Le cours du TrumpCoin, le 20 janvier 2025, un cryptoactif lancé à la gloire du président Donald Trump ©AFP - Beata Zawrzel / NurPhoto
Cryptos, intelligence artificielle... Sommes-nous à l'aube d'un nouveau monde ? - Publié le samedi 25 janvier 2025 / On n'arrête pas l'éco
Annonce d'un projet d'IA à 500 milliards, ambition d'une réserve stratégique en bitcoins... Les premiers jours du second mandat de Donald Trump ont été faite d'annonces tonitruantes. Ce samedi, une émission de débat, reportage et décryptage, consacrée au monde dérégulé qui pourrait se dessiner.
Avec
- Alexandre Stachtchenko Cofondateur de la startup Blockchain Partner et président de l'association Chaintech
- Gregory Raymond Cofondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, média spécialisé dans le web3.
L'entretien
Un enlèvement digne d'un blockbuster hollywoodien sauf que rien de ce qui est arrivé à David Balland n'est fictionnel. Le cofondateur de l'entreprise de cryptomonnaie Ledger a été enlevé mardi matin, puis libéré le lendemain par le GIGN et hospitalisé pour un doigt sectionné. Son épouse, enlevée également, a été libérée ce jeudi.
Le motif : une demande de rançon de plusieurs millions d'euros en cryptomonnaie. Le secteur des cryptos a révélé cette semaine une face sombre qui fait écho à d'autres récentes histoires d'enlèvements et d'extorsion de fonds. Les professionnels de la tech sont-ils les nouvelles cibles des malfaiteurs ? Pourquoi les transferts d'argent via des cryptos ne sont-ils pas soumis à la même transparence que pour la finance classique ? La démocratisation des cryptoactifs et des cryptomonnaies est-elle envisageable malgré son coût écologique ?
Ce samedi, Alexandra Bensaid reçoit Alexandre Stachtchenko, directeur de la stratégie de la plateforme d'échange de cryptomonnaies Paymium, et Grégory Raymond, co-fondateur et directeur de la recherche du média spécialisé The Big Whale.
Le débat
Trump et ses décrets : nouvelle doctrine et nouvelle ère ? - 2 min
Son investiture n'a pas même une semaine mais le monde avait les yeux rivés sur ses moindres faits et gestes. Des décrets signés à la chaîne jusqu'à son discours au sommet annuel de Davos jeudi soir, Donald Trump compte bien changer l'ordre mondial. Un changement de paradigme marqué par des décisions déjà radicales et passionnées, illustrant le bouleversement étatique, moral et sociétal amorcé en seulement quelques jours. Avec ou contre lui, les Etats se positionnent petit à petit : Poutine dit être prêt à des négociations avec son homologue américain, le frère d'Elon Musk a rencontré hier Giorgia Meloni en Italie.
Alors que Donald Trump fait l'actualité de l'économie, dans quel ère entrons-nous ? Quelle est la réponse européenne ? Est-ce que 2025 signera la fin de la mondialisation ? On ouvre le débat avec Béatrice Mathieu, grand reporter à L'Express, et Anne-Laure Delatte, directrice de recherche au CNRS.
À écouter
Patrice Geoffron : "Trump donne le sentiment qu'il est possible d'entrer et de sortir facilement des accords"
L'invité de 6h20 - 5 min
Le reportage
2025, l'année du grand saut pour les cryptos ? - 8 min
Dans la famille des cryptoactifs, ces jetons numériques au taux instable, le président des Etats-Unis a le sien. A son effigie dans une posture héroïque, l’Official Trump ou $Trump est un même un « memecoin » : il est représenté virtuellement par un mème. S'il n'a aucune utilité et une valeur qui ne repose que sur l'actualité américaine, ce cryptoactif participe pourtant d'une euphorie bien réelle… largement entretenue par Donald Trump qui promet au secteur des règles et des lois plus favorables.
Croissance, souveraineté… Est-ce que l'année 2025 sera celle des cryptoactifs ? Qui sont les français qui détiennent et utilisent des cryptomonnaies ? Notre reporter Mathilde Dehimi a participé à une réunion mensuelle sur les cryptos, en plein cœur de Paris.
À écouter
Bitcoin à 100 mille dollars, Trump rend la monnaie
Le 18/20 · Un jour dans le monde
35 min
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Clés : Économie Société Tech – Web Cryptomonnaies Donald Trump Forum de Davos Croissance économique Accord de Paris - COP 21
L'équipe Alexandra Bensaid, Production Céline Illa, Réalisation Hélène Bizieau, Réalisation Valentin Pérez, Production déléguée Joseph Hascal, Attaché(e) de production Béatrice Mathieu, Journaliste Christian Chavagneux, Journaliste Mathilde Dehimi, Journaliste Anne-Laure Delatte, Chronique
Tr.: ...
spéculation ... on peut tout tracer sur la blockchain ... bitcoin ... TrumpCoin, népotisme, conflit d'intérêt ...
« Je n’ai jamais vu une situation pareille en 24 ans de barreau »
Quand Pascal, agent technique chez Total demande le paiement de ses heures sup’, il est mis à la porte. Il conteste son licenciement aux prud’hommes où il est débouté par un ancien cadre… de Total élu aux prud’hommes.
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En appel, les magistrats vont donner entièrement raison à Pascal. La cour juge en 2022 son licenciement sans cause réelle et sérieuse. L’entreprise est condamnée à lui verser 51.000 euros de dommages et intérêts à ce titre, 4.000 euros au titre du non-respect des durées maximales de travail et minimales de repos, 8.000 euros au titre de l’obligation de loyauté et 3.600 euros au titre du remboursement de ses frais de justice.
Pascal, contacté par l’intermédiaire de son avocat Pierre Santi, a indiqué avoir « tourné la page et ne [plus souhaiter] revenir sur cette affaire ».
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Cause commune avec le mouvement des agriculteurs - 25.01.2024 / Melenchon.fr
La mobilisation actuelle des agriculteurs me vaut des questions posées en mode privé par de nombreux amis dans l’expectative.
Il est frappant de voir de quel soutien bénéficie le mouvement dans l’opinion. Mais la récupération de la parole publique sur les chaines d’info, pour réclamer « moins de normes » en agriculture crée du doute chez mes interlocuteurs. Car souvent, ils expriment à leur manière la demande inverse, par exemple contre la diffusion de l’empoisonnement par le glyphosate et les autres pesticides. Sans oublier la dernière décision de l’Union européenne « libérant » de toute contrainte la propagation des OGM. Bref l’opinion générale a bien intégré les exigences écologiques qui s’imposent de façon vitale à notre époque. Mais à mon avis c’est justement sur ce point que se trouve actuellement l’opportunité politique la plus grande avec le mouvement paysan contrairement à la crainte qui peut s’exprimer.
Commençons par le plus simple. Les agriculteurs demandent à être payés suffisamment pour vivre dignement de leur travail. Comment le monde salarial pourrait-il contester une telle revendication ? Ne formule-t-il pas exactement la même pour lui ? Plus de 8 français sur 10 partagent ce ras-le-bol d’un monde où tout augmente, de l’essence à l’électricité, sauf les salaires. Le mouvement actuel contribue donc directement à la diffusion de l’exigence du juste partage qui est à la racine de la pensée insoumise en économie.
Il faut bien comprendre qu’une telle aspiration ne se résume pas à une question de survie. Elle touche plus profond. C’est l’exigence de reprendre le contrôle sur son existence. La misère, l’impasse économique sont vécues à juste titre comme des confiscation de soi, des soumissions à des contraintes injustes imposées de force. Ici est en jeu un fondamental des processus de révolutions citoyennes partout dans le monde. Le mouvement des gilets jaunes avait la même racine : reprendre le contrôle de son existence. Revendication moderne s’il en est.
Mais cela n’est pas la seule conjonction à observer. Il y a des raisons très profondes de soutenir et même de prendre appui sur le mouvement paysan pour porter et faire avancer très loin des objectifs généraux de grande portée en matière d’idéal de société. Nous sommes dans l’ère des mouvements opposés aux aspects fondamentaux du libéralisme. Au-delà des apparences il faut savoir le discerner pour construire du futur collectiviste. Le libre-échange, la « concurrence libre et non faussée », le marché en tout et pour tout sont ici mis en cause de plein fouet avec les mots simples de la vie quotidienne d’un double point de vue autant écologique que social. Les deux dimensions fusionnent en un processus unique dans cette mobilisation au-delà des mots, des postures, des modes d’action.
Les campagnes se vident à force de maltraitances sociales contre la partie la plus menacée du monde agricole soumis délibérément à la concurrence sauvage du marché mondial pour ses productions. La population totale des agriculteurs a été réduite à quatre cent mille personnes, 1,5 % de la population active…. Ce nombre s’interprète mieux par comparaison du nombre des autres catégories de population, quand on est dans un pays qui compte par exemple trois millions d’étudiants. Le retour à une agriculture vivrière, produisant les fruits et légumes dont nous avons besoin (pour ne citer que cela), est une urgence. La relocalisation de ces productions de fruits et légumes est le moyen essentiel d’une politique d’exigence sanitaire. Mais aussi une question de souveraineté et de sécurité des approvisionnements. Car en période de risque de guerre généralisée et de coupure des chaînes d’approvisionnement mondialisées (on l’a vu pendant l’épidémie de Covid-19) notre sécurité collective passe aussi par notre souveraineté alimentaire. Cela nécessite une classe agricole assez expérimentée et nombreuse pour être capable de porter cette bifurcation de la production. Liquider le monde paysan actuel comme le font les politiques européennes néolibérales est un contre sens.
Pourtant la politique néolibérale en cours y conduit directement. Le lobby agro-industriel n’y voit que des avantages. La libre disposition d’espaces arables immenses dédiés aux productions vers le marché mondial et complètement intégrée au commerce et la finance mondiale est la « révolution verte » dont le lobby agroalimentaire a besoin. L’Union européenne y travaille sans trêve. Ce n’est donc pas un hasard si le mouvement paysan est en cours sur tout le territoire de l’Union. Les gouvernements français ont laissé faire comme ils l’ont déjà fait pour l’industrie. Parce que cela coïncide avec les intérêts de la finance qui domine tous les secteurs d’activité aujourd’hui.
L’Union européenne aggrave volontairement la situation. Elle prépare une catastrophe supplémentaire avec l’adhésion prévue de l’Ukraine à l’Union européenne. Nous y sommes déjà opposés pour protéger les salariés de nos pays. En effet ils seraient soumis à une compétition salariale insupportable quand on sait que le SMIC ukrainien est de moins de 150 euros mensuels. Il en irait de même aussi brutalement dans l’agriculture. Les coûts de production sont déjà trois à cinq fois moindre qu’ici. On a déjà une assez ample expérience des résultats de ce contraste. Le miel de là-bas sort à 3,50 euros, contre 6 euros en France. On consomme donc davantage de miel importé que de miel des terroirs locaux. L’apiculture en déroute vide la population active des zones qu’elle anime. Depuis l’ouverture du marché à leur volaille, la consommation de celle-ci a été multipliée par cinq en France, au détriment des productions locales. Avec le système actuel de la politique agricole commune l’Ukraine absorberait une énorme part des subventions agricoles européennes pourtant financées d’abord par la France.
Le fléau de la politique libérale européenne rapproche donc de fait dans un combat commun possible, salariés des villes et des champs. Une convergence tout à fait décisive est possible entre les deux non seulement dans la situation présente mais dans des revendications communes sur le fond du projet de société. Le libéralisme n’a aucune réponse positive possible face à la demande des agriculteurs. Au contraire. La logique du libre-échange promet de nouvelles concurrences, et donc de nouvelles baisses des rémunérations.
À l’inverse, seule la politique de désobéissance européenne prônée par les Insoumis ouvre une issue. Dommage que les partis de centre gauche de la NUPES y aient renoncé et brisé l’union pour cela. Ils l’avaient pourtant adoptée dans le programme partagé de l’Union populaire. Il faut comprendre l’ampleur de cette idée. Elle crée un contexte. Cela commence déjà par le changement des objectifs de production agricole. Pour nous la production vivrière doit avoir la priorité. Je viens de le rappeler. Mais cet objectif ne peut pas être dissocié des mesures qui l’accompagnent nécessairement. Je parle ici de la « clause de sauvegarde sanitaire » mise en avant dans nos rangs par Aurélie Trouvé députée insoumise ingénieure agronome. La relocalisation de l’agriculture vivrière est le premier moyen dont nous disposons pour pratiquer une politique intense de prévention sanitaire contre la marée de pesticides, et des autres raisons de dégradation de la santé des populations. Aucune marchandise agricole ne pourrait être vendue en France si elle n’est pas conforme aux normes sanitaires que fixerait notre pays.
Ainsi, on voit que la lutte « contre les normes » portée par l’agrobusiness libéral serait le contraire de ce qu’il faut faire. Sans norme sanitaire, pas de protectionnisme sanitaire possible. Et surtout ce protectionnisme sanitaire ne pourrait plus s’adosser sur les normes et règles internationales qui le rendent possible et légal. Les agriculteurs se tireraient une balle dans le pied s’ils suivaient les revendications des libéraux en agriculture. Cela les conduirait au contraire de leurs objectifs. Et ils se couperaient de surcroit du monde des familles qui ne veulent plus subir la loi des consommations actuellement imposées par l’agroalimentaire. Le principal dirigeant du syndicalisme agricole dominant étant lui-même un dirigeant de l’agroalimentaire, il illustre certes l’évolution constante depuis des années des élites dirigeantes du monde agricole. Sur ce point, dans une autre profession, on parlerait de conflit d’intérêts. Car l’agro-alimentaire a une responsabilité non négligeable dans la détresse actuelle des agriculteurs. Cette industrie a augmenté de plus de 50 % ses marges de profit. Elle porte la responsabilité quasi-totale de l’inflation sans cause du prix de l’alimentation. Et cela se paie sans discussion possible à un bout de la chaîne sur le dos des producteurs, et à l’autre bout sur celui des consommateurs.
Ce lien qui unit la politique agricole des Insoumis et les revendications du monde paysan, a été magnifiquement établi par la proposition de loi défendue par Manuel Bompard, député insoumis des Bouches-du-Rhône et coordinateur de notre Mouvement. Il avait fait adopter avec le groupe parlementaire insoumis à la majorité de l’Assemblée nationale deux mesures directement impliquées dans le dénouement possible de la crise actuelle. C’est le blocage des marges de profit de l’agroalimentaire, d’une part, et la fixation de prix planchers pour les produits agricoles, d’autre part. La majorité obtenue sur ce plan en novembre au cours de notre niche parlementaire était un événement dont nous avons beaucoup parlé à l’époque. Comme on le sait pour finir, il a manqué six voix pour le vote final de cette loi. Les macronistes et LR avaient remobilisé leurs députés pour voter contre nous. Mais l’absence des leaders de la « gauche d’avant », comme Fabien Roussel du PCF, par exemple, avait permis à cette manœuvre d’aboutir.
Dans la lutte actuelle la Confédération paysanne joue un rôle positif ou elle cherche à faire le lien entre les revendications écologiques et sociales. On voit alors comment une bataille de cause commune est possible unifiant la population. A l’inverse du corporatisme affiché par le syndicat dominant qui ne tient aucun compte des demandes de la société dans son ensemble en réclamant l’abolition des normes anti-pesticides ou des restrictions des gaspillages de l’eau, ou l’extension des zones d’épandage de produits contestés par exemple. Mais si l’on met de côté ces demandes qui ne font nullement l’unanimité, on peut dire que du point de vue des objectifs comme du point de vue des moyens gouvernementaux pour régler les problèmes, il peut n’y avoir aucune contradiction entre les revendications du mouvement social agricole actuel et notre programme écologique et social. La question d’actualité posée au gouvernement par Mathilde Hignet député insoumise en a fait la démonstration. Dans ces conditions, le moment est donc bien celui où faire cause commune avec le mouvement des agriculteurs et construire une convergence citoyenne.
Ensuite, le mouvement agricole a permis de faire une démonstration politique de masse. On se souvient des accusations « d’écoterrorisme » contre les militants et la tentative de dissolution des « Soulèvements de la terre » à propos des bassines ! Ici, rien de semblable. Le gouvernement, les médias, les chroniqueurs ne pipent mot. Donc le mouvement des agriculteurs a fait reculer les appels à la violence policière et judiciaire habituels du pouvoir macroniste comme on les avait constatés face aux Gilets jaunes et aux révoltes urbaines. Tout le monde voit des autoroutes bloquées, un bâtiment public explosé, des voies de chemin de fer comme l’accès à une centrale nucléaire bloqués, des arbres coupés. Ni les médias ni les responsables politiques « n’appellent au calme ». Ainsi la raison et le droit à la dignité des gens commencent à être prioritaires dans la parole publique pour régler une crise. Ou bien faudrait croire que les donneurs de leçons de morale d’hier, leurs leçons, la classe médiatique qui les a relayés sans limite et qui se tait à présent, est faite de manipulateurs sans vergogne. Faisons le pari de croire à leur bonne foi et à leur compréhension désormais de la vigoureuse stratégie de la conflictualité portée par les agriculteurs. D’ailleurs le pouvoir macroniste recommande publiquement « la plus extrême modération » à la police. Comment ne pas approuver cette consigne. Personne ne doit être abattu pour « refus d’obtempérer ». Pas d’œil crevé non plus, pas de comparution immédiate, pas de recommandations pour condamner à de la prison ferme. Comme je l’avais fait avec mes camarades à l’époque des révoltes urbaines, il faut faire triompher d’abord la justice sociale si l’on veut retrouver la concorde civile.
Nous allons voir à présent comment le Waouuuu super Premier ministre va faire face au problème grâce à son jeune âge et ses talents de communicants déjà mille fois célébrés par les médias enamourés. Macron ferait bien de se préparer à trouver une idée de « grand débat » supplémentaire ou des « chèques survie agricole » selon son inépuisable habitude des pratiques cosmétiques. Mais ce temps-là est passé, je crois bien. Et je m’en réjouis. Le pays regarde et réfléchit. Il finira par comprendre ce que veut dire le libéralisme, la concurrence « libre et non faussée », le libre échange sans règles sanitaires, l’élargissement sans fin de l’Union européenne et la financiarisation de l’agriculture : le chaos. Un ordre nouveau est à construire et il peut faire un avenir en commun pour notre pays.
Connue / https://twitter.com/JLMelenchon/status/1750483102814629917
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Jean-Luc Mélenchon @JLMelenchon
La CGT voit juste. La convergence est possible et nécessaire avec la lutte des agriculteurs. Un front écologique et social peut s'exprimer. Voir ma note de blog.
12:37 PM · 25 janv. 2024 · 97,4 k vues
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2,41 M d’abonnés - 2k+ - 389 894 vues - 333 commentaires
C’est une zone ultra-surveillée aux pieds des Alpes. Pour "Pièces à conviction", Ghislaine Buffard a réussi à se rendre, après plusieurs passages à des check-points aux allures militaires, dans cet endroit hyper-sécurisé : le chantier du gigantesque tunnel Lyon-Turin. Grâce à 57 kilomètres de voies creusées sous le massif alpin pour les trains, le tunnel doit relier la France à l’Italie à grande vitesse. Une centaine de soldats sont déployés sur le site 24 heures sur 24 depuis que des opposants ont voulu investir l’endroit.
En Italie, les opposants ont déclaré la guerre au chantier. Côté français, le consensus a prévalu pendant longtemps. Mais voilà, son coût estimé entre 26 et 30 milliards d’euros commence à faire polémique. Personne ne sait aujourd’hui où trouver les milliards du Lyon-Turin. Pourtant, même sans financement, les travaux ont déjà commencé.
Connue / https://theconversation.com/lyon-turin-retour-sur-lopposition-francaise-au-projet-de-nouvelle-ligne-ferroviaire-207501 i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?hINdZQ
Tr.: ... Hubert Du Mesnil dirige TELT ... Mr ?? Besson, maire de Chambéry et ministre des transports ... Alain Bonnafous, chercheur au Laboratoire d'Économie des Transports ... Le Comité pour la Transalpine, son DG Bruno Chiaverini ...François Lépine, vice-pdt ... lobbying composé de 10aine d'entreprises dont Bouygues Travaux Publics, BTP Savoie, la FNTP Rhône-Alpes (Fédération Nationale de Travaux Publics) (qui regroupe plus de 1000 sociétés dont Vinci et Eifage Eiffage?), BNP Paribas, etc ... les intérêts privés côtoient les intérêts publics. Le Conseil Régional Rhône-Alpes subventionne la Transalpine à hauteur de 200 000 €/an ... pour l'emploi selon Éliane Giraud, vice-pdte du Conseil Régional déléguée aux Transports ... 9 députés ont voté contre contre comme le député de Savoie Dominique Dord, maire d'Aix-les-Bains (LR) en s'appuyant sur un rapport de la Cour des Comptes le coût devrait dépasser 30 milliards d'€ ... Michèle Rivasi, députée européenne EELV ... Michel Destot député de l'Isère PS, financement mixte (prêt de l'état, taxe camionneurs), Alain Vidalis, secrétaire d'État chargé des Transports PS, ... même "succès" que celui de l'écotaxe ?
Le front judiciaire ... conflit d'intérêts ... audit par Tractebel Engineering, filiale de GDF Suez qui a déjà travaillé par deux fois sur le projet Lyon-Turin ... alerte à l'union Européenne ... le client est Hubert Du Mesnil, patron de TELT ... dossier porté à l'OLAF ... En Italie plusieurs appels d'offre ont été truqués ... Alberto Perino, opposant italien ... sous-traitants de barrières par la mafia ... la livraison du tunel est prévue en 2030. Avec 26 milliards d'€ on pourrait construire 300 hôpitaux, 1200 collèges, ou encore 2000 maisons de retraite...
Ndlr : Emissions : Pièces à conviction - de M6 ???
Connu / TG du 8/11/22 à 9:54
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🔴💸 SCANDALE ! Agnès Pannier-Runacher, la Ministre de la Transition énergétique, n'a jamais déclaré être liée à une société pétrolière détenant plus de 1 million d’€ dans des paradis fiscaux.
Phobie administrative ? Notre groupe exige des explications !
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Gauches ; Gouvernement ; Législatives 2022 ; Macron
On a une nouvelle première ministre ! Et oui, première car c’est Elisabeth Borne, deuxième femme de l’histoire de la 5e République à être cheffe de gouvernement. Quel progrès social ? Ah, c’est un non évènement me direz vous ? Et oui l’évènement ce n’est pas son genre, car nommer une femme devrait être normal et non la une de l’actu ; alors nous on va se pencher sur la politique qu’Elisabeth Borne va mener, ou continuer de mener.
On a quand même quelques indices, d’ailleurs Mediapart ou encore Frustration magazine ont retracé son parcours : la première ministre était ministre du travail depuis 2020, mais a été également ministre de la transition écologique de 2019 à 2020 et encore avant, ministre des transports de 2017 à 2019. Elle a été aussi, directrice de cabinet de la ministre de l’écologie Ségolène Royal entre 2014 et 2015. C’est à ce titre qu’elle a d’ailleurs mené des négociations qui se sont avérées largement favorables aux sociétés privées dans le cadre du renouvellement des concessions d’autoroutes comme l’a révélé le journaliste Benoît Collombat dans une enquête de Radio France. Enquête qui nous apprend au passage que Borne a été directrice des concessions autoroutières pour la société Eiffage de 2007 à 2008… On l’a vu à l’oeuvre ensuite : réforme de la SNCF avec ouverture à la concurrence du transport ferroviaire de 2017 à 2019, soutien de la réforme assurance-chômage dès 2020, lancée par sa précédecesseuse Murielle Pénicaud ; il y a eu aussi la loi d’orientation sur les mobilités pour les vélos et transports en commun et en parallèle un refus d’interdire les vols intérieurs au bénéfice de ligne de trains grande vitesse ; également il y a eu la reprise de la loi énergie et climat à partir de 2019.
Des exemples on pourrait en citer beaucoup, tant ses responsabilités ont été nombreuses. Un autre, expliqué par Médiapart : En février 2020, alors ministre de l’écologie, Elisabeth Borne annonce que les inspections annuelles de sites classés vont augmenter de 50 % d’ici à 2022 après la catastrophe Lubrizol. Mais en septembre, le gouvernement dépose le projet de la loi ASAP (« Accélération et simplification de l’action publique ») qui assouplit les obligations faites aux industriels pour leurs sites les plus dangereux. D’une autre part, Elisabeth Borne règle le dossier EuropaCity, ce mégacentre de loisirs et de commerces qui devait être construit sur les terres agricoles du triangle de Gonesse, qui se solde par l’abandon du projet, mais sans abandonner la ligne 17 du Grand Paris qui passerait par ces terres. Bref, beaucoup pointent un bilan ressemblant au “en même temps présidentiel”. Donc on va essayer de comprendre ça avec Thomas.
Le programme de la nouvelle union populaire écologique et sociale, la NUPES, a été dévoilé jeudi dernier. Social, emplois, écologie, partage des richesses, services publics, justice, égalité, international et Union Européenne : ce sont pas moins de 650 propositions pour une alternative au système en place. Il y a 30 propositions en nuance, c’est-à-dire où les partis dans l’union je le rappelle PCF, EELV, LFI et PS n’ont pas trouvé un accord total et seront discutées à l’Assemblée si l’union accède à la majorité, notamment sur les thèmes de l’Europe, l’Otan, le nucléaire, mais aussi la chasse ou les nationalisations. Nous dans tout cela, on a décidé de vous expliquer 2 volets où les discours se multiplient de part et d’autre, d’abord, l’Europe, l’Union Européenne, où on entend tout et son contraire…
Sur l’Europe donc, la NUPES écrit “partager l’objectif commun de mettre fin au cours libéral et productiviste de l’Union européenne (…), même si nos histoires avec la construction européenne diffèrent. La France insoumise et le Parti communiste français sont héritiers du non de gauche au Traité constitutionnel européen en 2005, le Parti socialiste est attaché à la construction européenne et ses acquis, dont il est un acteur clé, et Europe Écologie-Les Verts est historiquement favorable à la construction d’une Europe fédérale.” Fin de citation.
Par contre, pour arriver à cette UE souhaitée, “il faudra être prêts à ne pas respecter certaines règles” écrit la NUPES. Alors ça sera désobéir pour les uns, déroger de manière transitoire pour les autres. “Ce n’est pas un objectif politique en soi mais un outil : de nombreux États y ont déjà eu recours comme l’Allemagne pour éviter la mise en concurrence du secteur de l’eau, une coalition d’États pour interdire les OGM, ou l’Espagne pour intervenir face à la flambée des prix de l’énergie. Cela ne peut se faire que dans le respect de l’Etat de droit.” fermer la citation.
Est-ce possible de désobéir, dans cette forme, est-ce que ça marche, pourquoi, quels risques ? Est-ce que c’est sortir de l’Europe comme avancent certains ?
Autre point qu’on a décidé d’aborder aujourd’hui, et pas des moindres, le partage des richesses et justice fiscale, alors je vais vous présenter quelques propositions mais ce n’est pas du tout exhaustif au vu du nombre. Donc le programme assume des mesures fortes face aux entreprises comme la relocalisation, la réindustrialisation, le conditionnement des aides aux entreprises au respect de critères environnementaux et sociaux ; renégocier le cadre de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et le placer sous l’égide de l’ONU…
Autre volet, revenir sur les privatisations et défendre l’outil industriel national avec par exemple : renationaliser des aéroports ou les autoroutes Élargir le droit de réquisition de l’État pour les usines et entreprises d’intérêt général en cas de nécessité Décréter un moratoire sur les partenariats publics-privés Interdire les licenciements économiques par les entreprises qui versent des dividendes ou recevant des aides publiques.
Autre grosse proposition : créer un pôle public bancaire grâce à la socialisation de certaines banques généralistes, qui réorientera le crédit vers la bifurcation écologique et sociale de la France et financera les très petites, petites et moyennes entreprises sur des critères sociaux et environnementaux.
Ou encore, définanciariser l’économie réelle, refuser le chantage à la dette publique, ou faire la révolution fiscale.
Il y a encore beaucoup de choses mais, Thomas nous aide à comprendre ce projet fiscal et si les arguments que cela ferait fuire les entreprises créatrices d’emplois ou encore que tout cela détruirait l’économie sont réels ou non.
Les chercheurs sont incités à intégrer des notions comme l’intelligence artificielle ou le « big data » dans leurs travaux, notamment pour décrocher des financements. Ils et elles sont de plus en plus nombreux à dénoncer cette « injonction numérique » souvent mise au service d’intérêts économiques, mais il est difficile d’y résister.
amishcienfuegos #teaminsoumis mastodon @franfan a retweeté
Résistance FI (Je me lève et je me casse! ) @lab58 · 13 mai
Thread 2 affaires LREM. J'ai comme une envie de montrer que les LREM sont des salopards... Je commence, le député LREM Stéphane Trompille condamné pour harcèlement sexuel.
lepoint.fr
Le député LREM Stéphane Trompille condamné pour harcèlement sexuel
Le député de l'Ain a été condamné aux prud'hommes pour harcèlement sexuel et licenciement nul d'une ancienne collaboratrice, chargée de sa communication.
139 - 1700 - 1200
...
comptes de campagne truqués - Conflit d'intérêt - harcèlement sexuel - viol - usurpation de bien - omission de déclaration - emploi fictif - non respect des règle de concurrence - complicité de détournement de fonds publics - fraude à des concours publics - faux diplomes - etc à RÉPERTORIER ACT
Dr. Gonzo @DocteurGonzo4
#Thread En mars, Véran a distribué dans les hôpitaux cet anticorps de synthèse inefficace et non-autorisé par l’EMA.
La semaine dernière, la firme Eli Lilly a finalement retiré sa demande d’autorisation à l’EMA...
8:23 AM · 13 nov. 2021·- 1 471 Retweets 135 Tweets cités 1 576 J'aime
Rappel : les anticorps monoclonaux sont des anticorps de synthèse fabriqués à partir d’animaux transgéniques (souris, lapins chèvres... génétiquement modifiés) qu’on tue pour récupérer leur sang
Ces produits sont évidemment brevetés et vendus à prix d’or. https://google.fr/amp/s/sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2700369-anticorps-monoclonaux-c-est-quoi-covid-19-effets-secondaires-france-indication-has-ronapreve-ema-1636730595.amphtml/
Janvier 2021. Le bamlanivimab est en essai clinique de phase 2. Le laboratoire Eli Lilly publie une étude dans le JAMA montrant que ce produit n’a pas montré d’efficacité contre le Covid. Les auteurs insistent sur le caractère "exploratoire" de leurs données.
Dans la même étude, les auteurs ont testé le bamlanivimab en association avec un autre anticorps monoclonal, l’etesevimab, et ont noté cette fois une baisse de la charge virale, sans pour autant confirmer l’efficacité clinique
jamanetwork.com
Effect of Bamlanivimab Alone vs With Etesevimab on Viral Load in Patients With Mild to Moderate...
This randomized clinical trial compares the effects of 3 doses of bamlanivimab monotherapy (700 vs 2800 vs 7000 mg) vs combination bamlanivimab and etesevimab vs placebo on change in day 11 severe...
En outre, selon l’étude, le bamlanivimab est susceptible de favoriser l'apparition de mutations sur le virus en résistance au traitement : des variants. Sa prescription constitue donc un risque collectif non négligeable surtout si on base la stratégie sanitaire sur la vaccination
Contre toute attente, le 12 février, sous la pression du pouvoir, le bamlanivimab (seul) reçoit de la part de l’@ansm une autorisation spéciale (ATUc)
C’est le 1er traitement contre le Covid autorisé en France
L'ANSM justifie son choix de la façon suivante : elle espère un bénéfice "sur la base (...) des données préliminaires" de l'étude de phase 2 (alors qu’aucune donnée ne permet d’espérer quoi que ce soit) et invoque « l'urgence sanitaire ».
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Dr. Gonzo @DocteurGonzo4 · 19 août
Que vaut l’expertise de l’ANSM ? Dépakine | L’ANSM est poursuivie depuis 2016 dans le cadre de l’affaire de la Dépakine (près de 3000 enfants malformés) pour « tromperie aggravée » et « blessures involontaires »
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Le 22 février, un protocole d'utilisation du bamlanivimab (seul) ouvre le traitement aux personnes de 80 ans et +
Quelques jours + tard, le protocole est remanié en catastrophe. Les patients doivent être hospitalisés 10 jours plutôt qu’un, afin de vérifier l’absence de variant.
Le 27 février, après avoir enjoint les médecins hospitaliers à prescrire le bamlanivimab aux 80 ans et +, le ministère de la santé, via la DGS, prend ses précautions :
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Florian Zores @FZores · 27 févr.
Debut de rétropédalage (aka un "erratum") sur le bamlanivimab dans le DGS-urgent du jour.
En gros, "prenez vos responsabilités, on s'en lave les mains"
Je rappelle qu'en l'état de données publiées, ce traitement n'a montré aucune efficacité
Le 16 mars, l’@ansm publie une nouvelle ATUc permettant l’administration de la combinaison bamlanivimab/etesivimab, produit par Eli Lily (2000€ la dose), et la combinaison casirivimab/imdevimab (Ronapreve) du laboratoire Roche (1700€ la dose).
Véran vantait alors le fait que 83 centres hospitaliers avaient déjà reçu des milliers de doses de bamlanivimab (et que des « dizaines de milliers » ont été commandé)
Il rappelait simplement que ce produit devait être « administré avec prudence » Tête qui explose On croit rêver.
Fin Mars 2021, on pouvait même observer cette scène hallucinante : Véran vendre ces produits présumés inefficaces et non-autorisés par l’EMA comme un VRP de l’industrie pharmaceutique, sans aucune données scientifiques à l’appui.
Vidéo intégrée
Chez @franceinfo, @MathieuMolimard, du CHU de Bordeaux, déclare : « Le bamlanivimab est l'hydroxychloroquine du riche. Nous n'avons pas d'élément de preuve que ce produit ait un effet qui justifie sa prescription. On a l’impression d’assister à la mort de l’évaluation clinique »
Il ajoute : « Les médecins ont constaté l'absence "de décroissance de la charge virale" lors des essais. Le bamlanivimab ne permet donc pas de réduire la quantité de virus chez les patients. » https://google.fr/amp/s/www.liberation.fr/societe/sante/covid-19-bamlanivimab-un-traitement-qui-enthousiasme-veran-mais-divise-les-experts-20210302_WYKN5UMHEBBERBTLFGIBBKDRX4/%3foutputType=amp
Et selon le @hcsp_fr (23 mars) : https://hcsp.fr/Explore.cgi/Telecharger?NomFichier=hcspa20210323_corethtoetanmoacdu.pdf
Macron & Véran ont donc distribué pendant des mois dans nos hôpitaux un médicament que toute la communauté scientifique déclarait inefficace
Ils auraient commandé au moins 85000 doses. La dose étant vendue 2000€ le coût total pour le seul bamlanivimab est de 170 millions€ min.
En avril, sur 10 des 18 CHU contactés par le média Industrie et Technologies, seuls 4 ont confirmé utiliser ces traitements.
On constate donc une pression du pouvoir d’Etat pour prescrire ces produits douteux pendant qu’une majorité de médecins refuse de les prescrire.
Pourquoi Macron & Véran ont organisé une fraude d’une telle ampleur (plusieurs centaines de millions d’argent public tout de même) ?
En tout cas, même @franceinfo à relevé une situation de conflit d’intérêt.
Au sein du comité de direction de Lilly France, en charge des nouveaux produits, on trouve... Béatrice Cazeneuve... qui est aussi l’épouse du député LREM Jean-René Cazeneuve, et la mère de deux conseillers de l’Elysée et de Matignon : Marguerite et Jean Cazeneuve.
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Céline @Celine_at_Paris · 28 févr.
Donc le médicament miracle identifié par Macron qui ne marche pas (1) est commercialisé par Eli Lilly, dont la directrice des nouveaux produits France (2) est l'épouse d'un député LREM (3), la mère de l'adjoint au chef de cabinet de l'Élysée (4) et de sa conseillère santé (5).
Marguerite Cazeneuve est aussi une ex cadre de Mc Kinsey. Elle est aussi l’épouse d’Aurélien Rousseau, patron de l’ARS Ile-de-france. Le monde est petit chez les macronards.
liberation.fr
Traitement contre le Covid-19 : y a-t-il un conflit d’intérêt entre le labo Lilly et certains...
L'ANSM a autorisé l'utilisation d'un traitement contre le Covid, développé par le laboratoire Lilly. Dans celui-ci travaille Béatrice Cazeneuve, femme d'un député LREM et mère de deux conseillers...
3/11/21. Eli Lilly retire sa demande d’autorisation pour le bamlanivimab et l’etesevimab après que l’EMA lui a demandé des données relatives à la fabrication.
Le labo a fait des stocks et a arrêté sa production avant tout contrôle. Or, l’EMA suspecte des problèmes de qualité...
EU Medicines Agency @EMA_News · 3 nov.
Double point d'exclamation EMA ends the #RollingReview of Lilly’s #COVID19treatment bamlanivimab and etesevimab, after the company informed us that it was withdrawing from the process.
Read the press release: https://ema.europa.eu/en/news/ema-ends-rolling-review-antibodies-bamlanivimab-etesevimab-covid-19-following-withdrawal-lilly
Read a Q&A document: https://ema.europa.eu/en/documents/medicine-qa/questions-answers-end-rolling-review-antibodies-bamlanivimab-etesevimab-covid-19_.pdf
8:23 AM · 13 nov. 2021·- 128 Retweets 2 Tweets cités 214 J'aime
1:41:50 - 342 vues
Pour une République exemplaire, interdire le pantouflage et lutter contre les conflits d’intérêts
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Retrouvez la conférence des AMFIS 2021 : « Pour une République exemplaire, interdire le pantouflage et durcir les règles contre les conflits d’intérêts », avec :
• Ugo Bernalicis, député LFI
• Laurent Dublet, membre du bureau d’Anticor
Visionnez toutes les conférences sur : https://amfis2021.fr/videos
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Ndlr : >44:38 terminer ACT
Leurs histoires, touchantes, révoltantes, édifiantes ou inspirantes, nous disent quelque chose de notre actualité. Ils ont accepté de venir face à la caméra du Média pour les partager, et si possible nous bousculer et modifier nos perceptions.
Clés : Gouvernement ; Justice ; Politique
Le 13 janvier 2021, la Cour de Justice de la République (CJR) a ouvert une information judiciaire concernant le Ministre de la Justice Eric Dupont-Moretti. En cause, ses potentiels conflits d’intérêt : en tant qu’avocat, l’ancien ténor du barreau n’avait pas ménagé ses critiques envers les juges du parquet national financier (PNF). Devenu ministre, il n’a pas hésité à multiplier les inspections contre ceux qui, selon lui, s’étaient comportés comme des “cowboys” ou des “barbouzes”.
Comme le dénonce sur notre plateau Katia Dubreuil, présidente du Syndicat de la Magistrature (l’un des trois syndicats de la profession à l’origine de la plainte auprès de la CJR), il s’agit d’un attaque sans précédent contre l'indépendance de la justice et vis-à-vis de ces juges censés lutter contre la corruption politico-financière.
En effet, la liste de ceux qui sont visés par les inspections du nouveau garde des Sceaux a de quoi surprendre. On y retrouve ces magistrats du PNF impliqués dans l’affaire “des fadettes”, quand le parquet avait épluché les relevés téléphoniques de l’avocat Thierry Herzog pour repérer la taupe qui les avait informés, lui et son client Nicolas Sarkozy, de leur mise sous écoute dans le cadre de l’affaire Paul Bismuth (écoute comprenant plusieurs appels avec Dupont-Moretti). Dans le viseur, également : Edouard Levrault, ancien juge d’instruction à Monaco, qui avait eu le malheur de découvrir un scandale de corruption sur le rocher qui concernait entre autres l’un des clients de Dupond-Moretti. Celui-ci n’avait pas hésité à qualifier le juge de “cowboy”.
Si le ministre se défend de tout conflit d’intérêt, la situation est inédite et dangereuse pour les magistrats. Voilà un ministre qui, à peine nommé, utilise ses fonctions pour régler ses comptes d’avocat. Ne reste plus qu’à écouter l’avis de la CJR, qui devrait trancher d’ici quelques semaines.
#15 DES TENDANCES - 104 613 vues - 4,7 k - 121 - 482 k abonnés - 816 commentaires
C'est une première. Le ministre de la justice a été mis en examen par la Cour de justice de la République. Il lui est reproché d'avoir utilisé les attributions disciplinaires de son ministère pour régler des comptes avec des magistrats anti-corruption avec lesquels il a été en conflit ouvert quand il était avocat.
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Le 15 avril, lors de l'examen de loi "sécurité globale" en 2ème lecture, le député Ugo Bernalicis a dénoncé une mesure portée par le rapporteur Fauvergue sur fond de suspicion de conflit d'intérêts.
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diffusé le jeu. 21.06.18 à 11h58 - Rediffusé ce jour 28/10/2020
Genre : Sociét é Durée : 50 minutes Réalisateur : Bernard Nicolas, Marion Vaqué-Marti Nationalité : France Année : Production Eclectic Presse 2018
Le marché mondial des agrocarburants dépasse les 100 milliards de dollars. Portés par des multinationales, des projets de production à grande échelle voient le jour sur tous les continents, mobilisant des millions d’hectares pour le « bien-être de la planète et de ses habitants ». En France, ce carburant du 21ème siècle, est censé lutter contre le réchauffement climatique et ouvrir de nouveaux débouchés à nos agriculteurs producteurs de colza.
En effet, sans toujours le savoir, chaque automobiliste qui roule au diesel met 7% d’huile de colza dans son réservoir.
Cette enquête permet de découvrir que les agrocarburants, souvent appelé « biocarburants », sont bien loin d’être les carburants verts d’avenir vantés par leurs promoteurs, mais aussi quelles sont les conséquences de cette production,soutenue à coups de subventions par les pouvoirs publics, pour l’environnement, les consommateurs et les agriculteurs. Elle montre aussi que l’importation d’huile de palme pour élaborer ces agrocarburants est autant une menace pour la planète que pour la filière française. Dès lors une question se pose : pourquoi continuer à soutenir cette production ?
Avec la participation de :
- Faustine bas-desfossez,
- Corinne lepage,
- patrick sadones, expert indépendant Pays de Caux
- le pdt de la confédération paysanne
Transcription : ... Le groupe Avril était présidé par xavier Beulin devenu pdt de la FNSEA, en plein conflit d'intérêts ... aucune promesse tenue !!! ... DÉNONCER
399 563 vues - 17 k - 634 - 553 k abonnés - 1 255 commentaires
Ah les belles fortunes de ce monde et leur immense générosité ! L’éducation, l’art, la faim dans le monde : rien n’est trop beau, rien n’est trop grand. À condition d’y gagner en visibilité… Et de pouvoir faire une belle opération fiscale au passage. Et si parfois, ces opérations sentent bon le conflit d’intérêt, il ne faudrait tout de même pas cracher dans la soupe. La générosité ça ne se discute pas. Mais au fait, elle vient d’où cette richesse ?
Retrouvez toutes les sources de l'épisode sur :
https://wiki.datagueule.tv/Philanthro...
Nos différentes saisons :
- Saison 7 : https://is.gd/DTG_S07
- Saison 6 : https://is.gd/DTG_S06
- Saison 5 : https://is.gd/DGT_S05
- Saison 4 : https://is.gd/DTG_S04
- Saison 3 : https://is.gd/DTG_S03
- Saison 2 : https://is.gd/DTG_S02
- Saison 1 : https://is.gd/DTG_S01
Les #DataGueule en avance sur https://www.france.tv/slash/datagueule/
Pour celles et ceux qui ne le savent pas, #DataGueule travaille maintenant avec francetv slash, qui propose ses épisodes sur la plateforme france.tv la veille de leur sortie sur YouTube.
Auteur des sous-titres (Français) Laurine L
Transcription : ... philantrocapitalisme ... Bill et Melinda Gates ... Nicolas Duvoux, professeur de sociologie à l'université Paris 8
Clés : Justice ; Politique
Macron / Kohler : la justice aux ordres du pouvoir
Une fois encore, nos confrères de Médiapart ont fait mouche. Mardi, le site d’investigation a révélé qu’Emmanuel Macron était intervenu, en juillet 2019, pour faire cesser l’enquête que menait le Parquet national financier sur un de ses collaborateurs.
Ce collaborateur, c’est Alexis Kohler, le secrétaire général de l'Élysée. Un des quatre hommes qui dirige le pays. Les trois autres étant le Président, le Premier ministre et le directeur de cabinet de ce dernier.
Alexis Kohler est soupçonné de conflits d'intérêts en raison de ses liens avec l'armateur italo-suisse MSC. Ce groupe est en effet dirigé par des cousins de sa mère.
En 2010 et 2011, alors qu’il siégeait en tant que représentant de l’État au Conseil de surveillance du Grand port maritime du Havre, Alexis Kohler a approuvé des contrats avec MSC.
En juin 2018, le Parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire pour conflit d’intérêts et prise illégale d’intérêts.
La suite, c’est Ugo Bernalicis qui la raconte. Le député de la France insoumise interpelle la Garde des sceaux lors des questions au gouvernement. Et rappelle la chronologie ahurissante de l’année 2019 :
« Le 30 juin dernier, Éliane Houlette, procureure nationale financière, part à la retraite. Le 1er juillet, Muriel Fusina est désignée par la procureure générale, madame Champrenault, contre l’avis de madame Houlette pour faire son intérim. Contre l’avis de madame Houlette. C’est la même madame Champrenot qui est mise en cause dans le cadre de l’affaire Fillon pour les pressions hiérarchiques qu’elle a fait subir à Eliane Houlette.Le même 1er juillet, Emmanuel Macron joint au dossier Alexis Kohler une lettre manuscrite de sa part visant à absoudre monsieur Kohler des chefs d’inculpation dont il faisait l’objet dans le dossier MSC. Le 18 juillet, le procès verbal des policiers, le PV de synthèse est modifié en conséquence, et le 21 août alors que nous sommes toujours dans la période d’intérim du Parquet national financier, il y a un classement sans suite alors qu’il n’y a pas d’urgence dans cette affaire et que le nouveau procureur n’est pas nommé.Madame la garde des Sceaux, madame la ministre, du fait des remontées d’informations dans les affaires sensibles,étiez-vous au courant de cela ? Etiez-vous au courant que le président de la République, censé être garant del’indépendance de l’autorité judiciaire au titre de l’article 64 de la Constitution, était intervenu directement dans un dossier individuel. Etes-vous prête à ouvrir une enquête de l’inspection générale de la justice ? »
Passant outre la séparation des pouvoirs, Emmanuel Macron a écrit au PNF à l’été 2019 pour disculper Alexis Kohler, au lendemain d’un rapport de police l’accablant. À la suite de cette lettre, un second rapport d’enquête a été écrit, aboutissant à des conclusions inverses. Un mois plus tard, l’enquête sera classée sans suite.
Mots-clés Alexis Kohler conflits d'intérêts Eliane Houlette Emmanuel Macron Justice parquet national financier séparation des pouvoirs
...
Au mépris de la séparation des pouvoirs, le président de la République est intervenu directement dans une procédure judiciaire individuelle. Une entrave à la justice visant à protéger son collaborateur le plus proche, Alexis Kohler, et à couvrir un mensonge d’État.
Ce n’est pas la première fois qu’Emmanuel Macron ne se sent pas tenu par l’ordre constitutionnel de la séparation des pouvoirs, consacré par l’article 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. C’est même devenu une habitude sous ce quinquennat, comme le rappelle Ellen Salvi. Mais cette fois, il a choisi d’outrepasser toutes les règles.
Alors qu’un premier rapport d’enquête accablant avait été rédigé par la police le 7 juin 2019, un second rapport, disant exactement l’inverse, est signé le 18 juillet 2019. Entre-temps, le 1er juillet, une attestation d’Emmanuel Macron a atterri au Parquet national financier chargé de mener l’enquête.
note-macron-kohler
Le secrétaire général de l’Élysée est alors sous le coup d’une enquête préliminaire du Parquet national financier pour conflit d’intérêts et prise illégale d’intérêts depuis juin 2018. Comme l’avait révélé Mediapart, Alexis Kohler n’avait en effet pas rendu publics ses liens familiaux avec la famille Aponte, principal actionnaire de MSC.
Ce groupe, très opaque, de transport dépend beaucoup des aides publiques et Alexis Kohler, dans ses diverses fonctions, a été amené à prendre position sur ce dossier au nom de l’État. Et c’est pour l’exonérer de toute faute qu’Emmanuel Macron prend alors la plume.
« Cher Alexis,
Comme suite à votre demande, je vous confirme que lors de ma prise de fonction de ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique, j’étais déjà informé de vos liens familiaux avec les actionnaires de contrôle de MSC, ainsi que de la volonté que vous aviez exprimée de rejoindre cette entreprise quelques mois plus tard.
Vous m’aviez d’ailleurs formellement remis, au moment de votre entrée aux fonctions de directeur de mon cabinet, un courrier demandant à ne jamais avoir à traiter des dossiers et questions concernant cette société.
Dès lors, les mesures d’organisation ont été prises dans ce sens, M. Julien Denormandie, directeur adjoint du cabinet, ayant été chargé en lien direct avec moi de tous les sujets substantiels et des négociations concernant la société MSC qui étaient dans le périmètre de mes attributions ministérielles », indique cette note signée de sa main.
Le chef de l’État sait l’usage qui sera fait de cette note demandée par son bras droit : elle va être adressée directement au Parquet national financier (PNF) pour aider Alexis Kohler.
Cette note devait rester inconnue de tous, à l’exception des deux ou trois personnes auxquelles elle était destinée. Elle n’a même pas été cotée au dossier. Et il n’y est jamais fait référence dans le rapport d’enquête, hormis une simple mention entre parenthèses. Elle aurait dû disparaître. Mais elle existe toujours- Mediapart se l'est procurée- et jette un trouble sur le fonctionnement de la justice
« Le déroulement de certaines procédures ne permet pas d’écarter le soupçon d’une immixtion illégitime du gouvernement dans des affaires individuelles », déclarait Élise Van Beneden, secrétaire générale adjointe d’Anticor, le 20 mai, devant la commission d’enquête parlementaire sur les obstacles à la justice qui l’interrogeait sur les éventuelles entraves à la justice qu’elle avait eu à connaître. Elle y avait alors explicitement exposé l’existence de cette lettre. Débouté de sa première plainte, Anticor a redéposé une plainte devant le doyen des juges d’instruction pour « conflit d’intérêts », « non-respect des codes déontologiques », « trafic d’influence ».
Lors des questions d’actualité à l’Assemblée nationale, ce 23 juin, le député (FI) Ugo Bernalicis, qui préside cette commission d’enquête, a donc interpellé la ministre de la justice Nicole Belloubet, lui demandant si elle était informée de cette intervention directe de l’Élysée dans l’enquête visant Alexis Kohler. « Êtes-vous prête à ouvrir une enquête de l’Inspection générale de la justice ? », a-t-il demandé. Il n’a obtenu qu’une réponse embarrassée de la part de Nicole Belloubet.
Interrogé sur les motifs qui ont conduit Emmanuel Macron à rédiger une telle note, et sur les risques que cela pouvait représenter au regard de la séparation des pouvoirs, l’Élysée nous a indiqué qu'il ne ferait «aucune réponse» à nos questions. Le conseil d’Alexis Kohler, Éric Dezeuze, auquel nous avons posé les mêmes questions, ne nous a pas répondu au moment où nous publions cet article.
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Nous avons rencontré Daniel Ibanez, expert à la coordination NO Tav, pour faire un point sur le projet “Lyon Turin “ . Alors que la campagne électorale des municipales "anti-démocratique" (Interdiction de se réunir) se déroule, Thierry Repentin ne souhaite pas parler de ce sujet et Aurélie Lemeur, tête de la liste citoyenne et écologiste au 1er tour et qui a fait fusion avec celle de T.Repentin, pour mener ensemble la liste Demain Chambéry, liste soutenue par le PS, PCF, UDI, Génération S et EELV, n'a rien a dire sur le sujet, ainsi que les écologistes ou citoyens opposants au projet et présents sur la liste au 1er tour. En fait que ce soit au premier ou au deuxième tour : on assiste à une absence totale de débat.
Daniel Ibanez quand à lui dénonce dans ce dossier du Lyon Turin, à la fois une “tricherie“ dans le dernier rapport de la commission, " qui est caviardé sur plusieurs pages un véritable scandale démocratique “ mais c'est aussi, selon lui, une imposture écologique et une aberration économique .
On peut se demander face à ces arguments, si l'électorat écologiste anti TAV appréciera, et pour tout les autres, concernant cette liste si cela ne constitue pas un signe très inquiétant, un de plus, quant à la considération qu'ils peuvent avoir du débat démocratique (c'est à dire contradictoire) dans l'espace public. Comme nous l'avions déjà signalé notre média depuis plus 1 an et dont nous avons pu en faire“ les frais“ (agression physique et verbale de T.Dupassieux, responsable EELV de Chambéry, courriels de protestation et demande d'interview restés sans réponse etc..) ainsi qu' expérimenter à cet occasion leur conception du dialogue. La conquête du pouvoir avant tout...la grande lutte des places est lancée.
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Cette semaine dans l'Aubry qui court, on s'est pris au jeu d'Envoyé Spécial et d'#ÉliseLucet à la recherche des conflits d'intérêts des commissaires européens. Je vous explique aussi l'importance du "semestre européen" et ses conséquences sur nos #retraites en France ou sur l'hôpital. Enfin, je reviens sur deux votes cruciaux qui ont déclenché ma colère dans l'hémicycle face aux tartufes de l'écologie. Et enfin dans le coin des lobbies, on reçoit @Leïla Chaibi pour parler de #Deliveroo #ÉliseLucet #retraites
SOMMAIRE :
1:49 : À la poursuite des commissaires européens pour obtenir des réponses sur cette affaires de déclarations d'intérêts toujours pas déclarées.
6:06 : La Commission européenne est-elle l'inspiratrice de la réforme des retraites et des coupes budgétaires successives dans l'hôpital public ? C'est ce que nous allons décrypter ici, et voir que la volonté politique des États peut très bien aller à l'encontre de ces recommandations.
9:24 : Deux votes pour mettre en lumières ces hypocrites de l'écologie : l'accord de libre-échange avec le Vietnam et 29 Milliards d'euros de subventions européennes pour 32 projets gaziers. Le Green New Deal et la planète peuvent attendre pour certains : business as usual !
12:53 : Le coin des lobbies de cette semaine accueil Leïla Chaibi, ma collègue au Parlement européen, et on va parler d'une rencontre avec un lobbyiste de Deliveroo qui a demandé à nous rencontrer.
Pour aller plus loin :
Notre communiqué de presse suite au vote sur l'accord avec le Vietnam : https://lafranceinsoumise.fr/2020/02/...
Un article sur ces fameux 32 projets gaziers : https://www.euractiv.fr/section/energ...
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Le Premier ministre qui échoue à convaincre sur les retraites et les petits boulots lucratifs du Haut-commissaire aux retraites. C’est dans le numéro 56 du P’tit coup de Bourbon. #GrèveGénérale #Retraites #Delevoye
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