/ Observatoire des libertés associatives
« Batailles d’eau » (2/6). Les mobilisations citoyennes de défense de l’eau s’inscrivent dans une longue histoire politique, affirme l’hydrobiologiste et militant, dans un entretien au « Monde ». Il raconte comment, dans les années 1980, la bataille contre l’aménagement de la Loire a transformé la gestion du fleuve.
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Connu / TG le 24/07/24 à 17:36
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Les autres prises de positions des acteurs de la société civile organisée
Connue / https://x.com/lemouvementasso/status/1802793380839141781
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Le Mouvement associatif @lemouvementasso · 17 juin
📣💥 Dans @TribuneDimanche , @lemouvementasso et +4️⃣0️⃣0️⃣ #associations et #ESS alertent sur la #menace que représente l’#extrêmedroite pour l’action associative et citoyenne, et donc pour l’ensemble des habitantes et habitantes
Et si l’Open Data nous permettait de réinventer le pouvoir politique face aux géants de la tech’ ? 🗳️
S03.E08 - Laure Lucchesi, ex Dir. d'Etalab (services du Premier ministre) et cofondatrice de Give & Tech
Etalab est le département du Premier ministre chargé de l’innovation et de la transformation numérique du service public et de l’action publique, grâce aux données.
Laure en a été la directrice pendant 7 ans, ce qui lui donne un recul précieux pour nous aider à comprendre quelle place l'open data peut jouer dans la construction d'un numérique AU SERVICE de l'émancipation citoyenne, au-delà du contrôle des Big Tech...
📌 Ex- Chief Data & IA Officer, LaureLucchesi a 25 ans d'expérience de la transformation digitale et data/IA dans les secteurs public et privé (medias, telecoms, banque et services financiers) en France, aux USA, en Inde et en Afrique. Cela en fait l'invitée idéale pour aborder les questions suivantes :
• Que pèse l’open data vs. la mise en données du monde par les acteurs privés ?
• La fameuse “transformation digitale” est-elle avant tout un enjeu public ?
• En quoi l’open data contribuerait-elle à une société plus démocratique ?
🎙️ Punchlines :
• Avec Etalab on a contribué à construire une administration plus ouverte, plus "dialoguante"
• L'open data stimule la démocratie en donnant du pouvoir d'agir.
• L'open data c'est la Déclaration des Droits de l'Homme à l'heure d'Internet.
🎬 SOMMAIRE DE L’ÉPISODE
avec comme toujours, 🍴 2 chroniques inspirantes à snacker : 00:00 / Intro et accueil
03:56 / 1 – De la Silicon Valley à l’innovation publique
18:43 / 🍴 Débats en Technocratie, de Virginie Matins de Nobrega : « En ligne comme Hors ligne »
21:36 / 2 – Le numérique sauvera-t-il le service public ?
34:28 / 🍴 Patch Tech, de Fabienne Billat : « Sora, d’OpenAi »
37:50 / 3 – Données libres pour société plus éclairée
59:40 / Débrief & Conclusion
📖 les sources citées dans l’épisode :
La France, 1ère place sur l’open data en Europe (2023)
Le site data.gouv.fr pour trouver pleeeeein de données publiques françaises
Le site de Give & Tech, la nouvelle aventure de Laure Lucchesi
Transcrit à https://www.librealire.org/open-data-les-donnees-au-secours-de-la-democratie
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Personne·s Laure Lucchesi Fabienne Billat Cyrille Chaudoit Mick Levy Thibaut le Masne Virginie Martins de Nobrega
Thèmes Open Data / Données libres et ouvertes État et administrations Internet
Type d’action Conférence
Type de publication Audio
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Un golf de 18 trous doit bientôt sortir de terre, dans ce département où la pluie se laisse désirer depuis près de trois ans. À l’horizon, un vaste terrain vide, où des terrassements ont déjà débuté
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Connu / TG le 14/03/24 à 12:02
Collectif des Associations Citoyennes
#associations #marchandisation #marchandisationdesassociations
Article mis en ligne le 16 mars 2024
dernière modification le 14 mars 2024
MARCHANDISATION ET FINANCIARISATION DES ASSOCIATIONS
Décryptage d’un processus
Coordonné par Marianne Langlet du Collectif des associations citoyennes
Synthèse :
La création de l’observatoire citoyen de la marchandisation des associations répond à un besoin : comprendre les logiques de marché qui traversent les associations pour pouvoir mieux défendre l’un des socles associatifs : la non-lucrativité entendue comme l’absence de marchandisation d’espaces, de liens, de soins, de relations, de culture,
d’éducation qui jusqu’alors échappaient aux logiques de marché, aux impératifs de rentabilité.
Ce premier rapport vise à décrire le paysage associatif dans ce contexte de marchandisation. Qu’entendons-nous par ce terme ? Comment s’articule-t-il avec les constats d’instrumentalisation, de managérialisation et de mise à mal des libertés associatives que constatent nombre d’acteurs associatifs ?
Depuis les années 1980 et l’arrivée du New public management, l’État s’imprègne de logiques venues du privé lucratif qui s’imposent aux services publics et aux associations. La politique européenne construite sur une économie libérale pousse également les associations à se percevoir comme des entreprises.
Faire plus avec moins, appliquer des impératifs de performance, mettre les associations en concurrence via les appels à projet ou appels d’offre devient la règle. La commande publique prend le pas sur la subvention et autorise l’entrée dans des secteurs jusqu’alors préservés de sociétés privées lucratives.
Certaines associations s’inscrivent dans cette nouvelle vision et revendiquent un statut d’entrepreneuriat social. Alors que le système économique actuel fait face à des critiques de plus en plus fortes des mouvements citoyens, ces nouveaux entrepreneurs assurent vouloir changer le monde. Ils portent le récit d’un sauvetage des pauvres et de la planète par le marché. Ils maintiennent se faisant une vision de l’économie axée sur l’impératif de croissance qui aujourd’hui se heurte aux réalités d’un monde qui, pour faire face aux enjeux sociaux et écologiques majeurs, doit revenir dans des cadres socialement et écologiquement soutenables.
Ce discours trouve toute sa force avec la notion d’investissement à impact social qui assure pouvoir faire le bien et du profit en même temps. En France, cette approche prend appui sur un pouvoir en place acquis à cette vision. Cet appui permet de développer notamment les contrats à impact social qui transforment des projets associatifs en produits d’investissements financiers. La France est devenue, derrière l’Angleterre, le pays européen leader en nombre de ces contrats.
Les contrats à impact engagent plusieurs acteurs :
un investisseur privé, une association, l’État ou une collectivité territoriale qui signent, accompagnés par un structurateur, un contrat cadre définissant pour l’association des indicateurs de résultats, des mesures d’impact social à atteindre. Ces indicateurs seront ensuite évalués par un évaluateur indépendant, si les mesures d’impact social sont atteintes, alors l’État ou la collectivité territoriale rembourse l’intégralité du projet (structurateur et évaluateur compris) avec des taux d’intérêt qui peuvent aller jusqu’à 6% en France, beaucoup plus à l’étranger.
Nous proposons un tableau qui recense tous les contrats actuellement signés ou en cours de signature en France et présentons quelques exemples de contrats. D’autres formes d’investissement à impact existent : fonds à impact social, prêts à impact social, contrats à impact de développement.
En parallèle, les entreprises revendiquent des impacts sociaux et écologiques positifs et s’inscrivent comme entreprise à mission, entreprise à impact ou startup à impact avec pour effet un flou grandissant entre ce qui relève de l’entreprise ou de l’association. Le modèle du Social business porté par Muhammad Yunus semble l’apogée de cette disparition des frontières entre entreprise et association.
Le modèle de l’investissement à impact repose sur la notion de mesure d’impact social ou écologique.
Cette notion vient supplanter celle d’utilité sociale, voire d’intérêt général qui guidait jusqu’alors les pratiques d’évaluation des associations. Cette transformation marque un changement profond des pratiques associatives et de ses modes de financement pour aller vers un paiement aux résultats, voire une financiarisation des associations transformées en produit d’investissement financier.
Notre rapport vise à revenir dans une première partie sur le processus de marchandisation des associations pour tenter de dégager les grandes lignes qui le définissent. Une deuxième partie plongera plus spécifiquement sur ce que nous nommons un processus de financiarisation qui augure d’un nouveau type de financement associatif qu’il nous semble urgent de décrypter. Dans ce travail, le sens des mots est essentiel, nous avons émaillé ce rapport de propositions de définition sur certains mots clés, pour en partager notre compréhension.
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ont participé à la réalisation de ce rapport : Martin Bobel, Isabelle Boyer, Sylvain Celle, Michel Chauvière, Eric Denoyelle, Jean-Baptiste Jobard, Luc de Larminat, Jean-Louis Laville, Jean-Michel Lucas, Nicole Picquart, Olivier Picot, Maël Pousset, Gilles Rouby, Pierre Smet, Marion Studer.
Graphisme et Mise en page : Marie-Pierre Mouisset
EXTRAITS SIGNIFICATIFS DU RAPPORT
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Postface à plusieurs voix
Les chapitres auxquels vous avez échappés ou ceux que vous voudriez ajouter
Ce rapport n’est qu’une première marche d’un travail de l’observatoire inscrit dans la durée. Chaque partie de ce rapport pourrait faire l’objet de développement et d’approfondissement. Beaucoup de sujets connexes ou liés sont passés sous silence. Si nous en faisions une liste à la Prévert nous y trouverions : la question de la place des fondations dans ces processus, l’incarnation de la marchandisation et de la financiarisation dans chaque secteur associatif, la place des grandes organisations non gouvernementales... Et vous, quels chapitres viendrez-vous ajouter ? En attendant votre contribution, (qui pourra trouver place sur notre site) nous avons déjà reçu quelques textes pour éclairer ce rapport ou ouvrir de futurs champs de travail.
Qu’est-ce que la chalandisation ? Par Michel Chauvière (1)
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(1) Directeur de recherche émérite au CNRS, CERSA, université Paris 2.
(2) Michel Chauvière, Trop de gestion tue le social. Essai sur une discrète chalandisation, Paris, La Découverte, 2007, seconde édition complétée 2010.
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(3) Henry Joël, Chauvière Michel, « Quel statut pour les services sociaux dans l’union européenne ? Arguments pour des services sociaux non économiques d’intérêt général », RDSS, Revue de Droit Sanitaire et Social, n°6, novembre-décembre2011, pp. 1043-1058 (traduction : “ Public policy standards and regulations. The status of social services in the European union. The case for non-economic social services of general interest ”, pour diffusion dans les instances européennes concernées).
Le contrat à impact social : erreur et faute Par Jean-Michel Lucas (1)
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(1) Membre fondateur du laboratoire de transition vers les droits culturels,
(2) Rapport de Frédéric Lavenir « Pour un développement du contrat à impact social au service des politiques publiques » p. 9, publié par le Haut Commissariat à l’économie sociale et solidaire et à l’innovation sociale, 30 juin 2019.
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Le contrat à impact social organise la disparition de la personne•••
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(6) Rapport Cazenave : « Propositions pour le développement des contrats à impact en France ». Janvier 2022. https://bit.ly/3R3o300
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L’obsession comptable fait oublier que l’être humain est un être de conscience, de sensibilité et de récits qui se raconte des histoires et qui en raconte aux autres. •••
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(7) On reconnaîtra dans cette expression « exprimer son humanité » la définition même de ce qu’est la culture pour le corpus des droits humains fondamentaux (voir par exemple : Jean-Michel Lucas https://bit.ly/3kLMu60
(8) Joseph Wresinski, « Culture et grande pauvreté » voir https://bit.ly/3wsWDax
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(9) Axel Honneth : Le droit de la liberté : esquisse d’une éthicité démocratique, NRF.
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Caractéristiques et effets du néolibéralisme Par Jean-Louis Laville et Anne Salmon
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Connu / https://diaspora-fr.org/posts/10064089
Ndlr : confirme TOTALEMENT mes hypothèses : l'ESS a été canibalisée par l'État néolibéralisé.
Guide GreenVoice : Engager largement autour de votre lutte
Votre lutte est cruciale pour le vivant et le climat, pourtant il est difficile de la faire émerger ? Nous sommes là pour vous accompagner avec GreenVoice.
Connu / TG le 21/11/23 à 09:31
Il y a 50 ans, était publié en 1972 le Rapport Meadows commissionné par le Club de Rome. En 2022, est publié le Nouveau Rapport du Club de Rome qui alerte sur la montée des inégalités et préconise de nouveaux indicateurs pour nos sociétés, davantage basés sur le bien-être.
Le club de Rome est au départ un groupe de réflexion mêlant scientifiques, économistes, industriels et anciens politiques de 52 pays. Il est initié à sa création par Aurelio Peccei, un italien membre du conseil d’administration de Fiat et Alexander King, l‘ancien directeur scientifique de l’OCDE.
En 1972, des jeunes scientifiques du Massachusetts Intitute of Technology (MIT) commissionnés par le club de Rome rédigent « Les limites à la croissance ». C'est la première fois que sont établis les effets délétères sur le plan humain et écologique d'une croissance exponentielle dans un monde aux limites planétaires.
En 2022, c'est une équipe internationale de scientifiques, d’économistes et d’experts pluridisciplinaires qui a exploré pendant deux ans les possibilités de créer des mondes alternatifs. Le Nouveau rapport du Club de Rome, Earth for All envisage deux scénarios : le « trop peu, trop tard » et le « pas de géant ».
Un plan d’actions en 5 changements de cap primordiaux (appelés extraordinaires) :
- Mettre fin à la pauvreté
- S’attaquer aux inégalités flagrantes
- Emanciper les femmes
- Assainir notre système alimentaire au bénéfice de la santé humaine, animale et celle des écosystèmes
- Opérer une transition vers les énergies propres
Les grandes lignes de ce nouveau rapport pointe du doigt les inégalités, la nécessité de reformer le système financier international pour éliminer les risques et révolutionner les investissements dans les pays à faible revenu et préconise l’instauration de Fond citoyens nationaux qui distribuent un « dividende universel de base », une innovation politique clé pour combattre l’inégalité et protéger les populations des perturbations économiques inévitables.
On en parle avec Sandrine Dixson Declève, co-présidente du Club de Rome co-autrice de « Earth for All / Terre pour tous, le Nouveau rapport du Club de Rome » chez Actes Sud éditions
Documents ressources :
Un nouveau rapport au Club de Rome : Earth for All, guide de survie pour l'humanité par Institut Momentum
Dennis Meadows : « Il faut mettre fin à la croissance incontrôlée, le cancer de la société » (Le Monde)
Chroniques Camille passe au vert Le pénal pour Total ? Le groupe Total Energies est visé par une plainte pour « abstention de prévenir un sinistre » et « homicide involontaire » en particulier. La démarche est inédite, c’est la première fois que la justice pénale est saisie.
Clés : Environnement Écologie Biodiversité
L'équipe Mathieu Vidard, Production Valérie Ayestaray, Réalisation Camille Crosnier, Journaliste Chantal Le Montagner, Chargé(é) de programme Lucie Sarfaty, Chargé(é) de programme Anna Massardier, Attaché(e) de production Joelle Levert, Attaché(e) de production Suzanne Pacaud, Stagiaire
Tr.: ... revenir vers un dialogue avec les citoyens ... catalyser une transition juste ... 2 grosses crises ... un accord pour bannir l'utilisation des énergies fossiles ...
Soutenance de thèse Virginie Boelen | 26 Octobre 2021 - 7 janv. 2022 / Centr'ERE
371 abonnés - 25+ - 1 943 vues - 0 commentaire
Virginie Boelen, chargée de cours et candidate au doctorat à la Faculté des sciences de l’éducation de l’UQAM, a soutenu sa thèse : « Éducation, nature et spiritualité : développement d’un modèle éducationnel holistique », le mardi 26 octobre 2021, à l’Université du Québec à Montréal (UQAM).
Jury d'évaluation :
Madame Lucie Sauvé, professeure associée au Département de didactique de l’Université du Québec à Montréal
Madame Geneviève Messier, professeure au Département de didactique de l’Université du Québec à Montréal
Madame Christiane Gohier, professeure associée au CRIFPE-UQ à l'Université du Québec à Montréal
Madame Diane Léger, professeure au Département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Rimouski
Monsieur Marc Boutet, professeur au Département d’enseignement au préscolaire et au primaire de l’Université de Sherbrooke
Plus de détails : https://centrere.uqam.ca/quoi-de-neuf/avis-de-soutenance-de-la-these-en-ere-de-virginie-boelen-26-octobre-2021-a-9h30/
Centr'ERE
Terminer >4:42 ACT
Résumés Français English
Après avoir soulevé la présence de deux approches épistémologiques contrastées du vivant en éducation, soit l’approche scientifique positiviste dominante et l’approche holistique, cet article propose une réflexion sur la pertinence de privilégier la seconde approche, plus spécifiquement dans le cadre d’une éducation relative à l’environnement. Une telle approche intègre de façon transversale une composante fondamentale de notre humanité, souvent mal comprise : il s’agit de la dimension spirituelle, dont nous tenterons de cerner les contours. Laisser place à la subjectivité de l’apprenant dans son rapport au vivant est de nature à susciter chez celui-ci le développement d’une éthique du lien et de la reliance. Il importe par cette voie de contribuer à la conscientisation et à l’émancipation du sujet face aux conditionnements culturels qui entretiennent la crise écologique, et de promouvoir ainsi une mobilisation écocitoyenne soucieuse de la communauté du vivant.
Mots-clés : éducation au vivant, éducation relative à l’environnement, éducation holistique, transversalité, spiritualité, subjectivité, reliance, pensée critique, mobilisation écocitoyenne
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Référence électronique
Virginie Boelen, « Réflexion sur une approche holistique d’éducation au vivant intégrant la dimension spirituelle du sujet », Éducation relative à l'environnement [En ligne], Volume 15 - 2 | 2020, mis en ligne le 15 novembre 2020, consulté le 06 septembre 2023
Auteur Virginie Boelen
est candidate au doctorat en éducation et assistante de recherche au Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté de l’Université du Québec à Montréal. Elle est fondatrice des ateliers L’Arbre de Vie, ateliers multidisciplinaires depuis 2009, dont elle enseigne la pédagogie aux animateurs du Centre Écologique de Port-au-Saumon (Québec) depuis 2017. Ces ateliers favorisent la reliance à travers le rapport esthétique à la nature selon une approche holistique.
Le débat du 7/10
Thème du jour : "Rentrée politique : la France traverse-t-elle une crise d'autorité ?" Débatteuses :
- Ayyam Sureau Philosophe, fondatrice et directrice de l'Association Pierre Claver
- Marie Dosé Avocate au barreau de Paris
clés : Politique Vie citoyenne
L'équipe Production Nicolas Demorand, Léa Salamé
tr.: ... sobriété... boutade de Surcouf "chacun se bat pour ce qu'il lui manque" ... "qu'est-ce que l'autorité" de Hanna Arendt ... notre répMablique ancrée dans la rupture ... l'autorité est inégalitaire ...
Marie Dosé /... droits / devoirs ... il n'y a pas de devoirs naturels et imprescriptibles ... obsession de l'ancien régime ... le pdt de la république garant de la constitution ... c'est une demande de répression ... donc autoritarisme ... démonstration puissante d'une carence de l'autorité ... le préfet du val d'oise se vante ... mensonge ... scénarisation nourrit ce que l'opinion publique charrie de pire ... prééminence du droit sur les devoirs ... là c'est de la vengeance ... responsabiliser les parents est de l'ordre de l'autorité privée ... tyrannie de la majorité ... tout irait mieux si pas de médiations ...
familles dans l'impuissance, pas dans l'indifférence ...
/ abayas ... l'école doit être tenue à l'écart de la politique ... c'est du folklore pas du religieux ... le culturel frôle le cultuel ... attend de voir comment va se décliner en droit ...
101 abonnés - 17+ - 373 vues - Vendredi 16 Juin
Devant la Chambre d'agriculture de la Vienne : une pièce de théâtre pour dénoncer la vente par la SAFER à la société Agro team d'une exploitation de 2100 hectares.
Connu / TG le 20/06/23 à 12:08
Créé il y a plus de dix ans à l’initiative de l’agrobiologiste et philosophe Pierre Rabhi, Colibris est un mouvement qui accompagne la transition des citoyens vers une société plus écologique et humaniste. Plus que jamais nous œuvrons, avec d’autres, à la construction de modes de vie et d’activités plus sobres pour des territoires plus résilients. Convaincus que la transition de la société est nourrie par la transformation individuelle, le changement humain est au cœur de notre raison d’être.
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Ndlr : si accompagnement et médiation reposent sur la mêmethéorie, le Mvt Colibris est AUSSI médiateur ? Questionner ACT
👉 Télécharger le plan des Colibris -> https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?9S-Taw
Une feuille de route citoyenne, politique, alternative et coopérative, construite autour de 6 enjeux majeurs :
- L’économie
Pour une économie remise à sa place : au service de l'intérêt général, c'est à dire à la fois du bien-être, de l'autonomie et de la liberté des êtres humains, et de la restauration des écosystèmes. - L’agriculture
à manger pour tous, sans endommager la nature, ni la santé et sans compromettre la liberté et la capacité des populations à se nourrir par elles-mêmes. Assurer sécurité, salubrité et autonomie alimentaire pour tous, durablement. - L’éducation
Accompagner chaque être humain dans la découverte de lui-même (de ses aptitudes, de ses talents), des autres (vie sociale, règles...) et lui transmettre les savoirs et connaissances dont il aura besoin pour s'épanouir dans la société et relever les défis du siècle. - L’énergie
L'accès à l'énergie pour tous avec la plus grande autonomie possible sans mettre en péril les équilibres naturels (température du globe, biodiversité, ressources naturelles) ni la santé humaine. - L’habitat
Inventer d’autres manière d’habiter la terre plus conviviales et respectueuse des écosystèmes. - La démocratie
Une véritable démocratie, garantissant que les décisions politiques sont toujours conformes à l'intérêt général, aux équilibres écologiques et sont l'émanation d'une vraie volonté populaire, élaborée à travers de nombreux, intenses et authentiques débats entre les membres de la société.
Ndlr : sans le mot "climat" supposément compris dans"température du globe" ??
By: Annie Vital On: 20 janvier 2022 16:20 In: Plaidoyer With: 1 Comment
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les monnaies locales doivent protéger les liens entre les personnes, dit autrement être citoyennes.
- Pour une recension du livre de Jean-Michel Servet, on peut consulter : Sophie Swaton, « Aux origines de la monnaie », La Vie des idées , 5 décembre 2012. ISSN : 2105-3030. URL : https://laviedesidees.fr/Aux-origines-de-la-monnaie.html.
- « L’usage de la fiction du troc dans de nombreuses analyses économiques signale l’ambivalence du statut de la monnaie : insignifiante pour elle-même, mais incontournable en pratique. Les économistes définissent généralement la monnaie par ses trois fonctions et débattent de la réduction de son utilité à la fonction d’intermédiaire des échanges. Le déplacement du regard sur la nature sociale de la monnaie met au jour une autre forme d’utilité : la monnaie serait à la fois produit et productrice de relations sociales, symptôme et médium du lien social entre les individus. » Grosgeorge Marie, Martin Gilles, « La monnaie est-elle utile ? », Idées économiques et sociales, 2015/4 (N° 182), p. 35-42. URL : https://www.cairn.info/revue-idees-economiques-et-sociales-2015-4-page-35.htm
Le mythe du troc / France culture
Avant la monnaie, il y avait le troc. Si cette phrase, ...
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Notes et Références
↑1 Pierre Rimbert, 2008, Les élites, la crise et le macaroni de Mauss. Le monde diplomatique N°653 Août 2008.
↑2 Conférence de Jean-Michel Servet à Romans le 17/04/2013.
↑3 Adam Smith, Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations, Livre IV, ch. 2, 1776 ; d’après réédition, éd. Flammarion, 1991, tome II pp. 42-43.
↑4 André Orléan, 2001, La monnaie entre économie et anthropologie http://jda.revues.org/2538 le 05 08 2012.
↑5 François Flahault, Le paradoxe de Robinson, Mille et une nuits, 2005.
↑6 Karl Polanyi, Le sophisme économiciste in Revue du Mauss n° 29. Premier semestre 2007.
↑7 Karl Polanyi, Essais, 2008, textes réunis par Cangiani Michèle et Maucourant Jérôme, Seuil. p.17.
↑8 Jacques T. Godbout, 2000, L’esprit du don, éd La découverte/poche p. 25.
↑9 Bruno Théret, Les trois états de la monnaie. Approche pluridisciplinaire du fait monétaire, Revue économique, 2008/4, vol. 59, p. 813-841.
↑10 Karl Polanyi, Essais, 2008, textes réunis par Michèle Cangiani et Jérôme Maucourant, Seuil. p.25 « il ne peut exister de véritable économie de marché sans société de marché […qui] est une forme spécifique d’organisation sociale ».
↑11 op.cit. note 18.
↑12 Jean-Michel Servet, 2012, Les monnaies du lien. Presses universitaires de Lyon.
↑13 Alain Testart, 2001, Aux origines de la monnaie Paris Errance cité dans Annie Vital Décroissance de l’argent, monnaies de la décroissance in Michel Lepesant (coord.), L’antiproductivisme un défi pour la gauche Parangon 2013.
↑14 Jean-Michel Servet, 1993, L’institution monétaire de la société selon Karl Polanyi, Revue économique, vol. 44, n° 6, p. 1127-1150
↑15 Conférence de Jean-Michel Servet du 17.04.2013 à Romans-Sur-Isère.
↑16 op.cit. note 25.
↑17 Conférence de Jean-Michel Servet le 29/ 05/2013 à Romans sur Isère.
2022-01-20
La vidéo de ce programme sera bientôt disponible
Image
DOCUMENTAIRE duration 55 minutes - Disponible du 1 octobre 2021 au 30 septembre 2026
La légende du colibri pour sauver la planète ? Ils n'y croient pas forcément... Pourtant, ils ont décidé de bouleverser leur vie pour l'appliquer : ils ont quitté leur emploi et en font aujourd'hui leur activité principale !
Au moment où les sondages décrivent des citoyens désintéressés par les affaires publiques, rejetant la politique, Alexandra Neyroud, Xavier Murard et Alice Bigorgne font de la politique par l'action. Leur crédo : agir plutôt que d'attendre que le changement vienne des décideurs. Face au défi majeur de l'époque, la lutte contre le dérèglement climatique, ils ouvrent une autre voie.
De la Méditerranée à l'Atlantique, Xavier ancien océanographe est devenu sentinelle de la mer, entraînant avec lui des pêcheurs pour ramasser les plastiques en mer. Alexandra pédale elle dans les rues de Bordeaux, afin que nos déchets soient source de vie. Dans le nord, Alice s'est érigée en reine du vrac, entrainant avec elle des porte-paroles entendus dans les ministères.
Leurs initiatives peuvent-elle inspirer le pouvoir ? Quel est leur rapport à la classe politique ? Que révèle cette nouvelle forme de citoyenneté ? A travers un regard tendre et personnel, la journaliste et réalisatrice Céline Crespy les a suivis pas à pas dans leur projet pendant près d'un an. Voyage chez des Français ordinaires qui font de la politique autrement.
Connu / TG le 22/04/23 à 23:03
Connu / TG le 22/03/23 à 18:09
Dans la plaine d’Aunis, des taux alarmants de pesticides, un foyer épidémique de cancers infantiles et l’inaction du gouvernement ont ...
Connu / TG le 14/02/23 à 13:54