Chaque année, plus de 10 millions d’hectares de forêts disparaissent dans le monde. En Asie du Sud-Est, la culture du palmier à huile est une cause majeure de déforestation.
En France, plus de 75% de l’huile de palme que nous consommons sert à faire rouler les voitures sous forme de biocarburant. Un chiffre qui pourrait encore bondir avec la mise en service progressive de la bioraffinerie de La Mède appartenant à Total.
C’est pour mettre fin à ce scandale que les députés ont voté une loi excluant l’huile de palme de la liste des biocarburants privant ainsi Total d’un précieux avantage fiscal. Depuis, le géant de l’énergie multiplie les tentatives pour saboter cette loi.
Débouté par le Conseil Constitutionnel, mis en échec par les députés malgré un lobbying éhonté, Total a réussi à négocier une exception avec le gouvernement pour les distillats d’acide gras de palme (palm fatty acid distillate, PFAD en anglais). L’entreprise prétend qu’il s’agit d’un simple déchet alors qu’il s’agit de l’un des principaux produits à base d’huile de palme transformé dans la bioraffinerie de La Mède. Une manoeuvre habile qui lui ouvre même potentiellement la voie au lucratif marché des biocarburants pour l’aviation.
Dans les prochains jours, dans le cadre du projet de loi de finances 2021, les députés auront le pouvoir de fermer définitivement les vannes à huile de palme en votant un amendement mettant fin à cette exception.
Faites entendre votre voix pour ne pas laisser Total au-dessus des lois.
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Plusieurs députés de différents groupes politiques (EDS, LFI, Les Républicains, Territoires et Libertés…) ont déposé des amendements pour exclure de façon claire les PFAD pour ce nouveau projet de loi de finances.
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Depuis 2015, l’utilisation d’huile de soja dans les biocarburants a été multipliée par 5. Les chiffres des douanes pour 2020 ne sont pas encore publiés mais ils devraient indiquer une accélération de cette augmentation par effet de substitution à l’huile de palme brute, exclue depuis le 1er janvier 2020 du mécanisme d’incitation à l’incorporation de biocarburants. En cohérence avec la décision sur l’huile de palme, plusieurs députés proposent d’aller au-delà d’un simple plafonnement et d’exclure également l’huile de soja.
Une exclusion de l’huile de soja de la liste des biocarburants aurait un effet de lisibilité et d’entrainement très important au niveau européen en créant un précédent favorable avant la révision, en 2021, de la liste des biocarburants à fort risque de changement indirect d’affectation des sols.
Développement des biocarburants avancés dans l’aérien : une stratégie dangereuse
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En France, le gisement d’huiles alimentaires usagées est évalué à environ 100 000 tonnes / an d’après l’ADEME. Ce gisement est déjà valorisé à hauteur de 45 000 tonnes.
Pour sa bioraffinerie de La Mède, Total prévoit déjà potentiellement d’utiliser 100 000 tonnes d’huiles alimentaires usagées ou de graisses animales pour un approvisionnement global de 650 000 tonnes. L’exclusion des produits à base d’huile de palme de la liste des biocarburants pourrait entraîner une plus grande utilisation d’huiles alimentaires usagées et de graisses animales. L’industriel vient d’annoncer un nouveau projet de reconversion de la raffinerie de Grandpuits avec un plan d’approvisionnement de 400 000 tonnes dont le détail n’est pas connu mais qui prévoit d’utiliser des quantités importantes d’huiles alimentaires usagées et de graisses animales.
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J’interpelle mon député https://www.canopee-asso.org/action/#
Les députés examinent à partir du jeudi 1er octobre 2020 une proposition de loi déposée par le groupe Écologie Démocratie Solidarité (EDS). Les mesures concernent, entre autres, la sortie de l’élevage intensif et de l’élevage en cage. C’est un rendez-vous majeur qui fait entrer au Parlement le débat autour de la condition animale.
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Connue / https://wegreen.fr/group/agriculture-elevage-alimentation/publication/sortir-de-lelevage-intensif-discussion-dun
Ce jeu de données provient d'un service public certifié C³
Nombre de têtes bio par département sur la période 2008-2011 inclus.
A Niort, un parc animalier tente depuis 2015 de sauver un oiseau sauvage menacé d’extinction.
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l’outarde canepetière a un rôle important. Cet oiseau sauvage et agricole est considéré comme une « espèce parapluie ». C’est-à-dire que sa sauvegarde va aussi aider à protéger d’autres espèces. Mais depuis les années 70, les populations d’outardes ont diminué de 60%. En cause : l’urbanisation et l’intensification de l’agriculture. Alors grâce à une mission de préservation, un parc animalier, le Zoodyssée de Niort, tente depuis quelques années d’endiguer l’extinction de l’espèce. Une action qui s’inscrit dans un programme d’actions plus global impliquant de nombreux acteurs de terrain comme des associations, des chasseurs, des agriculteurs et l’Etat.
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Connu / https://wegreen.fr/group/revue-de-presse-greenpeace/publication/revue-de-presse-du-10-decembre-2019
Connue / wg
Le 14 juin se tiendra la 5ème Journée internationale de mobilisation contre les longs transports d’animaux vivants. En raison de l'épidémie de COVID-19, la journée sera entièrement numérique.
53 minutes - Clés : Sciences indiens Amazonie
A la fin des années 1970*, l’anthropologue Philippe Descola est allé à la rencontre d’un peuple amérindien peu connu à l’époque : les Achuar. Les trois années qu’il a passé avec eux ont ensuite nourri sa réflexion sur les liens qu'entretiennent les humains avec les autres êtres vivants dans les différentes cultures.
Un Indien de Jivaro en Equateur. Chez les Jivaros Achuar de l'Amazonie. © Getty / Francois ANCELLET / Contributeur
Ils vivent aux confins de l’Équateur et du Pérou, dans la forêt amazonienne. Ces amérindiens font partie des Jivaros. Eux préfèrent se dénommer Achuar , les Gens du Palmier d’eau. Lorsque l’anthropologue Philippe Descola décide d’aller à leur rencontre, accompagné de son épouse Anne-Christine Taylor, en 1976, on sait peu de choses de ces hommes et des ces femmes que certains surnomment "les réducteurs de têtes". C'est surtout cette appellation qui est bien réductrice.
Pendant 3 années Philippe Descola a vécu avec les Achuars dans la forêt amazonienne. Une longue enquête ethnographique qu’il raconte dans un ouvrages intitulé « Les lances du Crépuscules » aux éditions Terre Humaine.
Après ce voyage fondateur toute sa vie l’anthropologue s'est intéressé aux rapports qu'entretiennent les humains avec leur environnement, les animaux et les plantes. Les théories qu'il a développées ont marqué sa discipline et lui ont valu la médaille d'or du CNRS.
Pour aller loin Tristes tropiques, de Claude Lévi-Strauss, paru chez Plon en 1993
L'invité
Philippe Descola est anthropologue et ethnologue. Il a publié Les Lances du crépuscule en 1994 (éditions Plon) et occupe actuellement la chaire Anthropologie de la nature au Collège de France.
Rediffusée le samedi 30 mai 2020 https://www.franceinter.fr/emissions/du-vent-dans-les-synapses/du-vent-dans-les-synapses-30-mai-2020
Transcription :
... animaux, plantes, des personnes ...
=> valoriser cette vision des êtres (universaliste du vivant ?) ACT
Culture et pop 60 min Disponible du 07/05/2020 au 06/06/2020
Version française Version originale Découvrez l'offre VOD-DVD de la boutique ARTE
Ex-chanteur du groupe The Animals et figure de proue du rock anglais, Eric Burdon évoque ses plus beaux succès, ses passages à vide et ses engagements politiques.
Monstre sacré du rock anglais, Eric Burdon débute sa carrière dans les rues de Newcastle, sa ville natale. Il connaît son premier succès international en 1964 avec le groupe The Animals, grâce à leur célébrissime reprise de la chanson populaire "House of the Rising Sun". La suite de son parcours ne ressemble pourtant en rien à un long fleuve tranquille. Rebelle et anticonformiste, réfractaire aux exigences de l’industrie musicale, Eric Burdon peine à se hisser au rang de superstar. À la fin des années 1960, il opère un changement de cap et s’associe au groupe afro-américain War – un engagement politique lourd de sens, en plein mouvement pour les droits civiques aux États-Unis, où il s'est installé. Aujourd’hui, il reste, aux côtés de Paul McCartney, de Bob Dylan et des Rolling Stones, l'un des derniers représentants actifs de la première vague du rock anglais des sixties. Hannes Rossacher retrace la vie tumultueuse de cet artiste haut en couleur au fil d’entretiens réalisés à Los Angeles, San Francisco et Newcastle. Cette grande voix du rock livre un récit touchant de ses échecs, de ses succès et de ses combats.
Réalisation : Hannes Rossacher Pays : Allemagne Année : 2017
Transcription : ... son père objecteur de conscience ... chantait des chansons de Tony Ray pour débuter ... en 1963 début du groupe Animals au jaz club de Newcastle ... conscient du quartier ouvrier, a voulu s'échapper ... construction navale ... Sting né là en parle ... les allemands bombardaient depuis la norvège ... les traces de la guerre ont perduré jusque dans les années 80 ... tournée de 20 dates en Pologne Steven Van Zandt témoigne ... Patti Smith n'avait jamais rien entendu d'aussi fort et prenant, ça venait des trippes, c'était profond, ils représentaient les plus dissidents ... George Thorogood [and the destroyers] les Animals étaient les premiers avec une musique destinée aux adultes. Ils ont ouvert la voie. ... Alan Price a déposé les droits pour lui tout seul ! Après cette trahison, Eric Burdon se sépare du groupe et fonde les New animals ...
En ligne :
- ERIC BURDON THE ANIMALS GREATEST HITS 1h (2ème partie exceptionnelle ++ se terminant par le tube Don't Let Me Be Misunderstood) https://www.youtube.com/watch?v=OG3TLDVkot4
- The Animals - House of the Rising Sun (1964) + clip compilation ♫♥ 55 YEARS & counting https://www.youtube.com/watch?v=uS90B4sZf7U
- Eric Burdon - When I Was Young (1974) HD ++ https://www.youtube.com/watch?v=4RQSKt9jiLc
- Liste à jouer ++ https://www.youtube.com/watch?v=Qs_FYcF5o3s&list=RDQs_FYcF5o3s&index=1
- Eric Burdon & The Animals - To Love Somebody - 1968 + https://www.youtube.com/watch?v=Qs_FYcF5o3s
- Eric Burdon & War - Paint It Black (Live, 1970) HD reprise de la chanson des Rolling stones Percussions avec le groupe WAR https://www.youtube.com/watch?v=jTbvJ-bYPh8
- Eric Burdon & The Animals - House of the Rising Sun (Live, 2011) ♥♫ 55 years and counting https://www.youtube.com/watch?v=X6DVwql1E-g
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Si l’épidémie de Covid-19 provoque des retentissements inédits, il ne s’agit pas de la première pandémie que connaît l’humanité. L’Histoire récente a notamment été marquée par les grippes aviaires ou le Sida. Toutes ces maladies ont un point commun : ce sont des « zoonoses ». C’est-à-dire des maladies qui se transmettent de l’animal à l’homme.
Alors, comment expliquer que des virus, souvent issus de la vie sauvage, puissent nous contaminer ainsi de manière récurrente ? Pour un nombre croissant de scientifiques, la faute incombe aux humains eux-mêmes, qui, à travers leur développement, bouleversent les écosystèmes.
Sources :
Global trends in emerging infectious diseases (2008) : https://www.nature.com/articles/nature06536
Global hotspots and correlates of emerging zoonotic diseases (2017)
https://www.nature.com/articles/s41467-017-00923-8
Evaluation des ressources forestières mondiales, FAO (2015)
http://www.fao.org/3/a-i4793f.pdf
A Strategy To Estimate Unknown Viral Diversity in Mammals (2013)
https://mbio.asm.org/content/4/5/e00598-13
Emergence de maladies infectieuses, risques et enjeux de société (2016)
https://www.quae-open.com/produit/137/9782759224913/emergence-de-maladies-infectieuses
Les maladies infectieuses émergentes : état de la situation et perspectives (2011)
https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine%3Fclefr%3D213&v=O0NUFPT7rag&redir_token=sOxpKCPTqyrQGc0_Pb4Oam6AVUR8MTU4NzQyMjkzMkAxNTg3MzM2NTMy&event=video_description
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Épinglé par Le Monde il y a 9 heures
Pour retrouver toutes nos vidéos de décryptage sur le coronavirus, c'est ici : https://www.youtube.com/playlist?list=PLFuK0VAIne9J9IgbRJAciLFZ264m4j46g
Connue / https://twitter.com/TardifJulien/status/1251782647191425025
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Institut Eranos @TardifJulien · 15h
CAPSULE - Comment l’humanité déclenche des pandémies : la domestication animale due aux zoonoses - Le Monde
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Transcription : ... solutions : sobriété, localisme
ndlr : et pas un nouveau modèle économique reposant sur les communs (eau, forêts, etc) ?
.#Demain la Ville #Qualité de vie | Lecture 6 minutes
D’un marché de Wuhan à une usine en Bavière, puis au monde entier… Encouragées par le monde moderne, ses villes et ses réseaux, les épidémies ne semblent plus avoir d’obstacles. L’urbanisme était pourtant né avec elles, pour freiner le choléra et la tuberculose. L’aménagement urbain est-il encore capable de nous maintenir en bonne santé ?
“Wuhan en Bavière”
Si l’origine exacte du Covid-19 est encore discutée, elle semble partir d’un marché de fruits de mer fréquenté et populaire à Wuhan en Chine, dans les derniers jours de décembre 2019. Puis le virus s’est propagé par la gare de Hankou, la troisième plus grande de la ville, à quelques enjambées de là. Il aurait ensuite fait ses premiers pas hors de Chine par la Bavière, où une chinoise contaminée était venue assister à une formation professionnelle de son entreprise, l’équipementier automobile Webasto. Pour beaucoup d’experts il s’agit d’une zoonose, c’est à dire une maladie infectieuse d’origine animale : 60% des virus infectieux décrits chez l’homme ont un animal réservoir. On parle d’une chauve-souris, d’un pangolin, voire les deux ?
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Dans le cas de maladies vectorielles, transmises par le moustique ou la tique, il y a souvent une problématique de dégradation des écosystèmes naturels. Si il y a une prolifération c’est que quelque part l’environnement n’est plus en capacité de réguler. On a cassé un équilibre, ce qui provoque un déséquilibre et un emballement des choses.
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La thèse est confirmée par Sonia Shah dans le Monde Diplomatique, « notre vulnérabilité croissante face aux pandémies a une cause plus profonde : la destruction accélérée des habitats ». Énumérant les grandes épidémies de ces dernières années (Ebola, Lyme, E. Coli, SRAS, grippe aviaire…), la journaliste dénonce ainsi l’urbanisation, la déforestation et l’industrialisation, non pas comme des facteurs d’apparition de virus – le phénomène est naturel – mais comme des facteurs de propagation. Pour elle, la protection des habitats naturels, et de manière plus générale la compréhension des mécanismes écologiques, pourra réduire l’émergence d’épidémies.
L’urbanisme a aussi un rôle à jouer. ... l’aménagement a su par le passé endiguer des vagues d’épidémies infectieuses meurtrières. C’est ce que rappelle l’architecte urbaniste Albert Lévy dans son ouvrage Ville, urbanisme et santé – Les trois révolutions (2012) : « La question de la santé est un déterminant majeur dans la naissance de l’urbanisme ». ... choléra en 1832 ... ancien chercheur au CNRS, membre du Réseau Environnement Santé, raconte comment le courant hygiéniste a structuré le développement des villes au XIXème siècle ... « Chaque fois que la médecine n’était pas capable de juguler des crises sanitaires on a fait appel à l’espace et à l’environnement pour les résoudre à titre préventif. » Pour Haussmann par exemple, Paris est jugé « malsain » et doit être assaini ... La Charte d’Athènes rédigée en 1933 pousse la logique plus loin : la ville est divisée en quatre fonctions (logement, travail, loisir et infrastructures de circulation). L’espace public réduit au maximum, au profit des voitures. Avec les avancées de la médecine et de la pharmacologie, le tout curatif vient remplacer progressivement le préventif, entraînant dans la deuxième moitié du XXème siècle, le divorce entre urbanisme et santé.
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Aujourd’hui, Albert Lévy comme Anne Roué-Le-Gall encouragent un retour de l’approche sanitaire préventive dans l’aménagement urbain. « Nous vivons actuellement une véritable transition épidémiologique, marquée par une explosion des maladies chroniques » explique l’architecte. Ce sont les cancers, maladies cardio-vasculaires, maladies respiratoires, asthme, allergies, obésité, diabète… mais aussi les souffrances mentales, l’autisme ou la baisse de la fertilité masculine. Non transmissibles, ces maladies sont directement liées à nos modes de vie, notre alimentation et notre environnement : « On parle d’épidémie parce que ça touche énormément de personnes, et de plus en plus » résume Anne Roué-Le-Gall.
Typiquement urbaines, ces nouvelles maladies sont dues à la sédentarité, la précarité, l’isolement ou aux différents types de pollutio (air, eau, bruit, perturbateurs endocriniens…). Les dérèglements climatiques contribuent à cette crise sanitaire, en cas de stress hydrique ou de canicule par exemple. ... double épidémie : en fragilisant le système immunitaire, notamment des personnes âgées, les maladies chroniques rendent plus vulnérables aux maladies infectieuses
Santé planétaire [image] L'aménagement favorable à la santé - EHESP
Co-autrice de plusieurs guides méthodologiques à destination des décideurs et professionnels de l’aménagement urbain, Anne Roué-Le-Gall ne désespère pas. Dans la lignée des définitions de l’OMS et de la vision dite de « planetary health », elle défend une approche de santé dite globale et positive. « On a une culture française très axée sur la réduction des facteurs de risque. Il y a absolument besoin de faire évoluer cette culture pour ne plus seulement réduire les risques, mais promouvoir ce qui marche, ce qui fait santé. »
En rupture avec l’aménagement hygiéniste, cette approche de la santé publique se veut socio-écologique.
... éviter un aménagement dogmatique et standardisé, qui pourrait avoir des conséquences indésirables. Le guide insiste sur l’importance d’anticiper les antagonismes et les synergies entre les aménagements de santé et ceux pour l’environnement. ... guide ISADORA est financé non plus seulement par le ministère de la santé, mais également celui de la transition écologique. La chercheuse y voit le signe plutôt encourageant d’une évolution des mentalités.
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Comment on est devenu copains avec Bruno Dufayet, président de la fédération nationale bovine ? Parce que, lui comme moi on réclame un "nouveau contrat social entre les français et les agriculteurs", qu'un "cap" soit fixé. Pour l'instant entre EGA et CETA, c'est plutot le grand n'importe quoi, en direct du sommet de l'élevage à Clermont-Ferrand.
Catégorie Actualités et politique 221 commentaires
j lenain il y a 16 heures (modifié)
ne pas oublier que les importations canadiennes, argentines, néo-zélandaises peuvent ne pas être importantes en volume. L'objectif des centrales d'achat de viandes n'est pas d'importer tous azimut, mais de peser sur les prix (les fameux cours mondiaux) pour acheter la viande française à bon prix, et la revendre avec un maximum de bénéfices (d'autant que le commerce a réussi à vendre à un prix plus élevé la viande certifiée d'origine France). Le même mécanisme qui a conduit à la fermeture des usines, textiles par exemple, en France. Veut-on "fermer" les exploitations agricoles ? On en prend le chemin avec nos géniaux néolibéraux, avec l'Union Européenne comme machine de guerre. Une grande manipulation !
Transcription : ... maintenir le dialogue pour dépasser les dissensus ...
Ndlr : Ruffin, meilleur allié de la médiation éthique ? Ne donne-t-il pas l'exemple en s'appuyant sur son savoir-faire de journaliste ? est-ce pour lui de la médiation de l'information ? ACT
Le coup de lame d'arnaud daguin
Le sens de l'humus : la place de l’animal dans l’agricole
Par Arnaud Daguin
Clés : alimentation Élevage industrie agroalimentaire
Pétition signée par 138 346 personnes
Fascinant, drôle, photogénique : partout dans le monde, des gens visitent des attractions avec des animaux sauvages dressés. Le sort des éléphants promenant des touristes en Asie est particulièrement cruel. Exigeons la fin de toute cruauté envers les animaux pour le divertissement.
6.417 signatures
Pétition adressée à Mairie d'Antibes et de Juan les pins, Monsieur le maire Jean Leonetti
Gérer un refuge n'est déjà pas une chose aisée particulièrement financièrement. Nous n'avions donc pas besoin en plus de la création de cette déchetterie pour nous retrouver en grande difficulté.
Avec ses 200 rotations de camions minimum par jour (6 jours/7) plus de repos pour nos pensionnaires : de la POLLUTION, du bruit et donc du STRESS PERMANENT.
Plus d'accès aisé au refuge pour les parrains et marraines qui sortent quotidiennement nos pensionnaires.
Accès très difficile et absence de places de stationnement pour les futurs adoptants.
BREF CHRONIQUE ANNONCEE DE LA MORT DU REFUGE DUFLOS !!!
Soutenez nos animaux en signant cette pétition.
Cet appel initié par Paul Ariès (politiste), Frédéric Denhez (journaliste scientifique), Jocelyne Porcher (sociologue) a déjà reçu le soutien de plusieurs milliers de signataires grâce aux engagements collectifs de la Confédération paysanne, du MODEF, de Slow Food International, de Biolait, de Nature & Progrès, des AMAP, de nombreux parlementaires insoumis et communistes, d’élus EELV, de personnalités des gauches politiques, syndicales, mouvementistes, d’universitaires, de chercheurs spécialistes, de citoyens, etc. La liste intégrale des "premiers signataires" est consultable sur le site du Monde. Vous pouvez aussi signer cet appel sur ce site pour témoigner de votre soutien (pour signez aller tout en bas de cette page).
09h11
Illustration pour "Interception"
Interception
L'ours, mouton noir des Pyrénées
Par Philippe Bardonnaud, Vanessa Descouraux, Géraldine Hallot
Clés :
animaux nature Environnement
16h04
Illustration pour l'émission "Comme un bruit qui court"
Comme un bruit qui court
Le petit paysan, l'administration et l'agrobusiness
Par Giv Anquetil, Antoine Chao, Charlotte Perry
Clés :
Société Politique écologie nature travail & emploi agriculture santé animaux Union Européenne