@malopedia - 9:31 PM - · 160,9 k vues
Tr.: attributs trouvés à l'encontre des candidats du RN : Fascisme, nazisme, racisme, antisémitisme, négationnisme, sexisme, mysogynie, homophobie, xénophobie, suprémacisme blanc, complotisme
L’histoire de Let’s Co débute en 2008 avec la création par Jérémy Camus et Mickaël Berrebi de Xetic, une association de micro-finance sociale dont la mission était de tisser des liens entre particuliers, en France, et entrepreneurs africains. Mobilisant sa communauté, Xetic collectait des fonds afin que les entrepreneurs puissent investir et soient en mesure de rembourser leur prêt, sans intérêt, après la revente de leur production.
Pour mener à bien ce projet, l’équipe de Xetic développa sa propre plateforme de finance participative, devenant ainsi une des pionnières sur ce sujet en France. Xetic a fusionné avec l’ONG Entrepreneurs du Monde fin 2015.
La création d’une entreprise sociale du numérique en France
L’entreprise Let’s Co est créée en 2012 lorsque la Nef – première banque éthique française – perçoit dans Xetic l’expertise qui lui permettra de prendre le train du financement participatif.
Mickaël et Jérémy réalisent aussi que le financement participatif n’est qu’un moyen parmi d’autres afin d’engager une communauté dans des projets d’utilité sociale !
Incubés au sein de la seconde génération d’entrepreneurs sociaux de l’incubateur Ronalpia, puis participants au programme Accélération du Centsept, ils tissent un réseau de partenaires et développent de nouveaux outils numériques participatifs : système d’échange de biens et services, partage d’idées et de compétences, groupes projets collaboratifs etc.
Fidèles à l’idée de se mettre au service de ceux agissent, les outils Let’s Co sont développés en open source et proposés en marque blanche.
Let’s Co – Activateur de communautés
Aujourd’hui, fort de presque dix années d’expérience et de rencontres, Let’s Co travaille aux côtés d’une grande diversité d’acteurs des territoires (associations, collectivités territoriales, entreprises, collectifs citoyens, SCIC et PTCE, etc.) pour les accompagner dans le développement du volet numérique de leur projet.
Nous continuons de développer des plateformes numériques participatives, en open source et en marque blanche, qui répondent aux nouveaux enjeux de société: commerce de proximité, engagement bénévole, participation citoyenne, financement participatif, etc. Nous assurons l’évolution et la maintenance de nos outils en fonction des besoins de chaque projet.
Nous assistons également nos clients dans leur maitrise des usages numériques, en leur proposant conseils et formations.
Depuis nos bureaux au sein du tiers-lieu l’Usine Vivante, nous poursuivons notre démarche d’innovation technologique et méthodologique afin d’être un acteur de la transition numérique et écologique des territoires. Nous expérimentons cette démarche en participant activement au projet de territoire BioVallée.
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Mentions légales
... édité par la Société LET’S CO, SAS, au capital de 45 000 euros et immatriculée au RCS Romans sous le numéro 788 968 303 – Numéro APE 6202A – Numéro TVA FR 64 788968303.
Le siège social est situé au 24, Avenue Adrien Fayolle, 26 400 CREST
Le représentant légal est Jérémy Camus, son président.
Le directeur de publication de ce site Internet est Mickaël Berrebi.
L’hébergeur du site est OVH.
Ce site est soumis à la loi française.
Vous pouvez rencontrer l'équipe de Let's Co à l'Usine Vivante, au 24, Avenue Adrien Fayolle à Crest dans la Drôme.
Pablo Gallegos 🇮🇪 @PabloGallegos1 · 11 mai
En réponse à @86Greenpeace
Et si l'hydrogène naturel était le "game changer" de la transition énergétique ?
Alors que l''hydrogène décarboné peut être produit grâce à des électrolyseurs, il peut l'être aussi par... la terre, dans le sous-sol, comme le démontrent de nombreux travaux scientifiques. Cet..
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Ndlr : vérifier ACT
Le DJ Fanaya, dont la participation a finalement été annulée, a tenu des propos controversés sur les personnes blanches lors d'une précédente soirée.
Le bal des migrants, organise sur la place Stalingrad a Paris, est en pleine tourmente. (photo d'illustration a la Fete de la musique, a Paris).
Source AFP
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L'union syndicale Solidaires et les élus EELV de Paris ont apporté leur soutien au Bureau d'accueil et d'accompagnement des migrants (BAAM). Cette association organisatrice du bal serait victime, selon les écologistes, « d'une violente campagne de cyber-harcèlement et de dénigrement » depuis vendredi, quand le député LREM François Jolivet a dénoncé sur Twitter la participation du DJ. Pour Fanaya, le dancefloor est « un espace politique où les relations de pouvoir se reproduisent aussi ». Le DJ a imposé aux blancs « d'aller derrière » et aux autres, « surtout les personnes noires », « d'occuper la place et tout l'espace qui (leur) revient de droit ». « Durant mon set, les personnes noires et non-blanches sont prioritaires », avait insisté l'artiste.
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Connu / https://twitter.com/corinnelepage/status/1414696700485246982
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Corinne Lepage @corinnelepage · 5h
Pour ceux qui ne savent pas ce qu’universalisme veut dire .;;;
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Premiers jetés, derniers servis : une année blanche pour les intérimaires et les extras - •29 sept. 2020 / FRANÇOIS RUFFIN
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Premiers jetés, derniers servis ! Je présente ma proposition de loi "Oubliés de la crise Covid : une année blanche pour les intérimaires et les extras", avec Pierrick, ex-Amazon, Amandine, ex-Safran et Ahcène, maître d'hôtel !
328 commentaires
Faux procès, vrais enjeux et idées concrètes pour passer à l’action : ce livre blanc donne les clés pour que les entreprises se lancent dans une vraie démarche d’amélioration de la qualité de vie et du bien-être au travail.
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Connu / https://www.preventica.com/actu-enbref-bien-etre-travail-discipline-scientifique-280120.php
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Le bien-être au travail, une discipline scientifique ?
sante-qvt - Risques psychosociaux - 28/01/2020 - Magali Rossignol
bien-être au travail
Dans un livre blanc, deux start-ups défendent l'idée que 5 leviers suffisent pour offrir à tous les collaborateurs les conditions de leur épanouissement au travail.
Aujourd'hui, le bien-être au travail fait polémique entre les enthousiastes d'un côté, et les cyniques de l'autre. Ces derniers dénoncent une caricature, une tyrannie du bonheur où un « responsable du bonheur » - le fameux Chief Happiness Officer - serait chargé de veiller sur les collaborateurs à coup de corbeilles de fruits bio, de cours de yoga et de locaux façon loft. Cette injonction au bonheur, disent-ils, n'a pas sa place dans l'entreprise, et si celle-ci s'en préoccupe c'est uniquement dans le seul but jamais avoué d'accroître son profit. Ce serait d'ailleurs une idéologie réservée aux entreprises qui peuvent se le permettre.
" Aujourd'hui ce débat est stérile, tristement réduit à une lutte entre croyants et non croyants. Le bien-être au travail n'est pourtant pas une idéologie mais un levier de performance, et fait l'objet de nombreux travaux économiques et scientifiques depuis des décennies. Les gens heureux travaillent mieux, c'est tout." explique Cyril Vart, Executive Vice-Président, Fabernovel.
Aujourd'hui les entreprises n'ont plus le choix, elles doivent se transformer et le développement d'initiatives de bien-être au travail devrait constituer une priorité des Comex.
En effet, pour les Directeurs Généraux, c'est une rare source de compétitivité inexploitée. Les salariés heureux au travail ont ainsi une productivité supérieure de 43% aux autres.
Dans un contexte de guerre des talents, c'est pour les DRH un critère clé d'attraction et de fidélisation des équipes. Pour les salariés français, le bien-être au travail apparaît même comme l'enjeu prioritaire dans le monde du travail.
Pour les directeurs des opérations ensuite, les initiatives de bien-être au travail sont indissociables des efforts de transformation numérique. Il est par exemple inimaginable d'adopter des méthodes agiles avec succès sans qu'une solide culture du feedback ait été établie.
Enfin, il s'agit aussi d'une importante source d'économies pour les directeurs financiers : car le mal-être au travail, silencieusement, coûte déjà très cher 12.600 € par salarié et par an en France du fait des absences et des rotations d'effectif.
"Après plusieurs années passées à accompagner des organisations de toutes tailles et de tous secteurs sur leurs sujets d'engagement ou l'évolution de leur culture, nous avons acquis la conviction que la voie du pragmatisme constitue la seule approche pertinente pour le bien-être au travail " analyse Julie Chane-Ching, Co-fondatrice de Bloom At Work.
En partant de l'histoire, du contexte et des aspirations spécifiques de son entreprise, il est possible de construire une organisation qui offre à tous les collaborateurs les conditions de leur épanouissement en se reposant sur 5 leviers :
Identifier les quick wins : pour lancer la dynamique, faire appel à l'intelligence collective de ses équipes et débuter par les idées économes en ressources mais avec un impact significatif.
Commencer par une preuve de concept délimitée, au sein d'une équipe enthousiaste qui saura tester les initiatives puis se faire l'ambassadrice des bonnes pratiques dégagées.
Mesurer régulièrement les résultats pour mieux itérer, par exemple via des sondages en ligne, simples et rapides.
Privilégier les initiatives à iso-budget : les idées impactantes nécessitant aucun budget ne manquent pas, par exemple l'absence de réunions un jour de la semaine pour laisser à chacun le temps de se concentrer.
Déléguer au terrain pour propager le mouvement : à terme, donner à chacun les moyens d'agir à son niveau, par exemple en subventionnant des cours en ligne ou des activités sportives choisies librement.
En savoir plus : Télécharger le livre blanc "Le bien-être au travail expliqué à votre Comex"
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Texte de la vidéo à télécharger ici mooc.jardiniersdunous.org/?WikiAdmin/download&file=Introduction_de_la_mthode_des_6_chapeaux__CcileCarceles.pdf dont
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Contribution : Cécile Carceles, Romain Vignes - Licence CC By SA
... issue du travail effectué par le docteur DeBono. Dans les années 1980, le Docteur DeBono a constaté que l'élaboration de la pensée - que ce soit seul ou en groupe se fait en mélangeant différents modes de pensée ... la "pensée spaghetti" ...
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3 idées clefs. - regrouper les différents façons de pensée
utile à un projet en 6 catégories, 6 modes de pensée, chacun représenté par un chapeau de couleur. - tous les membres du groupe travaille dans un mode de pensée à la fois. Ex. évaluation des risques - Une séance de travail est structurée par l'ordre d'utilisation des chapeaux. Ainsi en fonction de la nature de notre travail collectif, la séquence des 6 chapeaux sera différente.
bleu = organiser ; Chapeau blanc: c'est le chapeau de la neutralité. L'espace où nous énonçons les faits, sans interprétations ou jugements. Vert = créativité ; Noir = risques ; jaune = bénéfices ; rouge = intuition ... outil de réflexion pour amener les éléments d'aide à la décision ++
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Ndlr : reste à pondérer ces critères à la main ou à l'aide d'un logiciel comme DESKRIPTOR...
aussi à https://www.youtube.com/watch?v=_tEfxEDjcYc
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Le grand entretien de 8h20 par Nicolas Demorand (8h20 - 14 Juin 2019 - Arnaud Montebourg)
Catégorie Actualités et politique 55 commentaires
Zeyne il y a 2 jours
On en revient toujours à l'avenir en commun. Mais bon les Français ont veauté.
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Joao Manuel Correia il y a 20 heures
Un Demorand détendu et sympathique, ce n'est donc pas un interviewé qui menace le régime Macron, voilà donc un journaliste heureux et soulagé de se sentir en communion avec son invité. Un vrai pro celui là.
Transcription :
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/la gauche, la branche sociale-démocrate a abandonné la classe populaire ... ne voit pas qui aujourd'hui peut remonter la gauche, ce ne sera pas lui qui s'occupe de bleu-blanc-ruche ...
Ndlr : est toujours pro-nucléaire, souverainiste, et pour le reste proche de LAEC !
.#Montagne #Climat #Ecologie
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[Documentaire complet disponible jusqu'au 07 Août 2019]
Une climatologue, un physicien et un volcanologue partent à l'assaut du plus haut sommet des Alpes. À travers d'exceptionnelles images, ce documentaire raconte leur odyssée et révèle l'immense richesse d'un laboratoire naturel unique au monde.
À cheval sur la France, l'Italie et la Suisse, le massif du Mont-Blanc s'est formé il y a deux cent quarante millions d'années. Grand comme quatre fois Paris, il s'étend sur 400 kilomètres carrés. Son sommet, le plus haut d'Europe occidentale, culmine à 4 809 mètres. Trois scientifiques entament son ascension : Martine Rebetez, climatologue suisse, Étienne Klein, philosophe et physicien au Commissariat à l'énergie atomique, et Jacques-Marie Bardintzeff, géologue et volcanologue. Progressant en deux cordées, ils sont accompagnés par Jean-Franck Charlet et François-Régis Thévenet, guides de haute montagne, ainsi que par le physiologiste Hugo Nespoulet.
Leur aventure commence par deux jours d'acclimatation à la haute montagne : l'altitude met en effet les organismes à rude épreuve. Périlleuse, l'ascension va mener certains d'entre eux de la mer de Glace jusqu'au sommet du mont Blanc. Au fil de leur éprouvante course, entre rocailles lunaires et crêtes immaculées, l'histoire de la formation du massif et son évolution se révèlent grâce aux éclairages de spécialistes intervenant dans des disciplines aussi variées que la géologie, la paléontologie, la géomorphologie, la glaciologie, la géophysique, la botanique et l'écologie. Ces scientifiques ne cachent pas leurs inquiétudes. Le réchauffement climatique fragilise l'ensemble des écosystèmes du massif. Au cours du XXe siècle, la température moyenne y a augmenté de 1,5 °C, soit trois fois plus qu'à l'échelle planétaire. Si elle augmentait de 3 °C, la surface englacée des Alpes pourrait diminuer de 80 %...
Documentaire de Vincent Perazio (France, 2014, 1h34mn)
Instagram http://www.instagram.com/ARTEfr
Catégorie
Films et animations
55 commentaires
La quasi-totalité des candidats aux élections européennes revendiquent une fibre écologiste, tandis que l’idée de « banque européenne du climat » bénéficie d’un relatif consensus. L’économiste Thomas Porcher s’interroge sur la réalité que masque cet affichage dans les programmes électoraux.
Thomas Porcher est économiste, membre du collectif Les économistes atterrés. Il a publié Traité d’économie hérétique : en finir avec le discours dominant (Fayard, 2018) et participé à Macron : un mauvais tournant (Les économistes atterrés, Les Liens qui libèrent, 2018).
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il ne faut pas être naïf. Derrière ces chiffres, il y a beaucoup d’effets de manche démagogiques. Peut-on penser sérieusement que LREM ou le PS vont sortir des centaines de milliards d’euros pour l’Europe alors que, lorsque ces partis gouvernent en France, ils n’arrivent jamais à trouver de l’argent pour l’écologie ? Rappelons qu’en 2018, la deuxième plus forte réduction de fonctionnaires a frappé le ministère de la Transition écologique. Idem pour le PS, qui avait réduit les dotations du ministère de l’Écologie, entraînant le limogeage de Delphine Batho lorsqu’elle s’en était plainte.
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Ce qui est bien avec la « banque du climat », c’est que ça ne dérange personne et donc que tout le monde est d’accord. Mais, dans les faits, cela soulève pas mal de questionnements, notamment sur la pertinence des projets à financer. Il y a des risques que cette banque finisse par financer les EPR d’EDF parce que certains jugent que le nucléaire est la solution au réchauffement climatique. D’ailleurs, qui aura la compétence pour définir ce qu’est une bonne transition énergétique à l’échelle européenne ? Avant de faire une banque du climat, il faudrait peut-être dresser une liste précise de ce qui rentre dans la transition écologique ou pas, pour fermer la porte à tous les types d’écoblanchiment.
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25 388 ont signé. Allez jusqu'à 35 000 !
Monsieur le Président de la République et Madame la Ministre de la Santé, nous vous demandons de réévaluer nos salaires à la hausse. Vos remerciements ne suffisent plus. Ils ne nous aident pas à nous lever chaque matin pour courir toute la journée dans nos services, sans même pouvoir prendre le temps de manger ou encore simplement d'aller aux toilettes. Au quotidien nous supportons la pression qui nous est imposée : toujours plus de travail demandé pour un salaire identique et avec des effectifs soignants qui ne bougent pas.
Contact :
mouvementblousesblanches@gmail.com
facebook: Mouvement des Blouses Blanches
Extraits :
le bon filon a été trouvé pour faire passer ce marché dans le concept de l’écoblanchiment, qui consiste à surfer sur la vague de l’écologie pour promouvoir ce nouveau procédé de substitution au pétrole.
Sauf qu’en réalité, il s’agit de l’une des plus grosses arnaques qui puisse exister, en nous faisant miroiter l’usage d’un carburant plus écologique, et donc une satisfaction personnelle en tant que consommateur, alors qu’il n’en est rien.
Le « biocarburant » ne mérite donc pas son nom.
L’huile de palme, est-ce vraiment nouveau ?
...bien que cela soit déjà devenu la norme depuis quelques années, l’importation de l’huile de palme par Total en France défoule les passions des agriculteurs.
Pourquoi la norme ? Tout simplement parce que la plus grande partie de l’huile de palme importée en Europe – qui comprend la France je le rappelle – est déjà utilisé dans les carburants, alors même que la future « bioraffinerie » de Total n’existe pas encore [1] !
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On voit bien ici que l’aspect financier provenant du système capitaliste semi-mondial prévaut toujours sur la logique planétaire.
Taux de retour énergétique
...il faut que la matière produite consomme moins d’énergie que celle qu’elle va produire. C’est ce que l’on appelle le « Taux de retour énergétique » (TRE).
...le pétrole a un ratio d’environ 1:30 (donc il produit 30 fois plus d’énergie qu’il n’en nécessite pour être extrait), alors que l’éthanol et les huiles ont un ratio de 1:1 à 1:2.
... la production de carburants à base de ressources biologiques produit à peine davantage d’énergie qu’elle en consomme !
...l’éthanol et les huiles ayants un ratio TRE extrêmement faible, il faut alors leur réserver une quantité de surface exponentielle de nos terres cultivables. D’énormes machineries et engins agricoles pour les travailler, les extraire, d’autres pour les transporter, et enfin des raffineries pour les transformer.
Il ne faut pas oublier que de telles quantités de productions exigent l’agriculture monoculture: l’utilisation de produits chimiques en masse est alors inexorable. Des produits tels que le glyphosate tant décriés ces dernières années, restent de fait incontournables.
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Qui dit usage de produits chimiques, dit rejets de produits chimiques, encore une fois dans la nature.
Conclusion
Alors que l’éthanol et les huiles sont perçus comme une solution intéressante pour limiter la consommation de pétrole, en réalité il n’en est rien.
Il s’agit d’une très mauvaise solution qui ne résout aucunement le problème majeur qui engendre la consommation ahurissante de pétole: l’usage intensif des véhicules motorisés à explosion.
NDLR : confirme mes propres observations et analyses
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