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Clés : Sciences Environnement et nature Documentaire
Phénomènes aussi éphémères que fascinants, les nuages restent une énigme pour la science. Comment se forment-ils ? Quel est leur rôle dans le fonctionnement du climat ? Peut-on envisager de les exploiter ? Un tour du monde des expériences scientifiques destinées à mieux les comprendre.
Amas de gouttelettes suspendues dans le ciel, les nuages évoquent un imaginaire onirique et poétique. Ces phénomènes physiques sont encore en grande partie inexpliqués et font l’objet de recherches à l’échelle mondiale. Au sommet du Puy-de-Dôme, un aspirateur à nuages permet d’analyser les gouttelettes transportées par le vent, révélant des micro-organismes aux stratégies d’adaptation étonnantes. À Leipzig, dans l’est de l’Allemagne, un simulateur de nuages unique en Europe étudie le rôle des turbulences dans la formation de la pluie. Dans le nord de l’Australie, à l’aéroport de Cairns, un avion high-tech traverse les bandes nuageuses et recueille des données sur les aérosols, afin d’analyser les différences entre les hémisphères Nord et Sud. En Espagne, sur l’île de Grande Canarie, des capteurs à brouillard collectent l’eau des nuages, envisagée comme une ressource durable pour lutter contre les sécheresses et les incendies…
Défi scientifique
Nourri d’images saisissantes et d’animations, ce documentaire explore un objet d’étude bien plus complexe qu’il n’y paraît. Et pour cause : les nuages se transforment constamment sous l’effet des variations de température et d’humidité, se révélant ainsi particulièrement difficiles à observer. À travers les témoignages de chercheurs, le film dévoile les dispositifs innovants conçus aux quatre coins du monde pour comprendre ces phénomènes, de leur formation à leurs effets sur le climat, et soulève quelques questions essentielles pour notre avenir proche : quel rôle les nuages vont-ils jouer dans l’évolution des températures ? Peuvent-ils devenir une ressource pour faire face aux pénuries d’eau ? Un défi scientifique qui croise de multiples échelles, du microscopique au planétaire.
Réalisation Sebastian Lindemann
Pays Allemagne
Année 2024
Tr.: ...
à 60 / 70 km de haut, on trouve les nuages nocturnes lumineux. Ils sont composés des rares cristaux de glace qui peuvent se former dans une atmosphère claircemée. Ce qui est fascinant, c'est qu'on peut voir à l'oeil nu cette très fine couche d'air ... on n'aurait jamais penser trouver de l'air si haut ... Les chercheurs projettent dans le ciel des fasceaux laser ... Réfléchie, la lumière est captée et analysée ... étude des nuages, taille des particules ... Elles ont aussi été observée dans le sud de l'europe, en espagne ... à des attitudes de plus en plus basses ... descendent chaque année de 10 m ... car l'air se réchauffe en bas et se refroidit en haut ... l'atmosphère se contracte, preuve directe du changement climatique ... Nord de la Norvège ... il faut continuer à chercher ... 20% plus abondantes que dans les années 1950 ... événements plus fréquents ... avion iodure d'argent et acétone ... jura souabe ... orage stuper cellulaire, des grélons gros comme une balle de tennis ... 3,6 milliards d'euros de dégâts ... violents épisodes de grêle ... une pluie est ainsi déclenchée avant apparition de grèle ... pas validé scientifiquement ... géoingénierie pour empecher le blanchiement des coraux ... trainées des avions, théories infondées ... Grande Canarie ... tirer avantage des nuages ... feux de forêts ... à 200 km de l'afrique ... brouillard, nuage qui touche le sol ... reboiser l'île ? ... capteurs de brouillard ... par filets, le brouillard de la vie ... produit de l'eau sans consommer de fossiles ... des rangées de minuscules aîguilles ...
Tribune
Le réchauffement climatique ravage déjà des territoires et détruit des vies. Dans le cadre de « l'Affaire du siècle » et faute de réponse du gouvernement à leur demande de renforcement du Plan national d'adaptation, des citoyens annoncent saisir le Conseil d'Etat.
Climat
Mayotte
Le troisième Plan national d'adaptation (PNACC-3), présenté en mars par votre gouvernement, n'est pas à la hauteur, estiment les auteurs de la tribune. (Mathieu Pattier / SIPA)
Par Tribune collective
Publié le 25 juin 2025 à 07:08Mis à jour le 25 juin 2025 à 07:29
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Connu / TG le 25/06/25 à 16:43
nouvelle étape dans l'action des sinistré·es climatiques 🔥 après 2 mois de silence du gouvernement
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Connu / TG le 25/06/25 à 16:43
Connu / TG le 25/06/25 à 15:18
Sauf adaptation, 88% de la France sera régulièrement sous "tension hydrique" d'ici 2050
Paris, 25 juin 2025 (AFP) - Quelque 88% du territoire de France métropolitaine connaîtra fréquemment d'ici 2050 des situations de "tension hydrique" en été compte tenu du changement climatique, si le pays ne change pas radicalement sa politique de gestion de l'eau, indique mercredi le Haut-Commissariat à la Stratégie et au Plan dans une note.
A l'horizon 2050, "sans inflexion des tendances actuelles, 88% du territoire hexagonal pourrait être en situation de tension modérée ou sévère en été en matière de prélèvements", indique ce rapport, selon lequel même en menant une politique de rupture, avec une société "sobre en matière d'eau dans tous les secteurs d'activité", cette proportion ne descendrait qu'à 64%.
Dans tous les cas, "des restrictions d'usage de l'eau pour les activités agricoles, industrielles ou pour les particuliers seraient alors probables sur la quasi-totalité du territoire, comme en 2022", souligne le Haut-Commissariat, convoquant le souvenir d'une sécheresse mémorable, marquée par des arrêtés de restriction d'eau en pagaille.
"La tension relative aux consommations (partie des prélèvements qui n'est pas restituée au milieu) pourrait être forte dans le sud-ouest et le sud-est, en raison de la part importante de l'eau consommée, du fait notamment de l'irrigation des cultures", souligne le rapport.
L'institution avait publié en avril 2024 une cartographie des prélèvements et en janvier dernier une étude sur l'évolution de la consommation.
Elle a confronté ces données en s'appuyant sur une étude pilotée par l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Inrae), Explore 2, sur l'évolution de la disponibilité de la ressource en eau, rendue publique l'an dernier.
Si la France ne modifie pas ses pratiques en matière de gestion de l'eau ou s'en tient aux dernières mesures qu'elle a mises en oeuvre, en août, au coeur de l'été, "on a près de 90% des bassins versants qui sont touchés par une dégradation de la situation hydrique entre 2020 et 2050", a déclaré Hélène Arambourou, coautrice de la note.
Dans le scénario de rupture, "cette dégradation de la situation hydrique survient dans environ la moitié des bassins versants", a-t-elle ajouté.
Réussir à contenir cette dégradation passe par "une sobriété dans tous les secteurs et toutes les activités humaines", a souligné Mme Arambourou.
Dans l'agriculture, par exemple, elle évoque "la régulation" par les pouvoirs publics du développement des surfaces équipées en irrigation, ou le développement des pratiques agroécologiques qui permettent de mieux stocker l'eau dans les sols".
Connu / TG le 25/06/25 à 15:22
Par Romain Leroux Le 19 juin 2025 à 20h09
Face à la mauvaise qualité des eaux du bassin-versant de la Vilaine, le conseil de Rennes Métropole a donné un avis favorable à une série de mesures de la Commission locale de l’eau censées préserver la ressource en eau. Parmi elles, l’interdiction des pesticides maïs dans certaines zones. Une mesure qui n’est pas du goût des agriculteurs.
Rennes métropole va interdire les herbicides maïs d’ici trois ans. (Photo archives Lionel Le Saux/Le Télégramme)
Alors que Rennes connaît une vague de chaleur en ce 19 juin 2025, la température est également montée lors du conseil métropolitain. En début de séance, la FDSEA 35 et les Jeunes agriculteurs sont intervenus pour exprimer leurs « vives préoccupations » sur le Schéma d’aménagement et de gestion des eaux (Sage) de la Vilaine, porté par la Commission locale de l’eau et censé permettre un approvisionnement en eau suffisant en quantité et en qualité. Une ressource fragile, en témoigne l’épisode de sécheresse et de tension sur les réserves en eau que connaît le bassin-versant de la Vilaine après un mois de janvier qui a vu, à l’inverse, des inondations historiques.
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Un risque sur l’eau potable « à moyen terme »
Cette révision du Sage est motivée par un chiffre : seulement 7 % des masses d’eau du bassin-versant de la Vilaine sont considérées comme étant en bon état, soit neuf rivières sur les 148 qui la composent et un plan d’eau sur 22. « La pression humaine est forte. L’eau contient de l’azote et du phosphore en grande quantité et est contaminée par les pesticides, pointe Pascal Hervé, vice-président de Rennes métropole à l’eau, assainissement, GEMAPI, biodiversité et foncier. Cette situation menace à moyen terme la potabilisation de certaines ressources. »
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Les herbicides maïs interdites dans trois ans
Pour y arriver, le Sage interdit les herbicides de maïs sur les parcelles à risque érosif dans les aires d’alimentation prioritaires. « Cette mesure, effective dans trois ans, est une première en France, note Pascal Hervé. Cette avancée significative doit être saluée quand bien même nous avons fortement plaidé pour une mesure plus ambitieuse ». Quant aux zones humides, elles ne pourront plus être détruites, « et dès le premier mètre carré car elle permet l’épuration de l’eau. Sur les 30 premiers mètres d’une zone humide, la pollution est réduite de 80 %. » Les haies et bocages dans les secteurs sensibles à l’érosion seront aussi protégés et leur destruction devra être compensée à 400 %.
Autre ambition, « d’ici à 2030, les prélèvements en eau devront être réduits de 10 % ». L’irrigation en période estivale va ainsi être restreinte. Le remplissage des réserves d’eau ne sera permis qu’en période hivernale et les prélèvements d’eau en hiver plafonnés. Le coût global du projet, sur le territoire de Rennes métropole, est estimé à 250 M€ sur dix ans.
La FDSEA demande des « dérogations » et un « accompagnement financier »
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À lire sur le sujet En Bretagne, près de 70 % des nappes phréatiques en dessous des normales de saison
Connu / TG le 20/06/25 à 13:27
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Face à la mauvaise qualité des eaux du bassin-versant de la Vilaine, le conseil de Rennes Métropole a donné un avis ...
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Connu / https://bsky.app/profile/greenpeace.eu/post/3lsgg5kxfc22l
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Greenpeace EU @greenpeace.eu · 12 min
Our friends @greenpeace.fr with @oxfamfrance.bsky.social and @notreaffaireatous.bsky.social are helping people suffering from climate impacts to take action against the French government for their weak climate adaptation plan
Heatwaves, flooding, unstable ground, lost harvests – the crisis is here
L’Affaire du Siècle, communiqué de presse, 25 juin 2025 Ce mercredi 25 juin, un recours sera déposé devant le Conseil d’État. Porté par des sinistré·es climatiques, […]
laffairedusiecle.net
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Connu / TG le 24/06/25 à 8:17
par Eric Jozsef, correspondant à Rome
publié le 29 mars 2024 à 6h33
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Ndlr : ce pb ne date donc pas de juin 2025 :-(
Reconversion
Propos recueillis par Thomas Ribaud - Publié le 08/05/2024 à 10:00
Correspondant à Rome pour le journal « Libération » depuis les années 1990, le journaliste Éric Jozsef se présente aux élections européennes, dans une coalition libérale qui défend l’idée d’une Europe fédérale, avec la conviction que « les États-nations ne sont pas adaptés aux enjeux modernes ».
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Ndlr : on dirait qu'il n'a pas compris l'anthropocène
Connu / TG le 20/06/25 à 8:54
L'essentiel - Mis à jour le 5 juin 2025
Si vous ou l’un de vos proches avez subi une infraction ou si vous avez commis une infraction et que vous souhaitez mieux en comprendre les causes et les conséquences, vous pouvez participer à une mesure de justice restaurative.
Qu’est-ce que la justice restaurative ?
La justice restaurative (appelée aussi « restauratrice » ou « réparatrice ») est gratuite et complémentaire de la justice pénale.
La justice restaurative offre un espace confidentiel, sécurisé et volontaire, de parole et d’échanges sur les ressentis, les émotions, les attentes de toutes les personnes concernées par l’infraction et ses répercussions.
Elle consiste à faire dialoguer, avec l’aide d’un médiateur neutre et formé, une victime, l’auteur d’une infraction ou toute personne concernée.
Elle vise la reconstruction de la victime, la responsabilisation de l’auteur de l’infraction et sa réintégration dans la société.
Toute mesure de justice restaurative est confidentielle et autonome de la procédure pénale.
- Elle peut être mise en place à tous les stades d’une procédure pénale : avant, pendant ou après le procès et même en l’absence de poursuites.
- Son déroulement, son succès ou son échec n’ont pas de conséquence sur la décision judiciaire.
- Elle peut être arrêtée à tout moment par l’un des participants.
- Son contenu n’est pas communiqué au juge.
Quelles sont les différentes mesures ?
Les rencontres directes auteur/victime
Ces rencontres mettent en relation les auteurs et les victimes d’une même affaire :
- La médiation restaurative : l’auteur de l’infraction et la victime échangent et/ou se rencontrent avec le soutien d’un animateur qui a mené des entretiens préparatoires, dans le but d’évoquer les faits commis, leurs conséquences et leurs répercussions dans tous les domaines.
- La conférence restaurative : des proches ou des personnes de confiance de l’auteur et de la victime participent à la rencontre entre la victime et l’auteur de l’infraction.
- Le cercle restauratif : des personnes mises en cause et des victimes de faits pour lesquels des poursuites ne sont pas possibles (par exemple, à cause de la prescription) peuvent échanger dans cet espace de parole et de réflexion.
Les rencontres indirectes auteur/victime
Ces rencontres mettent en relation des auteurs et des victimes qui ne sont pas concernés par la même affaire et qui ne se connaissent pas :
- La rencontre détenus-victimes (RDV) : des victimes et des auteurs qui ne sont pas concernés par la même affaire se rencontrent au sein de la prison.
- La rencontre condamnés-victimes (RCV) : des victimes et des auteurs qui ne sont pas concernés par la même affaire se rencontrent en-dehors de la prison.
Les cercles de soutien
Les cercles de soutien sont proposés uniquement aux auteurs sortants de détention :
- Le cercle de soutien et de responsabilité (CSR) : les personnes condamnées pour des infractions à caractère sexuel, présentant un risque élevé de récidive et évoluant dans un grand isolement social, sont accompagnées pour soutenir leur réinsertion.
- Le cercle d’accompagnement et de ressources (CAR) : les personnes qui ont commis des infractions d’une autre nature que sexuelle sont accompagnées vers la reconquête de leur autonomie personnelle et sociale.
Comment demander la mise en œuvre d’une mesure ?
Les mesures de justice restaurative peuvent être proposées aux victimes et auteurs par :
- les autorités judiciaires ;
- le service pénitentiaire d’insertion et de probation ;
- la protection judiciaire de la jeunesse ;
- les associations d’aide aux victimes ;
- toute association socio-judiciaire habilitée par la cour d’appel ;
- les avocats ;
- les services de police et de gendarmerie.
Les victimes, les auteurs et leurs proches peuvent eux aussi demander la mise en place d’une mesure auprès de ces mêmes acteurs.
S’ils sont mineurs, les représentants légaux doivent également donner leur accord.
À savoir
Victime d’une infraction, vous pouvez vous rapprocher d’une association d’aide aux victimes, vous adresser au bureau d’aide aux victimes (BAV) du tribunal judiciaire ou composer le 116 006 (numéro européen d’aide aux victimes).
Auteur d’une infraction, vous pouvez notamment vous adresser au service en charge de votre suivi judiciaire ou auprès du tribunal judiciaire.
Quelles sont les conditions de mise en œuvre ?
- Une mesure de justice restaurative peut être mise en place pour n’importe quelle infraction (crime, délit, contravention), même si le délai de prescription est dépassé.
- L’auteur doit avoir reconnu les faits constitutifs de l’infraction, son implication et sa responsabilité.
- Si l’auteur est mineur, le fait qu’il ne nie pas les faits ou qu’il reconnaisse qu’il « s’est passé quelque chose » permet d’envisager une démarche de justice restaurative.
À noter
La mise en œuvre d’une mesure de justice restaurative ne remet pas en question la présomption d’innocence du mis en cause.
- Tous les participants doivent accepter la mesure après avoir été informés des modalités de mise en œuvre et de contrôle, du caractère confidentiel et de la possibilité de quitter le processus à tout moment.
- Cet accord est recueilli avant la mise en œuvre par le en charge de la mesure.
- Un mineur peut être associé à une mesure de justice restaurative avec l’accord de ses représentants légaux et après vérification de son discernement et de sa maturité.
- Le juge contrôle la mise en œuvre d’une mesure de justice restaurative mais pas son contenu ni son déroulement.
*En savoir plus
- La justice restaurative au cinéma, les CPIP sous les projecteurs
- Le guide méthodologique sur la justice restaurative
- Le guide sur la justice restaurative pour les mineurs
Textes de référence
- Article 10-1 du Code de procédure pénale
- Circulaire du 15 mars 2017 relative à la mise en œuvre de la justice restaurative
19.9K - 5.7K - 1.1K - 7.5
Film de Jeanne Herry · 1 h 58 min · 29 mars 2023 (France)
Genre : Drame
Pays d'origine : France
Fiche technique
Depuis 2014, en France, la Justice Restaurative propose à des personnes victimes et auteurs d’infraction de dialoguer dans des dispositifs sécurisés, encadrés par des professionnels et des bénévoles comme Judith, Fanny ou Michel. Nassim, Issa, et Thomas, condamnés pour vols avec violence, Grégoire, Nawelle et Sabine, victimes de homejacking, de braquages et de vol à l'arraché, mais aussi Chloé, victime de viols incestueux, s’engagent tous dans des mesures de Justice Restaurative. Sur leur parcours, il y a de la colère et de l’espoir, des silences et des mots, des alliances et des déchirements, des prises de conscience et de la confiance retrouvée… Et au bout du chemin, parfois, la réparation...
Casting
Adèle Exarchopoulos, Chloé Delarme
Dali Benssalah, Nassim
Leila Bekhti, Nawelle
Élodie Bouchez, Judith
Suliane Brahim, Fanny
Gilles Lellouche, Grégoire
Miou-Miou, Sabine
Jean-Pierre Darroussin, Michel
Fred Testot, Thomas
Birane Ba, Issa
Et aussi
Denis Podalydès, Paul
Anne Benoît, Yvette
Raphaël Quenard, Benjamin
Nema Mercier, Gabrielle
Roxane Barazzuol, Chloé Delarme, enfant
Pascal Sangla, Cyril
Sébastien Houbani, Mehdi
Catherine Arditi, Grand-mère de Chloé
Claire de la Rüe du Can, Femme au SPIP
Max Libert, Benjamin, adolescent
Patricia Jeudy, Surveillante
Valérie Enquin, Psychologue
(Toulouse)
...
Dont
Jeudi 24 avril
18h à 20h
[BAF] Introduction à l’intervention dans les violences interpersonnelles
2ère lecture collective de la Boîte à outils de Creative Interventions
Guide pratique pour mettre un terme à la violence interpersonnelle est une traduction collective, émanant de nombreuses personnes du Québec, de France, de Suisse et de Belgique, d’un gigantesque travail de compilation et de formalisation de stratégies visant à mettre fin à des violences interpersonnelles sans recourir à l’État ou un tiers répressif. Ce gigantesque ouvrage, dont la traduction française n’est pas encore largement disponible, vise à construire une culture de l’intervention, c’est-à-dire à confier la cessation et la réparation des violences aux personnes les ayant subies, commises, ou étant témoins ou proches. Il s’inscrit dans une démarche de justice transformatrice et de responsabilisation communautaire.
Parce que ce texte est intimidant, et aussi parce que le collectif est à la base des pratiques et de la culture pronées par ce guide, il nous paraît intéressant de s’en emparer collectivement. Nous proposons ainsi une série de lectures et discussions collectives autour d’extraits.
Lors de cette deuxième session, nous lirons les parties « Qu’est-ce que l’intervention communautaire face à la violence ? » et « Violence intepersonnelle : des bases que tout le monde devrait avoir ». Nous prendrons quelques notes afin de transmettre ce que nous avons lu aux personnes souhaitant se joindre à des sessions ultérieures. Prochaine session (à vérifier dans le programme) : 15/05.
Don libre et non nécessaire en soutien à la Bibliothèque Anarcha-Féministe.
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?adzrUA
Ndlr : cela peut-il se rapprocher de la médiation par les pairs ?
Mise à jour : 2025-04-01
LARP in Progress a été créé afin de tenir les personnes intéressées informées de l'avancement de ma recherche en anthropologie concernant le jeu de rôle grandeur nature. En pratique, il s'agit de mon site personnel, et vous y trouverez, outre du contenu anthropo-GNiste, des réflexions plus personnelles, des jeux et ateliers dont je suis l'autaire, et divers contenus audio (podcasts), visuels (photos) ou textuels que j'ai produit, ou participé à créer.
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qui suis-je ?
Honnêtement, c'est plus très clair. Je milite, et je change régulièrement de terrain.
Où me trouver ?
J'ai une légère tendance à la dispersion et évolue sur un certain nombre de plateformes, avec du contenu audio et même vidéo. En voici quelques unes :
- archive.org, une « bibliothèque » numérique à but non lucratif sur laquelle je poste mes podcasts.
- ... mes podcasts sur Soundcloud : toutefois, à cause des limitations imposées sur la durée totale des contenus publiés par des comptes non-premium, seuls les podcasts les plus récents s'y trouvent.
- YouTube, où vous pouvez regarder les premières vidéos d'une série abandonnée intitulée Loidoros : le jeu est politique.
- Sur itch.io : téléchargez et commentez certains de mes jeux sur itch.io, où pouvez également les acheter à prix libre. Ils restent cependant disponible gratuitement sur ce site.
- Sur Facebook et sur Instagram pour me suivre au quotidien ;)
- Le site Pour un GN sécurisant est une initiative pour produire et traduire des outils de sécurité émotionnelle à l'attention des communautés GNistes. La première production, la traduction depuis l'anglais du guide Pour un GN plus sécurisant de la Finlandaise Niina Niskanen, a été réalisée par un groupe de traductrices volontaires à mon initiative.
Et si ça vous dit de recevoir des mails...
J'ai une « lettre de nouvelles » perso, que vous pouvez rejoindre en m'envoyant un mail à axiel@larpinprogress.com. Les textes les plus pertinents se retrouvent ici, section blog.
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?LNev_A
Mis à jour 2024-07-18
Cette page regroupe un ensemble de travaux et de réflexions autour de la gestion de conflits, entamée avec une table ronde sur la violence intracommunautaire à LaboGN 2019 qui a fini par prendre la forme, en septembre 2022, du manifeste Mieux gérer nos conflits disponible sur le site Pour un GN sécurisant, par mail et dans quelques lieux de dépôt en France, Suisse et Belgique.
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Le manifeste Mieux gérer nos conflits
Fruit d’un travail de trois années, le manifeste Mieux gérer nos conflits, né d’une discussion à LaboGN 2019, s’est étoffé pour ne plus prendre en compte seulement le GN mais s’étendre à davantage de communautés, de groupes et même de luttes sociales.
Il s’agit d’un manifeste qui défend des manières d’affronter les crises et conflits au sein d’un groupe en s’affranchissant des réflexes de polarisation et d’exclusion. Il contient une partie diagnostique et une partie pratique, et s’adresse à tous les groupes (associations, collectifs, groupes affinitaires ou d’ami·e·s…) désirant s’organiser de façon plus durable et égalitaire.
Une version papier est disponible à prix libre (coût de fabrication : 4,60€/livre) auprès de axiel+ugsec@larpinprogress.com.
Une version à jour du manifeste est disponible en PDF sur le site Pour un GN sécurisant.
Crédits
- Conception : Axiel « Éris » Cazeneuve, Rachel Hoekendijk, Leïla Teteau-Surel.
- Rédaction : Éris.
- Révision et Relecture : Vräel Bernard, Lucie Choupaut, Nadia Cohen, Coralie David, Rachel Hoekendijk, Fab Jullien.
- Mise en page : Éris (texte), June Lottin (couverture).
- Illustration de couverture : Kaerhon, instagram.com/kaerhon/
Mieux gérer nos conflits en livre audio
Hébergé petit à petit sur archive.org
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?gSisHQ
Le chantier de l'autoroute A69 traverse le village de Saint-Germain-des-Prés, dans le Tarn, en mai 2025 ©AFP - Ed Jones
Le recul du droit de l’environnement : "Un coup de tronçonneuse en cachant la tronçonneuse" - Lundi 23 juin 2025 / La terre au carré
Reprise du chantier de l'A69, ré-autorisation de l’usage de certains néonicotinoïdes, vote de la loi de simplification de la vie économique... Si le "détricotage" du droit de l'environnement n'est pas nouveau, force est de constater qu'il s'accélère dangereusement.
Avec
- Chloé Gerbier, juriste de l’association « Notre affaire à tous »
- Sébastien Mabile, avocat au barreau de Paris (cabinet Seattle avocats), spécialiste des contentieux environnementaux.
N’hésitant pas à parler de "sabotage du droit de l’environnement", plus d’une centaine de professionnels du droit s’unissent dans une tribune publiée par l'association Terres de Luttes pour dénoncer un détricotage du droit de l’environnement depuis une dizaine d’années et son accélération depuis quelques mois : réduction de la participation et de l’information du public, réduction de la capacité d’agir des riverains et des associations, validation d’une politique du fait accompli… Comment en est-on arrivés là ? Quels outils juridiques restent encore à disposition de ceux qui luttent pour l’environnement ? Comment mettre la justice au service de l’écologie ?
"Simplification", le mot magique
Le mot magique est désormais "simplification" : simplifier les normes, simplifier les procédures, simplifier les recours. En quinze ans, une dizaine de lois dites de simplification ont été adoptées en France. La dernière en date, adoptée le 17 juin 2025 à l'Assemblée nationale, entérine le retour de certains pesticides, l'assouplissement des règles sur l'artificialisation des sols ou encore la suppression des zones à faible émission (ZFE).
"Cette loi va être un gros recul, notamment au niveau de ce qu'on appelle le ZAN, c'est-à-dire l'objectif de zéro artificialisation nette, commente la juriste Chloé Gerbier, coprésidente de l'association Terres de Luttes. Cet objectif, issu de la loi Climat et Résilience votée après la Convention citoyenne pour le climat, constituait "un super acquis" pour limiter concrètement la construction sur des espaces naturels d'ici à 2050. Mais la nouvelle loi introduit une disposition permettant aux collectivités de dépasser de 30% cet objectif. Pire, souligne-t-elle, cette dérogation n'est pas prévue pour pouvoir construire une école ou un cabinet dans un désert médical… Elle figure dans un article concernant les data centers. "Donc on est bien vraiment dans du permissif et de laisser passer toujours plus des projets imposés et polluants."
Un "détricotage maille par maille"
"C'est un grand fourre-tout, un grand n'importe quoi", dénonce l'avocat Sébastien Mabile, spécialiste du droit de l'environnement et auteur de Justice climatique, pour une nouvelle lutte des classes (Actes Sud, janvier 2025). Il espère que le Conseil constitutionnel censurera un certain nombre de dispositions de cette loi qui n'ont, selon lui, "rien d'une simplification" : "C'est uniquement de la dérégulation des normes environnementales qui ne simplifie rien du tout. L'objet même de la loi est complètement dévoyé".
Pour Chloé Gerbier, ces "simplifications" ont avant tout pour objectif de "simplifier la vie des industriels et des porteurs de projets. Les projets sont accélérés, ils peuvent s'implanter de plus en plus vite, les procédures sont allégées." Dans le même temps, les procédures vont être rendues "plus difficiles pour les requérants, les associations, les partis". Elle y voit du "détricotage maille par maille" du droit de l'environnement. "C'est tout le principe du détricotage, c'est de mettre un coup de tronçonneuse, mais petit à petit, et en nous cachant la tronçonneuse."
La démocratie environnementale affaiblie
Sébastien Mabile y voit un affaiblissement de "la démocratie environnementale", consacrée par une convention signée en 1998 à Aarhus, au Danemark : "On réduit les trois piliers de la justice environnementale que sont l'information, la participation du public et l'accès au juge".Malgré ces reculs, les deux invités maintiennent que le droit reste un outil de lutte efficace pour l'écologie. Chloé Gerbier souligne que "80% des luttes victorieuses des dernières années ont fait l'usage du recours juridique".
Mais face au démantèlement de ce droit, elle rappelle l'urgence : "Faites tous les recours que vous pouvez maintenant, parce qu'avec le mouvement qu'on est en train de vivre, c'est maintenant qu'il faut les faire. On a de moins en moins d'outils, on a de moins en moins d'efficacité, mais aujourd'hui, il faut y aller, il faut utiliser le droit".
Invités
- Chloé Gerbier, juriste, co-autrice de Lutter contre les projets polluants et imposés, manuel juridique de Terres de luttes, éditions Le passager clandestin, mai 2025
- Sébastien Mabile, avocat au Barreau de Paris et spécialiste du droit de l'environnement, auteur de Justice climatique, pour une nouvelle lutte des classes, Actes Sud, janvier 2025