ou à https://youtu.be/caKviHSCoIQ
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Rendez-vous le 26 août à 11h45 pour le mot d'accueil des AMFIS 2022 par Adrien Quatennens, député LFI-NUPES, coordinateur de la France insoumise et Caroline Fiat, députée LFI-NUPES, co-responsable des événements.
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#DirectAN #PLF2022
Alors que de nombreux Français sont étranglés par le prix des carburants, de l’énergie, de la vie chère, et que l’on propose le blocage des prix, on ne reçoit que des soupirs et du mépris.
Si vous ne voulez pas débattre, ne vous représentez pas l’année prochaine!
L'Assemblée est un lieu de débat. Si vous ne voulez pas débattre, sortez !
Connu / https://twitter.com/CarolineFiat54/status/1458069671412908038
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amishcienfuegos #teaminsoumis mastodon @franfan a retweeté
Caroline FIAT @CarolineFiat54 · 9 nov.
@murielpenicaud à la direction du Bureau International du Travail, un danger" notre tribune collective à lire dans l'@humanite_fr
Pétition à signer de toute urgence ‼‼ ⤵⤵
https://chng.it/jhdDQNRG2d
5 - 64 - 88
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Nom de la liste : L’Appel Inédit
Tête de liste : Aurélie FILIPPETTI
Liste soutenue par : LFi - Génération·s - GRS - Place Publique - PRG - GDS - Les Radicaux de gauche - Allons Enfants
Site de la campagne : https://www.lappelinedit.fr
Section départementale : Ardennes (08)
1 - M. Florian LECOULTRE
2 - Mme Sandrine ISTACE
3 - M. Maël FACEMAZ
4 - Mme Nathalie REMY
5 - M. Yohann PIRE-ABITANTE
6 - Mme Catherine KAWKA
7 - M. Alain BIDELOGNE
8 - Mme Magali CAPLET
9 - M. Renaud FOUQUET
10 - Mme Joëlle BARAT
11 - M. Jacquie DUPONT
Section départementale : Aube (10)
1 - Mme Emilie GESNOT
2 - M. Frédéric SINOT
3 - Mme Stéphanie CHAZELON
4 - M. Mickaël MILLET
5 - Mme Corinne VERGEOT
6 - M. Dany GESNOT
7 - Mme Alice MILLOT
8 - M. Jean-Paul BERTHOLLE
9 - Mme Christiane VOLLMER
10 - M. Pascal PRUVOT
11 - Mme Francine ROYER
Section départementale : Marne (51)
1 - M. Jean Paul ANGERS
2 - Mme Hadhoum BELAREDJ-TUNC
3 - M. Damien LANDINI
4 - Mme Laure MANESSE
5 - M. Joffrey ROBÉCOURT
6 - Mme Céline JEANNESSON
7 - M. Gérard ADIN
8 - Mme Georgette OTREB
9 - M. Corentin MIGUEL
10 - Mme Patricia CORADEL
11 - M. Wilfrid WINIESKI
12 - Mme Christine SINOT
13 - M. Michel GEORGES
14 - Mme Btisame BOUCHAARA
15 - M. Dominique LEDEMÉ
16 - Mme Françoise TAMINAU
17 - M. Dominique MARTINEAU
18 - Mme Jocelyne POTIER
19 - M. Alain ROUSSEL
Section départementale : Haute-Marne (52)
1 - M. Kevin JACQUEMIN
2 - Mme Karine GODET
3 - M. Daniel MONNIER
4 - Mme Anne-Marie MICHEL
5 - M. Gérard SIGAL
6 - Mme Cécile CHIUMMO
7 - M. Franck THIEBLEMONT
8 - Mme Michèle LECLERC
Section départementale : Meurthe-et-Moselle (54)
1 - M. Christophe PIERRE
2 - Mme Zohra OUABED
3 - M. Mathieu CASANOVA
4 - Mme Veronique CHASSATTE
5 - M. Jean-Marie HIRTZ
6 - Mme Dominique MESSAIN
7 - M. Bernard BUZELIN
8 - Mme Hania HAMIDI
9 - M. Tolga GUL
10 - Mme Stéphanie GRUET
11 - M. Julien SPONEM
12 - Mme Céline LEGER
13 - M. Samuel CAREME
14 - Mme Martine ETIENNE
15 - M. Jean Philippe HADOT
16 - Mme Linda BENMOKHTAR
17 - M. Mohamed SOBHI
18 - Mme Laurie TARGA
19 - M. Alexandre MIOT
20 - Mme Veronique LEONARD
21 - M. Thibaud VINSON
22 - Mme Yolande DAVID
23 - M. Hervé FERON
24 - Mme Caroline FIAT
Section départementale : Meuse (55)
1 - Mme Catherine COLLINET-JUNG
2 - M. Guy JEANNESSON
3 - Mme Claire JACQUIN
4 - M. Laurent DEQUENNE
5 - Mme Dolores PERIDONT
6 - M. Frédéric VELSCH
7 - Mme Christiane FOUSSERET
8 - M. Claude NICOLAS
Section départementale : Moselle (57)
1 - Mme Aurélie FILIPPETTI
2 - M. Philippe GASPARELLA
3 - Mme Monique GREFF
4 - M. Lokmane BENABID
5 - Mme Virginie DIEBOLD
6 - M. Simon RIFFAULT
7 - Mme Nathalie DE OLIVEIRA
8 - M. Marc LINDEN
9 - Mme Céline DREYSTADT
10 - M. Thierry HOMBERG
11 - Mme Carine MULLER-JEANDEL
12 - M. Daniel PIERRE
13 - Mme Claudine POIRSON
14 - M. Frédéric POKRANDT
15 - Mme Véronique SIGRIST
16 - M. Sylvain BROUSSE
17 - Mme Sylvie BORRE
18 - M. Gautier BERERA
19 - Mme Sarah BOUMEDINE
20 - M. Christian MARQUES
21 - Mme Francesca SCHEMBRI
22 - M. Luc DUPONCEL
23 - Mme Sonia LINDEN
24 - M. Michel LERSY
25 - Mme Naomi GALLOIS
26 - M. Benoît PROUX
27 - Mme Valérie VATIER
28 - M. Jean-Pierre DUPUY
29 - Mme Léa BEHR
30 - M. Mohammed AIFI
31 - Mme Isabelle BLANCH
32 - M. Michel NOIREZ
33 - Mme Florence FALETIC
34 - M. Gilles DESTREMONT
Section départementale : Collectivité européenne d’Alsace (67-68)
1 - Mme Pernelle RICHARDOT
2 - M. Jean-Marie BROM
3 - Mme Géraldine MUHLMANN
4 - M. Thierry SOTHER
5 - Mme Yvette HENRION
6 - M. Rémi BARILLON
7 - Mme Bayah HALLAL
8 - M. Paul BONDOT
9 - Mme Marine MUNICH
10 - M. Thibaut VINCI
11 - Mme Marina LAFAY
12 - M. Valentin HUSSON
13 - Mme Marie-Madeleine IANTZEN BACKERT
14 - M. Taoufik KASMI
15 - Mme Audrey KESSOURI
16 - M. Sébastien BAGUEREY
17 - Mme Samira KARDOUZ
18 - M. Bertrand PFEIFFER
19 - Mme Isabelle CHOUX
20 - M. Christophe BAPST
21 - Mme Inès GRAU
22 - M. Sebastien VILLEMIN
23 - Mme Bénédicte VIROULET
24 - M. Jean-Jacques RASETTI
25 - Mme Marie-Jeanne STEFF
26 - M. Ronan GALINIER
27 - Mme Isabelle MAURER
28 - M. Nino TOUSSAINT
29 - Mme Valérie GERARD
30 - M. Michel BINTZ
31 - Mme Delphine BERNARD
32 - M. Didier ELHAÏK
33 - Mme Cathy BODAINE
34 - M. Etienne RIEGERT
35 - Mme Nadège SAPIN
36 - M. Maxime HIRSINGER
37 - Mme Anne-Marie SALOMON
38 - M. Sébastien MAS
39 - Mme Tanja HANNEMANN
40 - M. Thomas RISSER
41 - Mme Cécile NEFF
42 - M. Christian BONARDI
43 - Mme Estelle HAUSS FRAASS
44 - M. Alexandre FAIVRE
45 - Mme Gwenaelle LE LEUCH-DE MELO
46 - M. Daniel ARGUDO BLUM
47 - Mme Emmanuelle CAMPAGNE
48 - M. Denis BRAND
49 - Mme Claudine HEILI-STENGEL
50 - M. Daniel CHAMBET
51 - Mme Marlène BIRKLÉ
52 - M. Roger WINTERHALTER
53 - Mme Jeannette BOULAY
54 - M. Serge OEHLER
55 - Mme Béatrice BULOU
56 - M. Eric SCHULTZ
57 - Mme Catherine TRAUTMANN
58 - M. Jo SPIEGEL
Section départementale : Vosges (88)
1 - Mme Karine FRÈRE
2 - M. Lauric MICHELAND
3 - Mme Céline BERTELLE
4 - M. Olivier BOON
5 - Mme Virginie GERARDIN
6 - M. Sébastien VUILLEMIN
7 - Mme Genevieve BASTIEN
8 - M. Djelloul KHACHENI
9 - Mme Elisabeth KOLLAR
10 - M. Sébastien MAUCOTEL
11 - Mme Anita TOUSSAINT
12 - M. François-Xavier WEIN
13 - Mme Marianne STANCA
14 - M. Dominique PREVOST
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Climat politique particulièrement violent, élections régionales, élection présidentielle, marche des libertés… La députée LFI Caroline Fiat est l’invitée de la Midinale.
Sur la gifle à Emmanuel Macron
« Cela fait plusieurs années qu’à la France insoumise, on fait remonter des informations comme quoi la violence monte et que nous sommes souvent menacés. »
« Il n’est pas acceptable qu’un président de la République soit menacé physiquement et encore moins que certains passent à l’acte. »
« La démocratie, c’est se battre avec des mots et des idées. Pas avec de la violence ou se faire exfiltré d’une marche comme ça avait été le cas pour la marche pour Mireille Knoll. »
« A force de dire que les députés de la France insoumise sont des antisémites ou des islamogauchistes, ce qui est totalement ubuesque, on nous met une cible dans le dos comme en témoigne la vidéo de Papacito dimanche. Et le résultat, c’est que l’on a un président de la République qui se fait gifler parce qu’à laisser faire sur certains, on trouve tout à fait normal qu’on se fasse insulter voire qu’on passe à l’acte. »
Sur le climat politique actuel
« Aujourd'hui, j’ai peur. »
« On n’a pas à avoir peur d’avoir des idées, quelles qu’elles soient. »
« Je tiens à remercier les policiers et les gendarmes qui font en sorte que l’on soit protégé. »
« Il n’y a plus de respect de l’élu mais plus de respect des règles ou de la loi. »
« On attend une abstention record aux prochaines élections régionales mais c’est une règle d’aller voter, un droit. »
« Quand j’entends des gens dire que tout le monde est pareil, je me dis qu’ils perdent le droit à vivre en démocratie : c’est une menace qui pèse sur tous. »
Sur Jean-Luc Mélenchon
« J’ai eu beau réécouter 100 fois le passage polémique, je ne comprends pas ce qui choque : une personne qui commet un attentat le fait rarement dans un moment qui le dessert. »
« Les familles de victimes ont bien sur toute notre compassion. »
Sur sa candidature à l’élection régionale dans le Grand Est avec Aurélie Filippetti
« A la fois il faut montrer des têtes connues, à la fois il faut aussi de l’air et du renouvellement. »
« Notre liste est une liste de citoyens engagés, pas de professionnels avec des CV long comme le bras. »
« Sur notre liste, on a décidé de se fiche des étiquettes. »
« Je suis déçue des oukases qui ont fait que l’on n’a pas réussi à faire tous ensemble avec toute la gauche et les écologistes. »
« L’inertie des partis a été très importante. »
« Il va falloir apprendre à faire confiance aux femmes en politique - et ça aussi, c’est un combat difficile. »
Sur la présidentielle 2022
« On va travailler, on va se relever les manches. »
« Il va falloir confiance à toutes les idées qui viennent du terrain, même si elles viennent de femmes, même si elles viennent d’inconnus, même si elles viennent d’aides soignantes. »
« Moi, je fonctionne à l’instinct ce qui énerve beaucoup de gens qui fonctionnent avec des statistiques et des tableaux Excel. »
« Il faut écouter les gens et être sur le terrain. »
« Les gens veulent une belle gauche unie. Et, entre nous, quand on regarde les programmes, à part quelques virgules et quelques adverbes, il n’y a pas grand chose qui nous désunit. »
« Il faut réussir à faire en sorte qu’on ait un candidat au second tour. »
« Il y a un programme qui me tient à coeur : c’est l’Avenir en Commun, partons de ça ! »
« L’objectif, c’est de créer une 6è République. Et notre Président, ce ne sera pas Jupiter. »
« Il y a pas mal de militants qui sont déçus de voir qu’il y a déjà plusieurs candidats à gauche pour l’élection présidentielle. »
Sur la marche des libertés et contre l’extrême droite du samedi 12 juin prochain
« C’est un rendez-vous très important : les idées d’extrême droite et surtout le racisme sont devenus des idées qui ont pignon sur rue. Avant, c’était tabou, maintenant, on en parle tranquille. »
« On peut vomir ses idées racistes sans aucun problème. Et ce n’est pas possible… »
« Il faut aller marche samedi 12 juin pour dire que l’on est tous égaux et libres en droit. »
« Ce n’est pas une marche politique : il y a 110 organisations qui y appellent pour vivre tous ensemble. »
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Ce jeudi 3 juin, nouveau numéro des « Jeudis du programme », notre émission consacrée à « L'Avenir en commun ».
Une émission intitulée « Reconstruire l'hôpital public » avec Fanny Vincent (sociologue de la santé), Christophe Prudhomme (Médecin urgentiste et délégué CGT santé), Caroline Fiat (députée La France insoumise) et Hadrien Toucel (co-responsable du programme).
Participez et réagissez en direct avec #LJDP
19 commentaires
Aurélie Filippetti sur les régionales dans le Grand Est : "J'espère qu'ils vont revenir à la raison"
14h55 , le 12 mars 2021, modifié à 16h52 , le 12 mars 2021 ParAnne-Charlotte Dusseaulx
INTERVIEW - En décembre, Aurélie Filippetti lançait, avec la socialiste Pernelle Richardot et l'insoumise Caroline Fiat un appel au rassemblement de la gauche et des écologistes. Il y a quelques jours EELV, le PS et le PCF faisaient de même. "Cet oukase contre les insoumis est suicidaire", estime l'ancienne ministre, qui appelle à se mettre autour de la table.
...
dans le Grand Est, où l'ancienne ministre Aurélie Filippetti (ex-Verts et ex-PS), qui n'est plus membre d'aucun parti depuis quatre ans, a lancé en décembre l'Appel inédit https://www.lappelinedit.fr/ avec la socialiste Pernelle Richardot et l'insoumise Caroline Fiat. Pour le JDD, elle revient sur cette démarche et dit sa "surprise" face au pacte lancé la semaine dernière par EELV, le PS et le PCF.
...
Un récent sondage nous donne à 16% au premier tour*, ce qui est bien pour un début de campagne http://www.commission-des-sondages.fr/notices/files/notices/2021/fevrier/9098-grand-est-ifop-lr.pdf.
...
- Une liste menée par le sortant Jean Rottner (LR, UDI, Les centristes) est à 32%, une liste du Rassemblement national emmenée par Virginie Joron est à 22%. Suivent l'Appel inédit (16%), LREM et le MoDem avec Bérangère Abba (11%), Europe Ecologie - Les Verts et Eliane Romani (10%) et Debout la France et Florian Philippot (6%).
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Caroline Fiat, députée de la meurthe et moselle revient sur la crise Covid19
Reportage – Vidéo 23’56 - Caroline Fiat : une aide-soignante à l’Assemblée
Conviction et sincérité. Voilà ce que les personnages politiques imitent plus ou moins bien. Plus ou moins camelots, plus ou moins malins.
Rien de tout ça avec Caroline Fiat. Suffit de la voir à l’Assemblée, quand elle prend la parole, c’est sans les gants. Elle est la première aide-soignante élue députée. L’Assemblée censée représenter la France, c’est 90 % de classes supérieures et de bonne bourgeoisie. Pas le moindre ouvrier.
Pendant sept ans, Caroline Fiat a été aide-soignante en Ehpad privé, avant de se faire virer. Quand elle se bat contre la destruction de la santé publique, elle sait de quoi elle parle. Quand le journaliste de France Inter lui demande : « est-ce que vous ne vous sentez pas finalement condamnée à ne pouvoir que crier ? », elle garde son calme. Elle enchaîne.
Le mépris, à l’Assemblée, elle connaît. La sourde oreille aux remontées du terrain, des solutions viables inappliquées, un Ségur de la santé loupé, des services de réanimation au bord de l’explosion, des soignants au bout du rouleau, un hôpital public au bord du gouffre. « C’est pas décourageant ? », demande le journaliste de France Inter.
Oui, conviction et sincérité.
Des gens comme ça existent même si on les voit moins que beaucoup d’autres. Ils deviennent nécessaires aujourd’hui en ces temps obscurs. Devant la nouvelle vague de la pandémie, elle a décidé de reprendre le boulot au CHU de Nancy tout en assurant son travail de députée. C’est là que nous sommes venus la voir. Mais attention, pas question de faire la vedette, pas question de faire un plan com.
Conviction et sincérité, espérons que c’est contagieux.
reportage : Imen Mellaz
image : Jonathan Duong
montage : Amélie Brunet
son : Jules Krot
Depuis le début du quinquennat, la France insoumise démontre qu’elle est prête à gouverner et à proposer des budgets sérieux, permettant de sortir de la crise sociale, sanitaire et écologique que traverse notre pays. Après 2018, 2019 et 2020, le groupe parlementaire présente son contre-budget pour 2021. Celui-ci est divisé en trois temps :
- Un décryptage du « plan de relance » proposé par le gouvernement
- Les mesures indispensables pour former un bouclier social, sanitaire et engager le bifurcation écologique.
- Un ensemble de propositions pour aller chercher l’argent où il se trouve.
Pour lire la suite, consultez ci-dessous le contre-budget 2021 de la France insoumise. Participez sur les réseaux sociaux avec #ContreBudgetFi.
Vincent Feltesse et 45 autres suivent
Brut FR @brutofficiel · 29 juil.
"Son papa s'est barré, mon fils s'en sort très bien."
Elle a élevé son premier fils seule. Atteinte par les propos d'autres députés en plein débat sur la PMA, la députée insoumise Caroline Fiat les a appelés à "peser leurs mots"...
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Caroline Fiat, Députée LFI, soutient la liste "Un Havre Citoyen avec Jean-Paul LECOQ"
Mots-clés Agence du médicament covid-19 parlement
Face aux pénuries révélées par la crise du Covid-19, La France insoumise propose la création d’un établissement public qui gèrerait les stocks et produirait les remèdes manquants. Les députés LREM l’ont rejetée en commission et demandent de simples rapports. L’idée sera soumise au vote le 4 juin.
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Une chance de se rattraper se présente ce mercredi 4 juin : la proposition, aujourd’hui vidée de sa substance http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3014_texte-adopte-commission, sera discutée, peut-être retravaillée et votée dans l’hémicycle en séance publique.
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Au plus fort de la crise du Covid-19, les tests de dépistage et les médicaments vitaux pour les patients Covid-19 en réanimation ont cruellement manqué. En cas de pandémie, tel que l’imaginent les députés du parti de Jean-Luc Mélenchon, le Pôle public du médicament aurait les moyens de les produire pour subvenir aux besoins de la population. Il serait aussi chargé de « garantir l’approvisionnement d’une réserve stratégique de médicaments essentiels » et « d’assurer que le stock national de médicaments soit suffisant pour faire face aux demandes de toute nature ».
« Quand j’entendais toutes ces paroles, j’imaginais que le fameux “monde d’après” allait arriver. Dommage », a lâché la députée LFI de Meurthe-et-Moselle et rapporteure du texte Caroline Fiat, dégoûtée au terme de l’examen du texte en commission parlementaire. ... « Avec le Pôle public du médicament, en tant que soignants, nous n’aurions plus à subir les conséquences des ruptures de stock en série, en cherchant des médicaments de substitution quand l’habituel n’est plus disponible. Et tout ça parce que l’industrie pharmaceutique ne le produit plus, car elle estime qu’il ne rapporte plus assez ! Les soignants et les patients sont sacrifiés », se désole-t-elle.
...
LREM a fait remplacer l’article proposant de créer un Pôle public du médicament du texte de LFI par la demande de deux nouveaux rapports sur le sujet…
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supprimer le crédit impôt recherche (CIR) et rediriger l’argent qui lui est aujourd’hui dévolu vers le nouvel établissement. « En dix ans, Sanofi a reçu, sans aucun contrôle, 1,5 milliard d’euros au titre du CIR. Dans la même période, le laboratoire a supprimé plus de 2 800 postes de recherche », appuie l’Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament.
Son cofondateur, Jérôme Martin, peste : « La majorité présidentielle ne fait déjà que cela, demander des rapports quand il faut agir. Un groupe qui a mis en scène son départ de LREM pour préparer un “jour d’après” ne propose pas mieux. Ces députés qui ont rejeté le cœur du texte font semblant d’avoir compris ce qui s’est passé pendant la crise. Ils auront à rendre des comptes à la prochaine grosse pénurie de médicaments. L’irresponsabilité politique a ses limites ! »
Un appel de la société civile à soutenir la création d’un pôle public du médicament
Le 29 mai, l’Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament a lancé un appel commun https://blogs.mediapart.fr/edition/transparence-dans-les-politiques-du-medicament/article/290520/la-production-publique-de-medicaments-doit-etre-au-ce avec des ONG comme Oxfam, des associations de défense de patients telles que Act Up ou l’Apesac, des syndicats comme la CGT ou SUD Chimie, le collectif de soignants Inter-Urgences et des chercheurs pour soutenir cette proposition de créer un Pôle public du médicament.
« Une réelle planification sanitaire doit être mise en place et doit être accompagnée d’une production publique locale du médicament : pour approvisionner notre marché national à hauteur des besoins, mais également pour envisager une coopération européenne et internationale essentielle à un accès réellement universel », énonce l’appel. Ces militants espèrent encore un électrochoc d’ici au vote de l’ensemble des députés le 4 juin.
...
Pierre Dharréville, député de la Gauche démocrate et républicaine, soutient également la création d’un Pôle public du médicament, mais toutes les initiatives législatives passées de son parti ont échoué. Il a d’ailleurs dans ses tiroirs une nouvelle proposition de loi créant un tel service public du médicament : « Pour assainir le marché, il faut un acteur public », assure-t-il. « Le Pôle public du médicament, en tant qu’alternative de production, permettrait de fournir les hôpitaux quand ils sont en carence et servirait à mettre la pression sur l’industrie pharmaceutique, notamment sur les prix », soutient quant à elle Sandrine Caristan, adhérente à SUD Chimie.
...
« Famar pourrait être un bon point de départ d’un Pôle public du médicament si l’État se portait acquéreur et reprenait l’outil de production ainsi que les salariés, au savoir-faire précieux », suggère alors Pierre Dharréville.
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recours à la licence d’office. Elle consiste à suspendre l’effet de monopole d’un brevet et à permettre à d’autres fabricants de produire et de fournir le produit. Le dispositif existe déjà depuis 1992 dans l’arsenal législatif hexagonal s’agissant du médicament « si l’intérêt de la santé publique l’exige ». Mais cette arme n’a jamais été dégainée en France.
...
La proposition de loi prévoit un élargissement de ce mécanisme aux dispositifs médicaux comme les essentiels tests de dépistage du Covid-19 : cette partie-là du texte, et c’est bien la seule, a été adoptée en commission parlementaire.
...
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Depuis quelques semaines, la députée insoumise Caroline Fiat a repris du service comme aide-soignante au Centre Hospitalier Régional Universitaire de Nancy. Elle ne voulait pas le faire savoir mais le préfet en a décidé autrement. Elle est restée discrète sur sa prise de poste et prend la parole pour la première fois dans #LaMidinale.
Sur la prise de poste à l’hôpital
« J’aurais préféré que ça ne sache pas [la prise de poste à l’hôpital]. »
« Quand j’ai signé mon contrat, on m’a rappelé que j’étais tenue à un droit de réserve et de confidentialité - ce qu’on ne m’aurait pas rappelé si j’avais été médecin. On m’a bien rappelé que j’étais aide-soignante. »
« Aujourd’hui, le directeur de l’hôpital m’a confirmé que je pouvais témoigner. »
« Ce soir, je fais ma dernière nuit et c’est la raison pour laquelle je veux témoigner. »
« Je suis dans un service de réanimation et il faut être très concentré. Je ne suis pas pour les caméras de télévision dans nos services. »
Sur la pénurie dans l’hôpital
« Le directeur du CHRU de Nancy avait tiré la sonnette d’alarme à temps donc on n’a pas eu de problème particulier. »
« J’ai un problème avec la prime promise pour les personnels soignants par le gouvernement : c’est bien mais je préférerais qu’on valorise les salaires tout de suite. »
« On arrivait à l’hôpital la boule au ventre et la première chose que l’on faisait, c’était d’aller voir le stock de sur-blouses. »
« Une nuit, on a vu le stock de FFP2 diminuer donc on a fait gaffe à ne pas trop en dépenser. On a maintenu le masque pendant 24 heures. »
« Quand on l’ouvre, c’est plus pour nos patients que pour nous-mêmes. »
Sur les applaudissements à 20h
« On reste persuadé que, d’ici quelques semaines, on redeviendra les feignantes qui ne répondent pas assez rapidement aux sonnettes. »
« Je n’arrive pas à me persuader que tous les gens qui applaudissent à 20h seront demain dans la rue si besoin est. »
Sur le mépris social et le métier d’aide-soignante
« On m’a reproché de ne pas sauver des vies mais de torcher le cul des mémés. »
« Une aide-soignante en service de réanimation, elle aide l’infirmière, elle fait des gestes techniques et masse les personnes. »
« Ce mépris par rapport à ma profession est dégueulasse. »
« À l’Assemblée nationale, on s’est beaucoup moqué de moi quand, très tôt, j’engueulais mes collègues qui ne respectaient pas les gestes barrières. »
« Quand l’Assemblée est devenue l'un des premiers clusters, j’ai reçu des messages de quelques personnes pour me dire qu’ils regrettaient de s’être moqués de moi. »
« On m’écoute quand j’ai quelque chose à dire. »
« On préférera toujours appeler un député médecin ou un sachant plutôt que moi, aide-soignante. Les habitudes restent. »
Sur les moqueries de la macronie
« Je n’ai rien à faire de leurs excuses. Ça serait très malvenu d’ailleurs. J’attends des actes. »
« Emmanuel Macron a dit qu’il y aurait un avant et un après Covid. Il y aura aussi une Caroline Fiat avant et après Covid. »
Sur la fin de vie en période de Covid-19
« Il y a un protocole qui fait que personne ne peut voir le défunt donc c’est nous qui mettons la personne dans la housse, qui la fermons et la scellons. C’est une horreur. »
« J’ai du fermer la housse d’un monsieur en me disant que je serais la dernière à le voir. Je ne suis pas de sa famille et je ne le connais pas. Il y a sans doute des gens qui auraient aimer lui dire au revoir une dernière fois. Il n’avait pas de bijou. Rien. J’étais traumatisée en me disant qu’il faudrait peut-être lui mettre son alliance. Je l’ai très mal vécu. Je me suis sentie obligée de parler à ce monsieur en lui expliquant que sa famille l’aimait très fort mais qu’à cause du Covid, sa famille ne pouvait pas être là. »
« Je ne veux plus jamais revivre ce que j’ai vécu en ayant remis ma blouse. »
Sur le retour à l’Assemblée
« Maintenant, ils ont intérêt à me prendre au sérieux parce que sinon, ils vont manger. »
« Il y a des responsables à ce que l’on vit aujourd’hui. »
« J’ai rendu un rapport accablant en mars 2018 sur les Ehpad et rien n’a été fait depuis en deux ans à part commander deux autres rapports pour faire oublier le mien. »
« Il y a eu du retard au sommet de l’Etat et ça se réglera quand je reviendrai à l’Assemblée nationale. »
Sur la gestion de la crise par Emmanuel Macron
« Je suis en colère parce qu’ils n’acceptent pas mon aide. »
« J’ai toujours cette impression de mépris. »
« Ils ont choisi Jérôme Guedj pour faire une mission sur les personnes âgées. Je remarque que c’est encore un énarque et sans doute n’a-t-il jamais mis un pied dans les Ehpad. »
« Je ne crois pas à leur unité nationale. »
« Emmanuel Macron a mis tellement de garde-fous sur le déconfinement du 11 mai que je n’arrive pas à y croire. »
Catégorie Actualités et politique 279 commentaires
corinne morel darleux et 13 autres suivent
Caroline FIAT @CarolineFiat54 · 21 janv.
La #mort au travail, une triste réalité en #France. 300 à 400 personnes par an. Nombreux sont ceux qui souffrent au travail. Pour #Maxime, qui a mis fin à ses jours sur son lieu de travail, pour tous les travailleurs, il faut le retour à un VRAI code du travail
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Depuis 2 ans et demi, Caroline Fiat, aide-soignante avant de devenir députée de la France insoumise, se bat dans l'hémicycle contre les conditions de travail intolérables des soignants. Compilation de différentes interventions.
Catégorie Actualités et politique 30 commentaires
Camille Groux il y a 3 heures
Soutien aux soignants ! Merci pour ces discours !
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RSOULIER75 il y a 3 heures
Bravo madame. Malheureusement lrem se fous de la vie des gens c'est du bétail pour eux
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hamid ben hammou il y a 3 heures
les professions les plus nobles ,sont les moins reconnues ,quel gâchis ,les politicards devraient êtres bénévoles et céder leur salaires aux métiers les plus humains comme la santé ,l enseignement ,la recherche ,l écologie pour avoir un monde meilleur.