Culture et pop 53 min
Disponible du 04/12/2020 au 08/02/2021
Prochaine diffusion le dimanche 20 décembre à 09:35
Inventeur du glam rock au début des années 1970 avec son groupe mythique Roxy Music, le dandy Bryan Ferry a traversé au sommet cinquante ans de pop "british". Retour sur la carrière du rocker chic.
Depuis un demi-siècle, il promène son timbre de velours irrésistible, sa silhouette de dandy anglais et ses mélodies chaloupées, qui balancent au sommet des charts. Mèche désinvolte, regard gris et sex-appeal contenu, Bryan Ferry reste, à côté du flamboyant Bowie, l’autre icône du glam rock, genre émergé d’outre-Manche à l’aube des années 1970, entre les mouvements hippie et punk. Brûlant d’énergie pure et d’audace synthé instillée par Brian Eno avec son groupe Roxy Music − dont les pochettes cultes aux pin-up provocantes affolent les fans −, ce fils d’un paysan devenu mineur du nord de l’Angleterre, passé par les Beaux-Arts de Newcastle, électrise la scène British avec un rock décadent, haletant et stylé, dont le futurisme se mâtine de romantisme. Des magnétiques "Do the Strand" et "Love Is the Drug" au sensuel "Avalon" en passant par "Jealous Guy" ou "Slave to Love", le chanteur et pianiste à la classe insolente se pose, en solo, en crooner de charme. Traversant les modes avec une élégance absolue, cet amateur d’art, de cyclisme et de jazz, inspiré par Marcel Duchamp et Billie Holiday, n'a cessé de se réinventer.
Gentleman rocker
Au travers du récit sincère de sa vie par Bryan Ferry lui-même, lequel considère la musique comme un art total, ce documentaire retrace le parcours du gentleman rocker grandi dans l’Angleterre ouvrière de l’après-guerre. Enfant du Swinging London et de ses outrances autant que star sacrée des eighties, cet esthète avant-gardiste, revenu des addictions et des honneurs, séduit par sa simplicité, louant sa "chance" en leitmotiv : famille aimante, mentor stimulant (l’artiste Richard Hamilton), succès précoces... Au rythme envoûtant de ses concerts – et d’une séquence drolatique où l’icône joue son rôle dans la série Petit déjeuner compris avec Marie-Christine Barrault −, cette épopée rock raconte aussi l’esprit de la pop British, qui infuse encore des groupes comme Franz Ferdinand ou même les Canadiens Arcade Fire.
Réalisation : Catherine Ulmer Lopez Pays : France Année : 2019
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⬇︎ SOURCES & OUVRAGES CITÉS ⬇︎
Aristote - La Politique https://amzn.to/3mb9ozA
Antonio Gramsci - Guerre de Mouvement, Guerre de position https://amzn.to/3nXQm0b
Max Weber - Le Savant & le Politique https://amzn.to/368cfE0
Machiavel - Le Prince https://amzn.to/3mb8Qd0
Aristote - Ethique à Nicomaque https://amzn.to/2ViaEp7
Carl Schmitt - La Notion de Politique https://amzn.to/2JcUGtp
Sur les punitions infligées pour adultère au Moyen-Âge : « Honte, pudeur et justice dans l’Europe méridionale du XIIIe siècle » - accessible ici : https://journals.openedition.org/rive...
Sur l’adultère et les stratégies évolutives de l’espèce humaine : https://www.arkhe-editions.com/magazine/science-adultere/
La mortalité infantile (et la place de l’enfant) au Moyen-Âge : https://www.inrap.fr/magazine/Idees-recues-sur-le-Moyen-Age/Sornettes/Des-enfants-mal-aimes%23.X7u6xi3pNpQ
Mortalité infantile : « La mort d’un bébé au fil de l’histoire » : https://www.cairn.info/revue-spirale-2004-3-page-15.htm
La propriété pendant la Révolution Française : https://fr.wikisource.org/wiki/La_Propri%C3%A9t%C3%A9_pendant_la_r%C3%A9volution_fran%C3%A7aise
Révolution et redistribution des richesses dans les campagnes (Révolution Française) : https://journals.openedition.org/ahrf/11151
Sur l’existence de la noblesse : https://books.google.fr/books?id=vt4YAAAAIAAJ%26q%3D%2522plus%2Bd%2527existence%2Bl%C3%A9gale%2Bni%2Bjuridique%2522%26dq%3D%2522plus%2Bd%2527existence%2Bl%C3%A9gale%2Bni%2Bjuridique%2522%26hl%3Dfr%26sa%3DX%26ved%3D0ahUKEwiu1YO6uorlAhVQqJ4KHcgxAzgQ6AEIKDAA
Quelques exemples de l’évolution des sociétés occidentales au XIXème siècle (pendant la Révolution industrielle) https://www.persee.fr/doc/ahess_0395-2649_1967_num_22_4_421584
Sur le travail au XIXème siècle : https://histoire-sociale.cnrs.fr/une-histoire-du-salariat-19eme-siecle-un-travail-sans-contrat-de-travail/ ; voir aussi ces https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/Actes-Fauriel-def_3_couleurs_BR-2.pdf et https://books.openedition.org/pur/24013?lang=en
10 lois dépassées en Angleterre : https://www.independent.co.uk/news/uk/crime/calls-dead-laws-be-repealed-7618201.html
Le décisionnisme de Carl Schmitt - Théorie & rhétorique de la guerre : https://journals.openedition.org/mots/15642
(Certains liens sont affiliés, ce qui ne change rien pour vous).
964 commentaires
Ndlr : Critique en règle de Macron ++
Chanson française Culture Humour
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Conseillers Départementaux du canton de Charente-Bonnieure
Les permanences se déroulent au rythme d’une par trimestre à la mairie où les dates et horaires sont disponibles.
Fabrice POINT : 06 27 67 83 20 fpoint@elu.lacharente.fr
Sandrine PRECIGOUT : 06 27 67 83 26 sprecigout@elu.lacharente.fr
Conseillers Départementaux du canton de Charente-Vienne
Philippe BOUTY : 06 30 94 18 52 pbouty@elu.lacharente.fr
Jeanine DUREPAIRE : 06 27 67 73 69 jdurepaire@elu.lacharente.fr
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CONCILIATEUR DE JUSTICE POUR LE CANTON DE CHARENTE-BONNIEURE : M. Roger BUSSIERE
- Champagne-Mouton (salle de La Mairie) : le 3e mardi de chaque mois à partir de 14h30 - Tél : 05 45 31 80 48 .
- Chasseneuil (salle des associations) : le 2e et le 4e vendredi de chaque mois à partir de 10 h - Tél : 05 45 39 60 71.
MSAP – MAISON DE SERVICES AU PUBLIC MAIRIE DE CONFOLENS :
Place Henri Coursaget - 16500 CONFOLENS
Ouverte au public du lundi au jeudi de 9h à 12h et de 14h à 16h Sans rendez-vous ou avec rendez-vous pour les cas particuliers en téléphonant au 05 45 84 94 56 – msap@mairie-confolens.fr
Compétences : Informations administratives et juridiques générales. Renseigner, informer et orienter vers le bon interlocuteur.
MSAP – MAISON DE SERVICES AU PUBLIC Bureau de POSTE de SAINT-CLAUD :
Ordinateur et imprimante sont à votre disposition pour vos démarches administratives. Ouvert au public du mardi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 16h, le samedi 9h - 12h.
Contact : msap.saint-claud@laposte.fr
POINT D’ACCÈS – SOUS-PRÉFECTURE :
1 rue Antoine Babaud Lacroze - 16500 CONFOLENS Tél. : 05 17 20 34 04
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Médiathèque Contacts
Marie-Christineà Roumazièresau 05 4571 74 61 et/ou mediatheque@terresdehautecharente.fr - Nathalie à Genouillac au 05 45 85 38 45 mediatheque.genouillac@terresdehautecharente.fr
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Dispositif de chèques APTIC.
Le CSCS de Haute-Charente fait partie des structures labellisées APTIC dans le cadre du plan départemental d’accès au numérique. Ce dispositif s’adresse aux bénéficiaires du RSA ; celui-ci se voit remettre un chéquier de 10 pass numériques par son travailleur social référent pour lui permettre de s’initier à l’informatique. Au CSCS de Haute-Charente, un 1er rendez-vous avec l’animateur référent numérique (ARN) Céline KABA FAUROT permettra d’engager la formation selon le niveau et les besoins de la personne.
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Croix Rouge Française - Unité Locale Nord est Charente
Croix Rouge Française - Siège Les Carmes - 16110 La Rochefoucauld en Angoumois Tél. 05 45 70 41 35 Email : ul.nordest-charente@croix-rouge.fr Permanences : mardi et jeudi de 9h à 12h
Présidente : L. GARNIER - Tél. 06 84 29 72 20
Lieux des activités
Chabanais - 3 rue Nationale - Ruth DENNEHY
Chasseneuil - 16 rue Bir Hakeim - Nicole LOUMEAU
Confolens - Cour des Recollets - Claire WILSON
La Rochefoucauld - Cloître des Carmes- Marie BLIN
Roumazières - rue du Clos Beau- Monique LABARUSSIAS
Ruffec - 15 rue du Chenais - Lucette COITEUX
Secourisme Directeur : C. LECHARTRE Tél. 05 45 70 41 35 - 06 83 91 12 16
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Billet d’humeur des élus de la liste de Jean-Marc CAPOÏA
... 44,57% des voix exprimées. ... 6 sièges obtenus ... nous siégeons dans toutes les commissions, à hauteur de 20% des membres* ... Jean-Marc CAPOÏA, Michel BLANCHIER, Josiane PEREIRA, Patrick VIROULAUD, Sandrine JUDDE et Amandine CLAUZEL.
...
89 vues - 3 - 0 / CetF Editions - 95 abonnés - 0 commentaire
https://cfeditions.com/masutti
« Analyser l'impact de la surveillance sur la société, c'est aussi en faire l'histoire. Il nous faut comprendre comment l'utilisation de la donnée a su s'imposer comme un modèle d'affaire. »
Christophe Masutti présente son ouvrage « Affaires privées : aux sources du capitalisme de surveillance ».
Connu / https://twitter.com/hervelc/status/1315934961648762881
"
Hervé Le Crosnier @hervelc Niveau 1 :
« Au-delà d'une activité économique, il se crée dans la société une culture de la surveillance. » Seconde vidéo de la série par Christophe Masutti pour son livre "Affaires privées : aux sources du capitalisme de surveillance".
Affaires privées, épisode 2 : l'économie de la surveillance
« Au-delà d'une activité économique, il se crée dans la société une culture de la surveillance. » https://cfeditions.com/masutti Christophe Masutti présente ...
10:38 AM · 13 oct. 2020·- 1 Retweet 1 J'aime
"
&
https://www.youtube.com/watch?v=VSJCvPSE0Nc
"
Affaires privées, épisode 4 : le capitalisme de surveillance selon Shoshana Zuboff
18 vues - •15 oct. 2020 - 1 - 0 - 95 abonnés
« Pour Shoshana Zuboff, le capitalisme de surveillance est le résultat mécanique d'une transformation néfaste du capitalisme. Pour elle, il faudrait réguler le capitalisme de surveillance pour qu'il soit plus moral et plus soutenable. »
0 commentaire
"
Dont "Foster et McChesney, mise en cause du capitalisme lui-même ..."
Ground Control était en direct. Hier, à 09:49 ·
Rencontre avec Jean-Marc Jancovici et l’équipe du Shift Project
15 K vues 107 J’aime 170 commentaires 72 partages
Vidéo complète à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Tf4eSA
Commentaires
Gaston Prunier, Noémie Segol, Joseph Le et 104 autres personnes aiment ça.
Transcription :
...
1:20:00 impact du secteur culturel sur le bilan carbone. Les événements culturels émettent énormément. L'impact de la culture sur les usages du numérique est énorme. Enlever la viande fait baisser l'impact d'un festival. YA 100 mesures dans le PTER. Relocaliser, réduire les échelles (jauges, niveaux de diffusion). Ralentir. Approche systémique...
1:34:00 L'ESR (enseignement supérieur recherche) assez proche de la culture, secteur serviciel. 3 sujets :
- enseignement = former les étudiants, la formation continue. Évaluation difficile à faire.
- recherche, important car alimente les autres secteurs.
- l'infrastructure, importante. Patrimoine immobilier, 130 000 personnels, erasmus, etc 1 ordi, du numérique, ...
L'intervention de JMJancovici seul est à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?xAUu-w
Terminer >1:40:00 ACT
dans AMFiS 2020
Conférence des AMFiS 2020 « Quel service public de la culture face à Amazon, Netflix et Ubisoft ? » avec :
- Ugo Bernalicis (député LFI),
- Juliette Prissard (directrice des affaires européennes de la PROCIREP),
- Mylène Lourdel (Women in Games),
- Alexandre Schon (groupe numérique LFI),
- Danièle Atala (artiste plasticienne, groupe culture LFI)
Historien des cultures visuelles, fondateur de la revue Etudes photographiques (1996-2017), je suis enseignant-chercheur à l’EHESS (contact: andre.gunthert[at]gmail.com).
J’ai notamment enquêté sur les débuts de la photographie, la révolution de la photographie instantanée, l’édition illustrée, le photojournalisme et la bande dessinée. Observateur de la transition numérique, j’ai décrit le nouveau partage des images et leurs usages conversationnels (L’Image partagée, Textuel, 2015). Mes travaux récents portent sur les usages sociaux des images, l’histoire des images d’information, et la théorie du récit visuel.
Ouvert en septembre 2014, L’image sociale prend la suite de plusieurs autres blogs: Actualités de la recherche en histoire visuelle (1001 billets, 2005-2009), Totem (250 billets, 2009-2012) ou L’Atelier des icônes (384 billets, 2009-2014). Ce carnet de recherches propose une extension publique de mes séminaires de recherche et s’inspire de leurs fonctionnements. J’y consigne des relevés, des observations ou des hypothèses, dont on peut suivre le fil grâce aux mots-clés qui représentent autant de directions de recherche (débat, expression, genre, narration, réception…).
J’y reprends également mes contributions scientifiques publiées (et le cas échéant leurs versions anglaises). Les éléments développés dans mes cours sont regroupés sous l’intitulé “Notes de séminaire”. On peut encore y trouver mes interventions en vidéo, une sélection des meilleures notes, sans oublier quelques billets d’humeur (dans cette rubrique, ou chaque fois que je m’aventure en dehors de mes domaines de spécialité, il va de soi que mon avis doit être considéré comme dépourvu de toute autorité scientifique).
Lawfare Palestine
La France insoumise @FranceInsoumise
Après <a href="?addtag=Macron" title="Hashtag Macron">#Macron</a> hier, <a href="?addtag=Castex" title="Hashtag Castex">#Castex</a> aujourd'hui : deux interventions, deux pertes de temps pour le pays. Une victoire culturelle pour les insoumis : le Haut Commissariat au plan. Pour le reste, la rentrée sociale s'annonce bouillante. <a href="?addtag=DirectAN" title="Hashtag DirectAN">#DirectAN</a>
Édito @AQuatennens pour @L_insoumission. 2,9 k vues - 5:18 / 7:44 - 6:37 PM · 15 juil. 2020·- 97 Retweets avec un commentaire 187 J'aime
Guide autodéfense numérique - Tome 1 — hors connexions
Clés : cours_édition · culture_Internet · informatique · technique · vie_privée
17 mai 2010 à 18:28:54 UTC+2 · permalien
http://guide.boum.org/tomes/1_hors_connexions/unepage/
10 vues - 0 - 0 - 52 abonnés
Nicolas Venault colistier et habitant du Bois de Bléville va vous parler de l'offre culturelle havraise.
Le 28 juin on vote Un Havre Citoyen avec Jean-Paul LECOQ
90 min - Disponible du 14/04/2020 au 19/06/2020 - Prochaine diffusion le vendredi 15 mai à 09:25
Ce programme est disponible en vidéo à la demande ou DVD.
Des caméras de Nice à la répression chinoise des Ouïghours, cette enquête dresse le panorama mondial de l'obsession sécuritaire, avec un constat glaçant : le totalitarisme numérique est pour demain.
Aujourd'hui, plus de 500 millions de caméras sur la planète offrent aux autorités la capacité de nous surveiller, à peu près partout et à chaque instant. Sous couvert de lutte contre le terrorisme ou la criminalité, les grandes puissances se sont lancées dans une dangereuse course aux technologies de surveillance. Dorénavant, l'incroyable perfectionnement de l'intelligence artificielle valide l'idée d'un regard total. Aux États-Unis, les forces de police utilisent la reconnaissance faciale pour identifier les suspects. En Chine, les caméras peuvent repérer les criminels de dos, à leur simple démarche. En France, la police utilise des caméras intelligentes qui analysent les émotions et les comportements des passants. Marquée par l'attentat au camion du 14 juillet 2016, qui a fait 86 morts, et s'est produit en dépit des 2 000 caméras scrutant la ville, Nice se situe désormais à l'avant-garde de l'expérimentation. Le centre de supervision et les zones dédiées à la reconnaissance faciale sont les chevaux de bataille du maire Christian Estrosi, qui veut faire de sa ville une safe city. Comme un virus, l'idéologie du tout sécuritaire se répand à la mesure d'une révolution numérique à la puissance exponentielle. Va-t-elle transformer notre monde en une planète habitée par 7 milliards de suspects ? Quel niveau de surveillance nos libertés individuelles peuvent-elles endurer ?
Dictature 3.0
On le surnomme le "marché de la peur", estimé à 40 milliards de dollars par an. Colossaux, les enjeux de la surveillance intelligente aiguisent les appétits de sociétés prêtes à promouvoir le "modèle Big Brother" pour engranger les plus grands bénéfices. L'enquête internationale de Sylvain Louvet démonte les rouages de cette machine aux innombrables facettes et dévoile la relation incestueuse qui se noue entre les industriels et les pouvoirs publics. En Israël, elle souligne les liens entre l'armée, le Mossad et les start-up technologiques, soupçonnées de tester la reconnaissance faciale aux checkpoints. En France, elle met en lumière l'influence du secteur privé, dans les orientations choisies par le maire de Nice, Christian Estrosi. Aux États-Unis, l'enquête donne la parole à ceux qui dénoncent la faillibilité du logiciel de reconnaissance faciale d'Amazon couplé à un fichage biométrique généralisé. Le documentariste a également réussi à enquêter en Chine, pays où l'obsession sécuritaire est en passe de donner naissance à une nouvelle forme de régime : la dictature 3.0. Arrestations "préventives" arbitraires, mise en place d'un système de notation des citoyens, fichage ADN et persécution systématisée (allant jusqu'à l'apposition d'un QR code sur la porte des appartements) de la minorité musulmane des Ouïghours… L'arsenal de la répression connaît un degré de raffinement inédit dans l'histoire de l'humanité. Un camp du Goulag numérique : telle est la vision du futur dessinée par ce documentaire aussi percutant que glaçant.
Réalisation : Sylvain Louvet Producteur/-trice : Capa Presse Auteur : Sylvain Louvet Pays : France Année : 2019
Transcription : ... Eylon Etshtein ceo de AnyVision, israël modélisation du visage par 500 millions de chiffres ... isaac ben-israël, vision pour la défense, 6 millions de juifs entourés de 360 millions d'arabes ... Amir kain, responsable du contre-espionnage israélien (2007-2015), tamir Pardo directeur du MOSSAD (2011-2015) fondateurs de AnyVision. Utilisé secrètement pour surveiller les palestiniens. En 15 ans, les actes terroristes sont passés de 2000 à 14000. Quant au nombre de tués, il a été multiplié par 9. Comme un virus, la peur des attentats se propage et les villes se protègents. Marché de la vidéosurveillance intelligente de 40 milliards de $. Laurent Mucchielli, directeur de recherche au CNRS : c'est une société paranoïaque en fait. Surveiller tout le monde, donc soi-même en permanence. Christian Estrosi, quand ya 86 morts sur la promenade des anglais, on peut appeler ça de la paranoïa, c'est presque une vision. Pour moi, ce sont des faits. La France est en guerre. ennemis de 5ème colonne. Fasciné par le modèle israëlien, caméra pour détecter les émotions dans les transports, faire de nice une safe city, un projet piloté par thalès, le géant fr de l'armement. LM : 98% des détections l'ont été par du renseignement. Concernant les attentats de nice, ce qui nourrit le travail des enquêteurs après coup, ce sont les éléments classiques de l'enquête de police : étude de voisinage, étude de l'ordinateur. Pas les caméras qui n'ont fait que filmer l’horreur à l'instant où elle se produit, cad qu'elles n'ont servi rigoureusement à RIEN. Le discours politique continue, ça ne marche pas, mais je suis déjà passé à l'annonce suivante. C'est une fuite en avant. Camper la posture, faire tourner le commerce, dans une alliance objective.
Inquiếtudes : atteintes à la liberté individuelle dénoncées par des associations : Valencienne, Saint-Étienne, La quadrature du net et la ligue des droits de l'homme multiplient les recours pour non respect du rgpd. Martin Drago de LQDN. absence de cadre juridique, les élus en profitent, on peut expérimenter. Il faut lutter contre cette opacité. TES fichier électronique sécurités créé en 2016 et géré par le ministère de l'intérieur français. Regroupe l'ensemble des cartes d'identité et des passeports. 1ère étape d'une surveillance de masse avec la photo du visage. Fichage biométrique de toute une population. Ex usa suite 11/9/2001, le patriot act étent considérablement les pouvoirs de surveillance. Trump l'étend avec la reconnaissance faciale /aéroports, police, écoles, etc. Des manifs. sur les dangers d'apparition d'un état de surveillance. Plus de la moitié des américains fichés et personne ne le savait ! Le congrès ne l'a jamais autorisé. Incapacité à identifier correctement les personnes de couleur ~10%, ils ont donc plus de chances d'être accusés de crime qu'ils n'ont pas commis. Recognition d'amazon testé a montré le niveau très élevé des mauvaises reconnaissances. Mais amazon continue à le vendre à 12€/mois ! Mis au service d'armes létales. Liz O'Sullivan resp éthique (2016-2017) clariFAI : l'ambiance change, le pdg cache qque chose, dissout le comité éthique, méfiante, ell enquête et découvre la dissimulation : contrat avec la défense usa pj maeven de millions de $ /drones tueurs. Invest de 70 millions de $ /machine décide de tuer. En europe, idem cf rapports comm europ : chris jones ex pj roll border, des millions de fonds dépensés. 1,4 milliards de fonds publlics européens, influencé par les grandes entreprise airbus, trhalès, etc. Le gr d'experts : sur 20, 1/3 déclare des liens avec la sécurité. En Chine, la réalité a déjà dépassé la fiction. Les citoyens ont si bien intégré la présence des caméras. XI JIPing prend conscience de la puissance des caméras intelligentes. 1ère dictature numérique au monde; Les licornes au coeur du système avec à l'intérieur une cellule du parti. Univers orwellien. En 2020, 600 millions de caméras ! GE YULU, artiste défie ce système en regardant pendant des heures une caméra ! et dénonce cette surveillance. Les autorités ont un dossier sur chaque citoyen à la soviétique. contrôle social sans limites. ex train changaï-pékin. score de crédit social, notation des citoyens fonction de leur comportement. diffuser la morale communiste jusque dans les zones les plus reculées comme rongcheng? La délation fait gagner des points ! Le groupe prime sur l'individu. inventé par Lin Junyue. On contrôle les risques, les comportements vertueux. Les citoyens muselés. 20 millions de citoyens placés en liste noire. H transformé en machine c'est terrifiant. Cambodge, chili, sry lanka intéressés ?! -> nouvelles route de la soie numérique, dt la fr ! visite dénoncée par lasso dr de l'h tibétains, ouighours en 2009, enregistrement vocal, décodeur destiné aux familles enregistrer les conversations pour partager nos opinions politiques. au XinTiang ? manif réprimée durement affrontement interethniques des centaines de morts. Virage totalitaire zone la plus surveillée au monde. qrcode /suirveiller les familles, la cible, les musulmans pratiquants ! enfermés dans un camp, à plus d'1 million de personnes soit 1/10ème de la population ! "centre d'enseignement" prison, chocs électriques, médicaments /briser leur identité on les force à parle de mandarin, à faire allégeance au gouv et au parti. Une appli chinoise, rétro-ingénierie ->suspects. derrière, entreprise d'état CETC algorithme de la répression rapport de HRW humain rights watch. ethnocide culturel ... avec la technologie, les sentiments disparaissent.
San Francisco a fait un choix unanime bannir la reconnaissance faciale de ses rues. ...
Étude systématique des interactions entre la technique et la culture, la médiologie s’intéresse aux moyens de transport du sens, dans l’espace et dans le temps. Car si la communication fait circuler l’information entre les contemporains dans l’espace, la transmission (au sens de transmission d’un patrimoine) la fait circuler dans le temps, entre les générations – à sens unique, il est vrai…
Pas besoin de médium (spiritiste) ni de tables tournantes pour faire parler et agir les morts : les dispositifs (médiologiques) de la transmission y pourvoient le plus banalement du monde. Comme le dit un médiologue un peu tourmenté : « chaque fois que je fais parler un mort (en le citant), je ne peux m’empêcher de penser qu’un mort est en train de me faire parler… ».
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Dans le cadre de la commission d’enquête de suivi du Covid-19 lancée par les parlementaires de la France insoumise, Michel Larive auditionnait :
- Denis Gravouil, secrétaire général de la CGT Spectacle
- Christian Benedetti, acteur et directeur du Théâtre-Studio d'Alfortville
- Caroline Galmo, directrice du festival Mima
Toutes les auditions et les informations sur la commission d'enquête de suivi du Covid-19 sont à retrouver sur cette page : https://lafranceinsoumise.fr/commission-enquete-suivi-covid19/
Catégorie Actualités et politique 14 commentaires
Alain Primé il y a 6 heures
Culture et libéralisme sont des conceptions incompatibles. Quid d'un Ministère de la Culture sous un régime capitalisme sans prendre Disney ou Netflix comme modèles ?...
Fermée en ces temps de pandémie mais déjà depuis longtemps abandonnée, souvent critiquée face aux séduisantes plateformes en ligne, attaquée directement par les risques sanitaires de notre temps, la salle de cinéma n’a pas fini de décliner en termes de fréquentation. Désuète ou socialement d’actualité ? Dépassée ou en regain de puissance ? Une chose est sûre : la salle de cinéma n’a pas dit son dernier mot.
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L’uberisation du cinéma : la suppression des intermédiaires
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Par la suppression du rôle de médiateur de l’œuvre cinématographique qu’ont les exploitantes et les exploitants des salles de cinéma, les plateformes trouvent ici le moyen d’éliminer un acteur du marché : tout film ou série Netflix ne donnera ses recettes qu’à Netflix, et à personne d’autre. Paradoxalement, en promouvant une démocratisation de l’accès à l’offre culturelle, on l’enferme dans des bulles d’acteurs économiques qui produisent, distribuent et exploitent, seuls, le produit. À eux seuls, ils reprennent le travail de toute une chaîne économique, dûment réglementée par la loi en France car elle implique une multitude d’acteurs différents.
L’exception culturelle française en jeu : l’affaire Okja (Cannes 2017)
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système qui permet de favoriser la vie d’un film en salle de cinéma est appelé communément « chronologie des médias » et, unique au monde, est l’illustration de l’exception culturelle française. Ceci associé au fait que tout ticket de cinéma vendu en France rapporte une « taxe CNC » qui est réinjecté dans l’avance sur recettes pour la production de films, pour Netflix le calcul serait négatif : sortir un film en France reviendrait à perdre 36 mois de visibilité (et d’exclusivité sur le film) et à financer d’autres films que ceux produits par la firme.
...
développement de ciné-clubs, d’avant-premières, de projections accompagnées de débats avec des associations, ou encore de formules curieuses comme les ciné-surprises, les ciné-brunchs, etc. n’ont qu’un seul but : recréer un public d’habitués, une clientèle fidèle au cinéma, en tant que lieu, et pas une clientèle volage qui ne viendrait voir que les films qu’elle a envie de voir.
Il en va de notre conception de l’offre culturelle : expérience individuelle, ou vécu collectif ?
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l’expérience passionnelle, sensorielle, du vécu collectif
...
si le cinéma est né dans les sous-sols du Grand Café en décembre 1895, c’est que la technique a dès le début rencontré son public. L’image, sans intermédiaire, sans expérience collective, n’a plus la même valeur, plus la même saveur. Et paradoxalement, nous touche moins individuellement.
*TAGS Cannes Cinéma CNC film Netfix Salle de cinéma
Écologie - Entretiens
TAGS Anthropologie écologie relationnelle néolibéralisme philippe Descola transition écologique
Damien Deville est géographe et anthropologue de la nature. Il est l’auteur, avec Pierre Spelewoy, du récent Toutes les couleurs de la Terre – Ces liens qui peuvent sauver le monde paru aux éditions Tana. Il y développe plusieurs concepts, parmi lesquels celui « d’écologie relationnelle », qui s’oppose notamment à l’uniformisation du monde par le néolibéralisme. Dans ce riche entretien, nous avons demandé à ce jeune héritier de Philippe Descola comment il analysait les processus de destruction écologique, sociale et culturelle que nous traversons, et comment construire concrètement une autre approche de la relation, compatible avec la préservation de nos biens communs, a fortiori environnementaux. Réalisé par Clément Molinier et Pierre Gilbert, retranscrit par Manon Milcent.
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parti 6 mois travailler pour le ministère de l’Environnement du Queensland, dans une équipe de rangers, sur la protection des populations de koalas. Pour les protéger, les politiques publiques d’alors consistaient à les parquer dans des zones dédiées à la protection. Grillagées dans des forêts de protection, loin des activités humaines, le koala s’en porterait mieux. ... j’ai remis en cause mes acquis, car ce système de protection se confrontait à plusieurs biais. Un biais écologique d’abord, au sens scientifique du terme, dans le sens où parquer des koalas dans des zones spécifiques participait, sur du long terme, à limiter l’expression de la diversité génétique de la population. Une diversité pourtant nécessaire au renouvellement de l’espèce. Deuxième biais : on observait que certains koalas préféraient s’établir en zone péri-urbaine.
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dernier biais, davantage culturel, m’est apparu : les koalas sont énormément représentés dans les symboles australiens alors que la coexistence est refusée. C’était pour moi une instrumentalisation du vivant doublée d’une hypocrisie anthropologique. Cette expérience m’a dynamité l’esprit. D’ailleurs, je le découvrirai plus tard, la violence infligée aux koalas n’était que le miroir d’une pluralité de violences qui émergent des mondes occidentaux et qui fait de nombreuses victimes : les populations autochtones qui décident de vivre autrement, dont les aborigènes d’Australie – les violences faites aux koalas et les violences faites aux humains sont les deux faces d’une même médaille – mais aussi les territoires oubliés de l’économie monde, les violences faites aux femmes, aux Tsiganes, aux roms, les DOM-TOM marginalisés dans les démarches républicaines… Bref, par notre incapacité à penser la diversité, nous avons laissé sur le carreau nombre d’individus, de collectifs et de territoires.
De ce fait, contourner l’uniformisation des mondes demande, je crois, une réponse citoyenne et politique forte : remettre la diversité, qu’elle soit humaine ou non humaine, au cœur des modèles sociaux. Cette démarche peut offrir des dynamiques d’innovation majeures aux crises que nous connaissons tout en nous permettant de remettre de la poésie dans nos vies. En puisant dans la singularité de chaque être, de chaque imaginaire, de chaque territoire, des voies citoyennes et politiques se dégagent pour emmener le social et l’environnement dans un seul et même horizon.
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En Cévennes par exemple, il y a beaucoup de conflits entre les néoruraux et les archéos cévenols. ... La culture de la résistance d’une part, et l’amour des montagnes d’autre part ! Deux symboles sur lesquels construire de l’inclusivité. Le lien au paysage comme projet territorial a également pour avantage de ne pas être anthropocentré. Il emmène anciens comme nouveaux, humains comme non humains dans un seul et même bateau. J’ai tendance à militer actuellement pour des politiques du symbole, au sens littéral du terme. Ça me fait penser à cette fameuse phrase de l’anthropologue Jean Malaurie : « sans symbole nous ne sommes rien, qu’un peuple de fourmis manipulées par le verbe, l’information et l’image ».
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tension très forte dans les milieux écolos, entre l’urgence climatique et sociale et les manières de cultiver des réponses qui demandent nécessairement du temps. Ce conflit, nous y sommes tous confrontés. Néanmoins, il reste impératif de cultiver le sens !
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se développent à Paris des fermes verticales, sans eau, sans sol. Elles sont très subventionnées au nom de l’autonomie alimentaire des villes. Elles entrent alors en concurrence avec l’agriculture des campagnes où les paysans cultivent pourtant les valeurs de la terre et n’arrivent plus à vivre de leurs métiers. Autrement dit, au nom de l’écologie à Paris, on détruit ce dont l’écologie est censée être la gardienne : la diversité des mondes.
Une deuxième clé de réponse se situe dans le dialogue entre la valorisation de la diversité à l’échelle locale et le sentiment d’appartenance à l’humanité. Il y a un imaginaire auquel j’aime me relier, même si en l’état il peut paraître de l’ordre de l’utopie. Le géographe Augustin Berque, qui a été très influent pour moi, propose dans ses travaux de penser la diversité via trois échelles à partir desquelles on pourrait déployer de nouvelles compétences politiques. La première est l’échelle de l’atmosphère, le matériau physico-chimique de la Terre. Cela correspondrait à des politiques internationales relevant d’un sens commun de l’humanité telle que la lutte contre le réchauffement climatique. Ajouter la vie sur terre permet de déployer une deuxième échelle : l’échelle écosystémique. C’est une échelle biorégionale en somme à partir desquelles se pensent et se préservent les grands équilibres de la vie. Il y a enfin l’échelle de l’habité, celle des symboles et de l’expérience partagée. Augustin Berque l’appelle « l’écoumène ». C’est une échelle beaucoup plus fine qui construit pourtant le vivre ensemble au quotidien. Un universel par-delà l’humain, se situe peut être dans un dialogue pertinent entre ces trois nouvelles échelles politiques et citoyennes.
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La crise du coronavirus montre à quel point nous avons besoin de relation et que l’expérience territoriale est tout ce qui compte face au présent. Y compris pour lutter contre la solitude qui est une bien grande maladie. Toute relation n’est pas physique, il y a également des espaces symboliques dans lesquels nous pouvons trouver des voies d’émancipation malgré le confinement qui a été mis en place. La crise sanitaire invite également à orienter des politiques décentralisées qui donnent les moyens à chaque lieu de faire face aux réalités qu’il traverse. Les relations entre individus laissent place ici à des relations de coopération entre territoires. Pendant des décennies nous les avons opposés. Peut-être arriverons-nous maintenant à les faire dialoguer ! Il y a une bataille culturelle à mener autour de cette égalité territoriale. Je crois même que cette bataille culturelle est mère de toutes les batailles, car, lorsque notre projection au monde change, tout change, à commencer par la vision politique d’une nation. Le coronavirus place l’humanité devant un tel choc qu’il permet ce pas de côté dans l’opinion.
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une feuille de route gouvernementale en deux temps : une rapide transition vers une économie décarbonée sur du court terme, demandant des arbitrages politiques nationaux assez forts tout en amorçant un retour aux territoires sur du moyen terme. Pour qu’il soit pertinent, le vivre ensemble ne peut pas être du ressort des états nations : il demande de placer au cœur des décisions des échelles d’action facilement appropriable par le tout citoyen, c’est-à-dire des échelles plutôt locales. L’un dans l’autre, face à l’uniformisation des mondes et aux précarités qui en émerge, il me semble inévitable de questionner non pas simplement le rôle de l’état, mais bien la place qu’il occupe dans les régimes démocratiques. Sur du long terme, je pense qu’il devra nécessairement s’effacer en partie pour laisser place à de nouvelles modalités d’interventions citoyennes et politiques. Expérimentons.
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réassumer notre propre vulnérabilité. Chaque être vivant a en commun d’être vulnérable, et pour s’adapter à cette condition, il a besoin des autres. Humains comme non humains sont interdépendants. Nous avons besoin des autres, et ce sont bien ces liens d’interdépendances qui doivent mobiliser l’action citoyenne. La deuxième, c’est la rencontre avec l’autre. La rencontre positionne les relations dans une dynamique créatrice. Un plus un, en géographie, ça n’a jamais fait deux. Lorsqu’on réussit à comprendre l’autre pour ce qu’il est vraiment, la rencontre ouvre des trajectoires d’innovations majeures.
Je me permets de préciser que rencontrer l’autre ce n’est pas nécessairement l’apprécier. Vivre la relation revient à accepter également les antagonismes, la différence, le refus. Enfin, puisque qu’on peut rencontrer l’autre en le dominant voir en le détruisant, il convient d’ajouter une troisième étape à cette société de la relation : la justice. Pour que les relations soient émancipatrices pour les deux parties prenantes, il est important d’exercer justice dans la coexistence. Ces trois thèmes sont suffisamment larges pour être mobilisés de manière extrêmement plurielle en fonction des réalités de chaque espace, de chaque communauté voir de chaque individu.
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la diversité que je projetais ailleurs est également présente ici, dans les moindres recoins de l’espace. Nous n’arrivons néanmoins plus à la voir et encore moins à la mettre au cœur de nos vies. Je crois que c’est lié en grande partie à nos modèles éducatifs qui ne valorisent pas assez les territoires. À la lumière de la relation, l’éducation devient également un objet de réforme. Philippe Descola milite effectivement pour davantage d’anthropologie à l’école. J’ajouterais pour ma part davantage de géographie et d’éthologie ! ... construire davantage de liens entre ce que l’on pense et ce que l’on fait de ses mains. Il n’y a presque plus d’activités manuelles dans les programmes pédagogiques et universitaires. Pourtant expérimenter un territoire passe également par le mouvement du corps et par les sens. ... dans les moments de bonheurs comme de malheurs, tout ce qui compte au final, c’est le vivre ensemble. La crise du coronavirus le confirme. Remettre ce vivre ensemble, par-delà l’humain, par-delà l’Occident et par-delà le visible, au cœur de l’action me semble être un beau chemin à suivre.
Ndlr : revisiter, approfondir, questionner notamment sur le lien entre république, fédéralisme et régionalisme / TdM ACT
Objectifs du site
- Offrir un espace de mutualisation aux enseignants documentalistes en mettant à disposition les fichiers - séquences pédagogiques, modes opératoires, dépouillement de périodiques, bibliographies... - articles et brèves proposés par l’ensemble de la communauté.
- Proposer des articles liés à à la pédagogie de la culture de l’information, à la culture numérique, à l’éducation aux médias et aux TICE. Assurer une veille dans ces domaines.
Qui sommes-nous ? vendredi 31 mai 2013 (actualisé le 22 juin 2017)
Les auteurs - Édith Boulo ; - Ghislain Chasme ; - Jacqueline Valladon ; - Nicole Boubée, actuellement en simple accompagnement amical ; - Marion Carbillet ; - Sophie Bocquet ; - Jean-Pierre Hennuyer ; - Hélène Mulot
L’histoire du site
Doc pour Docs est la reprise du site du même nom, créé en 1998 par Alain Gurly, professeur documentaliste, à présent heureux retraité.
Dès avril 2002, quatre professeurs documentalistes Edith Boulo, Ghislain Chasme, Nicole Boubée et Jacqueline Valladon ont travaillé de concert avec Alain, sur leur temps libre, à la reprise de Doc pour docs.
En décembre 2012, Marion Carbillet qui tenait le blog « Mes docs de doc », a rejoint l’équipe.
En février 2014, c’est au tour de Sophie Bocquet.
En mars 2015, Jean-Pierre Hennuyer intègre l’équipe.
Puis en juillet 2015, c’est Hélène Mulot.
Site Internet : Equipe de Doc pour docs
Hébergeur assurant le stockage direct et permanent : OVH
Webmestre : Edith Boulo
Ce site utilise : SPIP + le plugin SPIPr + le plugin ScolaSPIP développé par la Dane de l'académie de Versailles
Qui sommes-nous ?
BANLIEUES SANTE est une association à but non lucratif 1901 qui crée et co-crée des innovations sociales et médicales. Étymologiquement Banlieues signifie « lieux bannis », le nom de notre association s’entend donc comme les « lieux desquels la santé est bannie »
À ce titre nos différentes missions ont pour objectif l’inclusion sociale et médicale des personnes habitant des QPV et des zones rurales en France.
Nous « agglomérons » les expériences de nos adhérents et nous œuvrons à leur modélisation, leur portage et leur qualification.
Nos actions ont pour perspective d’aller au plus près de publics difficiles d’accès ou en repli pour leur permettre de tendre vers le meilleur état de bien-être physique et psychologique malgré les freins sociaux, économiques ou encore l’incompréhension du système de santé (littératie en santé).
Approcher, s’ancrer, se niveler et innover pour rendre intelligible la santé.
« Banlieues Santé c’est avant tout le terrain, le terrain des possibles »
La santé ! Une évidence et une priorité pour certains, très compliquée et souvent reléguée en second plan face aux autres problèmes pour d’autres ! La santé c’est précieux et le système de santé l’est aussi, c’est un puissant facteur de cohésion sociale et il nous faut y veiller.
La médecine n’a jamais été aussi poussée et croît en performance mais aussi en inégalités : déserts médicaux, écart d’espérance de vie et chances face à la maladie corrélé à la CSP, préventions et messages de santé publique qui ne passent plus.
Pour un certain nombre de personnes, il est toujours compliqué d’adopter les comportements favorables à leur santé ou de trouver ne serait-ce qu’un médecin généraliste.
Pour beaucoup, le recours aux soins est trop tardif, trop loin ou trop coûteux.
« La nation garantie la santé à tous les citoyens » Préambule constitutionnel.
Rendre accessible et intelligible la santé, c’est l’engagement que s’engage à tenir l’association Banlieues Santé.
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Vidéo Pas2quartier@france24.com @Pas2quartierF24 : Surville, Montereau-Fault-Yonne (Seine et Marne) ; Yassine Ennomany, coordinateur national ; ... 50 bénévoles de la Fondation Essilor ... son père a connu l'amiante, la silicose en mine ... triptique : professionnels, patients, institutions ... amener la santé en bas des bâtiments ... culturellement cette population n'a pas la culture de la prévention santé ... Abdelaali el badaoui, infirmier, président ...
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Envie de propulser Banlieues Santé, d’en faire le hub d’inclusion sociale et médicale à l’échelle nationale ? N’hésitez plus, en un clic, rejoignez notre équipe !
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Connue / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?VEOrNg
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Bernard Swynghedauw plaide dans cette présentation pour une écologie globale de la santé, cherchant notamment à mieux prendre en compte le microbiote dans les questions de santé publique. Il pose en filigrane la question de la capacité de l'homme à s'adapter à lui-même.
Catégorie
Éducation
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Transcription :
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L'homme peut-il s'adapter à lui-même ?
- Les changements environnementaux actuels semblent bien irréversibles, ou en passe de le devenir, et le seul problème sérieux n'est pas de savoir si nous pourrons les réduire mais comment et j'usqu'où nous nous y adapterons.
- L'adaptation de l'homme ne peut qu'être planétaire et sous-entend un certain degré de gouvernance à ce niveau, elle doit prendre en compte un facteur déterminant :
LES INÉGALITÉS SOCIO-ÉCONOMIQUES ET CULTURELLES.
... (son) livre recommandé "Pour une écologie globale de la santé" => ACHETER (ou à tout le moins, lire) ACT
Ndlr : a PLPDLA, le contacter ACT