COMMENT L'EXTRÊME CENTRE A PORTÉ LES NAZIS AU POUVOIR | JOHANN CHAPOUTOT, JULIEN THÉRY
Publié Il y a 21 heures • 31 vues / Le Média
Le parallèle entre la situation politique actuelle et celle qui porta au pouvoir les régimes fascistes pendant l'Entre-deux-guerres est couramment fait dans l'opinion depuis de années et sa pertinence paraît se confirmer jour après jour, tout particulièrement depuis la dissolution de l'Assemblée législative, par laquelle Emmanuel Macron prévoyait manifestement, en 2022, de s'engager dans un partenariat de gouvernement avec le RN. Dans son nouveau livre, intitulé Les Irresponsables. Qui a porté Hitler au pouvoir ?, #JohannChapoutot développe cependant une démarche originale : c'est en faisant l'histoire des circonstances précises dans lesquelles Hitler et les nazis sont arrivés au pouvoir en Allemagne en 1933 qu'il éclaire indirectement, tacitement, mais de façon très crue, notre présent politique.
Dans cette discussion avec #JulienThéry, Johann Chapoutot revient sur la façon dont le patronat et la droite allemande ont fini par miser sur l'extrême-droite, c'est-à-dire le parti nazi, pour espérer perpétuer leur politique et même revenir sur les mesures sociales qu'ils avaient été contraints de concéder au mouvement ouvrier (de façon à éviter une révolution bolchévique) au lendemain de la défaite à l'issue de la Première Guerre Mondiale. Le processus fut celui de la constitution d'un extrême-centre supposé s'opposer fermement, au nom de la raison politique et économique, aux radicalités de gauche comme de droite, mais en réalité tout disposé à coopérer avec l'extrême-droite et farouchement hostile à la gauche. Cet extrême-centre, dont le credo est l'ordolibéralisme (version allemande du néolibéralisme), s'efforce de traiter la crise par des mesures d'austérité qui ne peuvent que l'aggraver mais favorisent les profits du capital. Il s'obstine à mener une politique de l'offre pour complaire aux grands intérêts privés, avec des effets désastreux pour les salariés et tout particulièrement pous les plus démunis. Il opte non seulement pour la répression des contestations, mais aussi pour le contournement de la démocratie en recourant à des procédures d'exception, en particulier l'article 48 de la Constitution de Weimar, non pour faire face à des situations d'urgence mais pour imposer des décrets budgétaires sans majorité parlementaire. Et il finit par faire entrer les nazis au gouvernement, en laissant à ces derniers le ministère de l'intérieur, c'est-à-dire la mainmise sur l'appareil répressif et sur l'éducation. Alors que von Papen, le policitien de la droite libérale artisan de l'arrivée d'Hitler à la chancellerie, pensait neutraliser ce dernier rapidement, toutes les institutions démocratiques s'écroulent dès lors en quelque mois pour laisser la place à la dictature d'extrême-droite.
Montage Bérénice Sevestre. Une émission de Julien Théry.
#Nazisme
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Publié originellement 20/02/2025
Catégorie Actualité & Politique
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Tr.: ...
les nazis arrivés au pouvoir dans 3 landers dès 1930 ...
24:00 terminer ACT
1,25 M d’abonnés - 2,6k+ - 80 441 vues - 272 commentaires #actualités
Introduction
Nous sommes mercredi 26 juin 2024, voici le programme de la nouvelle édition de « Toujours Debout », présentée par Amina Kalache.
Au sommaire aujourd’hui :
Le flash info par Andreï Manivit :
- Dissolution de l’association d’extrême-droite le GUD
- Une agression dans le Val-de-Marne et des menaces de mort par un électeur du Rassemblement National
- Au Kenya, une manifestation contre des mesures économiques a fait 13 morts
Entretien d'Actu :
Nous recevons Simon Duquerroir, une des victimes des violences commises sur des manifestants le 1er mai 2018 par Alexandre Benalla. Ce dernier a été définitivement condamné à un an de prison ferme par la plus haute juridiction judiciaire à trois ans de prison dont un an ferme. Les images d’Alexandre Benalla, un ancien proche d’Emmanuel Macron, place de la Contrescarpe à Paris, avaient déclenché une tempête politique.
Entretien d'Actu :
Nous recevons, Arnaud Bontemps, fonctionnaire à la Cour des comptes et porte-parole du collectif Nos Services publics. Un collectif fondé en 2021, qui a créé une plateforme permettant de comparer les programmes des différents blocs en lice pour les élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet. Cette plateforme a pour but de questionner quel programme est le mieux à même de répondre aux difficultés d’accès des Français aux services publics. L’idée est de proposer aux Français de se faire une idée des conséquences que pourrait avoir la victoire des uns ou des autres dans quelques jours.
Fond de l'info :
En seconde partie d'émission, nous recevons Siham Bengoua, productrice de contenu digital, Fatou Kaba, actrice et entrepreneure. Pour ce fond de l’info, nous reviendrons sur les conséquences des résultats des élections européennes dominés par la liste du Rassemblement national ainsi que la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale. Cela a fait réagir bien au-delà de la sphère politique, des personnalités publiques ont rapidement pris la parole sur ces sujets, dénonçant les résultats et invitant leur communauté à se mobiliser en masse pour les législatives anticipées du 30 juin et du 7 juillet.
Introduction
Nous sommes mardi 18 juin 2024, voici le programme de la nouvelle édition de « Toujours Debout », présentée par Cyril Lemba.
Au sommaire aujourd’hui :
Entretien d'Actu :
Première partie consacrée au RN avec le sociologue Alain Caillé, Yasmine Ouirhrane, qui a porté plainte contre Marine Le Pen pour avoir affiché son visage, voilée à l’époque, pour dénoncer l’islamisme en France… et Christophe-Cécil Garnier, rédacteur en chef adjoint du pôle enquête de StreetPress.
On s'Autorise à Penser :
En seconde partie, Cyril cède sa place à Julien Théry pour On S’Autorise à Penser, il s’entretiendra avec l’historien Jean-Pierre Filiu sur son dernier ouvrage, “Comment la Palestine fut perdue, et pourquoi Israël n’a pas gagné”, paru aux éditions du Seuil.
Connu / TG le 19/06/24 à 5:17
IA : LUCIE, UN FIASCO FRANÇAIS FACE À LA CHINE ET AUX ÉTATS-UNIS ?
Publié Il y a 22 heures • 35 vues
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Publié originellement 28/01/2025
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Publié Il y a 1 jour • 46 vues - Le Média Par lemediatv
6,3 milliards d’économies supplémentaires, c’est ce qu’ont voté les sénateurs pour le projet de loi de finances 2025. “L’examen a été marqué par les coups de rabot de dernière minute du gouvernement” raconte Public Sénat. La chaîne raconte : “un amendement de dernière minute, déposé parfois dans la nuit voire une heure avant, souvent défendu laconiquement par des ministres, dont plusieurs se voient eux-mêmes imposer ces coupes par Bercy. Les sénateurs se sont retrouvés à découvrir ces économies supplémentaires, ne pouvant travailler dans de bonnes conditions.” Une méthode décriée de la gauche jusqu’aux républicains, décrivant des conditions de travail “athlétiques”.
Public Sénat poursuit : “Cette méthode, qui ne fait pas dans la dentelle, a un objectif : trouver des économies. Et le gouvernement n’y est pas allé de main morte. Ce qu’il assume. Il vante une réduction des dépenses de l’Etat et de ses opérateurs de 2 %. Du jamais vu depuis 25 ans, souligne l’exécutif.”
La majorité sénatoriale (droite et gouvernement), a tout de même soutenu ces coupes. Quelques exemples : -995 millions sur l’écologie, -630 millions sur l’enseignement supérieur et la recherche. Sur les collectivités, on rabote l'augmentation, de 5 à 2,2 milliards. Public Sénat note une “Rare exception : le budget de la défense est sanctuarisé, avec une hausse de 3,3 milliards d’euros, conformément à la trajectoire de la loi de programmation militaire 2024-2030”.
Alors ça c’est ce qui a été décidé au Sénat. On le sait, à l’Assemblée Nationale le budget s’est fait censurer. Donc rendez-vous à la commission mixte paritaire le 30 janvier, où députés et sénateurs vont devoir trouver un texte commun.
Le gouvernement table sur 5,4 % de déficit. Il serait autour de 6% en 2024.
Des orientations inquiétantes et qui répondent à l’inverse du problème, explique Thomas Porcher.
On parle très peu de l’énorme dérapage des comptes publics en 2023 et 2024 estimé à presque 70 milliards d’euros par la direction générale du Trésor. Et ce sont les salariés, les pauvres, les retraités ou les chômeurs qui vont payer, annonce l’économiste.
Il y a eu aussi toute la polémique autour de taxer les retraités les plus riches… Éric Lombard, le ministre de l'Économie a exclu mercredi 22 janvier dans les Échos cette idée, contredisant donc la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet qui avait soumis l’idée.
Autre idée de piste, les 7 heures de travail non rémunérées (donc ça ferait 14 en tout). Sophie Primas, la porte-parole du gouvernement, a indiqué que cette idée, comme la taxation des retraités aisés n'était pas "la position officielle du gouvernement à ce stade". On peut voir que les Ministres avancent leurs idées, se font contredire… ça cherche des pistes un peu partout pour pas toucher au fond du problème : la mauvaise répartition des richesses.
Dans l’actualité aussi, Donald Trump est officiellement devenu Président des Etats-Unis, une nouvelle fois, après avoir investi la Maison Blanche il y a une semaine. Son premier discours était catégorique avec une politique très dure sur l’immigration, les droits des personnes lgbt ou encore l’écologie.
Le leader d’extrême droite a proclamé la fin du Green New Deal et la sortie des Accords de Paris (non contraignants).
Le discours de Donald Trump prononcé jeudi 23 janvier devant les grands patrons et la classe politique réunis à Davos a résonné comme un “avertissement à l’élite mondiale”, note The Wall Street Journal, rapporte le Courrier International. Je les cite ““Mon message pour toutes les entreprises dans le monde est simple : venez fabriquer vos produits en Amérique et vous bénéficierez des impôts parmi les plus bas au monde”, a déclaré le président républicain lors d’une intervention en visioconférence depuis la Maison-Blanche, diffusée dans le cadre de la réunion annuelle du Forum économique mondial en Suisse. “Mais si vous ne les produisez pas aux États-Unis, ce qui est votre droit, alors, très simplement, vous devrez payer des droits de douane”, a-t-il prévenu.”
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Publié originellement 27/01/2025
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Publié Il y a 7 heures • 23 vues - Par lemediatv
Mort, destitution, ou démission : telles sont les trois raisons qui peuvent mettre fin prématurément au mandat du président de la République. Emmanuel Macron se porte bien, et la procédure pour destituer un président semble être pensée pour ne jamais pouvoir aboutir...
Une démission ne peut être imposée juridiquement, mais politiquement, la question se pose différemment. Or depuis quelques semaines l’idée monte dans le débat public : et si le président Emmanuel Macron démissionnait ? Le gouvernement de Bayrou étant sur un siège éjectable, une nouvelle censure ne manquerait pas de remettre sur la table le sujet du “problème Macron”, un départ anticipé devient pensable.
Cela soulève deux questions : est-ce souhaitable ? Est-ce seulement plausible ? Nous connaissons le personnage, il ne quittera pas de lui-même le pouvoir, la question est plutôt : comment les circonstances pourraient-elles l’y pousser ?
Une idée qui fait son chemin, une légitimité politique minuscule, un patronat lassé mais pas encore prêt à le lâcher départ précipité... On peut dire qu’une démission est peu probable, mais qu’elle n’est plus impossible.
Visibilité Publique Publié originellement 11/01/2025
Catégorie Actualité & Politique
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Publié Il y a 1 semaine • 96 vues Par lemediatv
Une semaine après la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre de France, il est peut-être temps de se poser une question : où en est le macronisme ? Que nous dit le caractère fortement éjectable du siège du chef du gouvernement en cette année 2024, où l’on a vu se succéder Gabriel Attal, Michel Barnier et désormais François Bayrou ? Jusqu’à quand “survivra” l’actuel Premier ministre à ce poste là, et est-ce que le président de la République l’aidera à tenir ? Au fond, le macronisme est-il tout simplement au bout du rouleau, condamné à s’auto-dissoudre à très brève échéance ? Et qu’est-ce qui se dit, qu’est-ce qui se pense à l’Élysée dans cette période particulière de l’Histoire de France ? Pour répondre à ces questions, nous avons fait appel à Marc Endeweld, journaliste d’investigation, qui enquête depuis des années sur les coulisses de la Macronie.
Visibilité Publique Publié originellement 21/12/2024
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Tr.: ... Bayrou a fait pression ... Macron est extrêmement faible ... Lecornu n'a pas fait campagne ... depuis 2022 Alexis Colère s'était imposé sauf pour Gabriel Attal ... Macron a perdu ses nerfs à plusieurs reprises ... jeu de massacre, tout le monde tombe sur Bayrou ... Attal prépare activement 2027 ... Edouard Philippe aussi ... à gauche, peu de politiques prennent la mesure des enjeux ... quelle vision, quel pj pour la France ? ... Colère fait le choix d'Edouard Philippe ... ya des tensions politiques entre Brigitte et Emmanuel Macron ... le macronisme est un fan-club du pdt, il ne peut survivre ... 5ème république rendue disfonctionnelle ...
Publié Il y a 3 jours • 41 vues Par lemediatv
Le flash actualité de ce mardi 24 décembre revient sur la composition du gouvernement Bayrou.
Le choc est passé, place à l’analyse. Au lendemain de la révélation de la liste des ministres qui constituent l’équipe du premier ministre, les commentaires battent leur plein. Et d’abord dans la presse. “Les Revenants” titre le quotidien de centre-gauche Libération qui note que l’équipe Bayrou “penche nettement à droite et reste sous la surveillance du RN. “L’échec assuré” prophétise de son côté le journal d’inspiration communiste L’Humanité. Qui écrit à la Une : “En s’entourant de rescapés du gouvernement Barnier et de recyclés de la Macronie, il reprend l’équation politique qui conduit à la censure”. Le Figaro, de son côté, met en avant la démarche de François Bayrou qui “mise sur l’expérience” de “poids lourds” de la politique venus de la droite et de la gauche “pour tenter de durer”. Le Monde, quant à lui, utilise l’expression “l’expérience sans l’ouverture” pour qualifier le casting de ce gouvernement entre des personnages comme Manuel Valls aux Outre-mers, où reviennent Gérald Darmanin, à la Justice, et Elisabeth Borne, à l’Éducation et où demeure Bruno Retailleau à l’Intérieur. C’est justement sur ces personnalités d’expérience que se focalisent les critiques. L'État français a-t-il tout mis en œuvre pour sauver les vies qui pouvaient l’être à Mayotte ? Pire, a-t-il saboté les secours attendus par les sinistrés ? Près de 10 jours après le passage du cyclone Chido qui a dévasté l’archipel, l’incompréhension demeure face aux nombreuses défaillances qui entourent la gestion de la crise.
Dans un article publié sur le site de Mediapart, le journaliste Rémi Carayol rapporte que Les habitants de l’île, notamment dans les bidonvilles, totalement rasés, ont attendu une semaine avant d’être aidés. Les mahorais ont pu toutefois compter sur le soutien des autorités des Comores, pourtant beaucoup plus pauvres mais plus prompts que la France pour acheminer l’aide vers l’archipel. Les Comores ont envoyé 250 tonnes d’eau en bouteille et des denrées alimentaires à compter de vendredi dernier. Une source proche du gouvernement a précisé à l’AFP que «les Français ont refusé l’envoi de pompiers comoriens» à Mayotte. Jean-François Corty, le président de Médecins du Monde, admet que la situation n’est pas simple à gérer mais interroge : est-ce « une question de moyens » ou peut-on parler d’une « négligence assumée » ?
Un rapport de la mission de l’ONU en Haïti et du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, publié ce lundi 23 décembre, dénonce les conditions dans lesquelles 134 hommes et 73 femmes ont été abattus entre le 6 et le 11 décembre à Port-au-Prince. Depuis le début de l’année 2024, plus de 5 350 personnes ont été tuées et plus de 2 100 autres blessées en conséquence directe des violences dans le pays.
Visibilité Publique Publié originellement 24/12/2024
Catégorie Actualité & Politique
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GROS MÉDIAS ET ÉDITOCRATES: POURQUOI ILS SONT DÉÇUS APRÈS L’ATTAQUE D'UN MARCHÉ DE NOËL À MAGDEBOURG
Publié Il y a 3 jours • 56 vues
Le Média
Par lemediatv
Dans sa nouvelle chronique, la dernière de l’année 2024, notre chroniqueur Mourad Guichard, journaliste indépendant, a pointé, en préambule, une vidéo d’Emmanuel Macron admirant un tableau à sa gloire à l’occasion de la réouverture de Notre Dame de Paris. Il a également rendu hommage à Maité, star de la télé des années 90, disparue récemment.
Dans ses « Top », il a pointé l’intervention de Shaka Ponk dans l’émission de Nagui qui a rappelé que les artistes avaient un droit et un devoir de prise de position politique, notamment vis-à-vis du vote des jeunes pour le Rassemblement National. Il a également dédié une médaille à Benjamin Duhamel qui a clairement et fermement dénoncé le sexisme du député RN Julien Odoul. Un autre de ses « Top » est allé aux Grandes Gueules de RMC qui ont fustigé « des buzzs qui sont là pour exister ». Notre chroniqueur a également, dans ses « Flop », souligné l’inhumanité totale de Barbara Lefèvre sur la minute de silence dédiée aux victimes de Mayotte.
Le « Microscope » a porté sur l’attentat terroriste de Magdebourg. Il a rappelé le déni total dans lequel nombre de politiques et de journalistes s’étaient vautrés à l’occasion de ce drame perpétré, non pas par un islamiste, mais par un islamophobe. Pour exemple, il a mis en exergue la position de Florence Bergaud Blackler du CNRS qui a ouvertement menti et n’a eu de cesse de tordre la vérité pour justifier son positionnement.
Pour son coup de coeur, Mourad Guichard s’est penché sur l’affaire Uber, au travers de la création de Maze.cab et de l’ouvrage de Danièle Simmonet « Face à Uber ».
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Publié originellement25/12/2024
CatégorieActualité & Politique
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"UNE MÉMOIRE CONTRE L'OUBLI", LE DOCUMENTAIRE SUR CEUX QU'ISRAËL TENTE DE CACHER
Publié Il y a 2 jours • 44 vues
Le Média
Par lemediatv
Dans cet épisode de Derrière les docs, l'émission hebdomadaire diffusée sur le canal 165 de Free et sur Molotov, Irving Magi reçoit Marie Géniès, réalisatrice du poignant documentaire "Une Mémoire contre l’oubli". Ce film prend un angle inédit pour traiter de la situation en Palestine et plus particulièrement en #Cisjordanie occupée. À travers les témoignages de trois personnages issus de religions différentes — Odeh, chrétien de Ramallah, Jamila, musulmane de Tulkarem et Kareem, juif de la communauté samaritaine de Naplouse — le film donne une voix aux habitants d’une terre martyrisée par l'occupation israélienne.
Marie Géniès humanise ces récits souvent réduits à des statistiques et des chiffres dans les médias occidentaux. En s’intéressant aux trajectoires personnelles de ces trois Palestiniens, elle dévoile les douleurs quotidiennes causées par l’occupation, tout en montrant leurs luttes et leurs espoirs. En mêlant images de la vie quotidienne et séquences de résistance, "Une Mémoire contre l’oubli" dénonce non seulement l'occupation israélienne mais aussi les violences vécues par toutes les communautés palestiniennes, qu’elles soient musulmanes, chrétiennes ou juives.
En plateau, l’interview avec Marie Géniès permet de revenir sur le processus de réalisation du film, sur les défis rencontrés pour filmer la réalité de l'occupation et donner la parole à des citoyens qui, malgré tout, luttent pour préserver leur mémoire et leur dignité.
Ce documentaire, véritable plaidoyer pour la paix et la justice, invite à réfléchir sur les racines profondes du conflit et sur les aspirations des peuples de la région, souvent écrasées sous la violence. #Palestine
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Publié originellement25/12/2024
CatégorieActualité & Politique
LicenceInconnu
LangueArabe
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Durée1h 1min 32s
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Publié Il y a 2 heures • 17 vues - 2+
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Publié originellement 28/12/2024
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueFrançais Étiquettes Durée20min 48sec
Tr.: ... KS avocat
Durée 29:37
"L'IMMIGRATION A BON DOS" PORCHER DÉZINGUE LA RESPONSABILITÉ DU GOUVERNEMENT DANS LE DRAME À MAYOTTE
Publié Il y a 2 heures • 5 vues - 2+ Par lemediatv
Mayotte a été dévastée par le passage du cyclone Chido. Le premier bilan officiel faisait état de 31 morts. Mais le bilan pourrait être en fait bien plus lourd pour un territoire français déjà en grande difficulté dont les habitants dénoncent l’abandon par la métropole depuis des dizaines d’années.
L'archipel a été déclaré “en état de calamité naturelle exceptionnel”. Le président de la République a décrété qu'une journée de deuil national aura lieu ce lundi 23 décembre.
Sur place, Emmanuel Macron s’énerve face aux habitants qui tentent de le sensibiliser sur leur détresse…
Avons-nous affaire à une catastrophe naturelle et un drame humain malheureux, ou à une situation prévisible ?
D’un côté, le dérèglement climatique n’est pas un secret. Et ce sont les plus pauvres qui en pâtissent alors que ce sont ceux qui polluent le moins.
De l’autre, les mahorais alertent depuis des années sur le manque d'infrastructures et de services publics sur leur territoire.
Les bidonvilles jonchent les rues avec de nombreuses personnes migrantes venant des Comores. Ce manque d’infrastructures a rendu très vulnérables les plus pauvres au cyclone. Ces quartiers précaires ont été les plus durement touchés. A Mayotte, la part des constructions fragiles est massive.
Et la politique de l'Etat, ce sont les expulsions. Les corps encore chauds, Bruno Retailleau puis Emmanuel Macron ont pointé du doigt l’immigration et souhaitent une politique plus dure d’expulsions.
Depuis bien avant le cyclone, Mayotte manquait déjà cruellement d'infrastructures de base, notamment en matière d'accès à l'eau potable, d'assainissement, d'écoles, d'hôpitaux, de routes, etc. Reflet du retard important par rapport aux autres départements français et du manque d’anticipation de toute crise de la part de l’Etat.
Un sujet dont on parle peu : les plans sociaux. Après toute la campagne autour de la “réindustrialisation” d’Emmanuel Macron le bilan est là : la CGT estimait à 130 le nombre de plan de licenciements en France en mai. En novembre, cette estimation grimpe à 250.
Ce n’est pas une surprise : entre les industries automobile, le textile, ou encore récemment Auchan, tout le monde est de près ou de loin touché par ces menaces ou annonces de suppression d’emplois. On en a couvert pas mal au Média comme le cas des salariés de MA France, sous traitant du géant Stellantis et dernière usine auto du 93 liquidée, laissant 300 familles sur le bas côté.
Pourtant, dans le cas d’Auchan par exemple, 2300 postes vont être supprimés quand la maison mère, la famille Mulliez, verse 1 milliard d’euros de dividendes.
Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c’est l’Instant Porcher !
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Publié originellement23/12 /2024
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueFrançais Étiquettes Durée 29min 38sec 0 Commentaires
Publié Il y a 17 heures • 20 vues
Luigi Mangione, 26 ans, ingénieur brillant et issu d’une famille aisée, est devenu malgré lui le visage d’un débat brûlant aux États-Unis. Diplômé de l’Université de Pennsylvanie, ce jeune homme charismatique, passionné par l’IA, la santé mentale et l’agriculture cellulaire, a été arrêté pour le meurtre de Brian Thompson, puissant patron d’un groupe d’assurance. Cet acte a déclenché un tsunami médiatique : pour certains, Mangione est un justicier, voire un héros, dénonçant un système qui broie les vies. Pour d’autres, c’est un criminel que rien ne saurait excuser.
Le contexte donne une profondeur particulière à l’affaire : Brian Thompson incarne la brutalité du système de santé américain, où les plus vulnérables sont souvent sacrifiés au nom du profit. En parallèle, l’affaire McKinsey resurgit, révélant que le cabinet a échappé à un procès pénal dans le scandale des opiacés en payant 650 millions de dollars. Une impunité révoltante, surtout face aux 800 000 morts causés par cette crise depuis 1999.
Dans ce climat, le geste de Mangione soulève des questions troublantes : qui décide de la valeur d’une vie ? Quels crimes méritent d’être punis ? Nicolas Framont, rédacteur en chef de Frustration Magazine, explore dans son article “Peut-on faire de Luigi Mangione un héros ?” les implications politiques et morales de cette affaire. Il établit des parallèles avec les assassinats politiques de l’extrême gauche des années 70-80 et analyse les signaux laissés par Mangione.
Peut-on comparer ce geste à la violence structurelle des entreprises comme McKinsey ? La justice est-elle équitable, ou favorise-t-elle les puissants ?
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Publié originellement16/12/2024
Catégorie Actualité & Politique
Licence Inconnu Langue Français Étiquettes Durée 46min 16sec
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Tr.: Ce que ça dit de l'ultra-capitalisme usa et son impunité ... refuser, défendre, déposer en échos à "define, decide, ? ... absence de recours des exclus du système de santé américain ... criminalité en cols blancs ... crimes de masse ... absence de sécurité sociale ...
Durée 28:33 - 2 pairs - Publié Il y a 3 semaines • 59 vues - 3+ - 3 Commentaires
Un jour travaillé non rémunéré pour financer la sécurité sociale ? C’est l’idée qu’ont eu les sénateurs dans la nuit de mercredi à jeudi dernier. Dans le budget 2025 de la sécu, les sénateurs de droite ont instauré une “contribution de solidarité”, destinée à financer les dépenses croissantes liées aux personnes âgées dépendantes. C’est 7 heures supplémentaires de travail dans l’année, non rémunérées. Les entreprises verseront 2,5 milliards d’euros à la branche autonomie. Le gouvernement était défavorable à l’amendement, mais considère que « la question du temps de travail doit être posée », raconte Public Sénat. La gauche dénonce un scandale après le refus de leurs amendements pour augmenter les impôts des plus riches. À l’extrême droite, Marine Le Pen réoriente sur les étrangers.
Une mesure qui ne résorbera rien du tout, analyse Thomas Porcher, si ce n’est ajouter une pierre à l’édifice du dégoût de la politique pour les français. L’économiste dénonce la politique de l’offre d’Emmanuel Macron qui a conduit au déficit, et qui veut combler le trou dans la caisse “en tapant toujours sur les mêmes, les français de classes moyennes et pauvres qui en plus sont ceux qui paient le plus d’impôts en proportion”, décrivent Lisa Lap et Thomas Porcher. “L’effort” est très inégal, rappellent-ils.
“Aujourd’hui l’on devrait travailler moins par personnes avec plus de personnes en poste, et dans de meilleurs conditions” explique l’économiste.
Le fameux socle commun, censé rassembler des macronistes contre la loi immigration, à Bruno Retailleau, n’est plus si commun que ça. Un nouveau sujet divise les libéraux. Les impôts. Alors que Michel Barnier porte un budget avec un peu d’effort fiscal pour les grosses fortunes et grandes entreprises, les rangs macronistes font de la résistance. Les impôts, c’est leur ligne rouge. Surtout que le Premier Ministre veut revenir revenir sur une partie des exonérations de charges, œuvre de Macron, qui permettrait à l’État de récupérer 4 milliards d’euros. “Attention à l’impôt de trop ! Les entreprises ne doivent pas être la variable d’ajustement” prévient Antoine Armand, Ministre de l’Economie et des Finances. Le bras de fer est entamé.
“Le ras le bol fiscal est une expression creuse, qui ne veut rien dire” affirme Thomas Porcher. L’économiste explique que les grandes fortunes n’aiment pas la France et son modèle social. Il rappelle, avec Lisa Lap, que la France n’est pas championne des impôts, mais des cotisations, qui font la redistribution et réduisent les inégalités. La France est également championne du nombre de millionnaires… jugée comme un paradis fiscal pour bon nombre d’économistes. Thomas Porcher dénonce la mauvaise orientation des débats sur ce sujet depuis des années.
Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c’est l’Instant Porcher !
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Publié originellement 25/11/2024
Catégorie Actualité & Politique
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Les indiscrets de Nils Wilcke / 6 décembre 2024 - 20H00
Nouvel épisode des Indiscrets de Nils Wilcke, le rendez-vous hebdomadaire qui vous emmène dans les coulisses de la politique française, sans filtre, sans langue de bois, sans concession. Une émission portée par Nils Wilcke, journaliste politique jusqu’au bout des ongles, qui sait exploiter son réseau pour vous apporter des informations exclusives et des analyses affûtées.
Au sommaire :
Après son allocution télévisée consécutive à la censure du gouvernement Barnier, a-t-on enfin le droit de couronner Emmanuel Macron premier manager pervers de France ? Nils nous fournit les faits qui nous pousseraient à répondre à cette question par l’affirmative.
Le PS va-t-il trahir le NFP? Certaines prises de parole de responsables de haut niveau du parti à la rose peuvent le laisser penser. Mais qu’en est-il vraiment ? Et si Olivier Faure jouait un jeu plus subtil qu’il en a l’air ? Nils a recueilli des informations de première main pour nous.
Et si au final, cette “piste” PS était une manière de gagner du temps pour Emmanuel Macron, tout comme l’idée opportuniste d’un référendum, tactique qu’il a souvent utilisée quand il était en difficulté, notamment durant la crise des “Gilets jaunes” ? On aborde cette question en profondeur.
*Tr.: ... conseiller politique Jean-Bernard Gaillot-Renucci ... poids d'Alexis Colère jamais atteint ... une illusion qui arrange les deux parties (PS et Macron) ...
Rédaction 7 ans
Une interview de P. Canaud de web86.info pour Centre Presse
http://www.centre-presse.fr/article-583921-oui-a-la-pluralite-de-l-info.html
13/02/2018 04:58
Des proches de Mélenchon ont lancé Le Media, une chaîne d’info sur internet. Comment le jugez-vous?
Pascal Canaud: ... on assume notre choix politique de gauche, oui. Je ne crois pas à la neutralité, mais je dis oui à la pluralité de l’info. Cela dit, « web86.info », c’est un site d’information militante non professionnel. ...
Recueilli par Philippe Bonnet
Publié Il y a 3 jours • 29 vues
Il y a un sujet dont on parle peu et qui explique peut-être, du moins en partie, pourquoi l’intérêt des français n’est pas à la hauteur des enjeux : c’est le climat. Ou plutôt le désastre climatique auquel les pouvoirs publics apportent des réponses timides voire anti-écologiques. Le jeudi 17 octobre au soir, une quarantaine de départements ont été placés en vigilance orange, et même rouge, pour risque de crue ou de pluie-inondation. La région Auvergne-Rhône Alpes a été durement touchée.
En Ardèche, l’épisode de fortes précipitations de cette dernière semaine est le plus intense jamais enregistré sur deux jours depuis le début du XXe siècle. Les images de rues inondées, de véhicules submergés et d’animaux emportés par les eaux témoignent du caractère exceptionnel de ces intempéries et de de notre retard en matière d’adaptation au changement climatique.
On en parle avec Clément Sénéchal, ex-porte parole de Greenpeace, Militant écologiste, Expert des enjeux climatiques et auteur d’un livre très critique sur ce qu’il appelle l’écologie du spectacle : “Pourquoi l’écologie perd toujours”, paru le 11 octobre dernier aux éditions Seuil.
Visibilité Publique - Publié originellement 03/11/2024
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueFrançais Étiquettes Durée 25min 39sec
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Ndlr : n'oublie-t-il pas les actions juridiques de GP ? Approfondir ACT
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Dans le « Préambule » de cette nouvelle chronique de « L’œil de MouMou », le journaliste indépendant Mourad Guichard a rendu hommage à Perrine Storme, une consœur qui brille régulièrement par son professionnalisme. Son premier « Top » est allé à Frédéric Sergent, un enseignant du Loiret qui a saisi l’Arcom pour des propos racistes tenus par Frédéric Hazizia et Yvan Attal dans les studios de Radio J. La réponse de l’autorité est purement et simplement lunaire. L’autre a gratifié l’association de critique média Acrimed pour son décryptage des liens consanguins entre les Éditions de l’Observatoire et les toutologues de plateaux TV.
Les « Flop » ont pêle-mêle été attribués à deux chroniqueurs d’extrême droite qui, telle une scène du film « La chute », ont nié la situation d’Apartheid vécue par la population palestinienne et fantasmé sur un lien entre un député LFI et les événements terroristes du 7 octobre. Le journaliste indépendant s’est également étonné de la posture de Thomas Guénolé, intellectuel de gauche présent régulièrement sur les plateaux de l’émission populiste TPMP, et qui se fait régulièrement humilier par Cyril Hanouna, l’animateur égocentré et un brin parano.
Il s’est également interrogé sur le travail des journalistes de BFMTV capables d’interroger un maire de droite sur les violences urbaines sans interroger son propre passé judiciaire. La présence d’un « médium » sur le plateau de CNews a également intrigué notre chroniqueur.
La rubrique « Au microscope » s’est penchée sur la manière dont les chaînes de Bolloré ont traité la campagne de la présidentielle américaine. Évènement exceptionnel : Mourad Guichard a rendu hommage à un éditorial de Pascal Praud.
Les « Coups de cœur » sont allés à Clara Magazine, au talent des internautes et à la collection des Éditions du Croquant avec le dernier opus de Claude Calame et Ludivine Bantigny.
⚠️ Depuis le 10 septembre 2024, Le Média n'est plus diffusé sur la 350 des Freebox mais sur le canal 165. Une nouvelle numérotation qui nous accorde une bien meilleure visibilité !
Publié originellement 06/11/2024
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueFrançais Étiquettes Durée 44min 38sec
Ndlr : le maire de Rillieux-la-Pape est Alexandre Vincendet, condamné pour violences sur ses enfants dans le cadre de son divorce.
"ILS CHERCHENT À ME FAIRE TAIRE !" : PASCAL BONIFACE S'EXPLIQUE SUR LA POLÉMIQUE SUR KARIM BOUAMRANE
Publié Il y a 4 jours • 37 vues
Le Média
Par lemediatv
Un “Muslim d'apparence” ! Cette expression qui a fait couler beaucoup d’encre dans la sphère médiatico-politique, il faut le dire, surtout à droite de l’échiquier, a été utilisée dans un tweet écrit par le chercheur Pascal Boniface le 20 octobre, en parlant de Karim Bouamrane, le maire de Saint-Ouen. Pascal Boniface répondait ainsi à une vidéo de l’élu socialiste, invité dans l'émission de France 2 "Quelle époque" et dans laquelle il ne voulait pas parler du conflit au moyen-Orient et de Gaza en particulier, affirmant que ce sujet a importé en France à des fins électoralistes ». Le post du chercheur a vu se succéder : réactions d’indignation, appels à la censure, interdictions de conférences, etc. Dernière salve d'attaques : Le maire de Dijon François Rebsamen a annoncé l'annulation des Internationales de Dijon, un événement organisé chaque année par la ville, en partenariat avec l'IRIS. Nantes Métropole de son côté a annoncé que Pascal Boniface ne sera pas associé aux prochaines éditions des Géopolitiques de Nantes. Le directeur de l’IRIS, n’a pas été épargné par cette déferlante d’attaques, jusqu’à un signalement de la LICRA au procureur de la République. Alors faut-il vraiment voir derrière ce propos un dérapage ou est-il grossièrement instrumentalisé par la droite et les censeurs de la critique de l’Etat d’Israël ? Pascal Boniface est notre invité pour tenter de répondre à cette question.
Visibilité Publique Publié originellement 24/10/2024 Catégorie Actualité & Politique
Licence Inconnu Langue Français
Étiquettes Durée 23min 9sec
Tr.: ... musulmans d'apparence ... conflit israelo-palestinien ... la convention de 1948 est là pour prévenir les génocides ...
MACRON, L'AGENT D'UBER : LES VÉRITÉS D'UNE DÉPUTÉE SUR CE SCANDALE D'ÉTAT
Publié Il y a 5 jours • 35 vues
Le Média
Par lemediatv
Le sujet de l’ubérisation et de la collusion entre nos politiques et les intérêts privés d’Uber, c’est en quelque sorte le cheval de bataille de Danielle Simonnet depuis des années. Elle vient de publier un nouvel ouvrage intitulé : “Face à Uber. Enquête sur un scandale d'Etat”. La députée de Paris nous propose dans ce livre de faire une véritable plongée dans les révélations des “Uber files”. Un scandale d’État dont vous avez probablement entendu parler ces deux dernières années, sans peut-être en mesurer l’ampleur. Plus de 124 000 documents confidentiels révélés par un Consortium International de journalistes d’Investigation, c’était en juillet 2022, des documents internes de l’entreprise américaine Uber qui montrent notamment comment, entre 2014 et 2016, Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, a œuvré en coulisses pour favoriser la société privée de VTC, en dépit d’une certaine hostilité du gouvernement de l’époque. Rapporteure de la commission d’enquête parlementaire Uber Files entre février et juillet 2023, Danielle Simonnet veut inciter à la vigilance sur les conditions de travail des « auto-entrepreneurs » exploités par Uber et des plateformes du même type, dans une société gagnée par l’ubérisation. Figure de l'opposition de gauche à la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo et du XXe arrondissement de la capitale, elle met en exergue dans ce livre comment les pratiques de ces plateformes remettent dangereusement en cause de nombreux acquis sociaux.
Visibilité Publique Publié originellement 22/10/2024
Catégorie Actualité & Politique
Licence Inconnu Langue Français
Étiquettes Durée 41min 5sec 1 Comment
Tr.: ... Bernard Cazeneuve savait ... le scandale d'état continue ... les plateformes exploitent de faux indépendants ... rapport de subordination, protégé par un contrat de salarié ... on revient à la fin du 19ème siècle ... péter le salariat pour défendre l'oligarchie ... Leila Chaibi au parlement européen a obtenur leur protection ...