L'ANVP est l'Association Nationale des Visiteurs de Personnes sous main de justice
... reconnue d'utilité publique et agréée Jeunesse et Éducation Populaire. Elle regroupe les visiteurs de prison qui visitent des personnes en détention et les visiteurs accompagnants qui rencontrent et assistent celles qui sont condamnées à des peines en milieu ouvert (bracelet électronique, peines probatoires, placement à l'extérieur...).
Les membres de l'ANVP sont regroupés autour d'un(e) correspondant(e) d'établissement ou de groupe hors les murs, ainsi que de sections locales propres à un ou plusieurs établissements pénitentiaires, afin de mettre en commun leur expérience et d’aider à la solution de leurs difficultés éventuelles et de bénéficier de toutes les informations utiles au bon déroulement de leur activité.
Nos positions quant à la prison et aux autres peines
En qualité de témoins privilégiés, neutres car ni proches des détenus, ni membre de l'administration pénitentiaire ou de la Justice, les visiteurs de prison portent un regard intéressant sur la prison. ...
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17 rue de Châteaudun –75009 Paris
Tél. : 01 55 33 51 25 - Mail : accueil@anvp.org
Créée en 1932 ... reconnue d’utilité publique par décret du 9 mai 1951 et agréée jeunesse et Education populaire (arrêté du 30 avril 2002).
... présidée par Yves-Marie BRIENT et Directeur de publication du site
Édition du site internet assurée par la Société sas SAS all-in-web au capital de 180000 euros, immatriculée au RCS de rueil malmaison ... hébergé par Gandi
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Ndlr : n'est-il pas confondu neutralité et impartialité ? ACT
Éclairage MARL
Fabrice Vert, Premier Vice-président au tribunal judiciaire de Paris - Vice-président de GEMME France - membre du syndicat Unité Magistrats
Michèle Guillaume-Hofnung, Professeure émérite des facultés de droit, Directrice de l'Institut de Médiation Guillaume-Hofnung (IMGH) Présidente d’honneur des Médiateurs diplômés de Paris2 Panthéon-Assas MDPA
Selon le rapport sur la justice du XXIe siècle, seulement 1 % des affaires judiciaires font l’objet d’une médiation. Le défi de la politique nationale de l’amiable, annoncée le 13 janvier dernier par le garde des Sceaux, va consister précisément à sortir la médiation de cette confidentialité. Fabrice Vert, Premier Vice-président au tribunal judiciaire de Paris et Michèle Guillaume-Hofnung, Professeure émérite des facultés de droit, estiment qu’il faut agir sur la confiance, ce qui passe en particulier par la déontologie et la formation.
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Médiation et conciliation : modes premiers de règlement des litiges ? https://www.labase-lextenso.fr/gazette-du-palais/GPL222e8 Tel est le titre d’un article de la première présidente Chantal Arens et de la professeure de droit Natalie Fricéro publié le 25 avril 2015 par la Gazette du palais
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La confiance ne se décrète pas
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Le rapport n° 3696 de la délégation pour l’Union Européenne de l’Assemblée Nationale « La médiation, un nouvel espace de justice en Europe » présenté en février 2007 par le député Jacques Floch, et le rapport « célérité et qualité de la justice, la médiation une autre voie » issu du groupe de travail sur la médiation, installé par le premier président de la cour d’appel de Paris, Jean-Claude Magendie le 11 février 2008.
Leurs explications sur les difficultés d’implantation de la médiation restent pertinentes.
Tout d’abord, en premier lieu, la médiation et les modes amiables dans le domaine judiciaire ne doivent pas être présentés comme de la déjudiciarisation ou un moyen de réduire les stocks, mais comme un enrichissement de la réponse judiciaire et une chance supplémentaire offerte aux justiciables de nouer ou renouer un dialogue et de les aider à résoudre leur litige.
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La fragilité de l’identité du cœur de la profession – la médiation – affaiblit grandement l’image du médiateur. Si on ne connaît pas la médiation comment faire confiance au médiateur ?
Il faut ensuite que la profession donne des garanties de sérieux. L’exercice s’avère délicat dans la mesure où il ne faut pas scléroser la profession par un carcan inadapté
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La médiation activité du médiateur, se présente de manière très précise et très identifiable. Elle est un processus et non pas une procédure fut-elle allégée. Elle repose sur la liberté des médiés et du médiateur. Ainsi l’expression médiation obligatoire installe un oxymore létal
... L’expression information obligatoire sur la médiation serait à la fois plus exacte et pédagogique ... ce qui est sa fonction première de créer ou de recréer le lien ... confidentiel
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Le médiateur ... un tiers impartial indépendant et neutre ... Le tiers se définit par son extériorité. Le « médiateur maison » est certainement respectable mais il lui manque l’extériorité
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L’impartialité est la qualité du médiateur à l’égard des personnes. Le médiateur doit veiller à ne pas se laisser influencer par des antipathies ou des sympathies. Il est inévitable pour un être humain d’en ressentir, mais un médiateur doit savoir les repérer et se réajuster.
La neutralité est la qualité du médiateur à l’égard des résultats de la médiation. Il doit se garder de faire prévaloir sa solution. Il doit respecter la solution des médiés. La médiation est une maïeutique, le médiateur peut trouver que le résultat dont les médiés ont accouché n’est pas celui escompté mais c’est leur résultat. Seule une objection d’ordre public justifierait de déroger à l’absolue neutralité. La neutralité du médiateur est garante de la nature éthique du processus de médiation. La médiation est un processus de communication éthique. Le médiateur garantit l’égale dignité de la parole de chacun. C’est tout mais c’est essentiel. Cela requiert de la part du médiateur beaucoup d’énergie. Il consacre son énergie à garantir le cadre.
L’indépendance du médiateur constitue elle aussi une source importante et particulièrement exigeante de confiance. Elle s’apprécie bien sûr à l’égard des médiés mais aussi à l’égard de possibles partenaires encombrants. Les attentes explicites ou implicites des financeurs de dispositifs de médiation ou des prescripteurs de médiations pèsent parfois lourdement sur les médiateurs. Les médiés lorsqu’ils le perçoivent peuvent perdre confiance.
Le métier de médiateur n’est donc pas simple, difficile de s’affirmer « médiateur naturel » ou de se croire comme Monsieur Jourdain « médiateur sans le savoir ». La maxime « la formation avant toute chose » a guidé les pionniers de la médiation. La création de la première formation à la médiation en 1987 dans le cadre de Droit de l’Homme et Solidarité DHS proposait un parcours en deux ans. Une première année enseignait un socle généraliste de 180 heures. Une deuxième année 180 heures fournissait les compléments de spécialisation dans les secteurs que nous avions identifiés comme les secteurs d’avenir.
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principes fondamentaux de la médiation, des éléments de psychologie, de sociologie, de droit et bien sûr beaucoup de mises en situations pratiques
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Une des missions du futur conseil national de la médiation
... entre dans sa mission selon la loi du 22 décembre 2021 pour la confiance dans l’institution judiciaire de proposer un recueil de déontologie applicable à la pratique de la médiation, des référentiels nationaux de formation des médiateurs et de faire toute recommandation sur la formation
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Ndlr :
- on retrouve la neutralité POSTULAT avec ses limites
- Et est-ce pertinent de lier la médiation à la justice ? Questionner ACT
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?1lMvQA
... une des caractéristiques du Fédiverse tient aux différentes couches logicielles et applications qui la constituent et qui peuvent virtuellement être utilisées par n’importe qui et dans n’importe quel but. Cela signifie qu’il est possible de créer une communauté en ligne qui peut se connecter au reste du Fédiverse mais qui opère selon ses propres règles, sa propre ligne de conduite, son propre mode d’organisation et sa propre idéologie
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chaque communauté est capable de se définir elle-même non plus uniquement par un langage mémétique, un intérêt, une perspective commune, mais aussi par ses relations aux autres, en se différenciant. Une telle spécificité peut faire ressembler le Fédiverse à un assemblage d’infrastructures qui suivrait les principes du pluralisme agonistique. Le pluralisme agonistique, ou agonisme, a d’abord été conçu par Ernesto Laclau et Chantal Mouffe, qui l’ont par la suite développé en une théorie politique. Pour Mouffe, à l’intérieur d’un ordre hégémonique unique, le consensus politique est impossible. Une négativité radicale est inévitable dans un système où la diversité se limite à des groupes antagonistes14.
La thèse de Mouffe s’attaque aux systèmes démocratiques où les politiques qui seraient en dehors de ce que le consensus libéral juge acceptable sont systématiquement exclues.
Le pari fait par l’agonisme est qu’en créant un système dans lequel un pluralisme d’hégémonies est permis, il devienne possible de passer d’une conception de l’autre en tant qu’ennemi à une conception de l’autre en tant qu’adversaire politique. Pour que cela se produise, il faut permettre à différentes idéologies de se matérialiser par le biais de différents canaux et plateformes. Une condition préalable importante est que l’objectif du consensus politique doit être abandonné et remplacé par un consensus conflictuel, dans lequel la reconnaissance de l’autre devient l’élément de base des nouvelles relations, même si cela signifie, par exemple, accepter des points de vue non occidentaux sur la démocratie, la laïcité, les communautés et l’individu.
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avec la présence apparemment irréconciliable de factions d’extrême gauche et d’extrême droite dans l’univers de la fédération, les réalités de l’antagonisme seront très difficiles à résoudre ... Mastodon a été confronté à la neutralité des licences FLOSS. D’autres projets du Fédiverse, tels que les clients de téléphonie mobile FediLab et Tusky, ont également été confrontés au même problème, peut-être même plus, car la motivation directe des développeurs de Gab pour passer aux logiciels du Fédiverse était de contourner leur interdiction des app stores d’Apple et de Google pour violation de leurs conditions de service. En s’appuyant sur les clients génériques de logiciels libres du Fédiverse, Gab pourrait échapper à de telles interdictions à l’avenir, et aussi forger des alliances avec d’autres instances idéologiquement compatibles sur le Fédiverse15.
Dans le cadre d’une stratégie antifasciste plus large visant à dé-plateformer et à bloquer Gab sur le Fédiverse, des appels ont été lancés aux développeurs de logiciels pour qu’ils ajoutent du code qui empêcherait d’utiliser leurs clients pour se connecter aux serveurs Gab. Cela a donné lieu à des débats approfondis sur la nature des logiciels libres et open source, sur l’efficacité de telles mesures quant aux modifications du code source public, étant donné qu’elles peuvent être facilement annulées, et sur le positionnement politique des développeurs et mainteneurs de logiciels.
Au cœur de ce conflit se trouve la question de la neutralité du code, du réseau et des protocoles. Un client doit-il – ou même peut-il – être neutre ? Le fait de redoubler de neutralité signifie-t-il que les mainteneurs tolèrent l’idéologie d’extrême-droite ? Que signifie bloquer ou ne pas bloquer une autre instance ?
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La tolérance et la liberté d’expression sont devenues des sujets explosifs après près de deux décennies de manipulation politique et de filtrage au sein des médias sociaux des grandes entreprises ; quand on voit que les plateformes et autres forums de discussion populaires n’ont pas réussi à résoudre ces problèmes, on n’est guère enclin à espérer en des expérimentations futures.
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il se pourrait que le Fédiverse crée au mieux une forme d’agonisme bâtard par le biais de la pilarisation. En d’autres termes, nous pourrions assister à une situation dans laquelle des instances ne formeraient de grandes agrégations agonistes-sans-agonisme qu’entre des communautés et des logiciels compatibles tant sur le plan idéologique que technique, seule une minorité d’entre elles étant capable et désireuse de faire le pont avec des systèmes radicalement opposés. Quelle que soit l’issue, cette question de l’agonisme et de la politique en général est cruciale pour la culture du réseau et de l’informatique. Dans le contexte des systèmes post-politiques occidentaux et de la manière dont ils prennent forme sur le net, un sentiment de déclin de l’esprit partisan et de l’action militante politique a donné l’illusion, ou plutôt la désillusion, qu’il n’y a plus de boussole politique. Si le Fédiverse nous apprend quelque chose, c’est que le réseau et les composants de logiciel libres de son infrastructure n’ont jamais été aussi politisés qu’aujourd’hui. Les positions politiques qui sont générées et hébergées sur le Fédiverse ne sont pas insignifiantes, mais sont clairement articulées. De plus, comme le montre la prolifération de célébrités politiques et de politiciens utilisant activement les médias sociaux, une nouvelle forme de démocratie représentative émerge, dans laquelle le langage mémétique des cultures post-numériques se déplace effectivement dans le monde de la politique électorale et inversement16.
... la veille la FNSEA, les JA et la coordination rurale dépose une autorisation de contre manifestation, mais hors délais légal, ce qui logiquement a entrainé un refus de la Préfecture de Niort, parce que c’est en 79 qu’est Mauzé/Mignon!
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la Préf du 79 a respecté la loi en n’autorisant pas leur contre manif mais leur a donné des laissez passer pour y être tout de même…
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France Inter @franceinter .@CynthiaFleury répond à une auditrice dont la mère est complotiste : "Le complotisme, c'est le récit parfait pour ce grand temps d'incertitude. Il vient sécuriser par le pire. En plus, on ne peut pas contre-argumenter : tout signe vient renforcer la thèse émise." #le79Inter
46,5 k vues 1:20 / 2:24 8:53 AM · 20 nov. 2020·Wildmoka 377 Retweets 84 Tweets cités 973 J'aime
Tr : ... on ne peut pas contre-argumenter. Ce logos qui nous permet tout d'un coup de restaurer cette confiance, on ne peut plus l'activer car le complotisme est un délire aussi paranoïaque. Tout signe va venir renforcer la thèse émise. Et en fait, le complotisme permet de donner à ce qu'on appelle les biais de confirmation, un terrain absolu. Tout ce qui va être dit, tout ce qui va être vu, va être interprété pour venir consolider la thèse. Donc la seule manière d'être en lien, c'est de surtout pas aller sur ce terrain, de parler de tout autre chose, et de reproduire du lien empathique ailleurs, sur des objets neutres, ce qui n'est pas simple puisque, dans la thèse complotiste, rien n'est plus neutre et rien n'est plus un objet neutre.
Ndlr : faire diversion pour restaurer du lien empathique...
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The Shift Project a présenté le 9 novembre 2020 son nouveau projet sur l'intégration des enjeux climat-énergie dans les formations de l'ingénieur : « ClimatSup INSA », mené en partenariat avec le Groupe INSA.
👉 Si le sujet « Enseignement Supérieur & Recherche » vous intéresse, vous pouvez vous inscrire à la newsletter « Enseignement supérieur » du Shift sur : https://cutt.ly/rg0lP93
👉 Introduction par Jean-Marc Jancovici (Président, The Shift Project)
👉 Présentation du projet par :
- Clémence Vorreux, Coordinatrice du projet ClimatSup INSA, The Shift Project
- Damien Amichaud, Chef de projet ClimatSup INSA, The Shift Project
- Anne-Laure Tournier, Chargée de projet ClimatSup INSA, The Shift Project
- Sam Allier, Chargé de projet ClimatSup INSA, The Shift Project
👉 Table-ronde : « Comment former l’ingénieur pour la transition écologique? »
- Marion Fregonese, Référente du projet pour l’INSA Lyon et responsable de formation
- Chloé Huyghe, Etudiante à l’INSA Strasbourg
- Bertrand Raquet, Président du Groupe INSA et directeur de l’INSA Toulouse
- Christian Jeanneau, Senior Vice-Président Nucléaire d’Assystem et Vice-Président Syntec Ingénierie
👉 Les supports de présentation sont disponibles ici: https://bit.ly/3ltrNaJ
16 commentaires
Transcription : ... nécessaire réflexion systémique ... ex. le système numérique ... co-construction avec les parties prenantes des écoles, méthode itérative RC2, INformation et formation des parties prenantes ; objectifs conditionnes à énergie et climat ... référentiel base de discussion, webinaire inter-écoles, rapport final conf de mai 2021.
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enjeux socio-écologiques ... pour l'instant vus surtout en fin de cursus et pas par tous les étudiants.
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/éthique ... béhaviorisme (maîtrise d'une notion donnée) ; cognitivisme (résolution de problème) ; constructivisme (réflexion sur et dans l'action) ... démarche plurielle, paradigme de l'ingénierie.
Concrètement : référentiel de connaissances ; référentiel de compétences ; questionnement éthique le plus important ; acquis d'apprentissage ; sémantique ; spécificités INSA ; confrontation ; co-construction (débats internes, conf et tables rondes) ;
Vision globale ... anthropocène ; controverses ; quel récit pour quelle société ?
économie circulaire ;
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Sam : énergie-climat colonne vertébrale de tous les autres sujets ; Damien ex: biodiv inclus ;
comment contribuer ? Damien : suivre l'actu, ex-étudiant faire passer l'info ; accompagner les acteurs ; le gr insa mène une réflexion plus large que l'enseignement. Travail le +utile et le +large ; institutions, cpi etc ; Janco : /état : prop de loi provocation. Faire monter les étudiants aiguillon plus rapide. /campus de la transition : manuel de la grande transition : Sam : éthique, épistémologique, ++ ; Damien : enseign dédié à intégrer sinon intégrer au maxi dans les cours actuels ; Claude : s'emparer de ces sujets, pj, interdisciplinaire ; approche globale ; lien sciences et politique dans l'obj. : /étudiants
table ronde :
Janco : Mr Raquet : de la responsabilité : 10% des ingé /an : racines du modèle insa sciences et humanités à resp sociétale ; 25% étud en grève en mars 2019 ; cible à portée de main mais pente raide => méthode, démarche scientifique, lecture pas que techno mais aussi sociétale, écon, accepter la complexité, les emplois, embarquer partenaires industriels, adhèrent à la fond insa, moteurs de leur propre transfo. On a 5 ans /réussir. /Risques : levier interne, conserver fondamentaux disciplinaires, en avance de phase /entreprises.
Mise en oeuvre : Mme Marion Fregonese ??? /fondamentaux à périmètre horaire constant ; réflexion pas facile à conduire, interdisciplinaire /q systémiques, neutralité des sciences et techniques donc enjeux politiques, acculturer ces aspects, sortir zone de confort, Leviers : /Lyon initié depuis 2 ans label drs, collectifs transition dans l'ensemble des départements, prop d'actions, sensibilisation, collecter infos ; phase institutionnelle, gt études, cadrage horaire, calendrier, accompagner l'engagement des enseignants ; collectifs à l'échelle nationale ex labo1.5 ; /chgts : /fondamentaux lesquels transformer ? les rempl par quoi ? pas facile.
Chloé Huyghe /Étudiants :attentes, réactions, enquête : étudiants concernés, pas assez formés, écoles ne sollicitent que rarement les étud. act individuelle /autoformation, solliciter les profs, pas le cas de tous les étud. ; envie de comprendre mais entreprises pas demandeuses, dc motiv perso ;
Christian Jeannot : assystem et syntec 700 000 emplois et a déjà signé charte /climat, écon et société, équilibre homme-femme ; sujet irréversible donc grand intérêt, perçoit enjeux ; /entreprises en général, fait des choix confrontés à contradictions /réglementation, états, /usages et richesse des solutions que les citoyens demandent. ex/ bâtiment, transport on est à la 7è réglementation ! on se confronte à la volonté d'usage, comprendre à la grande échelle, énerg+ à 22°C pas cohérent, /diesel met du temps à diffuser ; l'entreprise n'est pas la startup nation ; decathlon, psa, edf plébiscitées /étudiants ; mise en harmonie, horizontalité des communications, salariés heureux, permettre aux gens de se tromper, essayer, accepter l'erreur, confronter aspirartions perso et profess.
Chloé : en 5ème année, /derniers sortis : ne sait pas. /manifeste étudiant retour :
Bertrand Raquet : asymétrie temporaire pour 30 ans qui viennent /dem d'employer à 3 ans : /mine paritech emploi grandes entreprsises passées de 50 à 30% et /insa ? apprendre à apprendre tout au long de la vie ++ autonomie dans les apprentissages sur 5 ans agilité et employabilité ; /engagt lt : démarche prospective à 2040 : futurs choisis ; transformation profonde ; /enseign cherch déjà dans pratiques d'adaptation en continu : petite diminution des emplois en grands groupes, forme de volatilité ; nouv géné en quête de sens ++ exigence /entreprises ; être attentifs à la culture générale économie de la fonctionnalité, symbiotique ? pas simple, instabilités, assumé />>potentiel des élèves.
Q PUBLIC
dir insa rennes tout ne se passe pas dans les salles de cours et de tp : modèle de 5 ans manag deux cycles donne plusieurs points d'entrée, aller vers culture profonde dès le début ++
/modèle de société désirable :
Marion : 1/3 des étudiants déjà engagés et concernés, 1/3 sensibles prets à suivre et 1/3 moins concernés. Entre pairs, émulation, actions phares ex fresque du climat, initiative proposer synthèse rapport spécial giec++ /pédago placer l'étudiant au centre, acteur, objets du quotidien, pas trop inquiete, nouvelle form lycée prépare aussi déjà.
Chloé : insa strasbourg
/aspect anxiogène de la transformation Mr ??? on confond l'incertitude et le risque, l'entreprise de protège, approche scientifique modéliser l'inconnu ; approche globale, éthique, ne pas abuser des tech de communication. Modéliser systèmes complexes ; cararctériser.
/programmes on apprenait à apprendre. Apprendre à combiner dans monde horizontalisé réseau de connaissances et expériences, se nourrir /management par archipel. savoir combiner ++
zoom janco a planté !
Q : /numérique : B Raquet neuf sur ce sujet montre profondeur du travail à faire.
/impact écolo d'un livre papier ou numérique ?? dépend des usages, pas facile à prendre. !!
/entreprises : outils pour les faire accélérer ? prend du temps, former les actifs, perdurer, délivrer le juste bien à ses clients, pas lieu de labo sociologique, prise dans un champ de contraintes, développe sol /richesse des fonctionnalités demandées ; traiter datas et modéliser ++
Damien conclusion pj : concertation, resp de l'ingénieur donc non neutralité de l'ingénieur et de la technologie
JMJ : début de l'histoire ; diminuer de 5%/ rien que pour les +2°C !
chocs de plus en plus désagréables. L'ingé fr s'apprécie dans le monde. Bonne cote, donc l'adapter le plus vite possible. /Saclay apprendre à former avant les autres, ACCÉLÉRONS. TEnir à 8 milliard en harmonie.
Dates : - 02/21 rapport intermédiaire, rapp final 05/21.
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FR - Excellente interview de Philippe Martinez, Secrétaire général de la Confédération Générale du Travail (CGT): attaque terroriste tout près des anciens locaux de Charlie Hebdo à Paris, liberté d'expression, coronavirus: bars et restaurants totalement fermés à Marseille, protocoles sanitaires, situation dans les hôpitaux, télétravail, manifestation du 17 septembre, combats des employés de l'usine Jacob Delafon de Damparis (Jura) et des employés d'Auchan à Noyelles-Godault (Pas-de-Calais), réforme du Conseil économique, social et environnemental, "réforme" des retraites de Macron, "réforme" de l'assurance chômage, fermeture du site de Bridgestone à Béthune, plan de relance, Veolia veut racheter Suez: "Le chômage partiel, ce n'est pas le salaire intégral, et quand ça fait 6 mois que vous êtes payé 84% de votre salaire antérieur qui est déjà faible, ça commence à être dur, les fins de mois, ou à la moitié du mois. Il faut augmenter le SMIC, investir dans les services publics, ça, l'État a la main, on a parlé de la santé, mais aussi dans la fonction publique territoriale et de l'État, et puis investir dans des usines: Jacob Delafon, La Chapelle Darblay, Luxfer" - 27.09.2020 - Paris, France.
"Il faut se méfier de ces déclarations, y compris d'un ancien Premier ministre, ... stigmatiser une partie de la population, en l'occurence les musulmans, et ça c'est dangereux, ... le combattre. (...)
Il faut que les journalistes puissent faire leur métier, y compris dans les manifestations, et on a bien vu depuis quelques temps, depuis un temps certain, comme dirait l'autre, qu'il y a des faits qui sont inadmissibles dans les manifestations, notamment de la part des policiers. (...) il y a besoin de témoins neutres que sont les journalistes (...)
Le chômage partiel, ce n'est pas le salaire intégral, et quand ça fait 6 mois que vous êtes payé 84% de votre salaire antérieur qui est déjà faible, ça commence à être dur, les fins de mois, ou à la moitié du mois (...) (Il faudrait une prise en charge à 100%) et mettre à contribution ceux qui n'ont pas beaucoup souffert de la crise de la COVID, je pense aux assureurs, par exemple, les banques.
On parle de solidarité, mais on a l'impression que ce sont toujours les mêmes qui sont solidaires, c'est-à-dire ceux qui bossent, les petits commerçants, les petites entreprises, et puis ceux qui sont moins solidaires ce sont ceux qui ont fait pendant des années des milliards de bénéfice, de profit, ont versé beaucoup de dividendes à leurs actionnaires, et aujourd'hui, eux, ne sont pas solidaires.Là aussi, il faut que la solidarité elle soit valable pour tout le monde. (...)
Les cotisations sociales, c'est essentiel, parce que ça fait fonctionner la Sécurité Sociale. Parce que dans quelques mois, on va nous dire: ah, ben y'a plus d'argent, pour la santé, pour les retraites, pour le chômage, etc, etc. (...)
La concertation, c'est pas un coup de fil un quart d'heure avant de prendre la mesure. (...)
Masques fournis, gratuits (dans les entreprises) (...) La médecine, ça devrait être indépendant des directions d'entreprise. (...)
Nous on propose dans l'ensemble de la santé et du médico-social 400.000 embauches rapides, le plus rapidement possible parce qu'il y a de la souffrance à l'hôpital, et les services continuent à être désorganisés, ils sont épuisés.
Reconnaissance des qualifications dans les hôpitaux et dans le médico-social, je pense aux aides à domicile qui sont payé•e•s aujourd'hui comme au mois de février, vous connaissez leurs horaires, les fait d'être tôt le matin chez leurs patients et tard le soir, avec des déplacements, etc. (...)
(Télétravail) Il y a des endroits où on est loin de la 5G, on est plutôt en zone blanche. (...)
(Manifestation du 17 septembre) On ne peut pas nous reprocher d'avoir fait quelque chose pour dénoncer ce qui se passe et proposer des alternatives. (...)
... la CGT a plus d'adhérents à elle toute seule que l'ensemble des partis politiques en France (...)
(Au journaliste) Être au chômage, c'est pas un choix de vie, hein, d'accord. (...) Plus d'un chômeur sur deux ne touche RIEN. (...)
Il faut augmenter les salaires parce que quand on augmente les salaires, ça augmente les cotisations. Et puis, comment on peut verser des dividendes de plusieurs milliards à ses actionnaires, et dire: "On va être sur la paille, on n'a plus rien, il faut revenir sur les cotisations? (...)
Il faut augmenter le SMIC, investir dans les services publics, ça, l'État a la main, on a parlé de la santé, mais aussi dans la fonction publique territoriale et de l'État, et puis investir dans des usines: Jacob Delafon (...) La Chapelle Darblay, Luxfer, il y en a beaucoup (...)
(Suez/Veolia) On propose que ce soit d'intérêt public ; je pense qu'il faut réfléchir à des entreprises publiques, nationalisées (...)"
Howard Zinn est mort le 27 janvier 2010. Les médias français, Le Monde et Libération en tête, ne savaient que dire de cet historien qui fut pourtant l’un des intellectuels majeurs du renouveau de l’approche universitaire historienne aux Etats-Unis. Ils le traitèrent allègrement de marginal (!), voire, sans rire, d’"autodidacte" de l’histoire… C’est dire l’état d’aveuglement des médias français…
Inlassable défenseur des droits des minorités et de la désobéissance civile, Howard Zinn aura pourtant marqué à jamais les études universitaires américaines de son empreinte. Lisez son Autre Histoire Populaire des Etats-Unis, vous le comprendrez bien assez vite !
L'impossible neutralité : Autobiographie d'un historien et militant, de HowARD Zinn, préface de Thierry Discepolo, traduction de Frédéric Cotton, éd. Agone, 14 mars 2013, Collection : Eléments, 351 pages, 12 euros
... Désirant à tout prix se poser en défenseurs de la « démocratie » contre les formes supposées de son dévoiement actuel, ils finissent par assimiler l’ensemble des maux contemporains (personnalisation de la vie politique, « fake news », méfiance envers les institutions, désaffiliation partisane, tendances autoritaires et xénophobes, etc.) à des manifestations d’un populisme omniprésent et néfaste. Ce faisant, ils mélangent allègrement les causes et leurs effets, augmentant plus encore la confusion qui entoure le concept (et qu’eux-mêmes se délectent de dénoncer). Que nous dit un concept qui se confond avec son contraire ? ☰ Par Arthur Borriello
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il n’est pas étonnant que les deux définitions devenues canoniques soient volontairement souples et minimales. C’est le cas de l’approche « idéationnelle » de Cas Mudde, politologue néerlandais, et de celle, « discursive », d’Ernesto Laclau et Chantal Mouffe. Leur contribution est toutefois ambivalente : en proposant une définition plus étroite du populisme, ces approches ont parfois étendu la portée de son application à l’excès, rendant difficile l’établissement de critères suffisamment spécifiques que pour le distinguer d’autres concepts et phénomènes voisins. Ce faisant, elles flirtent toujours avec l’écueil d’élasticité conceptuelle dénoncé par le politologue italien Giovanni Sartori4 ; mal utilisées, elles autorisent des associations douteuses et conduisent à voir le populisme partout, ce qui revient à ne l’identifier nulle part.
« En proposant une définition plus étroite du populisme, ces approches ont parfois étendu la portée de son application à l’excès. »
On doit à Cas Mudde d’avoir conceptualisé le populisme comme une « idéologie fine » (thin-centered ideology) fondée sur la croyance en une division fondamentale du social entre un peuple bon — détenteur de la volonté générale dont l’application devrait être le cœur de l’action politique — et des élites corrompues. La variété des populismes réellement existants est aisément expliquée à partir de cette perspective : ne disposant que d’un nombre très limité de principes, l’idéologie (fine) populiste ne se suffit pas à elle-même et se trouve donc systématiquement associée avec d’autres traditions idéologiques plus « épaisses » (socialisme, nationalisme, libéralisme, etc.). D’où le fait que puissent facilement coexister les populismes de gauche, les populismes du centre et les partis de droite radicale populiste. Cette approche s’est finalement imposée comme la perspective dominante en science politique, probablement en raison de sa plasticité et de son applicabilité aux cas empiriques les plus disparates. Elle a également progressivement percolé dans la sphère politico-médiatique, comme en témoignent les nombreuses interventions de son auteur dans les médias5.
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Dans une veine très différente, la conception « discursive » du populisme proposée par Ernesto Laclau et Chantal Mouffe, développée dans une perspective « post-marxiste », aboutit parfois à des impasses similaires. Pour rappel — nous avons déjà eu l’occasion de détailler les caractéristiques de cette approche ailleurs7 —, ces auteurs présentent le populisme comme une logique politique, c’est-à-dire une façon de construire des identités politiques en articulant entre elles des demandes démocratiques. Le populisme construirait ainsi un sujet populaire, un « nous », à partir d’une opposition à un adversaire (la caste, l’élite, l’establishment), tenu pour responsable de la frustration de ces demandes. L’unité du sujet n’est pas ici le fruit de caractéristiques propres que ses composantes partageraient — à l’instar du prolétariat qui, dans l’approche marxiste, est défini par la position de classe de ses membres — mais bien le résultat d’une commune opposition aux élites du système. Cette commune opposition est ce qui permet de tisser des liens (Laclau et Mouffe parleraient de « chaînes d’équivalence ») entre des demandes a priori extrêmement hétérogènes. La nature exacte du sujet populaire dépend donc d’un processus contingent de construction de la frontière politique entre « eux » et « nous ». Par conséquent, selon l’adversaire visé (les élites politiques et/ou économiques, les intellectuels, les minorités ethniques, etc.) et le type de demandes articulées, le populisme peut revêtir des formes émancipatrices ou réactionnaires.
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De la désintermédiation au « moment » populiste
... processus, à l’œuvre depuis le milieu des années 1970, et de façon plus marquée depuis les années 1990–2000, ont contribué à progressivement creuser un vide vertigineux entre les citoyens et leurs représentants, comme le politologue irlandais Peter Mair l’a montré dans son analyse magistrale12. D’une part, on a assisté à un lent processus d’individualisation et de désaffiliation dans les sociétés occidentales : les groupes sociaux se sont complexifiés, rendant leur structuration et représentation par des corps intermédiaires de plus en plus aléatoire et difficile. Outre les syndicats, les églises, les clubs et les associations, les organisations à avoir le plus souffert de ces transformations sont celles qui assuraient la représentation de ces groupes sociaux auprès de l’État : les partis politiques et leurs élites. D’autre part, en réponse à ces évolutions, ces derniers ont progressivement cherché de nouvelles formes de légitimation. Après s’être émancipés de leurs groupes sociaux respectifs (devenant ainsi des partis dits « attrape-tout »), ils se sont petit à petit réfugiés dans les institutions étatiques au point de se confondre pratiquement avec celles-ci ; en parallèle, fleurissait chez les élites un discours de défense des institutions et de la stabilité économique contre les « excès » des demandes démocratiques, discours confinant parfois à une véritable « haine de la démocratie13 ».
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Fait remarquable — car il explique bon nombre de confusions — ces trois types d’acteurs (le centre libéral-technocratique, l’extrême droite et les partis verts) présentent des caractéristiques organisationnelles communes, relatives au processus de désintermédiation touchant les sociétés occidentales dans leur ensemble. Plus elles sont récentes, plus ces formations sont enclines à se présenter comme des mouvements ou des plateformes plutôt que comme des partis (le cas Macron est emblématique à cet égard), refusent le degré d’institutionnalisation de ces derniers et sont extrêmement dépendantes de la figure de leur leader. Celui-ci est en effet seul à même d’incarner l’homogénéité de ces mouvements au vu de la quasi-absence de cadres intermédiaires qui les caractérisent — un trait qui, encore une fois, doit plus à la donne contemporaine qu’à une caractéristique intrinsèque du populisme en tant que tel.
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Sont alors apparus en Europe des mouvements populaires que l’on croyait spécifiques au contexte de l’Amérique latine, fustigeant l’oligarchisation rampante et réclamant un processus de démocratisation de nos sociétés au nom de la souveraineté populaire. L’Europe connaissait enfin son « moment populiste ».
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Ce n’est pas le populisme qui constitue le nouveau Zeitgeist du XXIe siècle16, mais bien le processus de dé-démocratisation et de désintermédiation, cette lame de fond beaucoup plus puissante et préoccupante, dont le populisme ne constitue que l’écume, au même titre que les autres nouveaux mouvements politiques à succès. Notre critique devrait donc se concentrer sur ces transformations socio-politiques que traversent les démocraties occidentales et qui, mises bout à bout, font système : la confiscation technocratique d’une partie de la décision politique (en particulier en matière d’orientations économiques), la perte de pouvoir des assemblées législatives, la dérégulation des activités financières et le détricotage des États-providence, la professionnalisation de la vie politique, la convergence idéologique des principales familles partisanes, le déclin des formes conventionnelles de participation politique, etc. Plutôt que de fustiger le populisme et de voir en lui une menace pour la démocratie17, la question normative à se poser devient celle de son potentiel réel de démocratisation, eu égard au contexte d’émergence qui est le sien et aux stratégies qu’il développe.
La fin du « moment » populiste ?
... C’est probablement en France, où les accomplissements de ces mouvements ont jusqu’ici été moindres, que leur potentiel de mobilisation reste le plus intact.
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si les familles politiques traditionnelles sont si promptes à accuser l’hydre populiste, c’est probablement parce que cela leur permet de détourner l’attention du public de leur propre responsabilité dans la dégradation de la représentation démocratique, à bien des égards nettement plus manifeste et critiquable. Il faudra aussi se prémunir contre le label de respectabilité que le qualificatif « populiste » octroie à des partis néofascistes dont la seule vocation est de fournir l’option d’un virage autoritaire et nationaliste au projet néolibéral — car, convenons-en, c’est véritablement la dernière chose dont nous ayons besoin à l’heure actuelle. Cela ne devra pas pour autant nous conduire à surestimer le potentiel de ces mouvements populistes, tant qu’ils n’offrent pas de réponse globale et cohérente à la dégradation démocratique généralisée qui touche nos sociétés. Gageons au moins que, à partir d’une perspective plus informée, nous serons cette fois en mesure de cesser de voir le populisme partout, ce qui nous permettra de l’identifier, de l’analyser et de le critiquer quelque part.
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Noé François @Noe_Francois 6:20 PM · 14 juin 2020·- 1 Retweet
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Apprendre d’hier pour agir demain
« Au printemps 1943, trois ans après l’invasion de la France et la capitulation vichyste, des résistants s’élevaient contre l’envahisseur. Certes, contrairement au siècle dernier, nous ne sommes pas à proprement parler « en guerre ». Cependant, les analogies sont frappantes : les résistants d’aujourd’hui – qu’il s’agisse du personnel soignant, des artisans de la vie quotidienne ou des citoyens-militants – se battent.
Les années de Résistance pourraient donc nous inspirer pour nous conduire à la Libération. Dès lors, comment organiser ce changement ? Pour y réfléchir, les grands penseurs, artistes et figures militantes de notre pays (écrivains, sociologues, politiques, économistes, réalisateurs) se sont rassemblés dans un Conseil National de la Nouvelle Résistance.
Quelles activités doit-on développer, créer ou relocaliser ? Quels moyens pour former à de nouveaux comportements ? Chacun d’entre eux livre ici, en quelques pages, son analyse pour une société plus juste. Ensemble, ils lancent un nouvel « Appel pour des jours heureux » et réclament la mue d’un système périmé que nos dirigeants, dans leur obsession du profit, ont engendré. » (Claude Alphandéry, résistant)
Cet ouvrage contient une préface de Denis Robert et la contribution d’une quarantaine de personnalités.
Collectif : Claude Alphandéry, Sabrina Ali Benali, Ludivine Bantigny, Clotilde Bato, Anne Beaumanoir, Brigitte Boréale, François Boulo, Dominique Bourg, Juan Branco, Valérie Cabanes, Aymeric Caron, Hugues Charbonneau, Pauline Londeix et Jérôme Martin, Samuel Churin, Alain Damasio, Cyril Dion, Marc Eichinger, Bernard Friot, Bruno Gaccio, Caroline Guy, en collaboration avec Julien Le Provost et Héloïse Pierre, Yannick Kergoat, Philippine Leroy Beaulieu, Priscillia Ludosky, Virginie Martin, Florent Massot, Dominique Méda, Raymond Millot, Julie Moulier, Agnès Naudin, Fabrice Nicolino, Fatima Ouassak, Antoine Peillon, Benoît Piédallu, Thomas Piketty, Monique et Michel Pinçon-Charlot, Régis Portalez, Denis Robert, Coline Serreau, Pablo Servigne, Pacôme Thiellement, Marie Toussaint.
EXTRAITS
- Le Passage Par Caroline Guy, Julien le Provost et Héloïse Pierre ... choix de l’autonomie, du local et de l’éthique : nous avons monté un « Chatons ». La coopérative regroupe des serveurs qui nous permettent d’héberger quasiment tous nos services et besoins de communication !
Hébergement de sites Internet, cloud, protection digitale. Les réseaux sociaux que nous utilisons sont décentralisés : diaspora, mastodon et peertube. Pas de collecte de données personnelles chez nous ! - page 140 Yannick Kergoat est monteur et réalisateur. Il est membre de l’association Action-Critique-Médias. Il a coréalisé le film Les nouveaux chiens de garde.
- page 148 Finissons-en avec les inégalités sociales Par Priscillia Ludosky
- page 153 ... Qu’est-ce que la politique, quand elle se dit « neutre » idéologiquement, et profère dans cette affirmation un mensonge, visiblement. ... Virginie Martin est politologue et sociologue, professeure chercheuse à Kedge Business School. Elle est coprésidente du conseil scientifique de la Revue politique et
parlementaire. Elle a été créatrice et présidente du « Think tank different », laboratoire politique créé en 2012. Elle est par ailleurs auteure de plusieurs essais : Ce monde qui nous échappe, pour un universalisme des différences ; Talents gâchés, le coût social et économique des discriminations liées à l’origine (éditions de l’Aube, 2015); Toulon la noire : le Front national au pouvoir (Denoël, 1996). - page 158 ... Éditeur depuis plus de 35 ans (on lui doit notamment la publication de Baise-moi de Virginie Despentes), Florent Massot a lancé en 2017 Massot Éditions, dont la ligne éditoriale est d’accompagner le changement de société.
- page 160 Tirer vraiment les leçons de la crise sanitaire24 Par Dominique Méda
- page 164 Le jour d’après concerne-t-il nos enfants ? Par Raymond Millot ... se définit lui-même comme libertaire, féministe, internationaliste, autodidacte. Il a été charpentier, électricien, agent technique, instituteur (école expérimentale), conseiller pédagogique, coordinateur de la recherche-action (école ouverte/société éducatrice) à La Villeneuve de Grenoble. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels : Une voie communautaire ; Émancipation, avenir d’une utopie, et co-auteur de : À la recherche de l’école de demain ; Écoles en rupture ; Vivre à l’école en citoyen.
- page 174 Protéger et servir... deux mots qui font rêver Par Agnès Naudin Policier, c’est un rêve de gamine, que j’ai poursuivi malgré les embûches. Une intuition suivie depuis toujours qui a trouvé sa réalisation une fois le concours d’officier en poche. Dix ans après ? Je suis en disponibilité de la Police nationale. En disponibilité parce que je n’ai pas eu le courage de démissionner. Parce que je ne sais pas si j’arriverai à gagner ma vie autrement et que je dois nourrir mon fils que j’élève seule. Disponibilité parce qu’« au cas où », je pourrai toujours y retourner. Mais retourner où et pour quoi faire ? Revenir dans cet enfer ? Ces derniers mois m’ont permis de ne plus avoir peur, d’oser dire ce que je pense depuis que je suis entrée dans la police. ... Agnès Naudin est capitaine de police à la brigade territoriale de protection de la famille. Elle est l’autrice de plusieurs documents au Cherche-Midi comme Affaire de famille : immersion au sein de la brigade spéciale et Affaire d’ados.
- page 186 Luttons contre les violences policières, défendons nos libertés fondamentales Par Fatima Ouassak ... politologue, fondatrice du Réseau Classe/Genre/Race qui travaille sur des projets en lien avec les enjeux d’égalité et d’intersectionnalité et porte-parole du Front de mères, syndicat de parents des quartiers populaires. Elle est aussi l’auteure de La puissance des mères, pour un nouveau sujet révolutionnaire, à paraître prochainement aux éditions La Découverte.
- page 203 ... Antoine Peillon, grand reporter à La Croix, a travaillé, auparavant, pour de nombreux quotidiens et magazines. Son livre Ces 600 milliards qui manquent à la France. Enquête au cœur de l’évasion fiscale (Le Seuil, 2012) lui a valu le prix Éthique ANTICOR 2012 pour l’investigation). Il a aussi publié Corruption (Le Seuil, 2014), Résistance ! (Le Seuil, 2016), « Voter, c’est abdiquer ! ». Ranimons la
démocratie (Don Quichotte, 2017) et Cœur de boxeur. Le vrai combat de Christophe Dettinger (Les Liens qui
libèrent, 2019). - page 204 Crise du Covid-19 : la technopolice profite de la stratégie du choc Par Benoît Piédallu ... de la pandémie, personne à La Quadrature du Net n’avait imaginé à quel point elle nous forcerait à mobiliser nos forces. Mobilisé·es ... jours après le début du confinement officiel (le 17 mars), Orange a informé les médias que 17 % des Parisien·ne·s avaient quitté la capitale au début du confinement, ce que l’opérateur n’avait pu savoir qu’en utilisant des données de bornage de téléphones mobiles, pourtant non prévues à cette fin. Puis c’est la mise en place d’un système de traçage total de la population dont il a très ... Benoît Piédallu, membre et bénévole de La Quadrature du Net depuis 2011. Ingénieur en informatique et titulaire
d’un master 2 en Intelligence artificielle, il apporte son expertise technique aux sujets défendus par l’association. Ses thèmes de prédilection sont, parmi d’autres, les données personnelles et données de santé, l’intelligence artificielle, le fonctionnement technique d’Internet et la neutralité du Net, ou encore les outils de surveillance. - page 210 Après la crise, le temps de la monnaie verte59 Par Thomas Piketty
- page 214 Mai 2020, rendez-vous historique : que faire ? Par Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon
- page 224 Régis Portalez, Gilet jaune, est cofondateur de X-Alternative, groupe de polytechniciens attaché à la République Sociale.
- page 232 L’entraide, pour résister Par Pablo Servigne ... L’entraide comme récit ... autonomie ...
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Sabrina AliBenali @DrSabrinaaurora · 9h Téléchargement et impression gratuite 2 - 27 - 50
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du fil https://twitter.com/DrSabrinaaurora/status/1266104667454439424
Tribune - Temps de Lecture 2 min.
Les deux avocats Jean-Paul Teissonnière et Sylvie Topaloff dénoncent, dans une tribune au « Monde », l’archaïsme de la loi sur les accidents du travail de 1898 qui ne permet pas aujourd’hui de régler la dette à l’égard des victimes contaminées au travail.
Il y a plus d’un siècle à propos du débat sur la loi portant réparation des accidents du travail, le professeur Louis Josserand (1868-1941) rappelait l’impossible neutralité du droit.
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la mort, le 26 mars, d’Aïcha Issadounène, 52 ans, caissière au supermarché Carrefour de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) depuis trente ans, laisse ses proches dans une immense détresse. Un des effets de cette pandémie aura été que nous nous mettions à regarder avec reconnaissance et considération ces travailleurs autrefois invisibles. Au travers d’une juste indemnisation de ses enfants nous dirons que nous ne les abandonnons pas sur le bord du chemin une fois la crise surmontée.
Le Covid-19 est en train de produire un gigantesque accident du travail dont les conséquences en l’état actuel du droit échapperont à toute forme de régulation efficace.
Lire aussi : Coronavirus : pas de virus au bureau ni sur le bureau !
Accident du travail ? Mais comment démontrer la date de la contamination qui est une des clefs de la reconnaissance ?
Maladie professionnelle ? Mais la plupart n’atteindront pas le taux d’incapacité minimal de 25 % sans lequel la reconnaissance est impossible !
La suite est réservée aux abonnés.
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p11 is. Or, l’exploitation forestière a sur la production un effet dépressif, temporaire en cas d’éclaircie et de plusieurs décennies en cas de coupe rase. La neutralité n’est donc pas immédiate et il faut prendre en compte la perte de séquestration de carbone que les arbres auraient pu continuer à réaliser s’ils n’avaient pas été coupés (Pelletier, 2018 ; Sterman et al., 2018). Ces variations de flux de carbone doivent être intégrées dans les coefficients de substitution (Valade et al., 2017), mais ce n’est généralement pas le cas. De plus, les coefficients supposent souvent la neutralité du commerce extérieur et n’intègrent pas les pertes d’exploitation (Roux et al., 2017).
Il est donc impossible de considérer que la combustion de bois-énergie est climatiquement « neutre » comme il est souvent affirmé en France (MTES, 2018a) et parfois au-delà (EU, 2003). Ce principe de neutralité est d’ailleurs en pleine contradiction avec les déclarations annuelles d’émissions françaises à l’Union Européenne, où 20% proviennent de la combustion du bois.
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Pratiquer une sylviculture à couvert continu
Axe 2 : Préserver et augmenter les stocks dans les
produits-bois
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Conclusion
... La situation de libre évolution montre le meilleur potentiel d’atténuation entre 2020 et 2050, y compris en considérant les stocks de produits. Le scénario « extensif » optimise l’évolution des stocks dans l’écosystème, tandis que le scénario « intensif » optimise l’évolution des stocks dans les produits-bois ; ...
Laisser vieillir les arbres est non seulement une stratégie efficace pour atténuer les changements climatiques, mais aussi la meilleure option pour préserver la fertilité des sols, restaurer la biodiversité et redonner du sens aux métiers de la forêt et du bois en faisant le pari de la qualité.
Notre stratégie paye. Les 19 000 amendements que nous avons déposés ne sont pas de l’obstruction. Il sont un outil pour forcer un vrai débat à l’Assemblée sur le projet de réforme du gouvernement. Sans eux, de nombreux sujets n’auraient pas été dévoilés en commission spéciale. Vendredi après-midi, j’ai déclenché par une simple question un débat de deux heures qui en dit long sur le saut dans l’inconnu que représente la réforme pour des millions de français.
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la fabrication d’un indicateur n’est pas neutre
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Notre présence et notre bataille ligne par ligne contre le projet de loi a jeté la lumière sur cette entourloupe. Elle révèle l’ampleur des inconnues sur lesquelles repose cette réforme des retraites. La valeur du point n’est pas connue. Son évolution repose sur un indicateur inexistant. Sauf dans le cas, non défini, où le conseil d’administration du futur système en décide autrement. Nos amis belges, qui sont venus à bout d’un projet de réforme similaire ont bien raison : la retraite à points, c’est la retraite tombola.
Repris à https://www.youtube.com/watch?v=b6xTmL04YDQ
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RETRAITES : Ce revenu moyen par tête qui... n'existe pas ! - •11 févr. 2020 / JEAN-LUC MÉLENCHON
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Lors de la tenue de la commission spéciale retraites de l'Assemblée nationale du vendredi 7 février 2020, Jean-Luc Mélenchon a levé un lièvre de taille ! La valeur du point de la retraite voulue par Macron sera définie par un indicateur... qui n'existe pas encore ! Il s'agit du « revenu moyen par tête » qui devra être défini par l'INSEE mais validé par un décret en conseil d'État, le tout devant aussi servir pour définir l'équilibre financier du nouveau régime de retraite. Un imbroglio complet mis au jour par Jean-Luc Mélenchon et les insoumis.
Catégorie Actualités et politique 387 commentaires
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... produit des résultats très positifs dans les dix territoires d’expérimentation. Le bilan intermédiaire du fonds national d’expérimentation le démontre d’ailleurs. http://etcld.fr/wp-content/uploads/2019/09/190926_ETCLD_bilan_LowRes.pdf
Ce sont plus de 850 personnes qui ont été embauchées dans les entreprises créées (EBE). Elles avaient en moyenne une durée de chômage de 54 mois et plus de 20% sont des travailleurs handicapés. 350 personnes ont retrouvé par ailleurs un emploi sans passer par les EBE. Quatre des dix territoires sont déjà quasiment à l’exhaustivité. Nous avons désormais une reconnaissance internationale à travers les premiers résultats de l’expérimentation et la Belgique va également expérimenter le projet.
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Près d’une centaine de territoires sont déjà prêts et attendent, avec les personnes privées d’emploi, la deuxième loi pour se lancer. Ils ont déjà identifié les activités à developer dans les territoires.
Mais c’est sans compter sur la langueur instaurée, voire le sabotage orchestré, depuis le Ministère du Travail.
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Acte 8 : Le 18 octobre au matin, nous découvrons avec Louis Gallois une tribune torchon de l’économiste Pierre Cahuc dans Les Échos. Il attaque l’expérimentation avec des chiffres faux et laissant penser qu’ils viennent des évaluations. C’est extrêmement choquant car Pierre Cahuc a un devoir de neutralité en tant que membre du conseil d’évaluation scientifique. Il est très proche de certains acteurs du Ministère du Travail pour avoir co-écrit « L’apprentissage » avec Marc Ferracci, « conseiller spécial » de Murielle Pénicaud. Nous avions également rencontré ce conseiller dont l’accueil avait été glacial.
Repris par https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?J_fUOQ
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En sortant du cadre les experts de la construction, Walt Disney pouvait enfin faire vivre à tout ses visiteurs (petits et grands), une journée magique.
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Expérience = émotions
Je ne referais pas toute la démonstration mais une expérience c’est avant tout émotionnel. Et quand je parle d’émotion, je ne parle pas de ce que vit l’utilisateur face à l’absence de frictions ou la simplicité d’usage. Non là, c’est juste ne rien ressentir parce que ça semble normal. C’est neutre.
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De l’intuitif avant tout
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l’UX Design (incluant la démarche centrée utilisateur) suit au mot près la méthodologie de l’ergonomie : Analyser, recueillir des données, optimiser et mesurer.
Ça ne peut pas être qu’un hasard. J’en ai déjà suffisamment parlé dans d’autres articles mais le design tel qu’il est produit aujourd’hui, n’a pas été formalisé par des designers. C’est une vue d’ingénieur, de scientifique et donc par déclinaison d’ergonome.
On est bien loin, du travail des Imagineers de chez Disney. A-t-on vraiment raison d’appeler un UX designer, un designer d’expérience dans ce cas ? Je n’ai pas l’impression.
L’UX designer ne produit pas de l’expérience mais de l’ergonomie. Et il suffit de voir les attentes des clients quand nous sommes en mission pour nous en rendre compte. Il n’est pas question de faire rire, pleurer, bondir de joie les gens mais de leur retirer une épine du pied ou améliorer la performance pour l’entreprise.
Finalement ne serions-nous que des super ergonomes ?
Written by Rémi Garcia
Designer d’expérience un peu rebelle, passionné d’éducation, touche-à-tout, illustrateur et auteur à ses heures perdues. Geek dans la vraie vie.
Connu / https://twitter.com/DesignSinking/status/1224337424572129280
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Jacky Foucher @DesignSinking · 4h
Sans cesse chercher à fluidifier l'expérience plutôt que proposer des moments de vie. La fuite en avant de "l'UX"...
Bien bel article de @remigarcia
Heureusement, il y reste des "Imagineers"... #Thread
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https://medium.com/@remigarcia/o%C3%B9-se-cache-lexp%C3%A9rience-5e563959360a
.#Design #UXDesign Où se cache l’expérience ?
Le design d’expérience tel qu’il est pratiqué aujourd’hui n’est que de l’ergonomie gonflée aux stéroïdes.
medium.com
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Les jusqu'au-boutistes sont au gouvernement ! (Retraites) / •29 janv. 2020 / FRANÇOIS RUFFIN
15 120 vues - 1,7 k - 20 - 103 k abonnés
Le "contrat social" est menacé pour les décennies à venir, par des amateurs. C'est pas nous qui le disons, les méchants de l'opposition, mais le très neutre Conseil d'État.
Catégorie Actualités et politique 326 commentaires
Sur des rails
... est neutre, par exemple en lui trouvant des garants. Mais le site Internet "granddebat.fr", censé permettre de le nourrir ou d'y contribuer en ligne, montre d'inquiétants symptômes de macronisme aigu.
"Adopter une posture de neutralité vis-à-vis des participants, ne pas prendre parti pour tel ou tel raisonnement, proposition ou avis". La charte du grand débat national lancé par Emmanuel Macron pour répondre à la crise des gilets jaunes est très claire : les discussions doivent être ouvertes et aucun biais idéologique ne doit venir les orienter. Sauf que la navigation sur le site Internet mis en place par le gouvernement pour encadrer le débat (granddebat.fr), ou y contribuer en ligne, donne l'impression que cette promesse est un vœu pieu, tant les rails qui sont déroulés sur la plateforme, à coups de questionnaires et de fiches, paraissent étroits… ... leur lecture laisse un léger goût de propagande. La plus importante, concernant "la fiscalité et les dépenses publiques", étincelle qui a mis le feu aux gilets jaunes, brosse ainsi un tableau très orienté. Voici par exemple son "diagnostic" de la situation qui fait l'ouverture sur trois pages : la France, y apprend-on dans les passages mis en valeur en gras, connaît "le niveau de dépense publique le plus élevé des pays développés lorsqu’il est rapporté au produit intérieur brut (PIB)", "le taux de prélèvements obligatoires (y) est en hausse constante depuis 50 ans et est aujourd’hui le plus élevé des pays riches" et, "sur 1000 euros de dépenses publiques, l’ensemble des dépenses relatives à l’Assemblée nationale, au Sénat et au Gouvernement représente 1 euro" (tableau détaillé à l'appui). Boum. ... un parfait résumé de la doxa libérale visant à "libérer les énergies", qui a justifié un an de politique économique macroniste. Les hypothèses d'une relance de la croissance, d'une remise en question de la règle européenne des 3% de déficit ou encore de dispositifs protectionnistes sont passées sous silence. ... s'il n'a pas encore compris la nécessité absolue de réduire les impôts, doit répondre à une question bien orientée : "Quels impôts faudrait-il, prioritairement, réduire davantage ?". ... la piste du rétablissement de l'ISF n'est évidemment pas soulevée. ... le gouvernement semble se soucier davantage de prendre le pouls du peuple que de débattre avec lui.
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Texte de la vidéo à télécharger ici mooc.jardiniersdunous.org/?WikiAdmin/download&file=Introduction_de_la_mthode_des_6_chapeaux__CcileCarceles.pdf dont
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Contribution : Cécile Carceles, Romain Vignes - Licence CC By SA
... issue du travail effectué par le docteur DeBono. Dans les années 1980, le Docteur DeBono a constaté que l'élaboration de la pensée - que ce soit seul ou en groupe se fait en mélangeant différents modes de pensée ... la "pensée spaghetti" ...
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3 idées clefs. - regrouper les différents façons de pensée
utile à un projet en 6 catégories, 6 modes de pensée, chacun représenté par un chapeau de couleur. - tous les membres du groupe travaille dans un mode de pensée à la fois. Ex. évaluation des risques - Une séance de travail est structurée par l'ordre d'utilisation des chapeaux. Ainsi en fonction de la nature de notre travail collectif, la séquence des 6 chapeaux sera différente.
bleu = organiser ; Chapeau blanc: c'est le chapeau de la neutralité. L'espace où nous énonçons les faits, sans interprétations ou jugements. Vert = créativité ; Noir = risques ; jaune = bénéfices ; rouge = intuition ... outil de réflexion pour amener les éléments d'aide à la décision ++
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Ndlr : reste à pondérer ces critères à la main ou à l'aide d'un logiciel comme DESKRIPTOR...
Territoires à énergie positive @ReseauTEPOS · 3h
Claude GRIVEL, Président @AssoUnadel
: Tout ce qui permet de faire du lien (animation, ingénierie) sur les territoires est favorable à la mise en mouvement collective. Construisons, renforçons les fondations du faire ensemble ! #TEPOS2019
Julien Delalande @JulienDelalande
En réponse à @ReseauTEPOS et @AssoUnadel
"faire du lien" : merci d'ajouter #ÉTHIQUE car quel lien plus FORT que le lien MAFIEUX ?
MERCI
#Lien #QuestionDuLien #ÉthiqueDuLien => un tiers médiateur indépendant, impartial, SANS POUVOIRS, maîtrisant le neutre sinon #InjonctionDuLien