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Réalisation vidéo : Manon Aubel
Moments clés : Frédéric Cary, salarié ; Laure Toulemonde ; Jérôme Charbonnel
Tr.: ... EBE ... recyclage du verre plat ...
... mélange de cuivre, de gallium, d'indium et de sélénium est un très bon absorbant (ce qui se traduit par des rendements élevés), dépourvu de toxicité pour l'environnement et la santé. Problème : l'indium, qui entre également dans la fabrication des écrans plats, pourrait venir à manquer.
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Les Reportages Video channel avatar
Dans cette enquête inédite, Le Média révèle les mécanismes de surveillance des livreurs mis en place par les plateformes pour mieux les exploiter, et plus largement les conditions de travail scandaleuses auxquelles ils sont soumis : temps de travail excessif, mise en danger de mort...
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Catégorie Actualité & Politique
Licence Inconnu
Langage Inconnu
Étiquettes deliveroo ; frichti ; livreurs ; uber ; uber eats
Fairbnb.coop started its journey in 2016 as a movement seeking to create a just alternative to existing home-sharing platforms.
Initially the movement emerged in Venice, Amsterdam and Bologna but soon other groups from all over Europe joined the debate and helped us in shaping the final model that we are seeking to implement.
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TRANSPARENCY AND ACCOUNTABILITY
SUSTAINABILITY
DEMOCRATIC GOVERNANCE
COLLECTIVE OWNERSHIP
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Advisors Carlo Pesso - Marco Lotito, Bologna
Les plateformes collaboratives attaquent fortement nos valeurs sociales et écologiques. Devons-nous pour autant renoncer aux mécanismes collaboratifs ? Voici trois pistes qui permettraient d'encadrer les plateformes afin de continuer à partager son logement ou sa mobilité sans détruire le droit du travail ou nos espaces publics.
Trois coursiers de plateforme sont morts de leur métier fin mai ; Uber a lancé cette semaine une flotte d’hélicoptères au dessus de New-York ; la Ville de Paris a assigné AirBnb en justice en février pour essayer de réguler son impact sur la ville.
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Nous avons trois moyens de contraindre les plateformes collaboratives à nous respecter. Le premier moyen est politique. Le législateur, qu’il soit national ou européen, peut contraindre les plateformes en leur imposant certaines règles sociales et écologiques. Cette piste politique est pourtant peu probable au regard de la puissance des droites européennes. Ainsi, en France par exemple, le gouvernement avait une occasion historique de contraindre les plateformes VTC - au premier rang desquelles Uber - de respecter le droit du travail grâce à la Loi d’orientation des mobilités, en cours d’adoption par le Parlement. Or il ne s’en est pas saisi. Pis, il a légiféré de façon à annuler la présomption de travail salarié en indiquant, dans la loi elle même, que la relation entre plateformes et travailleurs pouvait être précisée dans une simple Charte édictée par la plateforme (article 20). Autrement dit, le gouvernement a fait sortir tous les travailleurs de plateforme du droit du travail, ce qui est catastrophique…
Le second moyen est aux mains de la justice.
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Le dernier moyen s’appuie sur le marché lui même et consiste à construire face aux plateformes collaboratives des offres concurrentes qui soient respectueuses de nos valeurs sociales et écologiques. Des offres de ce type existent déjà au demeurant : Mobicoop, Wikipedia, OpenStreetMap, Faibnb, OpenFoodNetwork… Ces offres se fondent généralement sur des coopératives ou des associations dont la gouvernance est inclusive et qui respectent le droit du travail.
Mobicoop covoiturage
@MobicoopCovoit
6 juil.
Présentation de la #plateforme libre @OpenFoodNet_Fr qui rassemble 350 producteurs et 160 distributeurs pour faciliter l’alimentation en #circuitcourt et sans intermédiaire en toute transparence.
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Dans cette enquête inédite, Le Média révèle les mécanismes de surveillance des livreurs mis en place par les plateformes pour mieux les exploiter, et plus largement les conditions de travail scandaleuses auxquelles ils sont soumis : temps de travail excessif, mise en danger de mort...
Les coursiers à vélo, désormais, font partie de notre paysage urbain. Avec leurs sacs colorés, affichant les noms des plateformes numériques pour lesquelles ils travaillent, ils sillonnent les rues et les restaurants.
Seulement en France, Uber Eats, Deliveroo ou Frichti, emploient plus de 20 000 personnes. Enfin, emploient : du point de vue des plateformes, ce ne sont que des prestataires, au statut d'auto-entrepreneur.
Pour ces plateformes numériques, c'est là une grande vertue de ce modèle : on travaille quand on veut, on est libre et indépendant.
Invités :
Arthur Hay, coursier à vélo, fondateur et membre de la coopérative de livraison "Les Coursiers Bordelais", membre du syndicat CGT des coursiers à vélo de la Gironde, ancien candidat PCF aux dernières élections européennes.
Edouard Bernasse, coursier à vélo, syndicaliste, membre du Collectif des livreurs autonomes de Paris (CLAP).
Catégorie Actualités et politique 12 commentaires
valerie lemetayer il y a 24 minutes
Les mecs, ils travaillent 50 à 80 heures par semaine pour rien gagner. Ah, bon sang mais comment est-ce possible !
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Tania Sekiou il y a 59 minutes
Bravo pour cette enquête passionnante !
Financez Le Média pour plus d’enquêtes comme celle-ci !
Transcription :
... coopcycle a un réseau qui se développe dans 17 pays
Qui sont les micro-travailleurs français ? Une étude lève le voile sur le travail précaire qui rend possible l’automatisation et l’intelligence artificielle
Aujourd’hui, le micro-travail est accessible en France à travers de dizaines de plateformes numériques où des milliers de personnes réalisent chaque jour des micro-tâches payées très faiblement. Le rapport “Le Micro-travail en France” se penche sur les caractéristique socio-démographiques de cette population invisible qui contribue au développement des intelligences artificielles.
...
réaliser des tâches très fragmentées (micro-tâches), payés généralement à la pièce. Le plus souvent, elles nécessitent une faible qualification pour une rémunération tout aussi faible, de l’ordre de quelques centimes.
L’enquête DiPLab
Le projet DiPLab (Digital Platform Labor) a été conduit au sein de Télécom ParisTech (grande école spécialisée dans les sciences et technologies) et du LRI (Laboratoire de recherche en informatique) du CNRS. Le projet a bénéficié d’un financement de la part du syndicat cgt-FO (dans le cadre de l’agence d’objectifs FO-IRES 2017), ainsi que de deux financements additionnels, respectivement de France Stratégie, une institution rattachée au Premier Ministre, et de la MSH Paris Saclay (dans le cadre de l’appel à projets « Maturation 2017 »). (contacter DiPLab)
L’équipe
Antonio A. Casilli – “Je suis enseignant-chercheur à Télécom ParisTech et membre associé du LACI-IIAC EHESS. J’étudie les technologies et le travail du clic.”
Paola Tubaro – “Je suis chargée de recherche au Laboratoire de Recherche en Informatique du CNRS. J’analyse les réseaux sociaux et les entreprises du secteur numérique.”
Touhfat Mouhtare – “Je suis chercheuse junior à Télécom ParisTech. J’étudie les différents usages du numérique dans le monde.”
Clément Le Ludec – “Je suis ingénieur d’études à la MSH Paris Saclay. Je collecte et j’analyse les données des plateformes.”
Elinor Wahal – “Je suis ingénieure d’études à Télécom ParisTech. Je collecte et j’analyse les données des plateformes.”
Maxime Besenval – “Je suis Ingénieur d’études CNRS au CSO Sciences Po Paris. J’étudie les marchés et les réseaux.”
Lise Mounier – “Je suis chercheuse indépendante, ancienne IR au CNRS. Je collecte et j’analyse les données des plateformes.”
Odile Chagny – “Je suis économiste à l’IRES. J’étudie les transformation du travail et j’anime le réseau Sharers & Workers.”
Manisha Venkat – “Je suis assistante de recherche stagiaire à Télécom ParisTech. J’étudie les plateformes du monde .”
Marion Coville – “Je suis enseignante-chercheuse à l’Université de Nantes. J’interviewe les personnes utilisant les plateformes.”
Adresse
Département SES, Télécom ParisTech, 46 rue Barrault, 75013 Paris
Un outil libre : créé par des citoyennes.ns, pour des citoyennes.ns
Des groupes d’actions
Rejoins ou crée des groupes d’action pour agir sur une thématique qui te tient à cœur.
Une base de données mutualisée
Députés.es, sénateurs.trices, maires, etc utilise et améliore la base de données afin de contacter tes élu.e.s.
Des modules de support
Active les modules les plus pertinents pour mener à bien ton action (calendrier, événements, forums, etc).
Qui est derrière RiseFor?
L’équipe fondatrice
L’aventure de RiseFor a commencé au cours de l’année 2018 avec la conception et la création des premières maquettes de l’outil.
Le 22 Septembre 2018 une campagne de financement participative a été lancé sur Ulule afin de financer le développement des bases de la plateforme
Flora Magnan - Barbara Velasquez - Maxime Senzamici
Les premierères.s contributrices.teurs
apportant chacun.e leur connaissance et perception du monde afin d’améliorer et mener à bien ce projet. Pour en citer quelques un.e.s : Ada Cremers -
Achille Audouard - Carmelle Senzamici - Cyril Bruckler - Camille Porquet
524 Citoyen.nes Co-fondateurs.trices
L’outil a été financé collectivement par 524 citoyennes et citoyens au cours des mois de Septembre et d’Octobre 2018. L’association d’intérêt commun « United4Earth » a été créée en 2018 afin de récolter ces fonds.
L’équipe de startin’blox
Le choix technologique est un choix militant en lui même. La capacité à décentraliser les données du web redonne le pouvoir à chacun.e d’entre nous sur cette dernière.
Comment évoluer vers un nouveau système sans changer l’idéologie derrière nos outils ? Alexandre Bourlier - Sylvain Le Bon - Nadir Krid - Gino Ladowitch
Nos premiers partenaires
Human Conet - Boycott Citoyen - i-Boycott - United4Earth - Free the Tree - Lobby citoyen.fr - La Bascule - Le référendum du siècle! - Je suis le climat
La première application de RiseFor? Le climat!
Parmi tous les combats présent dans notre monde un ressort naturellement de part son urgence et son impact toutes les facettes de notre société, le changement climatique. C’est pour cette raison que l’équipe fondatrice a décidé de déployer via United4Earth en priorité.
Afin de garder un impact global sur le sujet de la démocratie française le déploiement se fera aussi sur le site des Citoyens.nes Lobbyistes d’Intérêts Commun.
Prêt à changer le système?
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Au sommaire :
- A votre service !
- Un monde sans abeilles
- Policiers en détresse
A votre service ! Bricolage, plomberie, ménage, jardinage… Grâce à des applications comme YoupiJob, Frizbiz ou AlloVoisins se développe un business florissant, baptisé "jobbing". A qui les clients ont-ils affaire ? Cette façon de travailler s’apparente-t-elle à du travail au noir ?
Un monde sans abeilles. La mortalité des abeilles est en hausse constante et certains anticipent déjà un monde où elles seraient en voie de disparition. Elevage de reines d'abeilles, drones pollinisateurs… Quelles solutions pour les remplacer ?
Policiers en détresse. Depuis le début 2019, 31 policiers se sont suicidés, des chiffres en forte hausse. Pourquoi ?
Catégorie Actualités et politique 287 commentaires
Plateforme créée par François Boulo, confirmé par https://www.youtube.com/watch?v=NYYpg623o_I
Les enfants mangent au moins 2 fois trop de viande dans les cantines scolaires. Une aberration dangereuse pour la santé des enfants (surpoids, obésité), mais aussi dévastatrice pour la planète. À lui seul, l’élevage industriel est responsable de 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial (https://www.greenpeace.fr/deux-de-viande-a-cantine/).
Cantine Verte est une plateforme de campagne lancée par Greenpeace France sur laquelle vous pouvez lancer votre propre pétition locale et recueillir des signatures pour promouvoir une nourriture saine dans votre commune. Vous y trouverez également des outils et de conseils pour vous aider à recueillir des signatures et faire de votre campagne locale un succès.
Comment Cantine Verte a été financée ?
Cantine Verte a été financée et rendue possible par Greenpeace France. Greenpeace n’accepte aucun don d’entreprises ou de gouvernements et est entièrement financée par des dons de personnes comme vous.
=>
Grille de questions pour analyser un contexte local https://cdn.greenpeace.fr/site/uploads/2019/05/Grille-questions_Analyser-contexte-local.pdf
Notre chroniqueuse a vécu plusieurs années en Laponie suédoise et a présidé le groupe d’amitiés France-Suède à l’Assemblée nationale. C’est donc avec un regard attendri qu’elle s’est penchée sur l’histoire de la jeune militante écologiste Greta Thunberg...
Isabelle Attard a été députée écologiste du Calvados. Elle se présente comme « écoanarchiste ».
... Derrière ces moments forts, on trouve un petit génie suédois des « public-relations », Ingmar Rentzhog. L’envers du conte de fées est moins joli, mais plus intéressant.
Le journaliste d’investigation suédois Andreas Henriksson est, d’après mes recherches, le premier à avoir enquêté sur ce sujet et son article a été publié sur le blog de Rebecca Weidmo Uvell, le 11 décembre 2018. https://uvell.se/2018/12/11/pr-spinnet-bakom-greta-thunberg/
La belle histoire de Greta Thunberg commence le 20 août 2018. Ingmar Rentzhog cofondateur de la start-up We Don’t Have Time (Nous n’avons pas le temps) croise Greta Thunberg devant le Parlement suédois et publie un post émouvant sur sa page Facebook. Nous sommes le 1er jour de la grève commencée par Greta. Le 24 août, sort en librairie une autobiographie mêlant crise familiale et crise climatique, Scener ur hjärtat, corédigée par Malena Ernman la mère de Greta, Svante Thunberg son père, Beata, sa sœur, et Greta. Les parents artistes - chanteuse lyrique et acteur - sont très connus en Suède ; Greta, pas encore.
En fait Ingmar Rentzhog et la famille de Greta se connaissent déjà et ont participé ensemble à une conférence sur le climat le 4 mai 2018. Peu de place au hasard donc, dans la rencontre à Stockholm, sur le trottoir devant le Parlement entre Ingmar et Greta.
Tout a été finement programmé pour transformer la jeune Suédoise en héroïne internationale, et ce, dès le 1er article paru dans le quotidien le plus lu dans le pays, Aftonbladet, quelques heures seulement après le post Facebook de Rentzhog.
We Don’t Have Time, la start-up qu’il a cofondée en 2016, a l’ambition de créer un réseau social de plus de 100 millions de membres, qui influencera les hommes et femmes politiques et les chefs d’entreprise pour qu’ils agissent davantage contre le réchauffement climatique.
... Parmi les actionnaires de la start-up, on trouve les membres de deux familles interconnectées : les Persson, enfants du milliardaire Sven Olof Persson, qui a fait fortune, entre autres, dans la vente de voitures (Bilbolaget Nord AB) et les Rentzhog. Les deux familles d’investisseurs, qui se sont rencontrées dans la région du Jämtland, n’ont aucun lien avec l’écologie, ce sont des spécialistes de la finance.
Sauver la planète tout en maintenant la croissance économique et en réclamant encore plus de mondialisation
... En mai 2018, Ingmar Rentzhog est recruté comme président-directeur du think tank Global Utmaning https://www.globalutmaning.se/ingmar-rentzhog-ny-ordforande-global-utmaning/, faisant la promotion du développement durable et se déclarant politiquement indépendant. Sa fondatrice n’est autre que Kristina Persson, fille du milliardaire et ex-ministre social-démocrate chargée du développement stratégique et de la coopération nordique entre 2014 et 2016. Via l’analyse des tweets du think tank, on observe un engagement politique fort, à l’aube des élections européennes, envers une alliance qui irait des sociaux-démocrates à la droite suédoise. L’ennemi étant « les nationalismes » émergeant partout en Europe et dans le monde. Des idées qui ne déplairaient pas à notre cher président Macron.
Le 16 janvier 2019, Global Utmaning était fière d’annoncer sur les réseaux sociaux sa nouvelle collaboration avec Global Shapers, une communauté de jeunes dirigeants de 20 à 30 ans « dotés d’un grand potentiel pour jouer un rôle dans l’avenir de la société et qui travaillent à améliorer la situation des populations autour d’eux ». Ce réseau a été créé de toutes pièces par le Forum économique mondial en 2011. Ses leaders entendent bien sauver la planète tout en maintenant la croissance économique et en réclamant encore plus de mondialisation. Tout un programme.
Je résume. Nous avons d’un côté une plateforme numérique en construction, We Don’t Have Time, qui a pris un réel essor il y a quelques mois grâce à Greta Thunberg, « jeune conseillère » de la fondation dirigeant cette plateforme. J’ai oublié de préciser au passage que les centaines de milliers d’adresses mail collectées par Rentzhog valent de l’or. Et de l’autre, nous avons une famille de milliardaires comptant une ex-ministre qui investit dans cette start-up, puis qui embauche Ingmar Rentzhog dans un think tank développant les thèmes de la croissance verte, de l’économie circulaire, bref, de greenwashing.
... Greta Thunberg se retrouve à conseiller ceux qu’elle fustige. Comme disait l’auteur du Guépard, « si nous voulons que tout reste tel que c’est, il faut que tout change » (Guiseppe Tomasi Di Lampedusa).
... le combat de cette adolescente et de tous les jeunes qui lui emboitent le pas, partout dans le monde, est sain et une formidable source d’espoir pour la prise de conscience écologiste.
Par contre, je pense qu’il ne faut pas être dupe du rôle de certains adultes autour d’elle, spindoctor, mentor, spécialistes du greenwashing, de la croissance verte et du capitalisme. Pour lutter efficacement, ne pas être dupe est une nécessité.
La jeune militante du climat Greta Thunberg répond à ses détracteurs* https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?ktUflQ
Cette nouvelle plateforme de location de logements est actuellement développée par une communauté d’activistes, de chercheurs, de développeurs informatiques et de designers. Elle sera testée ce printemps dans cinq villes européennes : Amsterdam, Barcelone, Valence, Venise et Bologne (où se trouve le siège de la plateforme).
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La moitié des bénéfices engendrés par les locations sera destinée au voisinage et investie dans des projets de développement locaux. Les habitants et les municipalités seront invités à voter pour les initiatives à soutenir et les projets à financer, tels que des cafés sociaux, des cours pour enfants, des jardins partagés, et d'autres projets durables.
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propriété collective. Il est indiqué dans le manifeste de Fairbnb que la gouvernance sera quant à elle démocratique : elle s’appuiera sur un modèle de collaboration et les membres des différentes communautés pourront décider de la gestion de la plateforme dans leurs quartiers respectifs. La future plateforme annonce également vouloir travailler conjointement avec les gouvernements locaux pour "promouvoir des règles encourageant le tourisme responsable et durable". Enfin, des promesses de transparence ont été faites, concernant cette collaboration avec les autorités mais également concernant les revenus qui seront générés.
Les décideurs et les industries de plus de 20 pays ont approuvé une « Plateforme Biofuture » qui utiliserait des biocarburants, des bioplastiques et des biomatériaux comme alternatives aux énergies fossiles. Les conséquences pour la terre, la production alimentaire, les écosystèmes et les droits humains seraient désastreuses.
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Les biocarburants en 5 minutes
Agrocarburants / biocarburants : carburants tels que le biodiesel et le bioéthanol fabriqués à partir de denrées alimentaires pour les moteurs à combustion. Ceux-ci sont incorporés au carburant fossile vendu dans les stations-services comme prescrit par la loi.
Biocombustibles : combustibles produits à partir de la biomasse tels que le bois, les copeaux de bois, les granulés de bois, l'huile de palme et la liqueur noire issue de l'industrie de la cellulose. Ils sont utilisés dans les fours, cheminées, installations de chauffage et centrales électriques ou de cogénération pour produire de l'électricité et du chauffage.
Biodiesel (ester méthylique d'acides gras - EMAG) : carburant obtenu par transestérification d'huiles végétales comme le colza, l'huile de palme et le soja.
Changement d'affectation des sols indirect (CASI) : phénomène d'accaparement de terres jusque-là dédiées à la production de denrées alimentaires et d'aliments pour animaux pour la culture de plantes énergétiques.
Huile végétales hydrogénées (Hydrotreated Vegetable Oils - HVO) : huiles végétales transformées en biocarburant par réaction catalytique avec l'hydrogène (hydrogénation). En pratique, c'est principalement l'huile de palme qui est utilisée.
RED : la directive sur les énergies renouvelables de l'Union Européenne (Renewable Energy Directive – RED, 2009/28/EG) prévoit de couvrir au moins 10% des besoins en carburant dans le secteur des transports via des énergies renouvelables d'ici à 2020.
Société-Économie
Voici le nouveau "Netflix": gratuit, écolo et engagé
Le site ImagoTV mis en ligne en décembre 2018 regroupe des podcasts, documentaires et vidéos YouTube écolos et engagés. Une vidéothèque gratuite et participative.
Connu /
https://twitter.com/hervelc/status/1088064271567806465
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Hervé Le Crosnier @hervelc 6 hil y a 6 heures
https://seenthis.net/messages/754367 - Voici le nouveau « Netflix » : gratuit, écolo et engagé
0 réponse 1 Retweet 0 j'aime
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Publié dans Données personnelles et vie privée
Tagué communs, données personnelles, droit social, Facebook, graphe social, portabilité, subordination
L’année 2018 aura été marquée par une longue litanie de scandales impliquant le réseau social Facebook, à tel point que le Guardian en a tiré un Best Of (ou Worst Of…) assez croustillant.
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Le terme de « suicide collectif » paraît ici assez approprié. Car c’est bien de cela qu’il s’agit : même si collectivement, la nocivité de Facebook apparaît de plus en plus évidente, il reste pour beaucoup d’utilisateurs difficile – à titre individuel – de prendre la décision de quitter la plateforme. Dans une telle situation, l’habituel « Privacy Paradox »
https://www.rsln.fr/fil/privacy-paradox-les-cles-pour-comprendre/
est redoublé par un dilemme du prisonnier,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dilemme_du_prisonnier
car c’est la trame même de nos liens sociaux qui se transforme en filet capturant les utilisateurs du réseau. Quitter la plateforme revient pour l’individu à se couper de relations chargées de sens et d’affects et nul ne souhaite être le premier à franchir le pas (avec le risque d’être aussi le seul).
Cette capacité des plateformes à retourner la puissance des liens sociaux contre leurs utilisateurs matérialise un pouvoir de contrainte redoutable contre lequel le droit devrait offrir une protection adéquate.
Or ce n’est pas le cas actuellement, car si le droit envisage la protection des données personnelles des individus pris isolément, il a encore énormément de mal à saisir ces mêmes données dans leur dimension collective.
https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/05/25/les-donnees-personnelles-un-enjeu-collectif_5304520_3232.html
Nos liens sociaux ne font en effet pour l’instant l’objet d’aucune reconnaissance juridique : il n’existe pas même dans les textes de notion qui permettrait de les qualifier. C’est pourtant à cet endroit précis que se situe l’enjeu principal sur lequel il faudrait agir pour desserrer le pouvoir de contrainte des plateformes.
Heureusement, quelques pistes semblent s’ouvrir pour aller dans cette direction, notamment celle de l’établissement d’une « portabilité sociale » des données personnelles, permettant de dépasser les apories du droit à la portabilité tel qu’il est notamment défini dans le RGPD. https://www.cnil.fr/fr/le-droit-la-portabilite-en-questions
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Facebook n’accumule pas des données personnelles pour s’en réserver l’usage à titre exclusif. Le propre de son fonctionnement est au contraire d’ouvrir le graphe social
http://www.internetactu.net/2007/09/28/comprendre-le-graphe-social/
constitué à partir de l’enregistrement de nos relations à des entreprises-tierces. Contrairement à un contresens largement répandu, Facebook ne « revend pas » les données personnelles à ses partenaires (ce n’est pas un Data broker, https://www.zdnet.fr/actualites/data-brokers-aux-etats-unis-votre-vie-privee-est-en-vente-39789295.htm
même s’il a pu envisager d’adopter ce modèle https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/12/05/le-parlement-britannique-diffuse-250-pages-de-documents-internes-de-facebook_5393239_4408996.html) : il ouvre à d’autres des droits d’usage sur ce graphe, afin qu’ils puissent effectuer du ciblage publicitaire à partir des catégories figurant dans ce schéma. Et c’est donc indirectement sur la publicité que Facebook génère ses mirobolants profits.
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L’affaire Cambridge Analytica avait déjà montré que Facebook a laissé pendant longtemps ses API largement ouvertes aux développeurs-tiers afin de maximiser la valeur d’usage de son graphe et donc son attractivité. Les accès privilégiés octroyés à Apple, Microsoft, Yahoo, Amazon, Netflix ou Spotify dont nous avons appris l’existence cette semaine relèvent de la même logique. En réalité, ce qui a construit la position centrale de Facebook au sein du capitalisme de surveillance, ce n’est pas d’avoir monopolisé le graphe social, mais au contraire d’en avoir fait une ressource partagée sous la forme de ce que l’on pourrait appeler un « Commun du Capital ».
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