit juste. La convergence est possible et nécessaire avec la lutte des agriculteurs. Un front écologique et social peut s'exprimer. Voir ma note de blog.
12:37 PM · 25 janv. 2024 · 97,4 k vues
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note
En finir avec les idées reçues sur le coût de l'immigration
par Aurélie Trouvé, Hadrien Clouet
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Connue / https://twitter.com/i_laboetie/status/1734511124899389664
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Institut La Boétie @i_laboetie · 8h
La loi Darmanin rejetée, reste la surenchère autour d'un récit : l'immigration serait un poids pour la France.
... 32 - 181 - 265 - 76k
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«J’ai entendu pendant des nuits les tirs de mortier d’artifice et rassuré mes enfants. J’ai découvert au petit matin les magasins ravagés. Avec ce paradoxe qu’on ressent ici en Seine-Saint-Denis : regretter les pillages qui se retournent contre ceux qui galèrent, contre le propriétaire du petit bureau de tabac, contre les parents d’une crèche incendiée. Mais comprendre la rage et les raisons de la colère qui se déchaîne. »
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Cinq jours de révoltes dans les quartiers populaires. Cinq jours qui ne sont pas les premiers. 2005. 1983, 1991, 1995, 1997… A Paris, Rouen, Vaux en Velin, Laval, Sartrouville… Cinq jours qui ne seront pas les derniers. Car comme les fois précédentes, les raisons ne sont pas analysées, encore moins prises en compte, pour agir. Pire encore, la réalité de la relégation est niée, effacée dans la parole des plus hauts responsables politiques.
Niée, la réalité des violences policières et des contrôles au faciès quotidiens que subissent les jeunes gens qui vivent dans ces quartiers. Récusé, le racisme systémique dans la police. Niées, les 13 morts inadmissibles l’année dernière, au nom d’un “refus d’obtempérer”.
Niées, la pauvreté grandissante
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le néant auquel font face beaucoup de ces jeunes. Les taux de chômage sont colossaux - près de 3 fois le taux moyen national dans les quartiers “Politique de la ville” - , en raison notamment d’une discrimination prouvée à l’embauche. Niés aussi, l’impuissance de l’école publique à répondre aux urgences, faute de moyens.
Nié encore, l’enclavement géographique, la ségrégation spatiale
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enfin, la responsabilité de l’Etat puisque toute la faute est mise sur le dos des parents, des jeux vidéos, voire de la France insoumise. Rien n’est dit sur la fragilisation des lieux qui éduquent, rassemblent, recadrent. Rien n’est dit sur la chute des moyens pour les associations, les centres sociaux, les maisons de quartier… Comme l’écrit le sociologue François Dubet, “les jeunes s’en prennent aux symboles – celui de l’Etat qui les réprime et celui de la consommation qui les frustre”. Ceux de la République dont ils pensent qu’elle les a trahis.
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Ce vendredi 7 juillet 2023, le groupe parlementaire de la France Insoumise - NUPES organisent des tables rondes autour des révoltes urbaines.
Introduction par Mathilde PANOT, présidente du groupe LFI-NUPES, et Aurélie TROUVÉ, députée de Seine-Saint-Denis.
Audition n°1 - 12h - Regards et expériences d'acteurs des quartiers populaires : les raisons des révoltes avec :
- Wiam BERHOUMA, professeure, militante de quartier et élue de Noisy le Sec
- Mahmadou DIALLO, responsable de l'asso Z'yva (Nanterre)
- Jeanne DEMOULIN, maîtresse de conférences à l'université de Nanterre en sciences de l'éducation
- Almamy KANOUTÉ, consultant et intervenant en cohésion sociale
- Inès SEDIKKI, responsable fondatrice de l'Association Ghett'Up
Audition n°2 - 13h - Répressions policières et judiciaires : comment ont elles alimenté la colère ? Quelles perspectives ? Quelles répercussions des peines prononcées ? Avec :
- Camille VANNIER pour le Syndicat des Avocats de France (SAF)
- Albertine MUNOZ et un responsable national du Syndicat de la Magistrature (SM)
- Patrick BAUDOUIN, Président de la Ligue des Droits de l'Homme France (LDH)
- Serena YAHMI, maire adjointe à la tranquillité public de Noisy le sec
- Norredine IZRASNI, militant des quartiers populaires (Nanterre)
LES DÉCODEURS Agriculture & Alimentation - Temps de Lecture 5 min.
L’irrigation du maïs représente-t-elle un quart de l’eau douce consommée en France ?
La députée Aurélie Trouvé (LFI) a provoqué de vives réactions en affirmant que le maïs irrigué consommait 25 % de l’eau douce. Si le chiffre exact est difficile à estimer, l’ordre de grandeur est correct.
Photo Un champ de maïs dévasté en raison de la sécheresse, près de Lyon (Auvergne-Rhône-Alpes), le 24 août 2022. OLIVIER CHASSIGNOLE / AFP
Interrogée, le 14 avril, sur la question du partage de l’eau lors de l’émission « Extra local », sur Public Sénat, la députée La France insoumise (LFI) de la Seine-Saint-Denis Aurélie Trouvé, ingénieure agronome de formation, a critiqué la culture du maïs, en déplorant que « 25 % de l’eau consommée en France est consommée par la culture du maïs ».
Le raisonnement de Mme Trouvé est relativement simple : l’agriculture représente 57 % de la consommation de l’eau en France, et « la moitié des surfaces irriguées le sont pour le maïs ». Ce qui équivaut à un quart de la consommation totale.
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environ 90 % de l’eau consommée par l’agriculture l’est pour l’irrigation. Le reste (10 %), sert à l’abreuvage du bétail et au nettoyage des installations. Le poids réel de l’irrigation dans la consommation de l’eau en France a donc été, en 2019, d’environ 54 %.
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Si les 25 % cités par Aurélie Trouvé relèvent d’un calcul rapide, l’ordre de grandeur est le bon. Le chiffre réel se situe probablement entre 20 % et 24 %, même s’il est difficile de le déterminer avec précision. Et comme l’analyse Marc Dufumier, agronome et professeur honoraire à AgroParisTech, contacté par Le Monde : « Ce n’est pas tant le chiffrage global du litrage qui importe que la question de l’origine de l’eau : est-ce de l’eau de pluie ou est-ce qu’on a été la puiser ? »
Les besoins en eau du maïs concentrés en saison sèche
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Le réchauffement climatique et l’augmentation de la fréquence des sécheresses en France risquent d’aggraver la situation en engendrant des conflits d’usage autour de l’eau douce dans ces territoires si cette irrigation se poursuit au même niveau. La moyenne des ressources en eau douce a déjà décliné de 14 % entre 1990 et 2018, et cette baisse risque de se poursuivre. L’augmentation des températures va favoriser l’évaporation, notamment pendant la saison de recharge des nappes phréatiques qui s’étale de septembre à février, ce qui risque de l’écourter significativement.
De nouvelles projections climatiques parues à l’automne 2022 montrent que le réchauffement pourrait atteindre + 3,8 °C d’ici à la fin du XXIe siècle. « Il est certain qu’un tel réchauffement va entraîner des canicules plus fréquentes, longues et sévères, un assèchement important des sols et une forte baisse des ressources en eau », notait alors Julien Boé, directeur de recherche (CNRS) au Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique, et l’un des auteurs de l’étude.
Lire la synthèse : Article réservé à nos abonnés En France, le réchauffement climatique s’annonce pire que prévu, selon de nouvelles projections
Connu / TG le 24/04/23 à 16:57
34,1 k abonnés - 158+ - 1 521 vues - 0 commentaire Diffusé en direct il y a 11 heures
Les député·es insoumis·es et écologistes, et des représentants d'associations, vous invitent à une rencontre presse pour présenter nos analyses du projet de loi "Accélération des procédures liées au nucléaire".
Tr.: ... en présence de Pauline Boyer, Greenpeace France, de Julie Laernoes, Ecolo-Nupes et Aurélie Trouvé Lfi, ... indépendance énergétique : Rosatom transporte une énorme partie de l'uranium naturel issu des mines du Kazakhstan et d’Ouzbékistan ... climat : réduire de moitié les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 ...impact direct et rapide sur les émissions de GES. Construire de nouvelles centrales n'est pas du tout dans le bon agenda climatique. Ça ne répond pas aux appels répétés des scientifiques, alors que l'on a des énergies renouvelables qui mettent un à deux ans à voir le jour. L'urgence est donc de développer des plans de sobriété, de changer nos modes de vies, de développer l'efficacité énergétique et de mettre nos ressources sur le développement des ENR. Enfin, nucléaire et accélération sont des oxymores (mots contraires) ... construire un EPR2 sur le modèle d'un fiasco industriel qui est l'EPR. Il faudrait donc prendre le temps car l'EPR2 n'existe même pas sur le papier. Donc on axe notre politique énergétique sur des modèles qui n'existent même pas aujourd'hui.
Mathilde Amco? pour le réseau Sortir du Nucléaire ... antidémocratique/CNDP pb de partialité avec Maud Regeon? ... 30% de l'eau douce consommée en Fr ... Cigéo entre 200 et 500 m3 d'eau / jour ... le rhône débit réduit d'un tiers d'ici 2045? ... le nucléaire, un ? pour l'eau ...
Opinions Tribunes
OPINION. Il y a un mois, le Parlement a adopté la loi sur les énergies renouvelables censée accélérer leur déploiement : une loi sans aucune ambition, un « deux poids deux mesures » flagrant avec le projet de loi d’accélération du nucléaire soumis à l’Assemblée nationale.
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Le choix de massifier la production électronucléaire fait largement l'impasse sur l'amont et l'aval du nucléaire : l'approvisionnement en uranium et la gestion des déchets. Contrairement à la fable entretenue sur la « souveraineté » que nous procurerait l'atome, il faut redire que l'uranium ne pousse pas dans nos jardins. Les 7.000 tonnes consommées en France chaque année viennent du Niger, du Canada, du Kazakhstan et d'Ouzbékistan. Quant à l'uranium soi-disant « recyclé », il nous revient... de Russie. La situation est aussi extrêmement critique concernant les déchets, puisque les capacités actuelles d'entreposage et de stockage atteignent leurs limites, obligeant à de dangereux paris sur un avenir qui se compte en centaines, voire en centaines de milliers d'années à travers le projet d'enfouissement à Bure.
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une débauche d'argent, sans doute public, de plus de 100 milliards d'euros... au bas mot. Sans aucune démonstration, aujourd'hui, que les technologies retenues sont opérationnelles, fiables, encore moins performantes
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Le Président de l'ASN, de plus, le rappelait l'année dernière :
« Un accident nucléaire est toujours possible et ceux qui prétendraient le contraire prennent une grande responsabilité. ».
Un rappel opportun à la veille du funeste « anniversaire » de la catastrophe de Fukushima.
Le nucléaire est hors de prix, risqué et dépassé. Il n'est en rien garant de notre souveraineté, et il léguera un héritage empoisonné à nos enfants. Sa vulnérabilité face aux aléas naturels s'est dévoilée au Japon en 2011, et les conséquences du dérèglement climatique exacerbent encore les risques.
Au demeurant, c'est aussi une chimère face à l'urgence climatique. Il ne suffira pas de le marteler « décarboné » pour tordre le réel. C'est en 2030 que nous devrons avoir réduit nos émissions de GES de 55%, et en 2050 que nous devrons atteindre la neutralité carbone. Or, dans le calendrier de développement proposé, aucun nouveau réacteur ne sera opérationnel avant 15 ans ! Que penser de responsables politiques qui sont prêts à nous faire perdre un temps que nous n'avons déjà plus ? Les énergies renouvelables permettent déjà à certains pays d'Europe de couvrir l'essentiel de leur demande en électricité.
Nous ne pouvons pas faire l'économie d'un grand débat
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c'est aujourd'hui que nous devons planifier la sortie du nucléaire. Des scénarios très sérieux existent (RTE, Ademe, Negawatt) pour un mix énergétique 100% renouvelables ; le rôle des parlementaires devrait être, à cette heure, de tracer le chemin pour y arriver.
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Signataires : Mathilde Panot, présidente du groupe LFI-Nupes à l'Assemblée nationale ; Christophe Bex, Aymeric Caron, Maxime Laisney, Aurelié Trouvé, Anne Stambach-Terrenoir, chefs de file LFI-Nupes sur le PJL relatif à l'accélération construction de nouvelles installations nucléaires et fonctionnement des installations existantes.
Connu / https://twitter.com/LaTribune/status/1633851206534672387
Au rythme actuel, il faudrait 2.000 ans pour en finir. Pourtant, le gouvernement a retoqué par 49.3 un amendement NUPES débloquant 12Mds€, rappelle @TrouveAurelie.
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Connu / TG 09/01/23 à 19:26
16:23 - 808 k abonnés - 1,8k+ - 27 138 vues - 240 commentaires
Jeudi 14 décembre 2022, Jean-Luc Mélenchon a participé à l'événement de l’Institut La Boétie - Fondation Insoumise, qui organisait deux tables rondes sur le thème de l’inflation. Vous pouvez retrouver le replay en intégralité sur : https://youtu.be/xVj0KFbxd3o -> https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?gd3uOA
Elles se basaient sur une note produite par plusieurs économistes à retrouver sur son site internet (https://institutlaboetie.fr) et présentée par Eric Berr.
Aurelie Trouvé, députée insoumise et économiste, a discuté de la spéculation et des profiteurs avec le président du groupe Leclerc, Michel-Edouard Leclerc.
Ensuite, trois économistes d’écoles différentes, Cedric Durand (université de Genève), Agnès Benassy-Queré (cheffe économiste du Trésor) et François Geerolf (OFCE) ont débattu autour de la question des causes de l’inflation et de son lien avec la crise du capitalisme. La baisse des salaires réels, le blocage des prix, l’indexation des salaires, les superprofits furent au cœur de ces échanges lors de cette soirée.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon, co-président de l'Institut La Boétie, a pris la parole en conclusion de la soirée.
Il a dans un premier temps mis en doute la capacité de la science économique à prévoir les crises économiques et à en expliquer les causes. Il a souligné que cette science ne prend pas en compte les rapports de force politiques et considère les acteurs économiques comme des individus agissant de manière indépendante, plutôt que comme des groupes ayant des intérêts collectifs et en conflit.
En outre, il a critiqué l'idée d'équilibre économique, selon laquelle l'économie tend vers un état stable et optimal. Jean-Luc Mélenchon a suggéré que cette idée est insuffisante pour comprendre les réalités de l'économie et les dynamiques de pouvoir qui y jouent un rôle important.
Il a également souligné que la science économique ne prend pas en compte les aspects sociaux et éthiques de l'économie, et qu'elle est souvent utilisée pour justifier des politiques qui ont des conséquences néfastes pour les personnes les plus vulnérables.
En conclusion, Jean-Luc Mélenchon a appelé à une réflexion plus approfondie sur les limites de la science économique et sur la manière dont elle peut être utilisée de manière plus responsable.
10:51 - #franceinsoumise #NUPES #retraites #politique - 75,1 k abonnés - 169+ - 1 181 vues - 15 commentaires
Lors de notre Assemblée représentative du 10 décembre 2022, Aurélie Trouvé et Hadrien Clouet ont tracé les grandes lignes de notre bataille contre la réforme des retraites de Macron, qui souhaite passer l'âge de départ à 65 ans !
Ils ont notamment appelé à participer à la Marche pour nos retraites, le 21 janvier, à l'initiative d'associations jeunesse : https://lafranceinsoumise.fr/marche-pour-nos-retraites-a-paris-le-21-janvier%2F
LFI. Louis Boyard, Aurélie Trouvé, Marina Mesure, Nathalie Oziol, Ségolène Amiot, Hadrien Clouet, Séverine Véziès… Qui sont les nouveaux visages de la coordination de La France insoumise (LFI) ? Dévoilés ce samedi 10 décembre 2022 lors de l’Assemblée représentative de la FI à Paris, l’organigramme insoumis contient de nouveaux visages peu connus du grand public.
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Louis Boyard, deuxième plus jeune député de l’Histoire, porte-voix de la jeunesse
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Pour aller plus loin : Louis Boyard demande la création d’une commission d’enquête sur l’emprise de Bolloré sur les médias https://linsoumission.fr/2022/11/14/louis-boyard-plainte-hanouna/
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Aurélie Trouvé, figure des mouvements sociaux, co-responsable de l’espace « Initiatives du mouvement »
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Pour aller plus loin : Portrait – Aurélie Trouvé, nouveau soutien de poids de Jean-Luc Mélenchon https://linsoumission.fr/2021/12/02/portrait-aurelie-trouve/
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Avec Bastien Lachaud, également député de Seine-Saint-Denis, elle est désormais co-animatrice de l’espace « Inicitatives du mouvement », plus précisément chargée des évènements du mouvement insoumis avec d’autres organisations associatives ou syndicales comme la marche du 21 janvier.
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Marina Mesure, le savoir est une arme : connaître le capital, défendre le travail
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Une fois la tête pleine des connaissances sur les mécanismes implacables du capitalisme néolibéral, elle prend le chemin de la lutte sociale. Elle entre d’abord à l’Organisation Internationale du Travail (OIT). Déçue par l’influence trop pesante des intérêts nord-américains qui pèsent de tout leur poids sur les subventions accordées à l’organisme, elle rejoint l’Internationale des travailleurs du bâtiment et du bois pour développer des syndicats au Qatar.
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A 33 ans, elle pourra apporter toute son énergie et toute son expertise en représentant l’espace des batailles de la société où l’on retrouvera tous les pôles de lutte https://linsoumission.fr/category/themes/nouvelles-lutte/ déjà existants au sein du mouvement insoumis et le tout nouveau pôle de la résistance écologique (animée par une certaine Martine Billard dont l’inoumission.fr a eu l’honneur de faire le portrait). https://linsoumission.fr/2022/12/04/portrait-martine-billard-planification/
Nathalie Oziol, professeure agrégée d’anglais, co-responsable de l’espace « Batailles électorales »
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À la suite de l’Assemblée représentative de LFI, la députée de l’Hérault rejoint la coordination des espaces du mouvement insoumis et devient co-animatrice du pôle « Batailles électorales » avec Paul Vannier, député du Val-d’Oise. Un pôle essentiel alors que Macron aime à agiter le spectre de la dissolution de l’Assemblée nationale. Ce pôle devra préparer au mieux le mouvement aux prochaines échéances électorales.
Ségolène Amiot, une « salariée lambda » pour porter la voix des classes populaires
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Après sa victoire dans la 3ème circonscription de Loire-Atlantique elle se déclare : « fière d’être une salariée lambda, une madame tout-le-monde, à laquelle les citoyens peuvent s’identifier, à l’instar de Rachel Keke [gouvernante, devenue députée de la 7e circonscription du Val-de-Marne] » https://linsoumission.fr/2022/11/04/rachel-keke-lutte-creteil/
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Une femme populaire, courageuse, brillante comme il existe des milliers en France mais dont la voix n’est jamais écoutée par les puissants. C’est à cette madame tout-le-monde que le mouvement a choisi de confier la coordination d’une des missions cruciales en vue d’obtenir une majorité populaire : le développement du mouvement.
Hadrien Clouet, le sociologue à l’humour piquant, député membre de l’espace « Bataille des idées et formations »
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il rejoint à la suite de l’Assemblée représentative de LFI l’espace « Bataille des idées et formation ». Un espace qu’il co-animera avec la députée de Paris Danièle Obono, en lien avec l’institut La Boétie, nouveau think thank insoumis co-présidé par Jean-Luc Mélenchon et Clémence Guetté.
"Ce n'est plus une indemnisation, mais une pochette surprise !" https://www.youtube.com/watch?v=WZOE06dm8vk
Séverine Véziès, ex-candidate NUPES-LFI et rédactrice en cheffe du Journal de l’Insoumission
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Avec Gabriel Amard, elle est en charge de l’espace « Pratiques citoyennes du pouvoir et élu.e.s ». Son objectif : mettre en relation tous les élus insoumis de France, afin qu’ils puissent mettre en œuvre de nouvelles pratiques démocratique, partager leurs combats, leurs expériences, s’épauler techniquement et politiquement et permettre à chaque élu·e de se former. Ce réseau est composé de 2000 élus. Un réseau qui se prépare notamment pour deux prochaines échéances électorales : les élections municipales et sénatoriales.
Ces nouveaux membres de la coordination des espaces de LFI sont l’illustration de l’évolution dans les actes et nécessaire du mouvement insoumis. « On change pour que ça change », titrait ainsi Jean-Luc Mélenchon dans sa dernière note de blog. Une parité homme-femmes parfaite. Un renouvellement importants des cadres : 62,9% des membres de la coordination des espaces opérationnels de LFI y siègent pour la première fois. Cette coordination s’est dotée de nouveaux espaces pour pouvoir mener à bien la mission de LFI : prendre le pouvoir pour en finir avec le monde de malheur offert par la macronie et enfin, construire un autre monde.
Par le comité de rédaction
Connu / https://twitter.com/ClementVerde/status/1603008971614613505
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amishcienfuegos #teaminsoumis mastodon @franfan a retweeté
Clément Verde @ClementVerde · 14 déc.
Une coordination des espaces de la @FranceInsoumise
renouvelée à plus de 50 %, plusieurs nouveaux pôles pour développer le mouvement et l’enraciner dans le pays, etc.
🟣 Présentation de nouveaux membres de la coordination à retrouver dans @L_insoumission - 0 - 16 - 29
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Ndlr : super casting
TRIBUNE - Les députés LFI Clémence Guetté, Matthias Tavel, Aurélie Trouvé et Maxime Laisney, chefs de file de leur parti dans ...
Connu / TG du 06/12/22 à 19:23
avec Mathilde Panot, Olivier Besancenot, Aurélie Trouvé, Sophie Taillé-Polian
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Retrouvez l'entretien de Stefano Palombarini par Aurélie Trouvé sur son nouveau livre d'entretien « Où va le bloc bourgeois » écrit avec Bruno Amable (sortie le 23 septembre) réalisé le dimanche 11 septembre à la Fête de l'Humanité.
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L'émission populaire est de retour et a installé ses micros en plein coeur de l'évènement politique de la rentrée : les #AMFIS2022 !
Manuel Bompard, Aurélie Trouvé, Adrien Quatennens, Emma Fourreau (coanimatrice des jeunes insoumis)... et plein d'autres intervenants se sont succédés pendant une heure afin de parler de l'actualité politique et sociale, et de quels outils nous disposons pour lutter contre le saccage social et écologique orchestré par Macron et surtout, pour gouverner le pays demain.
Tr.: ... Razmig Keucheyan, sociologue et membre du parlement de la Nupes ... construire une hégémonie culturelle dans une coconstruction (A.Trouvé) ...
Ndlr : qui dit coconstruction dit médiation.. contacter A.Trouvé. ACT
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Rendez-vous le samedi 27 août à 17h30 en direct pour la conférence des AMFIS 2022 « Le Parlement de la NUPES : au-delà des forces politiques, rassembler le monde syndical, associatif, culturel, scientifique » avec des membres du Parlement dont : Aurélie Trouvé, députée LFI-NUPES, présidente du Parlement, Marie Toussaint, députée européenne EELV-NUPES, vice-présidente, Sophie Taillé-Polian, députée Génération·s-NUPES, vice-présidente, Laurent Baumel, ancien député PS, Laurence De Cock, historienne…
Suivez le direct et partagez sur les réseaux sociaux avec #AMFIS2022.
Tr.: ...
Développer une culture commune, veiller au pluralisme de la participation à gauche localement, à la diversité.
Le Parlement de la NUPES, est révolutionnaire. ... But : l'hégémonie culturelle
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Rendez-vous en direct le jeudi 25 août à 13h30 pour la conférence des AMFIS 2022 « Quelle rentrée sociale et politique ? Lutter ensemble pour un autre monde » avec :
- Aurélie Trouvé, députée LFI-NUPES, présidente du Parlement de la NUPES
- Cécile Duflot, directrice générale d’Oxfam
- Nicolas Girod, porte-parole de la Confédération paysanne
- Benoît Teste, secrétaire général de la FSU
- Julien Rivoire, porte-parole d’Attac
Suivez le direct et partagez sur les réseaux sociaux avec #AMFIS2022.
Tr.: ... Plus Jamais Ça ! ...
Session 35 Amphi 3 10 juillet 2022 09:15 - 10:15
Résumé
Dans un contexte de profonde défiance des citoyens envers leurs gouvernements et institutions, imaginer les services publics de l’avenir est un impératif pour reconstruire un contrat de confiance entre les citoyens et l’Etat. Qu’attendent les citoyens de leurs services publics ? Il s’agit de faciliter la vie des usagers en proposant des services publics plus simples et plus accessibles à tous.
Les profonds changements induits par les technologies numériques sont une grande opportunité à saisir pour renforcer l’efficacité et la concertation dans la production des services publics. De nouveaux services peuvent être inventés et co-produits avec la société civile et les secteurs publics et privés, c’est là la véritable révolution de l’Etat plateforme.
Cependant si les nouvelles technologiques présentent de réelles opportunités pour dessiner les services publiques de demain, ces derniers sont aussi des lieux de socialisation et de cohésion indispensables pour les citoyens. Le tout numérique ne saurait être suffisant pour répondre à ces enjeux, et il importe d’imaginer l’accès aux services publics comme vecteur de lien social.
Intervenants (cf biographies)
- Jean-Marc BORELLO, Président du directoire - Groupe SOS
- Estelle BRACHLIANOFF, Directrice Générale - Veolia
- Valerie RABAULT, Première Vice-Présidente de l'Assemblée Nationale, Députée - ASSEMBLEE NATIONALE
- Jean TAWILE, Chef économiste - Economiste
- Aurélie TROUVÉ, Députée de la 9e circonscription de Seine-Saint-Denis - Assemblée Nationale
- Coordinateur Yann ALGAN, Membre - Le Cercle des économistes
Connu / https://twitter.com/TrouveAurelie/status/1546031973491171329
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Aurélie Trouvé @TrouveAurelie · 8h
Pour les matinaux du dimanche, je participe aux Rencontres économiques d'Aix, sur le thème : Les services publics de l'avenir
#besoins #egalite #droits #solidarite #partage
Vous pouvez suivre le débat ici même 👉 https://lesrencontreseconomiques.fr/#watch=amphi-3
#REAix2022 - 4 - 25 - 60
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