... criminaliser l’apartheid de genre ...
L'ex-députée La France insoumise et candidate à sa réélection, Mathilde Panot, s'est exprimée au meeting du Nouveau Front populaire ce lundi soir.Voir moins
Le 17/06/2024 à 21:01 | Durée : 1:35
Publié le 25/04/2016 à 16h38 - Écrit par Bernard Dussol
Mis à jour le 11/06/2020 à 09h20
L'accueil des femmes victimes de violences conjugales est pris très au sérieux par le CHRS d'Angoulême. Anne Lorient a relaté ses années passées dans les rue de Paris dans "Mes années barbares". Elle est venue à Angoulême pour rencontrer plusieurs femmes qui s'en sont sorties grâce à ce dispositif.
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association DesCodeuses : forme des femmes issues des quartiers populaires à la programmation
Connu / mel [Diversite] Convention d'échange de compétences entre la mission logiciels libres de la (DINUM) et l'association DesCodeuses
Date : Wed, 20 Dec 2023 14:03:54 +0100
Pétition - Jusqu'au 01.07.2024
57713 soutiens
Depuis qu'ils ont pris le pouvoir en août 2021, les talibans mènent une véritable guerre contre les femmes et les filles afghanes en restreignant dramatiquement leurs droits. Cette campagne de persécution fondée sur le genre est organisée, généralisée et systématique. Au regard de notre analyse juridique, elle pourrait constituer un crime contre l'humanité.
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Marie-Christine VERDIER-JOUCLAS (https://www.verdier-jouclas.fr/actions/circonscription/colloque-sur-les-violences-conjugales-faites-aux-femmes.html)
Colloque sur les violences conjugales faites aux femmes
Le 19 septembre 2019, Marie-Christine Verdier-Jouclas, députée du Tarn, participait au colloque organisé par ...
Connu / TG le 28/06/23 à 20:06
Connu / TG le 28/05/23 à 19:56
Que sait-on de la vie des collégiennes, lycéennes, jeunes actives des classes populaires en milieu rural ? Comment ...
Connu / TG le 28/06/23 à 19:52
Comment les jeunes femmes des milieux ruraux se construisent-elles ? Quel est leur quotidien, quelles sont leurs ...
Connu / TG le 28/05/23 à 19:50
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La maison en A - Film complet - english subtitles - Elle construit elle-même sa maison en A.
Un film de Morgane Launay
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Le triangle de La maison en A - Partie 1 • Le triangle - Out...
Redressement de la structure • Bonus La Maison e...
🎥 🎥 🎥 Le film de la maison en A 🎬 🎬 🎬
C’est l’histoire d’Elizabeth Faure, bâtisseuse, qui a décidé de réaliser son rêve : construire elle-même sa maison. Mais avec le minimum d’argent, soit 40 000 euros pour 180 m2 de surface habitable. Elizabeth Faure a 65 ans lorsqu’elle se lance dans ce projet fou, c’était en 2013, près de la commune de Lusignac en Dordogne. La Maison en A, long métrage réalisé par Morgane Launay, raconte son histoire. « J’ai eu envie filmer cette mission impossible : une femme soixantenaire et sans argent qui construit quasiment seule sa maison en forme de A. Cette super-héroïne prouve que tout est possible », explique la réalisatrice.
Le défi d’une vie
Derrière cet ambitieux projet, le but d’Elizabeth Faure est de prouver que « même les pauvres peuvent construire eux-mêmes leur maison… Pour l’estime de soi, c’est quand même vachement mieux », lâche-t-elle. Celle qui se décrit comme une « vieille hippie baba-cool » a mûri ce défi depuis des années, en fait depuis son école d’architecture. C’est en voyant un reportage sur les cabanes pour SDF de 15m2 construite par Emmaüs qu’elle se dit qu’elle peut « faire beaucoup mieux ». À l’époque, elle dessine des plans pour bâtir des maisons de 25m2 pour 6 000 euros. Mais son projet n’a intéressé personne. Alors elle s’est dit que pour montrer que c’était possible, elle allait le faire elle-même.
Émilie Kovacs / Les Nouveaux Enjeux. Juillet 2016
💚 💚 💚 Tout est possible. 💚 💚 💚
C'est ce concept que j'ai voulu prouver, éprouver, explorer en suivant l'aventure extraordinaire d'Elizabeth.
« La maison en A » , c'est la construction d'une maison en solitaire par une femme de 65 ans avec un budget riquiqui. C'est aussi un film, une belle aventure humaine pour laquelle j'ai planté ma tente sur un chantier pendant 8 mois. Un film pour lequel j'ai consacré presque cinq belles années entre l'écriture, le tournage, le montage et la tournée de diffusion.
Malgré beaucoup d'efforts pour trouver des partenaires qui s'associeraient à la construction de ce projet ambitieux, le destin s'est entêté à rapprocher nos deux aventures en solitaire. Elizabeth a construit sa maison seule tout comme j'ai dû construire ce film seule. Cela n'a pas été facile tous les jours, de garder la force et l'endurance pour aller jusqu'au bout, mais la magnifique réponse du public et la joie d'avoir réussi m'ont prouvé que ça valait le coup de se battre.
Et comme toute aventure a une fin, après 35 diffusions un peu partout en France et quelques embardées un peu plus lointaines, j'ai décidé de donner à ce film un nouveau départ en le faisant voyager librement à travers vous, son public. Je constate aujourd'hui, deux ans après l'avoir mis en ligne que c'était le meilleur choix, puisque la réponse de la communauté internet est encore plus impactante, et qu'elle va permettre à beaucoup de personnes de se construire leur propre habitat. C'est un grande victoire pour ce film, et pour le rêve de départ d'Elizabeth.
Crédit :
Un film de Morgane Launay
Un projet d’Elizabeth Faure
Images additionnelles et prises de vue aériennes : Etienne Rallion
Son additionnel : Etienne Vaudrey
Musique : Nkahra - / @nkahraofficial
Mix film : Cédric Le doré
Site web de la réalisatrice - photographe : http://www.morganimage.com
https://www.instagram.com/_morganelau...
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Toutes ne partageaient pas les mêmes combats, les mêmes rues, les mêmes tribunes. Toutes ont pourtant toutes été victimes d’un même crime : le féminicide politique. Crime invisible, l’assassinat politique genré consiste à tuer une femme pour la cause qu’elle défend mais aussi parce qu’elle est une femme. Le collectif «Femmes à abattre» est sorti du bois il y a quelques jours pour briser le silence: semaine après semaine, «Femmes à abattre» produit la première enquête internationale sur les féminicides politiques. Il a déjà repertorié près de 300 crimes dans le monde. Pour en parler, Au Poste reçoit trois des instigatrices de «Femmes à abattre»: Leïla Miñano, Hélène Molinari et Anne laure Pineau
Journaliste : David Dufresne
Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat Production : Sophie Romillat Directeur du développement : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaissa Directeur de la rédaction : Denis Robert
#Féminicides #Politique #Enquête
Visibilité Publique
Publié originellement 01 avril 2023
Catégorie Divertissement LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes assassinat politique genré ; blast ; crimes ; Féminicides ; Leïla Miñano
Durée 1h 44min 26s
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Photo En 1982, des manifestantes contre l'installation de missiles nucléair se sont unies pour encercler la base américaine de Greenham Common, en Angleterre. ©AFP - UPI
Depuis les années 1970, à Plogoff, Greenham Common, Fessenheim, Fukushima, en passant par Bure, des femmes se sont constituées en collectifs et ont mené des actions antinucléaires pour alerter sur les conséquences de cette technologie et dénoncer un projet antidémocratique et patriarcal.
Dans le cadre de notre semaine avec Pénélope Bagieu, nous nous intéressons aux liens entre luttes des femmes et nucléaire.
Dans les luttes antinucléaires, des mouvements et collectifs de femmes se sont constitués en opposition à cette puissance nucléaire, qu’elle soit civile ou militaire.
Si certaines de ces femmes ne se définissaient ni comme féministes, ni comme écologistes comme à Plogoff dans les années 1970, certains mouvements dans les années 80 comme aux États-Unis avec le Women’s Pentagon Action ou en Angleterre avec Greenhman Common se revendiquaient comme féministes, non-mixtes et avec des modes d’actions bien particuliers. Ces mouvements de femmes anti-nucléaires sont polymorphes et pluriels, ils se réinventent aujourd'hui à travers de nouveaux terrains de lutte et de nouvelles formes de militantisme, notamment à Bure, lieu d’enfouissement des déchets nucléaires.
Pourquoi des luttes féministes se sont rattachées historiquement à la lutte antinucléaire ?
Pourquoi le nucléaire s'impose comme un véritable symbole du patriarcat ?
Ces mouvements sont une recherche d’antidote qui vont s’opposer au nucléaire en développant des formes de performances, de poésies, d’art, pour faire raisonner des enjeux civilisationnels et existentiels, et critiquer cette technologie identifiée comme mortifère.
Chants, danses, slogans, tels que “sorcière, vénère, anti-nucléaire”, réunions d’information jouant sur le bouche-à-oreille, occupation de forêts, les moyens de lutte des écoféministes antinucléaires cherchent à se réinventer et à donner une tonalité non-violente.
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Cette lutte féministe antinucléaire n’a pas toujours été non-violente. Françoise d’Eaubonne, l’écrivaine qui a pensé le néologisme « écoféministe » participe en 1975 à poser des bombes artisanales sur le chantier de la centrale nucléaire de Fessenheim dans le Haut-Rhin, cela qui cause des dégâts et retarde la construction de plusieurs mois.
Quel est le lien entre le féminisme et la lutte contre le nucléaire ?
Les femmes sont en effet parmi les adversaires les plus actives, et les plus critiques, de l'énergie nucléaire. Comment expliquer la persistance de ce mouvement social, féministe et antinucléaire ?
La journaliste Jade Lindgaard explique : « C'est peu connu en France. Mais dès les années 1970, aux États-Unis, et en Grande-Bretagne, des mouvements féministes, anti-nucléaire se développent. Ils sont très populaires, et très actifs. Le lien entre être féministe et être antinucléaire pour ces femmes ? À l'époque, c'est principalement deux choses. Le nucléaire est considéré comme l’incarnation et la célébration du patriarcat. C’est une énergie brutale et hiérarchique, opaque, sur laquelle on n'a aucune prise, qui vous écrase, vous marche dessus, et ne vous laisse pas votre mot à dire.
Par ailleurs, le nucléaire est souvent à l'époque géré par des hommes. C’est un milieu pas féminin. La différence avec aujourd'hui : ce sont des mouvements pacifistes. À la fin des années 1970, au début des années 1980, à la fin de la guerre froide, naît une tension sur la question de la présence de missiles nucléaires, soviétiques, et étasuniens. Il y a vraiment la peur d'une troisième guerre mondiale qui serait une guerre nucléaire.
Des femmes plus ou moins anti-capitalistes, plus ou moins anarchistes se réunissent autour du refus de la mort par la bombe nucléaire. Le lien entre féminisme et anti-nucléaire se fait alors sur la question de la vie. C'est un enjeu d'existence. Face à un enjeu existentiel, il n'y a pas de compromis. Donc on occupe, on bloque, on sabote… C’est une bataille vitale. »
Et aujourd’hui ?
L’activiste Pauline Boyer estime que le sujet est toujours d’actualité : « Ces arguments et les références à la vie sont toujours valables aujourd'hui. D’autant plus que nous sommes dans une période cruciale par rapport aux choix que l’on va faire pour faire face au dérèglement climatique, à l'effondrement de la biodiversité et aux crises sociales qui existent… Le choix de relancer le nucléaire imposé par le gouvernement revient à imposer un système qui ne répond pas du tout aux besoins de la société aujourd'hui. Donc, aujourd'hui, nous sommes dans une même dynamique de violence verticale. Dès que quelqu'un émet une critique sur l'énergie nucléaire arrive un déchaînement de violence, en tout cas sur la question du réchauffement.
Il faut aussi regarder quels sont les effets secondaires du nucléaire avec la production de déchets radioactifs, avec la menace nucléaire, la menace d'accident nucléaire qui n'est pas un fantasme. On a affaire à Three Miles Island, Tchernobyl, Fukushima… On sait que ça peut arriver ! Et puis, le dernier rapport du GIEC nous dit qu’il faut réduire de moitié nos émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030. Antonio Guteres dit que les pays développés doivent tout faire pour atteindre la neutralité carbone en 2040.
Aujourd'hui, on met 15 à 20 ans à construire une centrale nucléaire. On est complètement hors délai. C’est une excuse pour l'inaction climatique du gouvernement. Il prétend agir alors qu’il propose une solution basée sur un fiasco industriel français. Flamanville après quinze ans de chantier et une multiplication des coûts par six, ne fonctionne toujours pas. C'est une solution qui est beaucoup trop lente face à l'urgence climatique. Il y a un risque. L’activiste Marge Piercy disait : « Comment comprendre quelque chose qui ne vous tue pas aujourd'hui ou demain, mais lentement, de l'intérieur pendant 20 ans ? Comment concevoir qu'un choix industriel, ou gouvernemental, signifie que nous soyons porteurs de gènes difformes et que nos petits-enfants seront mort-nés si nos enfants ont de la chance ? Des études faites sur les populations, notamment de Tchernobyl, effectuées à l'hôpital de Novossibirsk qui est à 200 kilomètres de Tchernobyl montrent que les adultes ont 50 % de maladies respiratoires de plus que la moyenne de la Fédération de Russie. Donc, dans le temps, les impacts sont avérés. »
La suite est à écouter...
On en parle avec :
- Jade Lindgaard, journaliste au pôle écologie de Mediapart, spécialiste des questions environnementales
- Pauline Boyer, activiste climat et chargée de campagne sur la transition énergétique pour Greenpeace. Co-autrice du Manifeste pour la non-violence , Edition Charles Léopold Mayer
Aujourd'hui, pour ce 31 ème épisode, nous allons parler féminisme et milieu rural, avec Emilie Gayrard, du réseau breton ...
Connu / TG le 19/02/23 à 16:43
La synthèse de ce rapport :
https://www.senat.fr/rap/r21-060-1/r21-060-1-syn.pdf
Connu / TG le 19/02/23 à 16:33
🔴 Présentation de la PPL visant à mieux reconnaître le travail des femmes et sa pénibilité
Rendez-vous ce mercredi 8 mars à 10h pour suivre en direct la conférence de présentation de la proposition de loi visant à ...
Connu / TG le 08/03/23 à 11:34
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Connue / TG le 21/12/22 à 00:04
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