Centre de culture scientifique qui sensibilise au lien qui unit l'homme à l'océan. Tous les amoureux de la mer et de l'océan, les mammifères marins, les poissons, aiment Nausicaa...
A Boulogne sur Mer, ... c'est aussi le « Blue Living Lab », présenté par Christophe Sirugue, le directeur général de Nausicaa : « Le « Blue living Lab » est une plateforme de soutien aux initiatives dans le monde maritime, de quelque nature que ce soit. Et donc, c'est un lieu où nous accueillons des porteurs de projets qui, à partir du monde maritime, ont la volonté de développer une activité économique, alors qu'elle soit liée à l'alimentation, qu'elle soit liée à la découverte des fonds marins
...
-> https://www.nausicaa.fr
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Le Maire, Bernard Terrade
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Le Président du CdG Patrick Berthault
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Saisine du médiateur :
- par courrier : 30 rue Denis Papin Angolême
- par mel mediation@cdg16.fr
La décision n’est officielle que depuis quelques jours : l’État ouvre un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada) à Beyssenac, un ...
Connu / TG le 17/02/23 à 16:20
Pour renforcer l’insertion des bénéficiaires du RSA, l’État ouvre l’expérimentation de la recentralisation du financement du RSA à deux départements dès cette année
Communiqués de Brigitte Klinkert Communiqués de Elisabeth Borne Insertion, inclusion
Une nouvelle étape est franchie pour renforcer l’insertion des bénéficiaires du RSA. Le décret n° 2022-322 du 4 mars 2022 relatif à la liste des départements retenus pour participer à l’expérimentation prévue par l’article 43 de la loi n° 2021-1900 du 30 décembre2021 de finances pour 2022 acte le début de l’expérimentation en Seine-Saint-Denis et dans les Pyrénées-Orientales. Dès 2022, et durant les cinq prochaines années, l’État reprend à sa charge le paiement de l’allocation et les caisses d’allocations familiales et de mutualité sociale agricole sa gestion.
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Connu / TG le 14/12/2022 à 10:07
À Montbron, une maroquinerie est déjà installée depuis 2012. C’est l’une des trois manufactures du pôle Sud-Ouest. Archives CL 5
Par Lénaëlle SIMON - l.simon@charentelibre.fr, publié le 1 septembre 2022 à 17h51.
L’école des savoir-faire Hermès quitte Montbron, où elle est à l’étroit. Objectif : monter en puissance pour satisfaire l’important besoin de main-d’œuvre.
Le centre de formation Hermès quitte Montbron mais reste en Val de Tardoire. Il va déménager à Marthon, dans l’ancienne usine de pantoufles Degorce dans le courant du premier trimestre 2023. Pour le maire de Marthon, Patrick Borie, c’est une fierté. Et pour le maire de Montbron, Gwenhaël François, un soulagement de conserver cette activité...
Charente Montbron L'Isle-d'Espagnac Artisanat Marthon Économie Enseignement Technique Éducation Education Nationale Val de Tardoire Grand-Angoulême Actualité
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Afin de proposer des services de nettoyage de contenants, des centres de lavage industriel voient le jour et permettent ainsi aux cantines scolaires de sortir du plastique jetable. Exemple à Avignon qui vise le zéro plastique.
Tr:. ... entreprise Usaje ... laveur externalisé mutualisé
Durée de lecture : 12 minutes Clés : Biens communs
Dans son dernier livre, l’« économiste atterré » Benjamin Coriat expose deux visions de la crise écologique, et de sa résolution : celle du marché néolibéral et celle des théoriciens des communs, qui défendent une citoyenneté active.
Benjamin Coriat est professeur de sciences économiques à l’université Sorbonne Paris Nord, et cofondateur des Économistes atterrés, un collectif créé en 2010 pour dénoncer l’impasse des choix économiques européens, notamment la « cure d’austérité » imposée à la Grèce. Il est l’auteur, notamment, de : Le Retour des communs — La crise de l’idéologie propriétaire (2015) et de Le bien commun, le climat et le marché — Réponse à Jean Tirole (2021).
...
je confronte dans mon livre la vision de Jean Tirole, économiste français néolibéral, avec celle d’Elinor Ostrom, économiste américaine spécialisée dans la question des communs — c’est-à-dire des ressources, naturelles ou non, placées en usage partagé.
...
Tirole défend l’idée que le réchauffement climatique serait une « défaillance de marché », qu’il faudrait corriger par... davantage de marché ... il suffirait donc de développer un marché carbone ... stratégie ... Protocole de Kyoto (1997), appliquée en Europe depuis 2005, malgré ses maigres résultats et sa nocivité. Le funeste marché des « droits à polluer » auquel elle a donné lieu est bien connu aujourd’hui, notamment en Afrique. ... Une des propositions du Green Deal ... « étendre le marché carbone » à de nouveaux secteurs économiques
https://reporterre.net/Le-marche-du-carbone-renait-de-ses-cendres
https://reporterre.net/Les-six-projets-les-plus-climaticides-de-Total-4-5
...
l’approche d’Elinor Ostrom permet une vraie préservation des écosystèmes.
... faire de l’eau, des forêts, du climat, etc., des « communs de grande dimension » ... avec la propriété partagée qu’instituent les communs, les biens, les écosystèmes sont protégés par des devoirs et obligations conçus pour assurer leur pérennité.
https://reporterre.net/Avec-les-biens-communs-les-citoyens-reprennent-la-main
... que les gens gèrent avec bon sens les écosystèmes grâce auxquels ils vivent parce qu’ils exercent un contrôle les uns sur les autres pour assurer leur intégrité ... les pratiques vertueuses de communs ancestraux les prud’homies de pêche https://fr.wikipedia.org/wiki/Prud%27homies_de_p%C3%AAcheurs
...
la crise climatique n’est pas une « défaillance de marché », mais un phénomène systémique ... ne peut être traité qu’à ce même niveau systémique ... un dépassement de la culture centralisée et hiérarchique des États au profit de « coalitions » entre des « communautés de base » ... pas de se substituer à une gouvernance nationale ou mondiale, mais de chercher un rééquilibrage territorial pour mobiliser toute la société dans la transformation écologique. Et le meilleur moyen, selon elle, d’affronter les problèmes complexes que cette transformation pose à de multiples niveaux, c’est de démultiplier les échanges entre citoyens. Elle appelle ce nouveau régime démocratique la « gouvernance polycentrique ».
...
confiance dans l’énergie citoyenne qui a impulsé l’associationnisme après la Révolution française https://reporterre.net/Les-associations-sont-un-rempart-contre-l-autoritarisme
...
créativité nécessaire pour repenser nos pratiques pour vivre plus en accord avec la nature, et nos valeurs de justice et d’équité. ... Convention climat a vraiment été un événement d’une grande portée. Ses 149 propositions impulsaient une action multiniveaux et multidimensions ... consensus par puissance de l’échange et de la délibération, pour parvenir à des solutions partagées ... remise en avant de types de forme délibératives qui ont existé pendant la Commune https://reporterre.net/La-Commune-de-Paris-fut-la-matrice-d-une-ecologie-revolutionnaire
... des petits. En Allemagne, six jeunes ... en grève de la faim juste avant les élections à la chancellerie, en septembre dernier ... une Convention climat ... dont les conclusions seraient impératives
...
Avant, le néolibéralisme pouvait s’avancer en terrain découvert, se targuer d’être la « seule alternative » ... Désormais, ... Nous allons protéger les écosystèmes en en faisant des communs, pour en user équitablement et respectueusement. Et nous allons entamer une révolution citoyenne pour nous réconcilier avec la nature et établir entre nous des principes d’équité et de respect mutuel. Le contraire de ce que vous faites. »
Notes
[1] Il faut ici rappeler le célèbre article 544 du Code civil, qui définit la propriété comme « le droit de jouir et de disposer des choses de la manière la plus absolue, pourvu qu’on n’en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements ». Jusqu’au XXe siècle, ce droit de propriété a exclu tous les autres, dans les limites des règlements existants. Au-delà des seuls bien « naturels », pour protéger les écosystèmes que constituent la santé ou l’éducation par exemple, à la fois du marché (de ses intérêts et aveuglements), mais aussi de l’État (trop souvent dominé par les lobbies), on peut à la suite d’Ostrom proposer de les traiter comme des « communs sociaux » – une manière aussi d’en permettre un accès universel, et de veiller à ce que les plus démunis n’en soient pas écartés. Un exemple : l’eau déclarée bien commun, gratuit jusqu’à une certaine quantité, par la municipalité de Naples, suite aux travaux de la Commission Rodota, installée en 2007 en Italie par le gouvernement Prodi.
Ndlr : comment réussir cette mobilisation de tous sans médiation ? ACT
Temps de lecture 10 min
Et si les géants de la technologie numérique étaient concurrencés et peut-être remplacés par les nains des technologies modestes et respectueuses des êtres humains ?
Telle est l’utopie qu’expose Aral Balkan ci-dessous. Faut-il préciser que chez Framasoft, nous avons l’impression d’être en phase avec cette démarche et de cocher déjà des cases qui font de nous ce qu’Aral appelle une Small Tech (littéralement : les petites technologies) par opposition aux Big Tech, autrement dit les GAFAM et leurs successeurs déjà en embuscade pour leur disputer les positions hégémoniques.
...
la vision utopique d’une ressource commune décentralisée et démocratique s’est transformée en l’autocratie dystopique des panopticons de la Silicon Valley que nous appelons le capitalisme de surveillance
...
Alors que la conception éthique décrit sans ambiguïté les critères et les caractéristiques des alternatives éthiques au capitalisme de surveillance, c’est l’éthique elle-même qui est annexée par les Big Tech dans des opérations de relations publiques qui détournent l’attention des questions systémiques centrales2 pour mettre sous les projecteurs des symptômes superficiels3.
...
antidote Small Tech
- conçue par des humains pour des humains 4 ;
- n’a pas de but lucratif 5 ;
- créée par des individus et des organisations sans capitaux propres6 ;
- ne bénéficie d’aucun financement par le capitalisme de la surveillance des Big Tech7 ;
- respecte la vie privée par défaut8 ;
- fonctionne en pair à pair9 ;
- est copyleft10 ;
- favorise les petits plutôt que les grands, les simples plutôt que les complexes et tout ce qui est modulaire plutôt que monolithique11 ;
- respecte les droits humains, leurs efforts et leur expérience12 ;
- est à l’échelle humaine13.
Ces critères signifient que la Small Tech :
- est la propriété des individus qui la contrôlent, et non des entreprises ou des gouvernements ;
- respecte, protège et renforce l’intégrité de la personne humaine, des droits humains, de la justice sociale et de la démocratie à l’ère du numérique en réseau ;
- encourage une organisation politique non-hiérarchisée et où les décisions sont prises à l’échelle humaine ;
- alimente un bien commun sain ;
- est soutenable ;
- sera un jour financée par les communs, pour le bien commun.
- ne rapportera jamais des milliards à quiconque.
- Lectures suggérées : La nature du « soi » à l’ère numérique, Encourager la maîtrise de chacun et la bonne santé des biens communs, et Nous n’avons pas perdu le contrôle du Web — on nous l’a volé
- Nous avons un système dans lequel 99.99999 % des investissements financent les entreprises qui reposent sur la surveillance et se donnent pour mission de croître de façon exponentielle en violant la vie privée de la population en général
- « Attention » et « addiction ». S’il est vrai que les capitalistes de la surveillance veulent attirer notre attention et nous rendre dépendants à leurs produits, ils ne le font pas comme une fin en soi, mais parce que plus nous utilisons leurs produits, plus ils peuvent nous exploiter pour nos données. Des entreprises comme Google et Facebook sont des fermes industrielles pour les êtres humains. Leurs produits sont les machines agricoles. Ils doivent fournir une façade brillante pour garder notre attention et nous rendre dépendants afin que nous, le bétail, puissions volontairement nous autoriser à être exploités. Ces institutions ne peuvent être réformées. Les Big Tech ne peuvent être réglementées que de la même manière que la Big Tobacco pour réduire ses méfaits sur la société. Nous pouvons et devrions investir dans une alternative éthique : la Small Tech.
- La petite technologie établit une relation d’humain à humain par nature. Plus précisément, elle n’est pas créée par des sociétés à but lucratif pour exploiter les individus – ce qu’on appelle la technologie entreprise vers consommateur. Il ne s’agit pas non plus d’une technologie construite par des entreprises pour d’autres entreprises
- Nous construisons la Small Tech principalement pour le bien commun, pas pour faire du profit. Cela ne signifie pas pour autant que nous ne tenons pas compte du système économique dans lequel nous nous trouvons actuellement enlisés ou du fait que les solutions de rechange que nous élaborons doivent être durables. Même si nous espérons qu’un jour Small Tech sera financé par les deniers publics, pour le bien commun, nous ne pouvons pas attendre que nos politiciens et nos décideurs politiques se réveillent et mettent en œuvre un tel changement social. Alors que nous devons survivre dans le capitalisme, nous pouvons vendre et faire des profits avec la Small Tech. Mais ce n’est pas notre but premier. Nos organisations se préoccupent avant tout des méthodes durables pour créer des outils qui donnent du pouvoir aux gens sans les exploiter, et non de faire du profit. Small Tech n’est pas une organisation caritative, mais une organisation à but non lucratif.
- Les organisations disposant de capitaux propres sont détenues et peuvent donc être vendues. En revanche, les organisations sans capital social (par exemple, les sociétés à responsabilité limitée par garantie en Irlande et au Royaume-Uni) ne peuvent être vendues. De plus, si une organisation a du capital-risque, on peut considérer qu’elle a déjà été vendue au moment de l’investissement car, si elle n’échoue pas, elle doit se retirer (être achetée par une grande société ou par le public en général lors d’une introduction en bourse). Les investisseurs en capital-risque investissent l’argent de leurs clients dans la sortie. La sortie est la façon dont ces investisseurs font leur retour sur investissement. Nous évitons cette pilule toxique dans la Small Tech en créant des organisations sans capitaux propres qui ne peuvent être vendues. La Silicon Valley a des entreprises de jetables qu’ils appellent des startups. Nous avons des organisations durables qui travaillent pour le bien commun que nous appelons Stayups (Note de Traduction : jeu de mots avec le verbe to stay signifie « demeurer »).
- La révolution ne sera pas parrainée par ceux contre qui nous nous révoltons. Small Tech rejette le parrainage par des capitalistes de la surveillance. Nous ne permettrons pas que nos efforts soient utilisés comme des relations publiques pour légitimer et blanchir le modèle d’affaires toxique des Big Tech et les aider à éviter une réglementation efficace pour mettre un frein à leurs abus et donner une chance aux alternatives éthiques de prospérer.
- La vie privée, c’est avoir le droit de décider de ce que vous gardez pour vous et de ce que vous partagez avec les autres. Par conséquent, la seule définition de la protection de la vie privée qui importe est celle de la vie privée par défaut. Cela signifie que nous concevons la Small Tech de sorte que les données des gens restent sur leurs appareils. S’il y a une raison légitime pour laquelle cela n’est pas possible (par exemple, nous avons besoin d’un nœud permanent dans un système de pair à pair pour garantir l’accessibilité et la disponibilité), nous nous assurons que les données sont chiffrées de bout en bout et que l’individu qui possède l’outil possède les clés des informations privées et puisse contrôler seul qui est à chacun des « bouts » (pour éviter le spectre du Ghosting).
- La configuration de base de notre technologie est le pair à pair : un système a-centré dans lequel tous les nœuds sont égaux. Les nœuds sur lesquels les individus n’ont pas de contrôle direct (p. ex., le nœud toujours actif dans le système pair à pair mentionné dans la note précédente) sont des nœuds de relais non fiables et non privilégiés qui n’ont jamais d’accès aux informations personnelles des personnes.
- Afin d’assurer un bien commun sain, nous devons protéger le bien commun contre l’exploitation et de l’enfermement. La Small Tech utilise des licences copyleft pour s’assurer que si vous bénéficiez des biens communs, vous devez redonner aux biens communs. Cela empêche également les Big Tech d’embrasser et d’étendre notre travail pour finalement nous en exclure en utilisant leur vaste concentration de richesse et de pouvoir.
- La Small Tech est influencé en grande partie par la richesse du travail existant des concepteurs et développeurs inspirants de la communauté JavaScript qui ont donné naissance aux communautés DAT et Scuttlebutt. Leur philosophie, qui consiste à créer des composants pragmatiques, modulaires, minimalistes et à l’échelle humaine, aboutit à une technologie qui est accessible aux individus, qui peut être maintenue par eux et qui leur profite. Leur approche, qui est aussi la nôtre, repose sur la philosophie d’UNIX.
- La Small Tech adhère au manifeste du Design éthique.
- La Small Tech est conçue par des humains, pour des humains ; c’est une approche résolument non-coloniale. Elle n’est pas créée par des humains plus intelligents pour des humains plus bêtes (par exemple, par des développeurs pour des utilisateurs – nous n’utilisons pas le terme utilisateur dans Small Tech. On appelle les personnes, des personnes.) Nous élaborons nos outils aussi simplement que possible pour qu’ils puissent être compris, maintenus et améliorés par le plus grand nombre. Nous n’avons pas l’arrogance de supposer que les gens feront des efforts excessifs pour apprendre nos outils. Nous nous efforçons de les rendre intuitifs et faciles à utiliser. Nous réalisons de belles fonctionnalités par défaut et nous arrondissons les angles. N’oubliez pas : la complexité survient d’elle-même, mais la simplicité, vous devez vous efforcer de l’atteindre. Dans la Small Tech, trop intelligent est une façon de dire stupide. Comme le dit Brian Kernighan : « Le débogage est deux fois plus difficile que l’écriture du premier jet de code. Par conséquent, si vous écrivez du code aussi intelligemment que possible, vous n’êtes, par définition, pas assez intelligent pour le déboguer. » Nous nous inspirons de l’esprit de la citation de Brian et l’appliquons à tous les niveaux : financement, structure organisationnelle, conception du produit, son développement, son déploiement et au-delà.
Connu / https://framasphere.org/posts/6753792 "Jef Monnier 1 J'aim 1 repartage"
Ndlr : idem que low tech ou non (big tech = high tech) ? ACT
Le CIFOR conçoit un monde plus équitable dans lequel les forêts et les paysages contribuent à améliorer. Centre de recherche du CGIAR et dirige son programme de recherche sur les forêts, les arbres et l’agroforesterie (FTA). Notre siège social est situé à Bogor, en Indonésie, et nous avons des bureaux régionaux à Nairobi, au Kenya ; à Yaoundé, au Cameroun ; à Bonn, en Allemagne ; et à Lima, au Pérou.
Nom de la liste : Nouveau Souffle Ecologiste et Solidaire
Tête de liste : Charles FOURNIER
Liste soutenue par : LFi - EELV - Génération·s - Nouvelle Donne - Génération Écologie - Ensemble - À nous la démocratie - Allons Enfants
Site de la campagne : https://unnouveausouffle2021.fr
Section départementale : Cher (18)
1 - M. Christophe COQUIN
2 - Mme Djamila KAOUES
3 - M. Thibault LHONNEUR
4 - Mme Béatrice DURAND BILLON
5 - M. Robert MILETA
6 - Mme Emmanuelle POYAU
7 - M. Pierre Alias Dimitri GIRARD
8 - Mme France LABRO
9 - M. Georges MARAFICO
10 - Mme Céline MILLERIOUX
11 - M. Jean-Pierre MARTIN
Section départementale : Eure-et-Loir (28)
1 - M. Jean-François BRIDET
2 - Mme Estelle COCHARD
3 - M. Quentin GUILLEMAIN
4 - Mme Claudine CROS
5 - M. Sigismond BOEUF
6 - Mme Nathalie KLEINCLAUSS
7 - M. Cédric HOUNSOU
8 - Mme Sophie MILLOT
9 - M. Aurélien DELAUNAY
10 - Mme Myriam RABIHOU
11 - M. Kévin BOETE
12 - Mme Cécile SENE
13 - M. Philippe RIVIERRE
14 - Mme Laura BEZAULT
15 - M. François ROUMET
Section départementale : Indre (36)
1 - M. Jérémie GODET
2 - Mme Stéphanie NOC-CHAPUT
3 - M. Aymeric COMPAIN
4 - Mme Judith CARTIER
5 - M. Francis LHERPINIÈRE
6 - Mme Marie-Juliette BLONDET-PAYEN
7 - M. Antoine VILLARINO
8 - Mme Charline LAURENT
9 - M. Bruno AUCANTE
Section départementale : Indre-et-Loire (37)
1 - Mme Gaelle LAHOREAU
2 - M. Frédéric NOBILEAU
3 - Mme Betsabée HAAS
4 - M. Benoît FAUCHEUX
5 - Mme Laetitia LECOMTE
6 - M. Romain FREDON
7 - Mme Camille CHERRIER
8 - M. Eric BEAUGENDRE
9 - Mme Sandra Eulalie GUICHARD
10 - M. Aurélien BARON
11 - Mme Marion MAUREY
12 - M. Bertrand ROUZIER
13 - Mme Elsa DEFRENET
14 - M. Vincent CHARDON
15 - Mme Claire BARTHOLMEY
16 - M. Emilien COUSIN-HAMELAL
17 - Mme Corinne RUFET
18 - M. Victor GENOT
19 - Mme Axelle TREHIN
20 - M. Emmanuel BONIN
Section départementale : Loir-et-Cher (41)
1 - Mme Delphine BENASSY
2 - M. Charles FOURNIER
3 - Mme Sandrine TRICOT
4 - M. Reda BELKADI
5 - Mme Saffran ESPOUY
6 - M. Côme DUBOISSET
7 - Mme Fanny GROUSSAIN
8 - M. Guillaume SAVEUSE
9 - Mme Agnès PELLOQUIN
10 - M. Jean-Baptiste DUSSON
11 - Mme Catherine BEAUVALLET
12 - M. Dominique CHESTIER
Section départementale : Loiret (45)
1 - Mme Karin FISCHER
2 - M. Arnaud JEAN
3 - Mme Magali SAUTREUIL
4 - M. Philippe RABIER
5 - Mme Christine NOËL
6 - M. Kasim BALABAN
7 - Mme Jasmine ACHOUR
8 - M. Valentin PELÉ
9 - Mme Claudine LHOMME
10 - M. Christophe BENNET
11 - Mme Danièle LE ROSCOUET
12 - M. Fabrice VANBORREN
13 - Mme Claude-Êve SPACH
14 - M. Mathieu ROBIN
15 - Mme Catherine ADRIEN-CAMUS
16 - M. Alexis CHRISTODOULOU
17 - Mme Christelle LAUMONIER
18 - M. Bruno COEUR
19 - Mme Joëlle LANTERI
20 - M. Daniel BRETON
21 - Mme Monique LEMOINE
22 - M. Pierre BOUCHENOT
Une synergie d'expertises
Acteur international de référence en prévention et maîtrise des risques dans les domaines de la sécurité incendie & explosion, sûreté & malveillance, cybersécurité, atteintes à l’environnement, risques professionnels, nous vous accompagnons avec une offre globale et diversifiée : Conseil et assistance technique Étude et expérimentation Formation Essais de conformité Certification Édition et presse
Association sans but lucratif, créée par les assureurs en 1956, reconnue d’utilité publique en 1961 : services centraux, missions d’intérêt général, certification, qualification.
CNPP Entreprise, filiale à 100% pour les prestations les plus concurrentielles : études et recherches, évaluation de conformité, formation, information et accompagnement.
Société de la Corne Haute : filiale de CNPP et CNPP Entreprise dédiée au foncier et à l’immobilier.
SARL au capital de 8 500 000€ - Siret : 34290125300050
Route de la Chapelle Réanville - CD 64 - CS22265 - F 27950 – SAINT MARCEL Tél 02.32.53.64.00
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L’Actualité Nouvelle-Aquitaine, la revue de la recherche, de l’innovation, du patrimoine et de la création en région Nouvelle-Aquitaine est éditée par l’Espace Mendès France, centre de culture scientifique, technique et industrielle à vocation régionale, situé à Poitiers (France).
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... est éditée par l’Espace Mendès France avec le soutien du Conseil Régional Nouvelle-Aquitaine et avec le concours du CNRS, de l’ENSMA, de l’Université de Poitiers, de la Ville de Poitiers, du CHU de Poitiers.
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Hébergement OVH
Editeur Espace Mendès France, représenté par son président, Mario Cottron, et son directeur, Didier Moreau.
Directeur de la publication Thierry Pasquier thierry.pasquier@emf.ccsti.eu 0549503300
Tous les lieux
- centre de ressources
- accompagnement de porteurs de projets
- animations pédagogiques
- formations
AUVERGNE RHÔNE-ALPES
03 - Allier LIGUE DE L’ENSEIGNEMENT, fédération de l’Allier, 03000 Moulins (relais)
07 - Ardèche TERRE ET HUMANISME, 07230 Lablachère (relais)
26 - Drôme
ADOS, 26000 Valence (membre)
GROUPE URD, 26170 Plaisians (membre)
38 - Isère AFRIC IMPACT, 38100 Grenoble (membre)
63 - Puy-de-Dôme RESACOOP, 63000 Clermont-Ferrand (relais)
69 - Rhône
LADS, 69001 Lyon (membre)
AFPICL-BU HDL, 69286 Lyon (membre)
MAISON DES SOLIDARITES LOCALES ET INTERNATIONALES, 69003 Lyon (membre)
FORUM-REFUGIES-COSI, 69612 Villeurbanne (membre)
INSTITUT BIOFORCE, 69694 Vénissieux (membre)
73 - Savoie PAYS DE SAVOIE SOLIDAIRE, 73000 Chambery(relais)
...
NORMANDIE
14 - Calvados - CITIM, 14000 Caen (membre)
50 - Manche - AVRIL, 50200 Saint-Pierre-de-Coutances (relais)
...
NOUVELLE AQUITAINE
16 - Charente MPP, 16000 Angoulème (membre)
17 - Charente-Maritime
AVENIR EN HERITAGE, 17000 La Rochelle (membre)
CDIJ, 17087 La Rochelle (relais)
19 - Corrèze LA P’TITE FABRIQUE SOLIDAIRE, 19140 UZERCHE (membre)
33 - Gironde
ARTISANS DU MONDE, 33000 Bordeaux (relais)
COOL’EURS DU MONDE, 33310 Lormont (membre)
RADSI, 33615 Pessac (membre)
40 - Landes C KOI ÇA, 40370 Rion-des-Landes (membre)
64 - Pyrénées-Atlantiques
MCM 64, 64140 Billère (membre)
LACAZE AUX SOTTISES, 64390 Orion (relais)
86 - Vienne KURIOZ, 86000 Poitiers (membre)
87 - Haute-Vienne MDH, 87100 Limoges (membre)
...
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Gr7K-w
Problématique Centres adaptation appareillage
Notre projet Le Problème
Comment mettre en place des centres d'appareillage low-tech en Afrique?
Notre solution unique
Afin de faciliter l'accès aux prothèses et réduire les coûts de production, on propose de mettre en place des centres d'appareillages basés sur les principes du Low-Tech. Pour cela nous souhaitons mettre en place un nouveau modèle de centre d'appareillage moins énergivore et produit à partir de matériaux sourcés localement.
Notre équipe Marie Buon Porteur d'idée Elloise Coyle Ingénieur Meriel HART Expert UX/UI Laurie Lacorre Porteur d'idée Amicie Rérolle Développeur Porteur d'idée Augustin Raynaud Développeur Alberic Thord Ingénieur
Connu / https://twitter.com/groupeinsa/status/1329844976306581508
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Groupe INSA @groupeinsa Cette année 2 prix du jury: le premier attribué à Low Tech Team dont le projet eco-responsable et low-tech dans sa globalité à impressionné le jury
29 Ko
Citer le Tweet Groupe INSA @groupeinsa · 20 nov.
Le prix coup de coeur du jury pour cette 2ème Nuit de l'innovation solidaire est attribué par Jérôme Chevalier, enseignant @insadelyon twitter.com/groupeinsa/sta…
41 Ko 6:52 PM · 20 nov. 2020·- 1 Tweet cité 2 J'aime
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Parler avec assurance de choses qu'on ne connaît pas, c'est l'ultracrépidarianisme. Explications avec le philosophe et physicien Étienne Klein.
1.5m - 13.5k - 1.1k
Transcription :
Journaliste : Laurène Gris - Montage Morgane Pottier brut.media
On est tous pour ou contre le nucléaire, les nanosciences les OGM. Mais qui d'entre nous est capable de dire ce qu'on met vraiment dans un réacteur nucléaire ? Ce qu'est une réaction de fission ? Comment ça fonctionne ? Qu'implique E=mc2 ? Qu'est-ce que c'est qu'une cellule souche, un OGM ? Personne.
L'ultracrépidarianisme, c'est un mot savant pour dire que, souvent, on parle avec assurance de choses que nous ne connaissons pas et c'est dérivé d'une locution latine qui est : "Sutor, ne supra crepidam" qui veut dire en gros que le cordonnier ne doit pas parler au-delà de la chaussure.
Moi j'ai noté cette tendance-là au tout début de l'épidémie. Je rentrais du Chili et en arrivant en France, alors que le confinement avait commencé depuis quelques jours, je voyais des tweets écrits par des personnalités politiques, parfois de très haut rang, qui commençaient par : "Je ne suis pas médecin, mais je pense..." etc. Et, après cette déclaration honnête d'incompétence, s'ensuivaient des injonctions sur ce qu'il fallait faire ou penser à propos de tel ou tel traitement. Au tout début de l'épidémie. Ça m'avait étonné qu'on puisse avoir autant d'assurance alors même qu'on vient de déclarer qu'on est incompétent.
J'ai remarqué en étudiant un peu la question que c'était une tendance savassez naturelle, qui a d'ailleurs été étudiée par des psychologues américains à la fin du 20è siècle qui s'appellent Dunning et Kruger, qui avaient remarqué que pour se rendre compte qu'on est incompétent, ben il faut être compétent. Au début, quand on découvre un nouveau champ, on se sent spontanément compétent. Par exemple, j'y connais rien en football, mais si on me demandait d'être sélectionneur de l'équipe de France de football, spontanément je dirais : "Pourquoi pas, ça a l'air simple." On s'assoit sur un banc, on fait des gestes, on crie un peu et ça doit être suffisant pour que l'équipe gagne. Et puis, en regardant les choses d'un peu plus près, on s'aperçoit que c'est beaucoup plus compliqué. Nous sommes tous appelés à être victimes de cet ultracrépidarianisme. Quand vous conversez au café avec vos amis, vous dites des choses qui vont au-delà de vos compétences. C'est tout à fait naturel dans la conversation, simplement il faut en avoir conscience, et quand on a une parole publique qui peut avoir des effets politiques importants, il faut être prudent. L'idée, c'est pas du tout de dire que chacun est contraint dans sa liberté à laisser la parole aux experts. En fait, en démocratie, n'importe qui a le droit de poser une question aux experts, de les interpeller, de les interroger. Mais c'est pas ce qui est fait là. C'est : on donne son avis sans savoir.
Livre "Le goût du vrai" a fait naître de nombreuses polémiques.
Nous avons tendance à écouter ceux qui parlent de tout. Comme s'ils nous rassuraient, comme si les gens qui ont des formes de certitude, une forme d'arrogance aussi, nous rassuraient dans une période d'incertitude. Dans les mêmes canaux de communication circulent aujourd'hui des connaissances, scientifiques ou autres, des informations, des commentaires, des opinions, des fakenews, et le fait que toutes ces choses circulent dans les mêmes canaux fait que leurs statuts respectifs, qui sont pourtant très différents, se contaminent.
Je me rends compte que les gens qui sont modérés, qui sont prudents, qui sont en quelque sorte "centristes" pour ce qui est des questions relatives à la vérité, parlent beaucoup moins que les gens qui sont extrémistes dans ces domaines. C'est un peu comme en politique : les gens qui sont aux extrêmes parlent plus que les gens qui font partie de ce qu'on appelle la majorité silencieuse. Et moi je pense que notre démocratie, pour garder de sa vivacité, a besoin que les gens modérés s'engagent passionnément. L'idée même de démocratie a à voir avec le fait qu'on puisse argumenter et s'en donner le temps, sans simplement s'imposer... s'opposer, pardon, avec des arguments assez primaires qui donnent l'impression que ce sont des arguments d'autorité qui se combattent et non pas des analyses.
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Connue / https://twitter.com/brutofficiel/status/1301407829769633792
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François BOCQUET a retweeté
Brut FR @brutofficiel · 3 sept.
"Je ne suis pas médecin, mais..."
Parler avec assurance de choses qu'on ne connaît pas, c'est l'ultracrépidarianism. Explications avec le philosophe et physicien @EtienneKlein
166 - 3300 - 5300
Ndlr :
- fait allusion à L'effet Dunning-Kruger ou effet de surconfiance, un biais cognitif démontré par David Dunning et Justin Kruger
https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Dunning-Kruger - questionner le point sur le rapport à l'expertise (peut-on dérouler un raisonnement sans en avoir une ? En d'autres termes, peut-on parler de ce que l'on ne connaît pas ? N'est-ce pas ce que fait souvent le médiateur ou le journaliste en rapportant les propos d'un tiers ?) et publier dans centristes insoumis ACT
9764 / 20000 signataires
Depuis le début de l’épidémie de covid-19 la vie des personnes « retenues » est mise en danger alors que les perspectives de refoulement sont nulles, puisque, indépendamment de la légitimité des renvois, totalement contestable, leur réalisation est devenue impossible par suite même des ordres de confinement.
Nous appelons à la fermeture immédiate de tous les centres de rétention administrative et nous demandons que s’engage une réflexion afin de déterminer si leur réouverture après la fin de la présente crise est opportune, au regard des critiques multiples et largement argumentées, nationales et internationales, dont ils ne cessent de faire l’objet.
Par : Le paria est un collectif consacré à la lutte contre l'exclusion sous toutes ses formes, qui allie action militante, expression artistique, connaissance scientifique et participation au débat public. Il inscrit ses actions dans les réseaux, collectifs et organisations partageant les mêmes objectifs.
https://leparia.fr/
Essai - Société
Loin d’être sans leader, le mouvement des gilets jaunes est constamment traversé par des luttes de leadership. L’ethnographie d’un rond-point de mobilisation et des tensions qui traversent différents groupes de l’agglomération lyonnaise permet de mieux comprendre l’inscription dans le temps de ce mouvement.
Après plus de quatre mois de mobilisation, l’heure semble être au bilan du « Grand débat ». Réel effort de concertation du gouvernement pour les uns, mascarade pour les autres, la controverse médiatique et politique place les revendications des gilets jaunes au cœur de l’actualité. Elle focalise ainsi l’attention sur les dimensions délibérative et nationale du mouvement (qu’il s’agisse du « Grand débat », de son alternative, le « Vrai débat », porté par d’autres gilets jaunes, ou encore de l’ « Assemblée des assemblées » réunie à Saint-Nazaire), au risque de faire oublier que la pratique des assemblées ne va pas de soi, mais aussi que les mobilisations locales, nées sur les ronds-points, se poursuivent.
Dans l’agglomération lyonnaise, le campement de Corsieux
fut ainsi occupé de jour comme de nuit dès le début du mouvement. Il a constitué le point de départ de nombreuses actions, et notamment des multiples tentatives de blocage d’un vaste site industriel situé à deux pas de là. Pour les observateur.rice.s ou les militant.e.s qui ont suivi la mobilisation sur ce territoire, le site est ainsi devenu une référence incontournable. Certes, depuis le 17 novembre, plusieurs ronds-points à Givors, Villefranche, Saint-Quentin-Fallavier ou encore Vénissieux, ont été occupés chaque week-end. Dans cet entrelacs de mobilisation, Corsieux a néanmoins constitué le seul point de rassemblement quasiment permanent, jusqu’à ce que la police impose sa destruction fin décembre. Le nom n’a toutefois pas disparu des esprits. D’une part, si le point de rassemblement a disparu, une importante partie de ses habitué.e.s ont continué à se mobiliser. D’autre part, aujourd’hui encore, se réclamer de Corsieux dans une assemblée générale de gilets jaunes à Lyon, revient à s’inscrire dans l’histoire d’une lutte politique locale prestigieuse, mais, aussi, clivante.
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Catégorie Éducation
Connu / " https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?tgsyEg
Ndlr : qui peut leur apprendre à maîtriser les contre-jours ou bien à transcrire les images illisibles ?! ACT
... un lien vers un article très intéressant. Vu qu'il n'y a pas vraiment d'équivalent en français, je l'ai traduit quasiment en entier. Il y a quelques expressions qui m'échappent :
https://spyware.neocities.org/articles/discord.html
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Discord est une application de messagerie instantanée pour MacOS, Windows, Linux, Android et iOS. Discord est utilisé pour communiquer via le chat vocal et le chat texte et supporte le partage d'images et de fichiers.
Niveau d'espionnage: EXTRÊMEMENT ÉLEVÉ
Merci à Richard Stallman d'avoir créé un lien vers notre article
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Discord est un logiciel espion parce qu'il recueille toutes les informations qui passent par sa plate-forme de communication. Comme Discord est une plate-forme de communication centralisée, toutes les communications doivent passer par les serveurs officiels de Discord, où toutes ces informations peuvent potentiellement être enregistrées. La grande majorité de ces informations ont été confirmées comme étant enregistrées, de même que toutes les communications entre utilisateurs. Il a également été confirmé que Discord utilise d'autres méthodes d'espionnages tels que diverses formes de télémétrie.
La principale source de revenus de Discord provient d'investissements de plus de 279,3 millions de dollars.[4]. Discord ne peut pas être compilé à la source et le code source n'est pas disponible.
NdT : La phrase original est mal tournée. Le fait que le code source soit caché est la cause de l'impossibilité de compiler soi-même le client Discord.
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Discord tente de forcer certains utilisateurs à donner leur numéro de téléphone
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Discord reçoit des demandes du gouvernement pour vos informations personnelles
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Hypothèses sur l'avenir de Discord
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