Off Investigation @Offinvestigatio · 26 févr.
⚡ THIERRY BOURET, LE GROS CÉRÉALIER QUI ASSÈCHE LE MARAIS POITEVIN
👉 Il co-gère 7 exploitations agricoles, exploite 1800 ha et pompe 1M de m3 d'eau/an dans les nappes phréatiques
👉 "L'irrigation permet de doubler les rendements et donc de nourrir la planète"
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Ce JEUDI 24 Août 2023, une trentaine de scientifiques, personnalités ET militants du monde associatif CO-SIGNENT UNE TRIBUNE à l’attention du géant de la volaille LDC :
Aujourd’hui, dans un bâtiment anonyme de la zone industrielle de Sablé-sur-Sarthe (Pays de la Loire), un groupe agroalimentaire français tient son Assemblée générale dans la plus grande discrétion. Les actionnaires s’y félicitent de résultats financiers vertigineux, obtenus grâce aux pires méthodes de l’élevage intensif. Ce groupe méconnu du grand public s’appelle LDC, et c’est le n°1 de l’exploitation des animaux en France.
LDC, mastodonte de l’élevage intensif
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Le groupe LDC est un habitué des chiffres démesurés. Composé des initiales de ses fondateurs, Lambert, Dodart et Chancereul, son nom en porte la trace : la famille Lambert, principale actionnaire, figure dans le classement des 200 plus grandes fortunes françaises.
L’un des secrets de ces résultats ? LDC mure la majorité des animaux en élevages intensifs : une manière d’optimiser les coûts, au détriment de toute responsabilité morale et sociétale. Ces derniers mois, des images de chevreaux, de poulets ou de lapins à l’agonie, tournées dans des élevages sous contrat avec le groupe, ont rappelé que de nombreuses espèces subissent la claustration et des densités d’élevage excessives.
Ce sont les résultats du pôle Volaille qui tirent les bénéfices de LDC à la hausse. Le groupe détient en effet 40 % du marché des oiseaux d’élevage, notamment des poulets dits « de chair ». En France, 741 millions de poulets sont abattus chaque année. Pour le groupe LDC, ils sont destinés à fournir des marques bien connues : Le Gaulois, Marie, ou encore Maître CoQ.
Une rentabilité basée sur la cruauté
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TRIBUNE CO-SIGNÉE PAR :
ARNAL Muriel, présidente fondatrice de One Voice
BARLERIN Laetitia, docteure vétérinaire et journaliste
BISMUTH Jérémy, FLAHAULT Laura et RASSI Hadi, de la série Ami des lobbies
BOVET Dalila, éthologue, professeur à l’Université Paris Nanterre
BURGAT Florence, directrice de recherche (ENS/INRAE)
CRONIER Nathalie, présidente de l’association Neuvy Nouvel Horizon
DEL AMO, Jean-Baptiste, écrivain
DUFAURE Esther, membre fondatrice de l’association Eaux Secours Agissons
DUPUIS Sandrine, présidente de l’association Bien Vivre à Saint Péreuse
FERNANDEZ Lisa, présidente de l’association Les 3 Dindes, Ferme-Refuge
FOMBONNE Jacques-Charles, président de la SPA
FRIGNET Jérôme, directeur programme de Greenpeace France
GABRIELE Gaëtan, activiste et créateur de contenu
GEINDREAU Léa, porte-parole d’Alternatiba Paris
GOSSELIN Michel, docteur en médecine et président de l’association Bressolles Bien Vivre
GOTHIÈRE Brigitte, directrice cofondatrice de L214
HOUPLON Pascal, président d’Aube-Durable
KENAN Galitt, directrice du Jane Goodall Institute France
LAHIANI Yves, docteur vétérinaire
LAMART Stéphane, président fondateur de l’Association Stéphane LAMART
MERSCH Manuel, docteur vétérinaire, président de l’OABA
MEURICE Guillaume, humoriste
NAYAK Lucie, chargée de sensibilisation & développement, Refuge GroinGroin
OECHSNER Magali, membre du collectif Non à la mégaporcherie
PELLUCHON Corine, philosophe, professeure à l’université Gustave Eiffel
PUVANESWARAN Vipulan, militant écologiste
RICARD Matthieu, docteur en génétique
SANVISENS Amandine, cofondatrice de PAZ
WAGNER Thomas, fondateur du média Bon Pote
ZUCCOLO Ghislain, directeur général de Welfarm – Protection mondiale des animaux de ferme
Connu / https://twitter.com/GreenpeaceMans/status/1696069516407501172
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Greenpeace - Groupe local du Mans @GreenpeaceMans · 14h
Vous aussi, interpellez LDC sur leurs pratiques d'élevage d'une cruauté sans nom 😖
Surtout que :
Le jeudi 24 août 2023, une trentaine de scientifiques, personnalités et militants du monde associatif co-signent une tribune à l’attention de LDC
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Extractions massives, trafics, corruption... L’exploitation du sable a des conséquences environnementales, humaines et sociales, rappelle l’auteur de cette tribune. Pour ...
Connu / TG le 07/06/23 à 14:25
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À l'occasion de l'ouverture du salon de l'agriculture, Jean-Luc Mélenchon s'est rendu ce 26 février 2022 dans une exploitation agricole des hauts de la ville de Saint-Paul de La Réunion.
La visite de cette exploitation maraîchère lui a permis de développer ses propositions pour une agriculture vivrière, locale et débarrassée des pesticides. Il est également revenu sur la nécessité de repenser l'agriculture sur le temps long : organiser et planifier en partant de nos besoins.
Clés : EDF, Etat, Faillite
L’Etat vient de ponctionner EDF de quelque 8 milliards d’euros, accélérant sa descente aux enfers. Le groupe est étranglé par ses dettes, la conséquence de sa mauvaise gestion depuis plus de vingt ans.
Si l’année 2021 s’est terminée en fanfare pour EDF grâce à des prix de marché astronomiques lui permettant d’engranger de grosses marges sur ses ventes d’électricité, 2022 commence mal. Très mal. A cause de ces mêmes prix de marché qui font flamber la facture des professionnels et entreprises (qui ne sont plus protégés par des tarifs garantis) et celles des particuliers qui ont quitté l’ex-monopole public pour la concurrence, l’Etat a décidé de ponctionner l’électricien public pour sauver ses concurrents privés, contraints d’acheter sur les marchés le volume d'électricité consommé par leurs clients, en augmentant de 20 TWh le volume obligatoire d’électricité que doit vendre EDF à prix garanti à ses concurrents.
C’est ce qu’on appelle l’Arenh, l’accès régulé à l’électricité nucléaire historique : 100 TWh par an, vendus au tarif de 42 euros par MWh. Seul petit geste fait par le gouvernement : le tarif sera porté à 46,2 euros par MWh pour les 20 TWh supplémentaires.
Un impact quasi-mortel
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Pour comprendre l’impact quasi-mortel de la décision du gouvernement, ... décrypter le jargon financier utilisé par l’entreprise. L’EBITDA, notion comptable anglo-saxonne évoquée par le communiqué de presse, est plus ou moins l’équivalent de l’excédent brut d’exploitation (EBE), notion comptable bien franchouillarde : elle correspond à ce qui reste dans les caisses de l’entreprise après avoir payé ses charges annuelles (comme les salaires) et ce qui lui permet de financer les investissements, rembourser les dettes ou payer des dividendes à ses actionnaires.
En 2020 (les comptes 2021 d’EDF doivent être publiés en février prochain), l’EBE du groupe ressortait à 16,174 milliards d’euros. On comprend donc que si l’Etat lui pique 8 milliards pour sauver les électriciens privés, ça va mal finir pour EDF : ça représente la moitié de son EBE.
Des réacteurs à l'arrêt
... son parc nucléaire en exploitation est dans un piteux état. Depuis la fin de l’année dernière, ses quatre plus gros réacteurs de 1450 MW de puissance (ceux de Chooz et de Civaux) sont à l’arrêt en raison de la découverte d’une fissure sur une tuyauterie de sécurité (RIS, circuit d’injection de sécurité) qui permet de fournir le réacteur en eau en cas de rupture du circuit primaire. Et EDF a déjà annoncé que pour les deux de la centrale ardennaise, la mise à l’arrêt se prolongerait une bonne partie de l’année.
Conséquence directe de cet incident, EDF a été obligé de revoir à la baisse sa prévision de production d’électricité nucléaire pour l’année en cours. L’entreprise vise maintenant entre 300 et 330 TWh, bien loin de ses niveaux historiques : en 2011, l’électricien avait ainsi produit 421,1 TWh d’électricité nucléaire. Forcément, moins de production va signifier moins de ventes, donc moins d’excédent brut d’exploitation ...
Plus grave, le même problème technique (la fissure sur le RIS) a également été découvert sur un réacteur de 1300 MW à Penly. Cette fois, ce sont 20 réacteurs du même type qui ont été construits en France et qui sont donc potentiellement concernés
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En fait, c’est juste la goutte d’eau de trop.
Histoire de la dette
... Dès le milieu des années 2000, juste après son introduction en bourse, l’entreprise a été obligée d’emprunter tous les ans pour verser des dividendes à ses actionnaires (entre 1,5 et 3 milliards selon les années). Le plus gros : l’Etat qui détient 85 % du capital. Depuis 2016, l’Etat a d’ailleurs accepté de ne plus toucher ses dividendes en cash mais en actions pour soulager un peu la pression sur la trésorerie de l’entreprise.
Mais l’avidité des actionnaires n’est pas la seule cause des difficultés. Depuis la fin des années 1990, EDF n’a pas été correctement gérée : l’entreprise a perdu des dizaines de milliards d’euros dans des opérations d’acquisition à l’étranger, souvent inutiles et surpayées
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En 1998, au moment où la construction du parc nucléaire se termine, la dette financière d’EDF s’élevait à 22 milliards d’euros. En 2020, elle ressort à plus de 61 milliards d’euros (hors dette locative). ... Toujours en 1998, le chiffre d’affaires du groupe s’élevait à 29,5 milliards d’euros. Il a atteint 69 milliards en 2020. Soit une augmentation de 134 %. Sur cette même période, l’EBE passait de 12 milliards à 16 milliards : +33 % seulement ! Evidemment un niveau insuffisant pour permettre un véritable désendettement
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De plus, depuis le milieu des années 2010, les performances opérationnelles des centrales nucléaires ne cessent de se dégrader. Alors qu’au début de cette décennie, la production nucléaire couvrait autour de 75 % de la consommation d’électricité du pays, ce taux est tombé à 69 % en 2020. ... succession de problèmes génériques ... problèmes de maintenance qui obligent à rallonger les durées des arrêts de tranche ... la durée moyenne d’indisponibilité des réacteurs est maintenant supérieure à 90 jours par an selon le dernier rapport indépendant World Nuclear Report https://www.worldnuclearreport.org/IMG/pdf/25._figure_25_nuke_france_dailyunavailabilities2020.pdf. Sans oublier l’impact des périodes de confinement provoquées par la Covid-19
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nouveau report dans le calendrier de l’EPR de Flamanville, et une augmentation de 300 millions d’euros de sa facture finale à 12,7 milliards (hors frais financiers et coûts de démarrage). L’électricien prévoit maintenant le chargement du combustible au cours du deuxième trimestre 2023.
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Sauf subvention publique massive de la part de l’Etat, il parait impossible qu’EDF puisse financer un tel investissement
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Connue / tg 19/01/22 à 23:55
Ndlr :
- enquête sourcée, sérieuse +
- mesures caricaturales du néolibéralisme : mettre l'état au service du marché et/ou des entreprises privées ! DÉNONCER ACT
58 167 signatures
La réserve de faune à okapis abrite encore une population considérable de cette espèce menacée, endémique de la République démocratique du Congo. Mais l’exploitation effrénée de l’or dans le site classé au patrimoine mondial de l’Unesco, notamment par la société chinoise Kimia Mining, suscite une grande inquiétude.
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Seulement 30 000 okapis vivent encore à l’état sauvage. Et leur habitat se réduit inexorablement
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Selon un rapport des Nations Unies, des officiers militaires de haut rang de la République démocratique du Congo sont impliqués dans le trafic d’or. Les milices tirant également des revenus de l’exploitation aurifère illégale, cette dernière est donc étroitement liée à la violence dans l’est du pays.
...
Nous demandons donc au président Tshisekedi et au gouvernement d’appliquer les lois et de mettre un terme aux activités minières ...
163 224 signatures
Ne laissons pas l’industrie pétrolière détruire la nature, la faune et les précieuses réserves en eau en Namibie, où la société canadienne ReconAfrica a obtenu une concession dans le bassin écologiquement sensible du Kavango. Soutenez la coalition citoyenne qui, sur place, lutte contre son projet d’extraction d’énergies fossiles.
Appel
Au Président et à la Première ministre de la Namibie, au Président du Botswana
“L’exploitation pétrolière menace la nature de vos pays et le climat mondial. Merci d’empêcher le projet de ReconAfrica.”
98 024 signatures
Urgence dans le nord de l’Équateur ! Les habitants de la municipalité de Buenos Aires résistent pacifiquement à une compagnie australienne qui veut exploiter une mine d’or de grande envergure dans leurs montagnes. Ils demandent aux autorités de respecter leurs droits et leur opposition à l’orpaillage, qu’il soit illégal ou légal.
Appel
Aux autorités de l’Équateur
“Merci de garantir les droits humains et de la nature en Équateur, de consulter la population et de respecter son opposition à l’exploitation minière.”
Film URANIUM EN LIMOUSIN de Thierry LAMIREAU - •1 avr. 2016 / Thierry LAMIREAU
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Ce film retrace l'histoire de l'exploitation minière de l'uranium en LIMOUSIN, depuis l'après-guerre jusqu'aux stockages de déchets radioactifs tels que l'uranium "appauvri". 50 millions de tonnes de "résidus de traitement", 200 kilomètres de galeries et des millions de "stériles" ne peuvent laisser l'environnement indemne. Ces déchets contiennent plus de 80% de la radioactivité initiale du minerai et rendent cette radioactivité susceptible de dispersion contrairement à la gangue minérale initiale.L'infiltration des eaux entraîne les radioéléments dont certains sont classés parmi les plus radiotoxiques. Les vents dispersent le gaz radioactif RADON et soumettent les populations environnantes aux doses radioactives. C'est remettre aux générations futures la responsabilité de la gestion de ces sites dont la radioactivité restera augmentée pour 4,5 milliards d'années !...L'auteur du documentaire, Thierry LAMIREAU, a tourné SEUL et a dû gérer pour la première fois l'utilisation d'une caméra professionnelle, le son, l'image, l'éclairage, l'enquête, les menaces de mort et les très nombreuses irradiations successives qui ont induit de graves pathologies à partir de 2001 alors que les rushes avaient été tournés entre début 1992 et fin 1993. Une réalisation effectuée après la CENSURE d'une équipe de l'émission "Envoyé Spécial" (FRANCE 2) en juin 1992 sous pression de COGEMA (AREVA et ORANO GROUP maintenant) et des services du ministère de l'Industrie sous la direction de DSK ! Ce film n'aurait JAMAIS dû être tourné par un simple citoyen mais par des journalistes courageux...Méfions-nous de ceux qui AUJOURD'HUI se présentent en gestionnaires rigoureux pour DEMAIN alors que nous devons faire face à leur catastrophique imprévoyance d'HIER. Thierry LAMIREAU
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RESUME
Les 32 réacteurs nucléaires de 900 MW de puissance électrique qui équipent 8 des 18 centrales en fonctionnement d'EDF vont atteindre 40 ans de durée de fonctionnement sur la période 2019-2027 et auraient dû, selon les prévisions du début des années 2000, connaître alors leur arrêt définitif. Mais EDF a annoncé en 2008 son intention de prolonger cette durée de 10 ans, voire 20 ans.
... La quatrième visite décennale revêt une importance particulière car l'autorisation de la poursuite au-delà de 40 ans ne sera possible que si chaque réacteur respecte les exigences de l'ASN : assurer la conformité du réacteur au référentiel de sûreté, assurer la mise en œuvre complète des mesures « post-Fukushima » définies après la troisième visite décennale et apporter des améliorations au dispositif de sûreté afin de le rapprocher de celui de l'EPR.
Par rapport à ces enjeux, la présente note étudie le cas de la centrale du Tricastin dont le réacteur n°1 a été le premier à effectuer sa quatrième visite décennale (VD4) de juillet à décembre 2019.
Afin de permettre un jugement sur « l'état de santé » des réacteurs du Tricastin avant le « saut dans l'inconnu » que représenterait la poursuite du fonctionnement au-delà de 40 ans, la note dresse un inventaire des incidents de niveau 1 et 2 sur l'échelle INES advenus sur la période 2010-2020 et procède à leur analyse : 84 incidents ont été recensés, dont 2 de niveau 2, avec une pointe de 15 incidents en 2019. Un incident de niveau 2 est grave car il peut aboutir à une fusion du cœur et par conséquent à un accident grave ou majeur. La prise en compte du fait que certains incidents sont communs à plusieurs réacteurs porte le décompte total à 147 couples « incident-réacteur », dont l'incident de niveau 2 de 2011 pour les réacteurs 3 et 4 et celui de 2017 pour les 4 réacteurs. Le réacteur le plus touché est Tricastin 1, avec 43 incidents.
Les incidents sont de natures diverses et sont classés en cinq catégories : exploitation, maintenance, incident de radioactivité pour des travailleurs, équipements défaillants sans agression extérieure et équipements défaillants en cas de séisme. Les incidents d'exploitation sont les plus nombreux, chacun relatif à un seul réacteur et d'une régularité inquiétante, 3,5 en moyenne chaque année, la cause étant très généralement le non respect des règles d'exploitation. Viennent ensuite les incidents sans agression extérieure, les incidents de maintenance, de radioactivité et de défaillance d'équipements.
La note met en évidence l'importance particulière pour la centrale du Tricastin du risque d'accident en cas de séisme, révélé par des incidents répétés touchant un large éventail de dispositifs vitaux pour la sûreté des réacteurs : défaillance des diesels de secours (incident de niveau 2 en 2011 sur les réacteurs 3 et 4), de vannes, pompes, tuyauteries, ancrages, alimentation en eau et en électricité et même des matériels de contrôle-commande. En septembre 2017, un incident particulièrement grave de niveau 2, le risque de rupture de la digue du canal de Donzère-Mondragon, a conduit l'ASN à imposer l'arrêt des 4 réacteurs, le temps de réaliser les travaux nécessaires. L'ASN a imposé à EDF en septembre 2019 de nouveaux travaux de renforcement de la digue.
Les risques liés au séisme constituent une vulnérabilité inacceptable de la centrale du Tricastin d'autant plus que depuis le séisme du Teil en novembre 2019, de fortes incertitudes pèsent sur le niveau du séisme de référence sur lequel élaborer les exigences de sûreté.
La conjonction d'un mauvais état des réacteurs confirmé par l'analyse des incidents sur les dix dernières années, de la complexité technique et organisationnelle des quatrièmes visites décennales et d'un risque sismique majeur conduit à la conclusion que la centrale du Tricastin devrait être arrêtée après 40 ans de fonctionnement.
Connu / https://www.stop-tricastin.fr/actions-actus/ et https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju/?1KsOug
Ndlr : lire et valo ACT
Mots-clés : Écologie et Société, Climat, Énergie, Lobbies
Campagne : Justice sociale et climatique
... la loi Climat doit être présentée en Conseil des ministres début février, le Gouvernement français pourrait octroyer un permis d’exploitation d’hydrocarbures non conventionnels ... à l’entreprise gazière La Française de l’Énergie.
36 associations et collectifs de citoyens, en soutien à l’APEL57 qui s’oppose à l’extraction du gaz de couche depuis des années, se mobilisent contre ce projet d’énergie fossile dangereux pour l’environnement et le climat, et demandent le rejet de ce permis par le gouvernement.
->
pollution de l’air, de l’eau, des sols, fortes émissions de gaz à effet de serre.
...
Ce 19 janvier, 36 associations et collectifs de citoyens publient une lettre ouverte [2] adressée à Emmanuel Macron et Barbara Pompili, appelant le gouvernement à refuser ce permis d’exploitation. La décision de l’octroyer serait en contradiction totale avec la lutte contre le changement climatique et les nouvelles ambitions que l’exécutif doit enfin donner aux politiques nationales en la matière. Accorder ce permis serait un renoncement face à des intérêts privés, au mépris de la responsabilité de l’État vis-à-vis des générations actuelles et futures.
S’appuyant sur ce cas d’école, la lettre ouverte exige que les politiques publiques de lutte contre le changement climatique soient protégées de l’influence des lobbies de l’industrie fossile, s’associant à la campagne européenne Fossil Free Politics http://www.fossilfreepolitics.org/FFP-Demands_onepager_french_v2.pdf. Leurs revendications incluent l’arrêt des financements publics pour des projets fossiles, la fin des réunions de lobbying ou encore la régulation stricte des conflits d’intérêts et du pantouflage.
Notes
[1] Le « gaz de couche » est un gaz principalement constitué de méthane qui est piégé au cœur de la matrice solide du charbon dans les bassins houillers, dans les micropores du charbon non exploité ou incomplètement exploité. Son extraction requiert l’utilisation de techniques non-conventionnelles.
[2] Cette lettre ouverte est publiée conjointement par Mediapart, Politis, Bastamag et Reporterre le 19 janvier 2021.
Connu / https://twitter.com/MaximCombes/status/1351457024010285056
Connu / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?rt7-_Q
Clés : Exploitation ; Métropole
La crise sanitaire depuis les infrastructures du capitalisme avancé
Toute crise – qu’elle soit économique, politique ou sanitaire – exacerbe et rend visibles les structures, les logiques profondes et les contradictions d’une société donnée. Dans celle que nous traversons actuellement, la logistique s’affirme encore une fois comme un domaine stratégique et le « talon d’Achille » de l’économie globalisée. Des ouvrier.es des entrepôts catapultés en « première ligne » aux chaînes globales d’approvisionnement diffusant le virus, des avions cargos livrant des masques depuis la Chine aux scandales sanitaires dans les entrepôts, le secteur logistique emprunte à tour de rôle l’image du sauveur et celle du coupable. Afin de dégager des lignes d’analyses et des perspectives d’intervention politique, une enquête collective a été lancée depuis la mi-mars, à travers la création d’un Groupe d’Enquête sur la Logistique (GEL). Ce texte est la première synthèse d’un travail collectif toujours en cours.
Pandémie en flux tendu
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Le virus du profit
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Les précaires du flux
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Les agences d’intérim des grands centres urbains voient exploser la demande pour les centres logistiques Amazon ou pour des multinationales de la messagerie https://rapportsdeforce.fr/classes-en-lutte/les-interimaires-chair-a-canon-de-la-crise-sanitaire-04096682. De la même manière, les plateformes de livraison de repas s’appuient en grande partie sur une main-d’œuvre migrante, qui exerce en louant des comptes à des tiers, qui n’a pas accès aux maigres aides financières exceptionnelles de l’État et qui n’a donc pas d’autre choix que de continuer à travailler.
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Résistances sanitaires en entrepôt
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Fait rare : à Clermont-Ferrand, 80 intérimaires d’une plateforme d’Auchan, soutenus par 200 embauchés, ont débrayé lorsque le directeur du site a annoncé qu’il n’y aura pas de prime pour eux https://www.facebook.com/watch/?v=2823245661290551.
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Ce qui est essentiel
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Amazon ... Suite à la procédure déposée par Sud-Commerce auprès du tribunal de Nanterre, la justice a enjoint la multinationale à limiter son activité à « la préparation et l’expédition des commandes de produits alimentaires, de produits d’hygiène et de produits médicaux ». Si cette décision a été confirmée en appel, dans un jugement sans précédent, la Cour de Versailles a cependant élargi la liste des produits concernés, en y ajoutant le high-tech et le matériel informatique, considérant qu’ils sont « indispensables au télétravail ». Donc les ouvriers doivent travailler en prenant des risques, pour que les cadres travaillent en étant protégés, une sorte de serpent (capitaliste) se mordant la queue.
Ces contradictions montrent à quel point les grandes entreprises font passer la production avant la santé des salarié.es et de leurs familles. Elles rejoignent celles du gouvernement qui a adopté un ton martial – de protection et d’unité nationale – tout en évoquant très vite un retour à la « guerre économique » qu’il va quand même falloir mener.
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c’est seulement lorsqu’un rapport de force s’établit dans l’entreprise, ou depuis l’extérieur mais vis à vis de l’entreprise, que des limitations de la production et de la circulation peuvent être conquises. Autrement dit, non pas en visant les comportements des consommateurs mais l’organisation productive dans son ensemble. Le cas de la Lombardie nous montre à quel point ces luttes sont fondamentales, puisqu’on sait aujourd’hui que la région est durement touchée en raison de la densité de son tissu industriel et urbain… et parce que les usines ont fermé trop tard ou continuent de tourner.
Vers un corps à corps
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souligner le rôle salutaire joué par les collectifs de travail qui ont su prendre en main la situation. Dans certains cas, on peut considérer que ce sont les militants syndicaux qui ont pris la direction sanitaire des entrepôts, assurant la distribution du matériel de protection et contrôlant la mise en œuvre des mesures sanitaires. Cette affirmation d’un pouvoir autonome dans l’usine rappelle d’ailleurs ce qui a pu être observé dans les hôpitaux, avec des équipes médicales suppléant des directions dépassées https://acta.zone/on-na-pas-fait-une-medecine-de-guerre-on-a-fait-une-medecine-de-penurie/.
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Dans la continuité du mouvement inachevé contre la réforme des retraites, l’autodéfense sanitaire du monde ouvrier réaffirme le refus de sacrifier la santé sur l’autel de l’économie. Elle suggère une ouverture des possibles dans les luttes à venir, orientée contre une des principales atteintes du capitalisme, celle qui touche directement les corps et le vivant. Avec désormais la certitude avérée d’une capacité autonome et d’une force populaire à même de prendre en charge ce qui ne peut être délégué à la gouvernance néolibérale.
- À ces dérogations s’ajoutent la possibilité élargie de faire travailler le dimanche, l’extension du temps de repos minimum de 9 à 11 heures, l’extension du travail de nuit de 8 à 12 heures par jours et la possibilité d’imposer jusqu’à 6 jours de congés payés seulement un jour à l’avance (contre 4 semaines à l’origine).
- Sur la dernière semaine de février, Carrefour, Leclerc et autres Lidl ont vu leur chiffre d’affaires bondir de plus de 6%. Le recours à la livraison à domicile a lui augmenté de 74%, contre 13% poour les passages en drive (Source MoneyVox, 09/03/2020).
- Ouest France le 14 Mars , puis l’Usine Nouvelle le 18 Mars, s’esclaffaient alors de voir tourner la logistique pour l’un et les drives pour l’autre « à plein régime ».
- Dans son point de conjoncture du 9 avril 2020, l’INSEE estimait que la consommation des ménages avait globalement diminué d’un tiers. La consommation de produits manufacturés diminuait de 38%, celle des services de 33%.
- Les trois quarts des entreprises interrogées par la Fédération de la Vente à Distance ont déclaré enregistrer un recul des ventes depuis le 15 Mars (Source : Fevad, 30 Mars 2020).
- Pendant les premières semaines de confinement, l’action Amazon a enchaîné trois de séances de records historiques à Wall Street. Le titre a gagné environ 30% depuis le début de l’année, alors que l’indice Dow Jones a reculé de 18% sur la même période, plombé par la crise du coronavirus. Le 1er Mai, en réponse à un mobilisation naissante dans le secteur du e-commerce aux États-Unis, le groupe a annoncé qu’il investirait l’intégralité des bénéfices du trimestre (avril-mai-juin) pour renforcer les mesures de sécurité dans ses entrepôts. Cette décision a fait chuter le titre en Bourse de 5%, ce qui reste assez peu comparé à l’impact politique et médiatique d’une multinationale qui s’affiche comme étant en pointe dans la protection sanitaire, voire en mesure de surpasser l’action des États.
- Laure Brenas, PDG de CSP (Centre Spécialités Pharmaceutiques, filiale EHDH) a ainsi déclaré, légèrement vexée : « Ils [le gouvernement] nous ont questionnés sur nos disponibilités, puis on a appris qu’ils avaient décidé de passer par Geodis sans que nous ayons été consultés » (Source Libération, 25/03/2020).
- Comme l’a bien décrit une enquête conduite par Médiapart : « Travail sous épidémie: « Pour les intérimaires, les fractures sont béantes »», par Mathilde Goanec, 21/03/2020.
- Déclaration de Souad, intérimaire chez Fedex, publiée par l’AFP le 08/04/2020.
- Face à la crise, le gouvernement a d’ailleurs annoncé le report à septembre du deuxième volet de sa réforme de l’assurance chômage, qui vise à durcir fortement les conditions d’indemnisation des travailleurs précaires.
- Comme la révélé l’enregistrement pirate d’une réunion à distance avec les syndicats, diffusé par Mediapart le 21/03/2020. L’extrait permet aussi de constater la façon dont le management a utilisé, dans un premier temps, le discours gouvernemental pour justifier le maintien de l’activité.
- Dans la critique du modèle Amazon, il est important d’inclure le fait que la multinationale s’appuie sur un gigantesque réseau de sous-traitance qui concerne une multiplicité d’acteurs : des entreprises publiques comme La Poste et sa filiale Chronopost, des filiales privatisées de la SCNF comme Geodis, des grands groupes de logistique comme TNT, Fedex ou XPO, ainsi que de très nombreuses PME du transport et de la livraison.
Niger : « A Arlit, les gens boivent de l’eau contaminée par la radioactivité...
Les gisements d’uranium exploités par Orano (ex-Areva) empoisonnent la population, explique Amina Weira, auteure d’un documentaire sur le sujet.
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/758318550175318066
msg du 31/10/20 à 08:11 de Elisa S. (livret espace/défense) (livret énergie de LFI)
Reporterre, le quotidien de l’écologie
Au Kazakhstan, premier producteur mondial d’uranium, Orano (ex-Areva) va raser une forêt protégée pour exploiter un gisement. La dérogation de l’entreprise française a été obtenue lors de la visite de Bruno Le Maire fin juillet dans ce pays d’Asie centrale devenu stratégique pour l’industrie nucléaire française.
On en apprend plus sur les raisons de la visite de Bruno Le Maire au Kazakhstan en juillet dernier https://www.novastan.org/fr/kazakhstan/bruno-le-maire-en-visite-diplomatique-au-kazakhstan/ ... a servi à conforter l’avenir de l’approvisionnement d’uranium
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Pour exploiter ce gisement, ... couper une forêt de 366 hectares de saxaoul, une plante endémique menacée et qui fait l’objet d’une interdiction de coupe
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bien que la méthode d’extraction de lixiviation in situ utilisée sur ce site ne nécessite pas de créer une mine à ciel ouvert, « il est nécessaire d’entreprendre des travaux de nivellement qui impliquent de couper les saxaouls ». La technique d’extraction par lixiviation in situ est controversée notamment aux États-Unis polluant les nappes phréatiques et délaissant de nombreuses boues toxiques difficilement nettoyables. De son côté, Orano a affirmé à Novastan que cette technique « présente des avantages environnementaux par rapport aux méthodes traditionnelles ». Selon le site web d’Orano, cette technique est surtout très « économique ».
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Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/758318550175318066
msg du 31/10/20 à 23:54 de Angela (livret énergie de LFI)
A l’occasion de son avant-dernier livre, “Camarade Papa”, Armand Gauz était venu au Média il y a deux ans. Et nous avons eu un long entretien tournant autour de ses personnages et de ce qu’on pourrait appeler les politiques de l’identité. Un entretien qui a eu une nouvelle jeunesse ces derniers mois par la grâce de l’algorithme de YouTube qui l’a reproposé.
Gauz nous revient, pour nous parler de son nouveau bébé, le roman “Black Manoo”. Une sorte de cours militant d’histoire géo sur le Paris des exclus, que l’on arpente en empruntant le regard de “Black Manoo”, un sans-papiers ivoirien, ex junkie, qui a eu plusieurs vies. “Black Manoo” c’est aussi une galerie de portraits de Parisiens pauvres, en majorité d’origine africaine mais pas que.
Nous en profitons pour aborder un certain nombre de sujets d’actualité : les sans-papiers, et plus largement l’immigration, la question du communautarisme et du “déjà là” communiste, c’est-à-dire de l’hôpital public, ainsi que l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, prévue pour le 31 octobre dernier. Une élection truquée en amont, et validée par la France, en la personne de Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères d’Emmanuel Macron.
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1318258112617472000
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8:30 PM · 19 oct. 2020·- 45 Retweets 3 Tweets cités 51 J'aime
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TERMINER <12MN03
. @LeMediaTV
"Si cette grande majorité de sans-papiers se retire du business les commandes ne seront pas livrées. Il y a des gens qui ont des papiers qui n'accepteront pas d’aller pédaler pendant des heures et des heures pour livrer des repas." #Frichti 5,1 k vues 0:35 / 5:37
"Si cette grande majorité de sans-papiers se retire du business les commandes ne seront pas livrées. Il y a des gens qui ont des papiers qui n'accepteront pas d’aller pédaler pendant des heures."
8:30 PM · 12 août 2020·- 172 Retweets avec un commentaire 151 J'aime
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Moustac à oreilles rouges dans la forêt d’Ebo au Cameroun (© Robbie Whytock, San Diego Zoo Global)
La forêt d’Ebo au Cameroun est un trésor de biodiversité. Elle abrite chimpanzés, gorilles et de nombreuses autres espèces menacées. Alors que des actions sont menées de longue date pour la classer et la protéger comme parc national, le gouvernement camerounais a décidé d’en ouvrir 150 000 hectares à l’exploitation forestière.
Appel
Au Président de la République du Cameroun Paul Biya
“La forêt d’Ebo est l’un des lieux possédant la plus grande diversité biologique de la planète. Elle ne doit pas être sacrifiée à l’exploitation forestière.”
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ses 700 chimpanzés du Nigeria-Cameroun semblent les seuls au monde à maîtriser à la fois le cassage des noix à l’aide de pierres et de marteaux en bois et la pêche des termites avec des bâtons. Dans les autres régions, les chimpanzés maîtrisent uniquement l’une ou l’autre des deux techniques.
En 2002, la primatologue Bethan Morgan a fait une découverte sensationnelle : repérer des gorilles dans la forêt d’Ebo, à plus de 200 km des autres groupes de gorilles connus. Ils pourraient être une nouvelle sous-espèce !
Les habitants de plus de 40 communautés vivent dans et autour de la forêt d’Ebo, sans la mettre en danger, depuis plusieurs siècles. Génération après génération, ils vont y chasser, pêcher, cueillir des plantes alimentaires et médicinales, pratiquer l’agriculture à petite échelle. La forêt revêt pour eux une importance spirituelle pour les rituels traditionnels. On y trouve de nombreux sites funéraires.
La nature et les moyens de subsistance de la population sont aujourd’hui menacés !
Le gouvernement camerounais a décidé le 4 février 2020 la création de deux concessions d’exploitation forestière sur 150 000 hectares dans la forêt d’Ebo, sans consulter ni en informer la population et en ignorant ses droits sur ses terres ancestrales.
L’exploitation forestière causerait des dommages écologiques, sociaux et climatiques dévastateurs : elle constitue souvent la première étape vers la destruction à grande échelle des écosystèmes et précède l’invasion des braconniers, colons et spéculateurs fonciers. Les habitants perdraient leurs moyens de subsistance et seraient davantage exposés aux nouvelles maladies.
Population locale, scientifiques et écologistes luttent pour la protection de la forêt d’Ebo et de ses habitants. Merci de les soutenir avec votre signature.
141252 assinaturas
A campanha #ForaGarimpoForaCovid conta com o apoio da Articulação dos Povos Indigenas do Brasil (APIB), Coordenação das Organizações Indígenas da Amazônia Brasileira (COIAB), Instituto Socioambiental (ISA), Survival International, Greenpeace Brasil, Conectas Direitos Humanos, Anistia International, Rede de Cooperação Amazônica (RCA), Instituto Igarapé, Fundação Rainforest Noruega.
Connue / https://twitter.com/survivalfr/status/1268169436667789312
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Survivalfr @survivalfr · 15h
Ces images prises par @Hutukara montrent l'exploitation illégale de l'or dans le territoire yanomami. Cela détruit l'Amazonie, pollue les rivières et propage le #Covid19 qui pourrait décimer le peuple.
Signez leur pétition maintenant. #ForaGarimpoForaCovid - 0 - 8 - 8
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Mathilde Panot a aimé Députée Obono @Deputee_Obono · 18 avr.
Assemblée nationale : #Covid_19 Il est urgent de contraindre les assurances privées à indemniser les pertes d'exploitation subies par de nombreuses entreprises (TPE, PME), et professions indépendantes et libérales, comme c’est d’ailleurs leur rôle, mais qu’elles se refusent à assumer. #PlusJamaisCa
1:31 / 1:31 - 5 - 35 - 60
Le programme d'EDF pour le réexamen de ses réacteurs nucléaires de plus de 40 ans devrait permettre de répondre aux exigences de sûreté attendues, moyennant cependant des compléments "significatifs", indique jeudi l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).
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